Vacances à Pointe à Pitre

Dernier article de 2024, j’espère que vous allez aimer et commenter. Moi j’aime déjà tout ce que nous allons partager en 2025

Orly Sud. Deux cents voyageurs patientent dans un brouhaha fatigué. Moi, je suis là, prête pour ce que j’ai planifié depuis des semaines. Une robe légère caresse ma peau, dévoilant juste ce qu’il faut. Mes seins fermes attirent les regards comme des aimants. Et j’aime ça. Mon mari aussi, d’ailleurs. Il trouve ça flatteur, il pense que ces vacances seront l’occasion de moments coquins entre nous. Il se trompe. Mon programme est autrement plus ambitieux : un homme différent, chaque jour.

La première cible est presque en face. La quarantaine, un corps sec et musclé, des épaules larges qui trahissent des années de natation peut-être. Ses cheveux poivre et sel disparaissent lentement, mais il dégage quelque chose qui m’attire irrésistiblement. Dommage qu’il soit flanqué d’une femme fatiguée par le quotidien – joli souvenir d’une beauté passée – et de deux enfants bruyants. Je devrais être intimidée, mais au contraire, je suis excitée par le défi.

Je relève les yeux de mon livre – un Douglas Kennedy, mais qu’importe – et je sens son regard se détourner brusquement. Il essaie de dissimuler son intérêt. Timide. C’est parfait. Un sourire naît sur mes lèvres. Je croise et décroise mes longues jambes, lentement. J’inspire profondément, laissant ma poitrine se soulever sous le tissu léger de ma robe. Pas besoin de regarder pour savoir : il mate.

Je me lève avec nonchalance. « Je vais acheter des cigarettes », dis-je à mon mari, absorbé par son écran de téléphone. Je m’éloigne en espérant que mon inconnu aura le courage de me suivre. Rien. Quand je reviens, je parviens à accrocher son regard. Cette fois, je maintiens l’échange un instant de trop, juste assez pour que cela devienne évident. Je baisse les yeux à la dernière seconde, feignant une gêne pudique. Mon sourire, cependant, est tout sauf innocent.

Quand l’embarquement des familles est annoncé, il proteste. « Les enfants sont trop grands », dit-il à sa femme, et je devine déjà son plan. Il veut gagner du temps. Il veut me suivre.

Nous embarquons ensemble, lui derrière moi, sa famille devant. Mon mari, toujours absorbé par son écran, ne remarque rien. Alors, à la première occasion, je fouille dans mon sac, sort le petit papier que j’ai préparé et le glisse dans sa main au moment où nous frôlons. Juste un instant, mais assez pour sentir la chaleur de sa paume, assez pour qu’il sente la mienne. Il fourre le billet dans sa poche, visiblement nerveux.

Je remarque qu’il bande.

Il ne sait pas encore ce qu’il contient, mais bientôt il lira ces mots écrits d’une main assurée :

Désolée, nymphomane. Pas ma faute. Très envie de vous.

Pour l’instant, il ne sait rien encore. Son regard croise à peine le mien, mais je devine qu’il pense à ce billet qu’il a rangé dans sa poche. Puis, comme un hasard soigneusement orchestré, je trébuche et tombe sur lui. Mon corps se plaque contre son dos, mes seins amortissant le choc avec une délicieuse évidence. Je m’excuse à demi-mot, la voix tremblante, mais intérieurement, je jubile. Ce moment est parfait.

Je pose une main sur son épaule, légère, mais appuyée juste assez pour sentir la fermeté de ses muscles sous ma paume. Mon mari, distrait de son téléphone, lève un regard agacé mais vaguement inquiet. « Ça va ? » me demande-t-il, avec une pointe d’irritation. Je hoche la tête, un sourire innocent aux lèvres. « Oui, j’ai juste trébuché », réponds-je en me tournant ostensiblement vers mon futur plan cul (FPC).

« Désolée », ajouté-je à son attention, mes doigts glissant de son épaule alors que je me redresse. Il balbutie un banal : « Y’a pas de mal », mais je capte tout dans son regard. L’hésitation. La tension. Le frisson qui l’a traversé au moment de l’impact. Bobonne, à côté, me fixe, mi-soupçonneuse, mi-fataliste. Elle a compris qu’il se passe quelque chose, mais elle n’a pas les armes pour agir. Ses passeports dans une main, elle se contente de soupirer.

Je descends les yeux et remarque ce que lui seul pense pouvoir cacher : une légère bosse sous son pantalon. Je le fixe un instant, suffisamment longtemps pour qu’il sache que je l’ai vue. Puis je relève le regard, un sourire en coin qui fait monter la chaleur dans mes joues. Je sens la moiteur entre mes cuisses. L’idée qu’il bande pour moi, là, entouré de sa famille, me trouble profondément.

La file avance, et le hasard – ou le destin – nous sépare. Deux hôtesses vérifient les billets, et nous sommes dirigés vers des files différentes. Ils prennent à droite, nous à gauche. Un couple de retraités s’intercale entre nous, brisant mon champ de vision. Dans l’allée de l’avion, les places s’organisent : nous sommes en 36A et 36B, ce qui nous oblige à tourner juste après l’entrée. Je jette un dernier regard en arrière, espérant qu’il soit juste derrière moi, qu’il m’aide à glisser mon bagage cabine dans le compartiment au-dessus de ma tête. Mais non, il n’est plus là.

Je prends place, laissant le hublot à mon mari et m’installant côté couloir. Je scrute discrètement les passagers qui entrent encore, espérant l’apercevoir. Mon cœur bat à un rythme effréné. Enfin, je repère ses enfants, bruyants et agités, à genoux sur leurs sièges, quelques rangées devant. Je devine sa silhouette derrière, mais il est caché par Bobonne, assise du côté couloir, malheureusement.

Pour le croiser à nouveau, je sais qu’il faudra être inventive. Mon plan se dessine rapidement : je dois aller jusqu’au fond de l’appareil, puis redescendre les rangées en direction des toilettes, passant ainsi juste devant lui. Mon mari a déjà mis ses écouteurs et lancé son film, plongé dans son univers. Je prends un livre – Joël Dicker, La disparition de Stéphanie Mailer – et feins de lire pour masquer mon impatience.

