Carnet de punition

C’était un petit carnet Moleskine. Pendant les quatre mois de notre relation secrète je devais y consigner mes mauvaises pensées et mes manquements aux bonnes mœurs ou à l’hygiène de vie qu’il m’avait imposé. Lorsqu’il me convoquait, en général l’après midi en semaine, je devais rappliquer chez lui avec mon petit carnet.

Ce jeudi là c’était la troisième fois qu’il me convoquait ainsi. J’avais une robe longue à fleurs sur des sous vêtements en coton blanc. C’était en juin, il faisait chaud, très chaud.

Je devais me tenir debout, relever ma robe afin que ma culotte soit découverte et tenir en même temps que les pans de ma robe mon petit carnet de punition.
Je réalisais la liste de mes fautes depuis notre dernière entrevue et il décidait du châtiment. Nombre de claques sur mes fesses, avec ou sans martinet, fellation, sodomie à sec ou lubrifiée, choix du gode ou réglage de l’écarteur de jambes.

Dans un prochain article je vous raconterai plus en détail, ne vous inquiétez pas. Mais comme je sais que vous êtes 40% de filles à lire ce blog j’ai imaginé un petit jeu pour vous. Si vous voulez vous pouvez écrire en commentaire ce que vous auriez mis cette semaine dans votre carnet de punition. Et les hommes qui veulent decident de la punition adéquate. Ça vous tente ? Au passage pensez à vous décrire un peu…

Auto-stoppeuse sexy sans BlaBlaCar

Lucie adultere
Mon pseudo : LucieBDispo

vingt deux heures, début décembre une nuit froide et sans lune. Il a plu toute la journée et ça continue entre Rennes et Nantes. La RN137 est luisante éclairée par les phares jaune de ta vieille Mercedes Break 280 beige. La voiture a le même âge que toi, plus de quarante ans, moins de cinquante.

Tu aperçois ma silhouette qui tend le pouce au bord de la route un peu tard. Tu n’avais pas l’intention de t’arrêter. Un auto-stoppeur, surtout par temps de pluie, et avec les sièges en velour beige de ta voiture de collection c’est pas trop dans tes projets ce soir. Mais en passant à ma hauteur tu as une intuition. Peut être est-ce la ceinture nouée de mon imperméable qui dessine ma taille, peut être les bottines à talon, ou l’elegante valise cabine en aluminium. Mais en une fraction de seconde tu es certain que l’auto-stoppeur est une auto-stoppeuse. Et ça, ça change tout !

Freinage et marche arrière sur une vingtaine de mètres pour te ranger sur le parking bateau.

Je me penche à la fenêtre passager qui glisse lentement pour s’ouvrir. Je me dis que tu dois avoir un problème de batterie car la vitre électrique est très lente avec des à coups. Mon grand père était garagiste et c’est le genre de pensée parasites dont je ne peux m’empêcher. Les mains pour relever un peu la capuche de mon imperméable je demande :

-« Bonsoir, vous allez vers Nantes ? »

Il fait très sombre mais tu as allumé le plafonnier pour mieux voir. Les mèches frisées mouillées de pluies et mes grands yeux de biche aux abois ne peuvent te laisser indifférent

-« Oui, oui. Pas de souci. On va mettre votre valise dans la malle arrière »

La malle arrière, j’adore les hommes qui ont ce type d’expressions désuètes. Tu sors de la voiture pour m’ouvrir le coffre et tu y installes ma valise.

-« Vite, montez, il pleut des cordes. »

Galant tu me tiens la porte avant de rejoindre ta place de conducteur.

-« Pardon, je suis trempée, j’ai honte, en tous cas merci, vous me sauvez. »

-« Par ce temps je ne pouvais quand même pas vous laisser dehors. Mettez votre imper sur la banquette arrière si vous voulez. »

– « En tous cas merci ! Je vous dois une chandelle. Je ne sais pas comment vous remercier. Heu pardon, je veux dire une fière chandelle…»

En disant cela je baisse légèrement la voix et les yeux. J’enlève mon impermeable Burberry. Impossible que tu ne remarques pas mes beaux gros seins sous le pull en cachemire. Comme je me tourne vers l’arrière pour poser mon imperméable à l’arrière tu peux admirer à la dérobée ma chute de reins et mon cul qui tend la toile du pantalon tailleur clair que je porte ce soir là.

-« Je l’ai posé à plat, côté sec dessous. Je ne voudrais pas mouiller cette banquette arrière. Au passage, elle est superbe votre voiture, je suis très chanceuse ! »

Tu pousses le levier de la boîte automatique sur Drive et démarre en me répondant :

-« Oui, c’est sur qu’il n’y a pas beaucoup de passage par ici. »

-« Ça vous embête si je monte le chauffage ? J’ai l’impression d’être trempée jusqu’aux os. »

 

Je peux me permettre de vous demander comment vous vous êtes retrouvée au milieu de nulle part comme ça ? Si ce n’est pas indiscret »

-« Oh…Non, ce n’est pas indiscret. En fait j’étais en BlaBlaCar et après Rennes je me suis retrouvée seule avec mon chauffeur. Disons que l’ambiance commençait a être…enfin vous voyez ce que je veux dire. On a eu un different disons…relationnel…Alors j’ai préféré lui demander de me laisser sortir de sa voiture. »

-« Non !? C’est fou quand même. Il y a des types qui ne doutent de rien. »

Je pose la main sur ton avant bras.

-« Heu, en fait je pense que vous n’avez pas bien compris…C’est plutôt lui qui ne voulait pas de…rapprochement… Ça vous dit si on s’arrête une petite heure au prochain village ? Je suis sure qu’on peut trouver un hôtel… »

-« C’est quoi ce plan ? Vous êtes une prostituée ? C’est ça ? »

-« J’ai pas parlé d’argent. Nymphomanie, ça vous parle ? »

-« Heu oui, mais avouez que c’est pas commun comme situation. »

-« Et vous me trouvez…commune ? »

-« Heu, j’ai pas dit ça…non. Mais votre histoire, ça pue l’arnaque, si je peux m’exprimer ainsi. »

-« En tous cas, si moi je ne suis pas commune je peux vous dire que vous vous réagissez comme 90% des hommes que j’aborde! C’est pas grave, déposez moi au prochain village, j’irai au café du coin…ou alors vous vous laissez faire et je vous donne un petit avant goût de ce que vous risquez de rater… »

Ma main à glissé vers ton entrejambe et, comme tu ne protestes pas je m’attaque au bouton du haut de ton pantalon.

-« Ça te dit de te faire sucer en conduisant ? »

Tu ne réponds pas mais la raideur de ta queue de passe de commentaire.

Je la branle doucement tout en enlevant mon pull en cachemire de mon bras libre. Tu es muet comme une carpe mais du bandes comme un âne. Je me penche à ton oreille : « quand tu me prendra en levrette t’oublieras pas de bien presser mes gros seins… »

Il est temps de faire à suceuse. Merci le yoga ! Je suis souple et j’arrive à me pencher juste comme il faut pour te prendre en bouche. Quand je suce à genoux je commence en général at lécher les couilles. Mais là c’est plus logique de sucer directement. La sensation de ta belle saucisse dans ma bouche est géniale. Vous les mecs hétérosexuels vous n’imaginez pas comme c’est excitant de sucer une belle queue. Tu as posé un pain sur ma nuque et je suce lentement.

