J’ai beau être trentenaire, maman et respectable, c’est toujours là même chose. Donnez moi un petit rôle, héroïne d’un mauvais film porno, et je deviens instantanément la secrétaire sexy, l’infirmière cochonne ou l’étudiante découvrant le sexe anal. L’histoire vécue qui suit n’est ni très originale, ni bien maline. Mais elle fait suite à de longues semaines d’une vie sage et rangée d’épouse normale, emmenant notre fille à l’école chaque matin et la récupérant chez la nounou en fin de journée.
Une lycéenne sexy
Pour un look jeune salope en chaleur je me suis fait deux tresses, j’ai mis, sous mon blaser, un chemisier blanc et une jupe de lycéenne anglaise à motifs écossais. Une large cravate noire.
Puis j’ai cherché sur messenger un instituteur de campagne qui aurait les clefs d’une salle de classe et l’envie de m’y inviter pour quelques cours du soir.
Je m’étais dit qu’avec les dizaines de milliers de salles de classe dans des petits villages et le nombre de gros pervers qui m’envoient des centaines de messages sur ce site à plan cul il y en aurai forcément un qui répondrait à mon cahier des charges. C’est à dire en même temps un vrai instituteur doublé d’un amant sans tabous qui assume d’aimer les jeux de rôle coquins. J’vous mentirais si j’vous disais que j’ai trouvé facilement. Cela m’a pris plusieurs long mois. J’abandonnais parfois, me contentant d’un autre plan cul ou même de rien du tout. Mais je gardais cette idée et je cherchais toujours en tâche de fond. Je disais aussi en secret quelques prières. Je crois en un dieu qui ne serait pas aussi prude que ce que l’on cherche à nous convaincre. Il faut croire que je fut entendue.
C’est donc une école communale. Attenante à une petite mairie au millieu d’un village de montagne avec un clocher, une épicerie et un bar tabac. C’est un peu loin de chez moi et pas vraiment proche de mon travail. Mais en posant un RTT et accolant ce rendez vous galant à un déplacement professionnel je peux, au prix de quelques dizaines de kilomètres en voiture, m’arranger pour y être à la tombée du soir.
Je gare ma Fiat500 sous un gros tilleul. Il y a une fontaine sous un éclairage municipal jaunâtre. Eau potable dit le petit écriteau sous la gargouille en cuivre qui crache un mince filet d’eau. Le bâtiment municipal est dans l’obscurité mais j’ai pour instruction d’entrer par le portail ouvert et de traverser la cour de récréation jusqu’à la porte dans le coin à gauche. Comme je suis en uniforme sexy de pensionnaire anglaise de lycée privé je ne m’attarde pas trop de peur de croiser quelque rombière locale. Non pas que j’en aurais honte mais mon professeur m’a demandé d’observer la plus grande discrétion car il tient quand même à son poste et à sa réputation respectable.
En plus il bruine en cette fraîche soirée de fin septembre. Sans bas ni collant mes longues jambes sont nues et je frissonne un peu dans ma tenue trop légère pour la saison. Il y a une sonnette électrique en plastique blanc qui jure carrément avec les murs de pierre du vieux bâtiment et la sonnerie fait un espèce de carillon à trois tons désagréable. Mais heureusement la porte s’ouvre sur un jeune homme fort séduisant. Un peu jeune à mon goût, trente ans, peut être moins. Je suis sotte, j’aurais dû demander. J’ai tellement l’habitude des plans cul avec des quadra ou des quinqua mariés que j’ai pas pensé que je pouvais tomber sur un jeunot. Je fantasmais sur un instituteur un peu vieille école et sévère. En vrai j’aurais pu m’en douter car il est comme sur sa photo de profil. Mais je pensais qu’il faisait comme tous ces hommes qui mettent une photo s’il y a dix ou vingt ans pour paraître plus jeunes.
De toutes façons, il n’est plus temps de reculer. D’habitude ma silhouette avantageuse, mes gros seins, mes grands yeux, mes longues jambes et mes lèvres légèrement pulpeuses font un effet immédiat sur les hommes quand ils me découvrent sur le pas de leur porte. Mais là c’est à peine s’il me regarde.
-« Entrez mademoiselle. Vous z´ êtes z’en retard. »
Passée la porte je suis dans un couloir. Il y a un banc et une rangée de porte manteaux au mur. C’est une école primaire, les portes manteaux sont bas. Le maître me dit qu’il faut ôter ma veste, que je ne dois pas voir peur d’avoir froid. J’ai beau avoir le feu au cul, je suis une frileuse. Mais je décide d’être obéissante et je pends mon blaser au petit porte manteau.
