Maillot de bain deux pièces jaune cocu, je dors sur un transat en tek au bord de la piscine. Enfin je dors, il serait plus sincère de dire que je cuve. Le déjeuner a été aussi arrosé que le punch était chargé. Tu m’as servie, resservie et resservie encore. Tu n’avais pas besoin de me saouler pour me séduire. Mais j’ai bu, parlé avec presque tout le monde, flirté aussi un peu. Avec d’autres que toi pour attiser ta jalousie et te faire douter de la suite des événements. Être un vraie salope est tout un art ! Étrange sauterie organisée entre bourgeois de province dans un petit château de l’arrière Pays Nantais. J’y suis sur ton invitation. L’œil torve que j’entrouvre me permet de constater que les autres convives semblent s’être éclipsés. J’imagine dans les chambres ou les petits salons du domaine. Je ne me sens pas en état de les suivre pour le moment et je referme les yeux en priant pour que le bourdonnement cesse dans ma tête. Nous ne serions pas presqu’en Bretagne et j’aurais moins bu, je m’inquièterais des coups de soleil qui menacent mon dos nu. Mais le soleil est presqu’aussi voilé qu’une femme afghane et je replonge dans une semi conscience éthylique qui doit bien t’arranger. J’imagine que tu t’es approché lentement de mon corps avachi. Tu auras caressé du bout de l’ongle mes fesses. Ou peut être les auras tu simplement d’abord regardées, jaugées. As tu lissé mes cheveux mis sur mon oreille la mèche de cheveux brune qui cachait mon visage ? Je sais que tu as baissé ton short et sortie ta queue pour caresser ma joue et le bord de mes lèvres maquillées de glos rose. Je me souviens avoir entrouvert les lèvres par réflexe. Même au bord du coma éthylique je sais que j’ai envie de sucer. Tu as joué un peu à mettre ta queue dans ma bouche. C’était bon mais j’étais trop stone pour m’appliquer comme il se doit. Je crois me souvenir que tu t’es assis sur le transat, juste contre ma hanche, là où la taille d’évasé pour laisser place à mes belles fesses. Je sais qu’il y avait, posée au sol, un flacon oenobiol d’huile solaire. J’ai souvenir de quelques goutes, d’abord sur ma nuque. Il me semble que tu as bataillé un peu pour trouver comment dégrafer le haut de mon deux pièces. Tu as pris ton temps je crois. Je sentais ton sexe contre ma hanche et je sais que par réflexe j’ai sûrement dû soulever mon bassin, tressaillir un peu des fesses et écarter imperceptiblement les cuisses. Tu ne m’as pas baisée tout de suite, tu as bien pris le temps de me masser, tout le flacon d’huile solaire y est passé. J’ai senti un doigt dans mon anus, puis un plus gros, le pouce je crois car tu t’occupais en même temps de mon minou. J’ai gémi de plaisir quand ta queue est entrée d’un coup dans mon cul ultra lubrifié. Tu pesais lourd sur moi et j’avais peur que le transat ne tienne pas. Mais il a tenu malgré la franche enculade à laquelle tu t’es livré. Juste avant de jouir au fond de mon cul tu as pesé de tout ton poids sur moi. C’était presqu’etouffant, je suffoquais ce qui rendait mon orgasme encore plus profond. Je ne sentais plus mon cu. Une crampe douloureuse au mollet droit m’empêchait de bouger pour me dégager. Je ne savais plus où commençait la douleur ni où s’arrêtait le plaisir. Mais une chose est certaine, je ne regrette pas d’être venue à cette fête au bord de la piscine.
Auteur : Lucie
Baisée sur le balcon
Un bel appartement rue Crébillon dans le centre ville de Nantes. La rue est assez passante, le balcon est au deuxième étage. Fin de journée, c’est l’heure dorée et, pour une fois à Nantes, il ne pleut pas. Je suis sortie sur le balcon pour appeler mon cher époux. Quand je m’apprête à mettre en mode avion pour ne pas être dérangée pendant mon plan cul j’appelle toujours mon époux avant. Un pour qu’il ne m’appelle pas et se doute de quelque chose, deux parce que ça m’excite de parler à mon mari avant de le tromper. C’est évidemment encore meilleur si tu oses me rejoindre pour commencer à me tripoter pendant qu’il est encore à l’autre bout du fil !
-« Allo, mon chéri. Tu ne t’inquiètes pas si tu peux pas me joindre. J’ai plus que 5% de batterie et mon chargeur est dans la voiture au parking souterrain. »
Je regarde les gens quelques mètres en dessous.
-« Oui, à Nantes. Je te l’ai dis, tu ne m’écoutes pas ! »
-« …. »
-« Non, j’en ai marre des hôtels. J’ai pris un Airbnb. »
-« … »
-« Avec un mec sympa rencontré sur internet ! Il va me baiser toute la nuit ! »
-« … »
-« Bin non, t’es con ! Évidemment seule ! Tu crois quoi ? »
C’est ce moment de la conversation que tu choisis pour te décider à me rejoindre sur le balcon. Il faut dire que je tortillais bien du cul en téléphonant appuyée les coudes sur le balcon.
-« Non, pas de restaurant ce soir, j’ai envie de rester à l’appart. Le Airbnb est joli et il y a Netflix. »
Tu passes les mains sous ma jupe et caresses mes fesses. Heureusement qu’il y a des plantes sur le balcon qui masquent la vue au dessous de la taille car, même s’il ne lèvent pas la tête, les passants nous voient parfaitement en remontant la rue.
-« Kleo, ça se passe en ex RDA. J’aime bien l’ambiance. Et toi ? »
-« … »
-« Pas vu encore. C’est bien ? »
Tu embrasses mon cou. Vrai baiser mouillé. Je penche la tête pour montrer que j’aime ça et t’inviter à continuer dans cette veine. Les caresses sur mes fesses sont très agréables aussi. Légèrement appuyées. Pas encore un massage mais presque. Je commence à avoir chaud.
-« Ah…oui…ça a l’air bien…Maria m’en a parlé au bureau. Elle a trouvé un peu trop violent. Mais bon, moi ça ne me gêne pas… »
Tu saisis le message et pince ma fesse. Je tressaille. Tu te presses contre moi et passes les mains sous mon pull autour de ma taille. J’aime sentir la pression et la tiédeur de ton corps dans mon dos.
Je calle le téléphone entre mon oreille et mon épaule pour avoir les mains libres et baisser mon string. Je sais que tu l’aurais fait dans pas longtemps. Mais parfois j’aime montrer que je suis une bonne salope en baissant moi même la culotte. Tu découvres le petit plug cristal Swarovski.
-« Bon, mon chéri, je te laisse à ta série Netflix alors. Profite bien. »
-« … »
-« Oui, j’ai hâte de rentrer. Ces déplacements je commence à en avoir plein le cul ! »
J’aime comme tu caresses ma chatte moite. Tes doigts qui ouvrent le bourgeon. Je me suis intégralement épilée et ton doigt qui entre pour me caresser de l’intérieur m’excite tellement que ça me donne envie de rappeler mon mari. J’adore être obligée de me retenir de gémir et m’effforcer de faire semblant de rien au téléphone alors que sous la ceinture je me fais copieusement ramoner. Mais hélas juste au moment où je rappelle c’est la panne de batterie.
-« Tu veux que je remette mon téléphone à charger et que j’appelle mon mari tout à l’heure ? »
-« Tu lui as pas dit que t’avais plus de batterie et que t’avais oublié ton chargeur ? »
-« Hummm, mais tu écoutes aux portes ? »
-« Oui, et je constate que tu es une petite menteuse. »
Tout en disant cela à mon oreille tu restes collé dans mon dos sans cesser de caresser ma chatte.
