L’année dernière, début mars, je me trouvais à Pau en même temps que le salon professionnel SAPHIR des métiers de bouche. Mon déplacement à Pau n’avais rien à voir avec ce salon et, fort heureusement, je m’y étais prise à l’avance pour réserver une chambre à l’hôtel Roncevaux. J’aime beaucoup ce bel hôtel du centre historique de Pau qui, en plus d’être cossu propose des chambres très bien insonorisées. Non pas que le bruit des autres me dérange mais j’ai tendance, parfois, à être plutôt démonstrative quand je suis en mode plan cul à Pau (ou ailleurs)…
La semaine précédant mon déplacement j’avais beaucoup trainé sur internet, alternant les séances de SexCam et surf au hasard de mon désœuvrement. J’avais été très excitée quelques jours avant par une vidéo porno un peu vintage où l’on voyait Julia Channel punie se faire corriger par son prof. Aussi j’avais décidé que mon prochain plan cul serait sur le thème écolière fessée et punie par son professeur. Ne reculant devant aucun sacrifice je m’achetais un déguisement d’écolière japonaise ultra sexy que je rangeais dans ma valise en cachette de mon mari pour mon déplacement à Pau.
Rendez vous était donné à mon plan cul directement à l’hôtel et je l’avais bien sûr mis au courant du thème que j’avais choisi pour qu’il puisse lui aussi se préparer comme il se doit. Mon costume d’écolière était composé d’une jupe bleu marine avec un mince liseré blanc, d’une chemise blanche très échancrée et d’une large cravate dans le même tissu que celui de la jupe qui m’arrivait juste au dessus du genou. J’avais complété d’une paire de baskets Converses bleu marine et de chaussettes montantes blanches. Bien sûr, une culotte blanche de marque petit bateau. Je ne suis pas myope mais j’avais jugé plutôt sexy de porter des lunettes à large monture en écaille de tortue ce soir là.
Dans cette tenue que je jugeais plutôt sexy, j’attendais donc avec un peu d’appréhension mon prof qui devait me rejoindre dans la chambre vers 20h.
Pile à l’heure il ne frappait pas (à la porte…) et entrait directement me surprenant alors que je regardais par la fenêtre la rue Louis Barthou. Il était vêtu d’un costume sombre, la quarantaine, mince, l’air plutôt bien fait mais s’aidant d’une canne de marche. Sous le bras il avait un grand porte documents en cuir fauve.
« Je vois que vous rêvassiez jeune fille. Pffft, comme d’habitude ! » me dit-il en posant sa canne à plat par terre et en ouvrant sa serviette pour en sortir une copie couverte d’annotations en rouge.
« Oui monsieur, pardon monsieur. »
« J’ai votre copie de géographie sur le Béarn et la ville de Pau. C’est nul, 2 sur 20 et encore je suis indulgent. Vous connaissez le tarif pour un travail aussi médiocre j’imagine. »
« Non monsieur…Mais je m’en doute un peu. » Répondais-je sur la défensive.
Il s’assit sur le bord du lit et me fit signe se me mettre en position pour une bonne fessée. Je m’exécutais trop contente de la tournure que prenait la soirée. Il a immédiatement relevé ma jupe, baissé ma culotte petit bateau et m’a administré une fessée magistrale, frappant, certes, du plat de la main mais vraiment sans ménagement pour mes fesses qui devaient sans doute bien rougir sous ses coups. Je criais pour l’encourager en m’efforçant de ne pas rire pour rester bien dans le personnage. Ce n’était pas simple car en réalité cela était plus excitant que douloureux.
« Ne crois pas que tu vas t’en tirer à si bon compte. Cela était juste un préliminaire parce que tu rêvassais à la fenêtre. Pour la copie de géographie tu n’as pas encore payé. Maintenant à genoux, mains sur la tête ! »
Il me désignait sa canne posée par terre et je compris que je devais me mettre à genoux avec la canne juste sous les rotules. Apparemment nous avions les même références filmographiques…Pour le coup, après même pas trente seconde cela était vraiment douloureux et de vraies larmes me montaient aux yeux. D’autant plus qu’il prenait son temps, tournant calmement autour de moi en boitant légèrement. Il sortit sa belle bite de son pantalon et se planta devant moi. Alors que je prenais sa queue dans les mains pour le sucer il me frappa à nouveau sur le dos de la main cette fois.
« Tss Tss, on garde sagement les mains sur la tête, mauvaise élève, je veux juste te baiser la tête. On fera au moins rentrer quelque chose dans cette cervelle de moineau ! »
Me pressant sans ménagement derrière la tête il s’enfonçait au plus profond de ma gorge. Avec sa canne toujours sous mes genoux j’endurais un véritable supplice et je pleurais presque autant que je mouillais. Après quelques minutes de va et vient dans ma bouche il m’a fait poser les mains par terre pour me mettre à quatre pattes en prenant soin que je garde bien les genoux sur sa putain de canne. Il avait amené un martinet et, après avoir relevé ma jupe d’écolière, il me fouetta le bas des reins et les fesses. Mais la douleur était presque un soulagement car elle me faisait oublier mes genoux qui me faisaient souffrir le martyr.
J’allais me relever et mettre un terme à ce jeu douloureux quand les coups cessèrent d’eux mêmes.
-« Bon, je pense que tu en as assez pris, tu as bien compris la leçon. On peut commencer le travail de révision. »
Il me désigna un coussin qu’il avait jeté à terre à côté du lit.
-« Tiens, tu peux reposer un peu tes genoux de souillon si tu veux. »
Je prenais vite place craignant qu’il ne change d’avis. Le coussin n’était pas très grand et je devais serrer les jambes pour avoir mes deux rotules meurtries enfin soulagées. Les coudes sur le sommier du grand lit mon confort s’était largement amélioré.
Il ouvrit devant moi un livre ancien sur l’histoire de la ville de Pau et du Béarn afin que je puisse le lire à voix haute.
Je m’exécutais pendant qu’il me prenait en levrette très tendrement. En tous cas je trouvais cela tendre en comparaison de ce qu’il m’avait fait subir juste avant.
« Pau devient Capitale du Béarn au quinzième siècle…hummm…grâce à Gaston IV de Foix-Béarn qui transfère sa capitale d’Ortez à Pau après…hummm oui c’est bon….avoir convolé en justes noces avec l’infante de Navarre…Humm. »
Pour le coup c’était vraiment bon. J’aurais aimé qu’il s’occupe aussi de mon anus et me sodomise mais je pense que j’avais, à cette époque, le trou trop serré et il ne fit qu’un essais infructueux juste avant de revenir jouir dans ma chatte.
Autant dire que je garde de Pau un excellent, quoique douloureux, souvenir et que j’ai hâte d’y retourner en mars prochain !