Ma bouche pour sucer

Touchée par le nombre de commentaires et de likes sur ce que je vous ai écrit sur mon petit cul j’ai décidé de récidiver avec ma bouche qui ne suce pas que des glaçons.

Ainsi donc j’imagine tout ce que je peux faire pour toi avec ma belle bouche à pipe. Enfin, si je peux te tutoyer. Je peux ? super, tu es un amour ! Tout d’abord tu dois savoir que je prends un soin particulier de ma bouche. En premier lieu mes lèvres sont pour toi toujours soulignées d’un rouge brillant qui les rend pulpeuses à souhait. J’ai des seins plutôt bien proportionnés. Ils tiennent tout seuls malgré un bon bonnet C, presque D et si je veux que tu lèves un peu les yeux sur mon visage il faut bien que je prenne soin de l’apparence de cette bouche qui elle aussi sera toute à toi. Derrière mes lèvres il y a deux rangées de petites dents nacrées. j’aime à penser qu’elle font un très joli collier autour de ta bite.

Si tu me sors dans un restaurant chic saches que je saurai me pendre à ton épaule pour déposer, légèrement indécente, un baiser mouillé sur ton cou. J’aime alors presser mes lèvres et les ouvrir légèrement pour passer, ni vue ni connue, le bout de ma langue et gouter ta peau. J’aime suçoter un tas de choses lorsque je suis avec toi en public. Cela peut être, distraitement une branche de mes lunettes pendant que tu me parles. J’aime aussi mordre ma lèvre inférieure pour montrer que j’aime le contact de ton pied sur mon mollet sous la table. Chaque fois que mes lèvres se ferment sur un aliment je prends soin à ce que tu puisse imaginer que bientôt je vais te sucer comme tu l’as rarement été. A cet instant tu ne sais pas encore ce dont je suis capable avec mes lèvres et ma langue mais tu as déjà compris que je suis une fille qui suce. Je te l’ai chuchoté juste assez fort pour que nos voisins de table l’entendent aussi : »J’ai très envie de ne pas prendre de dessert pour pouvoir monter dans la chambre. J’ai trop envie de te sucer ! »

Par dessus la table je peux prendre ta main et porter ton pouce à ma bouche. Je serre bien fort, aspire et tourne ma langue autour du doigt en te regardant droit dans les yeux. Demande vite l’addition que l’on passe aux choses sérieuses ! Cette fois pas d’ascenseur, ma chambre est au ré de Chaussée, du restaurant il n’y a qu’un grand couloir à traverser. Avant de nous retrouver seuls j’aimerais que tu me plaques contre la porte de la chambre pour me rouler un énorme patin. Je veux te dévorer les lèvres, embrasser à pleine bouche tendis que tu passes la main sous ma jupe pour remonter à ma culotte où t’attend ma chatte gonflée de désir. Je continue à embrasser, humide en haut comme en bas. J’aime tes doigts experts qui écartent le tissus pour s’introduire et me fouiller aussi habillement que je tourne ma langue dans ta bouche.

Mais comme du monde arrive dans le couloir et que tu es moins impudique que moi tu ouvre la porte et me pousse à l’intérieur. Tu t’assois sur le canapé de notre grande chambre et me laisse faire. A genoux par terre je déboucle ta ceinture et m’attaque à la fermeture éclair de ton pantalon. Je dégage vite ta queue pour la prendre directement en bouche. J’ai sucer ainsi, toute habillée, concentrée uniquement sur ta queue entre mes lèvres, Je lève les yeux vers toi, reconnaissante et soumise. Je fais ma bonne pute gratuite et, franchement, j’aime ça. J’aime aussi tes encouragements et ta main, ferme mais pas brusque sur ma nuque. Tu me dis que je suis belle, que tu n’attendais que moi, tu me dis que je suis celle, juste faite pour tes bras. Ah non, merde, ça c’est du Patricia Kaas, rien à voir. Bon allez, pardon, je me concentre, je m’applique et je suce. Toi tu m’encourages : »Bien, tu es une bonne petite chienne, continues comme ça, suce bien…Allez, plus profond ma salope, fait bien ta pute. Tu l’aime hein ma queue. »

Ca oui, je l’aime. Mais maintenant je la veux déjà dans ma chatte. Tout en continuant à sucer je défais à tâtons tes lacets et enlève tes chaussures. C’est moins facile que ça en à l’air de faire cela sans lâcher ton sexe turgescent de ma bouche. Je dois bien serrer les lèvres et aspirer. Tu te débarrasses de ta chemise et je baisse ma jupe sans m’arrêter de sucer. Parviendra-t-on à nous mettre nus sans que ta bite ne sorte de ma bouche ? Tu le sauras peut être demain, si je n’ai pas trop la flemme de t’en écrire plus.

si j’ai compris comment ça marche la nana ci dessous est connectée, il suffit de cliquer…

Fellation, ma première vraie fois

fellation
entrainement à la fellation

Sur la photo ce n’est pas moi. Mais ça aurait pu, à cette époque. C’est Reylene sur live18ans !

 

 

Coincée à la maison sans espoir de plan cul à court terme il me reste mes doigts, et l’évocation des jours meilleurs. Ainsi je me souvient de ma première vraie fellation. J’entend par vraie fellation la première fois où j’y ai pris plaisir, où j’y ai mis tout mon cœur, cherchant à faire jouir mon amant avec ma bouche et à lui donner le plus de plaisir possible. Cette fois où je me suis promis de devenir la meilleure suceuse de bite possible. Promesse que la routine du mariage et, avouons le, pour un temps l’amour, m’ont fait oublier quelques années.

J’avais dix neuf ans, presque vingt, c’était l’hivers. Je m’en souviens car mon école de commerce avait organisé une semaine de ski à Superbagnères, près de Luchon. A cette époque je sortais avec Frank, un camarade de promo que je considérais comme un Sex Friend mais qui s’attachait un peu trop à mon goût. Bon, avec le recul je pense qu’il était même complètement amoureux. Il s’était arrangé pour qu’il soit admis dans la promo que nous étions ensemble et nous faisions donc chambre commune pour ce séjour. Cela à sa grande satisfaction. Moi j’étais un peu contrariée mais décidais de faire contre mauvaise fortune bon cœur. Je le laissais me baiser les trois premières nuits. Ce n’était pas désagréable, il semblait redécouvrir mon corps à chaque fois. Frank s’appliquait et fourrait sa langue partout. Dans ma chatte bien sûr mais aussi mes oreilles, entre mes doigts de pieds et jusque sous mes bras. Las, cette débauche de préliminaires labiaux était surtout là pour compenser un sexe de modeste taille et une éjaculation à la limite du précoce. Aussi je faisais de mon mieux pour jouir de sa langue experte en pressant son visage contre mon con, enserrant sa tête entre mes cuisses fermes et longilignes d’étudiante dégingandée. Un après midi pourtant, je le trompais. Enfin, le considérant depuis le début comme un Sex Friend je n’avais pas le sentiment de commettre un adultère. Bref, dans l’auberge où nous étions le cuisinier avait notre âge mais, forcément, était d’un autre milieu social que la plupart des petits cons de mon école. J’ai vite vu que l’afflux de jeunes étudiantes dans l’établissement provoquait un autre afflux au niveau de son entrejambe. Même entr’aperçu au moment des repas, le soir, j’avais l’impression qu’il était bien mieux monté que mon Frank et dans les bras de l’un, je fantasmais sur l’autre.

