J’aime cet homme sur ce canapé
J’aime qu’il ai gardé ses souliers
Nue devant lui et à genoux
Je lève la tête offre mon cou
Qu’il emprisonne dans un collier
En cuir, large et capitonné
Puis à l’anneau, passe une chaîne
Reliée au pied du canapé
Puisqu’il a gardé ses souliers
Je m’incline pour les lécher
J’aime le cliquetis des chaînes
Le goût de sel sur ses souliers
La chaleur de la cheminée
Je meurs d’envie de le sucer
Mais j’attends qu’il m’y autorise
Cet homme sur ce canapé
Doit se plaire à me regarder
Dans la cheminée la flambée
Éclaire ma croupe par le côté
Il tire un peu plus sur la chaîne
Maintient ma tête à ses pieds
Il dit : « continue de lécher »
« Applique toi j’ai tout mon temps »
Mais il défait son ceinturon
baisse sa braguette, sort son jonc
Je voudrais faire une fellation
La chaîne courte m’en empêche
Alors je l’implore des yeux
Je veux sa queue entre mes lèvres
Lécher ses couilles et lui montrer
Comme sa chienne sait sucer
Mais il tire un peu plus la chaîne
Plaquant ma joue sur le sol froid
Quand il se lève et me contourne
Je réalise pleinement
qu’être nue c’est bien être offerte
A son regard, à ses caprices
Je creuse mes reins serre mes genoux
Pour lui offrir un beau spectacle
Il passe un doigt sur l’abricot
Déjà gonflé, doux et juteux
Habilement récolte ma mouille
en humecte mon trou du cul
je me tortille de plaisir
toute impatiente qu’il m’encule
Un autre article au hasard