Après le premier plateau repas, je décide que le moment est venu. Il a eu largement le temps de lire mon mot. Mon ventre se serre légèrement à cette pensée. Que ressent-il en ce moment ? Confusion, excitation, désir ? Je me lève, ajustant ma robe pour qu’elle tombe parfaitement sur mes hanches. Mes pas sont lents, délibérés. À mesure que j’avance dans l’allée, je calcule précisément mon mouvement.

Quand j’arrive à sa hauteur, je me décale juste assez pour que ma cuisse frôle la sienne, un contact aussi fugitif qu’intense. Je ralentis imperceptiblement, lui offrant le spectacle de mon dos, de mes hanches qui balancent avec une assurance calculée. Je sais ce qu’il regarde. Je sais ce qu’il pense. Mon cœur s’emballe quand je le sens se lever derrière moi.

YES.

Je continue, cette fois sans précipitation, laissant mes pas résonner dans l’allée. Derrière moi, je perçois le souffle un peu plus rapide de ma cible, ses mouvements à peine contenus. Le jeu commence.

Nous nous retrouvons à l’arrière de l’appareil, près des toilettes. Mon cœur bat plus fort. Il s’approche timidement, et nous échangeons à voix basse.

— « Je suis vraiment désolée de vous imposer ça, mais… c’est plus fort que moi. J’ai terriblement envie de vous. »

Il hésite, perplexe :
— « Pourquoi moi ? »

— « Ça n’a rien à voir avec vous… Je ne contrôle pas. Ça aurait pu tomber sur quelqu’un d’autre, mais voilà… c’est vous. Tant qu’on n’aura pas couché ensemble, je ne pourrai penser qu’à ça. »

Il sourit, mi-surpris, mi-flatté.
— « Et après ? »

— « Après, ça ira mieux pour deux ou trois jours… Puis quelqu’un d’autre m’obsédera complètement. »

Je me penche un peu plus, et murmure à son oreille, mes lèvres presque contre sa peau :
— « Mais là, tout de suite, j’imagine votre sexe dans ma bouche. »

Je vois son visage changer, il déglutit. Il est troublé, mais excité. Je m’éloigne légèrement.
— « Il faut que je retourne à ma place, sinon… ma culotte va être complètement trempée. »

Je lui claque un baiser furtif sur la joue avant de partir. Ce n’est qu’un échauffement.

De retour à mon siège, je réfléchis à une suite. Les toilettes de l’avion sont minuscules, mais l’idée m’excite encore davantage. Je me perds dans mes pensées, imaginant chaque scénario possible.

Quand l’avion sera somnolent, je tenterai un second rendez-vous. Cette fois, je saurai quoi faire pour qu’il cède.

Second rendez-vous coquin.
Même scénario : je passe devant lui, et il me suit. Cette fois, il a eu le temps de réfléchir, de se débattre avec ses hésitations et ses envies. Cela se lit dans son regard : il est intrigué, mais toujours sur la défensive. Alors, il me pose des questions. Beaucoup de questions.

— « Cette… nymphomanie, comme vous dites… Comment ça a commencé ? »

— « Je ne sais pas exactement, » dis-je en haussant légèrement les épaules. « C’est comme ça depuis mes 16 ans. Je l’ai toujours caché à tout le monde. Je n’ai pas le choix, c’est incontrôlable. Ça peut me prendre n’importe où, n’importe quand, et sur n’importe qui. »

Il fronce les sourcils, visiblement fasciné par l’aveu.
— « Et… votre mari ? Il ne se doute de rien ? »

Je secoue la tête avec un sourire mutin.
— « Bien sûr que non. Il ne saurait jamais imaginer ça. Je suis une actrice hors pair. »

Il baisse les yeux, comme s’il tentait de comprendre pourquoi lui.
— « Mais pourquoi moi ? » insiste-t-il. « Je veux dire… belle comme vous êtes, vous pourriez avoir n’importe qui. Alors pourquoi un mec comme moi, banal, avec une femme et des gosses ? »

Je m’approche légèrement, réduisant la distance entre nos corps. Ma voix se fait plus douce, plus intime :
— « Ça n’a rien à voir avec vous. C’est moi. Je ne contrôle pas. Mais là, tout de suite, c’est vous. Et tant qu’on n’aura pas… réglé ça, je ne pourrai pas penser à autre chose. »

Il reste silencieux, ses yeux oscillant entre mes lèvres et mon décolleté.

Je me penche davantage, murmurant presque à son oreille, ma voix pleine de promesses :
— « J’ai un plan pour qu’on se retrouve seuls. Quand on arrivera, pendant qu’on attendra les bagages, vous allez aux toilettes handicapés. Vous laissez le loquet entrouvert, et je viendrai juste après. »

Il recule légèrement, visiblement surpris.
— « Comme ça ? Dans les toilettes hommes ? Vous savez qu’il risque d’y avoir du monde. »

Je souris, pleine d’assurance.
— « Oui, c’est sûr. Mais je ferai comme si c’était une urgence, comme si les toilettes femmes étaient pleins. Les gens seront choqués, peut-être, mais personne n’osera rien dire. Faites-moi confiance. »

Je laisse ces derniers mots en suspension, puis recule légèrement, comme pour lui laisser le temps de digérer l’idée. Je sens qu’il est partagé entre l’excitation et la peur, mais le rouge qui monte à ses joues et l’étincelle dans son regard ne trompent pas : il est déjà à moitié conquis.

Je retourne à ma place, mon cœur battant, déjà impatiente d’arriver et de mettre mon plan en œuvre.

