Mini jupe, maxi plaisir pour grosse cochonne

Mini jupe
Accessible en mini jupe

Mini jupe, bas nylons et talons hauts j’avais l’air d’une pute ce soir là sur le trottoir de la rue Alfred de Musset à Valence. Mais sauf si l’idée de pute gratuite signifie quelque chose je n’étais pas une pute. Juste une femme coquine en mini jupe bien décidée à m’offrir un peu de plaisir charnel après une trop longue période d’abstinence sexuelle.

mes autres plans cul et délires sexuels

Mini jupe pour salope à consommer sur place ou à emporter

Pour mon plan cul dans la Drôme j’avais choisi Valence. La capitale de la Drôme n’est pas ce que je préfère dans le département 26 car pour moi Valence c’est encore un peu le nord, ce n’est pas encore la Drôme provençale où j’ai quelques souvenirs de plans culs disons rustiques…Mais, faute de grives on mange des merles. Et à défaut de merles j’avais très envie de manger de la bite et de m’offrir un vrai bon moment de plaisir sans tabous. Mon rendez vous commercial était à Valence, c’st donc à Valence que je trouvais un petit AirBnB sympa et que je trouvais sur infidèles mon plan cul du jour. Enfin, mon plan cul de la nuit devrais-je écrire puisqu’à cette heure il faisait déjà nuit et je commençais à regretter d’avoir choisi la mini jupe comme signe distinctif pour qu’il me reconnaisse dans cette rue déserte. J’avais écrit : « Tu me reconnaitras facilement, j’aurai une mini jupe, des bas nylon et des talons hauts de bonne salope prête à consommer. »

Heureusement mon rendez-vous coquin était arrivé avant moi et je n’eu pas à me faire importuner par d’autres hommes à cause de ma mini jupe et surtout du petit cul qu’elle ne parvenait pas à cacher. Mais j’eu cependant une belle peur car il me surpris par derrière en me prenant par la taille comme si nous étions de vieilles connaissances. Mon cœur ratait une ou deux battements et cela m’excita instantanément. J’adore les sensations fortes et les surprises.

Je me retournais pour l’embrasser sur la bouche sans même prendre le temps de vérifier si son physique correspondait aux photos de son annonce coquine. De toutes façons le physique m’importe peu. Ce que j’aime ce sont les situations, le contexte et l’histoire racontent les corps. Je savais que c’était lui juste au grand manteau de tweed bordeaux qu’il portait. Et comme j’avais très froid j’étais heureuse qu’il m’en enveloppe pendant notre baiser.

-« J’adore ta mini jupe » furent ces premiers mots. Ces mains pelotaient déjà mon petit cul et j’embrassais fougueusement pour l’encourager. Notre long baiser et les mains très baladeuses sous ma mini jupe furent interrompus par le ralentissement d’une voiture de gendarmerie à notre hauteur. Je le prenais par la taille et l’entrainais comme si nous étions de vieux amants. La marée chaussée nous laissait tranquilles et j’emmenais mon mignon jusqu’au porche d’entrée du petit immeuble où se situait mon AirBnB. Je tapais le code pour entrer dans l’immeuble, sa main était à nouveau sous ma mini jupe. Je le laissais faire : »C’est au dernier étage tu me suis ? »

La question était de pure forme. Bien sûr qu’il me suivait. En montant les marches je m’appliquais à rouler du cul et à faire claquer mes talons aiguilles sur le bois sec du vieil escalier. Arrivés en haut, au quatrième, je cherchais les clef dans mon mini sac à main. Il en profita pour me plaquer contre la porte et  relever ma mini jupe pour mettre sa main par derrière entre mes cuisses. « Tu sais que si tu ne te dépêches pas d’ouvrir je vais te prendre contre la porte ? »

« Je ne suis pas contre mais à l’intérieur on aura plus de temps…Et j’ai quelques accessoires qui pourraient te plaire… »

« Hummm, tu m’as l’air d’une bonne grosse cochonne toi dis donc. »

J’avais trouvé les clefs mais je décidais de faire semblant de chercher encore pour voir jusqu’où il irait. Je ne fus pas déçue. Il se mit à genoux devant moi, la tête sous ma jupe et déchira le devant de mon string noir en me poussant fermement contre la porte. A travers le tissus de ma mini jupe je pressais sa tête pour l’inciter à aller au bout du cunnilingus qu’il semblait prêt à m’offrir. Sa langue et ses doigts étaient juste comme j’aime. Fermes sans être brutaux. Déjà au bord de mon premier orgasme de la soirée je devinais son pouce dans ma chatte, le majeur cherchant le bord de mon anus. Des lèvres il suçait mon bouton et sa langue…sa langue me semblait incroyablement grande. Etrangement rapeuse comme celle d’un chat mais large et ferme. J’avais l’impression de l’avoir partout en même temps. Je devais me mordre les lèvres pour ne pas gémir.

-« C’est bon, tu as gagné, arrête, j’ai trouvé la clef. »

Je me forçais à regret à tirer sa tête vers le haut pour le relever et ouvrir la porte du minuscule studio qui était ma garçonnière  pour une nuit.

La suite, mesdemoiselles, mesdames et messieurs, n’appartient qu’à nous et, souffrez que, pour une fois, je vous laisse sur le pas de la porte. Vous ne saurez pas dans quelles positions (très au pluriel) je l’ai sucé ni combien de fois entre ce début de soirée et le lendemain en fin de matinée il m’a éjaculé dans la bouche. Vous ne saurez pas s’il pri le temps de m’enlever ma mini jupe pour me prendre par derrière comme une chienne en chaleur. Ceux qui me connaissent se doutent que j’ai crié quand il m’a sodomisée. Ceux qui m’ont pratiquée savent que nous n’avons reculé devant aucun stimulant chimique pour faire durer le plaisir jusqu’à l’épuisement…Et que nous avons recommencé au réveil. Un réveil dont la douceur à contrasté avec les brutalités consenties de la veille. Mais pour une fois je vous laisse deviner et n’en raconte pas plus. Juste un détail, ma mini jupe était tellement froissée que le lendemain c’est en tailleur strict et très sage que j’ai quitté le petit studio pour me rendre à mon rendez vous commercial qui, lui, n’eut rien de coquin.

