Une salope mariée, l’expression est crue mais elle est tellement juste pour me décrire quand je suis en déplacement professionnel loin de ma tranquille maison de campagne et de mon trop gentil mari ! Après des semaines d’abstinence sexuelle qui m’ont parues des années je reprenais enfin la route pour un déplacement professionnel à Thionville pas très loin du Luxembourg. Il faut dire que ces dernières semaines ont été tout sauf sexy pour votre humble servante. Il y a eu la grippe carabinée de mon mari qui m’a contrainte à jouer les infirmières pas du tout sexy. Puis la mienne de grippe qui m’a clouée non seulement au lit mais surtout à la maison, loin de toute compagnie masculine extraconjugale. Ensuite, de retour au bureau mon boss a cru bonde m’épargner tous déplacements au prétexte que je devais me reposer. Alors que je n’avais qu’une chose en tête : redevenir au plus vite la bonne salope mariée qui trompe son mari avec un homme qui saurait prendre soin de mon petit cul. Rien que d’imaginer les doigts frôlant ma peau là où elle est douce et intégralement épilée je me sens chaude comme une baraque à frittes. J’avais terriblement envie de me comporter comme un pute provinciale, de retrouver mon amant en sous vêtements d’escort girl ultra sexy sous un vrai manteau de fourrure. Tout en assumant ma statu de femme mariée afin de rendre mon amant encore plus déchainé. Je sais qu’une bonne salope mariée cela excite beaucoup certains hommes et, justement, ce qu’il me fallait c’était un mec excité et si possible désinhibé.
Salope mariée cherche plan cul sans fioriture
La Salope mariée que je suis aime d’habitude prendre mon temps, j’aime la drague et ces moments d’attente et d’excitation au début de la rencontre sur internet. J’aime le temps passé au restaurant à le faire languir sans pouvoir quitter mes gros seins des yeux. J’aime aussi le regard des autres clients jaloux qui n’auront pas la chance de me baiser et j’aime tout autant la gène des autres femmes mariées et bien pensantes. Mais cette fois j’avais trop envie de baiser pour bien profiter de ces à côtés. Je voulais faire ma salope mariée pour un mec qui me prendrait dès les premières minutes de notre rencontre et me défoncerait jusqu’à l’épuisement. Si possible le mien d’épuisement. Je publiais donc une annonce explicite très crue et exigeante : « Je n’irais pas par quatre chemins mais vous pourrez me prendre par trois trous. Je suis une salope mariée qui veut une nuit de baise sans retenue ni fausses pudeurs. Y-a-t-il sur ce site un homme luxembourgeois qui saura relever le défit et ma jupe de bourgeoise en chaleur ? Manque d’endurance s’abstenir ! »
La salope mariée peut jouir en étant violée !
A condition bien sûr que ce viol ne soit qu’une mascarade et qu’elle soit consentante. C’était mon cas bien sûr ce soir de fin janvier dans la très belle chambre de l’hôtel le Place d’Arme que je demandais sans vergogne à mon rendez vous violent (plus que galant…) de nous payer pour une nuit que je lui promettais orgiaque. J’avais décidé qu’il m’attendrait dans la chambre et que je le rejoindrai en talons hauts, sous vêtements noirs et sexy sous un grand manteau de vraie fourrure. J’avais dans mon grand sac à paillettes Vanessa Bruno une bouteille de Champagne Ruinart et un plug anal en cristal.
Je toquais à la porte, tu m’ouvrais et nos regards se croisaient pour la toute première fois. Ta photo de profil ne mentais pas. Tu étais grand et fort bel homme. Je suis grande moi aussi et encore plus en talons. La traditionnelle bise de bonjour plaçait mes lèvres rouges juste à ton oreille et je chuchotais : »Cette nuit c’est no limit, si tu vois ce que je veux dire… »
Tu me répondais que ce programme te convenait parfaitement et plaçais tes mains dans mon dos, sur mes hanches, encore sagement au loin de mes fesses. Mais cela te permettait de m’attirer un peu plus contre toi. Je ne résistais pas, au contraire. Ce premier rapprochement me permettait d’apprécier la fermeté de ton corps, de deviner ta force et de humer ton odeur. Je posais mes lèvres sur ton cou pour gouter ta peau. J’avais déjà, comme une débutante, des papillons dans le ventre alors que presque rien n’avais commencé. Mais je voulais me maitriser, tenir le rôle que je m’étais fixé de salope mariée bien décidée à faire la pute lubrique. Je voulais donner le meilleur de moi même pour recevoir en retour le meilleur de toi. Et pour cela, pas question de me laisser dominer par des instincts de midinette. J’oubliais donc les papillons dans le ventre, et maitrisais mon envie de jouir trop vite. Plus qu’un seul mot d’ordre : Faire durer et sortir le grand jeu. Je gardais mon corps collé contre toi et sortais la langue pour lécher ton cou, juste sous l’oreille comme une chienne (in)fidèle.
