Fellation, ma première vraie fois

fellation
entrainement à la fellation

Sur la photo ce n’est pas moi. Mais ça aurait pu, à cette époque. C’est Reylene sur live18ans !

 

 

Coincée à la maison sans espoir de plan cul à court terme il me reste mes doigts, et l’évocation des jours meilleurs. Ainsi je me souvient de ma première vraie fellation. J’entend par vraie fellation la première fois où j’y ai pris plaisir, où j’y ai mis tout mon cœur, cherchant à faire jouir mon amant avec ma bouche et à lui donner le plus de plaisir possible. Cette fois où je me suis promis de devenir la meilleure suceuse de bite possible. Promesse que la routine du mariage et, avouons le, pour un temps l’amour, m’ont fait oublier quelques années.

J’avais dix neuf ans, presque vingt, c’était l’hivers. Je m’en souviens car mon école de commerce avait organisé une semaine de ski à Superbagnères, près de Luchon. A cette époque je sortais avec Frank, un camarade de promo que je considérais comme un Sex Friend mais qui s’attachait un peu trop à mon goût. Bon, avec le recul je pense qu’il était même complètement amoureux. Il s’était arrangé pour qu’il soit admis dans la promo que nous étions ensemble et nous faisions donc chambre commune pour ce séjour. Cela à sa grande satisfaction. Moi j’étais un peu contrariée mais décidais de faire contre mauvaise fortune bon cœur. Je le laissais me baiser les trois premières nuits. Ce n’était pas désagréable, il semblait redécouvrir mon corps à chaque fois. Frank s’appliquait et fourrait sa langue partout. Dans ma chatte bien sûr mais aussi mes oreilles, entre mes doigts de pieds et jusque sous mes bras. Las, cette débauche de préliminaires labiaux était surtout là pour compenser un sexe de modeste taille et une éjaculation à la limite du précoce. Aussi je faisais de mon mieux pour jouir de sa langue experte en pressant son visage contre mon con, enserrant sa tête entre mes cuisses fermes et longilignes d’étudiante dégingandée. Un après midi pourtant, je le trompais. Enfin, le considérant depuis le début comme un Sex Friend je n’avais pas le sentiment de commettre un adultère. Bref, dans l’auberge où nous étions le cuisinier avait notre âge mais, forcément, était d’un autre milieu social que la plupart des petits cons de mon école. J’ai vite vu que l’afflux de jeunes étudiantes dans l’établissement provoquait un autre afflux au niveau de son entrejambe. Même entr’aperçu au moment des repas, le soir, j’avais l’impression qu’il était bien mieux monté que mon Frank et dans les bras de l’un, je fantasmais sur l’autre.

 

Première vraie fellation

Il fut d’une facilité déconcertante de rester un après midi seule à l’auberge et d’amener le jeune homme dans ma chambre. Il m’embrassait, glissant un main calleuse sous mon pull pour masser mes gros seins. Pas violent mais ferme, me plaquant contre la porte de la chambre à peine celle ci refermée. A travers le pantalon de toile je sentais son machin contre ma cuisse. Je voulais moi aussi le caresser mais il tenait mes poignets en l’air au dessus de ma tête en même temps qu’il dévorait ma bouche. C’est lui qui a défait son pantalon pour en sortir le braquemard. Je ne m’étais pas trompée, joliment monté l’animal. Faible de mon expérience avec Frank je m’attendais à ce qu’il perde contrôle et éjacule à tout instant. Mais surtout, j’avais envie comme jamais d’avaler cette fabuleuse colonne de chair et d’en savourer chaque centimètre, chaque veine pour m’en souvenir à tout jamais le mot fellation prenait dans mon esprit enfin tout son sens. J’enlevais mon pull, j’avais prévu le coup et n’avais rien mis dessous bien sûr. Je m’agenouillais défaisais vite ses lacets enlevais chaussures et chaussettes pour le débarrasser vite de son falzar. Je le voulais nu, au moins de la taille aux doigts de pieds. Enfin je prenais sa grosse queue dans mes mains. Je ne savais trop comment la tenir et étais totalement fascinée. J’avais envie de bien faire, d’exceller. Lui, déboutonnait sa chemise sans hâte pour se mettre complètement nu. Singeant maladroitement les scènes de fellation que j’avais vu sur des vidéos porno, je léchais ses couilles en commençant à le branler.

-« Attend, cocotte, viens, on va se mettre à l’aise. »

Cocotte, on ne m’avait jamais appelée ainsi ! Mais je me laissais entrainer sur le lit. Lui sur le dos, les bras derrière la nuque heureux comme un enfant allongé dans l’herbe, le sexe dressé, mât d’un improbable voilier. Moi à genoux, à côté de lui, posant enfin mes lèvres sur son gland décalotté. J’avais toujours ma jupe, un string blanc, et des socquettes mais cela ne semblait pas le gêner. Je sentais sa main ferme et adroite écarter le string pour enfoncer un doigt fort bienvenu. Comme je l’ai dit, j’avais déjà sucé quelques fois. Mais cela avait été rapide, juste pour la forme. Là je goutais le vrai plaisir d’un sexe gonflé entre mes lèvres pour une vraie fellation. Je gardais les deux mains en prolongement en avançant ma bouche. Plus son sexe progressait dans ma bouche plus je me sentais bien, juste heureuse. Maladroitement sans doute mais avec l’enthousiasme et la bonne volonté d’une débutante j’essayais un peu toutes les façons que je pouvais imaginer de le sucer. Par le coté en le branlant avec ma bouche, le léchant ensuite comme un esquimau. Je marquais le haut de ses cuisses de gros suçons et prenais ses couilles en aspirant délicatement. Je tentais une branlette espagnole avec mes seins mais la position ne semblait pas se prêter à la cravate de notaire et j’étais encore trop débutante ou timide pour lui demander de se relever un peu. J’avais pleinement conscience qu’il fouillait toujours ma chatte trempée sous mon string mais cela m’importait peu, j’avais tellement envie de le garder ainsi en bouche que j’en oubliait mon plaisir et ne me souciais aucunement d’avoir un orgasme. Je ne sais pas combien de temps cette fellation a duré. Avec le recul je pense même que ce n’était finalement pas très long. Mais qu’importe, cet après midi là j’avais l’impression d’être la reine des suceuses. Championne du monde, que dis-je, de l’univers ! Prix Nobel de fellation, au moins !

Trop d’hommes me repoussent quand la fellation dure trop longtemps ils ont peur d’éjaculer et comme il veulent absolument montrer qu’ils peuvent me ramoner la chatte ou m’enculer ils oublient de juste profiter d’une bonne pipe sans se poser de question. Mais, heureusement, ce n’était pas son cas. Il recoiffait mes cheveux sur le côté pour mieux voir mon visage en train d’aspirer sa queue, il me laissait aller au rythme que je voulais tout en accompagnant mon va et vient d’une main ferme juste comme il faut sur ma nuque. Surtout il a déchargé son foutre sans prévenir ! Pressant ma nuque un peu plus fort pour éjaculer dans ma bouche. Le goût, légèrement salé ne m’a pas surprise. J’étais juste aux anges, en paix et si contente et reconnaissante qu’il n’ait pas cherché à me baiser la première fois. J’ai continué à sucer lentement jusqu’à ce qu’il débande complètement. Il gardait un doigt dans ma chatte mais ne le bougeait plus. C’était encore le début d’après midi, je me suis blottie contre lui pour une petite sieste. Quand le chahut des autres rentrant de ski nous a réveillé il s’est vite rhabillé sans que j’ai à le lui demander.

J’ai alors pris mon courage à deux mains pour lui parler : »Dis, est-ce que je peux te demander quelque chose ? »

-« Tu ne veux pas que ton petit ami le sache hein ? t’inquiète ! »

-« Ah, non, ça j’en ai rien à fiche. C’est juste… Je voulais te demander si je peux dormir chez toi jusqu’à la fin de la semaine ? »

Ce fut le meilleur séjour de ski que j’ai jamais vécu, même si j’ai plus progressé en fellation qu’en glisse !

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Plan à 3, suite en chambre d’hôtel

Si vous avez raté le début, lisez d’abord la mise en place de ce plan à 3

A peine refermée la porte de la chambre Amandine se colle à moi pour m’embrasser le cou. Je l’aurais repoussée gentiment sans l’intervention élégante de Michel : »Allez y les filles, gouinez vous un peu, ne vous gênez pas pour moi, au contraire, je vais me servir un petit verre en vous regardant. Après tout vous avez une tournée d’avance il me semble. »

Il se dirige vers le minibar comme si tout était parfaitement habituel et naturel. Michel se sert un whisky et s’installe sur le canapé tendis qu’Amandine me pousse sur le grand lit. Sa langue fouille ma bouche et ses mains semblent être partout à la fois. Je ne sais pas si c’est l’effet de l’alcool ou si c’est de savoir que Michel nous regarde mais je me désinhibe enfin et répond à son baiser avec avidité ainsi qu’avec la langue. La bouche d’Amandine me semble minuscule. Sans doute que cette impression est accrue du fait que je n’ai jusqu’alors embrassé que des hommes. Habile elle trouve la fermeture éclair de ma jupe. Elle m’en débarrasse sans décoller sa bouche de la mienne. Sa robe fourreau me donne plus de fil à retordre mais, indulgente, elle guide mes mains vers le bouton du haut que je parviens à défaire sans arrêter de faire tourner ma langue. Pour moi c’est la première fois avec une fille et la sensation de tenir dans mes bras le corps si menu d’Amandine est assez déroutante. Cependant, de voir Michel dans le canapé à côté qui sirote tranquillement son Whisky en nous reluquant m’excite au plus haut point. Le corps d’Amandine ondule contre moi et nous poursuivons notre séance d’effeuillage jusqu’à nous retrouver entièrement nues. Amandine me titille le clitoris et, comme je ne veux pas être en reste j’aventure ma main entre ses cuisses. La sensation est très différente de quand je me caresse. Comparée à la mienne sa chatte me semble incroyablement étroite. Elle mouille bien, je n’ai pas de mal à y enfoncer deux doigts mais ils me semblent bien à l’étroit. J’ai aussi l’impression d’être aspirée et que sa chatte me suce littéralement les doigts. Je pense d’ailleurs que ce n’est pas une impression. Cette jeune asiatique semble parfaitement maitriser des muscles dont je ne soupçonnais même pas l’existence. De son côté Michel a sorti son braquemard de son pantalon et fini son verre cul sec.

« Hé les filles, faudrait pas m’oublier non plus ! » nous lance-t-il depuis le canapé.

Il ne faut pas me le dire deux fois, je m’écarte un peu d’Amandine et me dirige lentement à quatre pattes vers le canapé. La chambre est assez grande ce qui me laisse le temps de soigner ma démarche de chienne soumise. Amusée, Amandine me suit mais en avançant sur les genoux langue pendante et coudes repliés adoptant la position d’un animal bien dressé qui ferait le beau pour avoir une friandise. Je débarrasse Michel de son pantalon tendis qu’Amandine s’occupe d’ôter mocassins et chaussettes en fil d’écosse de notre troisième homme. Le plan à 3 va enfin pouvoir vraiment commencer.

Michel est aux anges, cela se voit. Mais il se comporte exactement comme je l’espérais : tout en contrôle sans se laisser dépasser par l’aubaine que constitue ce plan à 3 d’enfer.

« Hum, vous êtes vraiment deux bonnes petites chiennes bien dressées ! » nous flatte-t-il en nous caressant les cheveux alors que nous remontons lentement le long de ces jambes aussi poilues que nos chattes sont lisses et imberbes. Alors qu’Amandine commençait à le branler et approchait sa fine bouche du gland décalotté je la retenais et lui glissais à l’oreille : »Attends, rien ne presse, faisons le attendre un peu si tu veux. »

Fine mouche elle comprend instantanément où je veux en venir et se contente de petits bisous en haut des cuisses et à la base de la verge sans chercher à le sucer tout de suite. Cela me laisse le temps de déboutonner sa chemise en partant du bas, léchant son ventre puis son torse velu au fur et à mesure de ma lente progression vers son cou. Michel ne parle plus, il savoure l’instant caressant toujours nos tête comme si nous étions ses deux animaux domestiques. Il est parfait et, chose rare, j’ai envie de l’embrasser langoureusement comme un vrai amoureux. Je ne me gêne pas et il a l’air d’aimer car je sens ses deux mains maintenant dans mes cheveux. Amandine s’est frayé un chemin jusqu’à ma chatte pour me lécher copieusement. Sa fine langue nerveuse me fait tressaillir de plaisir et j’en gémi dans la bouche de notre amant. La langue d’Amandine fait merveille mais j’ai envie d’en donner plus à Michel. Après tout il s’agit d’un plan à 3, pas d’un plan gazon maudit. Je m’écarte doucement de la tête d’Amandine pour m’agenouiller au pied du canapé. J’ai besoin de reprendre un peu mes marque et de me retrouver en terrain connu. Pour cela rien de tel qu’une bonne vieille pipe des familles. La queue de Michel est dure et longue, bien au garde à vous et me voilà prise d’une irrésistible envie de sucer cette pine merveilleuse. Amandine a suivi le mouvement et nos bouches se retrouvent de part et d’autre de la colonne de chair turgescente. Nous jouons à aller et venir latéralement, nous embrassant à moitié partageant la queue de notre amant comme si nous sucions le même esquimau glacé.

-« Je prends les olives et toi la saucisse ? » me dit alors Amandine avec toujours cet accent forcé que je trouve un peu ridicule mais qui ne semble pas gêner Michel, bien au contraire. Il lève un peu de bassin pour se mettre plus à l’aise et passe une main sur ma hanche pour m’inciter à monter sur le canapé. Je m’exécute. Agenouillée en travers je suis effectivement en meilleur position pour gouter sa belle saucisse. Je peux vous assurer que c’est plus proche de la saucisse de Toulouse que de la Chipolata niveau diamètre ! Quel délice de sentir sa main ferme entre mes fesse au moment ou je le prend en bouche. Après la délicatesse du cunnilingus d’Amandine ses doigts fermes et inquisiteur pénétrant ma chatte me font l’effet d’une intrusion intensément excitante. Je serre bien les lèvres autour de son chibre et tends du mieux que je peux mon cul pour qu’il y introduise aussi le pouce. J’ai une vue de premier choix sur le visage d’Amandine qui entreprend d’aspirer délicatement une couille. toujours par terre elle se caresse elle même d’une main que je sais maintenant experte. Nous prenons notre temps dans cette configuration. Les vas et viens divers sont répétitifs et j’aimerais transcrire la longue durée de cette double fellation dans mon texte. Imaginez donc ma chatte trempée limée par votre majeur tendis que du pouce vous pressez contre mon anus qui petit à petit se détend. Voyez ma bouche qui englouti lentement votre verge. Vos couilles elles sont léchée puis aspirées par la bouche d’une belle chinoise toute menue qui se touche agenouillée sur l’épaisse moquette de la chambre d’hôtel. C’est tellement bon, parfait, enfin presque car vous avez envie d’un second Whisky.

