Fessée en collants

J’ai été vilaine. J’ai accepté d’aller au restaurant avec toi qui n’est pas mon époux et j’ai eu des pensées coupables. Tout cela bien sûr en cachette. Pire que tout j’ai demandé à ce que les repas soient mis sur la note de ma chambre en ajoutant une nuit pour que ça ne se voit pas. Pour tout cela et d’autres choses encore je sais que je mérite d’être corrigée. Tu es assis sur le canapé de ma grande chambre d’hôtel et me voilà allongée sur tes genoux, jupe relevée. Collants chair et talons beiges. En haut je ne porte plus qu’un collier de perles de culture car tu m’as fait enlever mon pull pour mater mes gros seins avant de me basculer sur tes genoux. Toi tu es en tenue de bureau, pantalon bleu marine, chemise blanche et cravate en soie. Ça devient rare les hommes à cravate.

Par réflexe je mets les mains sur mes fesses, dérisoire protection contre les claques à venir. Aussi un moyen d’envoyer le message que je suis une fille sensible et qu’il ne faut pas y aller trop fort. Tu n’as pas trop de mal à tenir dans ta main gauche mes fins poignets pour faire place libre. La première claque est bruyante, à plat sur une seule fesse. La gauche. Je me tortille un peu. Plus pour essayer de trouver une position moins inconfortable que pour échapper à la punition. Tu m’assenne deux autre claques coup sur coup toujours sur la fesse gauche. Un gémissement m’échappe « Han ! ».

-« Quoi han ? Ça veut rien dire. Commences déjà par compter jusqu’à 10 »

Nouvelle claque. Je ne peux l’empêcher de me dire que tu dois être expert en la matière car la claque est aussi bruyante que si tu frappais dans tes mains. C’est pas ultra fort mais je la sens passer. J’en oublie de compter. Et la suivante est bien plus violente. Si je pensais que tu ne retenais pas tes coups là je comprends qu’il y a une grande marge de progression.

-« Compte bien, sinon ça va être de plus en plus fort. Il risque de se poser des questions ton mari si tu manges debout en rentrant. »

-« Un ? »

-« Allez je suis sympa, commence à 4, tu vas que jusqu’à 10. »

Nouvelle claque. Un peu moin forte il me semble.

-« Cinq »

Toujour la fesse gauche, cette fois de bas en haut mais toujours bien du plat de la main et bruyante.

-« Six »

Un aller retour bas vers le haut puis du haut vers le bas.

-« Sept, huit »

La neuvième est forte mais tu laisse ta main sur ma fesse et tâte  la chair brûlante.

-« Huuumm, neuuuf ! »

Tu malaxe ma fesse endolorie et ne semble pas vraiment pressé d’en finir. Comme j’ai peur que tu décides d’aller au delà des dix promis j’essaie de libérer mes poignets de ton emprise.

-« tututut, t’es pas bien là ? On n’est pas pressés. Tu sais que tu la mérite ta fessée quand même ? »

-« Oui, je sais. J’ai été vilaine. Mais si on s’arrête à dix je promets d’être gentille…très gentille. »

-« Mais j’en doute pas. T’inquiètes, j’ai dis jusqu’à dix, c’est jusqu’à dix…pour la fesse gauche… »

Tu dénoues ta cravate et attache mes poignets. Les deux mains livré tu tires sur mes collants.  Bruit de tissus déchiré, je me retrouve les fesses à l’air. Et c’est presqu’un soulagement d’avoir un tout petit peu de fraîcheur sur ma fesse gauche. Tu te penches en avant et souffle légèrement. Ça fait du bien.
-« Et de dix ! »

La grande claque vient sans prévenir. J’en hurle de douleur car ce dernier coup après le bref soulagement réveille d’un coup tous les nerfs à vif de mon fessier. Même si je ne peux pas voir j’imagine aisément la différence de teinte qu’il doit y avoir entre ma fesse gauche rougie et la droite intacte.
-« Bon, t’es pas si vilaine. J’aime bien ton cul bicolore. On va s’arrêter là pour la fessée. Tu mérite une petite récompense. »

En fait de récompense je sens tes doigts qui glissent entre mes cuisses vers mon con. J’avais juste mal et j’avoue que j’en oubliais complètement d’être excitée. Mais indépendamment de la volonté, comme par réflexe je me cambre et j’écarte légèrement les jambes. Le doigt qui presse sur mon petit abricot moelleux me fait tressaillir j’en oublie un instant ma fesse endolorie.
« Mais c’est qu’elle mouille déjà la vilaine ! »

Je suis aussi surprise que toi de sentir comme ton doigt glisse facilement dans ma fente à peine ouverte. Tu me caresses délicatement, hummmm, c’est bon, tellement bon. J’en gémi d’aise je sens que je mouille, je resserre comme je peux pour retenir ton doigt contre mon bouton. Tu ne mets qu’un doigt, je suis en quelques minutes au bord de l’orgasme. J’ai le réflexe de prendre mes fesses dans mes mains attachées pour les écarter et t’inviter à mettre aussi un doigt dans mon anus mais c’est une erreur. Une douleur vive sur la fesse gauche me ramène à la réalité. Je sais que je vais devoir m’assoir de travers pendant quelques jours.

-« C’est bon, allez, au lit ! »

Tu me prends par la queue de cheval et me pousse vers le lit. J’y tombe à plat ventre et tu es sur moi, ton genoux entre mes cuisses.
-« Pas bouger ! »

Les mains derrière le dos et la peur d’une autre correction je ne risque pas de m’échapper. Je devine que tu enlèves tes chaussures et ton pantalon. Je reste figée, immobile. Je me sens reconnaissante que tu remettes tes doigts dans ma Chatte par derrière. Tu prends le temps de m’exciter et ton pouce contre mon anus s’enfonce sans difficulté. Tu souffles sur ma fesse endolorie. Ça soulage un peu mais dès que tu arrêtes ça me brûle. Quand tu me prends par les hanches pour relever mon cul je ne me fais pas trop d’illusions sur ce qui attend mon petit cul. Mais comme tu continues à me branler par devant je suis sur le fil du rasoir entre l’orgasme et la douleur. Quand tu m’encules j’essaie de te présenter ma fesse droite. Mais je ne sais pas si ça marche, je ne sais plus trop où j’habite, je tournes la tête sur le côté pour pouvoir respirer, ou plutôt haleter. J’ai l’impression d’avoir enflé du cul mais je jouis, oh oui, je jouis ! Et ça faisait bien longtemps ! Et même si je sais que je vais m’assoir de travers pendant plusieurs jours je m’en fou. Ça valait le coup !

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Je perds un pari et dois assouvir tous ses désirs

Un mardi soir. A plus de 400km de la maison, Restaurant chic d’une bourgade de province. A deux pas de mon Airbnb. Nous avons matché sur cinq à sept. Donc pas vraiment de suspense sur le fait qu’il y aura plan cul. Le suspense est davantage dans la façon dont la chose va se passer. Pour l’instant tu m’as juste dévorée des yeux pendant tout le repas, essayant d’entretenir la conversation en évitant les moments de gêne. Car là où il y a de la gêne, il y a moins de plaisir. Et tu t’en es plutôt bien tiré.

