Sexcape room
Une pièce sans fenêtre au plafond voûté. Un grand canapé club en cuir brun. Lustre en cristal. Les vieux bouquins d’une bibliothèque couvrent tout un mur à l’exception d’une petite niche dans laquelle est installé un vieux Minitel allumé. Le texte ultra pixelisé indique : Sexcape Room. Au milieu du mur opposé une grande porte en bois cloutée. La lumière s’éteint d’un coup. Le noir est complet. On ouvre la porte puis qu’on la referme presqu’aussitôt. Quand la lumière revient, progressivement cette fois. Je découvre que je ne suis plus seule. L’autre est un jeune homme, je dirais un peu moins de trente ans. Smoking neuf, brun, très bien coiffé, lunettes de vue à montures fines. Un mec en smoking, c’est comme une fille en talons aiguilles. Tu sais au premier coup d’œil si il a l’habitude de le porter ou pas. Lui c’est clair, c’est pas James Bond ! Il semble aussi à l’aise qu’une Amish à laquelle tu aurais mis une mini jupe, des bas résilles et des Louboutins.
Moi, par contre, je suis parfaitement à mon aise. Sexy, jolie robe noire à décolleté plongeant, très plongeant sur ma poitrine généreuse. Collants nylon noirs et talons hauts. Surtout, je suis à l’aise car je sais ce que je fais ici et quel est mon rôle. C’est un ancien plan cul qui m’a contacté pour participer à un enterrement de vie de garçon. Normalement il aurait dû être incapable de retrouver ma trace. Je change de pseudo régulièrement sur les sites de rencontre et ne donne jamais mon muméro de portable. Je fais tout pour rester le coup d’un soir ou d’une semaine intracable. Mais comment cet ancien m’a retrouvée est une autre histoire.
Si tu veux te mettre à la place du jeune homme dont j’enterre la vie de garçon tu peux m’imaginer assise sur le canapé, jambes croisées, mes gros seins mis en valeur par le décolleté de ma robe noire, mes longs cheveux légèrement bouclés en une permanante parfaite. Maquillage discret mais efficace. Je n’ai pas besoin de beaucoup de rouge à lèvres pour que l’on constate que mes lèvres sont pulpeuses et que j’ai une bouche à pipe. Je tapote l’assise du canapé à côté de moi pour t’inviter à t’asseoir. Mais tu restes debout, circonspect, l’air emprunté. Tu te maries dans deux semaines, ta future femme est sans doute très jolie et tu es bien sûr amoureux et fidèle. Aucune raison de tout gâcher. Et puis tu sais que c’est justement ça le principe d’un enterrement de vie de garçon : Une sorte de mise à l’épreuve organisée par tes potes pour tester ta détermination.
D’ailleur un texte se met à défiler sur le Minitel : Pour sortir, il faut jouir…
-« Salut, c’est donc toi Donovan ? »
-« Ah ? Vous connaissez mon prénom ? »
-« Tu peux me dire tu, vu qu’on va devoir être très intimes si on veut sortir d’ici. »
-« Bin, Ok pour le tu. Mais, franchement, je doute qu’on couche ensemble un jour. C’est juste un jeu. »
-« Oui, un jeu…un jeu qui m’excite terriblement…pas toi ? »
Je décroise et recroise les jambes. Le nylon de mes collants crisse. Je ne sais pas si tu l’entends, c’est assez discret.
-« Vous, enfin, tu es très belle. Mais le prends pas mal, le style star porno chic des années 90 c’est pas trop mon genre. »
-« Ah ? T’es sûr de ça ? »
Je te regarde par en dessous avec une moue boudeuse.
-« De toutes façons toutes les chances que la porte soit même pas fermée. »
Pas bête, je n’y avais pas pensé. C’est vrai que c’est un classique des escapes room. Laisser croire aux participants que la porte est fermée alors qu’il n’en est rien. Tu te retournes et tournes la poignée en porcelaine. Bien tenté mais c’est bien fermé.
-« Te fatigues pas, la clef elle est là. »
je montre du menton la boîte à clef sur le mur au dessus de la porte a bien 2m20 de haut.