Filles faciles mythe ou réalité

Fille facile
fille facile, photo offerte par mon amie riddhi d’EuroLive (je ne vole jamais les photos !)

Les filles faciles existent-elles en dehors des publicités racoleuses pour des sites internet à plans cul bourrés de faux profils ou de prostituées plus ou moins occasionnelles ? La question mérite d’être mise sur la table à défaut justement d’y mettre une fille facile. Je reçois beaucoup de commentaires ou de mails d’hommes en recherche de plan cul déçus pour ne pas dire dégoutés par les sites de rencontre à plan cul et découragés dans leurs recherches. Ils en tirent la conclusion que les filles faciles n’existent pas, qu’elle ne sont jamais réelle et sont un mythe inventé par l’industrie du porno.

Les filles faciles semblent difficiles à trouver

Personnellement j’aime que les mecs envisagent mon petit cul comme un objet de désir. Si j’aime évidement me faire bien défoncer, en vrai ce que j’aime par dessus tout c’est être désirée à en craquer la couture de vos pantalons. Cela fait pas mal de temps que j’ai sauté le pas et que je consomme sans modération des amants trouvés sur internet mais aussi levés au hasard de mes pérégrinations à travers les régions de France que mon job de commerciale me donne l’occasion de visiter. Et, à travers se blog de mes rencontres adultères je reçois souvent des témoignages d’autres femmes jeunes ou matures qui sont, tout comme votre servante, des filles faciles. Alors d’où peut donc venir ce décalage entre ce que perçoivent les hommes et la réalité, semble-t-il, des comportements de certaines filles faciles.

Déséquilibre du marché des plans culs

Etudiante j’ai suivi pas mal de cours d’économie. Vous vos en doutez, je n’étais pas très assidue plus intéressée, déjà, par les rencontres étudiantes que par mes professeurs. Pourtant je ne faisais pas encore partie des filles faciles. Mais c’est une autre histoire (de cul). Pourtant j’ai retenu une chose : Tout est toujours question d’équilibre entre l’offre et la demande. Et ce que j’ai pu constater c’est que, proportionnellement, il y a bien plus d’hommes prêts à un plan cul sans lendemain que de femmes libérées avides de nouveaux partenaire fréquents. Mon expérience personnelle m’amène à penser que presque 100% des hommes sont prêts à céder. Surtout peut être plus de la moitié cherchent plus ou moins activement des plans culs. Chez les femmes, même chez celles célibataires, la proportion reste bien plus faible. Par exemple, dans mon village, où j’ai quelques responsabilités municipales, nous sommes 74 femmes entre 19 et 50 ans. Moi y compris je n’y connais que 3 filles faciles. Certaines sont peut être plus secrètes que d’autres mais j’ai le faible de croire que je sais assez bien observer les administrés. En comparaison des hommes prêts à un plan cul sans lendemain avec moi si je laisse une ouverture je dirais, sans me vanter que c’est largement plus de la moitié !

Salope mariée luxembourgeoise

salope mariée a consommer sur place
salope mariée d’humeur coquine

Une salope mariée, l’expression est crue mais elle est tellement juste pour me décrire quand je suis en déplacement professionnel loin de ma tranquille maison de campagne et de mon trop gentil mari ! Après des semaines d’abstinence sexuelle qui m’ont parues des années je reprenais enfin la route pour un déplacement professionnel à Thionville pas très loin du Luxembourg. Il faut dire que ces dernières semaines ont été tout sauf sexy pour votre humble servante. Il y a eu la grippe carabinée de mon mari qui m’a contrainte à jouer les infirmières pas du tout sexy. Puis la mienne de grippe qui m’a clouée non seulement au lit mais surtout à la maison, loin de toute compagnie masculine extraconjugale. Ensuite, de retour au bureau mon boss a cru bonde m’épargner tous déplacements au prétexte que je devais me reposer. Alors que je n’avais qu’une chose en tête : redevenir au plus vite la bonne salope mariée qui trompe son mari avec un homme qui saurait prendre soin de mon petit cul. Rien que d’imaginer les doigts frôlant ma peau là où elle est douce et intégralement épilée je me sens chaude comme une baraque à frittes. J’avais terriblement envie de me comporter comme un pute provinciale, de retrouver mon amant en sous vêtements d’escort girl ultra sexy sous un vrai manteau de fourrure. Tout en assumant ma statu de femme mariée afin de rendre mon amant encore plus déchainé. Je sais qu’une bonne salope mariée cela excite beaucoup certains hommes et, justement, ce qu’il me fallait c’était un mec excité et si possible désinhibé.

Salope mariée cherche plan cul sans fioriture

La Salope mariée que je suis aime d’habitude prendre mon temps, j’aime la drague et ces moments d’attente et d’excitation au début de la rencontre sur internet. J’aime le temps passé au restaurant à le faire languir sans pouvoir quitter mes gros seins des yeux. J’aime aussi le regard des autres clients jaloux qui n’auront pas la chance de me baiser et j’aime tout autant la gène des autres femmes mariées et bien pensantes. Mais cette fois j’avais trop envie de baiser pour bien profiter de ces à côtés. Je voulais faire ma salope mariée pour un mec qui me prendrait dès les premières minutes de notre rencontre et me défoncerait jusqu’à l’épuisement. Si possible le mien d’épuisement. Je publiais donc une annonce explicite très crue et exigeante : « Je n’irais pas par quatre chemins mais vous pourrez me prendre par trois trous. Je suis une salope mariée qui veut une nuit de baise sans retenue ni fausses pudeurs. Y-a-t-il sur ce site un homme luxembourgeois qui saura relever le défit et ma jupe de bourgeoise en chaleur ? Manque d’endurance s’abstenir ! »

La salope mariée peut jouir en étant violée !

A condition bien sûr que ce viol ne soit qu’une mascarade et qu’elle soit consentante. C’était mon cas bien sûr ce soir de fin janvier dans la très belle chambre de l’hôtel le Place d’Arme que je demandais sans vergogne à mon rendez vous violent (plus que galant…) de nous payer pour une nuit que je lui promettais orgiaque. J’avais décidé qu’il m’attendrait dans la chambre et que je le rejoindrai en talons hauts, sous vêtements noirs et sexy sous un grand manteau de vraie fourrure. J’avais dans mon grand sac à paillettes Vanessa Bruno une bouteille de Champagne Ruinart et un plug anal en cristal.