Le plan était osé mais il a parfaitement fonctionné. Arrivés au tapis de récupération des bagages je le vois qui rebrousse chemin vers les toilettes et je lui emboîte le pas sans éveiller ni les soupçons de mon mari, ni  eux de sa bobonne. C’est tellement gros qu’ils ne peuvent s’en douter. Le plan marche nickel. Coup de chance les toilettes handicapés sont dispo quand il arrive. Il entre, je le suis moins de 20 secondes après en mode super pressée, très envie de faire pipi, pardon, pardon ! Si des hommes ont remarqué qu’il était entré avant moi personne ne proteste trop surpris. Il faut dire que je n’ai pas eu à mentir, les toilettes pour femmes sont bondées.

Comme ce sont des toilettes handicapés l’espace est assez grand. Je me jette sur lui pour lui rouler un gros patin tout en déboutonnant son pantalon.

-« Appuis toi contre le mur et laisse moi faire. »

Je fais tomber les bretelles de ma robe légère et dégrafe fissa mon soutiens gorge. Je m’accroupis et sors sa verge de son caleçon. C’est parti pour la cravate de notaire. Sa bite n’est pas très longue mais ça le fait. Entre mes gros seins elle est dure et bien au chaud. Un délice pour la bouche comme pour les yeux.

Je plante mes yeux de biche dans les siens par en dessous.

-« Tu peux pas savoir comme j’en avais envie ! »

Va et vient langoureux entre mes seins que je presse de mes mains pour entourer sa bite. À chaque va et vient ma 👄 accueille son gland. Je maintient quelque seconde en aspirant.

-« Dommage qu’on ait pas plus de temps je l’aurais bien prise dans ma chatte de salope ou mon cul de cochonne. »

Il ne répond pas. Trop surpris. Ou trop concentré à ne pas jouir trop vite. Je le prend dans ma bouche goulue. Je pourrais faire une gorge profonde mais je préfère sucer en le branlant. J’alterne mes seins, mes mains et ma bouche. Je n’oublie pas de lécher les couilles et de le regarder souvent dans les yeux. La pression de ses mains sur ma tête m’indique qu’il va jouir. Je le garde dans ma bouche pour qu’il éjacule bien au chaud contre ma langue. D’ordinaire j’aime les ejaculations faciales mais là j’ai un peu peur de ne pas avoir le temps ni ce qu’il faut pour me remaquiller. Le vol a été long et je tiens à rester présentable. J’avale comme une bonne vraie salope. Je continue à le sucer jusqu’à débandaison complète. Je me rhabille à la hâte et lui claque une bise sur la joue avant de sortir la première des toilettes. Il est probable que quelques personnes nous aient remarqué mais personne n’ose rien dire et je file retrouver mon mari au tapis des bagages. Notre valise n’est pas encore déchargée. Nous attendons à quelques mètres de bobonne et des enfants. Mon plan cul arrive une minute plus tard. Il est rouge comme une pivoine. Je lui lance des œillades mais il évite mon regard. Il doit avoir trop peur de se faire gauler. Notre valise arrive. Dernier sourire, clin d’œil, nous partons. Je ne me souviens plus son prénom. Pierre ? Paul ? Bertrand ? Ce n’est pas faute de l’avoir eu sur le bout de la langue tout à l’heure aux toilettes…Mes vacances coquines ne font que commencer ! J’ai les sentiment que la semaine à venir va être riche en belles rencontres…

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Collants chair et tailleur beige

Fin de séminaire professionnel. Hôtel Mercure de province, légèrement défraîchi, aux couloirs tapissés d’une langueur beige. La salle de conférence est vide, désertée par l’agitation stérile de la journée. Une machine à mauvais café ronronne dans un coin, abandonnée, et les viennoiseries desséchées traînent comme les restes d’un festin sans âme. Je traîne moi aussi, désœuvrée, dans ma jupe tailleur beige, mes jambes effleurées par des collants couleur chair si fins qu’ils pourraient presque disparaître. Mon chignon est impeccable, mes talons mesurés. Tout en moi respire la retenue, le contrôle. Du moins, en apparence.

Trop tard pour enfiler un legging et simuler une envie de jogging. Trop tôt pour me perdre dans l’ivresse d’un verre au bar ou pour chercher le regard d’un inconnu. Et pourtant… quelque chose bouillonne en moi. Une tension, un feu lent et obstiné qui me consume. Mon corps réclame, brutalement, viscéralement. Je peux presque sentir cette chaleur sous ma peau, sourde et lancinante, qui monte depuis la fin de la dernière présentation PowerPoint.

La semaine a été un supplice déguisé. Des heures de notes, de discours vides, de jargon pompeux. Et ces collègues… Pathétiques, sans éclat. Ils tentent parfois de masquer leur médiocrité par des compliments feints. Mais leurs regards ne mentent pas : ils me déshabillent à chaque pause-café. Leur désir m’indiffère. Pire, il m’amuse. Une aventure avec l’un d’eux ? Jamais. Ce serait trop risqué, trop prévisible, et bien trop banal. J’aime qu’ils me perçoivent comme un rêve inaccessible, un mystère glacial qu’ils ne parviendront jamais à résoudre.

Heureusement, tout l’hôtel n’est pas envahi par cette mascarade. Quelques étrangers à ce cirque subsistent, des voyageurs solitaires, des visages neufs, peut-être un commercial en transit ou un consultant de passage. Ce soir, il suffira de croiser le bon regard. Je le sais déjà, comme une certitude ancrée au creux de mon ventre.

Et puis, il y a toi.

Tu entres dans la salle, presque timidement. Un homme en costume passe-partout, à la fois anonyme et intrigant. Je t’observe sans bouger, mes doigts jouant machinalement avec le bouton de ma veste.

— Oh, pardon, je pensais que la salle était vide. Vous en avez encore besoin ?
— Bonne ou mauvaise surprise ?

Tu marques un temps d’arrêt, surpris. Je souris, juste assez pour te troubler.

— Vous pensiez qu’il n’y avait personne. Alors, bonne ou mauvaise surprise que je sois là ?

Le rouge te monte légèrement aux joues, ton hésitation te trahit. Suis-je en train de te séduire ? Ou est-ce juste une plaisanterie sans conséquence ?

Je décide de ne pas te faciliter la tâche.

— Oubliez ça, je file et vous laisse la place.