-« T’inquiète, j’avale. Laisse toi aller. Ensuite si tu as aimé saches juste que je peux être ta chienne soumise jusqu’au matin si tu paies la chambre d’hôtel… »

Je me remet à l’ouvrage lentement. Secrètement j’essaie de mesurer ta résistance. On arrive à un petit hameau sans commerces ni hôtel. Je le sais car tu passes à 50km/h puisqu’il y a un radar. Dans une dizaine de kilomètres il y a un vrai village avec un gare sncf et un petit hôtel. Il faut que j’arrive à te faire jouir avant pour avoir le temps de te convaincre de nous y  arrêter. J’accélère un peu la cadence et quand tu décharges au fond de ma gorge je me sens vraiment bien, femme, belle salope que l’on n’a as trop envie de quitter tout de suite. Je garde ta queue dans ma bouche tout le temps que tu débandes. Tu ne dis toujours rien.

-« Alors ? J’ai gagné ? On va dormir ensemble et tu vas t’occuper de mon petit cul de chienne soumise? »

-« Ça se pourrait ! »

Ta main sur ma nuque m’attire pour que je garde la tête sur tes cuisses. J’aime ça.


 

 

Sexcape game

Sexcape room

Une pièce sans fenêtre au plafond voûté. Un grand canapé club en cuir brun. Lustre en cristal. Les vieux bouquins d’une bibliothèque couvrent tout un mur à l’exception d’une petite niche dans laquelle est installé un vieux Minitel allumé. Le texte ultra pixelisé indique : Sexcape Room. Au milieu du mur opposé une grande porte en bois cloutée.  La lumière s’éteint d’un coup. Le noir est complet. On ouvre la porte puis qu’on la referme presqu’aussitôt. Quand la lumière revient, progressivement cette fois. Je découvre que je ne suis plus seule. L’autre est un jeune homme, je dirais un peu moins de trente ans. Smoking neuf, brun, très bien coiffé, lunettes de vue à montures fines. Un mec en smoking, c’est comme une fille en talons aiguilles. Tu sais au premier coup d’œil si il a l’habitude de le porter ou pas. Lui c’est clair, c’est pas James Bond ! Il semble aussi à l’aise qu’une Amish à laquelle tu aurais mis une mini jupe, des bas résilles et des Louboutins.

Moi, par contre, je suis parfaitement à mon aise. Sexy, jolie robe noire à décolleté plongeant, très plongeant sur ma poitrine généreuse. Collants nylon noirs et talons hauts. Surtout, je suis à l’aise car je sais ce que je fais ici et quel est mon rôle. C’est un ancien plan cul qui m’a contacté pour participer à un enterrement de vie de garçon. Normalement il aurait dû être incapable de retrouver ma trace. Je change de pseudo régulièrement sur les sites de rencontre et ne donne jamais mon muméro de portable. Je fais tout pour rester le coup d’un soir ou d’une semaine intracable. Mais comment cet ancien m’a retrouvée est une autre histoire.

Si tu veux te mettre à la place du jeune homme dont j’enterre la vie de garçon tu peux m’imaginer assise sur le canapé, jambes croisées, mes gros seins mis en valeur par le décolleté de ma robe noire, mes longs cheveux légèrement bouclés en une permanante parfaite. Maquillage discret mais efficace. Je n’ai pas besoin de beaucoup de rouge à lèvres pour que l’on constate que mes lèvres sont pulpeuses et que j’ai une bouche à pipe. Je tapote l’assise du canapé à côté de moi pour t’inviter à t’asseoir. Mais tu restes debout, circonspect, l’air emprunté. Tu te maries dans deux semaines, ta future femme est sans doute très jolie et tu es bien sûr amoureux et fidèle. Aucune raison de tout gâcher. Et puis tu sais que c’est justement ça le principe d’un enterrement de vie de garçon : Une sorte de mise à l’épreuve organisée par tes potes pour tester ta détermination.

D’ailleur un texte se met à défiler sur le Minitel : Pour sortir, il faut jouir…

-« Salut, c’est donc toi Donovan ? »

-« Ah ? Vous connaissez mon prénom ? »

-« Tu peux me dire tu, vu qu’on va devoir être très intimes si on veut sortir d’ici. »

-« Bin, Ok pour le tu. Mais, franchement, je doute qu’on couche ensemble un jour. C’est juste un jeu. »

-« Oui, un jeu…un jeu qui m’excite terriblement…pas toi ? »

Je décroise et recroise les jambes. Le nylon de mes collants crisse. Je ne sais pas si tu l’entends, c’est assez discret.

-« Vous, enfin, tu  es très belle. Mais le prends pas mal, le style star porno chic des années 90 c’est pas trop mon genre. »

-« Ah ? T’es sûr de ça ? »

Je te regarde par en dessous avec une moue boudeuse.

-« De toutes façons toutes les chances que la porte soit même pas fermée. »

Pas bête, je n’y avais pas pensé. C’est vrai que c’est un classique des escapes room. Laisser croire aux participants que la porte est fermée alors qu’il n’en est rien. Tu te retournes et tournes la poignée en porcelaine. Bien tenté mais c’est bien fermé.
-« Te fatigues pas, la clef elle est là. »

je montre du menton la boîte à clef sur le mur au dessus de la porte a bien 2m20 de haut.
-« J’ai le code, et je ne comptes pas te le donner si tu ne joues pas le jeu… »

-« Bah voyons. Et il va jusqu’où le jeu ? »

-« ça, a toi de voir. Mais j’ai comme l’impression qu’il va falloir me passer sur le corps.  La perspective est si désagréable que ça ? »

Je gonfle mes poumons pour faire s’il était besoin gonfler un peu plus ma poitrine avantageuse. Il faut dire que je sais par indiscrétion que ta future épouse est assez plate.
Blonde et jolie mais désespérément plate.

Devant le canapé Il y a une table basse en bois brut. Tu la déplaces sous la porte pour monter dessus et accéder à la boîte à clef. Tu essaies quelques codes. 0000, 1234, 4321, j’imagine ta date de naissance et la date du mariage aussi. Je te regarde faire amusée. Sur la pointe des pieds les bras en l’air tu te fatigues assez vite…D’autant que tu dois tendre le cou pour voir le code que tu composes. Dans ces conditions tu constates assez vite qu’il est illusoire de tenter les 9999 codes possibles les uns après les autres.

-« Aller, descends. Tu peux tenter de négocier un indice… »

Maintenant que tu sembles avoir compris la règle du jeu j’ai décidé de faire un peu moins dans la dentelle. Je me suis allangie sur le côté sur le canapé et j’ai retroussé ma robe pour dévoiler mes belles fesses en collants. J’ai dessous un mini string très fin et je sais que mon abricot épilé se devine très bien.
D’ailleurs tu ne dis rien. Je tourne la tête pour voir celle que tu fais et l’expression que je lis sur ton visage ne me semble pas être du dégoût. Je joue à pincer ma cuisse à travers le nylon pour que tu aies envie de faire pareil.

-« Dis donc, Donovan, j’ai l’impression que si je ne suis pas à ton goût, il va falloir l’expliquer à Popaul… ».