Je toquais à la porte, tu m’ouvrais et nos regards se croisaient pour la toute première fois. Ta photo de profil ne mentais pas. Tu étais grand et fort bel homme. Je suis grande moi aussi et encore plus en talons. La traditionnelle bise de bonjour plaçait mes lèvres rouges juste à ton oreille et je chuchotais : »Cette nuit c’est no limit, si tu vois ce que je veux dire… »

Tu me répondais que ce programme te convenait parfaitement et plaçais tes mains dans mon dos, sur mes hanches, encore sagement au loin de mes fesses. Mais cela te permettait de m’attirer un peu plus contre toi. Je ne résistais pas, au contraire. Ce premier rapprochement me permettait d’apprécier la fermeté de ton corps, de deviner ta force et de humer ton odeur. Je posais mes lèvres sur ton cou pour gouter ta peau. J’avais déjà, comme une débutante, des papillons dans le ventre alors que presque rien n’avais commencé. Mais je voulais me maitriser, tenir le rôle que je m’étais fixé de salope mariée bien décidée à faire la pute lubrique. Je voulais donner le meilleur de moi même pour recevoir en retour le meilleur de toi. Et pour cela, pas question de me laisser dominer par des instincts de midinette. J’oubliais donc les papillons dans le ventre, et maitrisais mon envie de jouir trop vite. Plus qu’un seul mot d’ordre : Faire durer et sortir le grand jeu. Je gardais mon corps collé contre toi et sortais la langue pour lécher ton cou, juste sous l’oreille comme une chienne (in)fidèle.

-« Tu sais, on je suis à toi toute entière et pour toute la nuit, on a le temps, ça te dis une coupe de champagne et un peu de spectacle pour commencer ? »

Je te pousse sur le grand canapé de notre belle chambre et pose mon grand sac à côté de toi. Je fais tout lentement, en restant contre toi, ma couche jamais loin de ton oreille, mes lèvres et ma langue souvent au contact de ta peau que j’aime de plus en plus. Tes mains sont baladeuses mais encore sagement sur mon manteau de fourrure. Pour l’instant tu te contente de deviner mes formes à travers le vêtement. Ta salope mariée ondule comme une chate affectueuse et tu sembles aimer cela.

Striptease burlesque d’une salope mariée pour son amant

J’ai, dans mon iPhone, une playlist spéciale striptease burlesque. Sur mon tout nouveau X le son n’est pas génial mais ça passe. J’ai préréglé le son pour que ce soit juste comme il faut, pas trop fort. Avant de me consommer tu vas pouvoir m’admirer et nous boirons un peu de champagne…

Je te pousse doucement vers le grand canapé. Je suis contre toi ton menton dans ma bouche. Tu sens le bout de ma langue et la légère succion que j’exerce te laisse imaginer que je suis experte en fellation. Je prends tes poignets et les place derrière ton dos pour t’empêcher de me peloter pour le moment. Chaque chose en son temps. Je t’assieds et me mets à califourchon sur tes genoux et j’ouvre mon manteau. Ton visage est au niveau de mon décolleté. J’aime comme tu t’y plonge pour m’embrasse à pleine bouche. De longs baisers humides qui m’incitent passer ma main dans tes cheveux pour presser ta tête et t’encourager à continuer ces délicieux baisers. Tu passes les mains dans le bas de mon dos et remonte jusqu’à l’agrafe de mon soutif que tu dégrafes sans difficulté. Humm, je vois que je suis entre des mains expertes. J’ondule du bassin pressant ma chatte sur ta cuisse. Maintenant que tu as libéré mes seins de salope tu en lèches les tétons turgescents. A mon tour de te dévêtir un peu. J’attaque directement les boutons du pantalon, tu continues à mouiller mes seins de ta salive. J’aime tes baisers mouillés. Tu te contorsionnes pour m’aider à faire glisser au sol ton futal. Ma chate de plus en plus mouillée n’est désormais séparée de la peau de ta cuisse que par mon string. Ta bite elle par contre est contre mon ventre et je la sens bien ferme. C’est à mon tour de t’embrasser, j’ai très envie de faire ma bonne grosse cochonne goulue. Je commence par ton cou que je lèche consciencieusement pour gouter le sel de ta peau. Tes mains sont sur mes fesses et tu accompagnes les très lents mouvements de mes reins. Ta bonne petite salope mariée aime faire sa grosse cochonne. J’embrasse longuement pour mouiller de ma salive tout ton cou. Je remets ta tête contre ma poitrine pour que tu en fasses autant avec mes gros seins que je veux glissants de ta salive. Tu as réussi à écarter mon string pour dénuder ma chate déjà trempée. Je prends ta main et la guide pour me masturber et sentir nos doigts se mêler dans ma cramouille. Nous nous embrassons en même temps à pleine bouche, bataille de langues, lèvres humides yeux grands ouverts, provocants. J’ondule toujours sans me presser. Je vérifie d’une main légère que ta bite est toujours bien disposée. Je pries pour que tu ne sois pas éjaculateur précoce car j’ai bien l’intention de profiter te ton corps longtemps, très longtemps. Je suis une salope mariée frustrée par les coïts de lapin de mon époux légitime et je veux trouver en toi l’amant qui me baissera à m’arracher la peau jusqu’à l’épuisement…et recommencera au petit matin.

Comment draguer une collègue de bureau mariée

sexe au bureau
photo coquine prise à mon bureau…

La collègue de bureau, vous la trouvez super sexy ! Mais elle est aussi super mariée. Des semaines, peut être des mois que vous rêvez de devenir son amant ou au moins d’obtenir un rendez vous pour un plan cul adultère avec cette bombe atomique qui vous semble inaccessible. En plus en ces temps de retour au puritanisme avec tout ce battage autour du hashtag balance ton porc et les rappels à l’ordre de la DRH concernant le harcèlement sexuel c’est sûr que l’ambiance n’est pas vraiment au libertinage entre collègue autour de la machine à café. Alors comment faire pour draguer votre collègue de bureau par ailleurs mariée et sans doute respectable ?

Draguer sa collègue, comment éviter d’être pris pour un harceleur ?

