-« C’est nous ! » lançait Christophe à la cantonade en entrant dans leur beau duplex.
L’entrée donnait sur un couloir d’où l’on pouvait voir leur grand salon. La femme de Christophe se levait du canapé pour venir vers nous. Je m’attendais à ce qu’elle me tende la main mais, malgré la bonne quinzaine d’années qui devait nous séparer elle me claquait trois bises familière comme si j’était une copine de lycée. A ma grande honte je ne me souvient plus du tout son nom. Christophe a fait vite les présentation : »Lucie, la collègue dont je t’ai parlé, Machine, ma femme. » Bon, bien sûr il n’a pas dit Machine mais comme je ne me souvient plus le nom disons que j’aurais l’impression paradoxale de la trahir un peu plus si je l’affublait d’un nom qui n’était pas le sien. Va donc pour Machine.
Machine était aussi blonde que je suis brune. Mais la comparaison s’arrête là. Petite et en léger surpoids j’imagine à son visage qu’elle avait du être jolie entre 15 et 30 ans. Mais les années sont parfois cruelles et à sans doute plus de 45 elle me semblait effectivement manquer de tout ce qui peut émouvoir un homme aussi fringant et distingué que mon tout nouveau collègue.
-« Dis donc, grand cachotier, tu ne m’avais pas dit que ta collègue (là elle mimait de guillemets avec ses doigts) était une bombe atomique » Lança-t-elle en m’adressant un clin d’œil appuyé tout en partant vers la cuisine chercher ce que je devinais être une bouteille de Prosecco puisque l’Aperol était déjà sur la table basse avec de grandes flutes à champagne vides.
-« Vous, enfin Tu, si tu permets que je te tutoie, connais le Spritz ? » me demandait Machine.
-« Bien sûr et j’adore ! » répondis-je spontanément en tendant l’une des coupes dont je venais de me saisir.
C’était étrange, d’ailleurs toute cette soirée a été étrange, Machine me faisait l’effet d’une vieille tante que j’aurais toujours connue. Elle était enjouée sans me sembler futile. Elle semblait sincèrement s’intéresser à moi. Avais-je des enfants ? Elle voyait à mon alliance que je garde presque toujours que j’étais mariée. Comme je trouvais son mari dans le travail ? Quels étaient mes auteurs préférés ?
Habilement, l’air de rien, sans jamais paraitre insistante ou lourde, elle menait sa petite enquête. Loin de me bombarder de questions elle semblait savoir toujours placer une anecdote sur elle ou son mari pour amener le sujet sur lequel elle souhaitait me poser une question. Christophe, lui, me semblait s’effacer petit à petit. Ce n’est sans doute pas exactement ce qui se passait mais c’est en tous cas le souvenir étrange que je garde de cette soirée passée dans leur appartement. De fait c’est bien Christophe qui faisait les aller retour entre le salon et la cuisine pour aller chercher les assiettes de tapas et amener les couverts pour mettre la table. Lorsque je me proposais pour aider Machine me posait la main sur l’avant bras pour me dire de laisser SON Christophe faire.
-« Laisse, il est adorable mais il n’a pas beaucoup de conversation, ça l’occupe de mettre la table ! » A nouveau un clin d’œil appuyé que j’était bien incapable d’interpréter.
Plus la soirée avançait et plus je me sentais complice et proche de Machine dont j’ai vraiment honte d’avoir zappé le prénom. Christophe, à l’opposé me semblait de plus en plus terne. Insignifiant et, pour tout dire, un peu ridicule à placer au millimètre près fourchettes, couteaux et cuillères autour des assiettes en porcelaine de limoge. La soupe de lentilles était simplement délicieuse avec une fine tranche de Pata Negra rendue croustillante par un bref passage au four. Mais quand Machine m’apprit très fière de son époux qu’il avait tout préparé lui même et qu’il avait très à cœur de toujours cuisiner pour ses invités je m’étonnais d’en être légèrement déçue. Pourtant, en y réfléchissant à deux fois, cela cadrait bien avec le Christophe maniaque de sa belle voiture anglaise. Tout me semblait totalement surréaliste à ce moment là. Après la soupe de lentilles vint une petite boule de glace à la poire avec un alcool du même fruit. Puis des ris de veaux au morilles. Des ris de veau ! quel mec cuisine des ris de veau en semaine ? Personnellement je n’en avais jamais vu ailleurs qu’au restaurant. Nous n’étions pas si loin de Bordeaux et pourtant le vin était un Nuit Saint George qui me paraissait très bon. Mais j’avoue être assez inculte en la matière. Christophe faisait le service tandis que Machine et moi bavardions comme deux vieilles amies de longue date. Surréaliste vous dis-je !