-« Tu sais, on je suis à toi toute entière et pour toute la nuit, on a le temps, ça te dis une coupe de champagne et un peu de spectacle pour commencer ? »
Je te pousse sur le grand canapé de notre belle chambre et pose mon grand sac à côté de toi. Je fais tout lentement, en restant contre toi, ma couche jamais loin de ton oreille, mes lèvres et ma langue souvent au contact de ta peau que j’aime de plus en plus. Tes mains sont baladeuses mais encore sagement sur mon manteau de fourrure. Pour l’instant tu te contente de deviner mes formes à travers le vêtement. Ta salope mariée ondule comme une chate affectueuse et tu sembles aimer cela.
Striptease burlesque d’une salope mariée pour son amant
J’ai, dans mon iPhone, une playlist spéciale striptease burlesque. Sur mon tout nouveau X le son n’est pas génial mais ça passe. J’ai préréglé le son pour que ce soit juste comme il faut, pas trop fort. Avant de me consommer tu vas pouvoir m’admirer et nous boirons un peu de champagne…
Je te pousse doucement vers le grand canapé. Je suis contre toi ton menton dans ma bouche. Tu sens le bout de ma langue et la légère succion que j’exerce te laisse imaginer que je suis experte en fellation. Je prends tes poignets et les place derrière ton dos pour t’empêcher de me peloter pour le moment. Chaque chose en son temps. Je t’assieds et me mets à califourchon sur tes genoux et j’ouvre mon manteau. Ton visage est au niveau de mon décolleté. J’aime comme tu t’y plonge pour m’embrasse à pleine bouche. De longs baisers humides qui m’incitent passer ma main dans tes cheveux pour presser ta tête et t’encourager à continuer ces délicieux baisers. Tu passes les mains dans le bas de mon dos et remonte jusqu’à l’agrafe de mon soutif que tu dégrafes sans difficulté. Humm, je vois que je suis entre des mains expertes. J’ondule du bassin pressant ma chatte sur ta cuisse. Maintenant que tu as libéré mes seins de salope tu en lèches les tétons turgescents. A mon tour de te dévêtir un peu. J’attaque directement les boutons du pantalon, tu continues à mouiller mes seins de ta salive. J’aime tes baisers mouillés. Tu te contorsionnes pour m’aider à faire glisser au sol ton futal. Ma chate de plus en plus mouillée n’est désormais séparée de la peau de ta cuisse que par mon string. Ta bite elle par contre est contre mon ventre et je la sens bien ferme. C’est à mon tour de t’embrasser, j’ai très envie de faire ma bonne grosse cochonne goulue. Je commence par ton cou que je lèche consciencieusement pour gouter le sel de ta peau. Tes mains sont sur mes fesses et tu accompagnes les très lents mouvements de mes reins. Ta bonne petite salope mariée aime faire sa grosse cochonne. J’embrasse longuement pour mouiller de ma salive tout ton cou. Je remets ta tête contre ma poitrine pour que tu en fasses autant avec mes gros seins que je veux glissants de ta salive. Tu as réussi à écarter mon string pour dénuder ma chate déjà trempée. Je prends ta main et la guide pour me masturber et sentir nos doigts se mêler dans ma cramouille. Nous nous embrassons en même temps à pleine bouche, bataille de langues, lèvres humides yeux grands ouverts, provocants. J’ondule toujours sans me presser. Je vérifie d’une main légère que ta bite est toujours bien disposée. Je pries pour que tu ne sois pas éjaculateur précoce car j’ai bien l’intention de profiter te ton corps longtemps, très longtemps. Je suis une salope mariée frustrée par les coïts de lapin de mon époux légitime et je veux trouver en toi l’amant qui me baissera à m’arracher la peau jusqu’à l’épuisement…et recommencera au petit matin.