Journal intime d’une jeune soubrette
Toute nouvelle au chateau, je n’avais pas soupé. Dans le garde manger je pensais être seule. Alors oui, j’ai fauté et voici mon histoire :
Arrivant aux cuisines, las, vous m’avez surprise
Une miche de pain, A peine un peu de beurre
Maigre était ma rapine, sur le fait j’étais prise
-« Tu chapardes mon bien ! Tu me brises le cœur ! »
-« Monsieur je vous supplie, point ne me punissez
Si vous me pardonnez, je vous rembourserai »
-« Si le forfait j’oublie, je perds tout ton respect
Ah si je m’écoutais, je te licencierais ! »
-« Oh non je vous en prie, je veux me racheter,
Ne me renvoyez pas, Je ne sais où aller
Je veux faire pénitence, Ordonnez j’obéis. »
A genoux je supplie, les larmes au bord des yeux.
-« Devant tant de détresse, je serai magnanime
Si tu voulais du pain, c’est que tu avais faim
J’ai là un bon mandrin à te faire avaler«
A ces belles paroles le geste vous joignez
De vos braies vous sortez un morceau qui m’effraie
Je voudrais refuser, mais je n’ai pas le choix
Je dois obtempérer, je tiens à mon emploi
Mais je suis débutante, ne sais où commencer
Mon maître s’impatiente : »Commence donc par lécher ! »
Une langue timide, se pose sur la chair
A mon étonnement, cela est tiède et doux
Je lèche tout du long, suce par le côté
-« Continue ma mignonne, tu peux te racheter
Je ne suis pas ingrat, j’ai soin de ton confort
Pour ne pas étouffer, délasse ton corsage »
C’est vrai qu’il fait plus chaud, et me voilà seins nus
-« Quelle belle poitrine et tu me sembles douée
Je m’en vais t’enseigner, la branlette espagnole
Là, presse bien tes seins autour de mon mandrin
Et baisse ton minois pour me sucer le gland
Serre un peu mieux les lèvres, c’est bien applique toi
Si tu veux mon pardon, continue comme ça »
Chaque fois plus profond, vous glissez dans ma gorge
Si mes larmes on séché ma culotte est mouillée
-« Suffit, relève toi, donnes moi un baiser »
-« Et si je vous embrasse me laissez vous partir ? »
-« Voyez vous ça soubrette, peux-tu être naïve !
Ainsi à si bon compte, croyais tu t’en tirer ?
Retourne toi souillon, penche toi sur la table
Retrousse ton jupon et baisse ta culotte
Aurais tu oublié ? Je te dois punition. »
-« J’implore votre pardon, s’il vous plait soyez doux »
Mes suppliques sont vaines, et votre main se lève
S’abat sur mon séant, dix fois vingt fois cent fois.
La claque est vigoureuse, la fessée douloureuse
A chaque coup j’implore, je crie pleure et je geint
Enfin les coups s’arrêtent, vous soufflez sur mes fesses
Elles doivent être rouge, et je les sens à vif
Pour calmer la douleur, vous étalez du beurre
Vengeresse tout à l’heure, la main se fait caresse
L’index et le majeur fouillent mon con trempé
Tendis qu’en mon anus, vous enfoncez le pouce
Je gémis malgré moi de honte et de plaisir
En moi je sens vos doigts, mais j’ai d’autres désirs
Les coups sont oubliés, je dis : « oh oui, encore ! »
Maître qu’à dieu ne plaise, je vous donne ma fleur,
C’est donc cela la baise, pénétrez moi sur l’heure
Prenez mon pucelage, j’ai fini d’être sage
Pour ma première fois, je suis prise en levrette
Et votre queue me fouille encore mieux que vos doigts
C’est si bon je défaille, j’en pleurerais de joie
-« Profitez mon enfant, car c’est à vos dépends
Que vous allez apprendre, tout plaisir a sa fin »
C’est pour changer de trou que vous défouraillez
-« Oh non pas ça monsieur, c’est bien plus gros qu’un pouce
Epargnez moi cela, ça ne rentrera pas »
-« Oh n’en sois pas si sure, tu es bien ma pointure
Si ça fait un peu mal, tu as droit de crier »
Vous rentrez dans ma fente, comme on enfonce un coin
Et ce n’est pas un cri, mais un long hurlement
Poussé à pleine gorge, mon pauvre fondement !
Vous empoignez mes hanches, pour mieux me défoncer
Et vos coups de butoir, sont sans ménagement
Quand vous vous retirez, c’est pour me retourner
Je vois votre giclée qui souille mon giron
-« Allons, je me rhabille, me détourne de toi
Tu es une bonne fille, tu gardes ton emplois. »