-« Dépêchons, Mademoiselle, votre cours particulier va commencer. »
Le Maitre est derrière moi, il me prends par la taille et me pousse gentiment à l’intérieur. Je me laisse guider, les mains autour de ma taille me semblent chaudes, autoritaires mais sans malveillance. Il me guide un peu comme une pouliche, je me concentre sur le contact de ses mains, j’essaie de sentir la pression de ses doigts. Il me retient semblant signifier que je marche trop vite. Alors je ralenti. Il me fait marcher très lentement. J’ai l’impression qu’il accentue le balancement naturel de mes hanches par de savantes pressions. Alors je m’applique à rouler des fesses. Il me guide jusqu’à l’estrade devant le grand tableau.
-« Prends une craie. Je veux que tu écrives au tableau tout ce qu’une bonne chienne doit faire pour son maître. »
Je prends une craie blanche sur le rebords en bois. Je ne sais pas trop quoi écrire. Toujours derrière moi il passe sa main sous ma jupe dans ma culotte. Il essaie de rentrer un doigt entre mes fesses mais il se ravise et porte finalement son majeur à ma bouche. J’ai bien compris ce qu’il attend de moi alors je suce son doigt en bavant le plus possible. Quand sa main repasse sous ma jupe je fais de mon mieux pour écarter les fesses. Et son doigt rentre facilement dans mon anus. C’est bon.
Mais je n’ai toujours pas écrit un mot.
-« Allez ! «
je le lance d’une écriture maladroite. A force de taper sur mon clavier ou mon téléphone j’ai perdu l’habitude de l’écriture manuscrite. Mais au moins son doigt dans mon cul me donne l’inspiration. Alors j’improvise et commence par un titre :
Les dix commandements de la bonne chienne :
Une bonne chienne doit toujours avoir le cul propre.
Elle doit savoir lécher et sucer. Une bonne chienne aime la saucisse
Elle sait gémir sans aboyer, surtout ne jamais mordre.
-« C’est bien, je vois que ça t’inspire un doigt dans le cul. »
Le doigt dans mon cul et la paume de sa main sur mes fesses m’excitent vraiment. Je ne peux pas m’empêcher de contracter les fesses et de me cambrer pour qu’il bouge dans mon cul. Je mords ma lèvre inférieure.
-« Allez ma belle, je ne vois que 4 commandement il m’en manque 6. Un doigt c’est peut être pas assez… »
Son doigt tourne dans mon anus mais il ne cherche pas à en glisser un second. Il passe son autre main par devant dans ma culotte. J’ai le cœur qui bat à cent à l’heure, ma chatte est moite et ses doigts savent la caresser exctement comme j’aime. J’ai conscience d’être une mauvaise élève et une vilaine fille. Je m’attends à ce qu’il arrête de me masturber à tout moment pour me fessée comme je le mérite. Mais il embrasse mon cou et ne semble pas avoir envie d’arrêter de me donner du plaisir. Je ne tiens presque plus sur mes jambes, je gémi de plaisir, son doigt dans mon cul décuple mes sensations.
-« Lâche la craie et défais mon pantalon toi même. Je suis sur que tu ne veux pas que je retire mes doigts. »
Il à tellement raison ! Je fais de mon mieux à tâtons. Il n’arrête pas de me branler. Il change de doigt et enfonce son pouce dans mon cul. Quand je parviens enfin à libérer sa queue raide il me pousse en avant sur le bureau. Sa main passe de mon fessier à ma nuque, il prend ma main et la guide juste là où il me donnait du plaisir afin que je me masturbe moi même. Il m’encule d’un coup de reins. Je crie. Je sais que vous pensez de moi que je suis une grosse salope qui doit forcément être habituée. Mais c’est faux, je peux passer des semaines sans relation sexuelle et même des mois sans me faire enculer. Alors j’ai l’anis étroit et sensible. La douleur est vive, mais elle malgré tout je joui. Surtout que sa queue est bien grosse. Mais heureusement il est doux à sa façon. Il ne me defonce pas violemment sur le bureau. Au lieu de cela il s’enfonce jusqu’à la garde. Il me presse lentement, puis se retire entièrement et recommence lentement mais inexorablement. Je gémi à chaque fois. Je n’ose pas bouger quand je le sens éjaculer bien au fond de mon cul. Il reste et débande toujours dans mon cul.