-« Amandine, sois une bonne fille, ressers moi un verre ! »

Amandine interrompt son suçage de couilles et, docile, vérifie le contenu du minibar.

-« Lucie, tu veux un verre aussi ? Il reste un Whisky pour Michel et une Vodka ou un Gin. »

-« Hummf, non ça va pour moi, j’ai ce qu’il… hummmfff… faut… miummff… en bouche. »

Surtout j’ai envie de ne pas ajouter trop d’alcool aux deux Mojitos et de bien continuer à profiter de chaque instant de ce plan à 3 de folie !

Amandine remplie à nouveau votre verre de Whisky et vous le place dans la main. Elle s’est servi une vodka, en prend une gorgée qu’elle n’avale pas. Elle reprend vos couilles en bouche en prenant soin de ne pas perdre l’alcool. J’imagine que ça pique et chauffe un peu car votre main se crispe un peu sur mon cul. Mais vous portez votre verre à votre bouche pour tenir le coup.

Amandine m’embrasse à nouveau pour me transmettre une gorgée de Vodka. J’aurais voulu la garder aussi en bouche mais la tentation d’avaler est trop forte. Je profite de cet alcool fort. Une petite voix de publicité me susurre que l’abus d’alcool est dangereux et gnagnagna. Je me contrarie de cette pensée incongrue qui me déconcentre de ce moment divin. Alors je me remet à l’ouvrage pour encore sucer avec application. Je ne sais s’il reste suffisamment d’alcool sous mon palais pour que votre bite en soit chauffée. En tous cas votre majeur reprend son travail au fond de ma chatte. L’index bientôt le rejoint.

Putain ce que je me sens bien ainsi. J’ai l’impression que nous nous connaissons tous les trois depuis toujours et que nous sommes exactement en phase. Personne ne se presse. Je suce tranquillement, des fois je laisse un peu votre queue de côté pour embrasser vos cuisses ou votre ventre. Votre pouce entre et sort maintenant sans peine de mon anus et Amandine qui lèche toujours vos couille a joint sa main à la votre pour s’occuper de ma chatte. J’aimerais que ce moment dure des heures. Et, si ce n’est des heures en tout cas il dure longtemps et s’étire alors que la lumière du soir laisse place à la nuit dans notre chambre à la fenêtre ouverte sur la rue quelques étages plus bas. Il fait lourd en cette dernière semaine d’aout même en Bretagne.

Hélas toutes les bonnes choses ont une fin. Heureusement parfois elles sont suivies de choses encore meilleures ! Michel n’a pas encore joui mais il semble au bord de la rupture et n’a pas envie que les festivités déjà finissent. Comme il fait très lourd il propose une douche collective mais froide. L’idée nous enchante comme des enfants et nous voilà tous les trois sous la douche italienne à nous arroser joyeusement tout en nous caressant très tendrement mais en prenant soin que cela reste aussi chaste que possible. L’idée est de refroidir un peu nos ardeurs de hardeurs pour entamer la seconde mi temps dans les meilleures conditions possibles. Tous les échantillons de champoing et gel douche de la chambre y passent. Chacun savonne chacune. Je suis toute glissante et Amandine sent l’amande amère. Bien vite, trop vite, le désir animal reprend le dessus et nous voilà nous frottant l’entrecuisse sur vos jambes. Vous embrassez à pleine bouche mes beaux seins mais avez la présence d’esprit de régler le jet sur froid pour gagner un peu de ce temps que nous savons tous trois immensément précieux. Frais et propres comme des sous neufs nous nous séchons avec les grandes serviettes immaculées de l’hôtel. Amandine m’attire hors de la salle de bain pour me coucher sur le lit. Je suis sur le dos, elle aussi mais en équilibre sur mon ventre fraiche comme une jeune lavandière encore pucelle. Ces petites fesses contre ma vulve elle me semble peser moins qu’un oiseau tellement elle est petite et menue. C’est une autre histoire lorsque Michel et ses quatre vingt kilos s’allongent sur elle pour la prendre en sandwich entre nous. Heureusement le lit est moelleux et je m’y enfonce alors que lui s’enfonce dans la chatte d’Amandine qui laisse échapper un petit cri de douleur. J’ai un peu de mal à imaginer que la grosse queue que j’ai eu en bouche soit rentrée aussi facilement dans la minette si étroite d’Amandine. Mais passée la première douleur elle cri des ouiiiiii et des han han qui ne laisse pas vraiment de doutes sur le plaisir qu’elle prend. A chaque coup de butoir son cul pilonne mon vagin et la fraicheur de la douche me semble déjà un lointain souvenir. Mais il m’en faut quand même plus et je ne fini par réclamer un peu de mon du moi aussi : »Oh, il ne faudrait pas m’oublier hein !? »

-« T’inquiètes, ce soir il va y avoir de la bite à tous les étages ! » et, pour mon plus grand plaisir il joint le geste à la parole, trouvant enfin le chemin de mon sexe humide et, je le regrette un peu, plus vaste.

-« Ouiiii, j’adore ta bite, elle est bien grosse comme il faut ! » Je n’ai pas besoin de me forcer tellement ce que je dit est sincère. A défaut de venir du cœur je peux vous assurer que cela vient au moins du bas ventre. « Vas-y, encore, pilonne moi bien c’est trop bon » Le corps chaud d’Amandine entre nous restreint un peu mes mouvement et je dois dépenser deux fois plus d’énergie pour venir à sa rencontre à chaque coup de rein. A ce rythme je me retrouve trempée autant de mouille que de sueur. Mais comme maintenant c’est Amandine qui réclame il sort de ma chatte pour changer d’étage.

-« Allez, retour au premier étage, hummm, c’est toujours aussi étroit ici dites donc ! »

Difficile de traduire en onomatopée le cri que pousse Amandine tant cela tient à la fois du hululement de chouette que du couinement de truie que l’on égorge. En tout cas elle monte dans les aigus et se débat tout en articulant une suite sans logique de non, oui, non, non, han oui. Un peu vicieuse j’ai mis mes jambe entre les siennes et les maintient bien écartées pour faciliter la tâche de notre doux tortionnaire. Amandine s’agrippe à mes fesses et y enfonce ses ongles french manucurés. C’est un peu douloureux mais dans le feu de l’action j’apprécie beaucoup et je tiens le coup, la maintenant bien écartée et offerte à mon amant. Il la tringle maintenant sans ménagement mais elle ne s’en plain plus et ses gémissements ont maintenant nettement le son du plaisir qui monte. Elle hurle carrément en jouissant. Je pense à la fenêtre ouverte sur la rue passante. Même si on est au troisième étage j’imagine que nous ne passons pas inaperçus. Enfin il ne doit pas être plus de vingt deux heure trente, peut-être vingt trois. l’heure n’est pas déraisonnable.

Michel repousse Amandine sur le côté. Je constate avec envie qu’il semble encore plein de vigueur.

-« Dis donc, Lucie chérie, tu n’as pas été très sympa avec ta copine dit moi ! »

-« Heu, je l’ai tenue pour toi. »

-« Moui, n’empêche ce n’était pas très fair play. Ca mérite une petite punition ! Allez on se retourne vite fait ! »

Il me retourne et je me retrouve sur le ventre. Et le salaud ne me laisse pas le temps de réfléchir. Il me donne la fessée directement du plat de la main sans ménagement. Aie, ce n’était pas au programme ça ! Mais bon, pour être tout à fait honnête ce n’est absolument pas pour me déplaire.

-« Allez, Lucie, tu vas bien te faire pardonner ! »

Amandine prend place juste contre mon visage pour un cunnilingus forcé. Michel me fesse à nouveau.

-« Allez, je veux que tu la fasses jouir pour te faire pardonner. Si tu es bien sage alors tu auras une récompense, t’inquiète pas, je ne serai pas ingrat. » Il passe doucement un doigt sur ma chatte encore bien humide et ouverte.

Timidement je sors ma langue et m’exécute. La sensation est étrange, le goût ni bon ni mauvais. Mais les coups qui reprennent sur mes fesses et cette situation de contrainte m’excitent en réalité à mort et je lèche Amandine du mieux que je peux pour satisfaire mon maître. Amandine prend ma tête à deux main et presse mon visage sur sa jolie chatte intégralement rasée. Je sens la grosse queue dure se presser contre mon anus déjà distendu. La sodomie vient naturellement sans forcer. J’en hurlerai de plaisir si je n’avais la bouche enfuie entre une paire de cuisses fines mais musclées. Je suis complètement en nage. Amandine repousse enfin ma tête et se glisse sous moi au fur et à mesure des coups de butoir qui pilonne mon cul rougi par la fessée. C’est un plan à 3 mais j’ai l’impression qu’ils sont une douzaine à m’enculer à tour de rôle. Je perds totalement le contrôle. Amandine est maintenant sous moi, sa chatte frotte la mienne et je continue d’en prendre plein le cul. Je crois que je crie mais comme on a tous les trois largement lâché les décibels je ne distingue plus vraiment ma voix des couinements d’Amandine ni des grognement de Michel. Finalement il sort de moi brutalement, me repousse violement sur le côté et s’enfonce à nouveau dans le sexe étroit d’Amandine. Elle crie, serre les jambes derrière son dos pour le maintenir à fond en elle mais il se dégage pour pouvoir la pilonner à nouveau. Il finit pas se retirer, enlever son préservatif pour éjaculer sur son ventre bronzé. Je me jette littéralement sur elle pour coller mon ventre au sien et étaler le sperme entre nous. Fin du second round, nous sommes exténués, je dirais même complètement hébétés. A ce jour je dirais que je viens de vivre de loin le meilleur plan cul de ma vie.

Nous dormons quelques heures. Je me réveille vers quatre heure et prend une douche seule puis me recouche contre Michel qui, fort heureusement ne ronfle pas. J’ai vaguement conscience d’Amandine qui se lève un peu après moi et file elle aussi à la douche. Lorsque nous émergeons vers 8h il n’y a aucune gêne entre nous. Nous échangeons de langoureux baisers avec un peu toutes les combinaisons. Nous décidons de nous doucher à trois. Bien sûr je suce consciencieusement Michel. J’adore cette pipe du matin sous la douche. Amandine ne participe pas mais cela n’a aucune importance. Il n’y a plus de serviettes sèches et nous arrachons les draps pour nous sécher. Chacun retrouve ses habits et nous quittons la chambre pour la salle de petit déjeuner. Au moment de nous quitter comme de vieux amis Michel clos notre plan à 3 de cette phrase unique que n’aurait pas renié Valérie Trierweiler : « Tchao les filles, et merci pour ce moment ! »

Plan a 3, j’ai testé deux filles et un mec

plan a 3, mon ilustration un peu cracra
Me suis pas foulée pour l’image…je suis certaine que vous savez trouver mieux que moi des images de plan a 3 sur le net !

Très franchement je ne pense pas être bi. Chers amis hommes et ce que vous avez entre les jambes, je vous aime trop pour avoir envie d’une fille. Mais bon, à force de recevoir des commentaires sur le blog qui me demandent si un plan a 3 (je sais, il faut un accent sur le a à plan a 3. Mais Google préfère sans…Pardon donc aux puristes de la langue pour cette faute volontaire) me tenterait, à force de voir des profils de fille bi hyper chaudes je vous confesse que mes fesses se sont, à mon corps défendant, laissées tenter. En cette fin de mois d’aout qui, vacances familiales obligent, a été tout sauf torride, me voilà donc en quête d’un plan a 3. A peine mon profil réactualisé sur Yes Messenger je recevais trois demandes de couples en Bretagne pour un plan a 3, ma destination de cette semaine de rentrée. Deux me semblaient trop âgés à mon goût et surtout la femme ne me plaisait pas du tout. C’est marrant, quand je regarde un homme le physique ne m’importe pas tant que cela et j’arrive toujours à trouver quelque chose de sexy et attirant. Par contre pour que j’ai ne serait-ce qu’un début d’intérêt pour une fille il faut qu’elle soit vraiment très « bandante », si je puis m’exprimer ainsi en tant que nana. J’écartais aussi finalement le troisième couple dont la femme, jeune et blonde, était pourtant un vrai canon. Je me sentais mal à l’aise pour cette première expérience de plan a 3 d’être la pièce rapportée dans un couple complice. Je me suis alors aperçue que j’aime être celle qui organise le plan cul, à deux comme à trois.

A la recherche du plan a 3

Pour le mec ce fut facile, je décidais, une fois n’est pas coutume, de recontacter un ancien plan cul de Brest qui m’avait littéralement épuisée. Cela me semblait une bonne idée de ne pas laisser trop de place au hasard et je me disais que si nous étions deux nanas sur un mec il en fallait quand même un qui assure.

Michel semblait aussi surpris que ravi que je réapparaisse dans sa vie mais il m’avouait n’avoir pas de copine à qui proposer l’expérience. Enfin, il allait voir ce qu’il pouvait faire mais ne voulait surtout pas que cela empêche freine nos retrouvailles, même uniquement à deux. Bon, cela m’arrangeait pas du tout. Déjà que je ne revois jamais un ancien plan cul, je n’avais pas envie que cette exception à ma sacrosainte règle du « un coup, un soir et basta, ciao baby » soit faite en vain.

Je gardais mon Michel sous le coude et me mettais donc moi même en quête d’une troisième larone sur Asiat Messenger. J’ai toujours eu un petit fantasme Geisha. Et là, grosse galère ! Je me doutais que trouver une fille coquine sur internet n’était pas aussi facile que veulent le faire croire les sites de rencontre à plan cul a 3 ou simplement à 2. Mais je n’en avais jamais réellement fait l’expérience. Je trouvais des filles bien coquines en Bretagne qui me semblaient correspondre mais peu répondaient et je soupçonnais des faux profils. Celles qui me répondaient voulaient soit une relation strictement homosexuelle, soit me prenaient pour un mec. Surtout dès qu’une fille actualisait son profil il y avait trois mecs qui lui tombaient dessus et la choppaient avant moi. Sans parler de toutes celles qui recherchaient un plan sexe contre cadeau…Genre pute qui ne s’assume pas. Je n’ai rien contre. Chacune et chacun fait ce qu’il peut. Mais ce n’était pas ce dont j’avais envie. Cependant, ma persévérance et, hélas, quelques dizaines d’euros d’inscription premium finirent par payer. Amandine, vingt quatre ans, finissait un job d’été de serveuse maquillé en stage pour valider son année d’échange universitaire Franco-Chinois. Elle m’écrivait avoir découvert le cul en arrivant en France trois ans plus tôt et disait vouloir profiter à fond avant de repartir chez elle. Je soupçonnais un gros bobard mais, faute de plan plus sérieux lui donnait rendez vous, ainsi qu’à Michel, au bar de mon hôtel pour le mardi suivant. Je proposais vingt deux heures et recommandait à chacun de prendre des sucres lents car la nuit s’annonçait sportive !