 

Première vraie fellation

Il fut d’une facilité déconcertante de rester un après midi seule à l’auberge et d’amener le jeune homme dans ma chambre. Il m’embrassait, glissant un main calleuse sous mon pull pour masser mes gros seins. Pas violent mais ferme, me plaquant contre la porte de la chambre à peine celle ci refermée. A travers le pantalon de toile je sentais son machin contre ma cuisse. Je voulais moi aussi le caresser mais il tenait mes poignets en l’air au dessus de ma tête en même temps qu’il dévorait ma bouche. C’est lui qui a défait son pantalon pour en sortir le braquemard. Je ne m’étais pas trompée, joliment monté l’animal. Faible de mon expérience avec Frank je m’attendais à ce qu’il perde contrôle et éjacule à tout instant. Mais surtout, j’avais envie comme jamais d’avaler cette fabuleuse colonne de chair et d’en savourer chaque centimètre, chaque veine pour m’en souvenir à tout jamais le mot fellation prenait dans mon esprit enfin tout son sens. J’enlevais mon pull, j’avais prévu le coup et n’avais rien mis dessous bien sûr. Je m’agenouillais défaisais vite ses lacets enlevais chaussures et chaussettes pour le débarrasser vite de son falzar. Je le voulais nu, au moins de la taille aux doigts de pieds. Enfin je prenais sa grosse queue dans mes mains. Je ne savais trop comment la tenir et étais totalement fascinée. J’avais envie de bien faire, d’exceller. Lui, déboutonnait sa chemise sans hâte pour se mettre complètement nu. Singeant maladroitement les scènes de fellation que j’avais vu sur des vidéos porno, je léchais ses couilles en commençant à le branler.

-« Attend, cocotte, viens, on va se mettre à l’aise. »

Cocotte, on ne m’avait jamais appelée ainsi ! Mais je me laissais entrainer sur le lit. Lui sur le dos, les bras derrière la nuque heureux comme un enfant allongé dans l’herbe, le sexe dressé, mât d’un improbable voilier. Moi à genoux, à côté de lui, posant enfin mes lèvres sur son gland décalotté. J’avais toujours ma jupe, un string blanc, et des socquettes mais cela ne semblait pas le gêner. Je sentais sa main ferme et adroite écarter le string pour enfoncer un doigt fort bienvenu. Comme je l’ai dit, j’avais déjà sucé quelques fois. Mais cela avait été rapide, juste pour la forme. Là je goutais le vrai plaisir d’un sexe gonflé entre mes lèvres pour une vraie fellation. Je gardais les deux mains en prolongement en avançant ma bouche. Plus son sexe progressait dans ma bouche plus je me sentais bien, juste heureuse. Maladroitement sans doute mais avec l’enthousiasme et la bonne volonté d’une débutante j’essayais un peu toutes les façons que je pouvais imaginer de le sucer. Par le coté en le branlant avec ma bouche, le léchant ensuite comme un esquimau. Je marquais le haut de ses cuisses de gros suçons et prenais ses couilles en aspirant délicatement. Je tentais une branlette espagnole avec mes seins mais la position ne semblait pas se prêter à la cravate de notaire et j’étais encore trop débutante ou timide pour lui demander de se relever un peu. J’avais pleinement conscience qu’il fouillait toujours ma chatte trempée sous mon string mais cela m’importait peu, j’avais tellement envie de le garder ainsi en bouche que j’en oubliait mon plaisir et ne me souciais aucunement d’avoir un orgasme. Je ne sais pas combien de temps cette fellation a duré. Avec le recul je pense même que ce n’était finalement pas très long. Mais qu’importe, cet après midi là j’avais l’impression d’être la reine des suceuses. Championne du monde, que dis-je, de l’univers ! Prix Nobel de fellation, au moins !

Trop d’hommes me repoussent quand la fellation dure trop longtemps ils ont peur d’éjaculer et comme il veulent absolument montrer qu’ils peuvent me ramoner la chatte ou m’enculer ils oublient de juste profiter d’une bonne pipe sans se poser de question. Mais, heureusement, ce n’était pas son cas. Il recoiffait mes cheveux sur le côté pour mieux voir mon visage en train d’aspirer sa queue, il me laissait aller au rythme que je voulais tout en accompagnant mon va et vient d’une main ferme juste comme il faut sur ma nuque. Surtout il a déchargé son foutre sans prévenir ! Pressant ma nuque un peu plus fort pour éjaculer dans ma bouche. Le goût, légèrement salé ne m’a pas surprise. J’étais juste aux anges, en paix et si contente et reconnaissante qu’il n’ait pas cherché à me baiser la première fois. J’ai continué à sucer lentement jusqu’à ce qu’il débande complètement. Il gardait un doigt dans ma chatte mais ne le bougeait plus. C’était encore le début d’après midi, je me suis blottie contre lui pour une petite sieste. Quand le chahut des autres rentrant de ski nous a réveillé il s’est vite rhabillé sans que j’ai à le lui demander.

J’ai alors pris mon courage à deux mains pour lui parler : »Dis, est-ce que je peux te demander quelque chose ? »

-« Tu ne veux pas que ton petit ami le sache hein ? t’inquiète ! »

-« Ah, non, ça j’en ai rien à fiche. C’est juste… Je voulais te demander si je peux dormir chez toi jusqu’à la fin de la semaine ? »

Ce fut le meilleur séjour de ski que j’ai jamais vécu, même si j’ai plus progressé en fellation qu’en glisse !

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La gifle avant la fessée, rentrée sexy mais hard

La gifle est partie sans prévenir, vous étiez assis derrière votre bureau la minute d’avant, j’écoutais distraite le ronronnement monotone de votre voix de directeur de Lycée.

-« Cela vous apprendra à ne pas m’écouter ! Convenez que vous ne l’avez pas volée cette gifle Mademoiselle Bayeul ! »

J’ai la joue en feu. Autant la fessée m’excite, autant être prise ainsi à la volée est surprenant et douloureux. Je m’attends au pire pour le sale quart d’heure à venir et pourtant je mouille déjà comme une folle.

