Vacances à Pointe à Pitre

Dernier article de 2024, j’espère que vous allez aimer et commenter. Moi j’aime déjà tout ce que nous allons partager en 2025

Orly Sud. Deux cents voyageurs patientent dans un brouhaha fatigué. Moi, je suis là, prête pour ce que j’ai planifié depuis des semaines. Une robe légère caresse ma peau, dévoilant juste ce qu’il faut. Mes seins fermes attirent les regards comme des aimants. Et j’aime ça. Mon mari aussi, d’ailleurs. Il trouve ça flatteur, il pense que ces vacances seront l’occasion de moments coquins entre nous. Il se trompe. Mon programme est autrement plus ambitieux : un homme différent, chaque jour.

La première cible est presque en face. La quarantaine, un corps sec et musclé, des épaules larges qui trahissent des années de natation peut-être. Ses cheveux poivre et sel disparaissent lentement, mais il dégage quelque chose qui m’attire irrésistiblement. Dommage qu’il soit flanqué d’une femme fatiguée par le quotidien – joli souvenir d’une beauté passée – et de deux enfants bruyants. Je devrais être intimidée, mais au contraire, je suis excitée par le défi.

Je relève les yeux de mon livre – un Douglas Kennedy, mais qu’importe – et je sens son regard se détourner brusquement. Il essaie de dissimuler son intérêt. Timide. C’est parfait. Un sourire naît sur mes lèvres. Je croise et décroise mes longues jambes, lentement. J’inspire profondément, laissant ma poitrine se soulever sous le tissu léger de ma robe. Pas besoin de regarder pour savoir : il mate.

Je me lève avec nonchalance. « Je vais acheter des cigarettes », dis-je à mon mari, absorbé par son écran de téléphone. Je m’éloigne en espérant que mon inconnu aura le courage de me suivre. Rien. Quand je reviens, je parviens à accrocher son regard. Cette fois, je maintiens l’échange un instant de trop, juste assez pour que cela devienne évident. Je baisse les yeux à la dernière seconde, feignant une gêne pudique. Mon sourire, cependant, est tout sauf innocent.

Quand l’embarquement des familles est annoncé, il proteste. « Les enfants sont trop grands », dit-il à sa femme, et je devine déjà son plan. Il veut gagner du temps. Il veut me suivre.

Nous embarquons ensemble, lui derrière moi, sa famille devant. Mon mari, toujours absorbé par son écran, ne remarque rien. Alors, à la première occasion, je fouille dans mon sac, sort le petit papier que j’ai préparé et le glisse dans sa main au moment où nous frôlons. Juste un instant, mais assez pour sentir la chaleur de sa paume, assez pour qu’il sente la mienne. Il fourre le billet dans sa poche, visiblement nerveux.

Je remarque qu’il bande.

Il ne sait pas encore ce qu’il contient, mais bientôt il lira ces mots écrits d’une main assurée :

Désolée, nymphomane. Pas ma faute. Très envie de vous.

Pour l’instant, il ne sait rien encore. Son regard croise à peine le mien, mais je devine qu’il pense à ce billet qu’il a rangé dans sa poche. Puis, comme un hasard soigneusement orchestré, je trébuche et tombe sur lui. Mon corps se plaque contre son dos, mes seins amortissant le choc avec une délicieuse évidence. Je m’excuse à demi-mot, la voix tremblante, mais intérieurement, je jubile. Ce moment est parfait.

Je pose une main sur son épaule, légère, mais appuyée juste assez pour sentir la fermeté de ses muscles sous ma paume. Mon mari, distrait de son téléphone, lève un regard agacé mais vaguement inquiet. « Ça va ? » me demande-t-il, avec une pointe d’irritation. Je hoche la tête, un sourire innocent aux lèvres. « Oui, j’ai juste trébuché », réponds-je en me tournant ostensiblement vers mon futur plan cul (FPC).

« Désolée », ajouté-je à son attention, mes doigts glissant de son épaule alors que je me redresse. Il balbutie un banal : « Y’a pas de mal », mais je capte tout dans son regard. L’hésitation. La tension. Le frisson qui l’a traversé au moment de l’impact. Bobonne, à côté, me fixe, mi-soupçonneuse, mi-fataliste. Elle a compris qu’il se passe quelque chose, mais elle n’a pas les armes pour agir. Ses passeports dans une main, elle se contente de soupirer.