-« J’ai le code, et je ne comptes pas te le donner si tu ne joues pas le jeu… »
-« Bah voyons. Et il va jusqu’où le jeu ? »
-« ça, a toi de voir. Mais j’ai comme l’impression qu’il va falloir me passer sur le corps. La perspective est si désagréable que ça ? »
Je gonfle mes poumons pour faire s’il était besoin gonfler un peu plus ma poitrine avantageuse. Il faut dire que je sais par indiscrétion que ta future épouse est assez plate.
Blonde et jolie mais désespérément plate.
Devant le canapé Il y a une table basse en bois brut. Tu la déplaces sous la porte pour monter dessus et accéder à la boîte à clef. Tu essaies quelques codes. 0000, 1234, 4321, j’imagine ta date de naissance et la date du mariage aussi. Je te regarde faire amusée. Sur la pointe des pieds les bras en l’air tu te fatigues assez vite…D’autant que tu dois tendre le cou pour voir le code que tu composes. Dans ces conditions tu constates assez vite qu’il est illusoire de tenter les 9999 codes possibles les uns après les autres.
-« Aller, descends. Tu peux tenter de négocier un indice… »
Maintenant que tu sembles avoir compris la règle du jeu j’ai décidé de faire un peu moins dans la dentelle. Je me suis allangie sur le côté sur le canapé et j’ai retroussé ma robe pour dévoiler mes belles fesses en collants. J’ai dessous un mini string très fin et je sais que mon abricot épilé se devine très bien.
D’ailleurs tu ne dis rien. Je tourne la tête pour voir celle que tu fais et l’expression que je lis sur ton visage ne me semble pas être du dégoût. Je joue à pincer ma cuisse à travers le nylon pour que tu aies envie de faire pareil.
-« Dis donc, Donovan, j’ai l’impression que si je ne suis pas à ton goût, il va falloir l’expliquer à Popaul… ».
-« Ecoutes, oui, j’avoue, évidement que tu es bandante. Mais j’imagine que c’est juste un boulo pour toi. Alors que moi je risque mon mariage. Et de toutes façons, qu’est ce que je dis ! J’ai pas l’intention de tromper ma femme avant même de me marier ! »
-« Tout de suite les grands mots. Qui te parle de tromper ? C’est qu’un jeu. Un jeu sexy. Et puis, tu peux faire semblant, c’est toi qui fixes les limites…moi j’dis ça, j’dis rien. Le Minitel parle de jouir, pas de commettre l’irréparable adultère…Tu veux pas venir…derrière moi… »
Je me mets à genoux sur le canapé. Et, le miracle de l’amour commence à se produire. Tu es derrière moi. Tes mains sur mes épaules. Je sens avec délice ton corps juste derrière moi. Je me laisse doucement aller en arrière et ton corps est collé au mien. Beaucoup de tissus entre nous mais quand même. C’est un bon début! Un très bon début même quand tes mains descendent vers mes seins. Je suis toujours à genoux sur le canapé. Je penses que tu n’as toujours pas l’intention d’aller trop loin. Pour le moment c’est encore un jeu. Un jeu certes sexy et d’adultes mais un jeu quand même. Enfin, tes mains sur mes seins c’est déjà pas mal. Ça me rend bien chaude. Je cambre mes reins et essaie de presser mes fesses en arrière. J’ai l’impression de te sentir contre moi. Je relève ma robe qui était retombée entre nous. Je sais que mon cul de bombe atomique en collants ça plait à tous les hommes. Même les plus sages.