Pour cette rentrée j’ai sorti mon plus beau costume de lycéenne sexy. Je m’attendais à être mieux traitée même pour un cours très particulier. Ma jupe est de tweed à carreaux. Ma chemise blanche déboutonnée, juste nouée en bas dévoile mes beaux seins (85C) qui débordent presque d’un bustier trop étroit. Mes chaussettes sont montantes jusqu’aux genoux et mes souliers vernis noirs ont d’épais talons qui me font paraitre encore plus grande que je ne suis déjà. J’ai deux belles tresses qui, tout comme moi, ne demandent qu’à être tirées. Une culotte de coton immaculée qu’il ne tient qu’à vous de baisser, ou mieux, d’écarter sur le côté. Cette année vous m’avez convoquée le tout premier jour pour bien mettre les choses au clair. Je vais devoir être bien sage et très gentille avec vous si je ne veux pas tripler ma terminale. Je suis debout, les mains derrière le dos et vous écoute l’air contrit.

-« Qu’est-ce que je viens de dire mademoiselle Bayeul ! »

Hein ?! En fait je n’écoutais pas du tout. Je m’appliquais jute à faire ma mine contrite. Votre blabla sur le travail, la discipline et le comportement exemplaire attendu de moi me passait complètement par dessus la tête.

-« Heu…Vous disiez que je devais apprendre mes leçons ? »

Et c’est là qu’a surgit la gifle. Violente et inattendue, faisant tomber mes fines lunettes de vue sur le parquet usé sous votre bureau.

-« Voilà, exactement ce que je dis, vous n’écoutez rien à ce que l’on vous dit. Je le vois bien à votre regard vide, Mademoiselle Bayeul… »

Je baisse les yeux.

-« Pas de ce petit jeu avec moi mademoiselle ! Regardez moi ! »

Je relève les yeux où perlent de vraie larmes.

-« Pas la peine de me faire vos yeux de Bambi, cela ne prend pas avec moi. Vous avez le regard vide d’une vache ! Et ramassez moi donc vos lunettes grande maladroite ! »

Le temps que je m’agenouille pour chercher à tâtons ma paire de lunette qui a glissé sous votre bureau vous en avez rapidement fait le tour tout en déboutonnant votre pantalon sans fausse pudeur. Lorsque je relève la tête c’est une autre paire que j’ai sous les yeux. Surmontée d’un appendice qui tient plus de la trompe que du nez. Vous commencez tout juste à bander et si la taille est impressionnante la légère courbe et la mollesse que je devine laisse imaginer qu’il reste encore un beau potentiel à votre engin.

-« Tu vois idiote, tu te crois jolie mais tu es encore loin de m’exciter comme tu devrais ! Bon, tu as le regard vide, autant que tu te remplisses un peu la bouche… »

Je remets mes lunettes sur mes yeux rouges. Je retiens mes larmes et ma voix tremble.

-« Non, s’il vous plait. Je promets d’être bonne élève cette année. S’il vous plait non. » Je recule ma tête mais n’ose pas me relever.

-« Hein !? Comment ça non ? Tu t’habilles comme une pute et tu ne veux pas sucer ! »

-« Mais c’est l’uniforme du lycée, c’est vous qui m’avez dit de m’habiller ainsi. »

-« Encore mieux, voilà qu’elle me répond ! On aura tout entendu ! »

Vous me prenez sans ménagement par les cheveux pour me relever et me plaquez sur le bureau.

-« Je peux t’assurer qu’avec ce que tu vas prendre tu vas regretter de ne pas m’avoir sucer tout de suite ! »

C’est maintenant sur mes fesses que pleuvent les gifles. J’essaie, par réflexe de me relever mais votre main ferme entre mes omoplates m’en empêchent.

-« Pour le moment ce n’est que ma main, je te conseille de te tenir tranquille si tu ne veux pas que je change d’instrument. Regarde un peu sous le bureau de là où tu es pour voir ce que je veux dire. »

Et là, je n’ai d’un coup plus du tout envie de jouer. La collection de martinets et autres planches cloutée accrochée sous votre bureau me glace le sang d’un coup. Tétanisée je n’ose plus faire un geste.

-« Je vois que mademoiselle est décidée à être raisonnable. C’est bien, tu es une bonne fille, tu comprends vite. »

Vous avez relevé ma culotte, baissé ma culotte au milieu de mes cuisses et me fessez copieusement. Je me retiens de crier à chaque coup mais me force à ne pas essayer d’échapper à vos coups tant j’ai peur que le jeu auquel j’étais initialement consentante ne vire à un mauvais plan.

-« Tu as lu cinquante nuances de gris ? »

La question, incongrue, me prend complètement de court.

-« Heu…non. »

-« Moi non plus et j’en ai rien à foutre ! Mais en tous cas cinquante c’est bien le nombre de fessées que tu as gagné en refusant de sucer ma bite petite conne ! Et c’est toi qui va les compter. A rebours. Et te retiens pas, je veux t’entendre crier un peu. »

Votre main s’abat à plat sur le haut de mes cuisses, juste sous les fesses.

-« Aie ! cinquante »

-« Plus fort connasse, pas très convaincant ce aie »

La fessée suivante fait plus que frôler me fesses par le côté.

-« Han ! Quarante neuf »

Retour sur la même fesse

-« Han ! Quarante huit »

Soit plus convaincante quand tu gueules sinon je vais être obligé de changer d’ustensile. Si tu vois ce que je veux dire. »

-« Han, non, pitié, han, aah, quarante sept, quarante six, quarante cinq. »

La série suivante vient à plat, sans aucun ménagement. Je continue à crier et à tenir le décompte de ma punition. On a passé la moitié, à vingt je sens votre main remonter entre mes cuisses meurtries jusqu’à ma chatte.

-« Mais c’est que tu mouilles quand même comme une grosse salope ma cochonne ! »

-« Je ne devrais pas mais je suis trop gentil. Allez, fini la fessée, on va s’occuper de te consoler un peu ! »

La pine que je sens entrer en moi comme dans du beure est un réel soulagement. Je me cambre et tend mon sexe vers cette levrette salvatrice. Vous y allez sans ménagement mais après la fessée déculottée que je viens de prendre votre longue queue emplissant mon vagin me fait l’effet d’un grand soulagement. Après les cris de douleur viennent les gémissement de plaisir : »Ouiiiii, hummmmm ! » Et pourtant je pleure encore, peut être de honte et d’humiliation d’avoir tant envie de votre queue malgré ce que vous m’avez fait subir.

En même temps que vous me ramonez en levrette sur le bureau vous enfoncez un pouce dans mon anus qui commence à se distendre. Mes fesses ne sont plus qu’une immense zone de douleur au moment où votre chibre force mon anus je ne me contracte pas pour l’empêcher d’entrer. Je ne m’étais pas trompé, une fois bien dure elle je sens bien qu’elle est de taille. Chaque coup de butoir endolori mes fesses un peu plus. Je pleure toujours mais j’aime en même temps sentir votre vigueur en moi. Ma chatte frotte contre le bois du bureau. Je mets ma main autant pour me protéger que pour me caresser en même temps.