Je sais que j’aurai du mal à rester assise plusieurs jours mais je suis juste heureuse cette petite mort me donne l’impression d’être vraiment vivante.
Chère Lucie,
Je remarque que tu n’as pas répondu à mon dernier commentaire. Maintenant que j’ai commencé j’aimerai que tu me contact sur l’adresse renseignée en contact, où je pourrai t’envoyer plus de messages implicites à destination de la coquine lubrique que tu es et certaines histoires de mon cru.
En attendant de te rencontrer,
Jules
Fessée sur la fesse droite, et une autre juste au milieu des deux.
J’ai sans doute raté ce commentaire car je réponds quasi toujours.
Vous pouvez m’envoyer toutes les histoires de votre cru en commentaire. Si c’est long j’en fais un article.
Si vous me rencontriez comment m’installeriez vous pour la fessée ? Pourais-je crier ou serais-je bâillonnée ? Ce soir, juste avant de dormir je pense à votre main sur mes fesses
Chère Lucie, nous avons rendez vous ce soir 18h30 pour la visite d’un appartement que vous avez en vente dans votre agence. La fin de journée approche et je commence à anticiper la visite. Votre contact au téléphone m’a paru tres agréable. j’ai eu le sentiment que vous aimiez vraiment les relations humaines… A la fin de la conversation j’ai même senti une forme de conivence qui s’installait lorsque vous m’avez expliqué que l’appartement en question était très bien situé pour sortir le soir boire un ou des verres… de bon vin…Bon je rationalise car après tout votre objectif est de me vendre un bien, votre sympathie doit sans doute faire partie du service! … 18h30 je vous attends devant la grande porte vitrée de l’immeuble bourgeois… un peu nerveux sans savoir pourquoi. … vous m’appelez en m’indiquant un peu de retard. cela ne devrait pas me rejouir mais vos plates excuses a propos de vos responsabilités de mère me touchent, j’en suis moi même surpris. Je vous aperçois enfin, sportive, plutôt grande, brune, talons, tailleur, juppe sexy mais surtout chic… j’essaye de me calmer. Ce doit être le pack nouveau client! Vous me jettez alors un magnifique sourire à la fois intelligent et charmant. je ressent aussi une pointe de timidité ce qui ne gache rien. Nous nous serrons professionnellement la main. Je ressens à nouveau votre energie de femme forte et libre et en même temps une grande douceur. Apres avoir ouvert et courageusement poussé l’immense porte d’entrée. Vous m’invitez à vous suivre en me regardant droit dans les yeux et toujours avec ce meme sourire. A cet instant une pulsion m’envahit j’ai envie de ne plus détacher mon regard m’approcher de vous pour vous embrasser d’abord avec émotion et candeur avant que cela ne devienne sauvage. A cet instant jai juste envie de vous prendre la, juste derrière la porte encore entrebaillée…
Bonjour Lucie, moi aussi j’aime beaucoup jouer un rôle, lesquels préfère tu et puis-je t’en suggérer quelques uns ?
En ce moment j’aime revenir à des rôles moins extrêmes. J’ai faire semblant d’être une femme mariée débutante en matière d’adultère.
Et le plus extrême que tu ais fait ? C’était quel rôle ?
Avec Franck j’aime beaucoup me déguiser en femme autoritaire : policière, Lara Croft, patronne… Et ensuite il prend le dessus et me démonte .
Certaines personnes vont trouver ça bizarre, mais dominer quelqu’un qui représente l’autorité l’excite beaucoup et j’adore jouer ce rôle.
Et toi, tu en penses quoi ?
Gros bisous de bonne année belle Lucie 😘
Bonjour Lucie,
J’avoue que ce fantasme là ne me laisse pas indifférent. Comment te contacter pour te communiquer tout ce que j’ai en tête à ce sujet ? A savoir, comment un homme approchant la trentaine peut faire franchir à une femme mariée le point de non retour de devenir une petite salope adultère au cul dévoué ? J’ai la plume facile (et très entreprenant en face) et un esprit très pervers.