-« Hummm, pas mal. Tu sais, techniquement tant qu’il n’y a pas pénétration…c’est pas vraiment trompé…J’dis ça, j’dis rien… »
L’argument fait mouche. Car tu te fais très caressant sur mes seins et glisse à mon oreille : « Ok, mais seulement si ça reste secret entre nous. »
-« T’inquiètes, ce qui se passe dans la sexcape room reste dans la sexcape room. C’est la règle et promis, je ne m’inviterai pas à ton mariage. Tu sais, j’aime très beaucoup les bisous dans le cou… »
Je te sens déjà moins timide. Et toujours très dur contre mes fesses. Les lèvres sur mon cou sont tièdes, humides. Je me laisse aller en arrière. Tes carresses sur mes seins tournent au massage et j’ai déjà très chaud. D’ailleurs je me dis que ma pièce dans laquelle nous sommes doit être très bien chauffée. Il doit bien faire 25 ou 26 degrés facile. Je te laisses prendre ton temps, tu es encore un peu réservé. Un amant d’internet aurait sans doute déjà déchiré mes collants. Mais là c’est différent, tu as l’intention de rester du bon côté de la frontière de l’adultère. Alors je te laisse baver sur mon cou qui devient aussi mouillé que ma chatte. Je salive pour pour mouiller mes seins. J’aimerais être plus en sueur mais malgré la chaleur ce n’est pas suffisant. Il faudrait que je sois essoufflée et ce n’est hélas pas le cas. Alors je prends ta main et la porte à ma bouche pour sucer tes doigts avant de les rendre à mes seins. Tu ne dis pas un mot mais tu sembles avoir compris ce dont j’ai envie et tu te montres coopératif. Tu lèches mon cou et les épaules. Tu embrasses en y mettant toute la salive que tu peux. Plusieurs fois je reprends ta main pour la porter à ma bouche. Tu la remets entre mes gros seins qui sont de plus en plus moites. Secrètement je pries pour que tu ne sois pas un ejaculateur précosse capable de jouir dans ton pantalon juste en me caressant. Ton sexe bien dur que je sens contre mon cul me fait craindre le pire. Mais je n’y peux rien, il est des risques qu’il faut savoir accepter. Le manège de ta main entre ma bouche et mes seins est fort plaisant et je pourrais ne pas m’en lasser. Pourtant à un moment c’est plus fort que moi. Au lieu de laiser ta mains revenir entre mes seins je la guide plus bas, sous ma robe, entre mes cuisses. Je sens comme une hésitation, une résistance à aller si loin malgré la température qui entre nous est monté de plusieurs crans.
-« Aller, t’inquiètes pas, c’est juste des caresses sans enlever mes collants… »
Je force un peu ta main contre mon abricot tout gonflé et je serre les cuisses pour la garder emprisonnée. Toujours à genoux je passes ma main libre dans tes cheveux, sur ta nuque pour t’inciter a continuer à embrasser mon cou. Je serre mes cuisses très fort pour t’encourager à faire quelque chose de tes doigts. Je lâche un petit gémissement d’aise quand je sens enfin tes doigts presser contre mon abricot juteux.
-« Hummm, je t’en supplie, t’arrête pas de m’embrasse, caresse moi. Tu sens comme mon petit abricot aime ton doigt ? »
Je serre et desserre mes cuisses pour t’inciter à me caresser à travers le nylon de mes collants. J’ai très chaud et je mouille. Si bien que même avec le nylon ça commence à devenir glissant. Tu frottes en va et vient comme tu peux avec ta main toujours prisonnière. Je tiens fermement ton poignet pour que tu n’essaies pas d’enlever tes doigts de là où ils doivent être.
-« Hummm, c’est bon, tu vois, même pas besoin de faire ta femme cocue pour me donner du plaisir. Hummm, j’adore, tu me fais trop mouiller. Pitié, t’arrêtes pas. »
Et d’ailleurs c’est parti, tu ne semble plus trop avoir envie de t’arrêter. Ta langue a quitté mon cou et mes épaules pour t’attaquer à mes oreilles. Ça chatouille mais la façon dont tu le fais est très excitante. Je peux exactement imaginer que c’est un autre trou que tu pourrais lécher. Et je suis certaine que tu veux justement que j’imagine le Cunilingus que je rate. Je prends la main qui s’occupe de mes seins pour en sucer les doigts. J’aspire fort, je pousse trois doigts bien au fond de ma gorge. Je veux que toi aussi tu saches ce que tu rates, la bonne suceuse en gorge profonde que je saurais être si tu me laissais faire. Tes doigts qui caressent mon abricot à travers le collant pressent de plus en plus. Je te laisse prendre encore un peu ton temps. Bien mur et juteux l’abricot n’en sera que meilleur. Je meurs d’envie de déchirer mon collant par devant, j’imagine le bruit si excitant de tissu qui se déchire. Mais je veux rester fairplay et te laisser le choix. Après tout c’est TON enterrement de vie de garçon.
