Un soir en semaine, Clermont-Ferrand. J’ai accepté de me faire passer pour la nouvelle petite amie de mon rendez-vous à un dîner libertin. Il y deux autres couples, plutôt distingués. Marc, mon « ami », Jonas un grand tout maigre avec des lunettes rondes et les cheveux frisés, sa femme Astrid un jolie blonde, je dirais 35-40 ans, élégante un peu en chair mais avec de longues jambes, talons hauts et robe de soirée noire très décolletée sur une grosse paire de seins, André le plus âgé du groupe peut être la cinquantaine mais accompagné de la benjamine de notre groupe, Marie une brunette pétillante coupe à la garçonne et rire cristallin. J’ai choisi pour l’occasion une robe fourreau en laine tricotée gris taupe. Pour les dessous c’est dentelle noire avec la totale, vrais bas nylon, porte jarretelle et guêpière assortie. Les hommes sont en costume mais sans cravates. Ils semblent tous se connaître. La règle pour se dire bonjour semble être un smack sur la bouche. Même pour les hommes entre eux ! Je me plie un peu gênée à leur coutume. Jonas le grand maigre embrasse à peine, lèvre closes. André le doyen a les lèvres plus charnues et pose la main sur ma hanche mais reste aussi très bref. Les filles sont plus expansives, Marie la brunette benjamine sort une petite langue pointue quand elle m’embrasse. Ça ne dure pas plus d’une demi seconde mais j’ai brièvement le petit muscle rose dans ma bouche. Astrid n’a pas besoin de mettre la langue pour que ce soit sensuel et mouillé. C’est fou ce qu’un seul petit smack peut suggérer.
On est chez Jonas et Astrid, le grand à lunettes et la belle blonde. Leur salon est immense, grande cheminée, tapis berbères en laine, trois canapés Togo autour d’une table basse en bois brut exotique. Jonas fait sauter un bouchon de Champagne. Jacquesson cuvée 742, je suis bien tombée ! Marc et moi prenons place sur un des trois Togos. Les canapés Togo sont bas et profonds, ce qui a pour effet de relever les jambes. Celles de Marie sont courtes mais jolies avec un beau mollet galbé juste comme il faut, Astrid pose des assiettes de trucs apéritifs sur la table basse de ma place j’ai un aperçu fugace de ses seins tandis qu’en face c’est sa belle croupe moullée dans la robe qui fait lever le sourcil d’André. Marie lui donne un petit coup de coude pour signifier qu’il n’est pas très poli de mater aussi ostensiblement le cul de la maîtresse de maison. Elle me regarde et lève les yeux au ciel : « pffft, il est incorrigible ! »
André : -« ho, ça va, si on peut même plus admirer un beau spectacle !
Marie : – Vieux pervers !
Astrid : – Tu es trop gentil André. Je suis grosse, j’arrive pas à me remettre au sport.
André : – je peux t’en faire faire moi du sport…
Nouveau coup de coude de Marie . Plus fort cette fois.
André : « Aïe ! Ça fait mal ! »
Marie : « Je sais… »
Elle me fait un clin d’œil. -« il aime qu’on le frappe… »
André : « Mais non ! C’est faux ! »
Astrid a posé le dernier plateau de petits fours et elle se colle à son Jonas sur le canapé.
Jonas : « Je propose que nous trinquions à Lucie, notre nouvelle amie ! »
-« Oui ! À Lucie ! »
Je me sens un peu gênée d’être ainsi mise en avant. Mais je lève mon verre avec tout le monde.
Forcement on me questionne. Je décide de m’en tenir à la vérité. Je suis une femme mariée mais pas à Marc, comme vous vous en doutez. J’ai d’ailleurs gardé mon alliance. Si ça ne vous embête pas je n’ai pas trop envie de m’attarder sur mon parcours.
Astrid : « ok ! T’inquiètes, pas de problème. On est entre amis. Si tout va bien avec mon Marcounet nous on t’aime déjà. »
Autour du feu de cheminée la discussion est enjouée, nous rions beaucoup, André a un tas d’anecdotes marrantes liées à son métier d’avocat, je comprends que Marie est actrice. C’est pas une célébrité mais Pas une figurante non plus. Elle a quand même pas mal de troisièmes ou seconds rôles dans des films Français, et une quantité impressionnante de publicités. C’est fou comme une même fille peut être dans des dizaines de pub différentes sans qu’on ait conscience que c’est la même ! Marc bosse dans une grosse boite de BTP. Astrid, elle raconte comment les vieux de la maison de retraite qu’elle dirige se retrouvent en cachette dans les chambres. Quand elle mime un papy qui entreprend debout une vielle en déambulateur c’est juste hilarant. On ri tellement que j’en viens à me demander si c’est vraiment une soirée libertine. Franchement on dirait une soirée normale. Pas de mains baladeuses ou de regards lubriques. S’il n’y avait pas eu les smacks de bienvenue je penserai que Marc m’a fait un gros mytho et que c’est juste une soirée entre amis et pas du tout une partouze. Après environ une heure et trois bouteilles de champagne Astrid nous invite à passer à table.