-« C’est mieux, je crois qu’on va bien s’entendre tous les deux cette année. Faudra revenir me voir souvent Mademoiselle Lucie. Hein ? »

-« Oui, monsieur, quand vous voudrez han han, monsieur le directeur ».

-« Bien sûr, quand je veux ! mais je compte aussi sur vous pour me surprendre et que je n’ai pas besoin de vous convoquer pour que vous veniez à mon bureau régulièrement. Très régulièrement ! »

-« Oui, promis, han han d’accord, c’est promis, juré, haaaan ! ».

-« Allez, c’est bon pour cette fois, vous pouvez disposer. »

Vous sortez de mon cul aussi vite que vous y êtes entré, remettez en place ma culotte et ma jupe.

Je me relève du bureau. C’est étrange de vous voir me donner ainsi congé le pantalon toujours baissé, le sexe encore bien au garde à vous. Interloquée je me dirige vers la porte de votre bureau. Je constate, surprise, qu’elle est restée entr’ouverte tout le long de ma convocation.

-« Mademoiselle Bayeul ! »

Aie, je me disais bien…Je me retourne :-« Oui monsieur le directeur ? »

-« Dites donc, vous êtes sure que vous n’oubliez rien ? »

Je reviens sur mes pas, m’agenouille docile et avale votre queue.

-« C’est bien, j’aime mieux ça, regardez moi bien en même temps… »

Je suce avec application, les yeux levés vers vous derrière mes lunettes. Vous êtes adossé au bureau, tenant mes deux tresses dans un poing, l’autre main derrière ma nuque. Je vous suce et vous masturbe en même temps. J’aspire à fond, presse de la langue, je serre les lèvre, mon va et vient n’est ni trop lent ni trop rapide. Lorsque vous écartez ma tête c’est pour éjaculer sur les verres de mes lunettes.

-« Maintenant vous pouvez y aller. Ne touchez à rien, vous nettoierez vos lunettes en dehors de mon bureau. »

Je sais que si je sors les lunette ainsi souillée je risque de croiser des camarades de classe dans le couloir. Mais je n’ose pas désobéir, aussi je sors m’efforçant de garder la tête haute…Du moins jusqu’à la prochaine fois.

Frisson X et plan Q du vendredi

C’est vendredi. Il faut être chez la nounou avant 18h00 et le week-end s’annonce long et dur. Adjectifs qui, pour une fois, ne sont pas synonymes de frisson x pour mon petit cul mais bien d’un profond ennui avec monsieur mon mari.

En finissant vers seize heures trente je peux donner rendez vous à mon plan cul trouvé sur hard Messenger à quelques rues du bureau. Je monte dans ta voiture. Je me suis assurée à l’avance qu’elle est de marque, intérieur cuir. Cela me fait toujours de l’effet. Nous n’avons qu’une petite demi heure mais c’est exactement ce qui me convient pour ce frisson rapide de fin de semaine. A peine as tu démarré que je prends ta main pour la glisser sous ma jupe. L’été fini j’ai remis les collants, mais sans culotte bien sûr ! Tu conduits, concentré sur le trafic de cette fin de vendredi. Je presse ta main sur le nylon et tu sens ma chatte gonflée de désir à travers ce collant qui te fait obstacle. J’aime cela, je serre les cuisses pour emprisonner ta main, mes ongles s’enfoncent sur ton avant bras. Tu bouges les doigts et presses comme tu peux mais mes cuisses sont serrées et le nylon te fait toujours obstacle. Pourtant ma mouille commence à monter et tu peux sentir la chaleur humide autour de ta main, deviner que tes doigts s’humidifient. C’est bon, j’aimerais faire durer mais nous n’avons que peu de temps. Je relève ma jupe, décroise les jambes et déchire moi même l’entrejambes de mes collants. Ta main sera mon gode. Dieu que c’est bon ! Ton doigt s’enfonce, caresse et fouille. Je mords ma lèvre, m’accroche à ton bras.

Je me penche à ton oreille : »Sors vite ta bite, je veux sucer. »

Dans la ligne droite tu calles le volant avec ton genou, défais ta ceinture de la main libre et libère une queue droite et longue. Je me contorsionne pour me pencher en gardant ta main prisonnière de mes cuisses à nouveau serrées. La manœuvre est osée mais le route est droite et le régulateur de vitesse callé à 96. Voilà, là je te prends en bouche. Tu n’imagines pas comme j’aime sucer. Ta colonne de chair qui empli ma bouche est pour moi le plus délicieux des gouters. Je bouge le bassin pour accompagner ta main experte. Depuis quelques mois je m’entraine en cachette à contrôler les muscles de mon vagin. C’est encore balbutiant mais j’arrive à accentuer un peu ou relâcher la pression autour des deux doigts bien enfoncés. Je vais et viens en même temps avec ma bouche. Je suce, j’aspire, je presse mes lèvres, tourne la langue. J’expulse ton chibre un instant pour te parler : »T’arrête pas, branle ma chatte, fais moi jouir, mets y trois doigts, continues ! ». Je suces tes couilles et reprends ta queue à fond en bouche. Tout s’accélère, je te prends en gorge profonde jusqu’à la garde, te recraches, te reprends, de plus en plus vite. Je serre encore les cuisses contre ta main. Je voudrais crier mais ma bouche est pleine. Putain, ça y est, je joui, j’ai reculé ma tête pour crier : « haaaaaannnn ! la vache, la vache, putain, putain encore, c’est bon, tu me fait jouiiir ! ». Je reprends ta queue à pleine bouche juste avant que tu n’éjacules abondamment. Ma bouche est pleine de ta queue encore ferme et de ton foutre qui gonfle mes joues. J’avale et je suce encore. Je presse bien les lèvres et la langue pour recueillir jusqu’à la dernière goute. C’était si bon ! Mais il faut que tu me ramènes, dans 15 minutes je dois être chez la nounou. Le long week-end peut, hélas, commencer. Merci pour ce frisson du vendredi, je peux aller retrouver mon mari.

Mon ebook gratuit !

Je sais que la grande majorité d’entre vous, j’ai même envie de dire d’entre nous car je fais pareil, ne sortira jamais sa carte de crédit ni son téléphone portable pour acheter un ebook pornographique aussi bandant fut-il. Bien sûr vous êtes quelques dizaines par mois à me faire l’honneur d’envoyer ce SMS surtaxé qui vous ouvre le Sésame vers mon bouquin. Mais j’aimerais être plus lue et connue car je suis égocentrique et vénale en plus d’assumer d’être une grosse cochonne de MILF infidèle !