La collègue est stagiaire célibataire ou en CDI et complètement mariée, le premier problème reste qu’aujourd’hui plus encore qu’hier toute action de drague envers un ou une collègue peut vous faire passer pour un sale pervert harceleur sexuel. On peut s’en désoler ou être révolté(e) c’est ainsi et il faut accepter les nouvelles règles du jeu de la séduction en entreprise. Comme j’ai pitié de vous et que j’espère secrètement qu’un de mes collègues lira cet article sans savoir que j’en suis l’auteure, je vais faire de mon mieux pour vous donner quelques conseils de drague qui j’espère vous aideront à pécho la jolie collègue mariée dont l’image sensuelle hante vos nuits. Et comme j’aime aussi provoquer une certaine raideur là où vous savez je tâcherai de parsemer cet article sur la drague entre collègues de scénettes sexy du genre : « Il coince sa collègue sexy contre la photocopieuse, soulève sa jupe et la fait jouir en levrette… »

Mais nous n’en sommes pas encore là et revenons donc au début de notre histoire : Florence, car nous l’appellerons Florence, est votre collègue depuis quelques temps déjà. Jeune Maman elle est aussi mariée et respectées de ces collègues des deux sexes. Mais, à vos yeux elle est surtout terriblement désirable, la parfaite MILF. Vous ne pouvez vous empêcher de deviner ses courbes sous le tailleur stricte ou le pullover irréprochable qu’elle mets dès les premiers frimas. Vous la fantasmez torride et sensuelle. Avouons le, il vous est arrivé de penser à elle dans les toilettes de la boite en vous masturbant. Franchement il n’y a pas de honte, je ne vous jetterai pas la pierre car je suis moi aussi coutumière de ces pratiques onanistes…

 Tout d’abord gardez en tête qu’un bon plan pour draguer efficacement une collègue ou un femme mariée comporte 3 étapes :

– Lui faire comprendre qu’elle vous intéresse

– Susciter un sentiment d’urgence (on verra plus loin de quoi je veux parler)

– Savoir conclure au bon moment.

Avec une collègue de bureau c’est la première étape qui comporte le plus de risque d’être considéré comme un harceleur. Il faut y trouver le bon dosage entre être suffisamment explicite et ne pas être trop lourd. Paradoxalement le fait que votre collègue de bureau soit mariée va ici s’avérer plutôt un avantage. De nos jours la drague en milieu professionnel est de plus en plus mal vue et dangereuse. Toute approche d’une collègue célibataire, surtout si elle est visiblement sexy, est considérée comme suspecte. Se rapprocher d’une femme mariée et respectable passe, croyez moi, bien plus inaperçu.

 Enfin, arrêtons un peu les généralité, je pense que vous avez compris le message et place à l’action. Il faut maintenant prendre votre courage à deux mains (ce qui implique de lâcher votre bite…) et enclencher la première étape de votre plan drague ou de ce que j’appellerais la mission : »Pécho la collègue sexy et mariée. » Vous allez donc lui faire comprendre qu’elle vous plait. Il s’agit donc, classiquement de la complimenter. Sans non plus en faire des caisses. Ayez confiance en la gent féminine, nous comprenons en général assez vite quand un homme s’intéresse à nous…

Plan en 3 étapes pour Pécho la collègue sexy

Etape 1 : faire comprendre à la collègue sexy qu’elle vous intéresse

Tout d’abord, repérez ses horaires : arrivée au bureau, pause café, heure de déjeuner. Arrangez vous pour faire coïncider vo horaires aux siens. Attention, n’en faite pas trop. Arrangez vous juste pour arriver en même temps qu’elle disons trois jours par semaine. Faites en sorte que la moitié environ des pauses café soient communes avec votre collègue sexy. La technique de cette première étape va consister à accumuler les « signes de reconnaissance positifs ». Il s’agit de chose positives que vous direz à propos de votre collègue. Creusez vous la tête, les compliments n’ont pas besoin d’être sur le physique. Cela peut être l’habillement que vous trouverez classe (plutôt que sexy !). Mais aussi des qualité de travail, d’écoute. Vous pouvez aussi l’admirer de cumuler travail et vie familiale (surtout si elle a des enfants). Une astuce : Les compliments ne doivent pas nécessairement lui être adressés directement. Vous pouvez dire à un autre collègue combien vous appréciez votre cible (professionnellement bien sûr !). En multipliant les choses positives dites ayez confiance, cela lui viendra forcément à l’oreille. Surtout un compliment rapporté est toujours plus apprécié, mais je reviendrai plus en détail là dessus dans un prochain article. Donc l’idée c’est de multiplier les signes positifs sur une période suffisamment longue. Je dirais entre deux semaines et un mois. Eh oui, la drague si on cible une personne en particulier et que l’on veut avoir de bonnes chances que ça marche il faut être patient et méthodique. No pain, no gain !

Etape 2 : susciter le sentiment d’urgence

Rien n’est plus désirable que ce que l’on a le sentiment de risquer de perdre. Une fois que votre collègue sexy a compris que quelque chose est possible avec vous, le meilleur moyen de l’amener à vous céder c’est de lui faire croire que l’occasion risque de disparaître. Une technique qui fonctionne consiste à évoquer un départ proche pour l’étranger, une autre ville ou simplement une autre boite. C’est tout bête mais, croyez moi, un collègue qui va bientôt partir devient instantanément l’objet de bien plus de désir. Surtout si la collègue sexy que vous voulez attirer dans votre lit (ou ailleurs) est mariée alors un plan cul avec vous lui semblera moins risqué si elle sait, ou croit savoir, que vous ne serez bientôt plus dans les parages.

Etape 3 : Concluez !

Forcément, à un moment il faut oser, prendre un risque. Sachez que si vous avez passé les deux premières étapes alors il est très probable que la troisième ne soit qu’une formalité. Pour célébrer votre prochain départ invitez votre collègue à un déjeuner ou un thé seul à seul à l’extérieur. Osez dire que vous regrettez de ne pas avoir plus pris le temps de bien la connaître et que vous aimeriez vraiment vous rattraper en l’invitant pour un déjeuner ou un thé seuls. N’ayez pas peur de préciser « seuls ». Et bien sûr réservez une chambre juste à côté, ou invitez chez vous si la place est libre.

