D’ordinaire j’affectionne plutôt les plans distingués, voire luxueux. Vous l’aurez compris si vous me lisez depuis quelques temps, je suis une femme qui aime les belles choses, les beaux hôtels et, même si j’ai une pratique sexuelle assez débridée, j’aime que cela soit fait dans un environnement agréable et je prends soin des moindres détails. Bref, je veux bien être une poule mais de luxe s’il vous plait ! A première vue tout le contraire d’une grosse cochonne vulgaire.
Pourtant un soir, dans un beau restaurant de Biarritz avec mon mari, je pensais (à juste titre !) être la femme la plus désirable de la salle. C’était sans compter sur l’arrivée d’une pouffe à gros seins en mini jupe ras la touffe, T-shirt à paillettes et rire aussi idiot que haut perché. Elle était au bras d’un homme en costume qui aurait pu être son père mais ne l’était sans doute pas… En général dans ce type de situation, aux différentes tables, les commentaires moqueurs sont la règle. Je voyais bien, moi, que derrière les quolibets, presque les insultes, chaque homme dans le restaurant brulait d’un désir aussi évident qu’inavoué. Et peu de femmes étaient dupes de la situation. Les « je suis sure que c’est une pute » proférés par les femmes respectables cachaient, j’en suis certaine, une gène et une jalousie pour l’effet que produisait la donzelle sur leurs petits maris. Eux tentaient de piquer le nez dans leur assiette. C’était peine perdue tant leurs regards étaient irrésistiblement attirés vers la table à côté de la fenêtre attribuée aux nouveaux arrivants. Je riais intérieurement de constater que ceux que le hasard avait placé dos à la grosse cochonne étaient pris d’une irrésistible envie de se lever pour aller aux toilettes.
Ce soir là mon mari, qui d’habitude se contente d’un minium syndical de samedi soir, s’est révélé presque à la hauteur, trouvant même le chemin de mon cul pour une sodomie qu’il n’avait jamais osé pratiquer avec moi. Bon, pas de miracle non plus, il reste mon mari. Sage et plan plan jusque dans notre lit conjugal. Je le soupçonne d’être bien plus fun avec ses maitresses levées sur internet. J’imagine qu’elle ne se gênent pas pour faire la grosse cochonne avec lui.
Je me suis souvenu d’un oncle qui disait toujours : « On n’attrape pas les mouches avec du vinaigre ! » et j’ai d’un coup eu envie, pour une nuit, d’être cette grosse cochonne qui fait saliver les hommes et enrager les bourgeoises de province.
Je me créais donc un profil temporaire et spécial sur Rencontres hard. J’abandonnais la photo de profil suggestive avec mon visage et la remplaçais par une bien salace de grosse cochonne sans équivoque. Puis me concentrais sur les quelques lignes d’accroche :
« Trouverais-je un homme qui osera me sortir et m’exhiber en public habillée en grosse cochonne salope et sexy ? Pour cet homme qui n’aura peur ni des regards pleins de reproche des bourgeoises de Macon ni de la morgue jalouse de leurs époux je me ferai chienne en chaleur et sans tabous. »
Je signais d’un Tagrosse Cochonne comme pseudo.