-« Hummm, tu sens comme mon petit abricot est juteux ? Je suis en train de tremper mon string et mon collant, faut faire quelque chose…C’est pas humain de me laisser comme ça…»
Je passe les mains derrière mon dos dans l’espoir d’accéder à ton pantalon. C’est un pantalon de smoking, noir en tissus fin et délicat. Même dans mon dos je suis une experte en la matière. La boucle de ceinture est facile à défaire. Occupé avec ma chatte sous ta main droite, mes seins dans la gauche et mon cou sous tes lèvres et ta langue tu me laisse faire sans protester. J’en profite pour tâter la bosse juste sous la ceintures. Évidement tu bandes comme un âne. Gros et dur. Je défais les deux boutons de ton pantalon, la fermeture éclair me donne un peu plus de mal. Il faut dire que je suis hyper excitée et que je balance mon bassin au rythme des pressions de tes doigts qui me massent à travers le nylon trempé. Après trop de vaines tentatives je laisse tomber pour la fermeture éclair de ton pantalon. Je me dis que c’est impossible maintenant que ta queue reste infiniment prisonnière. Il faut juste être patiente et t’aider un peu. Je me dégage un peu vers l’avant pour enlever ma robe par le haut comme un pull-over. Je n’avais pas de soutien-gorge et me voilà donc sans le haut avec juste encore mes collants, mon petit string et mes talons aiguilles.
-« Tu sais, si tu enlèves ta chemise, c’est pas le bout du monde. La peau contre la peau c’est agréable mais c’est pas tromper, c’est même pas un bisou. Tu peux faire ça non ? »
Je n’aurais pas cru que ce serait si facile. J’en suis presque déçue. Tu sembles avoir perdu toute timidité et tu es torse nu en un rien de temps. J’arrive, comme par miracle à défaire la fermeture éclair de ton pantalon et à saisir ta queue bien dure derrière moi. Je me retourne et je te pousse sur le canapé pour te sucer. Tu as oublié toute idée de résistance. Tout en gardant ta queue dans ma bouche, je me tourne pour que tu puisses enfin déchirer mes collants et me caresser.
-« S’il te plaît, occupe toi de mon petit trou du cul aussi, je t’en supplie. »
En fait je nàvais pas besoin de supplier. Tu presses un doigt qui était juste avant dans ma Chatte et donc bien humide. Ça rentre tout seul. Sensation délicieuse. Je m’applique à sucer alors que je sens déjà l’orgasme en moi qui me fait oublier mon corps. Tellement bon, on reste comme ça longtemps. Caresses et baisers mouillés, tes doigts dans tous mes orifices. Ta queue reste longue et dure et j’ai envie de l’avoir directement dans mon cul pour une fois, sans passer pas ma chatte. J’arrête de te sucer et je me place en cuillère contre toi. J’écarte mes fesses. Ton gland presse, je suis tellement détendue que ça rentre sans trop de difficulté. J’en gémi de joie. Folle sensation de ta queue qui me semble immense dans mon cul. J’insulte tout doucement, en gémissant de vrai plaisir. Quand tu finis par jouir je fais tout pour garder ta queue bien au fond, en moi. Je sais que tu vas le regretter, être gêné maintenant que c’est fait. Mais je m’en fiche, c’était tellement bon. Je te murmure le code à l’oreille.
Génétu n’oses rien dire. Tu te rhabilles et monte sur la table basse pour récupérer la clef.
Tu bredouilles quelques mots stupides avant d’être partir. Je reste dans la sexcape room en espérant qu’un autre candidat vienne prendre ta place car ça avait un petit goût de reviens y…
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