-« Tu lui dirais quoi à ton mari si tu l’avais au téléphone là maintenant ? »
-« Hummm, je crois que je lui dirais que je préfère raccrocher car c’est pas poli de parler la bouche pleine et je m’apprête à manger une belle saucisse… »
Bals de village en été
Il y a l’été une tradition française que j’aime particulièrement : Les bals en plein air. Bal des pompiers, feux de la saint Jean, ou simplement bal de camping ou de village pendant les vacances d’été. J’arrive toujours à trouver un prétexte pour être soit disant au travail ou alors c’est mon mari qui est chez mes beaux parents avec notre enfant et moi chez nous pour une raison ou une autre. Alors je saute dans ma Fiat 500 et je file le soir vers un camping ou une boîte de nuit en plein air côté espagnol de la frontière. Je laisse l’iPhone à la maison, je remplace l’AppleWatch pour une vieille Seiko à aiguilles et je ne prends que de l’argent liquide. Pas besoin de réserver un Airbnb, je sais que je trouverai une âme charitable et bien montée pour m’héberger après le bal jusqu’à l’heure des croissants. Et tempis si je disparais des radars pendant 24 heures. Je trouve toujours une explication plausible, quitte à noyer mon iPhone dans le lavabo de la cuisine. Demain peut être je vous raconterai un très beau souvenir de bal de village de l’été 2022. En attendant, il est, pour moi 23 heures et je vous dis bonne nuit. J’aimerais tellement mieux être soit la couette à vous sucer longuement plutôt que chez moi écrivant ces lignes sur mon téléphone avec monsieur mon mari qui dort juste à côté. Et si vous me croisez par hasard cet été au bal, sachez que j’ai souvent un petit plug anal sous ma robe à fleurs.
Tendres léchoules sur vos couilles.
Lucie.
PS : Écrivez moi en commentaire. J’adore vous lire et je réponds toujours.
Bonne petite salope soumise
Mon costume de bonne petite salope soumise
La petite robe noire toute simple devient très sexy si je mets pour toi un porte jarretelle dessous et des bas noirs de petite salope soumise. Talons aiguilles obligatoires et collier ras de cou en cuir avec l’anneau qui va bien pour accrocher une laisse de chienne.
Maquillage et coiffure de salope soumise
Pour ton plaisir je sais que tu me veux parfaite. Alors j’ai mis un rouge à lèvres 💄 très rouge mais fin et léger. De grand faux cils de poupée et des ongles vernis assortis à mes lèvres. Deux couettes d’écolière coquine donne à ma fine silhouette un faux air d’innocence juvénile.
Une salope soumise dans ton salon
Installe toi confortablement dans ton canapé. Et ordonne ou laisse toi juste faire. Ta petite salope soumise va te servir un verre. En bonne salope soumise elle doit se déplacer à quatre pattes. Le faire avec sensualité n’est pas donné à la première venue. Je ne suis pas la première venue. Je me suis entraînée. Me déplacer au sol, que ce soit sur les genoux, à quatre pattes ou en rampant, je sais le faire souplement et de manière très excitante. J’ai choisi pour toi une poire glacée dans un grand verre ballon qui sort du congélateur. Sur la table basse un grand bac à glaces et un éclairage à la bougie. Cire brûlante et glaçons devraient t’inspirer quelques doux sévices à faire subir à ta petite salope soumise. Tu savoures ton verre et la vue sur ma croupe. A quatre pattes contre le canapé je lèche tes pieds nus comme un petit animal domestique. Tu as tout ton temps.
Accessoires de petite salope soumise
De mon côté l’envie de sexe monte mais je dois rester à ma place, être patiente. C’est mon rôle de salope soumise. Alors je pose docilement la tête sur le bord du canapé contre ta cuisse et je fais mes yeux de Bambi. Tu caresses la tête de ton petit animal domestique :
-« c’est bon, tu es une bonne petite chienne. Tu vas pouvoir monter sur le canapé. Mais va chercher ta laisse et le petit panier 🧺 avant… »
Je repars à quatre pattes vers la cuisine chercher la laisse et le petit panier osier. Les anses sont juste parfaite pour que je le porte entre les dents. Quand à la laisse c’est le modèle en cuir, court pour gros chien d’attaque. Je suis une petite salope soumise et je n’ai pas du tout envie de m’échapper. Mais je sais que tu aimes me tenir en laisse quand je te suce. Juste pour que ce soit bien toi qui donne le rythme. Alors j’accroche la laisse à son collier et je prend entre mes dents le petit panier d’osier avec les lotions, le plug anal en verre et quelques mètres de corde en coton. Je suis tellement reconnaissante que tu m’aies épargnée le chanvre rêche et lui aies préféré le doux coton.
Retour au pied du canapé ou m’attend mon maître. Tu prends le petit panier d’osier, me complimente sur ma docilité de bonne petit chienne et tapote sur le canapé à côté de toi. J’ai gagné le droit d’y monter…et surtout de m’y faire monter…
Ce qui a changé par rapport à tout à l’heure c’est que tu as ôté ton pantalon et le reste. Il ne te restes plus que la chemisette boutons ouverts. Je regarde d’un œil gourmand… Ta petite chienne aimerais une saucisse. Mais tu en as décidé pour l’instant autrement et tires sur ma laisse pour que je me retrouve à plat ventre sur tes cuisses. Je sens ton sexe dur contre mon nombril à travers le tissus de ma petite robe noire. C’est pour l’heure mon cul de petite salope soumise qui semble t’intéresser. Tu tâtes comme on évaluerait la croupe d’une jument à travers le tissus. Tu sors du petit panier d’osier la paire de menottes et me la montre en tirant un peu sur ma laisse pour te faire comprendre. Je suis une salope soumise et docile qui sait sa leçon. Cela veut dire mains dans le dos. Alors je m’exécute afin que tu puisses joindre mes poignets. Puis tu sorts la petite cravache de cuir et tapote sans violence mes mains puis mon petit cul. C’est donc à moi de remonter ma robe pour d’offrir mes fesses. Reste, gâchant ta vue, la culotte blanche petit bateau. Du bout de la cravache tu passes entre les tissus et ma peau. Je commences à la baisser mais un coup ferme de cravache arrête mon geste.
« Non, garde la. Écarte la juste sur le côté. »
J’obéis. Tu as récupéré le bac à glaçons. Et j’apprecie le froid sur mes fesses brûlantes. Tu me caresses la chatte juste comme il faut. Je commence à me sentir bien, allongée sur tes genoux.
Le glaçon descend du bas de mes reins au commencement de la raie des fesses. Un peu d’eau coule. Il arrive à l’entrée de mon petit trou du cul. Un glaçon de frigo américain, forme arrondie, légèrement conique. Tu baisses ma culotte juste au dessus de mes genoux. Elle m’empêche de trop écarter les cuisses mais je peux un peu quand même. Tu presses le glaçon pour le faire rentrer comme un gros suppositoire. Tu fais cela tout en continuant à fouiller ma chatte trempée. Je me cambre un peu en gémissant de plaisir.
-« tu es une bonne petite salope dis donc ! Tu as l’air d’aimer ça par le cul hein ? »
-« huummm, ouiii, j’aime. Je suis ta petite salope soumise. Tu peux me prendre quand tu veux, où tu veux.
Alors que j’étais déjà sur le point de jouir avec tes doigts dans ma chatte tu les retires et les mets contre mes lèvres 👄 pour que je les lèche et les suce un peu. Je ne me fais pas prier. Je lèche et je suce comme si c’était une bonne queue. J’ai trop envie que tu tires la laisse pour m’amener à te sucer et que ses doigts là retournent dans ma chatte.
Mais ce que salope soumise veux est rarement dans les plans de son maître. Tu sembles avoir décidé de prendre ton temps. Tout ton temps. Tu caresses juste l’intérieur de mes cuisses avec un glaçon. Tu prends bien soin de t’arrêter juste au bord de la chatte. Je me tortilles pour que tu ailles plus loin, folle de désir. J’écarte de mes mains menottées la culotte tant que je peux. Mais tu fais comme si j’existais à peine. Pourtant je te sens bander contre mon ventre.
-« Hum, c’est qu’on dirait qu’elle veut de la saucisse ma petite chienne soumise hein… »
-« ouiiii, je t’en supplie, j’ai trop envie de te sucer. »
et c’est vrai que j’en crève d’envie. J’en peu plus de n’avoir que des doigts à sucer alors que je sens une grosse queue bien dure contre mon ventre. Mais tu aimes jouer avec mon désir et ma frustration de salope soumise. Tu appuies sur les reins pour que je presse mon ventre nu contre ta queue. Tu mets en même temps quatre doigts dans ma bouche. Je me cambre et tire comme je peux ma culotte pour faire entrer les tissus dans ma chatte trempée.