Je quitte la pièce, mais pas sans te laisser un souvenir : le mouvement calculé de mes hanches, ma jupe beige qui effleure mes cuisses, et cette seconde où tu ne peux t’empêcher de regarder. Je ferme la porte derrière moi et compte jusqu’à dix. Lentement. Puis je reviens.

— Pardon, je crois que j’ai oublié mon portable.

Ma voix est douce, presque innocente. Mais mon regard, lui, ne l’est pas. Je le maintiens, un peu plus longtemps qu’il ne faudrait, juste assez pour te désarmer. La porte se referme doucement derrière moi. Mes lèvres s’entrouvrent, et je les mordille, un geste involontaire, ou peut-être pas.

La tension est là, dans l’air, palpable.

Je retourne à ma place, me penche sur la table, ostensiblement, pour chercher ce téléphone imaginaire. Je sais que tu regardes. Mon corps se cambre légèrement, mes escarpins pointant vers le sol, mes collants étirés sur mes jambes. La sensation du tissu contre ma peau exacerbe mon propre désir, presque malgré moi.

Je me redresse lentement, te surprenant en flagrant délit de contemplation. Tu détournes les yeux, mais c’est trop tard. Je souris, amusée.

— Vous pourriez essayer de m’appeler ? 07 xx xx xx 27.

Ta main tremble légèrement alors que tu saisis ton téléphone. Je le remarque. Mon Nokia vibre dans mon sac. Je fouille, m’assieds cette fois sur la table, adoptant une posture plus sage.

— Oh, je suis idiote. Il était là tout ce temps !

Je décroche, feignant un air naturel :
— Oui… allô. Parfait, comme ça, vous avez mon numéro. Si vous ne savez pas quoi faire dans un quart d’heure, envoyez-moi un texto. Avec un peu de chance, vous aurez aussi mon numéro de chambre.

Je te laisse là, seul, avec cette invitation suspendue.

Je sais déjà que tu n’y résisteras pas. Tu n’auras même pas besoin des quinze minutes promises. Dix, tout au plus. Et, comme prévu, ton texto arrive. Un simple point d’interrogation. Sobre. J’apprécie.

— 214.

Tu réponds aussitôt :
— 20h ?

— Non. Maintenant. Pas de questions.

La porte de ma chambre, laissée entrouverte, s’ouvre presque dans un souffle. Je t’attends, un verre à la main. Un whisky ambré, pris dans le mini bar, servi dans un verre de la salle de bains. Comme il n’y avait pas de glaçons, j’ai improvisé : un petit plug anal en cristal Swarovski repose délicatement dans le fond du verre, lui donnant une touche d’éclat facétieuse et suggestive.

Je te tends le verre avec un sourire, mes doigts frôlant les tiens. Puis, d’un geste naturel, je te guide vers le canapé moelleux de la chambre. La lumière tamisée enveloppe chaque geste d’une douceur complice.

— Mets-toi à l’aise, dis-je, ma voix à peine plus qu’un murmure.

Je m’installe à tes pieds, à genoux sur la moquette moelleuse, le regard relevé vers toi, capturant l’étonnement mêlé d’envie dans tes yeux. Mes mains remontent doucement le long de tes mollets, savourant la texture de la matière contre ta peau, chaque geste mesuré, précis.

Le silence de la chambre amplifie le moindre mouvement, chaque froissement de tissu, chaque souffle. Mes doigts glissent vers tes genoux, s’arrêtant un instant pour tracer des cercles lents, comme si je voulais imprimer sur ta peau cette attente délicieuse qui palpite entre nous.

Je m’approche un peu plus, mes gestes plus confiants, mais toujours empreints d’une certaine lenteur calculée. Je veux te faire sentir chaque seconde, chaque frisson, chaque battement.

— « Tu n’as pas à dire un mot, laisse-toi juste faire et, surtout, profite. » Je murmure, ma voix à peine plus forte qu’un souffle, alors que mes mains continuent leur exploration, remontant le long de tes cuisses.

Je m’arrête un instant, me redressant légèrement, mon visage à hauteur de ton sexe encore emprisonné dans ton pantalon. Mes lèvres s’entrouvrent, comme prêtes à un premier baiser sur la bosse que fait ta queue tendant l’étoffe de ton falzer, mais je m’attarde, mon souffle effleurant le tissu, créant une tension presque insupportable.

L’attente devient une arme, un jeu que je contrôle avec une précision exquise. Mon regard ancré dans le tien, mes mains reprennent leur progression, lentes, calculées, alors que la chaleur dans la pièce semble soudain monter d’un cran.

Je me redresse lentement, toujours à genoux devant toi, mes mains quittant la chaleur de tes cuisses pour revenir à moi. Mon regard ne quitte pas le tien. Je veux que tu sois témoin de chaque geste, de chaque mouvement pensé pour éveiller ton désir.

D’un geste lent, mes doigts glissent vers les premiers boutons de mon chemisier, l’étoffe blanche tendue sur mon buste se libérant au fur et à mesure. Le bruit à peine audible du tissu qui cède, bouton après bouton, emplit la pièce d’une tension presque palpable.

Je prends mon temps. Mes doigts caressent le bord de la soie comme une invitation, révélant peu à peu la naissance de ma peau nue. Mon souffle se fait plus court, mais je reste dans le contrôle, jouant ce rôle que je savoure autant que toi.

La lumière tamisée de la chambre caresse la courbe de mon cou, puis glisse sur la ligne de ma clavicule, avant de dévoiler les contours délicats de ma lingerie. Une dentelle ivoire, fine et subtile, à peine un écran entre ma peau et ton regard.

Je laisse tomber le chemisier de mes épaules avec un geste fluide, comme si c’était naturel, une seconde peau que je m’offre le luxe de retirer. L’étoffe glisse le long de mes bras et finit par s’effondrer sur le sol dans un soupir de tissu.

Je ne bouge pas immédiatement. Je reste là, dans cette demi-nudité calculée, à genoux devant toi, ma respiration légèrement plus rapide soulevant ma poitrine. Mes seins sont gros et pigeonnants, impossible pour toi de ne pas imaginer la cravate de notaire qui t’attend.