Je porte un pull en cachemire qui met en valeur mes gros seins, une jupe  beige mi longue sur des collants beiges eux aussi. Queue de cheval et maquillage discret. Pas de string ni de culotte mais ça, tu ne le sais pas encore. Mes souliers vernis à talons hauts sont un détail important pour la suite mais ça c’est moi qui ne le sait pas encore…

Nous avons brièvement évoqué nos mariages respectifs qui partent à la dérive, notre goût commun pour le sport. Je t’ai allumé en disant que j’ai le sport en extérieur et aussi en chambre. C’était direct mais c’est pas comme si on savait pas tous les deux pourquoi on s’est donné rendez vous dans ce restaurant ce soir là. Pourtant nous avons pris notre temps. Nous avons aussi parlé cinéma, lecture et gastronomie. Tu as réussi admirablement mon petit quizz coquin. A la question quel est ton fruit préféré ? tu as répondu l’abricot. Forcément quand tu m’as dit et toi ? J’ai choisi banane. Sous la table j’étais déchaussée et j’osais discrètement de délicates caresse du bout des orteils. J’ai choisi ce resto chic pour ses grandes nappes qui permettent de se faire du pied en toute discrétion. J’arrive à remonter le long de ton mollet. J’approche ma chaise un peu plus de la table pour pouvoir tendre la jambe et remonter le long de ta cuisse. C’est tout un art de faire cela en restant naturelle, sans donner l’impression de se contorsionner. Merci le yoga ! Toi aussi tu approches un peu ta chaise de notre petite table. Et je peux caresser ton entrejambe facilement. La table ronde n’est pas très grande. Je fais cela délicatement, en te regardant droit dans les yeux. Toi, depuis le début du repas tu as plus de difficulté à me regarder dans les yeux. Ma poitrine ferme et généreuse n’aide pas, il faut dire.

-« Si t’as trop chaud commande une glace en dessert.  Moi je vais prendre un tiramisu. Il est crémeux comme j’aime…»

La serveuse, vient pour enlever les assiettes et proposer la carte des desserts. J’ai reculé mon pied juste à temps pour qu’elle ne remarque pas mon manège. Ou peut être qu’elle a remarqué. Bof, on s’en fout.

Moi : -« Ça te dis un petit jeu ? »

Toi : -« Dis toujours, je sens que je vais aimer. »

Moi : -« On commande tous les deux un dessert différent. Celui qui est servi en dernier paie l’addition. »

Toi :-« C’est tout ? J’avais pas l’intention de te laisser payer de toutes façons ! »

Moi :-« Et l’égalité des sexes, ça te parle pas ? Bon, surtout, disons qu’en contrepartie celle ou celui qui se fait inviter devra faire tout ce que l’autre lui demande jusqu’à demain matin. Elle ou il sera la marionnette de l’autre. »

Toi : -« Humm, voilà qui me plait déjà plus ! Ok, topes là! »

Tu me tends ta main par dessus la table. Mais je préfère t’envoyer une bonne tape dans les couilles du bout du pied !

Toi :- » Aie ! ça fait mal ! »

Je recommence un peu plus fort même

Toi:- » Arrête ! T’es malade, ça fait mal ! »

Moi :-« Oh ! Bichon, ça te donne un avant goût de ce qui peut t’attendre si c’est moi qui paie l’addition… Bon, après, si c’est l’inverse tu pourras te venger… »

Toi :-« Tu sais qu’en général on sert toujours les femmes en premier, tu risques de perdre. »

Moi :-« Oui, sauf que j’ai vu comment la serveuse te regarde et rappelle toi que tu as eu tes ris de veau avant mon pigeon. »

La serveuse arrive, sourire niais et voix haut perché. Je commande un tiramisu. tu sembles hésiter. Et tu prends la crème brulée maison à la violette. Là je réalise que je me suis sûrement faite avoir. Et, en effet, quand arrivent les deux dessert la serveuse pose mon tiramisu en premier et le tien après qu’elle allume pour faire flamber la crème brûlée.

Tu jubiles en demandant l’addition alors que nous n’avons même pas encore entamé nos desserts. Le temps qu’elle revienne avec la note ta crème brûlée à est engloutie et tu sors trois billets de cinquante de ton porte feuille.

-«Tu disais ? Ton Airbnb est à deux pas c’est ça ? »

-« Oui, c’est à moins de cinq minutes. Je t’invite pour un dernier verre ?»

-« Avec plaisir ! Mais je te rappelle que c’est moi qui ait gagné le pari. Et comme tu as déchaussé un pied pour sournoisement me frapper à un endroit de mon anatomie auquel je tiens particulièrement, je te confisque ton soulier ! »

Tu tends habilement le pied vers mon talon haut droit et le récupère sous la table :-« Ah ! Et interdit d’enlever l’autre. J’ai bien envie de te voir boiter jusqu’à notre petit nid d’amour ! Tu pourras te pendre à mon bras si t’es sage ! »

D’un coup mon Airbnb qui me semblait à deux pas me semblent quand même bien loin. Sur le chemin de retour je me sens bien moins sexy et confiante en moi qu’au restaurant. Marcher avec une jambe plus haute de douze centimètres, même en me tenant à ton bras me fait perdre pas mal de prestance. Tu en profite pour passer ta main sous mon pull en cachemire. Le contact de ta main sur la peau de ma hanche devrait m’exciter en temps normal. Mais là je me sens juste piégée et pas du tout à mon avantage. Heureusement le trottoir est lisse et à peu près propre. Je fais démon mieux pour poser le moins longtemps possible mon pied déchausser pour ne pas trop déchirer le nylon de mes collants. Aucune illusion sur le fait qu’ils seront de toutes façons ruinés mais je n’ai pas envie de m’écorcher le pied connement. En m’accrochant à toi j’arrive à ne presque pas poser le pied nu au sol mais ce n’est pas très élégant et c’est un peu humiliant.  Tu impose une marche assez rapide et essoufflante. C’est donc un soulagement d’arriver en bas du petit immeuble de ville où je loue un appart au sixième étage.

-« S’il y’en plaît, pas l’escalier, on prend l’ascenseur ! »

-« Ah? Rappelle moi qui a gagné le pari ? »

-« S’il te plaît… »

-« Bon, ok. Mais si tu choisis comment on monte alors c’est moi qui choisi comment je te monte. »

-« Heu…ça je l’avais compris… »

-« Allez, en voiture Simone! »

Tu me claques les fesses à travers la jupe pour me faire entrer dans l’ascenseur dont je dois ouvrir la porte qui n’est pas automatique. C’est un vieil ascenseur, minuscule, en bois avec une porte vitrée. Il passe au milieu d’un escalier en colimaçons. Tu t’y engouffres derrière moi. Contre moi serait plus approprié tellement la cabine est étroite. Tu ne te gênes pas pour remonter ma jupe.