-« Ecoutes, oui, j’avoue, évidement que tu es bandante. Mais j’imagine que c’est juste un boulo pour toi. Alors que moi je risque mon mariage. Et de toutes façons, qu’est ce que je dis ! J’ai pas l’intention de tromper ma femme avant même de me marier ! »

-« Tout de suite les grands mots. Qui te parle de tromper ? C’est qu’un jeu. Un jeu sexy. Et puis, tu peux faire semblant, c’est toi qui fixes les limites…moi j’dis ça, j’dis rien. Le Minitel parle de jouir, pas de commettre l’irréparable adultère…Tu veux pas venir…derrière moi… »

Je me mets à genoux sur le canapé. Et, le miracle de l’amour commence à se produire. Tu es derrière moi. Tes mains sur mes épaules. Je sens avec délice ton corps juste derrière moi. Je me laisse doucement aller en arrière et ton corps est collé au mien. Beaucoup de tissus entre nous mais quand même. C’est un bon début! Un très bon début même quand tes mains descendent vers mes seins. Je suis toujours à genoux sur le canapé. Je penses que tu n’as toujours pas l’intention d’aller trop loin. Pour le moment c’est encore un jeu. Un jeu certes sexy et d’adultes mais un jeu quand même. Enfin, tes mains sur mes seins c’est déjà pas mal. Ça me rend bien chaude. Je cambre mes reins et essaie de presser mes fesses en arrière. J’ai l’impression de te sentir contre moi. Je relève ma robe qui était retombée entre nous. Je sais que mon cul de bombe atomique en collants ça plait à tous les hommes. Même les plus sages.

-« Hummm, pas mal. Tu sais, techniquement tant qu’il n’y a pas pénétration…c’est pas vraiment trompé…J’dis ça, j’dis rien… »

L’argument fait mouche. Car tu te fais très caressant sur mes seins et glisse à mon oreille : « Ok, mais seulement si ça reste secret entre nous. »

-« T’inquiètes, ce qui se passe dans la sexcape room reste dans la sexcape room. C’est la règle et promis, je ne m’inviterai pas à ton mariage. Tu sais, j’aime très beaucoup les bisous dans le cou… »

Je te sens déjà moins timide. Et toujours très dur contre mes fesses. Les lèvres sur mon cou sont tièdes, humides. Je me laisse aller en arrière. Tes carresses sur mes seins tournent au massage et j’ai déjà très chaud. D’ailleurs je me dis que ma pièce dans laquelle nous sommes doit être très bien chauffée. Il doit bien faire 25 ou 26 degrés facile. Je te laisses prendre ton temps, tu es encore un peu réservé. Un amant d’internet aurait sans doute déjà déchiré mes collants. Mais là c’est différent, tu as l’intention de rester du bon côté de la frontière de l’adultère. Alors je te laisse baver sur mon cou qui devient aussi mouillé que ma chatte. Je salive pour pour mouiller mes seins. J’aimerais être plus en sueur mais malgré la chaleur ce n’est pas suffisant. Il faudrait que je sois essoufflée et ce n’est hélas pas le cas. Alors je prends ta main et la porte à ma bouche pour sucer tes doigts avant de les rendre à mes seins. Tu ne dis pas un mot mais tu sembles avoir compris ce dont j’ai envie et tu te montres coopératif. Tu lèches mon cou et les épaules. Tu embrasses en y mettant toute la salive que tu peux. Plusieurs fois je reprends ta main pour la porter à ma bouche. Tu la remets entre mes gros seins qui sont de plus en plus moites. Secrètement je pries pour que tu ne sois pas un ejaculateur précosse capable de jouir dans ton pantalon juste en me caressant. Ton sexe bien dur que je sens contre mon cul me fait craindre le pire. Mais je n’y peux rien, il est des risques qu’il faut savoir accepter. Le manège de ta main entre ma bouche et mes seins est fort plaisant et je pourrais ne pas m’en lasser. Pourtant à un moment c’est plus fort que moi. Au lieu de laiser ta mains revenir entre mes seins je la guide plus bas, sous ma robe, entre mes cuisses. Je sens comme une hésitation, une résistance à aller si loin malgré la température qui entre nous est monté de plusieurs crans.

-« Aller, t’inquiètes pas, c’est juste des caresses sans enlever mes collants… »

Je force un peu ta main contre mon abricot tout gonflé et je serre les cuisses pour la garder emprisonnée. Toujours à genoux je passes ma main libre dans tes cheveux, sur ta nuque pour t’inciter a continuer à embrasser mon cou. Je serre mes cuisses très fort pour t’encourager à faire quelque chose de tes doigts. Je lâche un petit gémissement d’aise quand je sens enfin tes doigts presser contre mon abricot juteux.
-« Hummm, je t’en supplie, t’arrête pas de m’embrasse, caresse moi. Tu sens comme mon petit abricot aime ton doigt ? »

Je serre et desserre mes cuisses pour t’inciter à me caresser à travers le nylon de mes collants. J’ai très chaud et je mouille. Si bien que même avec le nylon ça commence à devenir glissant. Tu frottes en va et vient comme tu peux avec ta main toujours prisonnière. Je tiens fermement ton poignet pour que tu n’essaies pas d’enlever tes doigts de là où ils doivent être.

-« Hummm, c’est bon, tu vois, même pas besoin de faire ta femme cocue pour me donner du plaisir. Hummm, j’adore, tu me fais trop mouiller. Pitié, t’arrêtes pas. »

Et d’ailleurs c’est parti, tu ne semble plus trop avoir envie de t’arrêter. Ta langue a quitté mon cou et mes épaules pour t’attaquer à mes oreilles. Ça chatouille mais la façon dont tu le fais est très excitante. Je peux exactement imaginer que c’est un autre trou que tu pourrais lécher. Et je suis certaine que tu veux justement que j’imagine le Cunilingus que je rate. Je prends la main qui s’occupe de mes seins pour en sucer les doigts. J’aspire fort, je pousse trois doigts bien au fond de ma gorge. Je veux que toi aussi tu saches ce que tu rates, la bonne suceuse en gorge profonde que je saurais être si tu me laissais faire. Tes doigts qui caressent mon abricot à travers le collant pressent de plus en plus. Je te laisse prendre encore un peu ton temps. Bien mur et juteux l’abricot n’en sera que meilleur. Je meurs d’envie de déchirer mon collant par devant, j’imagine le bruit si excitant de tissu qui se déchire. Mais je veux rester fairplay et te laisser le choix. Après tout c’est TON enterrement de vie de garçon.

-« Hummm, tu sens comme mon petit abricot est juteux ? Je suis en train de tremper mon string et mon collant, faut faire quelque chose…C’est pas humain de me laisser comme ça…»

Je passe les mains derrière mon dos dans l’espoir d’accéder à ton pantalon. C’est un pantalon de smoking, noir en tissus fin et délicat. Même dans mon dos je suis une experte en la matière. La boucle de ceinture est facile à défaire. Occupé avec ma chatte sous ta main droite, mes seins dans la gauche et mon cou sous tes lèvres et ta langue tu me laisse faire sans protester. J’en profite pour tâter la bosse juste sous la ceintures. Évidement tu bandes comme un âne. Gros et dur. Je défais les deux boutons de ton pantalon, la fermeture éclair me donne un peu plus de mal. Il faut dire que je suis hyper excitée et que je balance mon bassin au rythme des pressions de tes doigts qui me massent à travers le nylon trempé. Après trop de vaines tentatives je laisse tomber pour la fermeture éclair de ton pantalon. Je me dis que c’est impossible maintenant que ta queue reste infiniment prisonnière. Il faut juste être patiente et t’aider un peu. Je me dégage un peu vers l’avant pour enlever ma robe par le haut comme un pull-over. Je n’avais pas de soutien-gorge et me voilà donc sans le haut avec juste encore mes collants, mon petit string et mes talons aiguilles.