Je penche légèrement la tête, un sourire à peine esquissé sur mes lèvres, et murmure d’une voix qui vibre d’assurance et de désir :
— « Alors, est-ce que tu te sens toujours à l’aise ? »

La question, de pure forme, n’appelle pas de réponse. Je déboucle ta ceinture. Pas de fermeture éclair à ton pantalon, ce sont de gros boutons que je défais un à un lentement. J’effleure ton sexe qui tend l’étoffe de ton caleçon. Toujours très lentement, sans te quitter des yeux je baisse le tout sur tes chevilles, caleçon et pantalon. Ta queue est belle est droite, j’ai d’un coup très envie de la prendre en bouche et je dois me retenir car je sens que l’attente et le désir peuvent encore monter d’un cran. Je passe les mains derrière mon dos pour dégrafer mon soutien-gorge et libérer mes gros lolos. Puis je m’approche tout contre toi pour emprisonner habillement y’a colonne de chair entre mes beau seins tièdes. Je masse ainsi ta queue entre mes roploplos j’embrasse tes abdominaux au passsage. Goulûment, avec la langue, en pressant bien mes seins. La sensation douce et chaude de ton sexe fait tambouriner mon cœur plus fort et vite. Je me demande si tu en ressents les battements.

-« Je peux te demander une faveur ? »

-« Au point où nous en sommes, j’imagine que oui… »

-« Tu peux t’occuper de mon petit trou avec le jouet que j’ai mis dans ton verre ? »

Je libère à peine une seconde ta queue de son nid douillet pour monter sur le canapé. Je m’agenouille blottie pour que tu puisses avoir accès à mon fessier pendant que je te prends en bouche. La jupe de mon tailleur beige est ajustée, tu essaies de la remonter mais tu es un peu gauche et ne t’y prends pas très bien. Ce n’est pas grave, je prends ta main et la guide vers la toute petite fermeture éclair sur le côté. Au passage de ta main sur les hanches mes fesses se contractent par réflexe, j’avance imperceptiblement la tête pour avaler plus profond ta queue bien raide. Je me tortille un peu pour faire glisser la jupe que tu accompagnes d’une longue caresse sur ma croupe, puis le long de mes cuisses et de mes mollets pour m’en débarrasser. Me voilà en collants et escarpins. Mes collants chair si fins sont comme chargés d’électricité statique sous le bout de tes doigts qui remontent l’intérieur de mes cuisses. Même la bouche bien pleine et occupée à te sucer j’arrive à gémir un « hummmm » de plaisir accentuant un peu davantage ma cambrure.

Je sens contre mon abricot le contact dur et lisse du plug de cristal. Massage appuyé sur mes grandes lèvres à travers le nylon qui s’imbibe lentement de ma moiteur. Tu presses le plug qui tend sans le rompre le fin collant. Enfin c’est ce qu’il me semble car j’avoue ne plus trop savoir où j’en suis, je suce maintenant goulûment avec application mais les sensations entre mes jambes perturbent mes sens. J’ai quand même un petit moment de lucidité quand je perçois contre mon anus la pointe arrondie et dure. Le bruit caractéristique du nylon qui cède et se déchire me fait un petit pincement au cœur, je les aimais bien moi ces collants chair. Mais j’aime encore plus la sensation à peine douloureuse de mon petit trou du cul qui s’ouvre et se referme une fois le plus anal enfoncé. Le whisky pique et brule un peu mais j’aime ça ainsi que le son de la déchirure du collant que tu élargis pour pouvoir accéder à ma Chatte et continuer à me caresser. Pour t’encourager je suce le plus amplement possible, presqu’à m’en étouffer. J’adore tes doigts qui tournent et fouillent ma chatte, tu as su facilement trouver mon clito et ce que tu lui fait est exactement le genre de caresse qui me fait perdre la tête. Je n’en peu plus, avoir ta queue dans ma bouche m’a fait tellement m’aimer que je la veux maintenant à la place de tes doigts.
-« J’veux être sur toi… »

Je rampe littéralement sur toi pour empoigner ta queue et la glisser dans mon abricot bien juteux. Ma langue nerveuse est dans ta bouche et tes ongles finissent de ravager mes collants pour lacérer mes fesses. J’aime baiser avec un plug anal. Même en t’embrassant je gémis mon plaisir. Tu me fais jouir mais j’en veux encore plus.

-« S’il te plaît, jouis pas tout de suite, je veux être enculée. Promets moi que tu vas m’enculer ! »

J’ai chuchoté ma demande, légèrement suppliante.

-« T’inquiètes ma jolie, c’est promis »

Je m’applique à ralentir un peu le rythme de mes mouvements de hanches pour que tu aies un meilleur contrôle et que tu puisses te retirer à temps pour me retourner et m’enculer quand le moment sera venu. J’ai un peu peur que tu te laisse aller et oublies ta promesse. Mais en même temps ta queue dans ma Chatte me semble tellement dure et longue que j’en jouis à répétition. Quand tu te retires d’un coup et me retourne sur le canapé je suis à peine consciente et déjà en sueur. Tu retire le plug et ta queue rentre toute seule. Un cri m’échappe. Je suis à nouveau à genoux sur la moquette, le ventre sur le canapé. J’attrape ton bras pour le mordre en même temps que tu vas et viens de plus en plus fort à grands coups de hanche. Tu as récupéré le plug anal pour cette fois l’enfoncer dans ma Chatte. Le canapé tape contre le mur, j’ai l’impression que tout l’étage peut l’entendre. Je mords ton avant bras presqu’au sang quand tu jouis en tirant mes cheuveux. Tu te laisse tomber sur moi. Ton corps est lourd mais je n’ai pas envie de me dégager.