-« Tiens, je pensais que tu aurais des bas…Mes des collants c’est bien aussi. »

Dans mon dos tu me tiens contre toi, la main sur mon ventre sous mon pull en cachemire. Lorsque l’ascenseur stoppe brusquement à mon étage je sens nettement ton sexe sur mes fesses qui tressottent. Tu me serres un peu plus fort sans sembler pressé s’ouvrir la porte de l’ascenseur.

-« Tu es sure qu’il tient toujours le pari ? Parce que si tu change d’avis vaut mieux le dire toute de suite… » Tu pinces ma fesse assez fort pour qu’il n’y ait pas d’équivoque sur ce qui m’attend.

-« Je n’ai qu’une parole. »

-« Ok, tu m’invites pour un dernier verre alors ? »

Mon Airbnb est une garçonnière agréable. Un petit studio en loft. Canapé Togo en velour, table basse en verre tapis marocains en laine épaisse. Le lit est sous les toits perché sur une mezzanine. Je suis reconnaissante au propriétaire d’avoir particulièrement soigné l’éclairage. Les ampoules ne sont pas trop fortes et il est facile d’obtenir une ambiance tamisée très romantique. On pourrait penser que quand je pars en déplacement avec un plan cul en vue j’ai dans ma valise une jolie collection d’accessoires SM. Mais en vérité, ce que j’ai c’est surtout une petite valisette de pique nique avec des bouteilles d’alcool, deux verres en cristal de Bohème et aussi des poppers et autres aphrodisiaques.

-« Si tu veux je peux te servir un whisky et t’offrir un petit spectacle. »

-« Oui, pourquoi pas. Mais viens un peu ici d’abord. »

Tu m’attrapes et passes tes mains sous mon pull pour malaxer mes seins. Je passe les mains derrière mon dos pour dégrafer mon soutien gorge. Tu trouves la petite fermeture éclair sur le côté de ma jupe et  je me retrouve vitre en collants.

-« Enlève moi ça ! je veux que tu restes juste en collants. »

J’obéis. Être à demi nue devant dans un studio devant un homme qui reste habillé est une situation que je connais. Mais c’est toujours intimidant. Intimidant et fortement excitant. Je prends le verre à whisky sur la table basse et me dirige vers le frigo américain. Je boite toujours car je n’ai qu’un seul talon. je remplis ton verre de glaçons au distributeur dans la porte et t’apporte ton whisky.

Et, ce soir, comme je suis d’humeur taquine j’ai décidé de ne pas en écrire plus et de vous laisser tous sur votre faim !!!

ahahah !

Mais si vous revenez plus tard dans un jour, un mois, un ans sur cette page peut être que vous saurez comment tout cela s’est terminé pour mes fesses polissonnes.

 

Aller au bout de ses fantasmes

Je sais qu’il est un peu honteux, ou intime, d’aimer lire de la pornographie. Alors celles et ceux qui aiment mon blog n’osent certainement pas en parler et le faire connaître. Pourtant, si vous avez envie, gratuitement, sans rien attendre en retour, juste par gratitude ou sympathie, de me faire un joli cadeau, partagez le plus possible, citez mon blog quand vous commentez sur un site. Envoyez le lien à des amis, de vrais amis, ceux a qui l’on peut presque tout avouer. Par avance un grand merci baveux.

Lorsque j’étais adolescente je passais les vacances d’été chez mes grands parents. Il y avait dans le salon une grande télé à tube cathodique et un magnétoscope VHS. Internet existait ainsi que les téléphones portables. Mais je n’avais droit ni à l’un ni à l’autre. A seize ans j’avais déjà de gros seins mais j’étais un peu mal dans ma peau, sans faire vraiment de boulimie j’étais quand même plus portée sur les sucreries que sur le sport et les kilos en trop que j’ai perdu depuis ne favorisaient pas la confiance en moi. J’étais studieuse, très douée en mathématiques et, sans être asociale j’avais peu d’amies filles, encore moins de copains.

J’avais trouvé, cachée derrière une pile de disques vinyles la collection de films pornos de mon grand père. Il avait du enregistrer sur des VHS à peu près tous les films X depuis le lancement de canal+ .  Mais il devait aussi avoir d’autres sources car pas mal de films étaient en anglais ou en Italien.

C’est là que j’ai fait toute mon éducation sexuelle entre 15 et 17 ans. Je pense que c’est de là que me viennent tous les fantasmes que je réalise aujourd’hui. J’aimais particulièrement les ambiances moyen âgeuses, les scènes où l’heroïne devait se plier aux désir d’un ou plusieurs hommes qui exerçaient une emprise physique ou psychologique. Je me souviens ces visionnages, une main dans ma culotte et l’autre sur la télécommande, prette a tout éteindre si la lumière du couloir s’allumait. Aussi étrange que cela puisse paraître je ne me suis jamais faite surprendre. Je me fabricais des godemichets improvisés avec les pièces d’un jeu d’échecs en bois et je m’effrayais de la taille des sexes que les actrices se prenaient dans le cul.
Je dormais peu car même une fois dans ma chambre je m’essayais à toutes sortes de caresses. Je m’attachais maladroitement a mon lit, et je me faisais jouir souvent jusqu’au lever du jour. Ensuite je traînais telle une zombie adolescente la majeure partie de la journée. Je me sentais honteuse et coupable. Ensuite, quand il y a eu les premiers petits copains (décevants) puis les études et le mariage j’ai presque oublié cette période de ma vie. Maintenant chaque scène de chaque film me revient avec détail et je suis tellement heureuse de pouvoir, quand tout se goupille bien sur cinqasept, être enfin l’héroïne de ma jeunesse.

Et vous, quels étaient vos fantasmes à 16 ans. Vous avez forcément plus puisque vous avez cliqué sur j’ai 18ans ou plus !

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Angoisses de la femme adultère

Trouvez moi ici.
==> CINQASEPT <== (essais gratuit mais j’aime pas les radins !)

Petite astuce si vous voulez que je vous reconnaisse : incluez un code postal dans votre pseudo qui doit nécessairement contenir un jeu de mots ou un calembour.

Pour moi qui suis une femme adultère accro aux plans culs la clandestinité est une obligation. Je vis dans la peur d’être un jour découverte. Je suis heureuse en mariage. Non pas que mon mari me comble, bien au contraire. Mais je suis aussi maman et je bénéficie d’un statut social de jolie bourgeoise de province qui me convient parfaitement.

Les années passent, ma fille grandi, devient adolescente. Bien sûr j’ai souvent eu envie de coucher avec un collègue de travail, un voisin ou mon beau frère. Mais je sais très bien que si je cède à ce type d’envie un jour ou l’autre je serai démasquée. Je sais que si un jour un amant sait qui je suis, mon vrai nom, mon vrai prénom (qui n’est pas Lucie), alors un jour ou l’autre je serai trahie par un amant éconduit ou jaloux, par une compagne de plan à 4 mesquine ou une amie déçue. Donc je compartimente, j’entretiens une étanchéité parfaite entre la bonne mère, bonne épouse, femme sociable, jolie bourgeoise de province et la nymphomane adultère amatrice de fessée, passionnée de sexe sans tabous ni limites. Toujours a l’affût d’une expérience nouvelle et accro à ce blog qui me permet de faire durer l’es plaisirs trop fugaces et rares de mes incartades adultères.