Cher Jules,
Commence, comme tu viens de le faire par m’écrire ici. Je réponds presqu’à tous les commentaires. Et il se trouve qu’en ce moment, comme je suis coincée sans déplacement prévu, je suis condamnée à fantasmer en mouillant ma culotte. En attendant un peu de liberté en février…
Bloquée en ce mois de janvier, coincée avec la lassitude de ton mari qui t’excite encore moins qu’il n’est faible au lit et toutes les contraintes quotidiennes, ton esprit lubrique inassumé te pousse à aller chercher de quoi te faire fantasmer sur internet. Il y a cet homme que tu ne connais pas, qui t’a juste contacté une première fois. Tu sais seulement qu’il est plus jeune que toi, la sage épouse et mère de famille, et sportif. L’ennui de cet enfermement de janvier te surprend à envisager l’interdit sexuel absolu. Tout d’abord, tu t’es baladée sur internet à la recherche d’histoires sexuelles excitantes. Maintenant tu parles à ce jeune homme entreprenant. Tu ne pensais pas en arriver là, tu étais sûre que tu t’arrêterais à des lectures suggestives mais maintenant tu interagis avec quelqu’un d’autre. Lui, qui te fait te sentir comme une MILF, ces femmes mères de famille dont tu as entendu parler et qui prennent un plaisir fou avec des hommes plus jeunes. Tu as honte mais tu veux en savoir plus. Tu découvres maintenant qu’il t’a à nouveau écrit. Tu as la notification alors même que ton mari est à côté, toujours aux mêmes occupations ennuyeuses lorsque vous êtes ensemble. Alors même qu’il ne prête pas attention à tes mains qui tremblent en sortant ton téléphone. Par précaution, tu décides finalement de faire semblant d’aller aux toilettes pour lire ce message. Tu fermes la porte à clé, tu baisses ta culotte, avec la surprise de découvrir qu’elle est mouillée avant même d’avoir lu le début du message. Pourtant rien ne s’est encore passé, mais la peur de franchir le cap d’où tu ne pourras pas revenir et d’être découverte suffit à te provoquer une chaleur dans le bas-ventre, des palpitations et un flot de cyprine.
« Bonjour Lucie. Tu vas venir prendre un verre avec moi la semaine prochaine. Ce sera dans un Airbnb. Je sais que tu dois passer prochainement dans cette ville, je viendrai également. J’ai hâte de passer du temps avec ma nouvelle MILF. Je vais t’inspecter, te toucher, te malaxer, te pénétrer et jouer avec ton anus. »
C’est vrai que tu lui avais dit que tu étais de passage dans le coin à cette date. C’est trop direct, trop brutal. Jamais on ne t’avait parlé de la sorte. Maintenant il te donne presque des ordres, il ne te demande pas si tu es dispo, il te demande de venir. Il a choisi l’endroit, te qualifie de « sa » nouvelle MILF et parle de ce qu’il va te faire. Tu n’as jamais connu que le missionnaire du dimanche après-midi, à l’heure de la sieste de ta fille. Là il a évoqué vouloir te palper et te tripoter l’anus alors que tu ne connais que l’ennui du coït vaginal.
« Jules, je n’ai jamais parlé de se voir, on n’a fait qu’échanger brièvement, je ne te connais pas. Je ne suis pas sûre d’être rassurée de se voir dans un airbnb, à la rigueur j’aurais préféré prendre un café en extérieur. Ce sera d’accord si tu me donnes des garanties. Je choisis l’appartement moi-même et on prend juste un verre. On se voit pour rire et discuter. Je serai sur place deux nuits. Si on passe un bon moment on pourra peut-être se revoir le lendemain pour un autre verre et des moments sympas à nouveau mais rien de plus. Je suis mariée et mère de famille, je veux bien voir un ami, mais pour plus ce n’est pas l’éducation que j’ai reçue. »
Tu t’aperçois que tu es aux toilettes depuis 20 minutes et que tu relis en permanence son message, une main posée sur ta chatte. Tu ne t’en étais pourtant pas rendu compte, mais ton index et ton annulaire écartent tes lèvres et ton majeur est même posé sur ton trou du cul. Ça y est, il vient de te répondre à nouveau.