(bon pour me lire sans pub il y a l’e_book… )
Bien sûr, comme d’habitude, à peine mon profil posté les demandes pleuvaient sur le site. Je crois vraiment être dans le vrai quand je dis que ces sites de rencontre sont quand même mieux pour les filles comme moi qui ont le choix que pour les hommes comme vous qui devez vous faire concurrence pour convaincre un plan cul de votre ville que c’est avec vous qu’elle prendra son pied. Enfin, je ne vais pas m’en plaindre. Cette fois je choisissais différemment de d’habitude, non pas en fonction du physique qui me plaisait le plus mais justement en imaginant de l’effet que ferait notre couple sur les personnes que nous croiserions. Il me fallait un homme plutôt banal, si possible un peu enveloppé entre deux âges. Philippe, la cinquantaine bedonnante mais l’air plutôt enjoué et bon vivant, me plut immédiatement. En SexCam je reprenais tout naturellement mon accent de cagolle niçoise un peu simplette et j’insistais pour qu’il me sorte dans un beau restaurant aux alentours de Mâcon. Il me proposais l’O des vignes dans le charmant village Fuissé. Une fois n’est pas coutume, j’acceptais qu’il passe me « prendre » en bas de mon hôtel à Macon. Ce qu’il fit, tout fier de sa BMW 535 plus très neuve mais impeccablement entretenue et au cuir brun juste patiné comme j’aime. Je décidais de jouer les pipelettes intarissables tout le long de la route pour tester un peu sa patience. Je sautais du coq à l’âne, parlant indifféremment de ma passion pour les belles voitures, d’un ami d’enfance imaginaire qui tenais un restaurant en Provence, de son invitation à sortir de Macon que je trouvais « trop chou » et que j’étais toute émoustillée de rencontrer quelqu’un comme lui, bon vivant qui savait vivre et ne serai pas déçu avec moi. J’en faisais des tonnes et, beau joueur, lui souriait et me trouvait « vraiment fraiche et charmante » alors que je suis certaine qu’il se réjouissait d’avoir levé une grosse cochonne naïve à souhait.
J’avais donc décidé, niveau look, de me la jouer grosse cochonne ultra provocante. Jupe rose fluo très courte qui m’arrivait au ras des fesse avec une large ceinture en sky rouge, chaussures à talons aiguille rouges elles aussi et T-shirt ultra moulant blanc sans rien en dessous. J’avais hésité entre les bas et les collants. Les bas c’est sexy et les hommes adorent, mais avec la jupe vraiment très courte cela n’allait pas. J’avais donc une paire de collants rayés multicolores. Les rayures horizontales mettaient outrageusement en valeur le galbe de mes cuisses. Autant dire que notre entrée dans le restaurant ne passa pas inaperçue… Exactement comme je le rêvais, quatre tables avec des couples et une table de six personnes sur trois générations constituaient l’assistance. Tout sentait impeccablement la bonne bourgeoisie de province et, exactement comme à Biarritz trois semaines plus tôt aucun homme ne pouvait s’empêcher de jeter des regards furtifs. Sauf que cette fois c’était vers ma table que se portait leur attention ! Philippe semblait ravi, la serveuse (qui était aussi la patronne du lieu) semblait passablement contrariée à en juger par l’air pincé avec lequel elle prit notre commande. En bonne salope je demandais si l’on pouvait d’abord boire un apéritif avant de choisir le repas. Je voyais bien que la patronne avait envie d’expédier cela le plus vite possible et moi j’étais prête à tout pour faire durer et savourer ce moment rien qu’à moi. Triple kir royal, une bouteille de rouge à deux dont je sifflais plus des deux tiers pour accompagner le dîner qui était vraiment presque parfait ! J’ai souvenir d’un homard servi en deux fois vraiment très bien. Je continuais en mode pipelette, parlant et riant assez fort. Mon compagnon semblait s’amuser et faisait même semblant de s’intéresser à ma conversation sans queue ni tête. Moi je commençais à être bien éméchée au moment du dessert. Philippe, en vrai gentleman, demanda si je voulais un digestif. Normalement c’est la patronne qui doit offrir cela d’elle même mais, allez savoir pourquoi, elle ne le fit pas pour nous… Je choisi une poire et lui un calva qu’il me laissa boire se souvenant opportunément qu’il devait nous reconduire à mon hôtel. sur le chemin du retour j’avoue que je me suis endormie comme une loque sur son épaule et qu’il a du me réveiller une fois garé dans le parking de l’hôtel. Je me secouais un peu, m’excusais piteusement d’avoir dormi tout le trajet en lui assurant que c’était pour être bien en forme pour la suite. Il ne put réprimer un ouf de soulagement que je trouvais fort attendrissant.