J’ai principalement deux types de plans culs. J’aime les rencontres de hasard, loin de la maison je me construit un personnage et je me laisse aborder par un inconnu plus entreprenant que la moyenne. Cela donne parfois un plan cul très satisfaisant mais quand même assez classique en général. C’est frais, authentique, simple et en vrai j’adore ça. Mais ça ne marche pas toujours, des fois c’est raté, ou le mec prend peur et je me retrouve comme un idiote seule dans ma chambre d’hôtel ou mon Airbnb.

Et il y a les rencontres plus ou moins planifiées sur un site de rencontre à plan cul. Moins palpitant, sans l’excitation de la drague et de la rencontre, avec moins de suspense. Mais là on peut planifier, là je peux sans honte dire que j’ai envie d’être une soubrette punie ou une chienne ligotée. C’est un autre délire mais que j’aime aussi tellement.
Et puis il y a les relations plus long terme que j’ai construites ces sept dernières années. Celles et ceux qui ne savent rien de mon identité vraie mais l’ont accepté ainsi. Un professeur d’université et son étudiante soumise, mon amie Marie et nos parties fines.

Ce soir, alors qu’il reste encore deux semaines d’enfer conjugal de ces interminables vacances estivales en famille, j’ai peur. Peur d’être un jour démasquée, peur que tout cela s’arrête. Mais cette peur fait aussi finalement peut être partie du jeu. C’est peut être aussi cela qui rend encore plus excitantes mes petites incartades…

En tous cas j’ai vraiment hâte que septembre arrive.

Bisous mouillés à tous. Demain peut être je vous raconterai un de mes derniers plans cul.

En attendant dites moi dans quelle ville vous êtes et où vous aimeriez me croiser par hasard.

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Elle suce au bord de la piscine

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==> CINQASEPT <==

Pseudo de l’été 2022 : LesMalheursDeJustine

Nogent-le-Rotrou. Maison de village, piscine et Jacuzzi. Cuisine américaine, sol en marbre. Chambres à l’étage moins jolies. Sans importance, tu me baiseras en bas. Bikini rose deux pièces, talons compensés en plexiglass, casquette et queue de cheval. Chaleur étouffante. Midi heure solaire. Soleil de plomb. Tu bronzes sur un transat en short de bain. Petite glacière en plastique bleu, quelques bières à portée de main enfoncées dans la glace pilée. Je m’approche du bord de la piscine. Mes talons compensés en plexiglass me donnent un démarche un peu maladroite, chaloupée. Ou c’est peut-être les trois mojitos bien chargés que tu m’as déjà servi qui ont entamé mon aisance habituelle en talons. En tous cas j’ai chaud et je plonge dans la piscine sans prendre la peine de les ôter. Aller retour en trois brasses, la piscine n’est pas grande. Couverte d’huile à bronzer l’eau glisse sur moi quand je sort de la piscine et me dirige vers toi. Fichus talons ! Je manque de me tordre une cheville en ratant la marche du bord de la terrasse en bois. Je tombe pas très élégamment est je décide de faire les derniers mètres jusqu’à toi à quatre pattes. J’arrive avec un peu plus d’assurance à ton transat fière de mes gros seins miraculeusement retenus par mon haut de maillot rose et riquiqui. Très envie de te sucer. Alors je tire sur ton short de bain qui vient tout seul et je me mets à l’ouvrage. Je défais le lacet dans mon dos pour faire tomber le soutien-gorge inutile et libérer mes gros seins. La branlette espagnole est une de mes grandes spécialités. Même pompette je maîtrise. Je plante mes yeux dans les tiens, provoquante. Ta queue trouve naturellement sa place entre mes deux gros seins. Je n’ai même pas besoin de la guider. Mouvements lents pour la faire coulisser entre mes belles mamelles. Langue sur ton ventre.
-« Laisse toi aller et prend une bière. »

Tu tends la main vers la glacière et attrape une canette de despé. Pchhhittt, un peu de mousse déborde de la cannette en aluminium. Quelques goutes passent de ton torse à ton abdomen, je lape.
-« Encore ! » je tire la langue comme une chienne assoiffée. Tu penche la canette et fait couler quelques gorgées que je m’empresse de laper pour éviter que ça coule partout. Ta queue bien dure est toujours entre mes seins.

-« Encore, plus, promis j’avale tout…Vraiment tout…»

Tu prends une grande gorgée de bière et vides le reste juste assez vite pour je n’arrive pas à tout laper sans en perdre. Pas mal de bière rejoint ta bite entre mes seins. Je descends lentement pour prendre ta queue entre mes doigts manucurés d’un rose assorti à mon bikini et je lèche tes couilles au goût despé. Après avoir bien sucé chaque couille je passe la langue le long de ton sexe tendu et l’englouti entre mes lèvre. Je suce doucement, sans changer de rythme même si je sens ton corp se tendre. Sucer lentement, toujours au même rythme, en serrant bien les lèvres, la langue qui presse ta queue contre mon palait, en faisant bien attention à ce que les dents ne touche rien. J’ai lu sur internet qu’il fallait faire varier le rythme. Mais moi je trouve qu’au contraire, c’est nul. Moi je préfère choisir un rythme et m’y tenir jusqu’à ejaculation. Tu te retiens, je sais que tu n’as pas envie de jouir tout de suite ce qui te priverait de mon petit cul dans l’immédiat. Mais on a le temps, jusqu’à demain 10h. La fin du Airbnb. Et il n’est que le début d’après midi. Alors je ne m’arrête pas de te sucer. Quand tu décharges je lève un peu ma tête pour que ta queue soit à moitié sortie. Ainsi ton sperme fini dans ma bouche et pas en fond de gorge. Je peux mieux en profiter. Je presse ma langue très fort de la base des couilles jusqu’en haut du gland pour bien tout extraire. Et j’avale satisfaite.
-« Tu sais que t’as très bon goût toi. Et t’inquiète, mon p’tit cul tu pourras en faire ce que tu veux d’ici demain matin.

 

Elle se fait baisser au bord de la piscine

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Pseudo coquin de l’été 2022 : LesMalheursDeJustine
Mini short jaune citron en éponge sur mon petit cul rebondi. Bord de piscine d’un pavillon AirBnB en banlieue d’Avignon. La haie nous met à l’abris des regards de nos voisins, eux aussi nantis d’une piscine. C’est le début de l’heure dorée, celle de l’apéritif et des photos Instagram. Si nous sommes à l’abris des regards indiscrets le son, lui, porte remarquablement. Les glaçons tintent dans les verres des voisins, leurs enfants se chamaillent à grandes éclaboussures tendis que la conversation des parents, deux couples, semble porter sur la différence d’âge de Brigitte et Manu.