Le glaçon a déjà fondu dans mon cul. Tu y enfonces le plug anal en verre. Tu tires enfin la laisse pour amener mon visage à ton bas ventre. Je suce avec avidité cette queue que j’ai tant désirée. Je la voudrais aussi dans mon cul mais tu t’en fous. Tu te laisses sucer jusqu’à éjaculer en pressant ma tête pour que j’avale sans en perdre une goute. Tu sais que je suis à toi au moins jusqu’au matin et la soirée ne fait que commencer. Tu as tout le temps de m’enculer un peu plus tard.
Post scriptum : Je suis à Strasbourg la semaine prochaine. En quête de mon prochain plan cul j’attends vos propositions avec impatience…
Femme adultère délicieusement punie
Tu trouveras peut être cela étrange. Mais quand j’ai un peu trop été infidèle à mon mari je ressent l’irrésistible besoin d’être punie. C’est une chose que je ne sais expliquer mais qui survient immanquablement une à deux fois par an. Pourtant, ne vas pas croire que j’en souffre. Au contraire quand vient un tel moment je sais que je vais m’en délecter. M’en délecter et faire un veinard. Un veinard à qui j’ai dit que je voulais être punie de la manière qui lui conviendrait. Un veinard qui m’ouvre la porte de l’appartement à laquelle je viens de frapper timidement.
C’est un petit loft mansardé, les poutres en bois sont peintes en blanc. Une chaîne pend à l’une d’elle. Au sol de grosses bougies qui me font craindre le pire. Craindre et espérer en même temps.
-« Donne tes mains ! »
J’obéis. Et me voici menottée bras en l’air, jambes flageolantes sur des talons hauts inconfortables. Je ne suis vêtue que d’une simple robe imprimée de petites fleurs bleues. Pour toute lingerie une culotte en dentelle blanche et un soutien-gorge aubade assortis. Tu tiens une cravache d’équitation en cuir beige du bout de laquelle tu remontes le tissus léger de ma robe pour mater mes jambes. Elles ont l’air de te plaire mes jambes, longues et blanches. Le début du printemps n’a pas été généreux en soleil et je ne suis pas encore bronzée. Tu prends ton temps pour me tourner autour. La peur et l’humiliation de la situation créent exactement le sentiment de confusion que je recherche et qui m’excite d’une manière que j’ai renoncé depuis longtemps à comprendre. Quelques coups de cravache secs sur le haut de mes cuisses à travers le tissus de ma robe. Tu fouettes aussi mon ventre, pas trop fort. Heureusement.
-« Tiens ça ! »
Tu places la cravache entre mes dents. Et tu te plantes en face de moi. Tu défais les boutons de ta chemise, enlèves tes chaussures et ton pantalon sans gène ni fausse pudeur. Tu te mets entièrement nu juste devant moi. Bien sûr tu bandes. Mon cœur bat plus fort. Je suis encore vêtue alors que toi, tu es nu. Mais comme je suis attachée c’est bien toi qui domine. Cela ne fait aucun doute. D’ailleurs tu passes derrière moi et tu relèves ma robe le long de mes cuisses. Tu fais cela lentement. Je sens ta queue qui effleure mes fesses et je ne peux m’empêcher de me cambrer, ne laissant aucun doute sur mon désir.
-« Mais c’est qu’elle est déjà en chaleur la petit chienne ! »
Je tends pathétiquement mon cul vers toi. C’est ridicule. Je sais très bien que tu ne vas pas me baiser tout de suite évidement !
Tu dénoues facilement la ceinture de tissus qui cintre la robe au niveau de ma taille. Et tu remontes les pans de ma robe jusqu’à ma bouche. Tu récupères la cravache et foure à sa place le bas de ma robe froissée dans ma bouche.
-« Garde moi ça bien dans la bouche. Petite salope. Comme ça ta robe est bien relevée. Tu peux gémir mais interdiction de crier. Ok ? »
-« Humm Humm » je fais signe de la tête que j’ai compris.
Les coups de cravache sur mes fesses sont secs mais pas trop violents. Après une dizaine de coups je sens quand même la brûlure au niveau de mes fesses les gémissements à chaque nouveau claquement de la cravache viennent naturellement. Tu remarques que le devant de ma petite culotte blanche devient humide. Tu passes la cravache entre mes cuisses pour frotter un peu mon petit abricot.
-« Mais c’est qu’en plus elle a l’air d’aimer être punie la petite salope ! »
Je me reprends une dizaine de coups sur les fesses. Plus forts cette fois. Tu baisses d’un coup ma culotte et frappes à nouveau là où le coton protégeait un peu ma peau. Maintenant c’est douloureux et même si je mouille comme une salope je commence à sentir les larmes me monter aux yeux. C’est le moment que tu choisis pour écarter mes fesses rouges. Tu lubrifies le manche de la cravache sur mon abricot trempé avant de le presser contre mon anus. Le cuir est lisse et le manche peu épais. Ça rentre tout seul. Tu laisses la cravache enfoncée dans mon cul. Elle tient toute seule. Tu passes devant moi pour me montrer ta queue. Tu as l’air de bander bien dur et ta queue me semble autrement plus grosse que le manche que j’ai dans le cul.
-« Tu as l’air d’aimer en prendre plein le cul on dirait hein ? »
Je ne réponds pas. J’ai toujours ma robe dans la bouche et je sais qu’il vaut mieux pour moi que je ne te provoque pas. Tu tiens mes joues dans ta main et tu presses pour me faire recracher le pan de ma robe. Gros baiser baveux avec la langue. Je ne résiste pas mais je me garde de te rendre ton baiser sachant que me voir soumise à ta merci t’excite plus que si je donnais trop l’impression d’y prendre moi aussi plaisir. En m’embrassant tu mets la main entre mes cuisses et glisse deux doigts dans ma chatte lisse et trempée. Par réflexe j’avance mon bassin avide de plus de caresses.
-« T’es une vraie bonne salope dis donc toi. »
-« Oui, j’avoue, tu m’as démasquée. »
-« J’ai fort l’impression que tu veux te faire enculer. Non ? »
-« Oui, s’il te plaît, je t’en supplie, encule moi. Mon cul n’attend que ça. Mais détache moi, j’ai un peu mal aux bras. »
-« Tsss, Tsss. D’abord je t’encule. Après on verra, si j’ai aimé ton petit cul peut être je te détacherai. Mais faut me promettre d’être bien sage. »
-« Tout ce que tu veux. Je suis à toi pour tout ce que tu veux. »
Tu enlève la cravache de mon cul et me la remet entre les dents. Le cuir est un peu sâle, je ne vous fais pas un dessin. Mais je prends dans ma bouche docilement. La queue qui se presse entre mes fesses me semble alors bien grosse et surtout très dure. Tu me tiens fermement par la taille et tu t’enfonces d’un coup de reins. je crie et laisse tomber la cravache. J’ai peur que tu m’en veuilles pour ça mais tu ne fais pas de remarque et tu entreprends de me pilonner méthodiquement en agrippant ma taille. Chaque coup de rein qui claque contre les fesses m’arrache un cri. J’espère qu’il n’y a pas de voisins. Tu attrapes le haut de ma cuisse et m’oblige à lever une jambe. Je suis très inconfortable sur une jambe, les bras en l’air toujours menottée. Je crie et je jouis comme une possédée. Quand tu décharge enfin dans mon cul tu cries en même temps que moi, les ongles enfoncés dans la chair de ma cuisse. Tu restes un peu en moi. Et, enfin, tu me détaches. Je m’écroule au sol. Mais tu me relèves et me conduit chancelante vers la chambre où un grand lit propre ne semble attendre que moi.
-« Tu es une bonne salope. Tu mériterais que je te punisse à nouveau. Mais j’avoue que ton cul m’a bien plu. Alors tu peux reprendre un peu ton souffle. Je pense que tout a l’heure j’aurais bien envie de voir si tu suces aussi bien que tu te fais enculer. »
Je m’affale sur le lit. La soirée ne fait que commencer. Mais elle commence bien…
laissez vos commentaires. Retrouvez moi ici (Là fille brune avec une culotte blanche et un pseudo qui commence par un L)
Coquine en minijupe Vichy
J’ai mis, pour notre rendez vous, une robe Vichy à petits carreaux rouges et blancs. Jambes nues, socquettes blanches, souliers vernis à talons plats. String en dentelle et push-up qui fait pigeonner mes gros seins au décolleté de la robe. Rouge à lèvres brillant soigneusement appliqué. Teinte Chanel Coco flash hors de prix plus rouge qu’une Ferrari. En plus de sa couleur, ce que j’aime avec ce rouge à lèvres c’est qu’il déteint juste comme il faut à chaque baiser. J’aime savoir qu’en regardant ta queue et ton bas ventre tu apprécieras les traces de rouge à lèvre que j’y aurai laissé. Si c’est ta femme qui voit ça je doute que tu trouves une bonne explication à temps !