Mise en place du plan a 3

Amandine arrivait la première. Je la reconnu tout de suite à son entrée dans le bar. Encore plus sexy que sur son selfy de profil. Petite malgré les talons aiguilles sur lesquels elle était perchée, Amandine est toute mince avec un visage de poupée chinoise et un brushing impeccable. Sa bouche est juste pulpeuse comme il faut et, n’eut été des seins très petit, on aurait pu la prendre pour un sosie de l’actrice porno Kobé Thaï dans sa robe courte et moulante. Très naturelle elle vient directement vers moi et me claque un smack sans que me laisser le temps de dire un mot. Je reste surprise. Ce n’est pas désagréable mais pas franchement excitant non plus pour moi. Décidément je crois que je suis définitivement hétérosexuelle. C’est elle qui entame la conversation : « Alors c’est ton premier plan a 3 il parait ? »

-« He oui, et te vexe pas car tu es vraiment sexy mais je ne suis même pas certaine d’en avoir vraiment envie. »

-« Ah ?! Eh bien on verra. En tous cas tu es très jolie. J’espère que Michel est comme sur les photos. »

-« Oui, je le connais et je peux te dire que tu ne seras pas déçue si tu aimes les étalons endurants ! »

-« Hum, miam, bon mais sinon on boit quoi ? »

-« Mojito ? »

-« Ok, alors va pour deux Mojitos ! »

Je fais signe au Barman et commande deux Mojitos en précisant bien tassés car j’ai le sentiment que je vais avoir cette fois besoin d’un peu d’alcool pour me désinhiber. Nous discutons de tout et de rien, elle n’arrête pas de me complimenter sur mes seins, ma tenue que je trouve pourtant banale et elle ne manque pas une occasion de me toucher la main ou d’effleurer mon mollet de la pointe de son escarpin.

Heureusement Michel arrive avant que ma gêne ne devienne trop flagrante.

-« Wahou, les filles, vous êtes ravissantes ! »

Plus que le compliment c’est son regard appréciateur et concupiscant qui me remontaient instantanément la libido. Je remarquais tout de suite qu’il matait nos jambes et que l’escarpin à talon haut d’Amandine frôlant mes bas nylon ne lui avait pas échappé. Du coup ce contact qui m’effrayait quelques secondes avant prenait un intérêt nouveau et je sentais ma température monter instantanément.

-« Michel, je te présente Amandine, Amandine, Michel. »

-« Enchantée vous connaître » lâchait Amandine avec soudain cette faute de Français et un accent asiatique qu’elle n’avait pas trente secondes auparavant. En même temps elle pressait son escarpin sur mon mollet et me lançait un bref regard complice.

-« Mais tout le plaisir est pour moi…Enfin si je puis dire » répondait Michel du tac au tac.

-« Lucie est une vraie coquine, je pensais qu’elle ne me recontacterai jamais et voilà qu’elle me donne rendez vous accompagnée d’une pure beauté Asiatique pour un plan a 3 ! »

Nous échangions quelques bises comme des amis qui se retrouvent. L’occasion pour Michel d’attarder sa main sur nos hanches et pour moi de sortir la pointe de ma langue au moment de lui baiser la joue.

-« Tu prends un Mojito ? Ce soir c’est moi qui régale ! » Proposais-je.

-« Oui mais seulement si vous en reprenez un. Et puis vite fait car j’ai bien envie qu’on se retrouve vite juste tous les trois pour faire connaissance de manière plus approfondie ! »

C’est cela que j’aime chez Michel, toujours direct sans être grossier. Et une vraie bonne humeur communicative. J’étais ravie de l’avoir choisi pour mon premier plan a 3 et j’avais soudain hâte qu’arrive la seconde et dernière tournée de Mojitii (j’aime croire que c’est un pluriel Italien) pour enfin passer aux choses sérieuses.

Apparemment mes deux Acolytes alcooliques étaient du même avis que moi. A peine les grands verres arrivés le « slurp » que faisaient nos pailles indiquait que nos verres étaient vides.

Je notais le numéro de ma chambre sur la note et signais. Amandine et moi quittions le bar encadrant Michel bras dessus bras dessous sous les regards Ahuris d’un groupe de trois types deux tables basses plus loin. J’avais repéré du coin de l’œil leur mines déconfites à l’arrivée de Michel ! Je glissais à l’oreille de Michel : »Tu crois qu’eux aussi ils vont se faire un plan a 3 ? »

Il me répondait goguenard : »Wouai, un plan a 3 à la Broke back Mountain ! »

Comme je suis une petite salope vénale je vous annonce que la suite de mon plan a 3 est déjà écrite sur mon e_book.
Mais que ceux d’entre vous qui sont un peu pingres ou désargentés se rassurent, ce qui s’est passé en chambre pour ce plan a 3 sera publiée quand cet article aura atteint les 50 partages (ou like) sur FaceBook !

Autostoppeuse sexy, mes conseils

Mon expérience d’autostoppeuse sexy.

Il ne faut pas croire que je sois uniquement une Geek abonnée aux plans culs sur internet comme je le raconte dans d’autres articles. Bien-sûr, comme beaucoup de femmes mariées, j’apprécie la facilité d’une rencontre adultère sans risque et sans lendemain sur internet. Mais je sais aussi me débrouiller avec un plan cul old school sans aucune aide numérique. Une des techniques de drague que je commence à bien maitriser est ce que j’appellerais le plan autostoppeuse sexy. Je n’ai pas la prétention de dire que c’est moi qui ai inventé cette technique de l’autostoppeuse sexy mais je pense être la première à avoir théorisé un peu cela tant pour l’autostoppeuse sexy (qui veut se faire enculer sur la banquette arrière) que pour le chauffeur (qui aimerait se faire sucer en conduisant). Tout d’abord, lorsque je suis loin de chez moi en semaine, je repère une zone de bureaux un peu excentrée ou un site industriel, si possible High-tech. L’idée est de me faire prendre en autostop par un cadre en fin de journée et de voir si j’arrive à l’allumer avant d’arriver à destination. La destination est toujours la gare d’une grande ville proche ou un aéroport s’il y en a un. Cela permet à l’autostoppeuse sexy que je joue de justifier d’une destination plus lointaine ensuite mais surtout de chopper un taxi pour récupérer ma voiture que j’ai laissée à mon point de départ. Car bien sûr je suis une fausse autostoppeuse sexy ! Mais revenons en au commencement. Le cliché de l’autostoppeuse sexy voudrait que j’ai une mini jupe ras la touffe. Mais faire de l’autostop en mini jupe est surtout le meilleur moyen de se faire prendre pour une prostituée en racolage et de rameuter la marée chaussée. Très peu pour moi ! J’étais donc ce jour là sagement vêtue d’un tailleur gris perle un peu strict mais près du corps. Une veste assortie sur un chemisier crème, les cheveux coiffés en chignon, une paire de lunettes à la monture aussi fine que les talons aiguille enfilés sur une paire de vrais bas couture made in France faisaient de moi la parfaite assistante de direction un peu perdue au bord de la route. Pour tout bagage mon petit sac à main et un porte documents en cuir noir dans lequel je pouvais mettre le nez à l’approche d’une voiture trop minable ou occupée par une femme. Mais je n’en eu pas besoin ce jour là car la première caisse qui sortait du rond point était la bonne : une BMW série 5 grise qui semblait neuve conduite par un homme seul. Le manque d’entrain à accélérer en sortie de rond point m’indiquait qu’il m’avait repérée devait chercher à voir si j’étais aussi bandante qu’il se l’était imaginé de loin. Je m’arrange en général pour me placer une cinquantaine de mètres après un rond point ou une sortie d’usine pour pouvoir observer les véhicules avant de décider si je lève le pouce ou si je laisse passer. En général il y a un arrêt de bus idéalement placé qui permet de laisser croire que je ne suis pas une autostoppeuse sexy mais juste une fille qui attend un transport en commun quand je ne lève pas le pouce. Cela permet aussi au conducteur de mieux évaluer ma silhouette. La bonne technique est de ne pas lever le pouce trop tôt mais plutôt d’attendre le dernier moment. Ainsi, quasi immanquablement, la surprise déclenche un réflexe de prédateur chez le conducteur qui ne manque pas de s’arrêter pour l’autostoppeuse sexy inespérée qui s’offre à lui. Tendre le pouce trop tôt, comme je le faisais les premières fois, a deux inconvénients. Tout d’abord vous ne pouvez prendre le temps de vérifier que le conducteur n’est pas une conductrice. Ensuite cela laisse plus de temps pour réfléchir à votre proie et diminue vos chances d’un arrêt réflexe.

Cette fois donc, la BMW pilait juste comme je l’espérais. J’imaginais instantanément l’effet accélérateur que cela devait avoir sur le rythme cardiaque de l’heureux conducteur. Je trottinais une dizaine de mètres en talons aiguille jusqu’à la fenêtre passager déjà ouverte. Je m’y penchais suffisamment pour laisser regretter que le dernier bouton de mon chemisier soit fermé : « Bonjour, vous allez sur Blagnac ? ou à défaut Toulouse ? je dois rejoindre l’aéroport. »

-« Je vais à Ramonville mais je cela vous approche déjà bien et le métro est assez direct vers l’aéroport ensuite il me semble. »

Cela m’approchait d’une bonne dizaine de kilomètres en effet mais surprise que le type ne me réponde pas direct que c’était, comme par hasard, sa destination, je mettais quelques secondes avant de répondre. Son regard qui semblait chercher à percer le tissu de mon chemisier me laissait penser que j’avais cependant tiré le bon numéro. Je pense que si j’avais eu des dons de télépathie j’aurais pu entendre sa prière muette : »putain, faites qu’elle monte, mon dieu faite que l’autostoppeuse sexy monte ! »

(bon pour me lire sans pub il y a l’e_book… )

A peine installée je décidais de laisser un peu monter le suspense et posais à plat le porte documents sur mes genoux en regardant bien droit devant moi. Ma technique est de laisser au conducteur l’initiative des premiers mots. Ces derniers ne tardèrent d’ailleurs pas à arriver : »Vous travaillez dans le coin ? »

« Pas vraiment, j’accompagnais mon boss aujourd’hui et il devait finalement rester un jour de plus. Moi je dois prendre un avion ce soir si possible pour rentrer sur Lyon. »

« Et il ne vous a pas appelé un taxi ? »

« Heu, c’est pas vraiment son genre d’avoir ce type d’attentions et je suis encore en période d’essais. Je ne me le sens pas de présenter une notes de taxi à trois chiffres… »

« Enfin, quand même, il n’est pas très gentleman je trouve. »

« Heureusement que je suis tombée sur vous en tous cas ! » Là je lui touchais le bras.

J’ai pu constater qu’il ne fallait pas trop laisser passer l’occasion d’un premier contact physique rapide. Mais je retirais prestement ma main car je ne voulais pas non plus qu’il me prenne pour une pute. Même pour moi, le jeu est moins évident qu’il n’y parait. Je me fais peu de doute sur le fait que le conducteur ait envie de moi. Cela est en général acquis. Mais ça ne veut pas dire qu’il va sauter le pas. Il peut être marié, fidèle, ou tout simplement méfiant et sceptique devant la chance qui s’offre à lui. Amener certaines personnes à comprendre qu’elles viennent juste d’avoir un coup de chance et qu’il se présente à eux une occasion rare n’est pas si simple. Ce n’est pas comme pour un plan cul internet où tout est joué d’avance. Et c’est tout l’intérêt de la chose. Là il faut jouer le plus fin possible. Encourager les initiatives de l’autre sans pour autant éveiller des soupçons qui, même s’ils sont infondés, peuvent juste casser l’ambiance.

« Au fait, je m’appelle Lucie. »

« Sebastien. »

« Enchantée, Sébastien. Merci encore de vous être arrêté pour moi. Même si vous n’allez pas jusqu’à Blagnac cela m’aide déjà bien. »

Là il ne répond pas. Il faut à tout prix éviter de trop laisser la gêne et le silence s’installer. Sinon c’est fichu aussi surement que si je tente une approche trop directe.

« Ce serait vraiment bien si j’arrivais à Lyon pas trop tard, sinon cela risque de me couter une fortune en baby-sitter ! »

« Ah, vous avez des enfants ? »

« Juste une petite Lydia de 4 ans. Et le Papa est parti vers d’autres aventures depuis huit mois ! »

« Votre mari travaille off shore ou à l’étranger ? »

Bon, c’est bien ma veine, je suis tombée sur un lent de la comprenette !

« Bin non, il m’a quittée pour une pouffe qui devait mieux su…Heu, oups, pardon…pour une autre. Mais vous pouvez me dire tu sinon ! »

« D’accord, si tu arrêtes de me vouvoyer aussi, je vais avoir l’impression d’être un ancêtre sinon ! »

« Ah, ok, excuse moi, je ne voulais pas suggérer que vous, enfin tu, étais plus…heu… enfin, disons plus mûr. Franchement, je vous, enfin je te trouve, char…heu, qu’est-ce que je dis, enfin je veux dire bien. Heu, enfin, très bien même. Enfin heu…je crois…Enfin bon, en tout bien tout honneur je veux dire…Heu Pardon, je ne sais plus ce que je dis. »

« Ne t’excuse pas, pas de souci ! » m’interrompait-il en riant.

Bon, là je sentais qu’il fallait passer à la vitesse supérieure, sinon le trajet allait se transformer en une aimable promenade en voiture sans plus d’intérêt qu’une conversation légère où il me demanderait peut être mon 06 en fin de parcours. Absolument le type de loose que je voulais éviter. Je prenais un air inquiet et lui demandais : »Combien de temps il faut d’après toi pour rallier l’aéroport depuis la station de métro de Ramonville ? »

« Je ne sais pas, en voiture je sais que ça va vite mais en métro je n’en sais rien. Je n’ai jamais essayé. »

« Ah… » Je poussais un soupir qu’il pouvait interpréter comme de la déception ou un effet de la chaleur et je défaisais le bouton du haut de mon chemisier. Je croisais et décroisais mes jambes sous le porte documents en cuir noir.

Il restait silencieux mais je voyais les regards furtifs qu’il lançais vers mes jambes à chaque fois que je les déplaçais légèrement. Il faut dire que les vrai bas nylon couture ça crisse un peu…Je pinçais les lèvres et m’efforçais de prendre un air préoccupé derrière mes lunettes.

« Tu as l’air inquiète. Allez, je suis sûr qu’avec un peu de chance tu auras un métro tout de suite. Il est à quelle heure ton vol ? »

« 19h00. C’est dans une heure. Je suis sûre que je vais le rater…Merde ! Enfin heu pardon, zut ! » Je pose le porte documents à mes pieds pour lui libérer la vue sur mes longues jambes.