-« Tu crois qu’ils baisent encore ? »

-« Je sais pas mais moi j’pourrais pas. »

Sur un transat je suis allongée à plat ventre. Pin-up de carte postale sexy. Je défais dans mon dos le noeud de mon haut de maillot assorti à mon mini short pour profiter sans trace de bronzage du soleil moins agressif de fin de journée. Je pense à Brigitte Macron, à sa peau fripée et aux ravages qu’ont fait les UV sur la plus célèbre des cougar du peuple de France. Je me dis que non, ils ne doivent plus baiser, leur truc c’est sûrement autre chose. Et je me demande si quand je serai vieille j’aimerai toujours autant me faire enculer. Est-ce qu’un amant me prendra toujours en anal comme un chienne, même si je suis une cougar grany ridée ? Je sais que je m’aime dans le regard des hommes qui me baisent. Je sais que ce qui m’excite c’est de faire ma petite pute ou ma grosse cochonne mais toujours ultra sexy en mode caricature de jeune actrice porno d’avant Jackie et Michel et autres pornhub qui ont tout gâché. Alors quand je serai vieille et fripée aimerai-je toujours autant   me faire prendre le cul ? Trouverai je aussi facilement qu’aujourd’hui la bite pour me defoncer ? J’ai du mal à imaginer que je puisse me lasser de cette sensation d’une queue bien raide qui appuie sur mon anus. La douleur exquise du moment où je me détend juste ce qu’il faut pour laisser entrer et le gémissement qui m’échappe immanquablement. Mais il parait que tout passe, tout lasse. Sauf les glaces ?

Toi bien sûr tu ne sais rien de mes pensées incongrues. Encore tout surpris de te retrouver là, au bord de la piscine à me reluquer le cul tu as l’air un peu nigaud avec les deux grands verres de Spritz que tu viens de nous servir. Je me tourne vers toi, je mords le coin droit de ma lèvre inférieure et t’indique du regard la table basse entre les deux transats. Tu y poses les cocktails. Entre nos deux verres un grand flacon ambré d’huile à bronzer.

-« Tchin-tchin ! Tu voudras bien me mettre… de l’huile solaire ? J’ai la peau sensible…Surtout en bas du dos et en haut des cuisses… »

Je parle sans fards, et, j’espère, assez fort pour être entendue des voisins de l’autre côté de la haie. Je sais que les voisins m’ont remarquée car je n’ai pas manqué dans l’après midi d’aller toquer à leur porte pour mendier des dosettes de café. C’est lui qui m’a ouvert mais sa bourgeoise m’a bien vue et n’a pas dû apprécier l’empressement de son mari à me rendre service.
-« Santé ! Oui, tu as raison, faut se méfier, même à cette heure le soleil tape fort. »

-« Oh ! Il peut taper, je n’ai rien contre, mais pas trop fort quand même…et pas avant que je sois tartinée. »

De l’autre côté de la haie la discussion sur le couple Macron s’est enlisée et c’est avec un entrain forcé que la voisine propose à son mari de démarrer le barbecue.Toi, tu presses la fiole en plastique d’huile pour en faire couler quelques goutes entre mes épaules. Hummm, je tends la main pour prendre mon verre d’Aperol Spritz. Petite gorgée rafraîchissante, traces de rouge à lèvres sur le bord du verre à pied. Tes mains en haut de mon dos, j’écarte déjà imperceptiblement les jambes et je me détends. J’adore les étés qui commencent comme ça.

-« Dis, tu m’aimerais si j’avais 69 ans comme Brigitte Macron ? »

Je lance le sujet exprès pour que les voisins sachent qu’on les entend.

-« Je ne sais pas mais c’est un beau chiffre… »

-« Idiot, c’est pas un chiffre, c’est un nombre. Occupe-toi plutôt de me passer la crème, on discutera positions si tu es sage…gros pervers. »

J’apprécie comme tu prends ton temps. D’abord ma nuque. Je dégage mes cheveux sur le côté et je tourne la tête. Je ferme les yeux et je souri. Je cherche à tâtons ton mollet. Tu fais plus que passer l’huile, tu masses délicatement. C’est bon et apaisant. Je caresses ton mollet poilu du bout des doigts.
-« Hummm, j’adore comme tu me passes l’huile. J’ai l’impression d’être un gigot d’agneau qui va passer à la casserole. »

Je sais, des fois j’ai des idées con qui tuent un peu l’ambiance. Mais j’y peux rien, c’est dans ma nature.

De toutes façons, au point où nous en sommes, il faudrait vraiment que je sois très maladroite pour casser l’ambiance. Après m’avoir longuement massé la nuque tu t’occupes de mes épaules. Tu ajoute régulièrement quelques goutes d’huile.

-« Hummm, c’est bon, j’ai chaud. J’ai envie de sucer…un glaçon… »

Je tends la main vers le seau en étain ou la bouteille entamée reste bien fraîche entourée de  glaçon cubiques. Le glaçon que je mets dans ma bouche est assez gros encore bien cubique. Je ne peux m’empêcher de me demander si tu auras l’idée de m’en glisser un ou deux dans la Chatte avant qu’ils n’aient fondu.

Pour dire la vérité la zone est pavillonnaire et la piscine loin d’être immense. Les transats sont en plastique blanc et il flotte maintenant dans l’air comme un désagréable parfum de merguez. Mais à part ça mon mini short jaune citron sur mon petit cul fait le job. Je presse ton mollet et enfonce un peu les ongles.

-« Tu veux bien me mettre de l’huile un peu plus bas s’il te plaît ? »

Un généreux filet coule en bas de mon dos. Je me tortille pour baisser mon short que je n’ai pas envie de tacher d’huile de bronzage. Ouf, juste à temps une moins grasse passe entre mes fesses.
-« Hummm, met en plus, sois généreux, t’inquiète j’ai deux autres flacons dans mon sac de plage… Et vires moi ce short de bain, il n’y a pas de raison qu’il n’y ait que les voisins qui aient de la saucisse…»

Je tire sur le lacet de ton short de bain. Il tombe sur tes chevilles. Je dois me contorsionner un peu sur le transat en plastique qui crisse mais j’arrive à être en position pour sucer tout en te laissant mon cul à portée de main. Je prends le flacon d’huile pour m’en mettre sures gros seins. Pour le moment j’ai trop envie d’avoir tes doigts dans mon cul en te suçant. Mais tout à l’heure tu auras droit à une belle cravate de notaire.

-« Tiens moi comme un pack de six… Je suis ton petit pack de bière brune. »

C’est tellement bon, Je glisse de partout. J’hésite à te laisser m’enculer au bord de la piscine mais j’ai d’un coup peur de faire trop de bruit et que les voisins finissent pas perdre patience. Pas trop envie de me faire signaler sur AirBnB en vrai. Alors je continue à te sucer un peu. Et puis être tenue comme un pack de bière, ton majeur bien enfoncé dans mon anus et ton pouce juste sur mon clito c’est presque meilleur de de me faire enculer.

-« On rentre ? Je crois que j’ai pris un vilain coup de soleil. Faudrait me passer un peu de lait apaisant sur le corps. »

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Comment bander plus dur et retarder l’éjaculation ?