-« Tu sais, si tu enlèves ta chemise, c’est pas le bout du monde. La peau contre la peau c’est agréable mais c’est pas tromper, c’est même pas un bisou. Tu peux faire ça non ? »

Je n’aurais pas cru que ce serait si facile. J’en suis presque déçue. Tu sembles avoir perdu toute timidité et tu es torse nu en un rien de temps. J’arrive, comme par miracle à défaire la fermeture éclair de ton pantalon et à saisir ta queue bien dure derrière moi. Je me retourne et je te pousse sur le canapé pour te sucer. Tu as oublié toute idée de résistance. Tout en gardant ta queue dans ma bouche, je me tourne pour que tu puisses enfin déchirer mes collants et me caresser.
-« S’il te plaît, occupe toi de mon petit trou du cul aussi, je t’en supplie. »

En fait je nàvais pas besoin de supplier. Tu presses un doigt qui était juste avant dans ma Chatte et donc bien humide. Ça rentre tout seul. Sensation délicieuse. Je m’applique à sucer alors que je sens déjà l’orgasme en moi qui me fait oublier mon corps. Tellement bon, on reste comme ça longtemps. Caresses et baisers mouillés, tes doigts dans tous mes orifices. Ta queue reste longue et dure et j’ai envie de l’avoir directement dans mon cul pour une fois, sans passer pas ma chatte. J’arrête de te sucer et je me place en cuillère contre toi. J’écarte mes fesses. Ton gland presse, je suis tellement détendue que ça rentre sans trop de difficulté. J’en gémi de joie. Folle sensation de ta queue qui me semble immense dans mon cul. J’insulte tout doucement, en gémissant de vrai plaisir. Quand tu finis par jouir je fais tout pour garder ta queue bien au fond, en moi. Je sais que tu vas le regretter, être gêné maintenant que c’est fait. Mais je m’en fiche, c’était tellement bon. Je te murmure le code à l’oreille.
Génétu n’oses rien dire. Tu te rhabilles et monte sur la table basse pour récupérer la clef.
Tu bredouilles quelques mots stupides avant d’être partir. Je reste dans la sexcape room en espérant qu’un autre candidat vienne prendre ta place car ça avait un petit goût de reviens y…
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Pauline cherche un mec

Je m’appelle Pauline et je remercie Lucie de me laisser cette page. C’est tellement mieux qu’un commentaire perdu dans la masse.

J’ai 27 ans et je cherche un mec. Un peu comme dans une vieille chanson de Patricia Kaas.
Un mec à moi qui me parle d’aventure, une aventure extra conjugale. Un mec à moi qui sait relever ma jupe en caressant mes jambes. Un mec à moi qui n’a pas honte de m’offrir un plug anal ou une paire de menottes.

Je cherche un mec qui me dit : « À genoux ! » et baisse son pantalon. Un mec avec des abdos en tablette de chocolat et une queue raide et appétissante.
Je cherche un mec qui me prenne en levrette et m’oblige à appeler ma belle mère au téléphone pour que je sois obligée de me retenir de gémir en jouissant.
Je cherche un mec qui me fasse livrer de la lingerie de pute et me convoque à 15 heures à l’hôtel Mercure de Brive La Gaillarde.
J’ai 27 ans, je m’appelle Pauline. Je suis grande brune et un peu insolente. Je voudrais l’espace d’un cinq à sept  être une autre femme que celle que m’impose le rôle social d’être l’épouse de mon mari connu, trop connu, dans la région.

Je cherche un mec, ou plutôt un homme, qui me fasse vibrer, qui soit comme une drogue dont je ne pourrais pas me passer. Mais je voudrais que cela soit réciproque, que lui non plus ne puisse supporter d’être trop longtemps loin de mes fesses. Je cherche un mec qui me rendrait folle autant que je le rendrais fou.

Envoyez votre candidature ici en commentaire, je ferai le tri et répondrai, promis à toutes les propositions sérieuses.

Micro short, maxi plaisir

Footing en milieu de semaine. Mon petit cul moulé dans un micro short rose. Je cours devant toi, mon petit cul qui balance à un ou deux mètres de toi. Mes gros seins aussi balancent dans mon crop top. Mini string qui dépasse du micro short pour compléter mon costume de salope sportive. Je t’ai lancé un défi. Si j’arrête de courir avant toi alors tu pourras disposer de mon corps comme tu l’entends. Je te l’ai promis en chat sur cinqasept. Si c’est toi qui abandonne alors je t’échapperai pour rejoindre un autre amant et tchao baby ! Moi je m’en fiche, pour une jolie MILF salope comme moi c’est pas le choix qui manque ! Les dix premiers kilomètres sont avalés aussi facilement qu’une belle bitte. Je sue à peine. L’allure est tranquille. Un petit 11km/h. Je consulte mon Apple Watch et décide d’accélérer en allongeant ma foulée. Je sais que tu es motivé. J’avais l’intention de te déposer pour jouir de ta frustration et me taper un autre mec. Mais je suis en train de changer d’avis. J’ai espoir que tu aies envie de me punir pour t’avoir fait courir. Vers le kilomètre 15 je commence à chauffer et à être bien en sueur. Mon Airbnb est a une dizaine de minutes alors j’accélère encore sans pitié. Si tu arrives à suivre je suis à toi. Sinon tempis, tu n’as pas l’adresse et tu n’auras que tes yeux pour pleurer et ta main pour te consoler. Mais il faut dire que mon joli cul moulé dans le short riquiqui en éponge rose bonbon est sacrément motivant.

J’ai sur toi un gros avantage. Je sais où je vais et je peux donc doser mon effort en conséquence. Toi tu suis, sans savoir si je suis partie pour un marathon ou si la ligne d’arrivée est proche. D’ailleurs je sens que je commence à te distancer. Pas facile d’ailleurs, je fatigue moi aussi. Quand j’arrive enfin au portail de la maison de ville où est l’appartement de mon Airbnb je suis à bout de souffle et me penche en avant les mains sur mes cuisses. J’ai une vingtaine de mètres d’avance et tu es soulagé de me voir m’arrêter. Tu me rejoins et te colle direct contre mon dos, tes bras enlaçant ma taille.

-« Je te tiens ! J’espère qu’on est arrivés ! Je ne te lâche plus ! »

Mon dos est trempé de sueur. J’adore sentir ton corps contre moi et tes bras autour de ma taille. Mais je fais mine d’essayer de me dégager. J’ouvre le portail et je m’enfuie vers la porte de l’appartement au fond du petit jardin. Je n’ai pas le temps d’ouvrir que tu me plaques contre la porte. Je sens ton sexe dur à travers ton jogging juste entre mes fesses. Heureusement que je n’avais pas fermé la porte à clef car je ne sais pas si tu ne m’aurais pas baisée là, dehors, contre la porte.

J’ai à peine tournée la poignée que tu me pousses à l’intérieur et claque la porte derrière nous. Je trébuche et tombe maladroitement manquant de me cogner contre une table basse  . J’ai raté le canapé d’un bon mètre ! J’essaie de me relever mais tu es déjà sur moi et tu me pousses brutalement en avant. Heureusement cette fois j’atterris sur le canapé ! La claque sur mes fesses est bruyante et sans retenue. Mais du plat de la main. Je me cambre malgré moi. Comme par réflexe. Je tourne la tête jette un regard suppliant en mordant la lèvre inférieure. Une deuxième claque encore plus forte et bruyante, puis une troisième. Je tente de mettre mes mains sur mes fesses pour les protéger mais tu prends mes poingnets d’une main et les maintient derrière mon dos tout en me corrigeant d’une magistrale fessée de l’autre main.