« Aie, c’est vrai qu’en Métro ça risque d’être un peu juste. C’est sûr en voiture tu y serais même avec de l’avance… »

Yes ! il ne propose pas spontanément de me dépanner. Il a flairé le bon coup dont il pouvait peut être profiter, c’est presque sûr !

Moi : »Je vais le rater, je vais le rater, c’est sûr. » Surtout ne pas y aller trop vite, ne pas dire tout de suite à quoi je suis prête pour qu’il m’amène en voiture. Juste recroiser et décroiser les jambes.

Lui : »Mais non, allez, je suis sûr que tu es une chanceuse. Souvent le vol a du retard aussi. »

Voilà, là retenter un contact physique un peu plus prolongé de ma main sur son bras : » Tu es sympa, c’est gentil d’essayer de me rassurer mais je suis sûre que je vais le rater. En plus mon billet n’est pas modifiable. Qu’est-ce que je donnerais pas pour avoir mon vol ! »

Bon, sans doute un peu tôt mais il fallait tenter.

Lui, fine mouche : »Ah oui, en fait qu’est ce que tu ne donnerais pas pour y être en voiture ? »

Regard appuyé sur mes jambes. C’est presque trop facile. Incroyable comme un gentleman peut se transformer en rustre de la pire espèce en quelques minutes. Mais après tout la situation m’excitait et j’étais à fond dans mon personnage.

Il ajoute sadique : »Courage, la prochaine sortie c’est Ramonville, en te dépêchant tu as peut être encore une chance. » Et là c’est lui qui pose une main timide sur ma cuisse. Qu’il retire presque aussitôt en ajoutant : »Enfin, c’est sûr qu’en voiture ça serait plus rapide… »

Je reprends sa main pour la reposer sur ma cuisse : »S’il te plait, tu peux m’amener à l’aéroport ? »

« Bin, heu, c’est sûr j’aimerais passer un peu plus de temps avec toi (il presse un peu plus sa main sur ma cuisse). Mais je ne sais pas. Ca me fait quand même un gros gros détour… »

Moi : »Faut vraiment que j’ai mon vol. S’il te plait, allez, soit sympa. Je suis vraiment prête à tout pour l’avoir. » J’écarte légèrement les jambes et défait le second bouton de mon chemisier.

Lui soupire comme s’il consentait un effort surhumain : »Bon, ok, ok, si tu es gentille je veux bien te dépanner. Mais faut être très gentille… » sa main droite reste sur ma cuisse et de la gauche il déboutonne son pantalon en tenant le cap avec d’un genoux habillement coincé sous le volant.

Je fais celle qui ne comprends pas. Je continue à regarder droit devant moi mais le laisse juste remonter mon tailleur pour constater que je porte bien des bas et pas des collants.

Comme on arrive à la sortie Ramonville il clignote pour prendre la bretelle d’accès.

Moi, feignant la panique : »Mais tu viens de me dire que tu m’emmenais à l’aéroport, non !? »

Lui : » J’ai dit si tu es TRES gentille… » Il me désigne son entrejambe du regard et commence à s’engager à droite.

Moi : » Ok, ok, tu as gagné ! » Je me penche enfin sur lui.

Son sexe jaillit quasiment dès que je baisse le caleçon. Je m’applique à être un peu maladroite, reculant un peu la tête en arrière comme si cela me dégoutait un peu.

Lui : »Bon, c’est déjà bien, je reste sur la rocade. Applique toi si tu ne veux pas que je te laisse trop loin de la dépose minute… »

Je me mets donc à l’ouvrage, en essayant de m’y prendre timidement d’abord. Comme si cela me dégoutait un peu alors qu’en réalité je suis déjà aux anges. Il a sa main sur ma nuque et presse pour que je m’active un peu plus.

« C’est bien, continue à être gentille comme ça, tu vas l’avoir ton vol ma jolie. »

J’ai gardé ma veste mais il la remonte et tire sur mon chemisier pour dénuder mon dos.

« Mets toi plus à l’aise, t’es pas confortable là. Allez, agenouille toi sur le siège, tu vas voir, tu seras bien mieux pour sucer. »

Je m’exécute.

« A quelle heure déjà ton vol ? 19h tu as dit ? »

Moi, la bouche pleine : »Ou…i, c’est…humff…ça. »

Je ne sais comment il accède à ma chatte si vite mais le fait est que je sens un doigt s’introduire dans ma fente.

« Mais c’est que tu mouilles vraiment ma jolie ! » Là sa surprise est totale.

« Si je m’attendais tu es vraiment une garce ! »

Je continue à sucer cette fois avec plus de conviction.

La suite du trajet se passe dans cette position. Il me fouraille la chatte et je suce du mieux que je peux. Comme la voiture ralentis parfois sur la rocade je me demande ce que l’on peut voir depuis les voitures à côté. Si j’étais restée assise et que je l’avais juste sucé j’aurais dit sans doute rien. Mais là agenouillée sur le siège passager avec sa main sur mon petit cul je n’en étais vraiment pas certaine du tout.

J’accélérais le rythme en me disant qu’il fallait que je le finisse avant d’arriver à la dépose minute pour avoir quand même le temps de me refroquer. Mais je n’avais aucune idée de son endurance et sa queue bien dure me laissait craindre le pire. Heureusement (ou malheureusement finalement) il déchargeait sans prévenir (mais en hurlant) une bonne giclée de sperme au fond de ma gorge. Je prenais soin de le garder en bouche pour bien tout avaler. Je pressais de lèvre en reculant ma bouche pour faire sortir jusqu’à la dernière goute. Nous venions de prendre la sortie vers l’aéroport. J’avais tout juste le temps de me rhabiller avant qu’il me laisse sur la ligne « kiss and fly ».

Je le quittais d’un : »bon bin merci. » un peu piteux. Lui me répondais dans un grand sourire : » Mais avec plaisir ! ».

 

Conseils aux filles comme moi qui veulent jouer les autostoppeuses sexy

Conseil n°1 pour autostoppeuse sexy : Arrêtez de psychoter !

Lorsque l’on veut tenter l’expérience de l’autostop et que l’on est une fille on fantasme forcément sur le type pervers et violent qui va nous laisser égorgée dans un caniveau après nous séquestré des mois dans sa cave pour nous transformer en esclave sexuelle. Bon, ok il faut être prudente. Mais il faut aussi arrêter de psychoter. Les tueurs en série sont tout de même bien plus rares que les types normaux ! Les (mal)chances de tomber sur un Jack l’éventreur ou un Francis Heaulme en faisant de l’autostop sont aussi grandes que de se faire attaquer par un requin en se baignant dans les calanques de Marseille. Statistiquement pas impossible mais fort improbable tout de même. Alors si l’envie vous prend de vous rejouer les putes de l’autoroute, l’auto-stoppeuse a 18 ans ou l’auto-stoppeuse n’avait pas de culotte, abandonnez un peu vos peurs et lancez vous dans l’aventure.

Conseil n°2 pour autostoppeuse sexy : Trouver le bon spot

A l’instar du surfeur qui sait attendre le bon créneau météo et connait les meilleurs spots à vague, l’autostoppeuse sexy doit trouver le bon spot et savoir quand l’exploiter pour maximiser ses chances de choper un chauffeur sur la même longueur d’onde qu’elle. Si j’ai dit qu’il ne fallait pas plus avoir peur de croiser Francis Heaulme qu’un requin blanc cela ne veut pas dire qu’il faille non plus aller nager seule exactement dans la passe aux requins blancs à la tombée du soir. Donc on évite de se poster dans les endroits louches en mini short, surtout de nuit bien sûr ! D’autant plus que le but n’est ni de se faire embarquer par les keufs pour racolage ni de se faire tabasser par le mac de votre voisine de trottoir !

Conseil n°3 pour autostoppeuse sexy : Choisir la tenue adaptée au spot

En général on surfe les vagues géantes de Hawaï avec une petite planche maniable alors que la longboard genre standup paddle est parfaite pour la petite houle. Pensez donc contexte et adaptez votre tenue au spot choisi.

Quelques exemples :

– Tailleur strict et porte document par exemple pour un cinq à sept en sortie de zone de bureaux.

– Bikini sous un Paréo en bord de mer

– Short en Jean, T-shirt, Sac à dos sur la nationale 6

 

Conseils aux chauffeurs en quête d’autostoppeuse sexy

Conseil n°1 pour trouver une autostoppeuse sexy : Le spot

Faites un peu marcher votre ciboulot. Essayez de penser 50% avec votre bite (pour la motivation) et 50% avec votre cerveau (pour trouver le bon spot). En fonction de la saison et de là où vous vous trouvez une myriade de bon spots existent : Les plages en fin de journée l’été, Les sorties de campus en fin de semaine (à partir du jeudi) , les entrées d’autoroute pendant les vacances ou aux veilles de grands WE. Partez en repérage, notez les spots où vous voyez des autostoppeurs. Repérez les parkings à proximité avec visuel sur l’endroit où les stoppeurs se placent. C’est certain que c’est bien plus long et aléatoire qu’un site de rencontres, il ne faut pas non plus se le cacher. Mais le jeu en vaut la chandelle. Soyez aux aguets, persévérez, la chance finira forcément par vous sourire.

Conseil n°2 pour draguer l’autostoppeuse sexy : Ne pas laisser le silence s’installer trop longtemps. Ni la camaraderie.

Je le suggère dans mon aventure sexy. Le silence ou la camaraderie superficielle sont deux ennemis à combattre. Relancer la conversation si le silence s’installe mais surtout orientez celle ci vers des sujets intimes forts et originaux. Discuter de la pluie et du beau temps n’a jamais permis de conclure sexuellement à ma connaissance !

Conseil n°3 pour conclure avec l’autostoppeuse sexy : Etablir le contact physique dès que possible.

Une astuce pour éviter que le trajet ne se transforme en une longue discussion amicale est d’établir un contact physique dès que l’occasion se présente. soyez attentif, il y a un tas de moment dans une conversation ou un mot peut être appuyé par un geste amical, chaleureux ou plus.

Conseil n°4 pour l’autostoppeuse sexy : Halte au viol !

Soyons clairs, il ne s’agit pas non plus d’un appel au viol. Vous avez trouvé une autostoppeue sexy. Si elle est sexy et qu’elle fait du stop seule c’est qu’à la base il y a une ouverture. Mais si malgré mes conseils la belle se dérobe il ne s’agit pas non plus que cela tourne au viol ! Laissez tomber. Si elle ne veut pas n’aller pas vous merdre dans la merde et vous faire ramasser par les flics le lendemain parce qu’elle aura porté plainte. Faite contre mauvaise fortune bon cœur, comportez vous en gentleman, essayez de chopper son numéro de portable pour une autre fois et retentez votre chance un autre jour avec une autre autostoppeuse sexy. Ou retournez sur votre bon vieux site de rencontres à plan cul.

Tout ça sans la pub avec en plus des inédits : l’e_book.

Baise en voiture 3 sur 3

Jaguar

 

-« C’est nous ! » lançait Christophe à la cantonade en entrant dans leur beau duplex.

L’entrée donnait sur un couloir d’où l’on pouvait voir leur grand salon. La femme de Christophe se levait du canapé pour venir vers nous. Je m’attendais à ce qu’elle me tende la main mais, malgré la bonne quinzaine d’années qui devait nous séparer elle me claquait trois bises familière comme si j’était une copine de lycée. A ma grande honte je ne me souvient plus du tout son nom. Christophe a fait vite les présentation : »Lucie, la collègue dont je t’ai parlé, Machine, ma femme. » Bon, bien sûr il n’a pas dit Machine mais comme je ne me souvient plus le nom disons que j’aurais l’impression paradoxale de la trahir un peu plus si je l’affublait d’un nom qui n’était pas le sien. Va donc pour Machine.

Machine était aussi blonde que je suis brune. Mais la comparaison s’arrête là. Petite et en léger surpoids j’imagine à son visage qu’elle avait du être jolie entre 15 et 30 ans. Mais les années sont parfois cruelles et à sans doute plus de 45 elle me semblait effectivement manquer de tout ce qui peut émouvoir un homme aussi fringant et distingué que mon tout nouveau collègue.

-« Dis donc, grand cachotier, tu ne m’avais pas dit que ta collègue (là elle mimait de guillemets avec ses doigts) était une bombe atomique » Lança-t-elle en m’adressant un clin d’œil appuyé tout en partant vers la cuisine chercher ce que je devinais être une bouteille de Prosecco puisque l’Aperol était déjà sur la table basse avec de grandes flutes à champagne vides.

-« Vous, enfin Tu, si tu permets que je te tutoie, connais le Spritz ? » me demandait Machine.

-« Bien sûr et j’adore ! » répondis-je spontanément en tendant l’une des coupes dont je venais de me saisir.

C’était étrange, d’ailleurs toute cette soirée a été étrange, Machine me faisait l’effet d’une vieille tante que j’aurais toujours connue. Elle était enjouée sans me sembler futile. Elle semblait sincèrement s’intéresser à moi. Avais-je des enfants ? Elle voyait à mon alliance que je garde presque toujours que j’étais mariée. Comme je trouvais son mari dans le travail ? Quels étaient mes auteurs préférés ?

Habilement, l’air de rien, sans jamais paraitre insistante ou lourde, elle menait sa petite enquête. Loin de me bombarder de questions elle semblait savoir toujours placer une anecdote sur elle ou son mari pour amener le sujet sur lequel elle souhaitait me poser une question. Christophe, lui, me semblait s’effacer petit à petit. Ce n’est sans doute pas exactement ce qui se passait mais c’est en tous cas le souvenir étrange que je garde de cette soirée passée dans leur appartement. De fait c’est bien Christophe qui faisait les aller retour entre le salon et la cuisine pour aller chercher les assiettes de tapas et amener les couverts pour mettre la table. Lorsque je me proposais pour aider Machine me posait la main sur l’avant bras pour me dire de laisser SON Christophe faire.

-« Laisse, il est adorable mais il n’a pas beaucoup de conversation, ça l’occupe de mettre la table ! » A nouveau un clin d’œil appuyé que j’était bien incapable d’interpréter.

