Au téléphone

Quand le téléphone a vibré sur la table de chevet, je savais que je n’aurais pas dû répondre. Mais j’ai vu son nom s’afficher, et c’était comme un rappel brutal à la réalité que j’étais en train de fuir. Mon mari. L’homme dont j’avais accepté de porter le nom, les habitudes, les dimanches familiaux et les projets bien rangés.

Jacques m’observait depuis l’ombre de la pièce, appuyé contre le mur, un sourire indéchiffrable sur les lèvres. Il n’a rien dit quand j’ai décroché, se contentant de glisser ses mains sur mes hanches, d’une lenteur calculée, comme pour me rappeler où j’étais vraiment.

— Oui, mon amour ? ai-je dit, la voix que je réservais à mon époux. Lisse. Contrôlée.

— Tu fais quoi ?

Une question anodine. Une question piège. Je l’ai entendu tapoter sur son clavier à l’autre bout du fil, distrait, confiant.

— Je lis, j’ai menti.

Jacques a ri, sans un bruit. Ses doigts se sont faufilés sous l’élastique de ma culotte, brûlants sur ma peau, et j’ai senti une vague de panique me monter à la gorge. Pas parce que je voulais qu’il arrête, mais parce que je savais que je n’allais pas pouvoir me contenir.

Mon mari a continué à parler, quelque chose sur ses collègues, son dîner à l’hôtel. Je ne l’écoutais plus. Jacques a tiré doucement sur ma culotte, me forçant à relever légèrement les hanches pour l’aider, et je me suis mordu l’intérieur de la joue pour ne pas laisser échapper un soupir.

— Tout va bien ? m’a demandé celui sensé être l’homme de ma vie, cette fois avec un peu plus d’attention.

— Oui, bien sûr, pourquoi ?

Ma voix était légèrement rauque, et je me suis raclé la gorge. Jacques s’est agenouillé devant moi, son regard fixé sur le mien, une provocation silencieuse. Sa langue a effleuré ma peau, et j’ai dû m’appuyer sur l’oreiller pour ne pas perdre l’équilibre.

À l’autre bout de la ligne, mon époux ne remarquait rien. Il continuait de parler, ignorant que ses mots se dissolvaient dans l’air tandis que Jacques me consumait, sa langue ouvrant la corolle de mon sexe déjà moite. Je répondais par des hochements de tête inutiles, des monosyllabes mécaniques, concentrée sur une seule chose : ne pas perdre pied. Mais Jacques le savait. Il jouait avec moi, alternant douceur et intensité, comme s’il testait mes limites. Il suçait juste au bord de mes grandes lèvres. S’éloignait, le laissais parler puis plongeait sa langue juste au milieu d’une de mes phrases que je peinais à garder cohérente.

— Tu veux que je te laisse ? a demandé Frank, vaguement inquiet.

— Non, non… Raconte-moi…

C’était un défi. Un jeu cruel que je m’imposais. Sentir mon mari à l’autre bout du fil pendant qu’un autre homme me dévorait. Peut-être que je voulais être découverte. Peut-être que je voulais que mon mari entende la vérité dans mon souffle court et mes silences.

Jacques s’est redressé, sa bouche humide, et a murmuré contre mon oreille :

— Dis-lui que tu l’aimes.

J’ai fermé les yeux, mon cœur battant contre mes côtes.

— Je t’aime, ai-je soufflé à mon époux, comme une prière.

Et dans le même instant, Jacques enfonçait sa queue sans difficulté dans mon sexe brûlant.

— Oui, moi aussi je t’aime. Tu es sûre que ça va ? Mon mari était d’u coup plus attentif, comme s’il avait deviné dans le ton de ma voix que quelque chose clochait. Tu es seule ?

Je voulais raccrocher, trouvant le jeu trop dangereux. Mais Jacques ne semblait pas du même avis. Il tenait mon poignet m’imposant de garder le téléphone contre mon oreille. Dans l’autre il murmurait doucement. — Dis lui que tu aimerais que ses parent gardent votre fille pour avoir un week-end en amoureux.

— Tu sais si tes parents sont…Humm… li …bres ce …hu… week…end ? Les lents va et vient de Jacques en moi, son ventre contre le mien rendaient ma diction difficile.

— Tu es sûre que ça va ?

— Oui….oui, je …me disais juste que t’es parent pourraient venir à la maison. On partirait en week end…juste nous deux.

Jacques venait de me retourner et de s’emparer du tube de vaseline.

Si vous m’aviez sous la main, allongée nue sur le ventre. Qui voudriez vous que j’appelle au téléphone pendant que vous vous occuperiez de moi ? Répondez moi en commentaire..

 

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Publié par

Lucie

Comment me décrire ? Disons que je suis une MILF 2.0 ! Une femme mariée trop tôt devenue accro aux rencontres adultères sur internet. Mes déplacements professionnels me permettent de céder à mes pulsions sans trop de risque d'être découverte. J'aime écrire et raconter mes aventures. J'aime aussi recevoir des commentaires sur ce blog ! Cela fait peut être de moi une grosse salope, une grosse pute ou une grosse cochonne, c'est au choix. Sauf que je ne suis pas grosse...Et que je choisi ma sexualité librement. Pour me séduire il suffit parfois d’être un peu original. Je suis une grande curieuse. Je traîne parfois (une ou deux fois par mois grand max) sur cinqasept. Je change à chaque fois de pseudo mais si vous me laissez le votre, qui sait je vous ferez peut être signe💋

2 réflexions au sujet de « Au téléphone »

    1. Merci !! En ce moment j’essaie de m’appliquer encore plus. Merci de ces encouragements. Si vous m’aviez sous la main, allongée nue sur le ventre. Qui voudriez vous que j’appelle au téléphone pendant que vous vous occuperiez de moi ?

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