Je viens donc d’avoir une idée pour satisfaire ceux qui ont envie de mon ebook mais sont contre le principe de payer pour.

Tout d’abord mémorisez ce dicton qui vous sera forcément utile : « Quand c’est gratuit c’est toi le produit… »

Poursuivez cette lecture uniquement si vous êtes prêt à un peu de travail en échange de mon ebook. Sinon cliquez ailleurs pour lire un autre article plus bandant car vous allez vous faire un peu chier ici !

Les cinq premières pages de l’ebook sont gratuites téléchargeables ici.

Pour recevoir les 30 premières pages de mon e_book gratuitement en pdf par e_mail il suffit d’accepter de me faire un peu de publicité. Pour cela vous devez vous inscrire sur 2 forums de discussion et laisser un commentaire (pertinent) avec le lien vers un de mes articles. Puis de m’envoyer par mail (ou en commentaire dans le blog) les 2 liens vers vos commentaires (une fois que le modérateur les aura accepté).

Quelques forums où il est facile d’avoir des commentaires avec liens acceptés :

  • Doctissimo. Chercher une discussion récente qui traite de fellation ,de sodomie ou de rencontres et postez un commentaire du genre : Même si je suis d’accord avec cet article en particulier sur le point du consentement mutuel j’aimerais plus de conseils pratiques sur la façon de s’y prendre. J’ai lu un article un peu olé olé sur le sujet sur un blog : http://www.planculvoyage.fr/2015/08/07/5-conseil-sodomie/

ATTENTION, C’EST JUSTE UN EXEMPLE, NE PAS COPIER COLLER, TROUVEZ DES MOTS A VOUS (Sinon je ne validerai pas…C’est trop facile !)

  • Melty Campus – Assez facile d’avoir des commentaires acceptés.

 

  • Le Monde (pour les abonnés)
  • Le Figaro
  • L’express

Vous pouvez par exemple commenter des articles récents traitant de l’arnaque Ashley Madison en mettant un lien vers mon article sur les faux profils http://www.planculvoyage.fr/2015/03/05/faux-profils/

 

  • N’importe quel autre qui vous semble intéressant !

Ca c’est pour les 30 premières pages. Pour les 70 suivantes je les offrirai volontiers aux plus prolixes d’entre vous. Ou je trouverai une autre idée en fonction du succès de cette opération.

 

Bon, allez, parce que vous m’avez lue jusqu’au bout je vous livre le début de ma prochaine aventure :

C’est la rentrée, je ressors mon costume de lycéenne sexy pour prendre un cours très particulier. Ma jupe est de tweed à carreaux et ma chemise blanche déboutonnée, juste nouée en bas dévoile mes beaux seins tenu par un bustier minuscule. Mes chaussettes sont montantes jusqu’aux genoux et mes souliers vernis noirs ont d’épais talons qui me font paraître encore plus grande que je ne suis déjà. J’ai deux belles tresses qui, tout comme moi, ne demandent qu’à être tirées. Une culotte de coton immaculée qu’il ne tient qu’à vous de baisser. Cette année vous m’avez convoquée le tout premier jour pour bien mettre les choses au clair. Je vais devoir être bien sage et très gentille avec vous si je ne veux pas tripler ma terminale. Je suis debout, les mains derrière le dos et vous écoute l’air contrit.

-« Qu’est-ce que je viens de dire mademoiselle Bayeul ! »

La gifle est venue sans prévenir, vous étiez assis derrière votre bureau la minute d’avant, j’écoutais distraite le ronronnement monotone de votre voix de directeur de Lycée.

-« Cela vous apprendra à ne pas m’écouter ! tendez l’autre joue pour une seconde gifle Mademoiselle Bayeul ! »

J’ai la joue en feu et sans doute rouge. Autant la fessée m’excite, autant être prise ainsi à la volée est surprenant et douloureux. Je m’attends au pire pour le sale quart d’heure à venir et pourtant je mouille déjà comme une folle.

 

 

Taille du sexe, est-ce que ça compte pour moi ?

 

Mon compte twitter c’est ici ==> Lucie sur Twitter

Avant de parler taille du sexe : Mon compte Facebook est encore bloqué ! Je ne comprends pas que DominiqueTamère, Tagrosse Cochonne et Lucien le Coquin ne soient jamais repérés alors que moi avec mon pseudo passe partout je suis identifiée comme fausse identité par Facebook !

Mais revenons à nos moutons.

Alors voilà, la question peut paraître un peu conne mais elle m’est souvent posée. Je pourrais m’en moquer, railler ceux qui m’envoient une photo de leur grand pénis légendée photo de ma belle teub pour le cas où je n’aurais pas identifié cette partie de leur anatomie. Il serait bien facile de plaisanter à leur dépend et, j’avoue qu’il m’arrive de le faire ! Mais au final cette question de la taille du sexe est une vraie question et si elle est souvent posée c’est bien qu’il y a une réponse intéressante (enfin j’espère) à y apporter.

Tout d’abord on va arrêter de faire des chichi panpan et éviter les réponses politiquement correctes lues et relues du genre : »Mais bien sûr que non, la taille du sexe n’a pas d’importance pour la femme. Ce qui compte c’est le comportement de l’amant, son attention apportée au plaisir de sa partenaire et gnagnagna et gnagnagna. » Je ne vis pas au pays magique des Bisounours et vous non plus j’imagine.

La taille du sexe compte pour moi !

Bien sûr que oui, la taille du sexe cela compte ! Demandez à un type qui aime les gros seins s’il préfère Jane Birkin ou Samantha Fox ! Désolée pour ces références un peu ringardes, les plus jeunes n’ont qu’à chercher sur google pour voir de qui je parle.

Donc oui, en tous cas pour moi, la taille du sexe c’est quelque chose que je regarde avec intérêt et grande attention. La taille du sexe compte pour moi mais, paradoxalement, pas au sens que vous pourriez croire. Pour être plus précise je dirais que je peux avoir autant de plaisir à me faire ravager la chatte par un étalon bien membré et performant qu’à faire ma chienne pour faire jouir un gras du bide, à petit pénis bande mou. Pour peu qu’il soit jovial et bon vivant je dirais même que je préfère passer une soirée avec ce profil qu’avec un grand musclé à deux neurones. Mais alors me direz vous c’est donc que cela n’a pas d’importance pour elle, on n’y comprends plus rien, elle nous embrouille. Bin en fait non, je tiens juste compte de la taille du sexe de mon partenaire et de sa vigueur pour adapter mon fantasme et le délire de mon plan cul. Je ne vais pas vous le cacher, j’aime me faire défoncer par une grande bite bien dure comme une bonne grosse salope. Pas de problème, je n’en conçois nulle honte. Mais je dis que cela peut être encore plus excitant de me retrouver soumise à un homme qui n’a pas cet avantage et se montre plus commun dans la taille et même dans la dureté de son pénis. Prendre le temps de sucer une bite un peu molle dans l’espoir de la faire durcir est largement aussi gratifiant que de voir bondir un pénis au garde à vous d’un caleçon que l’on n’a même pas encore baissé. Souvent un homme moins bien membré ou peu endurant va développer des trésors d’ingéniosité pour faire durer le plaisir. Les meilleurs baiseurs ne sont pas forcément les meilleurs fesseurs. Une fois j’ai été magistralement fessée par un homme très moyen par ailleurs. J’en garde un souvenir ému quoique fort douloureux. N’allez pas cependant croire que je ne vénère que les extrêmes. Tout est bon dans le cochon ! Il est cependant vrai que ce qui m’attire c’est plutôt les hommes originaux ou qui correspondent à mon fantasme du moment. Je pense aimer la bite autant que vous aimez un petit cul (ou un gros). J’accorde de l’intérêt à la taille du sexe mais sans avoir de préférence établie…Je m’adapte !