Éjaculation précoce et érection molle

Deux fléaux auxquels aucune salope sexy qui aime les plans culs ne peut prétendre échapper à coup sûr. Deux problèmes sexuels qui peuvent gâcher un rendez vous coquin ou un plan cul adultère. Bien sûr, la plupart de mes lecteurs vont dire que ça ne les concerne pas. Bien sûr…

Mais sachez messieurs que l’on peut toujours faire mieux, toujours faire plus dur et plus longtemps. Me faire défoncer le cul j’adore, me faire démonter les guiboles encore plus. Et si ça peut durer jusqu’à l’épuisement, si je peux m’en souvenir quand je m’assoie les jours suivants alors forcément c’est génial ! Et donc oui, même si vous vous considérez comme une bête de sexe cet article vaut la peine d’être lu. D’autant que je vais faire mon possible pour le rendre aussi sexy, pornographique à souhait en même temps qu’utile pour celles et ceux qui rêvent de priapisme et t’enfoncer une queue bien longue et dure pour pour d’interminables va être vient dans un petit cul de cochonne en chaleur.

 

Ejaculation précoce, s’entraîner ne sert à rien

Ce serait tellement facile de vous dire : voilà la méthode infaillible pour en finir avec les problèmes éjaculation précoce. Mais en réalité, comme tout se passe dans l’inconscient rien de ce que vous pourrez tenter consciemment ne risque de vraiment fonctionner.

Les gels retardants

Voilà mon constat en tant que femme qui aime faire l’amour. Hé oui, parfois j’aime bien dire faire l’amour au lieu d’écrire baiser comme une grosse salope. Les gels retardants fonctionnent. Ils fonctionnent même plutôt bien pour regarder l’éjaculation. Ce n’est pas un miracle, un ejaculateur précoce ne va pas se transformer en un étalon endurant grâce à une molécule magique. Mais j’ai pu constater sur plusieurs amants à qui j’ai laissé une seconde, voire une troisième chance, que ça marche. C’est environ deux fois plus long. Ou plutôt deux fois moins court.

Le spray retardant

Meme principe actif mais un peu moins bien je trouve. Ou alors j’ai eu moins de chance. Je dirais 30% de temps de baise en plus. Pas négligeable quand même ! Mais je trouve le fait que l’amant se vaporise un produit sur la bite un peu tue l’amour. Alors qu’avec le gel c’est moi qui peux tartiner. Le gel a aussi un côté lubrifiant et un mec qui n’avait pas de problème d’erection mais qui voulait durer plus longtemps et avoir une erection bien ferme m’a d’abord massé l’anus avec le gel avant de m’enculer. J’en ai encore des frissons de plaisir rien que  d’y penser !

le meilleur choix de gels et sprays est, à mon humble avis, ici : boutique plaisir

 

Elle téléphone à son mari pendant que son amant la baise

Vous aimez mes textes de cochonne couqine ? Aidez moi à faire vivre ce blog d’amatrice. Achetez un truc sur cette boutique érotique : boutique plaisir

C’est une vraie boutique, ni meilleure ni pire qu’une autre. Les envois sont discrets et c’est plus réglo de vous proposer cela que ces liens vers des sites de gangbang pour libertine plus ou moins sérieux…Je touche évidement un mini pourcentage.

En cadeau ici un de mes derniers plans cul sans  publicité ni photos perturbant la lecture. J’attends vos commentaires.

 

Brrrr, brrrr, brrrr. Mon iphone sur la table de nuit est en mode vibreur. Nous commencions tout juste à nous embrasser debout. Je jette un œil sur l’écran illuminé.

-« Ciel mon mari ! Oh …Quel dommage ! j’ai du oublier mon téléphone au fond de mon sac…»

Je me remets à t’embrasser sur la bouche en faisant un petit va et vient avec ma petite langue douce et nerveuse. Mais tu me repousses et t’empares du téléphone.

-« Non, c’est pas gentil, tu réponds et tu le gardes en ligne le plus longtemps possible… »

Tu acceptes l’appel en faisant glisser ton pouce vers la droite et tu me colles le téléphone sur l’oreille. Plus trop le choix. J’improvise.

-« Allô, chéri ? »

-« Allô, ta fille voudrait te parler avant de se coucher. Je peux te la passer ou tu es encore au restaurant ? »

-« Non non, je suis dans ma chambre d’hôtel. Ok, mais pas longtemps alors, je suis crevée. »

-« Allô, maman ? »

Tu déboutonnes mon chemisier en me regardant droit dans les yeux pendant que je parle à ma fille.

-« Oui ma puce, tu n’es pas encore couchée ? »

-« Non, maman, t’es où ? »

Dans une chambre d’hôtel avec un homme qui n’est pas ton père et qui est en train de me déshabiller.

-« Maman est à l’hôtel. Je rentre demain ma puce. Il faut dormir maintenant. »

Tu m’as déjà débarrassée de mon chemisier et tu fais habillement glisser la fermeture éclair du côté de ma jupe fourreau.

-« Toi aussi tu va bientôt dormir Maman ? »

Oui, mais d’abord je vais sucer une belle queue et faire un peu d’équitation sur un bel étalon dont la pine va rentrer toute seule dans ma petite chatte toute mouillée.

-« Oui, ma puce, maman va dormir, bonne nuit ma chérie. »

-« Bonne nuit Maman, je te repasse Papa. »

Je suis en sous vêtements, en guépière. Bas de soie gris perle, porte jarretelles et soutien-gorge assortis. Tu t’allonges sur le dos au milieu du grand lit et tu me tires par le poignet. Tu déboutonnes ton pantalon et m’attires vers ton entrejambe pour que ce soit moi qui continue a te déshabiller. Je me déplace à quatre pattes avec sensualité. J’aurais pu faire une actrice porno Italienne des années 90 très sexy et convaincante.

-« Allô, ma chérie ? T’es toujours là ? »

-« Heu…oui…oui…Ta journée s’est bien passée ? »

Je n’ai pas oublié ta consigne de garder mon mari au téléphone le plus longtemps possible. C’est un jeu qui m’amuse aussi je dois dire. Mais c’est pas facile de se concentrer pour lui parler en même temps que je défais tes lacets, que j’ôte tes chaussures, puis tes chaussettes et te débarrasse de ton pantalon. Tu caresses mes cheveux comme si j’étais ton animal domestique. Je sais bien ce que cela veut dire. Il va falloir sucer. Ça tombe bien j’adore ça !

-« …au jardin… Allô ? Tu m’écoutes ? »

Bin non, pas trop, et je vais pas pouvoir te parler la bouche pleine.

-« Heu, oui, enfin non, pardon, je cherchais un truc. »

Le truc en question c’est ta queue que je sors de ton caleçon. Une belle queue déjà bien raide. Appétissante à souhait.

-« Ah ? Tu veux que je te rappelle plus tard ? »

En fait non, ça m’excite de te parler au téléphone pendant que je m’occupe de la queue de mon amant.

-« Non non, excuse-moi. Tu disais quoi à propos de la tondeuse à gazon ? »

J’imagine assez ce que tu peux ressentir à me voir, jolie brune en lingerie sexy à genoux sur le lit, dans une main mon iphone à l’oreille, dans l’autre ta queue. Ma langue lèche lentement des couilles jusqu’au gland. Pendant que mon mari tout fier me raconte comment il est parvenu à réparer la tondeuse à gazon. Tout est parfait, mes talons aiguille beiges vernis, le galbe de mes mollets gainés de bas de soie gris, le petit noeud en haut des bas, le porte jarretelle assorti et la délicate petite culotte en soie que tu carresses du bout des ongles.