Je descends les yeux et remarque ce que lui seul pense pouvoir cacher : une légère bosse sous son pantalon. Je le fixe un instant, suffisamment longtemps pour qu’il sache que je l’ai vue. Puis je relève le regard, un sourire en coin qui fait monter la chaleur dans mes joues. Je sens la moiteur entre mes cuisses. L’idée qu’il bande pour moi, là, entouré de sa famille, me trouble profondément.

La file avance, et le hasard – ou le destin – nous sépare. Deux hôtesses vérifient les billets, et nous sommes dirigés vers des files différentes. Ils prennent à droite, nous à gauche. Un couple de retraités s’intercale entre nous, brisant mon champ de vision. Dans l’allée de l’avion, les places s’organisent : nous sommes en 36A et 36B, ce qui nous oblige à tourner juste après l’entrée. Je jette un dernier regard en arrière, espérant qu’il soit juste derrière moi, qu’il m’aide à glisser mon bagage cabine dans le compartiment au-dessus de ma tête. Mais non, il n’est plus là.

Je prends place, laissant le hublot à mon mari et m’installant côté couloir. Je scrute discrètement les passagers qui entrent encore, espérant l’apercevoir. Mon cœur bat à un rythme effréné. Enfin, je repère ses enfants, bruyants et agités, à genoux sur leurs sièges, quelques rangées devant. Je devine sa silhouette derrière, mais il est caché par Bobonne, assise du côté couloir, malheureusement.

Pour le croiser à nouveau, je sais qu’il faudra être inventive. Mon plan se dessine rapidement : je dois aller jusqu’au fond de l’appareil, puis redescendre les rangées en direction des toilettes, passant ainsi juste devant lui. Mon mari a déjà mis ses écouteurs et lancé son film, plongé dans son univers. Je prends un livre – Joël Dicker, La disparition de Stéphanie Mailer – et feins de lire pour masquer mon impatience.

Après le premier plateau repas, je décide que le moment est venu. Il a eu largement le temps de lire mon mot. Mon ventre se serre légèrement à cette pensée. Que ressent-il en ce moment ? Confusion, excitation, désir ? Je me lève, ajustant ma robe pour qu’elle tombe parfaitement sur mes hanches. Mes pas sont lents, délibérés. À mesure que j’avance dans l’allée, je calcule précisément mon mouvement.

Quand j’arrive à sa hauteur, je me décale juste assez pour que ma cuisse frôle la sienne, un contact aussi fugitif qu’intense. Je ralentis imperceptiblement, lui offrant le spectacle de mon dos, de mes hanches qui balancent avec une assurance calculée. Je sais ce qu’il regarde. Je sais ce qu’il pense. Mon cœur s’emballe quand je le sens se lever derrière moi.

YES.

Je continue, cette fois sans précipitation, laissant mes pas résonner dans l’allée. Derrière moi, je perçois le souffle un peu plus rapide de ma cible, ses mouvements à peine contenus. Le jeu commence.

Nous nous retrouvons à l’arrière de l’appareil, près des toilettes. Mon cœur bat plus fort. Il s’approche timidement, et nous échangeons à voix basse.

— « Je suis vraiment désolée de vous imposer ça, mais… c’est plus fort que moi. J’ai terriblement envie de vous. »

Il hésite, perplexe :
— « Pourquoi moi ? »

— « Ça n’a rien à voir avec vous… Je ne contrôle pas. Ça aurait pu tomber sur quelqu’un d’autre, mais voilà… c’est vous. Tant qu’on n’aura pas couché ensemble, je ne pourrai penser qu’à ça. »

Il sourit, mi-surpris, mi-flatté.
— « Et après ? »

— « Après, ça ira mieux pour deux ou trois jours… Puis quelqu’un d’autre m’obsédera complètement. »

Je me penche un peu plus, et murmure à son oreille, mes lèvres presque contre sa peau :
— « Mais là, tout de suite, j’imagine votre sexe dans ma bouche. »

Je vois son visage changer, il déglutit. Il est troublé, mais excité. Je m’éloigne légèrement.
— « Il faut que je retourne à ma place, sinon… ma culotte va être complètement trempée. »

Je lui claque un baiser furtif sur la joue avant de partir. Ce n’est qu’un échauffement.