Plus la soirée avançait et plus je me sentais complice et proche de Machine dont j’ai vraiment honte d’avoir zappé le prénom. Christophe, à l’opposé me semblait de plus en plus terne. Insignifiant et, pour tout dire, un peu ridicule à placer au millimètre près fourchettes, couteaux et cuillères autour des assiettes en porcelaine de limoge. La soupe de lentilles était simplement délicieuse avec une fine tranche de Pata Negra rendue croustillante par un bref passage au four. Mais quand Machine m’apprit très fière de son époux qu’il avait tout préparé lui même et qu’il avait très à cœur de toujours cuisiner pour ses invités je m’étonnais d’en être légèrement déçue. Pourtant, en y réfléchissant à deux fois, cela cadrait bien avec le Christophe maniaque de sa belle voiture anglaise. Tout me semblait totalement surréaliste à ce moment là. Après la soupe de lentilles vint une petite boule de glace à la poire avec un alcool du même fruit. Puis des ris de veaux au morilles. Des ris de veau ! quel mec cuisine des ris de veau en semaine ? Personnellement je n’en avais jamais vu ailleurs qu’au restaurant. Nous n’étions pas si loin de Bordeaux et pourtant le vin était un Nuit Saint George qui me paraissait très bon. Mais j’avoue être assez inculte en la matière. Christophe faisait le service tandis que Machine et moi bavardions comme deux vieilles amies de longue date. Surréaliste vous dis-je !

Bon, l’avantage de tout cela c’est que je ne risquais vraiment plus de mouiller ma culotte. Enfin mon Jeans puisque la culotte était roulée en boule au fond de mon sac à main. La douce complicité de cette femme entre deux âges qui me parlait maintenant littérature et l’attitude effacée de mon soit disant collègue qui tenait plus du maître d’hôtel que de l’amant audacieux m’avait ôté toute envie de baiser.

Le dessert était lui aussi mémorable. Des poires au vin servies très fraiches avec une pointe de piment de Cayenne en remplacement de la traditionnelle cannelle.

Un peu avant minuit Christophe proposait de me reconduire à mon hôtel. J’hésitais à décliner et à dire que je pouvais appeler un Taxi. Mais une petite voix en moi me disait que tout n’était peut être pas perdu.

Sur le seuil de l’ascenseur Machine plaisantait en nous recommandant d’être bien sages. A peine les portes de l’ascenseurs étaient-elles refermée que sans que je comprenne pourquoi je me retrouvais instantanément brulante de désir pour cet homme qui me paraissait totalement insignifiant quelques secondes plus tôt. Je vais vous paraitre complètement timbrée après le récit que je viens de faire de cette soirée et la confession de ma perte d’intérêt pour l’homme qui partageait avec moi maintenant les trois mètres carrés de l’ascenseur. D’ailleurs je pense que je ne suis pas très normale moi même. Mais je me retrouvais collée à lui comme s’il ne s’était rien passé du tout entre notre précédente étreinte quelques heures plus tôt dans le même ascenseur. Je l’embrassais à pleine bouche et cette fois c’est moi qui mettait la main dans son pantalon pour sortir sa queue merveilleuse et le branler en continuant à tourner ma langue dans sa bouche. Lui me pressait cette fois sans retenue les seins et prenait à pleine main mes cheveux pour les tirer en pressant ma tête contre la sienne pour continuer notre baiser. Je me décollais de sa bouche pour lui dire à l’oreille que je comptais sur lui pour me prendre par tous les trous comme une chienne. Je voulais être sa pute gratuite et personnelle, il pouvait m’humilier et baiser ma bouche à fond. Je voulais sa queue toute entière dans mon cul de grosse salope. Arrivés au parking il me tirait par les cheveux jusqu’à sa voiture et ouvrait la porte arrière.

-« Installe toi grosse salope, tu vas bien en prendre plein le cul, t’inquiète pas ma jolie ! »

J’avais complètement oublié Machine et son attitude de mari effacé à ce moment là, je peux vous l’assurer. Il me poussait sans ménagement sur la banquette arrière et je me retrouvais à genoux. Les menottes étaient toujours sur la banquette arrière mais nous étions trop pressés l’une comme l’autre pour songer à en faire usage. Comme il entrait dans la voiture derrière moi et fermait la portière il me commandait : »Vire moi ce Jean de pute que je vois enfin ton cul de bonne grosse salope ! » Je m’exécutais tendis qu’il se dessapait lui aussi. Il n’était plus question de préliminaires mais heureusement je constatais qu’il enfilait un préservatif. Je me demandais s’il l’avait depuis le début dans sa poche ou s’il venait de le prendre dans le bac de la portière de la jaguar. C’est quand même marrant le genre de questions qui me viennent dans ces moments là ! Il me prit direct en levrette et comme sa bitte était bien longue je ne pu retenir un long cris de plaisir. Autant à l’aller j’avais pris mon temps à le sucer lentement et il me semblait lui aussi délicat et patient, autant là il y allait avec une délicieuse brutalité et me ramonant à fond, claquant mes fesses avec son ventre mais aussi du plat de la main. La banquette arrière de la jag ne couinait pas du tout mais les amortisseurs et l’assise accompagnaient avantageusement ses va et viens sauvages.

-« T’aime ça hein grosse salope ? »

-« Oui c’est bon ? »

-« Bin dit le alors que tu es une grosse salope qui aime la bitte. »

-« Oui, j’aime la bitte, mais c’est surtout la tienne que j’adore ! Elle est trop bonne, vas-y, encore, met la moi toute ! T’arrête pas ! »

C’était juste parfait, il me défonçait la chatte en me claquant les fesses et en me tirant la tête en arrière pour me dire exactement le genre d’insanités qui me rend totalement dingue.

-« Bon, c’est pas que je m’ennuie mais il est tant de changer un peu de trou hein ma cochonne. T’en penses quoi ? »

-« Fais ce que tu veux de moi, je suis ta petite pute gratuite. Vas-y, prends mon petit cul. »

Il ne fallait pas lui dire deux fois. Sans hésitation il plaquait sa queue sur mon anus et s’introduisait sans effort. Il faut dire que trempée comme j’étais sa queue devait être bien lubrifiée et j’en avais tellement envie que je n’opposais aucune résistance. J’aurais voulu continuer à lui dire des trucs cochons mais la vérité c’est que je n’étais à ce moment plus qu’un cul et une chatte qui gueulait son plaisir. Il me défonçait le cul avec toujours autant d’entrain mais imperceptiblement je le sentais ralentir la cadence. Pourtant c’était loin d’être fini. Il me déplaçait pour que je sois sur lui face à face. J’aime moins cela que la levrette mais cette fois c’était exquis de prendre un peu le contrôle et de me retrouver sur lui avec à nouveau sa longue verge dans ma cramouille et son visage pressé dans mes seins. Pendant que j’allais et venait il écartait mes fesses pour me pénétrer l’anus avec un deux doigts. Les amortisseurs de la caisse faisaient merveille, amplifiant chacune de mes allées et venues. Je jouissais en hurlant carrément.

-« Attends, c’est pas fini petite chienne, je veux que tu me finisses à la bouche comme une bonne grosse salope ! »

Il enlevait son préservatif et pressait son sexe toujours aussi turgescent sur ma bouche. Je le prenais de bon cœur. D’abord en pressant les lèvres puis, petit à petit de plus en plus loin au fond de ma gorge en tentant d’aller jusqu’à la garde. Ce que je ne parvins pas à faire cette fois. Après avoir pressé sur ma nuque pour littéralement me baiser la gorge il se retira pour venir entre mes seins. Je pressais mes melons des deux mains pour une bonne branlette espagnole. A genoux sur moi, les mains sous mes bras il continuait à me baiser entre les seins exactement comme s’il me prenait en levrette. En courbant la tête je pouvais avoir le bout de son gland sur mes lèvres à chaque coup de butoir. Son jet me surpris en pleine figure. Je pense qu’il avait du se retenir pendant des jours tellement il y avait de foutre. Il me pressait la tête contre son ventre pour m’essuyer sur lui. Je me délectais de ses derniers instants. Croyez moi, c’est pas si souvent que c’est aussi bon, loin de là hélas !

Il m’a ensuite ramené à mon hôtel sans que nous échangions un mot, ni même un regard. Et c’était, en tous cas pour moi, parfait ainsi !

Seule enfin dans ma chambre d’hôtel je me dis que j’ai vraiment eu un coup de cul inouï. Je suis une chanceuse ! Un monstre plan cul pour ma première fois en voiture et en plus une soirée délicieuse avec Machine et son mari cuisinier hors pair ! En en plus il y a du Toblerone et une cannette de RedBull dans le frigo du mini-bar !

Je garde la RedBul pour dans quelques heures car je risque d’en avoir besoin et je dévore le Toblerone. Il faut absolument que je dorme un peu si je ne veux pas être complètement fracassée le lendemain pour ma vente. Mais rien n’y fait, je laisse la chambre allumée et j’ai les yeux grands ouverts qui fixent le plafond.

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Baise en voiture 2 sur 3

Et oui, finalement je le fais en trois épisodes ! D’ailleurs j’en profite pour annoncer que l’e_book sera fini avant mercredi. Croix de bois, croix de fer, si je ments je vais en enfer et vous pourrez m’y attacher et m’y baiser !

Une des très rares photos de mon site...
Baise en voiture, une des rares photos de mon site

Le second épisode donc de ce plan cul mémorable :

Le parking était au sous sol d’un immeuble d’une dizaine d’étages desservis par un ascenseur qui allait du -2 où nous étions garés au +9 qui était justement le bouton sur lequel Christophe venait d’appuyer. La séance dans la voiture m’avait chauffée à mort et vous vous doutez bien qu’être maintenant seule avec lui dans l’ascenseur avait de quoi me rendre folle. A peine la porte se refermait-elle sur nous que je me collais à lui.

-« Tu m’as trempé la culotte, je vais pas pouvoir tenir tout le dîner, je te préviens. » Je prenais sa main pour la porter à ma bouche et sucer ses doigts.

-« Tss Tss Tss, pourtant il va bien falloir, moi j’ai faim et ça m’excite bien de t’exhiber incognito devant ma bourgeoise. » Il déboutonnais quand même le haut de mon jean pour plonger sa main dans ma culotte et vérifier mes dires. Je sentais ses doigts rentrer tout seuls dans ma chatte presque déjà dégoulinante. Je serrais son poigné de toutes mes forces en y plantant mes ongles french manucurés et collais ma bouche à la sienne comme une salope affamée que j’étais en train de devenir. Onze niveaux c’est long et en même temps beaucoup trop court. Quand je ressentis l’à-coup de l’ascenseur arrivé à destination j’avais l’impression qu’il ne s’était vraiment pas assez passé de temps. Les portes s’ouvraient mais Christophe faisait mine de ne pas s’en apercevoir. Un gémissement de joie m’échappait lorsqu’il appuyait à nouveau sur le bouton -2 !

Il me plaquait contre le fond de l’ascenseur, ses doigt fouillant toujours sans vergogne ma chatte brulante et son autre main remontant sous mon T-shirt pour masser mes seins plus durs que jamais. J’aspirais sa langue le plus fort possible et m’accrochais à son poignet pour l’empêcher de se retirer de ma cramouille maintenant carrément détrempée.

Retour à la case départ, la porte de l’ascenseur s’ouvrait à nouveau sur le parking. Je le sentais s’écarter de moi à regret : « Ecoute ma jolie, ça ne va pas le faire si on ne se calme pas un peu. Je te propose se remettre un peu d’ordre dans ta tenue et que nous remontions sagement cette fois. Et, heu, je ne sais pas comment te dire mais j’ai l’impression que ta culotte est un peu, disons, humide. »

Effectivement, c’était un peu la honte, si je remontais mon jean et le reboutonnais ainsi nul doute qu’il serait difficile de cacher l’état d’excitation dans lequel je m’était trouvée. Ravalant ma fierté je sortais un paquet de kleenex de mon sac à main pour bien m’essuyer, je déchaussais mes Converses, enlevais mon jean et ma culotte pour remettre le Jeans Levis cette fois sans culotte mais sur une chatte parfaitement imberbe et sèche.

-« Bon, on arrête les bêtises, cher collègue, maintenant c’est sans filet ! ». C’est moi qui appuyais résolument sur le bouton 9 pour notre remontée vers le domicile conjugal de mon futur amant. J’écris futur car pour moi tant que je n’ai pas eu sa queue dans ma cramouille j’estime que, techniquement il n’y a pas adultère. Ce n’est pas Bill Clinton qui me contredira !

Nous remontions donc sans nous toucher, essayant tant bien que mal de nous mettre dans la peau de nos personnages : Deux collègues de travail s’entendant bien mais sans plus.

-« C’est nous ! » lançait Christophe à la cantonade en entrant dans leur beau duplex.

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Un peu de pub désolée…

 

baise voiture, épisode 1 sur 2

Autant l’écrire honnêtement la semaine dernière j’ai choisi Christophe, alias monsieur Baise Voiture sur un critère bien particulier et presque vénal : Sa voiture. Cela faisait quelques temps, suite à un commentaire sur mon blog, que j’avais très envie d’un plan cul dans une voiture (baise voiture). Aussi étonnant que cela puisse paraitre, à part une fellation il y a des années quand j’étais baby-sitter je n’avait jamais baisé dans une voiture avant la semaine dernière. Sur infidèle messenger je triais donc les nombreuses sollicitations d’hommes en quête d’un bon plan cul en Pays de Loire non pas en fonction du physique, ni même de ce qu’ils proposaient mais de leur bagnole ! Mon cahier des charges était assez précis. Je voulais un intérieur cuir, si possible d’une grosse familiale allemande ou, mieux, anglaise. Après pas mal de propositions de jeunots en BMW qui fleuraient bon la banlieue et le survêtement Tacchini (pas trop mon genre…) je tombais enfin sur celui qui me semblait le candidat idéal : Christophe, alias Baise voiture, 49 ans, marié, Jaguar XJ12 1993, 314 chevaux, intérieur cuir crème. Je donne tous ces détails car le type, une fois branché sur le sujet de sa caisse était intarissable. A certaines ce type de mec peut sembler pathétique mais pas pour moi. J’aime les hommes passionnés, cela quasiment quelque soit leur passion. Pour mon monsieur Baise Voiture c’était les belles anglaises et la lingerie sexy façon bourgeoise cochonne. Soit ! Franchement j’aurais pu tomber plus mal cela me convenait parfaitement. Cerise sur le gâteau, mon plan cul me proposait une soirée « all inclusive« . Monsieur Baise Voiture passerait donc me chercher vers 18h après mon rendez vous commercial pour m’inviter à dîner chez lui « en famille » et me reconduirait le soir à mon hôtel. Comme il travaillait dans un grand groupe industriel je serai ce soir là une collègue de l’usine de Marseille en déplacement à Nantes. Je salivait d’avance à l’évocation d’un plan aussi sophistiqué avec la joie perverse de me faire servir le dîner par la femme de mon amant.

Le choix de ma tenue me posait cette fois quelques difficultés. Il fallait que cela soit excitant mais qu’en même temps, à l’occasion du dîner, je puisse passer pour la parfaite collègue de Provence ingénieur en méthodes industrielles. C’est un sujet que je ne maitrise que très vaguement mais je me disais que sa bourgeoise ne devait pas non plus être une experte en la matière.