-« Toi, ma chérie, tu ne m’écoute pas, je te connais. »

T’es vraiment sûr que tu me connais gros nigaud ?

-« Si si, hum, slurp, hum, pardon, si si je t’écoute. »

-« Tu manges quelque chose. »

Ouai ! Une belle bite bien raide avec deux étires couilles toutes mignonnes !

-« hum, oui, hum, désolée, une banane…mais continue, parle moi. J’ai pas eu une…slurp… super journée. Tu me manques, parle moi…j’aimerais que tu sois là avec moi … dans la chambre… »

-« Toi aussi tu me manques. Hâte que tu rentres. »

Je vais surtout me faire bien rentrer dedans avant de rentrer…

-«T’es où là ? »

-« Salon, canapé, Netflix… »

Moi aussi salon, canapé. Mais pas Netflix…

-« Pareil, j’ai réussi à connecter la télé de l’hôtel à mon hum …compte…slurp ! »

-« tu manges toujours ? »

-« Oui, je savoure hum ma banane… j’imagine que c’est…hum sssluuurrrp … la tienne. »

Je dis la dernière phrase en chuchotant. Et en m’occupant de tes couilles avec ma langue.

-« hou, j’vais p’t’être pas raccrocher tout de suite alors ! »

-« Non, s’il te plaît. Ce serait dommage…Tu veux pas imaginer que tu me caresses les fesses pendant que je te suce plutôt ? »

Toi, ton majeur presse juste au niveau de mon abricot. Entre les deux, la fine étoffe d’une petite culotte en soie. Je m’allonge confortablement sur le ventre, ta queue en bouche, en travers du lit mon petit cul juste porté de main baladeuse. J’attrape un coussin pour me le mettre sous le ventre et t’offrir ma plus belle cambrure de reins. Je plies les jambes et les balance légèrement en continuant à parler à mon idiot de mari comme si tu n’étais pas là à me caresser les fesses et l’abricot. J’ai gardé mes souliers à talon et tout mon sang froid. Je suis décidée à faire durer ce moment parfait le plus possible. Alors au lieu de sucer goulûment j’y vais en délicatesse, avec la langue, sans te branler.

-« Bin dis donc, qu’est-ce qu’il te prend ce soir ? Tu as bu ? C’est une farce ? t’es avec une copine ? »

Une copine bien habile de ses doigts et équipée d’un bonne bite…

–« Oui et non… Je ne suis pas avec une copine…mais j’ai un peu bu…ça t’embête ? Tu veux que je raccroche ou je continue à te dire ce qu’on aurait pu faire si tu avais été là ? »

-« Ok, je suis tout ouïes… »

-« Tu bandes ? »

-« Heu, oui, forcément… »

-« Bon, alors interdiction de te masturber. J’ai pas envie que tu raccroches dans 30 secondes… »

-« Heu ok. »

-« Donc imagine. Je t’ai déshabillé sur le lit. Je suis en sous vêtements sexy, soutien gorge et bas de soie, porte jarretelle, et petite culotte en soie. »

-« Heu t’as ça dans ta garde robe ? »

-« Non gros nigaud, mais t’a qu’à imaginer. Et peut être que ça te donnera envie de me faire un cadeau, j’dis ça j’dis rien… »

Pour mon mari je ne m’habille jamais en jolie salope bourgeoise sexy comme je me suis vêtue pour toi. Je ne fais pas non plus tout ce que nous allons faire ensemble…Et qu’il va m’entendre décrire par le menu sans même se douter que c’est bien plus réel qu’il ne se l’imagine…

-« Allo mon petit mari d’amour ? Tu es toujours là ? »

-« Plus que jamais ! »

-« Alors imagines : Depuis cinq bonnes minutes je lèche ta queue de bas en haut, je suce tes couilles. Tu profites du spectacle en caressant du bout des doigts mon petit cul à travers ma petite culotte en soie. Je suis allongée sur le ventre, toi sur le dos. Et tu presses tendrement mon petit abricot gonflé de désir. hummmm, ouiiii, c’est bon, j’adore comme tu me caresses. »

Et c’est d’ailleurs exactement ce que tu fais ! Tu as maintenant glissé ta main dans ma petite culotte et dégagé ma chatte bien moite. Je gémis d’aise quand un doigt s’introduit dans mon vagin étroit mais déjà bien lubrifié. Je prends ton sexe dans ma bouche pour m’éviter de trop gémir. Tempi pour le téléphone pendant quelques secondes. Monsieur mon mari n’entendra que des petits bruits d’ASMR qu’il n’aura qu’à interpréter pour ce qu’ils sont en réalité.

-« Hummm, tu vas me rendre folle. »

Ton pouce contre mon anus presse et rentre sans difficulté. C’est bon signe car si tu t’intéresses à mon petit trou du cul c’est que je vais bien me faire enculer et, quand c’est bien fait, c’est ce que je préfère. Mais mon mari n’y a pas droit et je lui fais croire que je suis radicalement contre le sexe anal. Il est sans doute temps de ne me consacrer plus qu’à toi.

-« Allo, mon chéri, j’ai bientôt plus de batterie et le câble est dans ma voiture. Je t’aime, à demain. »

Et je raccroche et prenant soin d’appuyer longtemps sur le bouton de l’iPhone pour l’éteindre entièrement.

Je me tourne vers toi : « Ça te dis un plan levrette, sodomie, levrette, sodomie, levrette sodomie ? Tu veux bien me défoncer jusqu’à ce que petite mort s’en suive ? Après on dort et on recommence ok ? »

 

 

 

 

Plan cul en mode petite salope en vacances

Ma tenue du jour : Petite Salope en robe rouge à pois blancs, souliers à talons assortis, chouchou dans les cheveux. Longues jambes épilées toutes douces, nues du haut des socquettes jusqu’au string de dentelle blanche. Petit abricot juteux lui aussi intégralement épilé.

Mon plan pour ce soir : M’enfoncer dans l’anus avec délectation un petit plug anal en cristal Swarovski et sortir en douce vers 23h30 après m’être assurée que monsieur mon mari dort profondément (il prend des somnifères). Passer en mode petite salope délurée en vacances. Je t’ai dragué sur copine de sexe sans montrer de photo de moi autre que celle énigmatique de mon profil. Mon pseudo : AmourALaPlage. Tu as joué le jeu et accepté de prendre le risque de tomber sur un laideron. Je t’aime déjà rien que pour cela…et pour ton appartement disponible à deux pas de notre location de vacances.

Je me délecte de ton heureuse surprise quand tu me vois pour la première fois. Tu ne t’attendais pas à la jolie pin-up pulpeuse en robe à poids et rouge à lèvres brillant qui tire la chaise pour s’installer en terrasse juste à ta table.