Rendez vous au Lumière Terreaux, cinéma d’art et d’essais de Lyon. Un lieu public, donc rassurant pour commencer, mais parfait pour nos préliminaires. La salle est clairsemée, nous sommes seuls au dernier rang. J’ai volontairement joué la timide réservée jusqu’au début du film. Bises sur les joues pour dire bonjour, jambes serrées droite sur mon fauteuil et mains sur les cuisses. C’est à peine si j’ai accepté que nos épaules se touchent légèrement.
Dans nos échanges aussi sur internet je suis volontairement restée évasive, ne cachant pas que j’étais mariée et en plein questionnement mais laissant croire que je n’étais pas non plus totalement sûre de vouloir basculer dans l’adultère. Mes photos de profil, bien que sobres laissaient deviner un corps très désirable. C’est cela qui t’a convaincu que malgré le discours prise de tête et hésitant ça valait le coup d’insister. Tu m’as servi le discours habituel, tu n’attendais rien de moi, tu me comprenais et étais juste content de me rencontrer sans que rien ne soit obligé ou convenu d’avance. En me voyant devant le cinéma, joli bonbon bien emballé, tu as commencé à deviner ta chance.
Dès que la lumière s’est éteinte j’ai pressée un peu plus mon épaule contre la tienne et je n’ai pas repoussée ta main sur ma cuisse. J’ai même tourné la tête pour un premier baiser sur la bouche. J’adore les premiers baisers. Les lèvres tièdes, découvrir le goût d’un nouvel amant. Faire comprendre rien qu’en l’embrassant que je suis une excellente suceuse.
Ton baiser est comme je les aime. Sans timidité, accompagné d’une main baladeuse qui remonte sous ma jupe en Vichy. J’écarte imperceptiblement les jambes pour que ta main puisse juste passer entre mes cuisses. Mon string est vite écarté. Tu n’imagines pas l’effet que me fait le doigt qui perce mon petit abricot juteux. C’est juste indescriptible. J’ai peur de gémir et de faire se retourner le rang de devant. Alors je repousse, à contre cœur, ta main. Une furieuse envie de sucer me fait glisser de mon fauteuil sur la moquette épaisse. Je suis un peu à l’étroit mais, heureusement, il n’y a personne assis sur le fauteuil devant le tien. Tu me laisses défaire les boutons de ton jean. Je commence par embrasser la bosse qui tend ton caleçon. J’aime comme tu caresses mes cheveux. Je tire sur ton jean pour dégager tes cuisses. Tu es bien foutu, musclé, pas trop velus. Je lèche un peu pour le plaisir du goût de ta peau. Ce n’est pas très pratique mais je parviens à baisser ton caleçon et à libérer la colonne de chair objet de ma convoitise. Je lèche en te regardant droit dans les yeux par en dessous. J’embrasse partout. L’intérieur de tes cuisses, tes couilles, ton gland sur lequel je laisse un peu de rouge à lèvres. Puis je fini par sucer. Lentement, bien à fond. Presqu’à m’en étouffer. Je suce jusqu’à ce que tu n’en puisses plus et que tu éjacules dans ma bouche. J’avale. J’adore avaler, j’aime le goût de ton sperme. Celles qui me lisent et qui en ont fait l’expérience peuvent me comprendre. Sachez messieurs que votre sperme n’a pas le même goût que celui de votre voisin. Le foutre est comme le vin. Quand on sait l’apprécier on sait que chaque amant produit un nectar différent, unique. J’avale et je garde ton sexe turgescent qui débande lentement entre mes lèvres. J’essuie ta queue et tes cuisses avec le bas de ma robe avant de remonter ton caleçon et ton pantalon. Puis je me rassois, sage à nouveau, à côté de toi. Je me penche et te demande à l’oreille : « Tu sais où on peut trouver un hôtel pas loin ? »
==> retrouve moi ==> RobeVichy
3 652 viewsPetit plan cul sans chichi
Je t’ai contacté sur un site de rencontre adultère. Je ne t’ai pas caché être une bonne petite salope en manque de sexe prête à beaucoup pour une belle queue. J’ai mis, pour te rencontrer dans une bodega de Perpignan, un mini short et un justaucorps moulant parfait pour mettre en valeur mes gros seins. La bodega est pleine de monde. C’est toujours plus rassurant de donner rendez vous à un inconnu dans un endroit avec du monde. Forcément je suis comme sur ma photo de profil alors tu me reconnais tout de suite. Je viens direct à toi, sans me soucier du regard des mecs qui mâtent mon petit cul serre dans mon microshort. Je ne suis pas la seule jolie fille dans la bodega ce soir là. Je me colle à toi : « Salut, merci d’être comme sur tes photos. Parfois les mecs trichent. Je suis contente. Je te plais ? »
-« Heu…oui. Carrément ! Tu es canon ! »
-« Canon et très salope. Faudra pas te gêner, ce soir j’ai envie que tu me fasse tout ce que tu veux. Je peux t’embrasser ? »
Sans te laisser le temps de répondre je me pends à ton cou et presse mes lèvres sur les tiennes. J’embrasse comme une petite salope. Avec la langue nerveuse, en suçant pour que tu n’aies aucun doute sur le fait que tu vas avoir mes lèvres sur ta queue dans pas longtemps. J’embrasse en me collant à toi pour que tu puisses apprécier mes gros seins tièdes et fermes.
-« On s’en fou qu’il y ait du monde. Pelotes moi le cul. »
Tu mets tes mains sur mes fesses fermes et j’aime ça. Ta langue n’est pas mal non plus. Il ne faut pas croire qu’il n’y a que le sul qui m’intéresse. Je suis une fille qui aime aussi la fête. Passer la soirée à danser dans une bodega peut aussi me brancher. Mais la vérité est que ce soir du mois d’août je suis en vacances et que l’on mari risque de se douter de quelque chose si je passe plus d’une heure loin de notre appartement.
-« On va chez toi ? J’ai qu’une heure avant que mon mari ne se doute de quelque chose et j’ai très envie de te sucer et de faire ma pute. »
-« Humm, ça me va très bien comme programme. »
Tu as le bon goût de disposer d’un garçonnière à deux pas de la bodega. Chambre de bonne au dernier étage d’un vieil immeuble du centre-ville. Dans l’escalier je te laisse me mettre la main au cul. Je me pends à ton cou pendant que tu te débats avec ton trousseau de clefs.
-« Tu vas me traiter comme une salope j’espère… »
Normalement je ne suis pas aussi directe. J’ai trop peur de faire fuir le mec. Mais cette fois la couleur était annoncée dans nos échanges sur internet. La claque que tu m’assennes sur la fesse me prouve que je n’ai pas tord. C’est une claque comme j’aime, franche, avec la main qui reste sur mon cul et tâte la marchandise.
-« T’inquiète ma jolie, je vais bien m’occuper de toi. »
Tu tournes la clef sans lâcher mon cul. Je découvre ta garçonnière. C’est propre et meublé avec goût. Machine à café chromée, grand canapé Togo, Tapis marocain en laine épaisse et table basse en verre ovale très années 70.