Voilà, rien de bien sorcier, c’est simple mais efficace. Je suis consciente que ces conseils ne résoudront pas tout. Mais j’espère néanmoins que ce guide et ces quelques étapes donneront des idées à certains d’entre vous !

Si vous tombez sur cette page par hasard et que vous voulez lire un de mes plans culs alors pourquoi ne pas commencer par mes aventures Nantaises

retrouvez moi ici…

Sugar Baby cherche sugar Daddy

J’ai de grands yeux, une bouche pulpeuse et un regard mutin qui, sans me jeter des fleurs peuvent aisément me faire passer pour la très jeune étudiante sexy que je ne suis hélas plus (je reste sexy mais ne suis plus étudiante). Et comme j’aime les plans culs contrastés j’avoue parfois me faire passer pour plus jeune que je suis afin, paradoxalement, de séduire un homme largement plus mûr que moi. Pour mon sugar daddy je fais ma sugar baby.

sugar babies
sugar baby à clicker

mes autres articles

Sugar baby cherche Sugar Daddy

Voici donc l’annonce que je publiais hier sur copinedesexe : « vingt six ans et toutes mes dents blanches et bien alignées comme de petites perles de porcelaine qui feraient un très beau collier autour de la bite d’un homme de préférence mûr. Quinquagénaire accepté, si bon vivant et espiègle comme moi. Je cherche une relation prolongée au moins jusqu’à la fin de l’année universitaire. Un homme attentionné avec qui je saurais être tendre, aussi entreprenante que reconnaissante. Si tu veux être mon sugar daddy je serai ta sugar baby. Faisons un essais gratuit, ça n’engage à rien mais je suis certaine que tu ne voudras pas en rester là ensuite alors sois prévenu Monsieur mon sugar daddy ! »

J’agrémentais d’une photo que je ne reproduis pas ici juste pour vous frustrer parce que je suis comme ça ! bien salope !

 Forcément, à peine avais-je posté mon profil que les demandes pleuvaient. Je ne cherchais pas un étalon fringant. Pour tout dire, le sexe je l’aime parfois bien gras. L’homme un peu âgé et légèrement bedonnant est bien souvent surprenant de vigueur et d’inventivité quand il se retrouve dans une chambre d’étudiante avec sa sugar baby pour lui seul offerte.

Trouver un AirBnB qui ressemble à une chambre d’étudiante fut très facile dans cette grande ville de Province où je posais mes valises coquines pour 48 heures. Je donnais rendez-vous à Jean, mon Sugar Daddy, dans un très cossu restaurant étoilé dans le vieux centre de cette ville dont je tais le nom cette fois. Le restaurant n’avait qu’une étoile mais il me semblait suffisamment cher pour qu’avec l’apéritif, le vin et le dessert mon sugar Daddy dusse s’acquitter d’une note proche des quatre chiffres. Je savais que plus il paierait plus il serait exigeant avec mon corps gracile par la suite. Je ne voulais pas qu’il me ménage et cela me semblait une très bonne stratégie.

Sugar baby cèdera ou cèdera pas ?

C’est toujours un délicieux plaisir de tenir le rôle d’une sugar baby dans un restaurant classieux et un peu guindé. Ce plaisir est hélas souvent gâché lorsque le sugar daddy n’assume pas et semble gêné par les regards de biais des autres clients. Mais cette fois j’étais chanceuse et mon sugar daddy assumait à fond et semblait même prendre grand plaisir à m’exhiber comme un trophée. La façon dont il me tenait par la taille en entrant n’avait rien de paternelle et il était difficile de se méprendre sur la vraie nature de notre relation. J’avais choisi pour l’occasion une robe en laine brun Grizzly  très moulante sous laquelle il était facile de deviner que mes tétons était déjà tout durs. C’était déjà l’hivers et, sans dévoiler le nom de la ville choisie pour mon plan sugar baby je peux vous révéler que nous n’étions pas dans le sud. Aussi mes collants de laine étaient épais et j’avais sur le dos un manteau de vraie fourrure. Tout cela ne collait pas avec e look que l’on imagine d’une étudiante mais peu m’importait. J’avais mis dans mon annonce que j’étais étudiante et mon sugar daddy n’avait pas vraiment de raison d’en douter. C’est d’ailleurs l’angle d’attaque qu’il choisi pour meubler la conversation : « Alors, ma belle, tu étudies quoi exactement ? »

-« Je suis en Master Biologie-Santé. » Le niveau master me permettait de ne pas prétendre avoir tout juste vingt ans et ce n’était qu’un demi mensonge puisque c’est effectivement mon domaine.

-« Ah, un jolie scientifique donc ? »

Je m’empressais d’ajouter : »Mais en parallèle je suis une formation privée de techniques de massages bien être. J’aimerais un jour monter mon propre salon. »

-« Hummm, il va absolument falloir me montrer ça dis donc… »

Moi, faisant mine d’être timide : »Enfin, je débute. Mais, oui, bien sûr, je peux vous montrer…tout à l’heure. »

-« J’adore les massages. Tu sais ce que je préfère comme massage ? »

-« Heu non ? »

Il s’approche de moi par dessus la table et me glisse à l’oreille juste assez fort pour que la table d’à côté puisse entendre : »Ce que je préfère c’est le massage bucco pénien… ;o) » Je mets un smiley ici puisqu’il accompagne sa saillie d’un clin d’œil complice.

Je baisse les yeux, mets la main devant ma bouche faussement choquée et rougis. Eh oui, aussi surprenant que cela puisse paraître je rougis très facilement. C’est plus fort que moi.

Sous la table son pied s’est avancé et je le sens contre ma cheville. Je me demande si les autres clients ont remarqué cela. Peut être pas puisque la table est, comme il se doit, drapée. Tout à l’heure j’enlèverai peut être mon pied de ma ballerine et lui montrerai ce que c’est que vraiment faire du pied quand on est une sugar baby un peu cochonne. Mais pour l’instant je lui laisse prendre les initiatives et me contente de repérer les plats les plus chers de la carte.