Mais ça se fringue comment une responsable méthodes dans l’industrie agro-alimentaire ? Malgré un mois de juin déjà avancé le temps était lourd et changeant. Je choisissais une robe tailleur bleue et un chemisier blanc sans fioritures. J’ajoutais des lunettes en écaille et un chignon. Mais une fois devant la glace je me faisais l’effet d’une caricature d’actrice porno dans un film des années 90 mettant en scène des secrétaires. Limite on aurait pu m’appeler Katsumi ! Cela n’allait pas du tout. J’abandonnais les lunettes ridicules, dénouais mes cheveux que je lissais simplement et je troquais le tailleur pour un Jeans Levis 501 qui soulignait mon cul sans non plus être outrageusement moulant. Christophe, mon Monsieur Baise Voiture, serait peut être un peu déçu de l’absence des bas résille, porte jarretelles et talons aiguilles dont nous avions parlé mais je jugeais cela plus prudent et je comptais bien me rattraper avec d’autres surprises que je dissimulais dans mon sac à main…

Effectivement, son bonjour un peu guindé quand il me vit arriver à hauteur de son anglaise garée en double file devant l’hôtel confirmait qu’il était un peu déçu de me trouver en jeans et baskets plutôt qu’en jupe talons et bas résilles. Comme nous nous faisions la bise j’appuyais consciencieusement mes lèvres sur sa joue et sortais un bout de langue pour le rassurer. Sa main sur ma hanche m’indiquait que nous étions sur la même longueur d’onde et je commençais déjà à sentir les petits picotements en haut de mes cuisses. Mes seins aussi réagissaient instantanément, malgré moi comme souvent.

En véritable gentleman il m’ouvrit la porte passager tout en laissant son bras gauche contre ma taille. J’attrapais sa main avant d’entrer dans la jaguar pour en porter l’index à ma bouche. Du coin de l’œil je pouvais distinguer la bosse de son pantalon. Bingo ! Le suçotage de doigt ça marche toujours !

Quand on me demande : »quelle est la première chose que tu regardes chez un homme ? » je réponds sans hésitation : »Ses souliers ! »

Ce n’est pas du fétichisme. Je sais que pour certaines tel détail physique est important, que le cul, les épaules ou la silhouette comptent énormément. Mais pour une fille qui aime le cul ce qui compte c’est bien la façon dont un homme va s’occuper d’elle et la faire jouir. J’ai pu remarquer qu’un homme qui prend soin de ses souliers, qui, quand il peut, y met le prix, est rarement décevant au lit, sur la table de la cuisine ou tout autre meuble où il me baise. J’ai tendance à penser qu’il en va de même pour l’intérieur de sa voiture.

Là, tout me semblait parfait. Le cuir odorant et propre sans paraître neuf, les boiseries du tableau de bord, le chrome parfait du levier de vitesses de la boite auto, jusqu’à la moquette sous mes pieds, tout me paraissait un appel à la volupté.

Quand Christophe Baise Voiture pris place côté conducteur et me demanda où je voulais aller avant le repas je lui répondais : »On s’en fiche, roule, je m’occupe du reste. »

Joignant le geste à la parole je me penchais pour un baiser langoureux dans son cou. J’embrassais goulument juste sous le menton, je suçais en prenant soin de ne pas y aller trop fort, salivant pour me faire humide mais sans risquer de lui laisser un suçon qui pourrait le compromettre une fois chez lui. Quand il mit le contact le douze cylindre se mit à ronronner doucement. Je n’avais pas bouclé ma ceinture et m’attendais vaguement à ce qu’une sonnerie désagréable me rappelle à l’ordre comme c’est maintenant le cas dans à peu près toutes les voitures. Mais il semble que cette fonction n’existait pas en 1993. Sans détacher mes lèvres de sa peau je posais une main sur son genou et le sentais lever le pied de la pédale de freins. La jag démarrait quasiment sans à-coup et Christophe Baise Voiture conduisait comme si je n’existais pas. J’aurais voulu qu’il mette la main sur ma cuisse ou dans mes cheveux mais rien de tout cela. Il regardait fixement devant lui, me laissant lécher son cou, prendre le lobe de son oreille entre mes lèvres maquillées d’un rouge très vif. La toile de son pantalon noir était légère et douce. Je remontais lentement le long de l’intérieur de sa cuisse. Il tendait la main, non pas vers moi mais pour allumer l’autoradio préréglé sur une chaîne d’infos en continu !

N’eut été la bosse que faisait son pantalon à l’entrejambe j’aurais pu croire que je ne lui faisais aucun effet. Mais l’objet de ma convoitise était bien là, tendant la toile pour laisser deviner un calibre plutôt au dessus de la moyenne. En en constatant le volume dans ma main je ne pouvais retenir un « oh! » de surprise ravie. Qui, enfin, lui arrachait un sourire faisant naître une fossette charmante au coin de ses lèvres.

-« Il m’a l’air sacrément bien monté le petit mari volage ! » glissais-je à son oreille.

-« Tu trouves ? pas déçue alors ? »

-« Ah, ça va dépendre de la suite, mais tout cela commence fort bien à mon goût. On peut en voir plus ? »

-« Je t’en prie, fais toi plaisir, mets toi à l’aise. »

Cela il ne fallait pas me le dire deux fois. Je déboutonnais deux boutons du haut de mon Levis pour lui laisser voir mon string de dentelle blanche. J’avais déjà furieusement envie de le sucer mais je jugeais préférable d’attendre pour voir s’il craquerait avant moi et abandonnerait un peu son attitude distante. Je faisais mine de me désintéresser de lui pour farfouiller dans mon sac à main à la recherche de mon tube de rouge à lèvres Chanel. Mais avant de sortir le tube de rouge je posais sur l’accoudoir central les deux paires de menottes que j’avais décidé d’emmener cette fois avec moi. Puis je baissais le pare soleil pour utiliser le miroir de courtoisie et me repassais habilement un coup de rouge à lèvres en lâchant désinvolte : »Promis je ferai bien attention à ne pas tâcher le pantalon de monsieur. »

Lui, essayant de paraitre tout aussi désinvolte tripotait la chaînette d’une paire de menottes et me demandais finalement si j’avais en tête de l’attacher.

-« Bin, pour tout dire c’est un cadeau, à toi d’en faire l’usage qui te semble le plus approprié…Lui répondis-je en les déposant sur la banquette arrière. Mais pour le moment je crois que j’ai très envie d’un petit en cas ». Je me penchais par dessus l’accoudoir central ne pouvant plus trop résister à la bosse qui semblait m’appeler. Je déboutonnais son pantalon, tirais sa chemise et commençais à embrasser son ventre très légèrement replet tout en tâtant l’objet de mon désir à travers le tissus de son caleçon.

Je ne sais pas si c’était juste l’ambiance ou moi qui prenait plus mon temps que d’habitude mais sa queue me semblait juste parfaite. Il ne faut pas croire que j’ai eu des milliers, ni même des centaines d’amants. En réalité quelque dizaines tout au plus. Et là j’avais sous la main une queue dure et surtout longue juste comme il faut. Elle me semblait plus large que la moyenne mais pas au point de m’effrayer. Je la dégageais du caleçon et commençais à la prendre entre mes lèvres non pas par le bout mais plutôt de côté. Si ma bouche ne me trompais pas sa pine était effectivement sensiblement plus épaisse que la moyenne et plutôt longue.

Monsieur Baise voiture continuait à conduire tranquillement mais enfin semblait s’intéresser à moi. Je sentais sa main posée sur mon cou.

-« Alors elle te plait ma queue j’ai l’impression. »

-« Un peu mon neveu ! » A-t-on jamais fait réponse plus ringarde et tarte que celle là ? Je n’en sais rien mais c’est la première qui me venait à l’esprit et de toutes façons pour une fois je n’avais pas très envie de parler. Je voulais juste continuer à savourer cette merveilleuse colonne de chair qui s’offrait à moi.

Nous étions encore en ville et à chaque fois que la jaguar s’arrêtait, j’imagine à un feu, je me demandais si l’on pouvait nous voir. Je pense qu’à moins de nous trouver à côté d’un poids lourd je restais invisible à nos voisins de files. Du moins je l’imaginais, sans vraiment en être certaine. Il me semblait que nous avions trouvé notre rythme de croisière. je suçais lentement, ma joue et mon oreille appuyant contre son ventre nu à chaque fois que la voiture redémarrait. Comme il restait bien raide mais ne semblait pas s’agiter j’avais le sentiment que cela pouvait durer ainsi des heures. Ce qui n’était vraiment pas pour me déplaire. Je n’essayais d’ailleurs pas d’accélérer le rythme ou de sucer plus fort ou plus à fond. Il me caressait la nuque et les cheveux tandis que je continuais à aller et venir par le côté le long de cette baguette magique de tout premier choix. Après une dizaine d’arrêts redémarrages je sentais que la voiture accélérait puis semblait stabiliser sa vitesse comme si nous étions sur une autoroute ou une voie rapide. Sa main passait de ma nuque à mon dos, tirant sur mon chemisier pour le sortir de mon jean desserré. Je ne voulais pas qu’il nous envoie dans le décor et en même temps je ne souhaitais pas non plus qu’il arrête la voiture. En tous cas pas tout de suite. C’était trop bon d’être là à le sucer sachant que nous roulions. La grande berline avait un toit ouvrant. Quand il l’ouvrit l’air entra dans le véhicule. C’était un peu bruyant mais rafraichissant. J’ôtais mes baskets et m’agenouillais sur le siège passager pour être en meilleure position pour continuer à sucer et surtout pour lui donner plus facilement accès à mon cul. Quel bonheur de sentir alors sa main progresser le long de mon dos pour glisser les doigts sous ma culotte. Je baissais mon jean, nous étions décidément sur la même longueur d’onde. Le problème de la Jaguar XJ12, par rapport à ma fiat 500, c’est que son empattement ainsi que le gros accoudoir central ne favorisent pas vraiment le rapprochement entre le conducteur et sa passagère. Si l’accoudoir contre mon ventre maintenant à nu ne me gênait pas trop mon cul restait encore un peu trop loin à mon goût de ses doigts. Ne pouvant me caresser directement il tirait et relâchait mon string pour que le tissu me rentre dans la foufoune qui commençait à être bien lubrifiée. C’était bon mais j’avais de plus envie de sentir ses doigts me fouiller. Et pour cela il fallait que je gagne dix à vingt bon centimètres. Impossible sans arrêter de le sucer. Je continuais donc ainsi encore quelques kilomètres. Lui ne semblait pas accélérer le mouvement, il continuait tranquillement à me branler avec mon propre string et si sa belle bite ne mollissait pas rien ne laissait indiquer qu’il était au bord de l’orgasme. Je constatais avec émerveillement que nous avions encore sans doute pas mal de marge. Je décidais cependant de prendre la quinzaine de centimètres qui me manquait et faisais passer sa queue de ma bouche à mes seins pour une branlette espagnole. Enfin sa main se retrouvait au niveau de ma cramouille et j’éprouvais le délice d’un doigt s’insinuant exactement là où ça fait du bien. Il me caressait avec toujours la même lenteur appliquée, son pouce contre mon anus. Du pouce il pressais mais juste assez doucement pour ne pas forcer le passage. A chaque mouvement que je faisais pour le branler avec mes seins j’appuyais mon cul pour absorber son pouce mais il se dérobait me laissant légèrement frustrée de ce point de vue.

-« Tss tss, t’inquiète, tu vas en prendre aussi dans le cul mais je veux que ce soit directement avec ma queue. Tu as l’air de l’aimer dis donc ma queue hein ? »

-« Je l’adore, hummm, une des plus belle que j’ai jamais eue, je t’assure. »

Il me donne une claque sur les fesses.

-« Comment ça une des ? T’en as eu de meilleures ? »

-« En fait j’en ai vu quelques unes mais c’est effectivement la plus belle. » Et c’était pour le coup sincère.

Il me caresse à nouveau satisfait, je pense, de ma réponse.

Comme nous doublions un camion je constatais qu’il ralentissait exprès. Cela ne manqua pas, nous étions récompensais par un coup de klaxon retentissant.

Je pense que nous devions être sur le périphérique quand je sentais la voiture prendre une sortie. Nous alternions à nouveau les arrêts et redémarrage ainsi que les virages à 90 degrés. Je ne sais pas s’il avait allongé le bras ou si j’avais trouvé une position un peu différente mais je pouvais à nouveau le sucer en gardant le contact de ses doigts fouillant mon intimité.

Un trottoir, une pente descendante, l’obscurité. Nous étions dans un parking sous-terrain.

Lui : « Rhabille toi, on est arrivés. Prête pour le dîner ? »

Moi : « Heu ?! on passe pas sur la banquette arrière ? »

Lui : « T’inquiètes, c’est pas fini, je veux garder le meilleur pour le dessert. En plus on est déjà un pas mal en retard et ma femme est assez…disons… suspicieuse… »

C’est ça, suspicieuse ! On le serait à moins. Déçue et en même temps terriblement excitée de découvrir comment se déroulerait la suite de la soirée je reboutonnais mon jean et mon chemisier.

La suite au prochain épisode…Mais en attendant si la queue vous en dis vous pouvez lire (ou relire) esthétichienne en chaleur.

Grosse cochonne, j’ai testé à Macon

Grosse cochonne
lien vers un site où je fais la grosse cochonne

D’ordinaire j’affectionne plutôt les plans distingués, voire luxueux. Vous l’aurez compris si vous me lisez depuis quelques temps, je suis une femme qui aime les belles choses, les beaux hôtels et, même si j’ai une pratique sexuelle assez débridée, j’aime que cela soit fait dans un environnement agréable et je prends soin des moindres détails. Bref, je veux bien être une poule mais de luxe s’il vous plait ! A première vue tout le contraire d’une grosse cochonne vulgaire.

Pourtant un soir, dans un beau restaurant de Biarritz avec mon mari, je pensais (à juste titre !) être la femme la plus désirable de la salle. C’était sans compter sur l’arrivée d’une pouffe à gros seins en mini jupe ras la touffe, T-shirt à paillettes et rire aussi idiot que haut perché. Elle était au bras d’un homme en costume qui aurait pu être son père mais ne l’était sans doute pas… En général dans ce type de situation, aux différentes tables, les commentaires moqueurs sont la règle. Je voyais bien, moi, que derrière les quolibets, presque les insultes, chaque homme dans le restaurant brulait d’un désir aussi évident qu’inavoué. Et peu de femmes étaient dupes de la situation. Les « je suis sure que c’est une pute » proférés par les femmes respectables cachaient, j’en suis certaine, une gène et une jalousie pour l’effet que produisait la donzelle sur leurs petits maris. Eux tentaient de piquer le nez dans leur assiette. C’était peine perdue tant leurs regards étaient irrésistiblement attirés vers la table à côté de la fenêtre attribuée aux nouveaux arrivants. Je riais intérieurement de constater que ceux que le hasard avait placé dos à la grosse cochonne étaient pris d’une irrésistible envie de se lever pour aller aux toilettes.

