Trouvez moi ici.
==> CINQASEPT <==
J’ai mis la robe à petites fleurs. Celle en soie sauvage avec le bustier qui met mes gros seins en valeur. Mes fesses aussi sont, je le sais, parfaitement appétissante sous cette étoffe. Je sais que je ne devrais pas, que c’est mal. Enfin non, en vrai je ne me sens pas coupable je suis bien dans ma peau de femme adultère. Mais bon, c’est bizarre, me sentir coupable dans le rôle de la femme qui trompe son mari m’excite terriblement. Je suis donc Myriam, une jeune maman qui ne peut s’empêcher de venir retrouver son amant clandestin. Je vois Paul en cachette depuis maintenant 3 mois. A raison d’une ou deux fois par semaine.
Au début il n’était pas question de cul. Le site sur lequel nous nous étions rencontrés n’était pas un site de rencontre. Enfin sauf que depuis j’ai appris que draguer sur Doctissimo était chose courante. En vrai je m’en doutais, sinon je n’aurais pas adopté l’identité de Myriam. Bref, on s’est écrit, puis on s’est rencontré et l’on a pris l’habitude de déjeuner ensemble en semaine dans une brasserie à quelque rue du bureau. Une heure et demi grapillée sur ma pause déjeuner. Une heure et demie où je me sentais libre, regardée comme si j’étais Myriam, une femme mariée encore vierge d’adultère et à conquérir. Ce n’est qu’à notre troisième déjeuner qu’il a osé me faire du pied. C’était au printemps, j’ai enlevé ma sandale et laissé mon pied caresser sa cheville. J’ai planté mes yeux dans les siens et chuchoté : « Aux toilettes ? »
Je me lève et me dirige vers les toilettes de la brasserie sans savoir s’il me suivrait. Ce sont des toilettes handicapées, spacieuses avec un petit lavabo. C’est heureusement très propre. Je ne ferme pas à clef et, bien sûr il me rejoint. C’est moi qui ferme le loquet derrière lui. Il m’embrasse à pleine bouche, il déboutonne mon chemisier et me suce les têtons au bout de mes gros seins. Il passe sa main sous ma jupe et dans ma culotte. Mais ce sont ses lèvres sur mes seins qui me font le plus d’effet. Ça me rend dingue. Je suis sûre que la serveuse va remarquer notre absence et venir frapper à la porte si on reste plus de cinq minutes ici. Alors je me mets à genoux pour le sucer car j’ai terriblement envie de le faire jouir. J’avale son sperme avec délice. Mais je m’enfuie vers notre table en le laissant derrière moi le pantalon baissé. Quand il me rejoint je lui dit que je suis désolée, que je ne sais pas ce qui m’a pris, que je ne suis pas comme ça, que j’ai honte, qu’il doit me prendre pour une folle. Il dit que non, que c’est pas grave, qu’on n’est pas obligés d’en parler, ni même de recommencer. Alors je dis que c’est sur qu’il ne faut pas en parler. Mais que quand à recommencer, j’ai toujours envie de continuer à le voir mais que j’aimerais avoir plus de temps et un peu moins d’inconfort que dans les toilettes handicapés.
Nous nous revoyons la semaine suivante. Dans un Airbnb joliment décoré. cette fois encore il embrasse mes seins. Mais il prend son temps, passe la langue sur le bout des tétons, il suce et caresse sous ma jupe en prenant son temps. J’ai mis pour lui des collants noirs à motifs, sans culotte. Il a fait plus que me caresser. Il a massé mon sexe à travers le nylon, sans cesser d’embrasser mes seins. Je me sentais mouiller et je mourrais d’envie que mon collant se déchire pour sentir ses doigts me pénétrer. Je gémissais qu’il me rendait folle, que je serais prête à n’importe quoi pour qu’il continue à s’occuper de moi. Il a défait son pantalon et guidé ma main vers sa queue.
Une belle queue raide et droite. J’étais folle de désir. Et je me suis collée à lui pour la sentir contre mon con dans l’espoir qu’il déchire enfin mes collants pour me pénétrer. Mais il m’a repoussé. Sans violence mais fermement.
-« Ça ma jolie petite salope adultère, ça se mérite. Aujourd’hui, tu suces. Et la prochaine fois, peut être, si tu es effectivement prête à tout, peut être que tu l’auras dans ta chatte… »
Il m’a prise par les cheveux. Toujours fermement mais sans violence. Et il m’a tirée vers le grand lit où il s’est allongé sur le dos et a guidé ma tête.
Je l’ai pris dans ma bouche, j’avais espoir qu’il n’en puisse plus et m’attire à un moment sur lui pour m’enfiler. Mais à chaque fois que je faisais mine de remonter il repoussais gentiment ma tête pour que je continue a le sucer. A ma troisième tentative il m’a reprise par les cheveux et attirée vers son visage. Il m’a embrassée sur la bouche. Avant de m’expliquer ce qu’il attendait de moi.
-« Aujourd’hui, je veux que tu me suces. Je veux que tu constate que je peux bander longtemps. Je veux que tu puisses imaginer comme tu aimerais avoir ma queue dans ta chatte. Tu ne l’auras pas aujourd’hui. Je veux que tu en rêves jusqu’à la prochaine fois. Je veux que tu comprennes que tu dois la mériter. Quand tu auras bien avalé mon sperme tu pourras partir et je t’enverrai par sms mes instructions pour la prochaine fois. Ok ? »
-« Ok »
-« Bon, maintenant remets toi à l’ouvrage. Tu es une très bonne suceuse. »
Alors je me suis remise à l’ouvrage. Frustrée et en même temps heureuse de faire aller et venir sa belle queue raide entre mes lèvres pulpeuses. Il ne m’avais pas menti. Je pouvais constater qu’il était endurant sans sembler se retenir. Il m’encourageait, me félicitais d’être une bonne suceuse. Je levais les yeux vers lui sans le sortir de ma bouche. J’essayais de lui parler avec les yeux, de le convaincre que j’étais à lui, qu’il pouvait faire ce qu’il voulait de moi. Quand il éjaculais je reculais légèrement la tête pour que son sperme n’aille pas directement au fond de ma gorge mais bien dans ma bouche afin que je puisse en avoir le goût et pour lui montrer que j’en avais plein la langue. Du coin de l’œil je regardais le petit réveil lumineux rouge. Putain ! 14h12 ! J’étais sacrément en retard !
Le lendemain je recevais, sur mon téléphone à clapet secret son SMS.
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