J’ai été vilaine. J’ai accepté d’aller au restaurant avec toi qui n’est pas mon époux et j’ai eu des pensées coupables. Tout cela bien sûr en cachette. Pire que tout j’ai demandé à ce que les repas soient mis sur la note de ma chambre en ajoutant une nuit pour que ça ne se voit pas. Pour tout cela et d’autres choses encore je sais que je mérite d’être corrigée. Tu es assis sur le canapé de ma grande chambre d’hôtel et me voilà allongée sur tes genoux, jupe relevée. Collants chair et talons beiges. En haut je ne porte plus qu’un collier de perles de culture car tu m’as fait enlever mon pull pour mater mes gros seins avant de me basculer sur tes genoux. Toi tu es en tenue de bureau, pantalon bleu marine, chemise blanche et cravate en soie. Ça devient rare les hommes à cravate.
Par réflexe je mets les mains sur mes fesses, dérisoire protection contre les claques à venir. Aussi un moyen d’envoyer le message que je suis une fille sensible et qu’il ne faut pas y aller trop fort. Tu n’as pas trop de mal à tenir dans ta main gauche mes fins poignets pour faire place libre. La première claque est bruyante, à plat sur une seule fesse. La gauche. Je me tortille un peu. Plus pour essayer de trouver une position moins inconfortable que pour échapper à la punition. Tu m’assenne deux autre claques coup sur coup toujours sur la fesse gauche. Un gémissement m’échappe « Han ! ».
-« Quoi han ? Ça veut rien dire. Commences déjà par compter jusqu’à 10 »
Nouvelle claque. Je ne peux l’empêcher de me dire que tu dois être expert en la matière car la claque est aussi bruyante que si tu frappais dans tes mains. C’est pas ultra fort mais je la sens passer. J’en oublie de compter. Et la suivante est bien plus violente. Si je pensais que tu ne retenais pas tes coups là je comprends qu’il y a une grande marge de progression.
-« Compte bien, sinon ça va être de plus en plus fort. Il risque de se poser des questions ton mari si tu manges debout en rentrant. »
-« Un ? »
-« Allez je suis sympa, commence à 4, tu vas que jusqu’à 10. »
Nouvelle claque. Un peu moin forte il me semble.
-« Cinq »
Toujour la fesse gauche, cette fois de bas en haut mais toujours bien du plat de la main et bruyante.
-« Six »
Un aller retour bas vers le haut puis du haut vers le bas.
-« Sept, huit »
La neuvième est forte mais tu laisse ta main sur ma fesse et tâte la chair brûlante.
-« Huuumm, neuuuf ! »
Tu malaxe ma fesse endolorie et ne semble pas vraiment pressé d’en finir. Comme j’ai peur que tu décides d’aller au delà des dix promis j’essaie de libérer mes poignets de ton emprise.
-« tututut, t’es pas bien là ? On n’est pas pressés. Tu sais que tu la mérite ta fessée quand même ? »
-« Oui, je sais. J’ai été vilaine. Mais si on s’arrête à dix je promets d’être gentille…très gentille. »
-« Mais j’en doute pas. T’inquiètes, j’ai dis jusqu’à dix, c’est jusqu’à dix…pour la fesse gauche… »
Tu dénoues ta cravate et attache mes poignets. Les deux mains livré tu tires sur mes collants. Bruit de tissus déchiré, je me retrouve les fesses à l’air. Et c’est presqu’un soulagement d’avoir un tout petit peu de fraîcheur sur ma fesse gauche. Tu te penches en avant et souffle légèrement. Ça fait du bien.
-« Et de dix ! »
La grande claque vient sans prévenir. J’en hurle de douleur car ce dernier coup après le bref soulagement réveille d’un coup tous les nerfs à vif de mon fessier. Même si je ne peux pas voir j’imagine aisément la différence de teinte qu’il doit y avoir entre ma fesse gauche rougie et la droite intacte.
-« Bon, t’es pas si vilaine. J’aime bien ton cul bicolore. On va s’arrêter là pour la fessée. Tu mérite une petite récompense. »
En fait de récompense je sens tes doigts qui glissent entre mes cuisses vers mon con. J’avais juste mal et j’avoue que j’en oubliais complètement d’être excitée. Mais indépendamment de la volonté, comme par réflexe je me cambre et j’écarte légèrement les jambes. Le doigt qui presse sur mon petit abricot moelleux me fait tressaillir j’en oublie un instant ma fesse endolorie.
« Mais c’est qu’elle mouille déjà la vilaine ! »
Je suis aussi surprise que toi de sentir comme ton doigt glisse facilement dans ma fente à peine ouverte. Tu me caresses délicatement, hummmm, c’est bon, tellement bon. J’en gémi d’aise je sens que je mouille, je resserre comme je peux pour retenir ton doigt contre mon bouton. Tu ne mets qu’un doigt, je suis en quelques minutes au bord de l’orgasme. J’ai le réflexe de prendre mes fesses dans mes mains attachées pour les écarter et t’inviter à mettre aussi un doigt dans mon anus mais c’est une erreur. Une douleur vive sur la fesse gauche me ramène à la réalité. Je sais que je vais devoir m’assoir de travers pendant quelques jours.
-« C’est bon, allez, au lit ! »
Tu me prends par la queue de cheval et me pousse vers le lit. J’y tombe à plat ventre et tu es sur moi, ton genoux entre mes cuisses.
-« Pas bouger ! »
Les mains derrière le dos et la peur d’une autre correction je ne risque pas de m’échapper. Je devine que tu enlèves tes chaussures et ton pantalon. Je reste figée, immobile. Je me sens reconnaissante que tu remettes tes doigts dans ma Chatte par derrière. Tu prends le temps de m’exciter et ton pouce contre mon anus s’enfonce sans difficulté. Tu souffles sur ma fesse endolorie. Ça soulage un peu mais dès que tu arrêtes ça me brûle. Quand tu me prends par les hanches pour relever mon cul je ne me fais pas trop d’illusions sur ce qui attend mon petit cul. Mais comme tu continues à me branler par devant je suis sur le fil du rasoir entre l’orgasme et la douleur. Quand tu m’encules j’essaie de te présenter ma fesse droite. Mais je ne sais pas si ça marche, je ne sais plus trop où j’habite, je tournes la tête sur le côté pour pouvoir respirer, ou plutôt haleter. J’ai l’impression d’avoir enflé du cul mais je jouis, oh oui, je jouis ! Et ça faisait bien longtemps ! Et même si je sais que je vais m’assoir de travers pendant plusieurs jours je m’en fou. Ça valait le coup !
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