« Écoute ma petite salope mariée, c’est parfait pour ces deux jours de suite mais sache que tu auras très chaud à ton petit cul et qu’après ça tu auras beaucoup de mal à t’asseoir. Je te conseille de trouver une bonne excuse pour expliquer ça à ton retour. Je te laisse le choix dans la date, ou plutôt dans l’entrée des artistes, mais une fois que j’arrive sache que tu ne t’appartiens plus. Ne m’écris plus si ce n’est pour me donner un lieu et une date. En attendant tu trouveras ici les consignes : Je veux que tu viennes habillée comme une mère de famille sage. Tu prendras des dessous noirs en dentelles avec un string ouvert et porte-jarretelles, mais tu ne les mettras pas avant que je te le demande. Je veux aussi qu’avant de se voir, tu t’abstiennes de relations sexuelles, notamment avec ton mari cocu à partir du moment où tu reçois ce message. Quand je viendrai sur place, tu m’ouvriras avec ton petit sourire innocent et tu me vouvoieras. Tu m’appelleras monsieur Jules. Tu laisseras sur la table, dans une boite, ta culotte que j’exige bien mouillée de ta cyprine. Pour ça, je te demanderai de te doigter avant mon arrivée en m’écrivant ce que tu fais pour ne pas que j’en perde une miette. Tu dois m’en rendre compte. Une fois arrivé tu m’embrasseras timidement mais je réagirai à peine, j’entrerai, je m’assiérai sur la table et pendant que je vérifierai que tu as bien mouillé ta culotte, je te demanderai de me dégrafer le pantalon et me sucer la bite jusqu’à être en gorge profonde. Après ça, je te demanderai de t’habiller décemment pour recevoir monsieur Jules, c’est-à-dire d’aller mettre les dessous que je t’ai demandés pendant que je nous sers un deuxième verre. La suite dans un autre message. »
Tu es foudroyée par ce message. Tu te rends compte qu’alors que tu lisais, tu avais enfoncé ton majeur dans ton anus alors que la paume de ta main est posée sur ta chatte ouverte. Tu serres bien ton doigt. Soudain, tu prends peur et tu l’enlèves, tu te rappelles qu’il a écrit qu’il ne devait pas « en perdre une miette » et que tu devais lui « en rendre compte ». C’est dingue. Tu ne ressens aucune honte à faire ça dans le dos de ton mari mais tu as peur de ne pas obéir à « monsieur Jules ». Tu dois lui répondre et le lui dire.
C’est un début.
Lucie…
Je découvre un blog certes erotique. Mais je découvre, au delà de l’érotisme, une belle plume, des mots bien choisis, au bon moment.
J’ai étudié la psychologie, et tes récits en disent long s’ils sont vrais.
J’ai 38 ans, je ne sais pas quel âge tu as, mais j’aimerais qu’on se rencontre un jour, rien qu’une heure, ou deux, ou peut-être plus :))
Tellement.
Merci pour le compliment. Je suis née en 1989. Je te laisse faire le calcul. J’aime écrire et faire l’amour. Oui, j’écris encore cette expression désuète même pour mes plans cul. Je suis mariée et j’ai mis bas une fillette qui est ce que j’ai de plus précieux au monde. Mais après quelques années à avoir sincèrement essayé d’être une jeune bourgeoise de province raisonnablement normale j’ai compris que ça ne me suffisait pas. J’ai été aussi cocue, et cela a déclenché mes premières rencontres adultères. Mais si j’essaie d’être honnête je pense que même si je n’avais pas été une femme trompée j’aurais fini par être comme je suis aujourd’hui. Le sexe, sans l’interdit et une bonne dose d’ingrédients que la morale réprouve me semble, à dire vrai, insipide.
Tu n’as rien à te reprocher. Rien à regretter.
La morale ?
Tu n’as pas à écouter ceux qui te disent comment ils auraient fait s’ils avaient été à ta place. C’est toi qui es à ta place.
Ils n’ont qu’à rester à la leur de
place.
Et toi tu es une place magnifique.
Au fil de la lecture de tes articles,
je t’assure que si t’étais mon épouse je te dirai que tu n’es pas une étape mais la destination finale. Tu n’es pas le milieu mais la fin. Tu n’es pas un message sans réponse.
Tu es tes livres, ton parfum préféré, le sweat que tu mets les soirs d’été quand l’automne se rapproche et que ça se rafraîchit. Tu es la plus belle chanson du monde, celle écrite pour toi, celle que tu écoutais toujours dans la voiture quand tu étais petite.
Tu n’es pas une alternative mais une priorité. Tu es tes cheveux lisses, bouclés, rebelles, ondulés , lâchés, attachés, sans sens pour personne, mais pour moi je t’assure que oui…
Tu n’es pas une plage que tout le monde peut atteindre, tu es la mer.
Tu n’es pas un point d’interrogation, tu es la réponse.
N’oublie jamais ça.
Mais je ne suis pas ton époux…
mais j ‘aime ton état d’esprit. Tellement.
Je suis sûr que la contrepèterie est vraie !
Quel beau métier : professeur.
(C’est une contrepèterie)