Tu m’as draguée sur cinqasept sans trop y croire. Jusqu’au bout tu as cru à un faux profil. Il y en a tant ! Mais mes réponses avaient l’air vraies, simples et sincères. Mais tu gardais pas mal de doutes. Photos visage flouté bien trop sexy, promesse d’une fille sans tabou trop belle pour être honnête. Mais tu n’avais rien à perdre à venir au rendez vous devant cette brasserie du centre-ville. Je t’avais juste demandé de garder ton alliance car je n’avais pas l’intention d’ôter la mienne. Un plan cul sans limites mais aussi sans lendemain avais-je précisé. Je voulais que les choses soient claire, ça n’était pas pour te déplaire. Même habillée en tailleur beige tu pouvais voir que j’étais telle que sur mes clichés plus dénudés. Mon visage que tu découvrais aussi te convenait. Moi, j’aimais ce que je voyais. Surtout après de longues semaines d’abstinence j’avais très envie d’un amant. J’étais prête à zapper le restaurant et à t’emmener direct à mon Airbnb. Mais je me doutais qu’il fallait te rassurer. Te faire comprendre que je n’étais pas une arnaque, juste une femme mariée très en manque de sexe un peu plus entreprenante que la moyenne. Alors on s’est fait la bise devant la porte puis nous sommes entrés demander un table pour deux. Je t’ai dit que je n’avais pas vraiment faim de nourriture et demandé si ça ne t’embêtais pas si nous ne prenions que deux douzaines d’huîtres et du champagne. Comme ça on fait un peu connaissance et si tout se passe bien on continue ailleurs. C’était un peu direct mais bien sûr tu étais ok. Je t’ai servi mon histoire bien rôdée et vrai de femme mariée à un homme qui ne me voit plus que comme la maman de notre enfant et lui préfère sa secrétaire pour ce qui est des jambes en l’air. Tu m’as complimentée et dit que tu ne comprenais pas comment un homme normalement constitué pouvait délaisser une femme comme moi. Alors j’explique, je dis que pour ce rencard j’ai fait ce qu’il faut, tenue sexy et maquillage, coiffure, bas et talons aiguilles. Même si je fais du sport je lui assure qu’habillée comme un sac le visage triste et sans maquillage je pouvais aussi être aussi bandante qu’une chaise. Bon, c’est exagéré mais en tous cas c’est sûr que mon époux semble aussi Las de moi que je le suis de lui. Mais on n’est pas là pour parler de nos couples à la dérive. Ce soir j’ai envie de m’amuser, d’être une pute, pas une sainte. Ça te convient ou on se quite après les huîtres ? Nos pieds se touchent sous la tables. Bien sûr que ça te va ! Moins d’une demi heure plus tard notre premier baiser avec la langue à lieu contre la porte de mon Airbnb. Je serre tes fesses entre mes mains. J’aime le cul de certains hommes. Le tien est beau et ferme. C’est un baiser long et langoureux, je te laisse passer les mains sous mon tailleur et vérifier que ce sont bien des bas que j’ai. Tu devines en haut de ma cuisse l’attache d’un porte jarretelles. Je te laisse hésiter à aller plus loin. J’embrasse ta joue et chuchote à ton oreille : « Soit patient, tu vas bientôt pouvoir entrer partout… » Je suce ton oreille et tâte la bosse entre tes jambes pour l’apprécier.
J’ai décidé d’être perverse. Cette fois j’arrête ici mon récit. Mais si vous insistez vraiment et si tu lis ces lignes après avoir cliqué sur le lien envoyé par sms et m’autorise à raconter. Alors je dirai comment nous avons occupées les quelques heures qui ont suivi.
Pas compris le dernier paragraphe ?!?
Enfin… je me désespérais de vos messages sur le blog. C’est quand même sacrément vicieux de nous priver de la scène de sexe…