Coup de chance, un autre client montait en même temps que nous dans l’ascenseur. Je me collais à Philippe de la manière la plus provocante possible. J’étais passablement alcoolisée et j’en rajoutais juste par perversité : »Dis, si je te suce pas assez bien tu vas me donner une fessée méritée ? Hein que tu vas t’occuper de mon petit cul de grosse cochonne mon chéri ? » je me collais encore plus et l’embrassais dans le cou. Je bois rarement autant car je n’ai pas besoin de cela pour me désinhiber. Mais là c’était diablement bon d’être limite saoule. Je tenais tout juste debout et devais m’accrocher à mon partenaire. Le grand type avec nous dans l’ascenseur était vert de jalousie. Exactement ce qu’il fallait pour m’exciter encore davantage. Mon Philippe n’osait pas trop bouger, mais je pense qu’il était bien content de la situation. En tous cas ma main dans la poche de son pantalon me laissait présager un bon moment sous peu !
Arrivés à notre étage nous sommes tous les trois sortis de l’ascenseur et Philipe me soutenais par la taille en m’entraînant vers ma chambre. Je lui avais laissé les clefs et lui étais réellement reconnaissant de quasiment me porter jusqu’à la porte. Du coin de l’œil je constatais ravie que l’autre trainait à ouvrir sa porte juste un numéro avant nous. Nous allions avoir un mur mitoyen et il n’allait pas être déçu !
A peine entrés dans la chambre j’enlaçais mon Philippe pour l’embrasser goulument. Il me pressais les fesses mais, gêné par le collant il ne savait pas trop où mettre les doigts.
-« T’inquiètes, tu auras accès à tout mon chéri. » le rassurais-je en déboutonnant sa chemise. Je parlais fort, espérant bien sur que notre voisin de chambre entendait. J’enlevais mon T-shirt pour coller ma peau contre la sienne. J’étais déchainée, sans doute aidée par l’alcool. Il fallait absolument que je le suce ! Je le poussais sur le lit et me mettais en position de 69 pour le sucer à fond, pressant ma chatte contre son visage.
-« Vas-y, déchire mes collants et bouffe moi ! » Je criais presque saoule comme une grosse cochonne.
Il ne se fit pas prier et je me souviens distinctement du son que fit le tissu en se déchirant. Je le suçais copieusement et lui me fouillait avec ses doigts et sa langue. J’avais les seins pressés sur sa bedaine et je ne sais pas lequel des deux suait le plus ! D’habitude j’aime les hommes bien faits mais là cela m’était égal. J’étais sa grosse cochonne en chaleur et rien d’autre que cela ne comptait à cet instant.
-« T’as promis que t’allais m’enculer hein ?! Tu prendras un peu ma petite chatte en levrette avant hein ! ». C’était trop bon de tout décrire, certaine que le voisin, seul comme un con, entendait.
Philippe avait bien moins bu que moi et il fini de ravager mes collants pour me prendre par derrière d’abord en levrette, me tirant pas les cheveux. Enfin il se lâchait aussi verbalement : « T’es une bonne grosse cochonne, j’adore ta chatte, vas-y, bouge comme une truie, couine un peu pour voir, t’aime ça hein ma salope. T’es ma grosse cochonne hein ? Ma bonne grosse cochonne rien qu’à moi ! Couine le moi, te gêne pas ! »
« Oh oui, je suis ta grosse cochonne, tu peu m’enculer comme une chienne, vas y prends mon cul, fais toi plaisir ! ».
Il ne fallait pas le lui dire deux fois. Il du presser un peu pour rentrer mais bourrée comme j’étais ça ne fut pas trop difficile de me détendre. Je couinais et continuais à faire ma grosse cochonne pour l’encourager. J’ai connu bien plus violent mais c’était tout de même très bien. En tous cas il ne semblait pas se fatiguer et nous priment un rythme bien régulier. J’avais le front juste contre le mur et le cognait à chaque fois qu’il s’enfonçait en moi. Je jubilais de penser à ce que le pauvre voisin devait endurer.
On a baisé comme ça assez longtemps puis dormi, puis rebaisé, puis redormi puis rebaisé avant de nous doucher pour descendre au petit déjeuner.
L’autre était là, la mine mauvaise. D’autres clients aussi tournaient autour du buffet des croissants, bacon et œufs brouillés. Leurs regards noirs prolongeaient mon plaisir sadique. J’étais pour encore quelques minutes une grosse cochonne comblée !