-« Jôli, c’est chez toi ? »
-« Oui, je le mets en Airbnb en général. Mais on n’est pas là pour parler immobilier… »
Tu tires sur mon justaucorps pour passer tes mains sur ma poitrine. J’aime ça, je m’intéresse à ton pantalon alors que tu me pousses vers le canapé. Je suis vite en soutif et toi debarrassé du bas confortablement affalé sur le canapé Togo près du sol. Ma langue passe sur tes couilles. Tu bandes long et dur. À genoux entre tes jambes je suis dans la position parfaite pour une branlette espagnole. Le secret pour une bonne branlette espagnole c’est de bien choisir le soutien gorge et de le garder pour que la queue reste bien logée entre le mamelles sans avoir besoin de serrer avec les mains. Les mains c’est fait pour pelotter les fesses par exemple. Ton sexe passe juste sous mon soutif et tient parfaitement dans le creux entre mes beaux seins. Doux va et vient en plantant mes yeux dans les tiens. Te branler me donne chaud, je sens que je commence à mouiller. Tu te laisses faire et profite du spectacle un moment. Heureusement tu as l’esprit d’initiative et tu empoignes ma queue de cheval. Tu te laisses branler encore un peu entre mes seins avant te me tirer vers toi pour me parler à l’oreille : « Tu m’as l’air d’être une vraie salope toi dis donc. »
-« Ouai, tu veux que j’te suce ? »
-« T’inquiètes, tu vas l’avoir dans la bouche…Mais pas tout de suite, elle est trop propre pour toi. »
Tu me pousses sur le canapé, les genoux au sol. Je reçois une bonne claque sur les fesses.
-« Baisse moi ce petit short de pute ! »
J’obéis, trop contente d’exposer mon petit cul rebondi. Je fais glisser mon mini short sur mes cuisses pour dévoiler un string de dentelle blanche. Tu découvres un joli petit cul, mes fesses offertes, le string dans la raie, un bel abricot juteux sous un voile de dentelle. Tu passes un doigt juste sur la dentelle, pour tâter le petit fruit. Ton doigt qui presse délicatement sur mon con gonflé me fait me cambrer pour demander plus de caresses. Mais la tentation offerte par mes fesses est trop forte et tu laches une première claque qui me surprend. Mais je garde mes mains sur les côtés de mon mini short, baissé sur mes cuisses, le cul tendu, fesses offertes. Je suis prête pour la fessée. Et toi, frappe juste comme il faut. Sans hargne ni méchanceté. Mais fermement, efficacement, du plat de la main en prenant soin de bien faire claquer à chaque tape. Mes fesses doivent rougir. Je résiste une bonne vingtaine de coup avant de demander grâce.
-« Aïe ! Pitié. Je ferai ce que tu veux mais arrête la fessée. »
Tu te penches sur moi.
-« Oh ! Pardon, j’y suis peut être allé un peu fort. Tu mérites un peu de réconfort. »
Tu t’intéresses à nouveau au petit abricot juteux caché sous la dentelle. Tu caresses délicatement, tu passes la langue sur mes fesses rougies. Ça pique mais je mouille et trempe la dentelle du string. Tu continues de lécher mes fesses tout en massant mon sexe à travers la dentelle du string. La douleur qui se mêle au plaisir me rend folle. J’en gémi en serrant les fesses. Lorsque tu écartes mon string sur le côté je suis trempée. Ton doigt glisse tout seul dans ma chatte. Je ne peux m’empêcher d’attraper ton poignet pour te retenir en moi. Tu me débarrasses complètement de mon minishort et tu saisies mes chevilles pour me prendre en position de la brouette. Ta queue rentre toute seule dans ma chatte trempée. Chaque coup de rein ravive un peu la douleur sur mes fesses rougies par la fessée. Ça pique mais c’est très supportable.
-« Hummm, oui, encore, je jouis, encule moi aussi quand tu veux. »
Tu me fais bien jouir comme ça. Tenue par les chevilles, jambes pliées je commence à avoir des crampes et quand tu me lâche d’un coup je m’affale sur le canapé. C’est ce moment que tu choisis pour écarter mes fesses et presser ta queue contre mon anus. Tu craches pour lubrifier un peu et tu forces le passage. Je crie quand mon anus cède. Tu me prends par les cheveux et me defonce sans retenue. Autant la fessée était gentille, autant là chaque coup de rein m’arrache un cri. Tu te retires d’un coup pour et me tire par les cheveux pour que je me retourne.
-« Tiens tu voulais sucer ? C’est le moment ! »
Je me prends une magistrale ejaculation faciale. Ta main sur ma nuque est d’un coup moins brusque, tu ne me forces plus, la pression est douce et indique juste ce dont tu as envie maintenant. Je ne résiste pas. Moi aussi j’en ai envie et je lèche ta queue qui débande. Le goût salé du sperme m’apaise. J’ai presque envie de rester dormir. Mais je sais qu’il faut que je rentourne à ma voiture pour me changer, remettre le vieux jogging informe avec lequel je suis partie pour soit disant faire une petite heure de footing. Pas trop le temps de traîner. Je suis en vacances et qui dit vacances dit mari. Mais putain coque c’était bon ce petit plan cul sans chichi. Merci ! Mille fois merci !
La première fois que j’ai fauté
Si vous aimez me lire dites le moi en commentaire. Sur cinqasept je suis @LucieBovary parfois, ou @PrincesseDeC, ou encore @DispoCeSoirPerdueDemain.
Cette histoire je ne l’ai jamais racontée. A vrai dire je l’avais presqu’oubliée. Ou plutôt je m’en suis toujours souvenue. Mais comme elle ne donnait pas une bonne image de moi j’avais choisi de ne pas m’en rappeler. A cette époque j’ai 21 ans, je suis en couple depuis un peu plus d’un an. Je suis très différente d’aujourd’hui. Un peu prude. Issue d’un milieu plutôt bourgeois je pense que la fidélité est importante et défini même le couple. Pour moi être fidèle est une règle naturelle. Une question de principe. J’aime mon petit ami, sans parler de mariage, encore moins d’enfants nous avons des projets ensemble. Une virée entre copains va pourtant un peu changer la donne. Nous visitons le désert de Bardenas, en Espagne. Encore étudiants, aidés par les parents mais quand même pas trop nous dormons à sept dans un petit appartement sans climatisation. Le salon est occupé par deux couples tandis que mon copain et moi partageons une petite chambre avec le meilleur ami de mon mec. Nous dormons dans le lit deux places et le troisième, seul célibataire de la bande, occupe, à côté, un matelas a même le sol. Le premier soir, après avoir marché toute la journée sous le soleil hiberique et bu quelques sangria dans l’appart, nous somme vannés et nous couchons vers minuit. Assez tôt donc compte tenu de notre jeune âge ! Vers deux heures du matin un léger bruit répétitif me réveille. Je me souviens de l’heure car il y avait un gros réveil à affichage digital rouge sur la table de nuit. Je ne mets pas longtemps à comprendre d’où vient le bruit. L’ami de mon mec se branle. Comme il doit faire facile trente degrés il n’a même pas le drap sur lui, il est en caleçon et a juste sortie sa queue qu’il astique lentement. La nuit est claire et nous avons laissé les volets ouverts pour avoir un peu d’air. Fascinée je n’ose pas bouger mais je ne veux pas non plus refermer les yeux. Je suis complètement excitée. Il n’a pas remarqué que je le mate. Le plus lentement possible, à demi consciente de ce que je fais, ma main glisse sous le drap vers ma culotte. Au moment où j’atteins le bord du slip en dentelle le mouvement attire son attention et il me voit. Et là, au lieu d’être gêné, il plante ses yeux dans les miens et continue à se masturber encore plus lentement. Je suis hyper troublée et je m’aperçois que je mouille vraiment beaucoup. C’est au moment où mon mec bouge que je me rend compte du bruit de succion que je produisais en me caressant. Je m’arrête instantanément, le majeur profondément enfoncé dans mon petit con tout mouillé. Et là mon mec se met à ronfler. Je dois être pivoine. Le copain sur le matelas par terre ne m’a pas quittée des yeux. Il hausse les sourcils et reprend sa branlette très lentement. Impossible de m’empêcher de me masturber en même temps que lui. Comme mon mec ronfle bruyamment j’ai moins peur de le réveille et