Elle a dressé une belle table ronde. Je me retrouve entre André et Jonas, en face de Marc. C’est Jonas qui a fait l’entrée, un ceviche de poisson perroquet qu’il a fait venir spécialement de Rungis. Le rouge a une jolie couleur de vin nouveau. Mais quand je porte le verre à mes lèvres énorme surprise ! On dirait du jus de raisin sans alcool. Tout le monde éclate de rire en voyant ma tête. Marie a pitié de moi et m’explique : « C’est une idée d’Astrid. Elle trouvait que trop d’alcool n’était pas bon pour ces messieurs et pour la suite de la nuit… » Elle me fait un clin d’œil et André en a profité pour poser sa main sur ma cuisse…comme si de rien n’était.
Je souri et lève mon verre : « A la suite de la soirée donc ! Sans alcool la fête est plus folle ! »
Je déchausse un escarpin, caresse du bout des orteils la cheville de Jonas. Je remarque que je suis la seule à avoir les deux mains sur la table. Au dessus de la table la conversation a glissé elle aussi sur des sujets plus chaud. Astrid me questionne sans fausse pudeur sur ma position favorite.
-« Bin, je n’en ai pas vraiment, c’est plus les situations qui m’excitent… »
-« Allez, c’est pas une réponse ça. Tu es plus par derrière ou par devant ? » là c’est Marie qui parle.
La main d’André est remontée sur ma cuisse mais ma robe en laine est longue et pas question de la relever. Jonas a aussi enlevé sa chaussure et nos pieds se caressent mutuellement. J’espère que j’aurai mon mot à dire car j’ai clairement plus envie de Jonas que d’André.
-« Allez, fais pas ta timide, par derrière ou par devant ? »
Je baisse les yeux en faisant semblant d’être gênée : « Je mérite une fessée si je refuse de répondre ? »
Exclamations approbatrices. Je crois que j’ai marqué des points. C’est Astrid qui lance réellement les hostilités. Elle fait tomber sa fourchette sans se donner la peine de feindre la maladresse : « Houps, excusez moi quelques minutes, continuez à discuter »
Elle glisse sous la table et je la vois juste entre les jambes d’André en train de lui défaire le pantalon. Au passage elle me lance un clin d’œil appuyé. Jonas en profite pour vite mettre son bras autour de ma taille, possessif. Le pauvre André n’a pas trop le choix. Et au passage il ne semble rien perdre au change car Astrid a l’air d’une bonne gourmande. Marie est sur les genoux de celui qui était supposé être mon nouveau petit ami !
-« Il me semble que tu n’as toujours pas répondu. Je crois que tu mérites un bonne fessée ! »
Il me prend fermement par la taille et m’indique les canapés du menton. Je me laisse guider docilement. Il me pousse à genoux sur le bord du Togo. Je relève ma jupe.
Jonas -« hummmmm, j’adore tes dessous ! »
Tu m’étonnes ! Bas nylons, porte jarretelle et guêpière ! Je risquais pas de me tromper. La première claque est sonore et me surprend. Jonas met son visage tout proche du mien : « Tu as vraiment de très belle fesses. Dommage que tu aies été vilaine. Tu es bien d’accord, tu as été vilaine ? » J’apprécie la façon habile qu’il a de demander mon accord pour la fessée. Je fais oui de la tête. Nouvelle claque retentissante. Le bruit a attiré Marie et Marc. Marie est déjà presque nue, il ne lui reste que ses bas et ses talons hauts : « Dis donc Marc, Jonas est en train de te piquer ta copine j’ai l’impression ! »
Marc : « c’est vrai ça. Jonas, tu ne la maltraite pas trop hein ? »
Jonas : « Mais non, juste un petite punition. Après je te la rend, promis ! »
Marie m’a rejoint sur le canapé et fini de m’enlever ma robe par dessus la tête. Elle est seins nus, de petits seins de brunette avec les tétons qui pointent. Elle s’est mise à genoux à côté de moi et m’embrasse sa petite langue nerveuse dans ma bouche. Elle tortille son petit cul comme si elle aussi voulait être fessée. Elle m’embrasse tendis que nous sommes copieusement fessées en cadence.