Cela étant écrit sachez quand même qu’il existe des programmes d’élargissement de pénis. J’ai d’abord cru à une grossière arnaque. Et au final je dois confirmer que c’est une grosse arnaque !! J’en ai discuté avec un ami médecin qui m’a confirmé l’exagération mensongère de ce type de programmes. 6 centimètres en 4 semaines c’est juste du grand n’importe quoi ! Il existe bien des façons mécaniques via ce type de programme d’allonger son pénis mais le gain à en attendre est plutôt de l’ordre de 2 centimètres grand maximum me confirme mon ami médecin. Le jeu en vaut-il la chandelle (si je puis m’exprimer ainsi ) ? Je n’en sais rien et vous êtes assez grands pour en décider par vous même. Je mets le lien quand même ici, au moins vous rigolerez bien en lisant ce qu’ils promettent.

En tous cas je suis avide de vos commentaires sur la taille du sexe et son importance, que vous soyez propriétaire du sexe en question ou juste utilisatrice !

Yahtzee sexy pour la conversation amoureuse

laissons nou guider par le hasard
laissons nous guider par le hasard

 

Une des choses qui me rend complètement dingue au lit, sur le carrelage de la salle de bain ou la table de la cuisine c’est quand le mec me balance des mots très crus. Mais voilà, j’ai pu constater, à ma grande déception, que la plupart des hommes sont timides ou sans grande imagination lorsqu’il s’agit de m’humilier autrement qu’avec leur bite. Alors, à toutes fins utiles, j’ai décidé de créer une petite boite à outils pour renouveler et varier un peu les répliques que vous pouvez utiliser lorsque vous êtes avec moi. Ou avec toute autre grosse cochonne lubrique ou simplement femme ce qui est souvent un peu pareil passé un certain niveau d’intimité.

Les ingrédients qui nous font (presque) toutes craquer

En général je trouve qu’il faut que ce soit bien cru. Un langage un peu ordurier me plait. Peut être parce qu’inconsciemment j’associe cela à une des premières transgressions de l’enfance. Dire des gros mots est un des premiers interdits que l’on apprend à transgresser lorsque l’on est enfant. Au risque de faire de la psychologie de comptoir je pense que c’est quand même bien là que des choses de notre identité sexuelle se construisent.

Ensuite il faut, si possible, que cela soit légèrement, voire carrément humiliant. Pour moi s’il y a un moment ou un mec doit s’assumer en tant que mâle c’est bien quand il me baise !

Enfin, je craque quand c’est imagé, original, jamais entendu ailleurs. Que j’ai l’impression de me retrouver dans un porno dont les dialogues ont été écrits par Michel Audiar et je suis prête à me déchainer pour vous ! C’est peut être difficile, mais ça vaut vraiment le coup de faire un effort !

Notez que je suis consciente que ce n’est pas toujours simple. Dans le feu de l’action, certains d’entre vous peuvent avoir tendance à manquer d’à propos. Moi même il m’arrive d’être « sèche » bien que trempée par ailleurs !

J’ai donc eu l’idée d’un petit outil simple d’emplois pour vous aider à préparer quelques répliques qui peuvent s’avérer utiles.

Le Yahtzee sexy de la conversation amoureuse

C’est un Yahtzee amélioré puisqu’il se joue avec sept dés à six faces. Vous pouvez utiliser le tableau suivant pour générer 279936 combinaisons différentes qui fonctionnent assez bien.

Adjectif Nom Adjectif Verbe Adjectif Anatomie Adjectif
1 petite Chienne Bourgeoise Ramoner P’tit Cul Serré
2 grosse Cochonne Soumise Baiser Gros Chatte Mouillé
3 jolie Salope Vilaine Défoncer Joli Bouche Humide
4 belle Pute Gratuite Fourrer Belle Seins Profond
5 Grande Femelle Lubrique Niquer Sale Anus en feu
6 Bonne Truie chaudasse Bouffer Mignon petit Fesses Offert

 

Par exemple au yahtzee sexy 1,3,2,3,3,2,5 peut donner quelque chose du genre :

Toi, ma petite salope soumise, je vais te défoncer ta jolie chatte en feu !

Bien sûr vous pouvez aussi jouer une peu sur l’ordre 1,1,1,1,1,1,1 peut aussi donner

Je vais te ramoner ton p’tit cul serré de petite chienne bourgeoise.

Attention, il ne s’agit que d’une aide. Il ne faut bien évidemment pas hésiter à enrichir un peu vos propos.

J’utilise moi aussi ce yahtzee pour préparer ce que je chuchote à l’oreille de celui qui m’invite au restaurant quand je suis en déplacement. 4,3,5,1,6,1,4 peut ainsi donner dans ma bouche : « Pour le dessert je vais faire ma belle salope lubrique pour que tu viennes me ramoner bien profond mon mignon petit cul. »

Faites des essais, écrivez moi en commentaire ce que vous avez obtenu. N’hésitez pas à sortir des sentiers battus.

Le mieux restant bien sûr de pouvoir joindre le geste la parole ! Sur infidèle messenger vous devriez trouver quelques candidates sur lesquelles vous essayer à ce petit jeu de yahtzee.

Ou, si vous êtes un peu bizarre vous pouvez jouer le troll sur un site de sexcam avec ces filles qui, pour certaines, ont du répondant : PureLive.

étudiante salope, mes petits jeux pervers

Ce que je m’apprête à écrire ici sur mon passé d’étudiante salope, je ne l’ai encore raconté à personne. Pas même à ma meilleure amie et confidente qui sait l’existence de mon blog et partage ma passion pour les plans cul adultères. Certains, peut être, qui appréciaient ma franchise et ma sincérité seront déçus en lisant ces lignes. J’en prends le risque, le besoin d’écrire étant trop fort en ces vacances d’été où je tourne en rond comme une lionne en cage sous la surveillance de mon mari en longs congés d’été.