j’y vais sans retenue. Je jouis en ouvrant la bouche, un cri muet. Il éjacule sur son ventre. Il m’attrape le poignet et tire vers lui. Je touche son sperme c’est tiède et visqueux mais très excitant. J’ai une envie irrésistible de goûter. Je ne sais pas à cette époque quel goût a le sperme. J’avoue que je ne me souviens plus très bien de la sensation gustative. Mais je sais que j’ai aimé et que j’ai tendu la main pour en reprendre. Il s’est essuyé ensuite avec son caleçon qu’il avait fini par enlever et il a remonté le drap sur lui. On s’est regardé longtemps sans rien dire. Puis on a fini par dormir. Le lendemain toute la journée on n’arrête pas de se jeter des regards. Je suis très troublée. Mon petit copain me semble plus tactile que d’habitude. Ou c’est peut être juste que je suis tellement obnubilée par ce qui s’est passé dans la nuit que je le remarque plus. Mais comme le copain me regarde je me force à répondre aux avances de mon petit ami pour voir la réaction de son pote. J’ai les tétons qui pointent sous mon débardeur toute la journée et ma bande de pote n’arrête pas de me charrier sur le sujet. Je rougi comme une tomate. Mon visage est assorti aux coups de soleil que j’ai sur les épaules. On passe une partie de l’après midi au bord d’une rivière. J’ai très we vie de m’échapper et de m’isoler pour que le copain de mon petit ami me rejoigne. Mais pas moyen de faire ça sans risquer de se faire remarquer. J’attrape un gros coup de soleil sur les fesses et mon petit copain décide qu’il doit me passer de la crème protection 60 pour m’appairer. Je dois le laisser me masser les fesses. C’est gênant. Mais pendant qu’il le fait je croise le regard de son copain et je lui fais : « Désolée » en silence. Je mime juste les mots et il me répond « pas grave » de la même manière. J’ai les boules parce que je sais que mon copain va vouloir baiser ce soir vu comme il est tactile toute la journée. Heureusement notre groupe décide de sortir dans une bodega le soir. Mon copain boit beaucoup et dès que son verre de sangria est vide son pote ne manque pas de le lui te remplir. Sangria, tapas, puis Rhum arrangé. Je remarque que le copain de mon mec ne bois paresque pas. Je décide de faire comme lui. Je passe vite à l’eau gazeuse sans que ça ne se remarque trop. Les autres ont passé le stade où l’on arrête de compter les verres. Quand nous rentrons à l’appart nous ne sommes plus que deux à marcher droit. Mon petit copain me pelote sans se soucier des autres et une fois dans la chambre il semble avoir complètement oublié qu’on n’est pas que tous les deux. Il se met à poil et cherche à m’embrasser les seins. Je le repousse gentiment : « Dodo, t’es trop bourré ! »
-« Ouai, t’as raison mais couche toi avec moi. »
Il me prends avec lui pour que je me couche contre son dos il tient mes mains contre sa poitrine et se couche sur le côté. Je reste contre lui en me disant qu’il va vite s’endormir. A ce moment je n’ai pas du tout l’intention de le tromper. J’imagine juste qu’on va gentiment se masturber à distance comme la nuit d’avant. Mais je sens le copain de mon petit ami qui se glisse dans mon dos contre moi. Je suis prise en sandwich. Mon mec n’est même pas encore complètement endormi. Il tient mes mains comme si j’étais son doudou. L’autre derrière moi à un opinel et il entreprends de couper les bretelles de mon débardeur. Il m’embrasse dans le cou. Je ne sais pas à quel point mon petit ami est bourré et j’ai peur que la plaisanterie ne tourne mal. En même temps je suis très excitée. Le copain me débarrasse de mon string et se met en cuillère derrière moi. Sa queue rentre comme pas magie dans ma chatte bien lubrifiée et je ne peux m’empêcher d’onduler lentement en rythme avec lui. J’ai l’impression que ça fait un bruit de succion qui pourrait s’entendre dans la pièce à côté. Mon mec se met à bouger : « Humm, tu fais quoi ? »
-« Rien, heu…j’essaie de dormir… »
Pas d’autre choix que de le serrer dans mes bras et de me coller contre son dos. Il grogne un truc, genre bonne nuit, mon poussin. Heureusement l’autre a arrêté de bouger. Sa grande queue est bien au chaud dans ma chatte. Je n’ose plus bouger. La respiration de mon petit copain se fait plus ample et régulière. Moi je retiens mon souffle. Le copain passe sa main sur mon ventre, j’essaie de m’écarter un peu de mon mec mais il tient toujours mes bras dans son sommeil. Je me mord les lèvres et serre les cuisses. J’ai à nouveau envie de sentir le va et vient de la belle queue et je bouge prudemment le bassin. Je pense que mon mec s’est endormi mais je n’en suis pas certaine à cent pour-cent. Ça m’excite encore plus. Le copain de mon mec me fait un suçon dans le cou. J’essaie de me dégager car je ne me vois pas trop expliquer ça demain à mon petit ami. Mais il me chuchote à l’oreille : « T’auras qu’à lui dire que c’est lui qui te l’a fait. Il est rond de toutes façons. Bouge pas, faudrait pas qu’il se réveille… »
Il soulève ma cuisse et place un gros coussin entre mes jambes. J’ouvre la bouche pour dire : « Non » mais il plaque sa main sur ma bouche : « Chuttt, tu vas me réveiller ! » Il tasse les coussins en haut de mes cuisses et je sens comme un gel froid couler sur mes fesses. A l’époque je suis débutante et je n’ai jamais utilisé de lubrificateur anal. Mais je devine instantanément que c’est ça. Je fais non de tête. J’ai peur et je suis malgré tout excitée. Il masse en petits ronds concentriques autour de mon anus tout en murmurant : »chhhhuuut ». Comme si j’allais faire du bruit pour réveiller mon mec ! D’autant que je suis de moins en moins sûre de ne pas en avoir envie. Il a ajouté un second coussin. Allongée sur le côté j’ai la jambe bien relevée et je sens sa queue raide contre mon anus tandis qu’il empoigne ma cuisse. Les mains toujours tenues par mon mec qui dort je fais de mon mieux pour relever la jambe le plus possible et écarter les fesses. Quand il pousse je me cambre pour transmettre le moins de mouvement possible à mon mec qui a comencé à ronfler. Ça rentre d’un coup et il met sa main sur ma bouche juste à temps pour m’empêcher de crier. Mon mec doit envie une sacrée cuite pour continuer à ronfler alors que l’autre m’encule en faisant de moins en moins attention. C’est douloureux mais j’enchaîne en même temps les orgasmes. J’ai envie de bouger pour qu’il accélère la cadence je veux le sentir ejaculer dans mon cul. Mais je n’ose pas faire plus que des mouvements retenus et je suis obnubilée par les ronflements de m’on mec que je surveille comme le lait sur le feu de peur qu’ils ne s’arrêtent. Quand il jouit en moi il agrippe mon gros sein et presse à le faire rougir. Je mords sa main toujours dur ma bouche. On s’arrête de bouger. C’est à se moment que mon mec arrête de ronfler et émerge. Heureusement il ne se retourne pas. Il sert mes bras contre lui : « Hummm, arrête de te masturber. Tu vas réveiller Paul. Promis demain je bois pas. À Barcelone on aura une chambre rien qu’à nous. »
3 903 viewsBaisée en leggings
Legging sexy et basquettes roses
Faire du sport et lever un plan cul demande une certaine dose de savoir faire mais aussi un certain culot. Cela même lorsque l’on est une fille sexy qui n’a pas froid aux yeux et chaud au cul. D’abord je repère un parcours de running et une heureuse victime masculine grâce à l’application runastic. Je suis régulièrement en déplacement professionnel dans les mêmes villes et, loin du domicile conjugal, je me sens libre de corp et d’esprit. Enfin surtout de corps, car dans la tête ça turbine toujours pas mal, j’y peux rien.
Ce n’est pas toujours vrai, et bien sûr il n’y a pas de règle établie. Mais j’ai pu remarquer que lorsque je me déguise en salope sexy un peu naïve les hommes se lâchent plus facilement. Et un amant qui se lâche, surtout lorsque c’est dans mon petit cul ça me rend totalement folle a tout en oublier. Le temps de quelques heures je suis vraiment celle que je prétends être.