-« hummmm, reste sur moi autant que tu veux. S’il te plaît ne pars pas, j’ai pas envie de dormir seule. Et encore moins de me réveiller seule…»

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Baisée comme un pute

C’est un pari idiot qui a mal tourné. Je pensais Michel Galabru plus âgé que Louis de Funès. Gagner le pari signifiait choisir la tenue et la position pour le plan cul de cette soirée Orléanaise. Me voici donc à quatre pattes sur le lit nuisette blanche à dentelles, serre tête oreilles de chatte et charmant collier en fourrure rose avec anneau chromé pour faire passer la chaîne.

Tu m’avais dit : « je vais te baiser comme une pute » mais j’ai plus l’impression d’être une héroïne de manga hentai dans un plan cosplay qu’une fille ramassée sur le trottoir.

Quoiqu’il en soit je tiens parole, collants résille à grandes mailles  blanches sur mon fessier galbé que tu caresses. Mon abricot gonflé est déjà moite mais c’est mon trou du cul qui t’intéresse. Tu me fais bien sucer le plug anal en verre avant de l’appliquer doucement sur mon anus. Tu le rentres en tournant, ce n’est pas le plus gros mais il n’est pas petit et je retiens ma respiration la bouche ouverte me retenant de crier quand je sens mon anus céder doucement. Tu enfonces très progressivement tournant dans un sens puis dans l’autre. Penché sur moi tu murmures à mon oreille que je suis ta petite pute, que je peux gémir mais qu’il est interdit de crier. Tu dis que je vais jouir, que tu es sûr que je vais aimer ta queue. Le pire est que tu as raison et qu’une fois le plus anal de cristal en place je n’ai qu’une envie : te sucer et t’offrir le spectacle d’une jolie chatte affamée . Tu t’installes sur le dos. Ta pute en costume commence à lécher, avec le serre tête à oreilles de chattes et le collier ras de cou tu te dis qu’avant même que ce soit commencé ça va être la meilleure fellation de toute ta vie. Tu saisis ma cuisse pour me tirer à toi et avoir accès à mon entrejambes pendant que je te suces. J’aime être caressée quand j’ai la bouche bien pleine. Tes doigts tournent au rythme de ma langue. Tu sens, contre la paroi de chair le plus anal. Je suce de plus en plus fort, à peine consciente tellement les sensations entre mes jambes et mes fesses sont électrisantes. Je jouis déjà et quand tu décharges tout le sperme que tu a dû retenir pendant des jours dans ma gorge je me recule un peu pour qu’il ne parte pas tout de suite au fond et l’avoir dans ma bouche pour profiter du goût et de l’exquise texture. La soirée ne fait que commencer mais je suis déjà comblée et heureuse de savoir que tu as jusqu’à demain midi pour profiter de ta petite pute et la baiser sans retenue par tous les trous. Toute une nuit et toute une matinée je suis ton jouet sexuel, ta poupée qui ne dit jamais non.

Et si tu veux en savoir plus sur moi, je t’invite à lire mon livre :

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Tic-tac… Mon roman est enfin là !

Ça y est, le jour tant attendu est arrivé. Mon roman, ce projet qui m’a fait rire, pleurer, douter, vibrer, et parfois me réfugier sous ma couette avec un verre de vin rouge, est enfin disponible. Il est réel, palpable, et surtout, il est à vous.

 

Je vous l’annonce avec une pointe d’émotion et un soupçon de trac (ok, peut-être une bouteille de trac…), mais surtout avec une immense envie de partager cette aventure avec vous. Ce livre, c’est bien plus que des mots sur du papier. C’est une partie de mon histoire, un bout de moi que j’ai décidé de livrer, sans filtre, sans masque. Une plongée dans mes rêves, mes doutes, mes peurs, et aussi, vous vous en doutez bien, mes écarts de conduite adultères… parce que le blog ne me semblait pas le meilleur format pour partager tout cela avec vous. Je voulais quelque chose de plus complet, plus…profond…

Vous y découvrirez la femme que je suis, celle que j’ai été, mais aussi la parfaite salope que je veux devenir pour toi si nos chemins se croisent. Une petite chienne sincère, un peu farouche parfois, mais toujours entière. Oui, je me suis mise à nu — littéralement et émotionnellement. Et croyez-moi, ce n’était pas toujours confortable. Mais si mes mots peuvent résonner en vous, alors chaque page, chaque lueur d’ombre que j’ai explorée en vaudra la peine.

Ce roman est une invitation. Une invitation à partager un instant d’intimité, à me suivre dans mes errances, à rire de mes erreurs, et, je l’espère, à vous sentir un peu plus proches de moi.

Alors, osez ouvrir ce livre. Plongez dedans avec curiosité, et laissez-vous emporter. J’espère de tout cœur que vous le lirez tout comme je l’ai souvent écrit : d’une seule main.

Et parce que votre avis compte tant pour moi, je vous demande une petite faveur. Si ce livre vous touche, si mes mots trouvent un écho en vous, je serais reconnaissante que vous laissiez un petit mot doux — un commentaire positif — chez l’éditeur. Votre soutien est précieux, et, qui sait, peut-être que vos mots à vous inspireront mon prochain roman…

Alors, prêts à plonger dans mon univers ? Le livre vous attend. Moi aussi (Et d’ailleurs il y a mon mail perso et quelques indices pour me traquer dedans).

Avec toute ma gratitude (et une touche de nervosité),

GRENOBLE SEX DROGUE & STREET WEAR

CHICAGRE

Ça y est !!!!! Je suis tellement fière ! Mon livre est disponible !
Un cadeau très personnel et très spécial aux premiers qui le commanderont !

vous pouvez vous le procurer ICI

PourArticleLucie2

Deux fois ne sont pas coutume, un peu de promo pour une marque de street wear que j’aime sur ce blog qui parle plus de sexe que de mode urbaine et d’aphrodisiaque de de drogues récréatives. Je ne connais pas l’équipe qui a lancé cette marque mais mon neveu. Enfin, pas vraiment mon neveu puisque c’est le fils de mon beau frère qui n’est pas marié à ma sœur puisque c’est le frère de mon mari. Vous suivez ? Bon, enfin bref, il est de Grenoble et il est fan de cette marque rigolote. Alors, par un mécanisme complexe de liens croisés et d’affiliation, sachez que si vous prenez un article chez eux alors quelques euros tombent sur son compte paypal. Cela lui ferait un joli cadeau de Noël si quelques lecteurs prenaient des fringues sur ce site.

