Par derrière sur une chaise
Cette fois j’ai bien soigné mon profil sur infidèle Messenger pour un plan explicitement SM dans lequel je promets d’être bien soumise et docile. Jusqu’à présent je n’osais pas trop, me contentant d’allusions coquines mais sommes toutes assez sages. Et puis il y a quelque jours je me suis dis que finalement si c’est de cela dont j’ai envie pourquoi me réfréner et le cacher. Je me souvient de Sylvia Saint sodomisée sur une chaise dans le Labyrinthe et en pensant à elle mon profil devient donc, pour mes deux jours à Clermont Ferrand le suivant :
« J’ai bien peur d’avoir été très vilaine, j’ai eu des pensées impures et infidèles en regardant le frère de mon mari. Comme il est hors de question que je m’engage dans une aventure familiale dangereuse il me faudrait un homme qui accepte de me punir pour cela et de me faire passer l’envie de coucher avec mon beau frère.
Post scrotum : Très envie d’être attachée et sodomisée sur une chaise… »
Je reconnais que c’est un peu tiré par les cheveux mais il y a pas mal de vrai derrière cela et justement, tirée par les cheveux ça pourrait me plaire…Pour plus de sureté j’ajoute la photo de profil qui va bien (Merci Marco pour la photo !)
Et me voilà submergée de demandes pour ma soirée Clermontoise ! Je choisi sans trop hésiter celui qui m’a l’air le plus sérieux. Quarante ans, bien habillé athlétique et très blond.
A peine entrés dans la chambre d’hôtel il m’ordonne de me dévêtir entièrement. Il a un léger accent nordique que je trouve très sexy. Je me retrouve agenouillée sur une chaise et il m’attache les mains dans le dos avec l’un de mes bas. Etre ainsi attachée est une première pour moi et je dois dire que c’est aussi inquiétant qu’excitant.
Il déboucle sa large ceinture de cuir et je prends peur en me disant qu’il va me fouetter avec. C’est sûr que c’est exactement le type de situation que je désirais mais, d’un autre côté, je n’ai pas vraiment envie de me retrouver avec des marques trop importantes sur les fesses qu’il faudrait « expliquer » à mon époux légitime dans trois jours. Mais c’est un peu tard maintenant pour reculer et je ne veux pas passer pour une poule mouillée. Même si, à bien y réfléchir, je suis une poule et je mouille carrément !
Je pense qu’il a saisi à mon regard l’angoisse qui me prend car il souri d’un air que je juge assez sadique en me contournant. Il fait d’abord glisser la sangle sur mes fesse lentement sur toute la longueur. Je m’attends au pire mais n’ose pas bouger, encore moins protester. Il serre la ceinture contre mes deux fesses et fait descendre lentement le long de mes cuisses jusqu’au dessus des genoux. Là il s’arrête finalement et fait passer la bande de cuir dans la boucle pour finalement serrer le tout fermement. Apparemment ce n’est pas de l’improvisation car il y a bien un trou supplémentaire à la ceinture qui permet de serrer mes cuisses l’une contre l’autre. Ne pouvant plus écarter les cuisses je commence à comprendre que ma chatte et mon anus vont se trouver bien plus étroits maintenant. Mais je ne soupçonne pas encore que c’est loin d’être le seul « avantage » de la situation pour mon amant. Déjà le revoilà face à moi, cette fois sans pantalon et apparemment très en forme ! J’avance ma tête autant que le permet ma position passablement entravée car j’ai vraiment de lui montrer ce que sais faire avec ma bouche. Et puis sucer attachée sur une chaise serait une première pour moi. Il me revient une image d’enfance où une tortue que nous avions essayais d’avancer sa tête vers une feuille de laitue. Mais il prend un malin plaisir à se tenir juste à une distance qui ne me permet de sucer uniquement de gland bien décalotté. ça me rend folle, je tire la langue le plus possible pour essayer de lécher mais sans beaucoup de succès. A tel point que la chaise bascule en avant. Un cri m’échappe alors car j’ai peur de me fracasser la tête en tombant mais heureusement il retient la chaise au dernier moment et moi je me mets à pleurer comme une conne tellement j’ai eu subitement peur. Il se fait cette fois plus tendre et me caresse les cheveux en acceptant enfin d’approcher à portée. Je suce goulument. Mes larmes coulent toujours mais c’est de soulagement et de plaisir car ses mains sur ma tête ne sont pas brutale mais juste encourageantes et caressantes comme il faut. C’est bon, incroyablement bon, je voudrais me caresser en même temps mais j’ai toujours les mains attachées dans le dos. Alors j’essaie quand même d’atteindre ma chatte par derrière avec mes doigts mais je ne parviens qu’à atteindre mon anus.
-« Attends, si tu veux t’occuper les mains j’ai quelque chose pour toi. »
Il prend une bouteille jaune d’huile de tournesol (le modèle 1 litre), l’ouvre et me la met dans les mains toujours liées dans mon dos. Je sens l’huile couler le long de ma raie et sur mes cuisses serrées.
-« T’inquiète, ça coule lentement, tu as le temps, bouge un peu, j’en veux aussi sur ton dos et surtout sur tes fesses ma belle. Mais surtout t’arrête pas de sucer, ça tu le fais très bien. »
Pour joindre le geste à la parole il prend mon menton dans sa main qu’il a plutôt grande et presse mes joues. Je fais de mon mieux pour continuer à sucer bien goulument en me concentrant aussi sur la bouteille que j’essaie tant bien que mal de promener sur mes fesses et le bas de mes reins.
Lorsque la bouteille est enfin vide il passe derrière moi et je sens sa bite remonter entre mes cuisses toujours maintenues serrées par sa ceinture. La sensation est assez étrange et frustrante avec l’huile. Pour lui j’imagine que c’est bien car sa queue glisse tout en étant serrée mais moi je meurs d’envie de l’avoir dans ma chate ou dans mon cul. Mais il continue à me baiser les cuisses serrées en prenant plaisir à ma frustration. Heureusement, petit à petit je sens qu’il remonte et maintenant à chaque va et vient sa queue frôle ma chatte. A chaque passage j’essaie d’aller à sa rencontre mais il se dérobe au dernier moment. Quand il m’encule enfin c’est comme une délivrance. Mes jambe toujours serrées par sa ceinture et l’huile qui m’a bien lubrifié l’anus font merveille. J’ai l’impression de sentir parfaitement chaque veine de sa bite dans mon cul. Au lieu de me défoncer comme ça m’est déjà arrivé il prend au contraire tout son temps avec un va et vient délicieusement lent dans mon cul. Je crie quand il jouit hélas un peu trop tôt à mon goût tellement j’aurais aimé que cela ne s’arrête jamais. En vrai gentleman il me détache après s’être rhabillé. Autant vous dire qu’après un plan comme ça je n’ai plus du tout envie de coucher avec mon beau frère. Je préfère de loin continuer à faire des rencontres d’un soir sur internet. Enfin, si elles pouvaient toute être comme celle ci !