Ce jeudi de début d’hiver il fait frisquet à Rodez. J’ai repéré un joli parcours d’une quinzaine de kilomètres en partant de mon Airbnb près du musée Soulage. J’ai surtout repéré un jogger qui fait régulièrement ce parcours les jeudis en fin de journée. J’ai choisi ma cible pour la régularité quasi maniaque de ses entraînements. Je ne sais de lui que son sexe, son âge (54), ses perfs bien sûr mais je ne connais pas son visage. Cela m’est égal. J’ai très envie d’un plan cul et je n’ai pas l’intention de rentrer bredouille. Mais avec mon beau petit cul bien moulé dans un legging fushia et mes basquettes roses je suis assez confiante quand je l’aperçoit une dizaine de mètres devant moi. Grand, belles fesses et jolis molets. Cheveux poivre et sel, avec plus de poivre que de sel. Sur le parcours il y a une sorte de grande boucle que l’on peut couper. Je prends le raccourci pour passer devant incognito et qu’il découvre ma silhouette de dos au sortir du grand virage. Je sais d’avance son parcours et son allure. Le type cours à peu près comme moi mais je sais que si je m’accroche il devra aller plus vite que d’habitude pour me rattraper. Ce qui serait un bon indicateur de sa motivation. Je n’ai pas à attendre bien longtemps. Quand il arrive à ma hauteur je sais qu’il a eu le temps de bien mater mon petit cul de salope. Je dis salut et je souri. C’est fou comme parfois un seul regard, une expression de visage ne laisse aucun doute. Je lui plais c’est aussi certain que moi j’ai envie de lui. Mais je sais que même déguisée en salopette joggueuse sexy en leggings ça peut foirer si je précipite les choses. Il reste une heure sur le parcours à ce rythme nous courons côte à côte. Pas la peine de parler trop tôt. Je me contente de tourner la tête parfois pour le regarder et sourire. Un peu avant mi parcours je suis en nage. Il a insensiblement ralenti pour rester à mon rythme. Je le sais. J’aurais très bien pu aller plus vite mais lui ne le sait pas et pour engager la conversation il doit ralentir. Il s’appelle Stephane, moi je choisi Carole. Je suis de passage à Rodez, seule en déplacement professionnel avec un joli Airbnb où je me sens un peu seule. J’accélère pour lui montrer que je suis endurante et aussi pour que l’on soit un peu essoufflés. L’hypoxie aide à baisser les barrières et à suivre son instinct ou ses envies. Nous courons côte à côte. Si près que parfois nos coudes se frôlent. Et quand je ralentis pour m’arrêter essoufflée il ne continue pas. Je me penche en avant, les mains sur mes cuisses. Il me demande si ça va, posé une main protectrice sur mon épaule.
-« Oui, ça va. Mais il fallait que je m’arrête j’avais trop envie de ça ! »
Et me jette a son cou et l’embrasse sur la bouche. Il me rend mon baiser sans réfléchir. J’aime sa langue, ses mains sur mes hanches qui n’osent pas encore descendre à mes fesses. Mes gros seins contre sa poitrine. Nos sueurs mélangées. Ce baiser long, langoureux, mes lèvres nerveuses qui savent faire deviner que je suis de ses salopes qui aiment sucer.
-« On court jusque chez moi ? » J’hésite à ajouter : « Ou tu préfères me prendre en leggings derrière un arbre? » mais je sais que ce serait trop et que je risquerais de tout gâcher. En plus j’ai trop envie de ramener mon plan cul à mon Airbnb pour en profiter plus qu’un coup vite fait. Si possible jusqu’au matin et par tous les trous.
Heureusement la boucle de notre parcours est presque bouclée et même si le dernier quart d’heure me parait durer une éternité je cours le cœur léger car je sais qu’il ne peut plus m’échapper.
Il y a trois étage à monter pour arriver à mon Airbnb. C’est un immeuble ancien avec des appartements hauts sous plafond et même si nous sommes chaud monter ces marches accélère encore mon rythme cardiaque. Je le tiens pas la main et je joue l’entraîneuse jusqu’à ma porte. Pour aller courir j’ai laissé les clefs sous le paillasson. Et je me baisse en prenant soin de garder les jambes bien tendues pour qu’il puisse admirer mon cul moulé dans son legging. Toujours baissée, je tourne la tête : « Tu peux toucher avec les mains aussi, pas qu’avec les yeux. »
Il est un peu maladroit mais sa main qui se pose sur ma fesse bombée me fait un bien fou. J’en profite pour m’étirer. C’est important après la course ! Il tâte un peu moins maladroitement. Pas idéal pour faire baisser mon rythme cardiaque…Je me saisit de la petite clef plate et me relève pour lui faire face et l’embrasser en posant habilement la main sur le renflement de son short. Il essaie de me prendre dans ses bras mais je le repousse : « tss tss, je suis pas une adolescente qu’il faut apprivoiser. Si tu me suis chez moi, il va falloir assurer autant qu’à la course. T’as déjà donné une fessée ? »
-« Hum, j’avoue, non. Mais j’ai bien envie d’essayer. »
Je lèche son cou doucement. J’aime le goût salé de sa sueur.
-« Je te laisse prendre les rênes alors… »
J’ouvre la porte et le laisse me pousser à l’intérieur de l’appartement. C’est un petit loft, très haut sous plafond. En bas un canapé en velour gris, une table basse en plexiglas, une petite table ronde entourée de 4 chaises avec un coin cuisine. Le lit est en haut d’une mezzanine accessible par un escalier à pas décalé aussi raide que la queue de mon plan cul.
-« Tu m’as l’air d’un drôle de numéro de salope quand même. »
J’aime qu’il me parle comme cela. Un instant j’ai eu peur qu’il se dégonfle comme ça arrive parfois. Mais, même si ça se voit qu’il n’est pas très à l’aise et que c’est une première pour lui, il se prend au jeu et me pousse vers le canapé. Derrière moi il passes les mains sous mon sweat-shirt pour tâter mes seins. Je me laisse faire tout en enlevant mon sweat par le haut. Je défais l’attache de ma brassière de sport pour libérer mes gros seins. Sa petite salope est maintenant seins nus en leggings et snikers roses. Je le laisse me peloter par derrière et m’embrasser dans le cou en pressant mes seins. Je sens son sexe contre mes fesses à travers son short et mon legging. Comme j’ai envie d’un peu mieux qu’un plan gros câlins tendres et attentionnés je me mets à genoux au pied du canapé en espérant qu’il comprenne où je veux en venir. La main qui se glisse instantanément entre mes cuisses me rassure. Un doigt presse juste là où il faut l’abricot qui commence à devenir juteux. Il masse mes fesses et les embrasse à travers le legging. La première claque me fait tressaillir. Mais je me cambre et je baisse de moi même mon legging pour lui offrir la chair de mes fesses nues et encore intactes. J’ai gardé un petit string de dentelle qu’il pourra arracher ou faire glisser sur le côté quand il voudra.
-« Je crois que j’ai mérité un bonne fessée non ? »
-« C’est clair, tu es vraiment une salope toi ! »
Il claque du plat de la main. Un peu timidement à mon goût. Il est novice en matière de fessée. Je garde les mains de chaque côté du haut de mes cuisses, tenant mon legging et je relève un peu mes fesses en cambrant bien les reins. La claque qui vient ensuite est plus assurée, avec un joli bruit, bien net. Je lâche un petit : « Han ! » suivi d’un « Hummm… » légèrement gémissant. Il se penche vers moi et prend ma queue de cheval à pleine main pour venir chuchoter à mon oreille : « Tu aimes ça, hein ? »
-« Hummm, oui, je suis ta petite salope. T’arrête pas tant que mes fesses ne sont pas bien rouges. Tu veux bien me prendre sur tes genoux ? »
Il s’installe sur le canapé sans lâcher mes cheveux et me place à plat ventre sur ses genoux. J’aurais aimé qu’il retire son short pour sentir sa queue contre mon ventre. Je m’en charge comme je peux sous moi. Il relève le bassin pour me faciliter la tâche. Il bande bien dur. J’aime la sensation de sa queue sur la peau nue de mon ventre. Il prend le temps de caresser mes fesses et s’attarder lentement un doigt le long de ma raie du cul. J’ai toujours mon string de dentelle blanche. Je me tortille un peu sur lui pour sentir sa queue rouler sous mon ventre en sueur.
-« S’il vous plaît, pardon, j’ai été vilaine, mai je promets d’être une gentille fille… »
Sa main s’abat enfin sur mes fesses. Il frappe enfin bien comme il faut. Un belle fessée claquée avec un bruit d’applaudissements.