Ce soir là mon mari, qui d’habitude se contente d’un minium syndical de samedi soir, s’est révélé presque à la hauteur, trouvant même le chemin de mon cul pour une sodomie qu’il n’avait jamais osé pratiquer avec moi. Bon, pas de miracle non plus, il reste mon mari. Sage et plan plan jusque dans notre lit conjugal. Je le soupçonne d’être bien plus fun avec ses maitresses levées sur internet. J’imagine qu’elle ne se gênent pas pour faire la grosse cochonne avec lui.

Je me suis souvenu d’un oncle qui disait toujours : « On n’attrape pas les mouches avec du vinaigre ! » et j’ai d’un coup eu envie, pour une nuit, d’être cette grosse cochonne qui fait saliver les hommes et enrager les bourgeoises de province.

Je me créais donc un profil temporaire et spécial sur Rencontres hard. J’abandonnais la photo de profil suggestive avec mon visage et la remplaçais par une bien salace de grosse cochonne sans équivoque. Puis me concentrais sur les quelques lignes d’accroche :

« Trouverais-je un homme qui osera me sortir et m’exhiber en public habillée en grosse cochonne salope et sexy ? Pour cet homme qui n’aura peur ni des regards pleins de reproche des bourgeoises de Macon ni de la morgue jalouse de leurs époux je me ferai chienne en chaleur et sans tabous. »

Je signais d’un Tagrosse Cochonne comme pseudo.

(bon pour me lire sans pub il y a l’e_book… )

Bien sûr, comme d’habitude, à peine mon profil posté les demandes pleuvaient sur le site. Je crois vraiment être dans le vrai quand je dis que ces sites de rencontre sont quand même mieux pour les filles comme moi qui ont le choix que pour les hommes comme vous qui devez vous faire concurrence pour convaincre un plan cul de votre ville que c’est avec vous qu’elle prendra son pied. Enfin, je ne vais pas m’en plaindre. Cette fois je choisissais différemment de d’habitude, non pas en fonction du physique qui me plaisait le plus mais justement en imaginant de l’effet que ferait notre couple sur les personnes que nous croiserions. Il me fallait un homme plutôt banal, si possible un peu enveloppé entre deux âges. Philippe, la cinquantaine bedonnante mais l’air plutôt enjoué et bon vivant, me plut immédiatement. En SexCam je reprenais tout naturellement mon accent de cagolle niçoise un peu simplette et j’insistais pour qu’il me sorte dans un beau restaurant aux alentours de Mâcon. Il me proposais l’O des vignes dans le charmant village Fuissé. Une fois n’est pas coutume, j’acceptais qu’il passe me « prendre » en bas de mon hôtel à Macon. Ce qu’il fit, tout fier de sa BMW 535 plus très neuve mais impeccablement entretenue et au cuir brun juste patiné comme j’aime. Je décidais de jouer les pipelettes intarissables tout le long de la route pour tester un peu sa patience. Je sautais du coq à l’âne, parlant indifféremment de ma passion pour les belles voitures, d’un ami d’enfance imaginaire qui tenais un restaurant en Provence, de son invitation à sortir de Macon que je trouvais « trop chou » et que j’étais toute émoustillée de rencontrer quelqu’un comme lui, bon vivant qui savait vivre et ne serai pas déçu avec moi. J’en faisais des tonnes et, beau joueur, lui souriait et me trouvait « vraiment fraiche et charmante » alors que je suis certaine qu’il se réjouissait d’avoir levé une grosse cochonne naïve à souhait.

J’avais donc décidé, niveau look, de me la jouer grosse cochonne ultra provocante. Jupe rose fluo très courte qui m’arrivait au ras des fesse avec une large ceinture en sky rouge, chaussures à talons aiguille rouges elles aussi et T-shirt ultra moulant blanc sans rien en dessous. J’avais hésité entre les bas et les collants. Les bas c’est sexy et les hommes adorent, mais avec la jupe vraiment très courte cela n’allait pas. J’avais donc une paire de collants rayés multicolores. Les rayures horizontales mettaient outrageusement en valeur le galbe de mes cuisses. Autant dire que notre entrée dans le restaurant ne passa pas inaperçue… Exactement comme je le rêvais, quatre tables avec des couples et une table de six personnes sur trois générations constituaient l’assistance. Tout sentait impeccablement la bonne bourgeoisie de province et, exactement comme à Biarritz trois semaines plus tôt aucun homme ne pouvait s’empêcher de jeter des regards furtifs. Sauf que cette fois c’était vers ma table que se portait leur attention ! Philippe semblait ravi, la serveuse (qui était aussi la patronne du lieu) semblait passablement contrariée à en juger par l’air pincé avec lequel elle prit notre commande. En bonne salope je demandais si l’on pouvait d’abord boire un apéritif avant de choisir le repas. Je voyais bien que la patronne avait envie d’expédier cela le plus vite possible et moi j’étais prête à tout pour faire durer et savourer ce moment rien qu’à moi. Triple kir royal, une bouteille de rouge à deux dont je sifflais plus des deux tiers pour accompagner le dîner qui était vraiment presque parfait ! J’ai souvenir d’un homard servi en deux fois vraiment très bien. Je continuais en mode pipelette, parlant et riant assez fort. Mon compagnon semblait s’amuser et faisait même semblant de s’intéresser à ma conversation sans queue ni tête. Moi je commençais à être bien éméchée au moment du dessert. Philippe, en vrai gentleman, demanda si je voulais un digestif. Normalement c’est la patronne qui doit offrir cela d’elle même mais, allez savoir pourquoi, elle ne le fit pas pour nous… Je choisi une poire et lui un calva qu’il me laissa boire se souvenant opportunément qu’il devait nous reconduire à mon hôtel. sur le chemin du retour j’avoue que je me suis endormie comme une loque sur son épaule et qu’il a du me réveiller une fois garé dans le parking de l’hôtel. Je me secouais un peu, m’excusais piteusement d’avoir dormi tout le trajet en lui assurant que c’était pour être bien en forme pour la suite. Il ne put réprimer un ouf de soulagement que je trouvais fort attendrissant.

Coup de chance, un autre client montait en même temps que nous dans l’ascenseur. Je me collais à Philippe de la manière la plus provocante possible. J’étais passablement alcoolisée et j’en rajoutais juste par perversité : »Dis, si je te suce pas assez bien tu vas me donner une fessée méritée ? Hein que tu vas t’occuper de mon petit cul de grosse cochonne mon chéri ? » je me collais encore plus et l’embrassais dans le cou. Je bois rarement autant car je n’ai pas besoin de cela pour me désinhiber. Mais là c’était diablement bon d’être limite saoule. Je tenais tout juste debout et devais m’accrocher à mon partenaire. Le grand type avec nous dans l’ascenseur était vert de jalousie. Exactement ce qu’il fallait pour m’exciter encore davantage. Mon Philippe n’osait pas trop bouger, mais je pense qu’il était bien content de la situation. En tous cas ma main dans la poche de son pantalon me laissait présager un bon moment sous peu !

Arrivés à notre étage nous sommes tous les trois sortis de l’ascenseur et Philipe me soutenais par la taille en m’entraînant vers ma chambre. Je lui avais laissé les clefs et lui étais réellement reconnaissant de quasiment me porter jusqu’à la porte. Du coin de l’œil je constatais ravie que l’autre trainait à ouvrir sa porte juste un numéro avant nous. Nous allions avoir un mur mitoyen et il n’allait pas être déçu !

A peine entrés dans la chambre j’enlaçais mon Philippe pour l’embrasser goulument. Il me pressais les fesses mais, gêné par le collant il ne savait pas trop où mettre les doigts.

-« T’inquiètes, tu auras accès à tout mon chéri. » le rassurais-je en déboutonnant sa chemise. Je parlais fort, espérant bien sur que notre voisin de chambre entendait. J’enlevais mon T-shirt pour coller ma peau contre la sienne. J’étais déchainée, sans doute aidée par l’alcool. Il fallait absolument que je le suce ! Je le poussais sur le lit et me mettais en position de 69 pour le sucer à fond, pressant ma chatte contre son visage.

-« Vas-y, déchire mes collants et bouffe moi ! » Je criais presque saoule comme une grosse cochonne.

Il ne se fit pas prier et je me souviens distinctement du son que fit le tissu en se déchirant. Je le suçais copieusement et lui me fouillait avec ses doigts et sa langue. J’avais les seins pressés sur sa bedaine et je ne sais pas lequel des deux suait le plus ! D’habitude j’aime les hommes bien faits mais là cela m’était égal. J’étais sa grosse cochonne en chaleur et rien d’autre que cela ne comptait à cet instant.

-« T’as promis que t’allais m’enculer hein ?! Tu prendras un peu ma petite chatte en levrette avant hein ! ». C’était trop bon de tout décrire, certaine que le voisin, seul comme un con, entendait.

Philippe avait bien moins bu que moi et il fini de ravager mes collants pour me prendre par derrière d’abord en levrette, me tirant pas les cheveux. Enfin il se lâchait aussi verbalement : « T’es une bonne grosse cochonne, j’adore ta chatte, vas-y, bouge comme une truie, couine un peu pour voir, t’aime ça hein ma salope. T’es ma grosse cochonne hein ? Ma bonne grosse cochonne rien qu’à moi ! Couine le moi, te gêne pas ! »

« Oh oui, je suis ta grosse cochonne, tu peu m’enculer comme une chienne, vas y prends mon cul, fais toi plaisir ! ».

Il ne fallait pas le lui dire deux fois. Il du presser un peu pour rentrer mais bourrée comme j’étais ça ne fut pas trop difficile de me détendre. Je couinais et continuais à faire ma grosse cochonne pour l’encourager. J’ai connu bien plus violent mais c’était tout de même très bien. En tous cas il ne semblait pas se fatiguer et nous priment un rythme bien régulier. J’avais le front juste contre le mur et le cognait à chaque fois qu’il s’enfonçait en moi. Je jubilais de penser à ce que le pauvre voisin devait endurer.

On a baisé comme ça assez longtemps puis dormi, puis rebaisé, puis redormi puis rebaisé avant de nous doucher pour descendre au petit déjeuner.

L’autre était là, la mine mauvaise. D’autres clients aussi tournaient autour du buffet des croissants, bacon et œufs brouillés. Leurs regards noirs prolongeaient mon plaisir sadique. J’étais pour encore quelques minutes une grosse cochonne comblée !

Post scrotum : N’hésitez pas à commenter et à partager, car tout est bon dans la grosse cochonne !

Si vous m’avez aimé en grosse cochonne lisez aussi esthétichienne en chaleur

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Sodomisée sur une chaise pour la première fois

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Mes autres articles

Par derrière sur une chaise

Cette fois j’ai bien soigné mon profil sur infidèle Messenger pour un plan explicitement SM dans lequel je promets d’être bien soumise et docile. Jusqu’à présent je n’osais pas trop, me contentant d’allusions coquines mais sommes toutes assez sages. Et puis il y a quelque jours je me suis dis que finalement si c’est de cela dont j’ai envie pourquoi me réfréner et le cacher. Je me souvient de Sylvia Saint sodomisée sur une chaise dans le Labyrinthe et en pensant à elle mon profil devient donc, pour mes deux jours à Clermont Ferrand le suivant :

« J’ai bien peur d’avoir été très vilaine, j’ai eu des pensées impures et infidèles en regardant le frère de mon mari. Comme il est hors de question que je m’engage dans une aventure familiale dangereuse il me faudrait un homme qui accepte de me punir pour cela et de me faire passer l’envie de coucher avec mon beau frère.

Post scrotum : Très envie d’être attachée et sodomisée sur une chaise »

Je reconnais que c’est un peu tiré par les cheveux mais il y a pas mal de vrai derrière cela et justement, tirée par les cheveux ça pourrait me plaire…Pour plus de sureté j’ajoute la photo de profil qui va bien (Merci Marco pour la photo !)

ma photo de profil sur asiat messenger et infidèle messenger
ma photo de profil sur asiat Messenger et infidèle Messenger

 

Et me voilà submergée de demandes pour ma soirée Clermontoise ! Je choisi sans trop hésiter celui qui m’a l’air le plus sérieux. Quarante ans, bien habillé athlétique et très blond.

A peine entrés dans la chambre d’hôtel il m’ordonne de me dévêtir entièrement. Il a un léger accent nordique que je trouve très sexy. Je me retrouve agenouillée sur une chaise et il m’attache les mains dans le dos avec l’un de mes bas. Etre ainsi attachée est une première pour moi et je dois dire que c’est aussi inquiétant qu’excitant.

Il déboucle sa large ceinture de cuir et je prends peur en me disant qu’il va me fouetter avec. C’est sûr que c’est exactement le type de situation que je désirais mais, d’un autre côté, je n’ai pas vraiment envie de me retrouver avec des marques trop importantes sur les fesses qu’il faudrait « expliquer » à mon époux légitime dans trois jours. Mais c’est un peu tard maintenant pour reculer et je ne veux pas passer pour une poule mouillée. Même si, à bien y réfléchir, je suis une poule et je mouille carrément !

Je pense qu’il a saisi à mon regard l’angoisse qui me prend car il souri d’un air que je juge assez sadique en me contournant. Il fait d’abord glisser la sangle sur mes fesse lentement sur toute la longueur. Je m’attends au pire mais n’ose pas bouger, encore moins protester. Il serre la ceinture contre mes deux fesses et fait descendre lentement le long de mes cuisses jusqu’au dessus des genoux. Là il s’arrête finalement et fait passer la bande de cuir dans la boucle pour finalement serrer le tout fermement. Apparemment ce n’est pas de l’improvisation car il y a bien un trou supplémentaire à la ceinture qui permet de serrer mes cuisses l’une contre l’autre. Ne pouvant plus écarter les cuisses je commence à comprendre que ma chatte et mon anus vont se trouver bien plus étroits maintenant. Mais je ne soupçonne pas encore que c’est loin d’être le seul « avantage » de la situation pour mon amant. Déjà le revoilà face à moi, cette fois sans pantalon et apparemment très en forme ! J’avance ma tête autant que le permet ma position passablement entravée car j’ai vraiment de lui montrer ce que sais faire avec ma bouche. Et puis sucer attachée sur une chaise serait une première pour moi. Il me revient une image d’enfance où une tortue que nous avions essayais d’avancer sa tête vers une feuille de laitue. Mais il prend un malin plaisir à se tenir juste à une distance qui ne me permet de sucer uniquement de gland bien décalotté. ça me rend folle, je tire la langue le plus possible pour essayer de lécher mais sans beaucoup de succès. A tel point que la chaise bascule en avant. Un cri m’échappe alors car j’ai peur de me fracasser la tête en tombant mais heureusement il retient la chaise au dernier moment et moi je me mets à pleurer comme une conne tellement j’ai eu subitement peur. Il se fait cette fois plus tendre et me caresse les cheveux en acceptant enfin d’approcher à portée. Je suce goulument. Mes larmes coulent toujours mais c’est de soulagement et de plaisir car ses mains sur ma tête ne sont pas brutale mais juste encourageantes et caressantes comme il faut. C’est bon, incroyablement bon, je voudrais me caresser en même temps mais j’ai toujours les mains attachées dans le dos. Alors j’essaie quand même d’atteindre ma chatte par derrière avec mes doigts mais je ne parviens qu’à atteindre mon anus.