Avec la fessée il arrive souvent un moment où la douleur prend le pas sur le plaisir. Là nos amants savent s’arrêter à temps. Quand les coups cessent de pleuvoir je sens quelque chose de lisse et froid sur mes fesses. Les deux bouteilles de champagne vides qui étaient restées dans les sauts à glace sont passées par nos amants sur nos fesses meurtries. J’ai mal mais cela soulage un peu.
Jonas s’adressant à Marc : « Jusqu’à ce soir j’adorais le cul de Marie. Mais là j’avoue que la petite chienne que tu nous as dégoté est une vraie bombe sexuelle. Tu crois qu’elle est aussi étroite que Marie ? »
Marc : « J’sais pas, tu veux dire de la chatte ou de l’anus ? »
Jonas : « heu…les deux. En fait je pense qu’il faut comparer pour savoir. Vous en pensez quoi les filles ? »
La question est de pure forme, Jonas serre nos deux cul l’un contre l’autre pour comparer. Marie m’embrasse toujours sur la bouche. Je dois dire que j’aime beaucoup sa petite langue nerveuse. Sa hanche douce et tiède contre la mienne ce n’est pas mal non plus.
Jonas : « Pour moi Lucie a un plus gros cul de salope que Marie. Tu ne trouves pas ? »
Marc : « Moui, c’est sûr, mais c’est pas forcément la taille du fessier qui fait l’étroitesse de l’anus, crois moi, faut essayer pour comparer. Marie, elle a un petit cul mais elle taille grand, si tu vois ce que je veux dire… »
Ils parlent comme si nous étions des juments à un salon agricole. C’est assez déroutant mais aussi excitant.
Je sens une langue entre mes fesses. Celle de Marc puisque je peux voir du coin de l’œil Jonas lécher le cul de Marie. Marie qui continue à m’embrasser les yeux grands ouverts. Marie la si jolie brune pour qui je me surprends à ressentir une attirance irrésistible. Derrière nous les deux mecs jouent avec talent de leurs langues et des doigts dans nos chattes. Mais ils sont derrière, c’est comme s’il étaient loins, irréels. Ce que fait Marc avec ses doigts dans ma chatte est délicieux mais c’est comme si c’était un sextoy, sans affect. Marie, par contre, elle est là, son visage contre le mien. Son sourire, ses yeux rieurs, sa langue plus expressive que n’importe quelle bite. Les mecs derrière parlent entre eux, comparent nos anatomies. Nous nous cambrons et tortillons du posterieur par réflexe mais les yeux de Mari comme les miens ne trompent pas. C’est bien entre nous deux que les vraies choses se passent. Une queue longue et dure va et vient dans mon vagin en levrette. C’est bon, délicieux même, mais c’est de Marie dont j’ai envie, je m’arrange pour atteindre sa chatte avec ma main. Elle aussi est prise en levrette mais ça ne m’empêche pas de la masturber par devant. Elle ne tarde d’ailleurs pas à faire de même et la queue combinée à ses doigts me mettent instantanément au bord de l’orgasme. Les mecs alternent et changent de monture pour mieux nous comparer. Je sens tout de suite la différence. Marc était long et raide, avec un va et vient ample mais sans brutalité. Jonas a le sexe plus gros mais plus court et brutal aussi. Il pilonne là où Marc ramonait. Plus personne ne parle, ça grogne et ça couine. Je sens le gland dur contre mon anus. J’imagine que Marie est dans la même situation car elle se colle contre moi comme si elle s’apprêtait à avoir mal. Je serre mon amante contre moi et nous nous faisons sodomiser en même temps. C’est douloureux 😖 😖😖. Mais bref car les deux se retirent et arrachent leur préservatifs pour éjaculer copieusement sûr nos fesses. Marie n’a pas cessé de m’embrasser. Je saigne un peu des lèvres car elle m’a mordu sur la fin. Les mecs sont affalés chacun sur un canapé. Ils allument un cigare. C’est tellement cliché ! Je ne vois pas André et Astrid. Il ont du s’éclipser vers une chambre. Marie me propose à l’oreille de nous isoler pour juste dormir ensemble. Je fonds. On est foutus les gars, je crois que je suis en train de tomber amoureuse…