-« Han ! Han, pardon, promis je ferai tout ce que vous voudrez. Dites moi ce que vous voulez de moi. Han ! »
-« Tu vas me sucer ? »
-« Oui, oui, je vais sucer comme une bonne salope que je suis. Tout ce que vous voulez. »
Je prends une bonne fessée à coups bien rapprochés. Quand il s’arrête c’est pour se pencher sur mes fesses et souffler dessus. Ça piquotte.
-« Et tu vas me sucer comment petite salope hein ? »
-« Hum, à fond, en branlette espagnole. J’ai trop envie de ta queue. Je vais te sucer sous la douche comme une vraie pute. »
Nouvelle fessée. Plus forte cette fois. Douloureuse. Enfin douloureuse ! Cette fois quand il s’arrête il écarte la dentelle de mon string et je sens un doigt se presser sur mon anus. Je suis un peu contractée mais il force le passage et son doigt fini par rentrer. Je lâche un petit cri. Il laisse son doigt bien au fond de mon cul et essaie d’enlever ses running qu’il a gardé. Comme j’ai les mains libres je défais ses lacets. Il presse sa main contre mon cul, un doigt toujours bien enfoncé. Il ôte ses running et je fini de le débarrasser du short qui était tombé sur ses chevilles. J’aime ses molets très musclé et poilus. Quand il sort son doigt de mon cul il l’essuie sur mes fesses.
-« Tu es une salope sâle ! Tu as besoin d’une douche, pas question que je continue avec un cochonne comme toi ! »
Cela peut vous paraître étrange mais quand un mec me parle ainsi ça me rend dingue. Je suis prête à tout lui donner.
Il me prend par les cheveux pour m’emmener à la douche. J’ai les fesses brûlantes et je crains un peu l’effet qu’aura l’eau sur ma peau rougie.
Dans la douche a l’Italienne je me mets sagement à genoux et le laisse gérer l’eau. J’embrasse ses jambes poilues, je remonte avec la langue par l’intérieur des cuisses. J’ai défait mes longs cheveux bruns. L’eau tiède est un délice. J’ai l’impression que les fesses font mille degrés mais ça va quand même, j’essaies de ne pas y penser pour me concentrer sur la fellation. Il passe la main dans mes cheveux mouillés. Je prend délicatement chaque couille entre mes lèvres. Je le regarde par en dessous et j’attrape le champoing qui traine par terre dans un coin de la douche. Une grande bouteille jaune de champoing Dop aux œufs. J’en fais couler sur mes gros seins. Je me dresse un peu pour avoir sa belle queue à hauteur de ma poitrine. J’aime bien branler à l’espagnole. Imagine toi à sa place. Mes cheveux mouillés en arrière, je te regarde droit dans les yeux et fais venir lentement, très lentement, ta queue entre mes gros seins glissants de champoing moussant.
-« Je te laisse décider quand tu veux m’enculer… »
Je me demande combien de temps tu te laisserait faire, une grande fille sexy bien salope à genoux devant toi, experte de la branlette espagnole. Mon plan cul jogging se laisse un peu faire avant te me mettre debout en me tirant pas les cheveux. Il fait cela sans violence, il m’avoue que si je veux qu’il m’encule il ne faut pas trop attendre. J’aime bien son honnêteté. Je me retourne pour lui tourner le dos et le laisse me plaquer contre le mur en carrelage. Je sais que j’ai les fesses rouges et, même si j’en ai envie, j’appréhende un peu. Il prend la poire à douche fait couler sur le bas de mes reins le jet réglé au minimum, l’eau est tiède mais j’ai l’impression que mes fesse sont brûlantes. Il prend la grosse bouteille de champoing Dop et fait couler sur mes fesses. Il masse et fait mousser. C’est bon, il caresse ma Chatte et enfonce son pouce dans mon anus en même temps. J’ai très envie qu’il m’encule mais en même temps j’ai peur qu’après il ait envie de partir et je n’ai pas envie de me retrouver seule pour la nuit. Mais j’ai quand même très très envie de me faire défoncer le cul. Alors je décide de jouer la carte de l’honnêteté : « Tu vas pas partir après hein ? »
-« T’inquiète, personne ne m’attend. »
-« Ah ! Super, parce que j’ai bien envie d’être ton jouet sexuel jusqu’au matin. »
Je me cambre en offrant mon petit cul. Son gland presse contre mon anus. Il écarte mes fesses. Ses mains sur ma chair rougie me fond un peu mal mais quand il me pénètre d’un coup c’est pas la peau de mes fesses qui me fait le plus mal. Je pousse un long couinement. Mais je le supplie aussi : « Hooooo, haaannn, ouiii, démonte moi le cul comme une salope… »
Il me tient pas la taille et commence en va et vient ample et brutal. Je crie autant de douleur que de plaisir. Le salaud est endurant. Il m’épuise, j’ai une mauvaise crampe au mollet droit qui m’oblige à porter tout mon poids sur ma jambe gauche. Il a empoignée ma cuisse et continue à me défoncer. Quand il jouit enfin je suis haletante, il m’a tellement fait jouir que j’en ai oublié où je suis. Il me retient pendant qu’il débande dans mon cul. Je réalise que la poire à douche coule toujours mais que l’eau est froide. On doit être au bout du cumulus depuis longtemps. Je pousse le levier en inox pour arrêter l’eau. Il s’est retiré de moi et me tend une grande serviette de bain beige. Je me colle contre lui. Il m’enveloppe dans la serviette de bain.
-« Humm, c’était bon, tu m’as tellement fait jouir. Tu voudras bien que j’essaie de te faire rebander en te suçant hein ? »
Il me serre dans ses bras et caresse mes fesses. Il me dit que je suis une vraie salope, qu’il est d’accord pour bien s’occuper de moi jusqu’à demain.
Je suis heureuse. Heureuse comme cela faisait longtemps que je ne l’avais pas été. J’ai encore envie qu’il m’encule. Même si je sais qu’il va falloir attendre. J’ai envie de ses doigts et de sa langue partout. J’ai aussi envie de sentir sa queue grossir à nouveau entre mes lèvres. J’ai envie d’avaler son sperme, qu’il caresse mes cheveux comme si j’étais une petite chienne totalement soumise et dévouée. Et toutes ces envie je les assouvi cette nuit là. Nous dormons très peu et il me baise tellement bien. Il prend plaisir à me tirer les cheveux, et j’aime tellement ça. Je crois que j’ai rarement autant couiné en une nuit que cette nuit là. Un truc qui, après coup le surprend encore et qui défie toute logique, c’est la quantité de sperme que ce type a semblé produire en une seule nuit. La vraiment il y a un truc qui physiologiquement m’échappe. Si quelqu’un sait m’expliquer je suis preneuse.
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Poème porno
J’aime cet homme sur ce canapé
J’aime qu’il ai gardé ses souliers
Nue devant lui et à genoux
Je lève la tête offre mon cou
Qu’il emprisonne dans un collier
En cuir, large et capitonné
Puis à l’anneau, passe une chaîne
Reliée au pied du canapé
Puisqu’il a gardé ses souliers
Je m’incline pour les lécher
J’aime le cliquetis des chaînes
Le goût de sel sur ses souliers
La chaleur de la cheminée
Je meurs d’envie de le sucer
Mais j’attends qu’il m’y autorise
Cet homme sur ce canapé
Doit se plaire à me regarder
Dans la cheminée la flambée
Éclaire ma croupe par le côté
Il tire un peu plus sur la chaîne
Maintient ma tête à ses pieds
Il dit : « continue de lécher »
« Applique toi j’ai tout mon temps »
Mais il défait son ceinturon
baisse sa braguette, sort son jonc
Je voudrais faire une fellation
La chaîne courte m’en empêche
Alors je l’implore des yeux
Je veux sa queue entre mes lèvres
Lécher ses couilles et lui montrer
Comme sa chienne sait sucer
Mais il tire un peu plus la chaîne
Plaquant ma joue sur le sol froid
Quand il se lève et me contourne
Je réalise pleinement
qu’être nue c’est bien être offerte
A son regard, à ses caprices
Je creuse mes reins serre mes genoux
Pour lui offrir un beau spectacle
Il passe un doigt sur l’abricot
Déjà gonflé, doux et juteux
Habilement récolte ma mouille
en humecte mon trou du cul
je me tortille de plaisir
toute impatiente qu’il m’encule
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