-« Attends, si tu veux t’occuper les mains j’ai quelque chose pour toi. »

Il prend une bouteille jaune d’huile de tournesol (le modèle 1 litre), l’ouvre et me la met dans les mains toujours liées dans mon dos. Je sens l’huile couler le long de ma raie et sur mes cuisses serrées.

-« T’inquiète, ça coule lentement, tu as le temps, bouge un peu, j’en veux aussi sur ton dos et surtout sur tes fesses ma belle. Mais surtout t’arrête pas de sucer, ça tu le fais très bien. »

Pour joindre le geste à la parole il prend mon menton dans sa main qu’il a plutôt grande et presse mes joues. Je fais de mon mieux pour continuer à sucer bien goulument en me concentrant aussi sur la bouteille que j’essaie tant bien que mal de promener sur mes fesses et le bas de mes reins.

Lorsque la bouteille est enfin vide il passe derrière moi et je sens sa bite remonter entre mes cuisses toujours maintenues serrées par sa ceinture. La sensation est assez étrange et frustrante avec l’huile. Pour lui j’imagine que c’est bien car sa queue glisse tout en étant serrée mais moi je meurs d’envie de l’avoir dans ma chate ou dans mon cul. Mais il continue à me baiser les cuisses serrées en prenant plaisir à ma frustration. Heureusement, petit à petit je sens qu’il remonte et maintenant à chaque va et vient sa queue frôle ma chatte. A chaque passage j’essaie d’aller à sa rencontre mais il se dérobe au dernier moment. Quand il m’encule enfin c’est comme une délivrance. Mes jambe toujours serrées par sa ceinture et l’huile qui m’a bien lubrifié l’anus font merveille. J’ai l’impression de sentir parfaitement chaque veine de sa bite dans mon cul. Au lieu de me défoncer comme ça m’est déjà arrivé il prend au contraire tout son temps avec un va et vient délicieusement lent dans mon cul. Je crie quand il jouit hélas un peu trop tôt à mon goût tellement j’aurais aimé que cela ne s’arrête jamais. En vrai gentleman il me détache après s’être rhabillé. Autant vous dire qu’après un plan comme ça je n’ai plus du tout envie de coucher avec mon beau frère. Je préfère de loin continuer à faire des rencontres d’un soir sur internet. Enfin, si elles pouvaient toute être comme celle ci !

 

Plug anal, j’ai testé au Mans

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Le plug anal, je dois avouer que si un mec ne m’en avait pas mis un par surprise lors d’un plan cul un peu improvisé au Mans je n’aurais jamais eu l’idée d’utiliser un plug anal. Tout d’abord, il faut savoir que je suis plutôt nature et que, de ce fait, j’adore une vraie bite bien dure que ce soit en bouche, dans mon minou ou (si c’est bien fait) par derrière.

Je m’y étais prise un peu à l’arrache cette fois car le déplacement m’était tombé dessus de manière impromptue et il fallait que je sois au laboratoire Gambetta du Mans avant la fin de la semaine si je voulais avoir une chance de conclure avec ce client. Ma seule possibilité était de prendre rendez vous le samedi matin. Je déteste cela car le WE s’en trouve écorné mais comme j’ai une grosse part de salaire variable il faut parfois savoir faire des concessions. Et puis je me disais que, pour une fois, cela serait une occasion de sortir en célibataire un vendredi soir. Une fois n’est pas coutume, je décidais de renoncer à la facilité d’une rencontre via infidèle messenger pour essayer de me faire draguer en direct « in situ ». Je repérais sur Google Map le Soukala, un night club à deux pas de mon rendez vous et de l’hôtel Ibis où je prenais donc une chambre.

Le problème avec les déplacements professionnels c’est que l’on peut vite s’ennuyer le soir. Je ne voulais pas arriver trop tôt à la boite car je sais d’expérience qu’avant minuit ça ne bouge pas vraiment dans ce type de boite africaine. Je mangeais donc un peu seule place de la république puis remontais à ma chambre d’hôtel. Pour ne pas tourner en rond comme une lionne en cage je décidais de voir l’effet que ferait ma tenue du soir sur des mecs en chat et SexCam. C’est une habitude que j’ai prise. Cela me permet de bien me chauffer et, si j’arrive à brancher vite un mec sur un plan Sexcam juste avec une tenue un peu provocante, alors je me dis que cela me portera chance pour la vraie soirée. Je plaçais donc la GoPro en mode WebCam avec une vue bien cadrée sur le lit et réglais l’ensemble pour que l’on puisse me mâter en train de m’habiller.

Ecrivez moi si je me trompe mais j’ai remarqué que les mecs semblent prendre autant de plaisir à voir une belle fille s’habiller que se dessaper. Une fois sortie de la douche j’enroulais mes long cheveux dans une serviette tout en surveillant du coin de l’œil le Macbook et le compteur des voyeurs connectés à ma webcam. Déjà quatre, c’était plutôt bon signe. Je décidais de mettre juste un porte jarretelles et une paire de bas noir sans culotte ni string. J’aime dérouler lentement les bas le long de mes jambes puis accrocher au porte-jarretelles. Sur le macbook ça commençait à crépiter avec les mecs qui me demandaient si je pouvais rester comme ça et me caresser un peu. Mais je décidais pour le moment de les ignorer pour passer une robe moulante en laine noire. Sans soutif l’effet me semblait parfait laissant deviner de petits tétons dardant sous la maille fine. Je posais un petit miroir à côté de la GoPro pour me mettre un rouge à lèvres exactement coordonné avec les semelles des vraies Louboutin que je chéris plus que tout en ce moment. Je faisais tout cela en prenant mon temps, sachant fort bien l’effet que cela devait avoir sur les mecs connectés qui me mâtaient sans que je prenne la peine de leur répondre pour le moment. Je me faisais une queue de cheval toute simple et ajoutais à mes oreilles une paire de grandes boucles créoles dorées. Il était à peine onze heures aussi je tuais le temps à chatter avec quelques plans potentiels autour de Montpelier où je dois passer du temps avant juillet. Il y a en particulier un homme qui me semble très cultivé et suffisamment autoritaire pour me promettre une séance de fessée sur laquelle je commence à énormément fantasmer. Mais cela est une autre histoire. un peu avant minuit je complétais ma tenue d’un manteau en vraie fourrure de loup pour enfin partir à la découverte de cette boite à Zouk du Mans en me faisant tout un film sur un beau black qui saurait s’occuper de moi comme j’aime.

Plug dans le cul, la bonne surprise !

Cela s’avéra encore plus facile que je ne le pensais. A l’exception de quelques beaufs au bar et de deux nanas plutôt banales j’étais la seule blanche de la soirée. Après quelques punchs bien tassés tous offerts par des mecs qui semblaient morts de rire sans que je sache vraiment pourquoi je me retrouvais à zouker collée serrée avec un beau black entre trente cinq et quarante ans, grand et très bien bâti. Il devait être habitué du club car il m’entraina assez vite dans une petite salle isolée qui ressemblait à une loge de théâtre. J’étais déjà bien alcoolisée et je dois dire qu’il embrassait très bien. Pour le moment je ne regrettais vraiment pas du tout d’avoir prolongée ainsi ma semaine de taff !

(bon pour me lire sans pub il y a l’e_book… )

Je profitais donc que nous soyons dans une loge pour sortir mon tube de rouge à lèvres et m’en remettre un peu car je sais que c’est un geste qui peut être excitant. Comme il relevait ma robe pour découvrir mes fesses nues je m’attendais à ce qu’il me baise par derrière. J’avais un peu d’appréhension car même si j’étais passablement excitée je sais d’expérience que ce type de position peut tourner au fiasco si le mec n’assure pas. Mais ce n’était finalement pas son intention.

-« Attends, j’ai un cadeau pour bien te préparer ma jolie »

Il sortit une bouteille de rhum agricole de je ne sais où et rempli à ras bord un verre à cocktail contenant un plug anal lui aussi en verre. Tout étant parfaitement transparent le plug anal en devint presque invisible. Il prit le plug tout mouillé d’alcool pour l’appuyer entre mes fesses tout en me portant le verre aux lèvres. Je buvais cul sec alors qu’il enfonçait le plug dans mon cul qui ne l’était plus, sec. L’alcool me brulait l’anus mais j’était de toutes façons déjà chaude comme une baraque à frittes. Je pensais qu’on allait baiser là et je n’étais vraiment pas contre, surtout que j’avais très envie de vérifier si sa queue était à la mesure de mes fantasmes. Mais il rabaissa ma robe et me pris par la main pour retourner danser.

Vers 2 heures du mat c’était moi qui était obligée de lui demander s’il pouvait me raccompagner à mon hôtel avant que je meure d’une overdose de zouk.

-« En plus je dois me lever pour un rendez vous à 9h et j’ai l’impression qu’on n’est pas encore couchés » ajoutais-je en appuyant ma main sur la bosse que faisait son sexe à travers la toile de son costar en satin.

Il ne fallait pas le lui dire deux fois. Quelques secondes plus tard j’avais récupéré ma peau de louve toute prête à faire ma chienne. Nous marchions à grands pas, courant presque dans la rue déserte vers mon hôtel. Après avoir dansé avec un plug anal dans le cul, autant vous dire que marcher avec un plug anal n’était pas difficile. Surtout j’étais tellement excitée que je ne me souviens pas avoir trouvé cela difficile. Aussi j’étais déjà passablement essoufflée quand il fit passer ma robe par dessus ma tête avant de pousser sur le lit en bas et porte-jaretelles.

« Toi, pas bouger et surtout pas dormir, je reviens très vite » me dit-il avant de disparaitre dans la salle de bain, pour je suppose assouvir un besoin fort naturel. C’est à ce moment que j’en ai profité pour faire une chose que vous découvrirez à la fin du post…

Quand il est sorti de la salle de bain il était enfin nu et plus que sa bite longue et belle c’est surtout sa musculature parfaite qui m’a impressionnée. Le mec, en plus d’avoir la peau très noire était tout en muscles sans pour autant paraitre sur gonflé comme certains culturistes. J’étais assise sur le bord du lit et il m’a d’abord prise fermement mais sans brutalité excessive par ma queue de cheval pour me faire comprendre que j’allais commencer par sucer la sienne et qu’il verrait ensuite ce qu’il ferait de moi. Encore un peu saoule je m’appliquais de mon mieux. Il l’avait vraiment bien longue et même en y allant à fond il n’était pas possible que je le suce jusqu’à la garde comme je le fais parfois. J’essayais de me rattraper en lui léchant bien les couilles et en l’avalant tout de même le plus loin possible. Heureusement il semblait apprécier et m’aidait en appuyant ma tête avec juste ce qu’il faut de force pour gagner un ou deux centimètres sans pour autant me faire trop mal.

Après s’être laissé faire comme cela debout assez longtemps (je n’ai pas mesuré mais ça m’a paru une des plus longues fellations que de mon histoire) il m’a prise par la taille et m’a soulevée comme si je ne pesais pas plus qu’une poupée de chiffons. C’est là que j’ai compris que le type était vraiment fort. Il était toujours debout, j’avais la tête en bas et il roulait un patin à ma chatte alors que j’essayais maladroitement de continuer à le sucer ainsi à l’envers. En même temps que le cunnilingus il faisait entrer et sortir le plug anal de mon cul. A chaque fois c’était un peu douloureux mais très excitant. Je pense que cette position eu pour effet de faire remonter un peu de sang à mon cerveau et même si je commençais à avoir un peu mal au crâne je sentais que je dessaoulais et que la nuit était loin d’être terminée. En me déposant enfin sur le lit il m’a complimentée sur ma chatte intégralement rasée et bizarrement je me suis sentie bien plus flattée que s’il m’avait parlé de ma coupe de cheveux où même de ma silhouette. J’avais toujours le plug dans l’anus et quand il m’a pénétrée j’ai compris avec délice tout l’intérêt de la chose. Il me ramonait la chatte et en même temps je sentais de l’autre côté le plug qui faisait pression contre son sexe sur la paroi de l’autre côté. J’en hurlais littéralement de plaisir. Je ne suis pas timide et d’habitude je n’ai pas à me forcer pour gémir ou couiner. Mais là c’était carrément des cris qu’il obtenait de moi. Et du coup, lui y allait aussi de plus en plus fort en me gueulant dessus de continuer à crier pendant qu’il « m’éclatait ».

-« Je vais t’éclater ma belle, tu vas plus pouvoir marcher, j’vais te péter les jambes. »

J’avoue que là, en même temps que je jouissais j’étais un peu inquiète car le type en était physiquement tout à fait capable. Avec ses grandes mains me tenant les genoux je me sentais aussi fragile qu’une cagette pour démarrer le feu de cheminée.

Comme il ne semblait pas fatiguer je finissais, moi, par lui crier d’arrêter, de me laisser reprendre mon souffle. Mais il ne m’écoutait plus et continuait à me défoncer la chatte. Difficile de me souvenir de tout car j’étais alors dans un état second. Je me souviens qu’il ma retournée tout aussi facilement pour enlever le plug anal et le remplacer par sa queue. C’est rentré vraiment tout seul sans problème et franchement c’est plus la pression de tout son corps sur moi et ses assauts violents qui me faisaient mal que mon cul lui même que je ne sentais plus trop mais que je sais maintenant capable d’encaisser pire. Quand il a finalement joui j’étais de mon côté au bout du rouleau mais j’avais quand même la force de lui demander si ça ne l’embêtait pas de me laisser dormir seule. Il m’a paru un peu surpris mais, heureusement, n’a pas insisté pour rester.

En me levant à la sonnerie de l’iphone à 9h j’éteignais la GoPro et le MacBook. Je ne sais pas pourquoi mais cela m’avait paru sur le moment une bonne idée de rallumer quand il était dans la salle de bains. Par contre ce qui est stupide c’est que je ne saurai jamais si nous avons eu des spectateurs vu que le système ne garde pas en mémoire qui s’est connecté !

 

Plug anal offert au Soukala
Cela parait kitch et, ça l’est ! Mais j’y ai trouvé un plan cul aussi mémorable qu’anal !

Post scriptum : Depuis mon dépucelage anal au château c’est pour le moment de loin ma meilleure fois par derrière et surtout ma première avec un plug anal. Autant vous dire que je suis désormais un grande fan du fameux plug anal ! C’est assez rare pour être souligné…