Tu frappes fort et longtemps avant de baisser mon short sur les genoux et de déchirer mon string. Puis tu remets ça toujours du plat de la main, en prenant soin de faire claquer. Tu tapes là où c’est charnu, pour faire rougir mais sans intention de baliser. Tu as lâché mes poignets et j’ai choppé un coussin pour mordre dedans en attendant que tu te lasses de taper mes fesses. Je me dis que tu dois bander et que tu vas forcément avoir envie de me pénétrer, qu’il me suffit d’attendre docilement. Je sais que je vais jouir alors la douleur, c’est supportable, ça fait même partie du plaisir.

La fessée s’est arrêtée,  c’est maintenant que je me retourne. Tu as le jogging sur les chevilles. J’enlève ma brassière et je presse mes gros seins contre toi, ta queue juste dans le creu parfait au millieu. Je suis la reine de la cravate de notaire, la langue qui taquine le bout de ton gland et mes seins chauds pressés sur ton membre. J’ai plus du tout mal au cul, je suis juste bien mouillée et j’ai très envie de jouir.

La suite bientôt peut être…

Élise lycéenne dix neuf ans

C’est sans prétention que j’écris ce témoignage. Je m’appelle Élise, j’ai dix neuf ans et je suis encore lycéenne car j’ai une année de retard à cause d’une maladie longue qui m’a fait rater une année scolaire lorsque j’étais collégienne. J’aime le cul. Je crois que c’est depuis toujours. Même avant de vraiment savoir ce que cela voulait dire je cherchais toujours a plaire aux hommes. Oui, je dis bien les hommes car les garçons de mon âge ne m’attirent pas vraiment. Je les trouve immatures et empotés. Les hommes mûrs, disons à partir de la trentaine sont bien plus intéressants. J’adore le trouble que je crée en eux quand ils comprennent qu’il y a une ouverture. Puis lorsque je me retrouve seule avec l’un d’eux c’est un délice de me pendre à leur cou et de les embrasser sur la bouche. Ils sont en général tout surpris et quand je me presse contre eux c’est magique. Je me mets à genoux et je lève mon regard innocent tout en défaisant le bouton du pantalon puis en baissant la fermeture éclair pour sortir la queue que j’ai trop envie de sucer. Je suce vite, avec énergie et beaucoup de salive. C’est marrant de voir comme vous avez toujours peur de jouir trop vite vous les hommes. Alors vous me relevez et mettez la main dans ma culotte, sous la petite robe légère que j’ai mise pour l’occasion. C’est tout mouillé et un ou deux doigts rentrent tout seuls. J’aime tellement ça ! Vous pouvez pas vous imaginer comme j’aimerais ça. Ma position préférée c’est d’être sur vous. Toute nue, mon ventre qui se frotte contre votre ventre. Ma chatte étroite avec cette queue dure et gonflée en moi. Vos mains sur mon cul, un doigt dans mon anus à me faire gémir de plaisir. J’aime cela plus que tout au monde.

J’aime aussi quand parfois vous prenez mes tétons entre vos lèvres pour les sucer pendant que j’ondule avec votre queue dans mon petit minou trempé.

Ou alors quand vous me retournez et placez un genou entre mes cuisses pour les écarter. Un pouce dans mon trou du cul et deux doigts dans ma chatte. Les caresses interminables sur mon clitto puis le poids de votre corps sur le mien, la queue dure qui se presse entre mes petites fesses. Merci pour tout cela, hommes de trente ans ou plus. Merci de me faire jouir si fort et si bien !
Voila, je voulais que cela soit dit quelque part. J’espère que ça vous a plu. J’espère que si vous lisez ces lignes vous trouverez vous aussi une jeunette comme moi à combler. Bisous mouillés !

Une histoire de Frank

Parfois vous m’écrivez de longs commentaires très excitants. Alors je préfère en faire des articles.

 