De retour à mon siège, je réfléchis à une suite. Les toilettes de l’avion sont minuscules, mais l’idée m’excite encore davantage. Je me perds dans mes pensées, imaginant chaque scénario possible.

Quand l’avion sera somnolent, je tenterai un second rendez-vous. Cette fois, je saurai quoi faire pour qu’il cède.

Second rendez-vous coquin.
Même scénario : je passe devant lui, et il me suit. Cette fois, il a eu le temps de réfléchir, de se débattre avec ses hésitations et ses envies. Cela se lit dans son regard : il est intrigué, mais toujours sur la défensive. Alors, il me pose des questions. Beaucoup de questions.

— « Cette… nymphomanie, comme vous dites… Comment ça a commencé ? »

— « Je ne sais pas exactement, » dis-je en haussant légèrement les épaules. « C’est comme ça depuis mes 16 ans. Je l’ai toujours caché à tout le monde. Je n’ai pas le choix, c’est incontrôlable. Ça peut me prendre n’importe où, n’importe quand, et sur n’importe qui. »

Il fronce les sourcils, visiblement fasciné par l’aveu.
— « Et… votre mari ? Il ne se doute de rien ? »

Je secoue la tête avec un sourire mutin.
— « Bien sûr que non. Il ne saurait jamais imaginer ça. Je suis une actrice hors pair. »

Il baisse les yeux, comme s’il tentait de comprendre pourquoi lui.
— « Mais pourquoi moi ? » insiste-t-il. « Je veux dire… belle comme vous êtes, vous pourriez avoir n’importe qui. Alors pourquoi un mec comme moi, banal, avec une femme et des gosses ? »

Je m’approche légèrement, réduisant la distance entre nos corps. Ma voix se fait plus douce, plus intime :
— « Ça n’a rien à voir avec vous. C’est moi. Je ne contrôle pas. Mais là, tout de suite, c’est vous. Et tant qu’on n’aura pas… réglé ça, je ne pourrai pas penser à autre chose. »

Il reste silencieux, ses yeux oscillant entre mes lèvres et mon décolleté.

Je me penche davantage, murmurant presque à son oreille, ma voix pleine de promesses :
— « J’ai un plan pour qu’on se retrouve seuls. Quand on arrivera, pendant qu’on attendra les bagages, vous allez aux toilettes handicapés. Vous laissez le loquet entrouvert, et je viendrai juste après. »

Il recule légèrement, visiblement surpris.
— « Comme ça ? Dans les toilettes hommes ? Vous savez qu’il risque d’y avoir du monde. »

Je souris, pleine d’assurance.
— « Oui, c’est sûr. Mais je ferai comme si c’était une urgence, comme si les toilettes femmes étaient pleins. Les gens seront choqués, peut-être, mais personne n’osera rien dire. Faites-moi confiance. »

Je laisse ces derniers mots en suspension, puis recule légèrement, comme pour lui laisser le temps de digérer l’idée. Je sens qu’il est partagé entre l’excitation et la peur, mais le rouge qui monte à ses joues et l’étincelle dans son regard ne trompent pas : il est déjà à moitié conquis.

Je retourne à ma place, mon cœur battant, déjà impatiente d’arriver et de mettre mon plan en œuvre.

Le plan était osé mais il a parfaitement fonctionné. Arrivés au tapis de récupération des bagages je le vois qui rebrousse chemin vers les toilettes et je lui emboîte le pas sans éveiller ni les soupçons de mon mari, ni  eux de sa bobonne. C’est tellement gros qu’ils ne peuvent s’en douter. Le plan marche nickel. Coup de chance les toilettes handicapés sont dispo quand il arrive. Il entre, je le suis moins de 20 secondes après en mode super pressée, très envie de faire pipi, pardon, pardon ! Si des hommes ont remarqué qu’il était entré avant moi personne ne proteste trop surpris. Il faut dire que je n’ai pas eu à mentir, les toilettes pour femmes sont bondées.

Comme ce sont des toilettes handicapés l’espace est assez grand. Je me jette sur lui pour lui rouler un gros patin tout en déboutonnant son pantalon.