 Que l’on soit dans un plan sugar baby rencontre sugar daddy ou sur un one shot coquin classique ce que je trouve toujours assez dommage dans les rencontres préparées sur internet c’est que, sachant qu’on est entre adultes consentants pour baiser, alors il n’y a que très peu de suspense. Les préliminaires, les vrais, ceux qui se passent habillés, souvent dans l’espace public, sont bâclés. Alors il y a peu de temps consacrer à faire monter le désir, à accumuler la frustration qui, justement est souvent proportionnelle au déchainement qui va suivre. C’est pour cela que j’aime donner rendez vous assez tôt dans la soirée et ne pas tout de suite me jeter sur le mec pour m’enfiler vingt centimètres de bite dans ma chatte trempée. Même si en vrai je ne vis presque que pour cette bite dans ma chatte ou ailleurs, j’aime qu’il y ait suspense, attente et même parfois je me dérobe au dernier moment juste pour le plaisir sadique de voir la mine déconfite de mon plan cul qui croyait que tout lui était acquis. Il ne faut jamais vendre la peau de la chienne avant de l’avoir tronchée !

J’éloignais donc ma cheville de son pied trop entreprenant tout en souriant à mon Sugar Daddy qui commençait à douter de sa bonne fortune. Sadique, pour accroitre son trouble je me lançais dans un discourt peu encourageant : »Vous savez, je suis une fille bien. Certes je suis un peu dans le besoin mais pas forcément prête à tout… »

« Ah?…Heu…que dois-je comprendre par là ? Ton annonce semblait pourtant assez claire. »

J’avoue que je prenais un grand plaisir à voir sa mine déconfite. Je soupçonnais que plus je le torturerai, soufflant le chaud et le froid, plus il risquait de me le faire délicieusement payer si, plus tard, je décidais de céder.

Je dois dire que le temps passé avec mon Sugar Daddy dans ce restaurant était aussi délicieux que le menu qui nous fut servi. J’étais parvenue à semer le doute dans son esprit. Aussi, sachant que mon beau petit cul de sugar baby pouvait contre toute attente lui échapper il faisait de vrais efforts pour ne pas laisser tomber la conversation. Il était d’ailleurs très habile à ce petit jeu. Il savait se montrer spirituel, il prenait le temps d’écouter mes inepties sur la dure vie d’étudiante désargentée, il s’intéressait à moi et à l’enfance difficile et campagnarde que je m’inventais au fur et à mesure de notre discussion.

Je pris plaisir à manger le plus lentement possible pour faire durer son supplice. Mais comme je suis bonne joueuse et que, malgré tout je n’avais pas trop envie de rentrer me coucher seule à la fin du dîner je proposais à mon sugar Daddy de prendre un dernier verre dans mon studio d’étudiante. Mais seulement s’il promettait d’être sage. Ou tout du moins d’essayer.

Sugar baby à croquer

 A peine étions nous rentrés dans le tout petit studio Air B&B que je comprenais qu’il n’allait pas être facile de continuer à me dérober. Bien sûr j’avais raison, à la toute première occasion, au moment où je lui tourne le dos pour refermer le verrou de la porte mon Sugar Daddy se colle à moi par derrière. Je feints la surprise une demi seconde mais finalement je me laisse aller et presse mes fesses contre lui. Sa bouche est sur mon cou, ses mains sur mes hanches.

-« C’est comme cela que vous tenez votre promesse d’être sage ? » dis je sans chercher à me dérober.

-« J’ai promis d’ESSAYER, pas de réussir ! » Ses mains relèvent ma robe de laine et sa bouche délicieusement baveuse embrasse mon cou. Heureusement sans tentative de suçon ! Je mets ma main dans ses cheveux et ondule du bassin en prenant soin de bien garder mon cul pressé contre sa queue que je sens durcir à travers le tissus. Sa main se fait baladeuse le long de mes cuisses et remonte vers mon con tout chaud. Mais je ne veux pas qu’il s’aperçoive que je mouille déjà comme une chienne en chaleur. J’ai envie encore qu’il croie que je feint, que je suis une étudiante sexy dans le besoin qui, bien que mettant du cœur à l’ouvrage, n’en aimerait pas moins être ailleurs. Je veux lui résister encore un peu pour qu’il doute encore et m’en punisse plus tard. Alors je saisi sa main et la remonte sur mon ventre pour lui faire comprendre que je suis d’accord pour des caresses sexy mais pas pour lui donner accès à mon intimité de jeune fille. Je me retiens aussi d’onduler et me dérobe un peu. Plus facile à dire qu’à faire vu que je suis coincée entre la porte devant moi et lui dans mon dos. Ou plutôt, devrais-je écrire contre mon dos. D’ailleurs mon sugar daddy a bien compris que je ne suis pas très décidée à me dérober et qu’il peut forcer un peu le destin car il se fait plus pressent. Il embrasse mon cou à pleine bouche et, comme je ne me dérobe pas vraiment, forcément mon sugar dady à les mains qui se font baladeuse sous la robe en laine. Il s’aperçoit vite que je n’ai pas de soutif et, surtout il sent du bout des doigts que les tétons pointent. J’ai abandonné toute velléités de résistance et je mets ma main dans ses cheveux pour l’encourager à m’embrasser encore. Il pelote mes seins et j’adore ça. C’est moi qui remonte ma robe pour dévoiler mes fesse. Je regrette d’avoir cet épais collant en laine mais je prie pour que cela ne l’empêche pas de me caresser à travers le tissus d’abord puis ensuite de glisser sa main entre la laine et mon con trempé.  Je passe une main sur son entrejambe et ce que je devine me plait carrément. Ca semble gros et dur à souhait !

-« on serait mieux sur mon canapé non ? »

il me libère et je le pousse sur le canapé qui n’est pas loin. L’avantage des tous petits appart airbnb !

je m’agenouille par terre entre ses genoux et déboutonne le pantalon de toile fine. Sous le caleçon en soie un gros sucre d’orges de Noël. 🍭

Je fais mine d’hésiter et d’avoir un petit mouvement de recul juste pour le plaisir de sentir sa grosse main de poser sur ma tête pour me pousser à lui faire la fellation qu’il pense lui revenir de droit. Je m’exécute en bonne sugar baby docile. Docile et appliquée. Très appliquée, je suce avec une lenteur calculée, en serrant bien les lèvres et en utilisant au mieux ma langue.