étudiante salope petit jeu pervers n°1

Lorsque j’étais étudiante, donc, je n’étais pas ce que l’on pourrait appeler une étudiante salope qui multipliait les plans culs. Il faut dire qu’il y a dix ans les sites de rencontre n’étaient pas ce qu’ils sont aujourd’hui. Mais je me souviens que j’avais de petits jeux légèrement pervers qui me permettent aujourd’hui de dire que, oui, j’ai été une grande étudiante salope. Grande et longiligne je crois pouvoir dire, sans vantardise, que j’étais parmi le filles les plus désirées du campus. Pendant les premières années après le bac je ne m’habillais pourtant pas de manière outrageusement sexy. J’évitais les jupes trop courtes et leur préférais des robes légères à imprimé fleuri. Elles me tombaient toujours bien près du corps. Je m’arrangeais dès le printemps pour que les mecs aient tous envie de me prendre par la taille. Je boudais les strings que je trouvais vulgaires et remplaçais par des culotes blanches à motifs ou à dentelles que l’on pouvait facilement deviner à travers l’étoffe toujours légère mais jamais trop transparente. Je me maquillais peu mais mettais en valeur mes seins déjà pleins d’une envie de vivre que je faisais mine de dissimuler derrière une attitude sage et studieuse. Certains profs me couvaient d’un regard qui n’était pas que bienveillant. Je m’arrangeais pour être souvent la dernière à sortir du cour. Et parfois je m’amusais à rester pour poser une dernière question ou demander une aide dont je n’avais en rien besoin. Je n’ai jamais eu envie de coucher avec aucun de ces universitaires que je considérais comme des loosers fauchés. En bonne étudiante salope égoïste, insouciante et avec la conscience politique d’une huitre blonde la seule chose qui m’amusait dans ce petit jeu était de les allumer. Je prenais un malin plaisir à jouer ainsi au chat et à la souris avec ces hommes plus âgés que moi mais qui me semblaient au combien plus faibles. Le soir, dans ma chambre de Rangueil, je me caressais longuement en pensant qu’ils se branlaient peut-être, surement même, au souvenir de ma main sur leur bras pour les remercier de leur patience et de leur aide « si précieuse ». A me voir ainsi étendue sur le petit lit de ma chambre d’étudiante à me mordre la lèvre, la main allant et venant dans ma culote, on aurait pu croire que je rêvais d’un merveilleux amant en midinette innocente. En réalité je n’étais qu’une étudiante salope qui se délectait d’avoir allumé de pauvres types. Je serrais les cuisses fort pour emprisonner ma main tout en continuant à fouiller ma chatte jusqu’à l’orgasme.

Conseils pour vaincre sa timidité

Timide
Les vacances sont souvent l’occasion de rencontres familiales. On revoit des cousins plus ou moins éloignés qui ont grandi ou vieilli, et il arrive que de vraies amitiés se créent ainsi. La longue discussion que j’ai eu la semaine dernière avec mon jeune cousin de dix neuf ans, toujours puceau et souffrant d’une timidité quasi maladive m’a ému au plus haut point. Voilà comment je l’ai aidé à vaincre sa timidité avec les filles.

Alors mes excuses à ceux d’entre vous qui attendez de moi l’écriture d’un nouveau plan cul j’ai décidé, pour une fois, de m’essayer à un article un peu plus sérieux pour aider les plus timides d’entre vous avec les filles.

La timidité peut faire rester puceau !

Ainsi donc Merlin le Timide (j’ai changé le nom bien sûr !) mon cousin issu de Germain pourtant beau comme un ange est toujours puceau à dix neuf ans. Il m’a avoué avoir de gros problèmes de timidité. Le temps passant sa virginité devient un sujet d’angoisse qui semble le paralyser totalement. J’ai tout d’abord été surprise et incrédule qu’un jeune homme beau et intelligent puisse se retrouver dans cette situation à l’époque de Tinder, AdopteUnMec et autres YesMessenger. Mais il m’a vite avoué s’être inscrit et ne pas être parvenu à passer le stade des premiers échanges. En plus sa peur de ne pas savoir s’y prendre ni quoi dire l’ont paralysé les rares fois où il a poussé le « courage » jusqu’à se rendre au premier rendez-vous.

Bon, on se calme ! c’est mon cousin et plus de dix ans nous séparent. Ne vous attendez pas à ce que je vous raconte comment je l’ai guéri de sa timidité en employant ma langue experte sur son torse juvénile ou mes seins autour de sa queue toute fraiche, jeune et vigoureuse pour une cravate de notaire mémorable ! Dire que je n’y ai pas pensé serait mentir. Ecrire que je ne me suis pas caressée en m’imaginant le déniaisant ne serait pas sincère.
Mais voilà, je sais me tenir et surtout j’ai trop peur du scandale…Bien que belle salope, je suis assez lâche au fond ! Alors j’ai juste cherché sur internet en tapant « sexe, vaincre sa timidité ».
Me voilà alors effarée par la quantité de faux sites de conseils de pseudo psycho drague délivrant des banalités à pleurer ainsi qu’aucune autre aide que des liens vers des sites d’affiliation ou la vente scandaleuse de DVD de recette magique pour niquer des filles aussi superbes que fictives.

Vaincre sa timidité, mon idée

Autant dire que je n’ai pas de recette pour vaincre sa timidité avec les filles. Autant vous avouer que je n’ai aucune notion de psycho et que le mal-être des jeunes hommes puceaux m’est assez étranger. Mais, j’ai eu une idée qui ne me semble pas mauvaise du tout et que j’ai livrée à mon cousin il y a maintenant un peu plus de 10 jours.

Pourquoi ne pas s’entrainer à vaincre sa timidité avec des filles en show privé sur SexCam. Oh bien sûr il faut acheter quelques jetons avec son téléphone portable. Bien évidemment les filles sont faciles car payée pour cela. Mais finalement, quand on veut s’entrainer il faut bien commencer par quelque chose d’abordable et de facile non ? Chater ou parler par webcam interposée avec une fille en show privé me semble un excellent moyen de faire des essais avec une bonne garantie d’anonymat et sans risque. Les filles qui sont de l’autre côté de la caméra ne sont pas de pauvres prostituées appartenant à un réseau glauque mais juste des jeunes filles disposant d’une webcam et cherchant, comme tout le monde, un moyen de gagner un peu d’argent.

Bref, j’ai proposé à mon Cousin d’essayer cela. Je ne vais pas vous mentir en vous affirmant que Merlin est devenu un Don Juan en dix jours. Il est toujours Puceau aux dernières nouvelles. Mais je le vois chaque jour prendre un peu plus d’assurance et je ne serais pas surprise que d’ici la rentrée universitaire il ait vaincu sa timidité et que sa virginité soit enfin derrière lui !