Bon, l’avantage de tout cela c’est que je ne risquais vraiment plus de mouiller ma culotte. Enfin mon Jeans puisque la culotte était roulée en boule au fond de mon sac à main. La douce complicité de cette femme entre deux âges qui me parlait maintenant littérature et l’attitude effacée de mon soit disant collègue qui tenait plus du maître d’hôtel que de l’amant audacieux m’avait ôté toute envie de baiser.
Le dessert était lui aussi mémorable. Des poires au vin servies très fraiches avec une pointe de piment de Cayenne en remplacement de la traditionnelle cannelle.
Un peu avant minuit Christophe proposait de me reconduire à mon hôtel. J’hésitais à décliner et à dire que je pouvais appeler un Taxi. Mais une petite voix en moi me disait que tout n’était peut être pas perdu.
Sur le seuil de l’ascenseur Machine plaisantait en nous recommandant d’être bien sages. A peine les portes de l’ascenseurs étaient-elles refermée que sans que je comprenne pourquoi je me retrouvais instantanément brulante de désir pour cet homme qui me paraissait totalement insignifiant quelques secondes plus tôt. Je vais vous paraitre complètement timbrée après le récit que je viens de faire de cette soirée et la confession de ma perte d’intérêt pour l’homme qui partageait avec moi maintenant les trois mètres carrés de l’ascenseur. D’ailleurs je pense que je ne suis pas très normale moi même. Mais je me retrouvais collée à lui comme s’il ne s’était rien passé du tout entre notre précédente étreinte quelques heures plus tôt dans le même ascenseur. Je l’embrassais à pleine bouche et cette fois c’est moi qui mettait la main dans son pantalon pour sortir sa queue merveilleuse et le branler en continuant à tourner ma langue dans sa bouche. Lui me pressait cette fois sans retenue les seins et prenait à pleine main mes cheveux pour les tirer en pressant ma tête contre la sienne pour continuer notre baiser. Je me décollais de sa bouche pour lui dire à l’oreille que je comptais sur lui pour me prendre par tous les trous comme une chienne. Je voulais être sa pute gratuite et personnelle, il pouvait m’humilier et baiser ma bouche à fond. Je voulais sa queue toute entière dans mon cul de grosse salope. Arrivés au parking il me tirait par les cheveux jusqu’à sa voiture et ouvrait la porte arrière.
-« Installe toi grosse salope, tu vas bien en prendre plein le cul, t’inquiète pas ma jolie ! »
J’avais complètement oublié Machine et son attitude de mari effacé à ce moment là, je peux vous l’assurer. Il me poussait sans ménagement sur la banquette arrière et je me retrouvais à genoux. Les menottes étaient toujours sur la banquette arrière mais nous étions trop pressés l’une comme l’autre pour songer à en faire usage. Comme il entrait dans la voiture derrière moi et fermait la portière il me commandait : »Vire moi ce Jean de pute que je vois enfin ton cul de bonne grosse salope ! » Je m’exécutais tendis qu’il se dessapait lui aussi. Il n’était plus question de préliminaires mais heureusement je constatais qu’il enfilait un préservatif. Je me demandais s’il l’avait depuis le début dans sa poche ou s’il venait de le prendre dans le bac de la portière de la jaguar. C’est quand même marrant le genre de questions qui me viennent dans ces moments là ! Il me prit direct en levrette et comme sa bitte était bien longue je ne pu retenir un long cris de plaisir. Autant à l’aller j’avais pris mon temps à le sucer lentement et il me semblait lui aussi délicat et patient, autant là il y allait avec une délicieuse brutalité et me ramonant à fond, claquant mes fesses avec son ventre mais aussi du plat de la main. La banquette arrière de la jag ne couinait pas du tout mais les amortisseurs et l’assise accompagnaient avantageusement ses va et viens sauvages.
-« T’aime ça hein grosse salope ? »
-« Oui c’est bon ? »
-« Bin dit le alors que tu es une grosse salope qui aime la bitte. »
-« Oui, j’aime la bitte, mais c’est surtout la tienne que j’adore ! Elle est trop bonne, vas-y, encore, met la moi toute ! T’arrête pas ! »
C’était juste parfait, il me défonçait la chatte en me claquant les fesses et en me tirant la tête en arrière pour me dire exactement le genre d’insanités qui me rend totalement dingue.