C’est un matin de décembre, tu t’es préparée pour tes rendez-vous professionnel et ton plan cul d’après midi. Tu est habillée d’une robe moulante, collants string et bottes à talons.
Tes deux rendez-vous pro ne te prendrons pas plus de la seconde moitiée de la matinée et ton plan cul t’as invité au restaurant pour ensuite passer l’après midi à baiser avec toi, il t’as promis du hard, c’est pourquoi tu prends ton temps pour bien te préparer, ton mari est parti travailler, tu allais partir également quand tu reçois un appel de ton patron qui t’informe que tes rendez-vous sont annulés.
Ça tombe bien, tu penses avoir plus de temps pour chauffer ton plan cul d’après midi, tu lui envoies un texto bien chaud et commence à te chauffer toute seule en te caressant, d’abord avec tes doigts, puis avec un sextoy, ton excitation monte de plus en plus quand ton Iphone vibre, tu ouvres le message et c’est la douche froide : Je ne viendrai pas, désolé, ne me contacte plus.
Tu est anéantie, frustrée, tu te demandes comment faire passer tout ça, tu hésites entre sortir draguer à l’ancienne ou te mettre sur un site de rencontre au risque de tomber sur un mauvais coup quand tu entends ta sonnette.
Tu vas ouvrir et une magnifique jeune femme rayonnante en tenue de pompier
est devant ta porte et derrière elle, un second pompier ( moi ) faisant mine de sourire.
Nous sommes la pour te vendre le traditionnel calendrier des pompiers, tu nous invites à entrer et nous propose un café ( vu la température glaciale extérieur, nous acceptons avec plaisir )
Nous entrons et retirons nos lourdes et encombrantes parkas et nos vestes et tu nous vois plus en détail : ma collègue Chloé, très belle brune de 25 ans, sportive, 1,70m, 90d, très jolies fesses, de très bonne humeur et moi : 2m de haut 115kg gabarit de rugbymen crâne rasé, tu me dévore des yeux mais je n’y prête pas attention ( je n’ai pas encore rencontré Shanna et je viens d’apprendre que ma copine me trompes avec un collègue que je ne peux pas voir en peinture mais elle ne sais pas que je les ais surpris avec l’aide de Chloé, c’est elle qui m’a poussé à aller faire la tournée de calendrier pour me changer les idées et peut être plus…)
Chloé remarque que tu me déshabille des yeux en me servant le café, tu retournes dans la cuisine faire celui de ma collègue, tu mouille rien qu’à l’idée de me sucer.
Pendant que le café coule, tu te caresses, tu n’as pas remarqué que Chloé t’avais suivie. Elle t’observes et, arrive derrière toi et t’attrape par les seins, les malaxe, les caresses elle pince tes tétons.
Elle te murmure à l’oreille : Il t’excites mon collègue hein, il est bien foutu. Alors tu vas m’aider à lui changer les idées, la pute qui lui sert de copine l’as trompé, il cherche un moyen de bien se venger, j’ai pensé coucher avec lui, mais pour une vengeance, je serai bien partie sur un plan à trois, j’ai vu le vibro que tu as essayé de cacher, sa bite peux parfaitement le remplacer, et en plus, tu m’excite beaucoup belle salope, j’ai depuis longtemps envie de me faire une belle MILF sportive dans ton genre, tu en dis quoi ?
Tu réponds que tu acceptes volontier.
Vous revenez toutes les deux, le sourire aux lèvres, tu m’embrasse directement à pleine bouche en palpant mon entrejambe, je suis surpris, mais te rends ton baiser, Chloé m’embrasse également, puis vous vous embrassez toutes les deux.
D’un coup, Chloé te penches en avant sur la table, relève ta robe et te claques les fesses par dessus ton collant puis elle t’assois sur la table, écarte tes cuisses et léche ta chatte par dessus ton collant et ton string. C’est la première fois que tu est dominée par une gamine de 25 ans et ça t’excites encore plus.
Ce magnifique spectacle m’excite terriblement, j’ouvre la braguette de mon pantalon de treillis pompier et sort ma bite, tendue à bloc, je passes derrière toi, ma collègue te penche en arrière et continue son cuni pendant que tu prends mon gros et grand sexe au fond de ta gorge et que tu t’occupes de me sucer du mieux possible.
Je sort tes gros seins de la robe, les caresses, les masses et tire tes tétons.
Nous changeons de place avec Chloé, elle s’est complètement déshabillée et s’est allongée sur toi en 69. Tu as sa belle chatte toute jeune lisse et douce devant la bouche et tu la lèche du mieux possible.
Tu sens mes doigts te caresser le sexe par dessus le collant et le string, tu entends le nylon trempé se déchirer, j’écarte ton string sur le côté pour te bouffer la chatte, je suces, aspire lèche et mordille tes lèvres et ton clito, je te doigte en même temps et Chloé claque l’intérieur de tes cuisses, ton cri de plaisir est étouffé par la chatte de ma collègue.
J’enfonce ma bite dans ta chatte trempée, d’abord gentiment pour que tu puisses t’y habituer, et ensuite je te défonces, un orgasme puissant parcours ton corps, tu hurles de plaisir, je me retire de ta chatte pour que ma collègue me suces, tu retires ton collant déchire, ton string et ta robe, ma à la demande de Chloé, tu gardes tes bottes, elle as remis ses rangers, ça l’excite et elle l’est encore plus quand elle me prends en bouche.
Ta chatte as bon goût salope de MILF, tu est vraiment en chaleur, toutes les deux on vas bien s’occuper de Franck, et on vas aussi s’occuper de toi. Dit elle en te regardant avec un regard embrase de désir.
elle me nettoie bien et te fais me sucer après, pendant que tu t’occupes de ma bite, ma perverse de collègue te doigte et caresse ta chatte et tes seins.
Tu me suces tellement bien que je jouis dans ta bouche, tu attrapes Chloé par sa tresse et tu l’embrasses pour que vous vous partagiez mon sperme chaud.
Je ne débande pas et tu proposes de te baiser directement dans ta chambre.
À peine entrés, Chloé se jette sur le lit et me supplie de la défoncer en levrette, j’entre en elle et commence à ramoner sa jolie chatte étroite, pourtant, elle me supplie d’y aller plus fort et de la ravager.
Je m’active en l’attrapant par la tresse, je lui tire les cheveux, claque son magnifique cul pendant que tu t’est installée en face d’elle et qu’elle te fais un cuni d’enfer malgré mes énormes coups de reins en elle, elle jouis sans arrêt et demande à être sodomisée.
Tu t’occupes de préparer son petit trou et elle s’enfile elle même ma bite dans le cul, une fois habituée, elle me dit de la casser eu deux, je reprends mes puissants aller retour dans son cul, je la soulève par les seins et la défonce à grand coups de reins debout sans qu’elle ne touche le sol.
Tu attrapes un gode ceinture et commence à lui défoncer la chatte en même temps que moi son cul, elle hurle de plaisir, ses orgasmes arrivent les uns après les autres et elle manque de s’évanouir tellement c’est bon. Elle t’enlève le gode ceinture et commence à lubrifier ton anus.
Tu est prête ? Parce qu’il vas te défoncer, dis lui quand tu veux commencer, il vas te laisser le temps de t’habituer à son énorme sexe.
Tu y vas progressivement et quand tu sens que ton cul s’est habitué à être ouvert, tu me demandes de commencer.
Je commence tranquillement pendant que tu lèches la chatte de Chloé et ensuite tu reçois le même traitement qu’elle, sodomisée debout pour envoyer ma grosse bite tout au fond de ton cul et Chloé as enfilé le gode ceinture et te prends la chatte avec. Tu est ouverte par devant et derrière, tu as orgasme sur orgasme, tu jouis sans arrêt en hurlant, nous changeons de place avec Chloé, elle t’encule avec le gode ceinture pendant que je te prends la chatte, ensuite, tu est mise en levrette sur ton lit, j’alterne entre ton cul et ta chatte pendant que tu lèches les seins et la chatte de ma collègue, ensuite nous échangeons nos places, elle te défonces au gode ceinture pendant que tu me suces.
Je vous dis que je ne vais pas tarder à jouir, vous me faites une branlette espagnole chacune d’un côté, et je jouis en lâchant une énorme quantité de sperme chaud sur vos gros seins.
Vous vous léchez mutuellement et partagez mon sperme en vous embrassant, tu nous invites à prendre une douche avec toi.
Nous nous lavons mutuellement, une fois sortis, tu reçois un texto de ton mari qui te dis qu’il ne rentreras que le lendemain soir.
Chloé nous propose de continuer à s’amuser chez moi, de m’aider à vider les affaires de la pute qui me sert de copine, et pendant que j’irais chercher de quoi s’amuser, vous vous préparerais toutes les deux pour ensuite passer l’après midi et toute la nuit à baiser.

Qu’en penses tu Lucie, j’écrirai peut être la suite en fonction de mon inspiration ou tes suggestions

 

Deux amants et une amie

Lucie, j’aime ton blog et je suis une lectrice assidue. J’ai vu qu’en plus de tes aventures extra conjugales et sexy tu publiais parfois des témoignages. Alors voici ma contribution à ton blog. J’espère que mon histoire plaira à tes lecteurs.

J’ai 32 ans, un mari, deux enfants, un chien, un chat et même un cheval. Je suis passion d’équitation. Mais j’ai aussi deux amants !!! Oui, vous avez bien lu. Deux amants. Ce qui est dingue c’est que ni mon mari ni aucun de mes amants ne sait cela. Mon mari pense que je lui suis fidèle et chacun de mes amants croit qu’il est le seul à faire mon mari cocu. A part moi, la seule personne qui connaît mon secret scandaleux c’est ma meilleure amie. Ma seule amie, une amie d’enfance en qui j’ai la plus totale confiance et qui m’a sauvé bien des fois en me fournissant de précieux alibis. Contrairement à toi j’aime passionnément mon mari et nous faisons régulièrement l’amour d’une manière qui devrait être tout à fait satisfaisante pour la plupart des femmes. J’ai régulièrement envie de lui et il me donne un orgasme presqu’à chaque fois que nous faisons l’amour. C’est à dire tous les week-ends et parfois même en semaine. Mais c’est plus fort que moi, j’ai besoin de le tromper et d’aller voir ailleurs régulièrement. Huit ans de mariage dont sept d’adultère !