Et, pour vous encourager, sachez que je peux suivre le nombre de ventes générées par ce lien. Alors je vous propose un petit cadeau pour fin 2024 et toute l’année à venir. A chaque vente générée par cet article je donnerai en commentaire la date et le lieu de l’un de mes prochains déplacements professionnels. Chaque semaine, en fonction du nombre de ventes je promets d’être plus précise sur mon programme, le parcours de footing que j’envisage, le bar ou le restaurant qui aura ma faveur, un signe distinctif pour me reconnaitre. Un petit scénario pour m’aborder.

Toutes les informations seront distillées dans les commentaires sous cet article.

Imaginez, par exemple, place Grenette, en face de la FNAC de Grenoble, là où le Tramway de la TAG prend son virage en grinçant. La fille en imperméable Burberry, vous savez que c’est moi. Alors vous passez à côté et dite, en l’air : « Lucie ? » pour vérifier si je tourne la tête.

Par réflexe je regarde dans votre direction et vous savez !

Comme vous êtes plutôt à mon goût je décide de vous laisser une chance.

: »Chut, je suis ici incognito ! Venez, faites comme si on se connaissez et payez moi un café ! »

Et je te prends par la main, non pas pour t’emmener à Saint Germain mais pour que l’on s’engouffre dans un café sur la place et que l’on fasse semblant d’être de vieux amis qui se retrouvent.

Je glisse à ton oreille : « J’espère que tu as quelques heures de libre… »

Alors ? On joue ? Je surveille le lien d’affiliation et je vous dis dans quelle ville cela se passera la semaine prochaine dès la première vente (ou un peu plus tard ce soir si c’est pendant la promenade dominicale du chien).

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Esclave sexuelle leçon de soumission

La petite étudiante en droit avait certainement un joli prénom. Mais j’avais décidé que comme elle devait être une bonne chienne soumise nous l’appellerions Laika. En à peine trois séances de dressage je lui avais appris à sucer à la perfection son professeur. Encore très amoureuse de l’enseignant, bien que débutante et sans grande expérience sexuelle elle semblait prête à tout pour lui plaire.

Las, parfois, trop de soumission tue la soumission. Je sais d’expérience que les hommes dominateurs aiment qu’on commence par leur résister. Ils n’aiment pas triompher sans gloire. Patrice était ce genre d’homme qui prend aussi un malin plaisir à humilier sa victime sexuelle. Cela peut paraître tordu (et ça l’est) mais c’est ainsi. Il me fallait donc trouver un scénario qui sortirait notre esclave sexuelle de sa zone de confort et laisserait à Patrice, ainsi qu’à moi un souvenir mémorable.

Je confesse être très fière du corps de bombe sexuelle que je me suis forgé à grand renfort de fitness, exercices avec mes boules de geisha et séances de pilate pour être souple et oser les positions les plus acrobatiques. Mon plus grand plaisir est d’être bonne, ultra bonne. Cela peut paraître con et présomptueux mais c’est ainsi que je suis. Je n’aime pas un homme mais les hommes. Un peu le contraire de notre étudiante esclave, Laika. Elle est raide dingue de son professeur, sans être grosse elle a quelques rondeurs qui la rendent mal à l’aise dans son corps et elle a toujours un peu peur de ne pas être comme il faudrait. J’imaginais pour cette séance de dressage un petit scénario pervers qui s’avéra fonctionner à merveille.

Connaissant la taille de la jeune fille, je commandais une jolie tenue chic et sexy chez Zara et de la lingerie de prix chez Aubade. Ainsi qu’une belle paire de chaussures à talons Isabel Marant. Heureusement Patrice m’avait donné un peu de budget et le numéro de sa CB.

J’expliquais à la jeune fille que, pour une fois, elle devait se montrer belle et chic pour son maître. Mon objectif était qu’il la sorte en ville et lui fasse ensuite l’amour en la découvrant en sous vêtement. J’expliquais à mon étudiante qu’elle était jeune et belle, qu’elle ne devait pas avoir honte de quelques kilos en trop et que, pourvu qu’elle suce comme je lui avais appris, elle pouvait être confiante.

Patrice avait pour consigne d’être le plus doux et charmant possible…Il devait même l’appeler par son vrai prénom et la complimenter sur sa tenue.
Je n’étais pas avec eux car je les attendais dans la garçonnière de Montpellier. Mais je savais qu’il jouerait parfaitement son rôle de gentilhomme attentif et prévenant. Quand ils sont arrivés à la garçonnière d’ailleurs notre étudiante était rayonnante de bonheur. Quoiqu’un peu surprise que je les attende chez son professeur très à mon aise en nuisette et lingerie noire.
En me voyant mon ami émet un sifflement admirateur. Suivi d’un compliment destiné bien sûr à gêner sa petite chienne qui se sentais soudain insignifiante dans sa tenue classique.

-« Ha ! Tu vois Laika, ça au moins c’est une femme qui donne envie ! »

Au son de son prénom de chienne soumise notre petite étudiante eut instantanément les jambes un peu flageolantes et son visage rayonnant de bonheur la seconde d’avant se figeait. Surtout que Patrice la laissait sur le pas de la porte pour venir m’embrasser sur la bouche et caresser mes fesses mises en valeur par un string de dentelle noire, bas et porte jarretelles.

-« Quelle agréable surprise Lucie ! Je ne m’attendais pas à te trouver chez moi ! »

Patrice joue extrêmement mal la comédie. Et tout, du ton de sa voix à ses manières montrait à la jeune soumise qu’il s’agissait d’un coup monté.

-« Oui, j’ai eu envie de venir profiter un peu de ta soumise pour voir ses progrès. Progrès qu’elle a fait. Grandement grâce à moi au passage …

Franchement, je la trouve beaucoup trop habillée pour l’occasion… »

-« Mais oui, tu as raison ! Laika, qu’est ce que c’est que ces manières, allez, à poil, vite ! »

La jeune fille, docile commence à se déshabiller, elle essaie de le faire lentement, de manière sexy comme je le lui ai enseigné.