Alors pour ceux qui veulent essayer ne vous privez pas. En plus l’inscription est gratuite ! Mais bon, je ne vous prends pas pour des lapins de six semaines. Pour que cela soit intéressant il va falloir acheter des jetons…

Petit cul, 10 choses à faire avec le mien

MonPetitCul

C’est les vacances. Mon petit cul s’ennuie à mourir. Pour moi et mon petit cul, qui dit vacances dit famille et pas de travail. Du coup aucun déplacement et mon mari qui me colle sans pour autant s’occuper de mon petit cul comme je voudrais. En attendant j’ai donc décidé d’écrire ce petit texte avec les 10 choses que je voudrais que l’on fasse à mon petit cul. A retenir pour la rentrée…J’espère qu’il vous plaira, n’hésitez pas à me laisser un commentaire bien coquin ou lubrique pour me changer les idées !

Petit cul, envie numéro 1

Déjà je voudrais que vous le matiez attentivement. Je ne me tape pas une quinzaine de kilomètres de running par semaine en plus des séances d’abdos fessiers pour que mon petit cul passe inaperçu ! Regardez le rouler légèrement à chaque pas sous la toile tendue de mon shorty. Délectez vous de la couleur ambrée qu’il prend lorsque viennent les mois de soleil. Si vous montez les escaliers derrière moi et que je suis en mini prenez plaisir à entrapercevoir ma chatte qui sera bientôt elle aussi pour vous.

Petit cul, souhait numéro 2

Vous l’avez bien maté. Il vous plait j’imagine. Alors j’aimerais qu’en public vous marchiez avec moi la main bien contre mon petit cul. Je veux à chaque pas sentir votre main dans la poche de mon short. Je veux que les passants se retournent sur nous et qu’à ce moment vous me caressiez négligemment ou passiez un doigt sur ma raie. J’aime que mon petit cul de belle salope fasse envie au plus de gens possible et que les rombières coincées au cul serré qu’on n’y passerait pas une allumette en soient choquées.

Petit cul, désir numéro 3

Sur la plage passez y la crème à bronzer. Si je suis sur la plage avec mon mari et que je lui demande de me passer la crème à bronzer. Il me fait cela à la va vite. Comme pour se débarrasser d’une corvée. Je sais que mon petit cul ne le laisse pas indifférent mais il est d’un convenu et d’une timidité qui m’exaspèrent. Parce qu’il y a des gens autour il ne s’attarde pas comme vous le feriez, j’en suis sûre ! Commencez par mes épaules, puis mon dos, puis mes reins, là attardez vous un peu, étalez mais massez en même temps. Enfin descendez vers mon petit cul. J’ai un monokini mais faites le descendre un peu pour me passer la crème. Badigeonnez moi aussi les cuisses et remontez en massant vers mon petit cul qui n’attend que vos mains expertes. Osez passer la main carrément sous mon maillot pour huiler mon petit cul juste vers l’anus. Frôlez même ma chate pourquoi pas.

Petit cul, aspiration numéro 4

Il est tant de nous retirer dans cet appartement de location rikiki mais désert en milieu d’après midi. Je vous sucerai peut être plus tard mais à je veux qu’il n’y en ait que pour mon petit cul. Vous l’avez choyé tout à l’heure dehors maintenant il est temps de passer aux choses un peu plus sérieuses. Prenez moi sur vos genoux comme une étudiante indisciplinée qu’il faudrait un peu corriger. Mon T-shirt relevé pour que la peau nue de mon ventre soit au contact de vos cuisses que j’imagine musclées. Vous baissez mon shorty et ma culote mais ne me fessez pas tout de suite. D’une main vous pincez en tordant comme lorsqu’enfants nous tirions un trèfle au pouilleux massacreur. De l’autre vous me maintenez avec autorité plaquée ainsi contre vos cuisses. Mon petit cul commence à être aux anges !

Petit cul, action numéro 5

C’est un peu rouge là où vous avez pincé. Je suis prête pour la fessée. Allez y franchement, variez un peu les angles. J’aime particulièrement de bas en haut, votre main partant de la hauteur de mes cuisses pour frapper mes fesses juste en remontant. Chatiez mon petit cul jusqu’à le faire rougir un peu. Vous sentez mes ongles crispés sur vos mollets à chaque coup sur mon petit cul maintenant brulant de désir autant que de douleur ? J’ai été bien vilaine, et je le mérite mais il va être temps de passer à la phase n°6.

Petit cul, phase numéro 6

Allongez moi maintenant sur le ventre en travers du lit. Mon petit cul a besoin de réconfort. Il est temps d’embrasse, de souffler tendrement là où vous l’avez meurtri. Léchez l’intérieur de mes cuisses. Bouffez moi un peu la chatte. Mais pas trop. J’avoue aimer plus la queue de bœuf que la langue.

Petit cul levrette en numéro 7

Vous passez les mains sous mon ventre et me relevez pour que je sois à genoux. Mon petit cul se tend maintenant vers vous. Il est plus que temps de me prendre en levrette. C’est ma position préférée. D’abord les jambes légèrement écartée pour vous faciliter l’accès. Prenez le temps de presser de vos mains mon petit cul en même temps que vous me baisez comme une chienne. Petit retirez vous, je serre maintenant les jambes. Voyez ma chatte est toujours accessible et la levrette se fait plus étroite. Vous pouvez y aller plus fort, préparant mon anus de votre pouce pour l’étape suivante.

Petit cul enfin la sodomie pour l’étape 8

Le pouce rentre sans difficulté. A ce stade je couine déjà comme une truie en général. Vous pouvez m’enculer sans crainte. Mon petit cul n’attend plus que ça pour être comblé. Défoncez moi comme il vous plait, l’heure n’est plus à la timidité. Penchez vous sur moi lorsque vous êtes bien au fond de mon petit cul. Restez un peu ainsi, engagez vos doigts dans ma cramouille trempée et essayez de sentir votre queue de l’autre côté. Je me tortille de plaisir et je ne sais sans doute plus où j’habite.

Petit cul étalez bien le sperme en 9

Si vous jouissez enfin, s’il vous plait faite le à l’extérieur, En plein sur mes fesses. Etalez votre foutre sur mon petit cul comme vous le faisiez plus tôt avec la crème solaire.

Petit cul, partez et laissez moi rêver à 10

Maintenant partez, que je ne vous revois plus jamais. Laissez moi savourer le souvenir de cette journée consacrée rien qu’à mon petit cul. Que je puisse m’en remémorer chaque instant et le garder comme un précieux secret qui n’appartient rien qu’à moi. Ne laissez pas de numéro de portable griffonné au dos d’un ticket de parking. Je ne vous appellerai pas.

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