C’est bien parti pour un plan cul sans chichi, un minuit quatre heure du mat rafraîchissant comme un double mojito royal. Un peu de monde à la terrasse de la Bodega. Apprécier l’effet que je produit dans ce genre de place publique surtout fréquenté par des touristes entre trente et soixante. Quelques couples sur leur 31 restent, hélas, beaucoup trop de short, TShirt, claquettes bedaine. Qu’importe, les regards des hommes, fussent-ils un peu beauf sur mon petit cul d’allumeuse et mon décolleté pigeonnant m’amusent toujours autant. Les réactions de leurs femmes sont aussi souvent intéressantes…Toi, pantalon chino, chemisetge manches courtes et vraie Rolex au poignet. Un tantinet frimeur avec tes cheveux gauminés mais ça me va. Autant j’ai adoré cette année faire ma chienne sous des hommes ventripotents et pervers à souhait, autant pour cette sortie estivale j’ai envie d’un mec plutôt du genre acteur porno pour un bon petit démontage de cul classique de salope adultère. Cette nuit je veux juste sucer, m’abandonner à des doigts fureteurs et gémir quand tu remplaceras mon petit plug anal par ta belle queue bien dure.

J’y vais franco, pas besoin de faire durer le suspense.
-« Salut, tu me paies un Mojito et après tu emmènes mon petit cul chez toi ? Faut que je rentre à notre location avant que mon mari se réveille. Ça fait 4 heure du mat. J’ai bien l’intention de jouir par tous les trous d’ici là. Enfin si ça te fait pas peur ! »

-« Mais c’est quoi ce plan ? C’est une caméra cachée ? »

-« J’espère bien qu’il n’y a pas de caméra ! Je suis incognito 🥸. Mais bon, si t’es du genre poltron je suis sure que je peux te trouver un remplaçant vite fait… » petit clin d’œil.

Il faut souvent savoir saisir la chance quand elle se présente. Heureusement tu es du genre aventureux. Tu n’as rien à perdre et tout à gagner dans cette histoire de cul. Tu fais signe à la serveuse (assez jolie d’ailleurs) et commande nos Mojitos. Pour le moment tu ne risques rien et mes gros seins dans ma robe à pois te font envie. On peut te comprendre. Tu es beau garçon. La serveuse l’a remarqué aussi.

Si tu es en juillet sur la côte Basque et que tu veux vivre la suite contacte moi sur copine de sexe… (L’inscription étant gratuite c’est sans gros risque…)

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Lycéenne Ukrainienne punie en anal

retrouvez moi cet été sur cinq à sept (pseudo LucieBayeul)
18ans, je suis une lycéenne ukrainienne en terminale et je dois passer le grand oral du bac alors que je ne parle presque pas Français. C’est un rêve car en réalité je suis tout ce qu’il y a de plus Française, trentenaire et mariée. Mais comme ce rêve était très réaliste autant te le raconter. Je suis donc une lycéenne nouvellement arrivée en France pour fuir la guerre en Ukraine. Toi, tu es un professeur qui m’a surprise en train de copier sur mon voisin pendant un examen et tu m’as demandé de rester après les cours pour une petite explication éducative. La cloche a sonné et mes camarades de classe ont toute quitté la salle de cours pour la coure de récréation. Ne reste plus que toi, le professeur Mathematiques et moi l’étudiante ukrainienne, ou plutôt la lycéenne ukrainienne puisque je suis en classe de terminale. Tu as pris la grande règle jaune en bois et m’ordonne de monter te rejoindre sur l’estrade. J’ai souliers vernis avec de petits talons qui claquent et résonnent sur le bois poussiéreux de l’estrade. En Ukraine, dans le Dombas d’où je viens j’ai échappé au viol des soldats Russes. Et c’est pour le retrouver ici, jeune fille Ukrainienne sexy à la merci d’un enseignant lubrique. Je me tiens bien droite en face de toi.

-« Face au tableau, les mains sur la tête ! Et baisse les yeux ! »

Je regarde par terre, mes mains aux ongles vernis sur mon chignon tressé. Tu me tourne lentement autour et relève ma jupe avec la règle en bois. Je sens la règle à plat remonter entre mes jambes. La règle est large et quand elle arrive à mi cuisses je suis obligée d’écarter un peu les jambes si je ne veux pas que les collants de nylon soient filés. Tu remontes à plat la règle jusqu’en haut de mes cuisses. Sous mes collants je n’ai rien. La règle en bois est contre mon abricot mais tu continue à la remonter en pressant, ce qui m’oblige a me mettre sur la pointe des pieds. Avec les mains sur la tête je perds l’équilibre et je tombe en avant. Par réflexe je mets les mains en avant pour me retenir sur la tablette en bois sous le tableau noir. Des craies blanches et de couleur volent un peu partout et se brisent en tombant sur l’estrade.

-« Maladroite en plus d’être tricheuse ! »

Tu mets ta mains sur ma nuque pour que je me penche en avant. Tu places un côté de la grosse règle jaune en bois au sol alors que l’autre extrémité appuie entre mes fesses. Je dois me mettre sur la pointe des pieds pour éviter que la règle ne me fasse trop mal. Ma jupe est relevée est tu n’as aucun mal à déchirer mes collants que les coins de la règle avaient dû entamer. Le bruit est caractéristique et surtout suivi de celui non moins caractéristique de la fermeture éclair de ton pantalon. Ce que je sens pressé contre mon anus ne me semble pas du tout être un doigt. Tu enfonces d’un coup sec, pour m’enculer à sec justement. Je crie mais je n’ose pas bouger, la règle est toujours coincée entre le sol et mon abricot. Sur la pointe des pieds j’ai l’impression que mon cul est mille fois plus gros qu’en réalité. Dilaté et plein de ta grosse queue j’ai l’impression que je ne suis plus qu’un anus. Je ne sais même pas si je mouille, ni même si je suis excitée ou juste si j’ai mal. Tu t’enfonces en moi lentement mais à fond à chaque mouvement. Je gémis à chaque fois que tu te ré-enfonces en moi. Après un nombre d’aller-retours que je ne saurais compter la règle fini par tomber au sol et je sens ta mains sous mon ventre qui vient me fouiller la Chatte. C’est là que je réalise que j’étais bien en train de mouiller car t’es doigts  qui glissent dans ma chatte me font un peu oublier combien j’ai mal au cul. Je suis sur le point de jouir et au lieu de gémir je me surprends à suplier : « oh oui, encore, oui, t’arrêtes pas, continue à enculer moi »

C’est là que tu me fais tourner la tête sur le côté…Et que je découvre l’antique grosse caméra VHF posée sur un bureau . Je suis juste dans le champ.

-« Souri à la caméra, on te reconnaît bien, mais t’inquiète c’est de l’analogique…enfin tant que je n’en décide pas autrement… »

-« Non, s’il vous plait, donnez moi cette cassette, je ferai ce que vous voudrez. »

-« Idiote, tu fais déjà ce que je veux. Me dis pas que tu sens pas ma bite dans ton petit cul de salope Ukrainienne ? »

-« Si, je la sens, promis, j’en parlerai à personne… »

-« Non seulement tu vas pas en parler mais si tu veux que cet enregistrement reste analogique et ne se retrouve pas sur les réseaux…alors tu vas devoir revenir dans ce bureau à chaque fois que je te l’ordonnerai… »