-« Bon, c’est pas que je m’ennuie mais il est tant de changer un peu de trou hein ma cochonne. T’en penses quoi ? »
-« Fais ce que tu veux de moi, je suis ta petite pute gratuite. Vas-y, prends mon petit cul. »
Il ne fallait pas lui dire deux fois. Sans hésitation il plaquait sa queue sur mon anus et s’introduisait sans effort. Il faut dire que trempée comme j’étais sa queue devait être bien lubrifiée et j’en avais tellement envie que je n’opposais aucune résistance. J’aurais voulu continuer à lui dire des trucs cochons mais la vérité c’est que je n’étais à ce moment plus qu’un cul et une chatte qui gueulait son plaisir. Il me défonçait le cul avec toujours autant d’entrain mais imperceptiblement je le sentais ralentir la cadence. Pourtant c’était loin d’être fini. Il me déplaçait pour que je sois sur lui face à face. J’aime moins cela que la levrette mais cette fois c’était exquis de prendre un peu le contrôle et de me retrouver sur lui avec à nouveau sa longue verge dans ma cramouille et son visage pressé dans mes seins. Pendant que j’allais et venait il écartait mes fesses pour me pénétrer l’anus avec un deux doigts. Les amortisseurs de la caisse faisaient merveille, amplifiant chacune de mes allées et venues. Je jouissais en hurlant carrément.
-« Attends, c’est pas fini petite chienne, je veux que tu me finisses à la bouche comme une bonne grosse salope ! »
Il enlevait son préservatif et pressait son sexe toujours aussi turgescent sur ma bouche. Je le prenais de bon cœur. D’abord en pressant les lèvres puis, petit à petit de plus en plus loin au fond de ma gorge en tentant d’aller jusqu’à la garde. Ce que je ne parvins pas à faire cette fois. Après avoir pressé sur ma nuque pour littéralement me baiser la gorge il se retira pour venir entre mes seins. Je pressais mes melons des deux mains pour une bonne branlette espagnole. A genoux sur moi, les mains sous mes bras il continuait à me baiser entre les seins exactement comme s’il me prenait en levrette. En courbant la tête je pouvais avoir le bout de son gland sur mes lèvres à chaque coup de butoir. Son jet me surpris en pleine figure. Je pense qu’il avait du se retenir pendant des jours tellement il y avait de foutre. Il me pressait la tête contre son ventre pour m’essuyer sur lui. Je me délectais de ses derniers instants. Croyez moi, c’est pas si souvent que c’est aussi bon, loin de là hélas !
Il m’a ensuite ramené à mon hôtel sans que nous échangions un mot, ni même un regard. Et c’était, en tous cas pour moi, parfait ainsi !
Seule enfin dans ma chambre d’hôtel je me dis que j’ai vraiment eu un coup de cul inouï. Je suis une chanceuse ! Un monstre plan cul pour ma première fois en voiture et en plus une soirée délicieuse avec Machine et son mari cuisinier hors pair ! En en plus il y a du Toblerone et une cannette de RedBull dans le frigo du mini-bar !
Je garde la RedBul pour dans quelques heures car je risque d’en avoir besoin et je dévore le Toblerone. Il faut absolument que je dorme un peu si je ne veux pas être complètement fracassée le lendemain pour ma vente. Mais rien n’y fait, je laisse la chambre allumée et j’ai les yeux grands ouverts qui fixent le plafond.
Lisez en plus sans pub sur mon e_book !
Et si je te propose une bonne baise dans un Land Rover Defender au fin fond d’une forêt, qu’est ce que tu réponds ? Et quel rôle tu <>?
Je crois que je jouerais un plan du genre je faisais un footing en legging et en forêt et je me suis tordue la cheville. Je suis prête à pas mal de concessions pour payer mon rapatriement vers l’hôpital le plus proche…
Alors j’espère que tu as un bon moyen de paiement… c’est très très cher…
(Je suis en train de lire tous vos articles dans l’ordre chronologique, je me permettrai parfois de réagir. Désolé pour l’effet flashback induit par les quelques commentaires que je sèmerai au cours du chemin.)
Ce monsieur joue un jeu pas très réglo avec son épouse je trouve. A moins qu’elle ne soit complice ? Pensez-vous que ce fût le cas ?
Une autre « excuse » qu’on pourrait lui trouver, c’est que son fantasme serait de se taper une amie de sa femme. Ainsi, il te présente sa femme et s’efface totalement au cours de la soirée, pour que vous fassiez connaissance et deveniez bonnes amies.
Non pas réglo. Mais en matière de plan cul et d’adultère j’ai depuis pas mal de temps compris qu’il n’y a pas de règle. Chacun se fixe ses propres limites et règle puis s’arrange avec sa conscience. Moi j’aime faire ma salope en prenant à chaque fois de fausses identités. Dans Ma vie de bonne mère, bonne épouse je ne me prénomme pas Lucie. Quand je suis Lucie ou un autre prénom d’emprunt et que je m’offre un plan cul alors c’est une autre que la douce épouse et gentille maman qui couine à quatre pattes. Donc l’honneur est sauf et il n’y a pas d’adultère… Enfin dans le système de valeurs qui m’arrange bien. C’est comme quand un mec dit que si il met une capote et qu’il n’y a pas d’amour alors il ne trompe pas…
Je prend n’importe quel identité pour le plaisir avec toi 😉Manu de Nantes manu441984@gmail.com