Post scrotum : N’hésitez pas à commenter et à partager, car tout est bon dans la grosse cochonne !
Si vous m’avez aimé en grosse cochonne lisez aussi esthétichienne en chaleur…
Ou achetez mon e_book pour tout avoir ensemble et sans publicité.
Salut belle Lucy et merki pour le blog ! Je suis adepte des plan culs sur internet. J’ai 51 ans et j’avoue aimer les filles qui ont la moitié de mon âge. Sur internet, avec l’anonymat ca ne pose pas de problème et les petits culs que je trouvent aiment sortir avec moi et bien plus quand affinités ! Bon, j’aime rire, sortir dans des endroits chics et offrir pour cela des fringues de marques à mes petites amies. Mais tout le monde y trouve son compte et au lit j’ai l’impression que le plaisir est partagé. Dans certains articles tu parles de produits pour bander plus longtemps. Tu peux en dire plus ? Donner un lien ?
Merci pour votre commentaire. Je n’ai pas trop le temps de mettre des liens et en plus ce n’est pas anodin pour la santé de prendre des produits. Tu peux quand même voir mon article sur les lubrifiants et autres aides à la sodomie : http://www.planculvoyage.fr/?p=1543
J’adore ce que tu écris. Derrière la grosse salope qui aime la bite je soupçonne qu’il y a aussi une vraie fille cultivée qui sait écrire. J’aime presque autant les passages sans sexe, quand tu analyses le comportement des bourgeois de province par exemple, que ceux qui sont ouvertement pornographiques. Est-ce que tu n’écris que du cul ou écris-tu aussi d’autres choses ? S’il y avait aussi dans ton blog des passages sans cul, je les lirais avec autant d’attention…Mais bon, continue à écrire tes frasques sexuelles bien sûr aussi !!!
Salut,
Je suis tombée sur ton blog par hasard. C’est bon de savoir que je ne suis pas la seule à aimer les rencontres sans lendemain. J’aurais une question. Comment fais tu pour trier les réponses sur Messenger. Je suis inscrite à Marseille et je fais beaucoup de rencontres mais souvent décevantes. Comment tu fais pour trouver tes supers plans culs ?
Salut Pa_trique,
Suis une fidèle lectrice de ce blog. Et je me retrouve dans les articles de Lucie. Faut pas croire qu’il n’y a que vous les mecs à avoir envie de baiser !
Tu m’as l’air d’une bonne grosse cochonne bien suçeuse. Je me demande quand même Est-ce qu’il y a des nanas qui lisent un peu ton blog ou on est juste un tas de mecs à se palucher à te lire ? Si il y des filles sur le blog écrivez moi les miss !
D’après les statistiques de Google 67% de lecteurs pour 33% de lectrices.
Madame bonsoir, Je me demandais si en tant que milf vous pourriez faire ça avec un homme plus jeune ? Pleins de scénarios sont alors envisageable…Et ne parlons pas des multiples possibilités de ce que je pourrai vous faire ! La Bretagne ?
A 29 ans je ne me considère pas encore comme une cougar !
Pour répondre à votre question l’âge importe assez peu pour moi. Avec l’été qui arrive et les corps qui se dénudent il est vrai que de jeunes étudiants ne me mettent pas l’eau qu’à la bouche…
Alors moi les grosses cochonnes comme toi j’adore. Tu me fais vraiment saliver. Je te propose un plan cul culinaire. Avec une grosse bombe de crème chantilly je pourrais t’en mettre sur les fesses et dans la cramouille. J’imagine bien de rentrer la buse de la bombe de crème dans l’anus et presser pour voir ce que ton cul peut contenir comme bonne crème. Mais je m’en mettrai aussi sur la queue pour que tu puisses sucer comme une bonne grosse cochonne. Réponds en com si cela te plait…
Merci pour cet article. Suis bien d’accord, j’ai remarqué que dès que je m’habille de manière provocante alors les regards changent et c’est bien plaisant de montrer que j’emmerde toutes ces bourgeoises coincées en provocant e désir de leurs maris !!!
Eh oui !