Plus je suce, plus j’aime sucer. Au début je pensais que c’était une question de technique et de dextérité. Mais aujourd’hui je sais que tout l’art d’une bonne fellation est dans le feeling de l’état d’excitation de mon amant. Savoir ralentir ou même arrêter avant le point de non retour pour éviter une ejaculation précosse est tout un art que je commence à bien maîtriser. Alterner entre les couille et la queue, me déshabiller au bon moment pour utiliser les seins, délasser les souliers du mec tout en suçant…ce soir là je parvenait à me dénuder entièrement et à lui ôter son pantalon tout en continuant à le sucer ou à le branler. J’aime savoir qu’il a une vue imprenable sur la chute de reins et mon petit cul quand je le suce. Quel bonheur de sentir sa grosse queue dans ma bouche. Je serre bien les lèvres, avançant et reculant la tête lentement, sans me presser, je savoure l’instant présent sans me soucier de savoir s’il va savoir se retenir ou m’éjaculer son foutre au fond de la gorge. Lui de son côté semble avoir compris que je prend plaisir à la chose et qu’il a maintenant tout son temps. Je ne vais plus me dérober. Il se déshabille entièrement en me laissant le sucer à mon rythme. Quand je lève les yeux sans lâcher la belle queue qui reste entre mes lèvres je constate avec ravissement que mon sugar daddy est nu comme un vers et finalement assez bien conservé. Les abdominaux sont là, pas trop de masse adipeuse et juste ce qu’il faut de poils sur le bas du ventre pour me donner envie d’y frotter le mien tout lisse. Alors je lâche des lèvres son beau braquenart et remonte lentement en prenant soin d’embrasser et de lécher abondamment le ventre puis le torse de mon sugar daddy.  Lorsque mes lèvres de petite salope sugar baby son sur son cou ma chatte toute épilée est contre son sexe dur. Je m’aide de la main pour l’introduire. C’est tellement bon, je suis déjà au bord de l’orgasme. Je sais que ça va durer car j’ai l’intention de le garder toute la nuit pour plusieurs rounds de baise. Je veux qu’il me baise, me rebaise et me fasse jouir jusqu’à l’épuisement. Je l’en sens capable et, au besoin je le droguerai sans vergogne. Puis, demain, je disparaitrai de sa vie et lui de la mienne !

Pornographie en alexandrins

Journal intime d’une jeune soubrette

Toute nouvelle au chateau, je n’avais pas soupé. Dans le garde manger je pensais être seule. Alors oui, j’ai fauté et voici mon histoire :

Arrivant aux cuisines, las, vous m’avez surprise

Une miche de pain, A peine un peu de beurre

Maigre était ma rapine, sur le fait j’étais prise

-« Tu chapardes mon bien ! Tu me brises le cœur ! »

-« Monsieur je vous supplie, point ne me punissez

Si vous me pardonnez, je vous rembourserai »

-« Si le forfait j’oublie, je perds tout ton respect

Ah si je m’écoutais, je te licencierais ! »

-« Oh non je vous en prie, je veux me racheter,

Ne me renvoyez pas, Je ne sais où aller

Je veux faire pénitence, Ordonnez j’obéis. »

A genoux je supplie, les larmes au bord des yeux.

-« Devant tant de détresse, je serai magnanime

Si tu voulais du pain, c’est que tu avais faim

J’ai là un bon mandrin à te faire avaler« 

A ces belles paroles le geste vous joignez

De vos braies vous sortez un morceau qui m’effraie

Je voudrais refuser, mais je n’ai pas le choix

Je dois obtempérer, je tiens à mon emploi

Mais je suis débutante, ne sais où commencer

Mon maître s’impatiente : »Commence donc par lécher ! »

Une langue timide, se pose sur la chair

A mon étonnement, cela est tiède et doux

Je lèche tout du long, suce par le côté

-« Continue ma mignonne, tu peux te racheter

Je ne suis pas ingrat, j’ai soin de ton confort

Pour ne pas étouffer, délasse ton corsage »

C’est vrai qu’il fait plus chaud, et me voilà seins nus

-« Quelle belle poitrine et tu me sembles douée

Je m’en vais t’enseigner, la branlette espagnole

Là, presse bien tes seins autour de mon mandrin

Et baisse ton minois pour me sucer le gland

Serre un peu mieux les lèvres, c’est bien applique toi

Si tu veux mon pardon, continue comme ça »

Chaque fois plus profond, vous glissez dans ma gorge

Si mes larmes on séché ma culotte est mouillée

-« Suffit, relève toi, donnes moi un baiser »

-« Et si je vous embrasse me laissez vous partir ? »

-« Voyez vous ça soubrette, peux-tu être naïve !

Ainsi à si bon compte, croyais tu t’en tirer ?

Retourne toi souillon, penche toi sur la table

Retrousse ton jupon et baisse ta culotte

Aurais tu oublié ? Je te dois punition. »

-« J’implore votre pardon, s’il vous plait soyez doux »

Mes suppliques sont vaines, et votre main se lève

S’abat sur mon séant, dix fois vingt fois cent fois.

La claque est vigoureuse, la fessée douloureuse

A chaque coup j’implore, je crie pleure et je geint

Enfin les coups s’arrêtent, vous soufflez sur mes fesses

Elles doivent être rouge, et je les sens à vif

Pour calmer la douleur, vous étalez du beurre

Vengeresse tout à l’heure,  la main se fait caresse

L’index et le majeur fouillent mon con trempé

Tendis qu’en mon anus, vous enfoncez le pouce

Je gémis malgré moi de honte et de plaisir

En moi je sens vos doigts, mais j’ai d’autres désirs

Les coups sont oubliés, je dis : « oh oui, encore ! »

Maître qu’à dieu ne plaise, je vous donne ma fleur,

C’est donc cela la baise, pénétrez moi sur l’heure

Prenez mon pucelage, j’ai fini d’être sage

Pour ma première fois, je suis prise en levrette

Et votre queue me fouille encore mieux que vos doigts

C’est si bon je défaille, j’en pleurerais de joie

-« Profitez mon enfant, car c’est à vos dépends

Que vous allez apprendre, tout plaisir a sa fin »

C’est pour changer de trou que vous défouraillez

-« Oh non pas ça monsieur, c’est bien plus gros qu’un pouce

Epargnez moi cela, ça ne rentrera pas »

-« Oh n’en sois pas si sure, tu es bien ma pointure

Si ça fait un peu mal, tu as droit de crier »

Vous rentrez dans ma fente, comme on enfonce un coin

Et ce n’est pas un cri, mais un long hurlement

Poussé à pleine gorge, mon pauvre fondement !