Mon plus vieil amant est un homme avec qui j’avais déjà des relations sexuelles occasionnelles avant d’être mariée. Beau quinquagénaire il pourrait être mon Père. A condition de m’avoir eu au sortir de l’adolescence. C’est lui qui m’a dépucèlée à dix neuf ans. Hé oui, j’ai commencé tardivement. Mais je me suis bien rattrapée depuis. Avec lui c’est deux ou trois fois par mois. En général en semaine quand je monte les mardi ou les jeudi après-midi. Nous fréquentons le même haras. Nos ébats sont en forêt ou dans des granges. C’est fou le nombre de granges accessibles que l’on peut trouver quand on pratique la balade à cheval !
Il a longtemps été le seul autre homme à m’honorer à part mon mari. Jusqu’à l’an dernier. Et comme je le connaissais d’avant mon mari, je n’avais pas vraiment l’impression d’être une femme adultère. Bien sûr je savais « intellectuellement » que techniquement je trompais mon mari ! Mais je ne me sentais pas coupables. La différence d’âge aussi avec mon amant me donnait l’impression que c’était une relation différente qui n’avait rien à voir. Mon mari a le même âge que moi à quatre semaines près.
Puis, il y a deux ans il m’est arrivé une drôle d’histoire. Un adolescent en stage d’équitation pour son BAFA s’est entiché de moi. Au début je prenais cela comme un jeu. C’était comme une plaisanterie. Le jeune homme était puceau (mais cela j’en e le savais pas à l’époque). Il était touchant, avec beaucoup d’humour, toujours enjoué et pas timide. Un jeune homme de bonne famille, déguingandé brun aux yeux bleus. Je le laissais flirter pendant que ça ne prêterai pas à conséquences. Mais un matin d’hivers il y a eu un baiser. Je dis un baiser mais je devrais plutôt dire LE baiser. Un baiser comme je n’en avais jamais eu. Contre une jument que nous étrillions. J’ai mis mes mains sous son polo pour sentir sa peau. Nous ne sommes pas allé plus loin cette fois là. Mais ensuite nous nous embrassions dès que nous le pouvions. Ce n’est qu’après une semaine que je me suis agenouillée pour lui faire une fellation. Je pensais que  je ne serai pour lui qu’une passade, une initiatrice plus âgée dont il se lasserai. Mais ça ne s’est pas du tout passé comme je l’imaginais. Il vient régulièrement chez moi. A chaque fois que mon mari est en déplacement. C’est à dire une ou deux fois par mois. Il a une endurance phénoménale et il peut passer toute une nuit dans mon lit sans pour autant fermer l’œil. Il m’épuise délicieusement et je dois mordre mon oreiller pour que étouffer mes cris et ne pas réveiller les enfants.

Mais avec lui non plus je n’ai pas l’impression de tromper mon mari. Presque quinze ans d’écart, et pas d’amour. J’ai cru un moment qu’il était amoureux de moi, en mode adolescent amoureux transit. Il a éclaté de rire quand je lui ai dit. Un rire sincère, simple et franc. Non, il n’est pas amoureux de moi. Il aime juste ce que nous faisons au lit et « je n’ai pas à m’inquiéter, un jour ça finira. »

Voilà, c’est mon histoire, je n’en ai parlé qu’à ma meilleure amie et à toi. Je pense avoir fait attention à ne pas mettre de détail qui puisse me compromettre dans mon témoignage. Alors tu peux le publier si tu veux. Et, tu vas peut être me prendre pour une folle mais il y a une raison pour laquelle je t’ai écrit ce témoignage. Comme je le dis dans ma lettre je n’ai pas le sentiment de tromper mon mari. Aussi étrange que cela puisse paraître. Mais depuis quelques temps je me pose des questions. Est ce que mon manque de culpabilité vient de la différence d’âge avec mes amants ? Est ce que si je couchais avec un homme de 30-35 ans je me sentirais coupable ? Je brûle d’essayer mais j’ai en même temps terriblement peur de ce que je risque de découvrir sur moi même. Que me conseillerais tu ? Que peuvent bien penser tes lecteurs et lectrices de mon histoire ? Je suis sincèrement preneuse de toute remarque ou de tout conseil.

 

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Témoignage sexy d’une nymphomane

Salut Lucie,
Je suis tombée sur ton blog et je dois te dire qu’il me fait beaucoup de bien. Je suis Nymphomane et mariée comme toi. Tout a commencé pour moi au premier confinement. Me retrouver H24 avec mon mari et notre fils a été terrible. Mon mari était complètement flippé. J’aime faire l’amour et je me disais que ce serai l’occasion de plus baiser avec mon mari. Mais il avait pannes sur pannes et ne semblait pas du tout intéressé par la bagatelle. Je ne comprenais pas car je sais que je suis plutôt sexy. Avant le confinement j’allais trois fois par semaine à la salle de sport et je faisais très attention à moi.

Donc, j’ai commencé à traîner sur des sites de rencontre. Mais comme on ne pouvait pas sortir c’était que du virtuel. Et presque jamais en sexcam vu que notre appartement est petit et qu’il n’était pas facile d’avoir de l’intimité. J’envoyais des photos sexy prises dans la salle de bain et surtout j’écrivais en mode salope à des mecs. Je leur disais que je voulais les sucer pendant qu’il me mettaient un doigt dans le cul. J’imaginais des scénarios sexy dans lesquels je passais un entretien d’embauche et devais montrer que j’étais sociable et pleine d’initiatives. La plupart des hommes étaient assez inintéressants. Mais il y en avait trois qui avaient du répondant et avec lesquels c’était très très chaud. Parmi eux un habitait à deux rue de chez moi. En trois jours et des dizaines de messages nous savions que les choses ne pouvaient rester virtuelles. On s’envoyait des centaines de sextos et de photos par jour. On a commencé à se voir avant la fin du confinement. J’allais faire des courses « essentielles » et je faisais un crochet par chez lui. Au début j’avais tellement peur que mon mari ou mon fils découvre que j’avais un amant que je chronométrai mes arrêt plan cul et m’imposais de les limiter à 15 minutes. Je me jetais  sur Jeremy comme une grosse salope nymphomane en manque de s’exercer je le poussais sur le canapé, je défaisais son pantalon et prenais sa queue dans ma bouche pour le sucer comme une démente. Je prenais sa main pour la guider sous ma jupe et je suçais jusqu’à ce qu’il ejacule dans ma bouche. J’avalais tout et le goût de son sperme associé à ses doigts dans ma Chatte déclenchait chez moi systématiquement un orgasme. Comme mon mari ne semblait pas soupçonneux après une demi douzaine de plans baise rapides en mode levrette habillée je décidais que j’allais même mettre au footing et j’annonçais à mon mari que je m’absentais de l’appart une heure tous les matins pour courir. C’est pendant mes footing en leggings que j’ai découvert les joues de la sodomie.
Les vagues covid se sont succédées, le télétravail est devenu une règle pour moi comme pour mon mari. On est très souvent, trop souvent, ensemble. Mais j’ai trouvé mon équilibre en lâchant complètement prise sur les plans cul. J’ai souvent des amants, parfois plusieurs en même temps. Et j’adore le faire ken par des hommes rencontrés sur internet. Merci à vous les hommes ! Merci d’être tous différents, merci de me surprendre comme vous le faites.
Et merci Lucie pour ton blog qui m’a fait découvrir que ce n’est pas honteux d’être nymphomane !

Post scriptum pour ceux qui liraient mon témoignage : J’habite Metz et vous pouvez m’appeler EnjoyPenis si vous m’écrivez !

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Tendre salope ligotée sur canapé et sa sauce blanche

 

C’est une recette de cuisine dont je fût l’ingrédient principal. Je vous la délivre ici pour que vous puissiez la reproduire à la maison. J’ai choisi exprès des ingrédients incolores faciles à trouver et qui ne tachent pas. Il s’agit d’une recette facile à réaliser qui peut être adoucie mais dont je vous propose ici la version épicée hard. C’est celle qui m’a été soumise et que j’ai adoré.

Ingrédients :

Une bonne salope à gros seins et cheveux longs, un litre de gel hydratant à l’aloe vera, deux gros oignons blancs, du vinaigre blanc, des clous de girofle, treize grands cierges de cire blancs.