-« Appuis toi contre le mur et laisse moi faire. »

Je fais tomber les bretelles de ma robe légère et dégrafe fissa mon soutiens gorge. Je m’accroupis et sors sa verge de son caleçon. C’est parti pour la cravate de notaire. Sa bite n’est pas très longue mais ça le fait. Entre mes gros seins elle est dure et bien au chaud. Un délice pour la bouche comme pour les yeux.

Je plante mes yeux de biche dans les siens par en dessous.

-« Tu peux pas savoir comme j’en avais envie ! »

Va et vient langoureux entre mes seins que je presse de mes mains pour entourer sa bite. À chaque va et vient ma 👄 accueille son gland. Je maintient quelque seconde en aspirant.

-« Dommage qu’on ait pas plus de temps je l’aurais bien prise dans ma chatte de salope ou mon cul de cochonne. »

Il ne répond pas. Trop surpris. Ou trop concentré à ne pas jouir trop vite. Je le prend dans ma bouche goulue. Je pourrais faire une gorge profonde mais je préfère sucer en le branlant. J’alterne mes seins, mes mains et ma bouche. Je n’oublie pas de lécher les couilles et de le regarder souvent dans les yeux. La pression de ses mains sur ma tête m’indique qu’il va jouir. Je le garde dans ma bouche pour qu’il éjacule bien au chaud contre ma langue. D’ordinaire j’aime les ejaculations faciales mais là j’ai un peu peur de ne pas avoir le temps ni ce qu’il faut pour me remaquiller. Le vol a été long et je tiens à rester présentable. J’avale comme une bonne vraie salope. Je continue à le sucer jusqu’à débandaison complète. Je me rhabille à la hâte et lui claque une bise sur la joue avant de sortir la première des toilettes. Il est probable que quelques personnes nous aient remarqué mais personne n’ose rien dire et je file retrouver mon mari au tapis des bagages. Notre valise n’est pas encore déchargée. Nous attendons à quelques mètres de bobonne et des enfants. Mon plan cul arrive une minute plus tard. Il est rouge comme une pivoine. Je lui lance des œillades mais il évite mon regard. Il doit avoir trop peur de se faire gauler. Notre valise arrive. Dernier sourire, clin d’œil, nous partons. Je ne me souviens plus son prénom. Pierre ? Paul ? Bertrand ? Ce n’est pas faute de l’avoir eu sur le bout de la langue tout à l’heure aux toilettes…Mes vacances coquines ne font que commencer ! J’ai les sentiment que la semaine à venir va être riche en belles rencontres…

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Publié par

Lucie

Comment me décrire ? Disons que je suis une MILF 2.0 ! Une femme mariée trop tôt devenue accro aux rencontres adultères sur internet. Mes déplacements professionnels me permettent de céder à mes pulsions sans trop de risque d'être découverte. J'aime écrire et raconter mes aventures. J'aime aussi recevoir des commentaires sur ce blog ! Cela fait peut être de moi une grosse salope, une grosse pute ou une grosse cochonne, c'est au choix. Sauf que je ne suis pas grosse...Et que je choisi ma sexualité librement. Pour me séduire il suffit parfois d’être un peu original. Je suis une grande curieuse. Je traîne parfois (une ou deux fois par mois grand max) sur cinqasept. Je change à chaque fois de pseudo mais si vous me laissez le votre, qui sait je vous ferez peut être signe💋

6 réflexions au sujet de « Vacances à Pointe à Pitre »

  1. Merci Lucie de me répondre avec humour et sans détour. J’en doute pas une seconde qu ‘à ce moment la, tu dois être une parfaite salope. J’imagine qu »en plus tu dois savoir y faire pour prendre une expression de chienne avide de foutre. il y a des mots des gestes qui te rendent folles?

    1. Une micro satisfaction, comme quand on réussi à passer un niveau dans Candy Crush.

      Mais non !!! J’déconne ! C’est difficilement descriptible. Sucer et avaler, surtout comme cela, un peu dans l’urgence, avec le risque d’être surprise c’est un truc assez indescriptible. Le fait de ne pas avoir d’orgasme, de donner ce plaisir sans rien attendre en retour. A un mec que je ne reverrai jamais. C’est difficilement exprimable. Je crois, pour poursuivre un peu notre discussion, que dans ce type de moment je sais que je tends vers la perfection, en tant que salope. Les invectives m’ont toujours excitées, aussi loin que je me souvienne.

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