Mais Patrice se jette sur elle.
-« Pffft, allez, arrête ton cinéma. Tu vois pas que tu es ridicule à côté de Lucie ? »

Il lui arrache sans ménagement son chemisier et la met en lingerie en deux temps trois mouvements.

Pendant qu’il l’a déshabille j’en profite pour embrasser sensuellement Patrice. Je caresse son entrejambe et je sors habilement sa queue du pantalon.
La jeune étudiante est en réalité assez jolie dans la lingerie que je lui ai choisie. Mais l’idée n’est pas qu’elle se sente jolie ni même désirée. Alors Patrice la regarde avec dédain : « Bon, Laika, mauvaise idée. Enlève moi cette lingerie ridicule sur toi. A poil, une chienne n’a pas besoin de ça. Enlève tout. »

La jeune fille a les yeux humides et j’ai presque pitié. Mais je sais qu’elle va jouir et être au final reconnaissante. C’est cela le paradoxe d’une bonne soumission. Alors qu’elle se déshabille en laissant tomber à terre sa lingerie, je prends un malin plaisir à caresser Patrice en déboutonnant son pantalon.

La garçonnière de Patrice est un petit loft. Béton ciré, déco minimaliste industrielle, un vieux canapé club en cuir, deux fauteuils assortis. Cuisine américaine avec plan de travail central en bois brut. Contre un mur il y a une rangée de casiers métalliques comme dans les vieux vestiaires de salles de sport où les piscines municipales d’autrefois. Sur un des casiers j’ai moi même collé un autocollant « LAIKA ». C’est là que sont soigneusement rangés quelques harnais en cuir, laisses et colliers ainsi qu’une cravache d’équitation dont je me munis avec satisfaction

Tape sèche sur les fesses de mon apprentie esclave pour qu’elle se dépêche d’enlever culotte et soutien gorge. Quand elle est enfin entièrement nue je la prends par le menton et lui donne un petit bisou sur les lèvres.
-« C’est bien, reste debout les mains croisées dans le dos et regarde comme ton maître peut être gentil avec une femme si elle sait le satisfaire. »

Je m’installe sur le canapé en cuir et Patrice m’y rejoint pour m’embraser tendrement les seins et caresser mes cuisses en remontant ma nuisette en soie. L’étudiante détourne le regard mais Patrice la rappelle à l’ordre : -« Non ! Regarde et apprend ! Un jour, même si j’en doute, tu pourrais être à la place de Lucie ! »

Je me laisse embrasser et caresser, Patrice est tendre, quand il écarte mon string et rentre l’index dans ma chatte trempée il le fait délicatement et je me cambre légèrement en gémissant de plaisir. Il me caresse lentement, et je suis au bord de l’orgasme quand il s’agenouille enfin pour joindre sa langue à ses doigts. L’étudiante n’a plus détourné les yeux. Elle ne perd pas une miette du spectacle.

-« Hummm, c’est bon, si tu savais Laika comme c’est bon. Je sais que tu es jalouse et que tu aimerais être à ma place. Hummmmm, hummmm, tu vois  hummm, si tu fais bien tout comme il hummm, faut. Un jours ça sera toi sur le canapé. Aaahhhh, putain, hummm je jouis !!! »

J’embrasse Patrice sur la bouche. Prévenant et, preuve qu’il me connaît très bien, il prend, sur la table basse en verre le paquet de Marlboro light et m’allume une cigarette sur laquelle il tire la première taffe.

-« Hummm, merci, tu es un vrai gentleman. Tu es trop gentil. Mais il  serait un peu temps de penser à toi. »

Je prends la cravache et me dirige vers Laika, toujours debout.

-« Reste pas plantée là. A genoux ! »

-« Fais ce que Lucie te dit » renchéri mon chéri.

Entièrement nue la jeune fille s’exécute.

-«Patrice, mon chéri, si tu veux bien te donner la peine d’approcher ? »

Patrice comprends où je veux en venir et il vient se placer devant sa petite esclave à genoux, sexe tendu sortant du pantalon, juste à hauteur de visage.

-« Tends les bras devant toi ! »

Je serre deux bracelets en cuir au niveau de ses coudes et je les relie avec une lanière de cuir suffisamment courte dans le dos de Patrice pour qu’elle ne puisse pas reculer son visage de plus d’une demie queue de mon ami. Elle n’a d’autre choix que d’ouvrir la bouche et de sucer comme elle peut . Son nez n’est pas bouché donc aucun risque qu’elle s’étouffe. Patrice est sans doute pervers et sadique mais il n’est ni cruel, ni violent. Il me demande de préparer l’anus (il dit l’anus, pas le cul) de notre invitée. J’ai pour cela un tube de vaseline et pendant que l’étudiante suce consciencieusement je graisse généreusement  le popotin, lui aussi généreux…

Je rentre deux doigts pour vérifier qu’elle est prête à recevoir la queue de mon ami et, satisfaite je fais un clin d’œil à Patrice qui se fait toujours sucer.

Il défait la rosette qui maintenait les poignets attachés de la petite chienne.

-« Viens, tu vas bien lécher mon amie pendant que je t’encule. D’accord ? »

Patrice ne lui laisse pas le loisir de répondre et il attache à nouveau ses bras autour de ma taille poignets derrière mon dos. Je plaque sa tête contre mon con bien moite, je dois l’avouer.

Quand il se place derrière elle pour l’enculer il lui ordonne de bien sortir sa langue de chienne soumise. Elle obéi pour mon plus grand plaisir.

-« C’est bien Laika, si mon amie Lucie est contente de ton cunnilingus alors tu auras autant de levrette que de sodomie ce soir. Qu’en dis tu ? »

Notre esclave fait oui de la tête, la langue tournoyant dans ma chatte.

Le plus fou c’est que la soirée ne fait que commencer…

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