Ustensiles et accessoires :

Un fouet à lanières aussi appelé martinet (site spécialisé ou en droguerie dans certaines bourgades de province), un rouleau de cordelette en chanvre (en surface de bricolage), un gant de crin, un canapé, un grand drap blanc (si vous craignez de tâcher votre canapé). Un œuf minuteur avec sonnerie. Une paire de ciseaux.

Temps de préparation : Une à deux heures. A déguster ensuite en prenant tout son temps.

 

Dans un salon, disposez sur une table basse les 13 grands cierges blancs dans des bougeoirs individuels. Allumez avant d’éteindre tout éclairage électrique.

Faites entre la salope à gros seins. Si elle est encore habillée ordonnez lui de se dévêtir mais de garder ses sous vêtements. Montrez lui le martinet pour l’inciter à obéir si elle se montre récalcitrante. Vous aurez normalement pris soin de choisir une salope docile pour cette recette.
Une fois la salope en culotte et en soutien-gorge laissez la debout, mains sur la tête et réglez l’œuf minuteur sur cinq minutes. Les mains sur la tête pendant cinq minutes sont assez inconfortables mais la salope doit pouvoir tenir ce temps. Caressez délicatement votre salope avec le martinet. Attention, ne pas fouetter pendant ces préliminaires. Un des secrets de la recette consiste à faire monter le suspense, la salope doit être attendrie très progressivement. Il s’agit d’une cuisson lente, très lente. Tournée autour de la salope, caressez les joues, le cou, le menton. Le ventre avec les lanières du martinet. Posez vos lèvre doucement sur les fesses, malaxez un peu pour commencer à prendre la mesure du morceau de viande que vous allez attendrir. Profitez pleinement de vos cinq minutes.
Lorsque l’œuf sonne les cinq minutes prenez la paire de ciseaux et coupez environ 40 cm de cordelette de chanvre. Si elle est obéissante votre salope a toujours les mains sur la tête. Placez vous derrière elle et prenez lui les poignets que vous lui nouerez derrière le dos.

Comme vous êtes un gentleman je vous propose, pour être un peu à égalité avec votre salope, de vous déshabiller devant elle. Gardez votre caleçon. Votre salope pourra vous l’enlever plus tard avec les temps. Ne soyez pas impatient. Tout est prévu pour que votre repas soit parfait.

Couvrez le canapé d’un grand drap blanc et disposez votre salope à genoux sur le canapé dans le sens de la longueur. Comme votre salope à les mains nouées dans le dos elle est soit à genoux se tenant droite, soit déjà penchée en avant la tête appuyée sur le canapé ou sur l’accoudoir. Si elle n’est pas relevée et droite relevée la. Votre salope est une salope à gros seins, ce serait dommage de ne pas en profiter.

Dégraffez ou coupez au ciseau le soutien-gorge pour libère les grosses mamelles de la femelle. Si vous coupez au ciseau prenez soin de ne pas trop détruire le soutien-gorge car il pourra vous servir plus tard pour baîllonner votre salope. Le bâillon est recommandé si vous voulez éviter que des cris de salope ne dérangent vos voisin lorsque vous en serez à l’étape d’attendrissement de la chair de votre salope.

Épluchez un oignon blanc que vous piquez de quelques clous de girofle. Enfoncez l’oignon dans la bouche grande ouverte de votre bonne salope. Si l’oignon vous semble trop gros enlevez une ou deux couches de peau. L’oignon piqué de clous de girofle doit piquer les yeux de la salope et faire venir des larmes assez excitantes. Avec le soutien-gorge vous confectionnerez un bâillon serré qui doit maintenir l’oignon en place. Prenez soin de laisser les cheveux long libres en bâillonnant votre coquine car vous allez en avoir besoin.

Votre jolie salope est normalement à genoux, droite et seins nus sur le canapé. Avec l’oignon blanc dans la bouche et correctement bâillonnée. Attention de bien laisser le nez libre car elle ne peut plus respirer par la bouche.

Prenez le temps de reculer d’un pas. Vous aimez ce que vous voyez ? Je suis certaine que oui. Mais ce n’est qu’un début.

Faitez une queue de cheval à votre belle salope. Nouez serré avec la cordelette de chanvre et reliez aux poignets ligotés dans le dos. Faites en sorte que la tête soit tirée en arrière par les cheveux. Votre salope doit rester à genoux, bien droite sur le canapé. Aidez la si elle perd un peu l’équilibre. Dites lui de faire un effort, elle ne doit pas bouger, sinon vous devrez être plus sévère. Montrez lui le martinet. Au besoin passez un cierge allumé sous ses seins. Attention, sans la brûler ! Il s’agit de menacer, pas de mutiler !

Ok, la salope est sage, bien droite, les yeux humides à cause de l’oignon. Embrassez lui les tétons. Passez la lange et sucez un peu pour faire pointer.

Reglez le minuteur sur cinq minutes et placez le en vue de la salope. C’est bien qu’elle puisse voir le temps s’écouler. Avec le martinet fouettez lui les seins. Dosez les coups pour faire rosir les seins. Surtout sans faire saigner, sans violence excessive. Allez y fermement mais avec doigté. Vous avez cinq minutes. C’est long cinq minutes, en y allant doucement vous devriez obtenir une belle couleur rosée, presque rouge. Quand les cinq minutes sonnent prenez le gant de crin et humectez le de vinaigre blancs. Caressez les gros seins de votre salope. Léchez à grands coups de langue.

prenez la bouteille de gel à l’aloe vera dans une main et le vinaigre dans l’autre. Montrez la bouteille de vinaigre puis la bouteille de gel apaisant à votre salope. Expliquez lui qu’elle peut faire oui ou non de la tête à ce que vous lui proposez. Elle doit rester bâillonnée.

La salope est une poupée qui fait non non non de la tête quand vous lui montrez le vinaigre. Mais oui, pleine d’espoir pour le gel apaisant a l’aloe vera. Faite couler un peu de gel apaisant sur les seins endoloris de votre salope. Massez délicatement. Soufflez sur la peau échaudée.

Embrassez sa joue et glissez délicatement une main dans sa culotte. C’est tiède et moite. Parlez lui a l’oreille : «T’es une bonne salope. On dirait que tu aimes être cuisinée. » Offrez à votre salope 5 minutes (toujours avec le minuteur) de caresses délicates dans sa culotte. Elle devrait bien mouiller et apprécier si vous le faites avec doigté.

Attendrir le cul de votre salope

Asseyez votre jolie salope sur ses talons. Avec quelques tours de ficelle maintenez les jambes pliées. Pour cela attachez ensemble les chevilles et le haut des cuisses. Puis basculez votre rôti de salope vers l’avant. Réglez le minuteur sur dix bonnes minutes et fessez à main nue. Faites claquer le plat de votre main sur ses fesses qui doivent prendre une belle couleur rosée. Si vous voulez vous pouvez de bâillonner votre salope pour mieux l’entendre gémir ou quémander un peu de douceur.

Pour bien attendrir le cul ne pas faiblir, la fessée doit durer dix bonne minutes. Pensez qu’il faut mieux longtemps que fort. Fesses fermement mais sans violence excessive. Au bout des dix minutes les fesses sont bien rouges. Vous pouvez enduire de gel à l’Aloe vera et masser délicatement. Introduisez un doigt dans l’anus et élargissez délicatement en un mouvement rotatif.
Voilà, votre rôti de salope et prêt à se faire enculer.
Consommez sans modération !

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