Vous empoignez mes hanches, pour mieux me défoncer

Et vos coups de butoir, sont sans ménagement

Quand vous vous retirez, c’est pour me retourner

Je vois votre giclée qui souille mon giron

-« Allons, je me rhabille, me détourne de toi

Tu es une bonne fille, tu gardes ton emplois. »

Aphrodisiaque, pharmacopée coquine au féminin

Aphrodisiaque, pour moi la vie toute entière l’est. Plus je baise et plus j’ai envie de baiser. Plus je découvre ce dont les hommes (et certaines femmes sans tabous) sont capables, plus j’ai envie d’en découvrir encore. Mais justement, c’est mon manque de limites et ma formation en Pharmacie qui m’ont fait m’intéresser aux Aphrodisiaques sous toutes leur formes pour faire naitre le désir plus facilement, faire durer plus longtemps une étreinte, raffermir le bâton de plaisir de monsieur ou détendre mon anus pour une bonne sodomie. Le petit tour d’horizon du monde aphrodisiaque que je vous propose ici n’a pas la prétention d’être complet mais j’espère qu’il vous plaira. J’espère aussi que vous n’hésiterez pas à laisser vos commentaires et suggestions sur ce chapitre chimique et coquin.

Les poppers, Aphrodisiaque roi ?

Si je commence cet article par les poppers c’est parce que le popper fut, il y a hélas longtemps, ma première expérience aphrodisiaque. Je veux dire en dehors de la cuisine au Gingembre ! J’avais 19 ans et n’étais pas aussi libérée qu’aujourd’hui. Je peux même écrire que, sans être coincée j’étais quand même globalement bien plus sage et réservée à 19 ans que je le suis aujourd’hui à trente. J’avais à l’époque un meilleur ami. Il n’était pas question pour moi de coucher avec lui même si je me doutais bien que lui en avait bien envie. Il nous arrivait, après les cours, de fumer un peu d’herbe dans son appart. En fait d’appart, c’était plutôt le garage de la grande maison de ses parents qu’il s’était réapproprié et avait intelligemment aménagé en studio indépendant. Un après midi où nous devions réviser ensemble pour un partiel de Stats ce qui devait arriver arriva. Nous n’avions ni herbe ni shit et juste un demi paquet de Marlboro lights. Bref la grosse dèche. En plus j’étais mal à l’aise car je savais qu’il en pinçait pour moi alors qu’il ne me plaisait pas et que je l’appréciais VRAIMENT comme ami. En plus j’avais besoin de réviser pour ce partiel. Quand il a trempé sa clope dans un petit flacon et m’a proposé de faire de même je n’ai pas voulu passer pour une conne. L’effet a été violent et immédiat, fou rire incontrôlable et grosse en vie de baiser. Comme je ne riais sans pouvoir me contrôler je me suis appuyée sur son épaule. Il m’a enlacée et on a baisé comme des sauvages à même le sol. J’étais déchainée et lui aussi. Ca n’a pas duré longtemps et, en vrai je lui en ai voulu après parce que je comprenais qu’il m’avait eue. Mais comme je ne suis pas stupide j’ai aussi compris que je devais en avoir eu envie au fond de moi puisque j’ai été très active pendant l’acte sexuel. Et surtout je savais que j’aurais envie de le refaire. Le popper est un aphrodisiaque incroyable. Le seul reproche que je lui ferait est que l’effet est de trop courte durée et que du coup il ne me convient plus vraiment parce que j’aime profiter longtemps et faire monter le désir progressivement. Mais pour un one shot éclair, rapide entre midi et deux, c’est idéal.

Pour en savoir plus l’article de wikipedia est pas mal fait et insiste sur les risque (ce qui n’est pas un mal !).

Pour en trouver légalement je me procure sur cette boutique : boutique plaisirs

onglet bien être/poppers.

Poppers
Je me fournis ici…

Mais vous en trouverez aussi ailleurs. Attention quand même aux arnaques et contrefaçons.

Quand à savoir lequel choisir dans le rayon aphrodisiaque je dirais qu’après en avoir essayé 4 différents il n’y a pas de différence à part l’emballage et l’odeur qui peut être plus ou moins masquée.

 Aphrodisiaques féminins

Il ne faut pas confondre l’aphrodisiaque féminin avec l’horrible pilule dite du violeur. Un aphrodisiaque féminin a pour effet d’augmenter ou de faire apparaître le désir sexuel chez la femme. C’est une démarche positive qui conduit à un sexe non seulement consenti mais bien souvent ardemment désiré. Au contraire la pilule dite du violeur annihile la volonté et vous met dans un état passif proche de l’hébétude. Franchement le sexe dans ces conditions, bof bof. Et surtout c’est juste un viol, un vrai viol, qui n’a rien à voir avec la situation très excitante de se faire prendre de force tout en étant contente et consentante !

 La suite reste à écrire, revenez souvent pour voir en direct mon article se construire. Bon, là je vous laisse je dois me préparer pour mon plan cul avec aphrodisiaque de dans 20 minutes…

Aphrodisiaques masculins

Aphrodisiaques naturels

Quels aphrodisiaques pour quelle pratiques sexuelles ?

Intitiation suite et fin

SMS sur ton iPhone : « Ton dessert t’attend dans la chambre, viens vite… »

Ouf, tu commençais à t’impatienter au bar pourri de l’hôtel Ibis. Cette toute jeune salope en quête d’émotions fortes je la considère comme un produit frais exceptionnel. Et je me vois un peu comme un grand chef cuisinier qui va tout faire pour te régaler avec ce morceau de choix. Il fait encore grand jour aussi j’ai tiré les rideaux de la chambre pour que la lumière soit moins crue. J’ai assise la jeunette sur le bord du lit. Je lui ai bandé les yeux, je pensais que cela t’exciterait. A la bosse qui tend ton pantalon de toile je sais que j’ai vu juste. Ton dessert n’est pas comme moi svelte et bronzée mais je dois dire que le rose sied parfaitement à ses formes à peine généreuses.  Tu restes sur le seuil de la chambre. Je me pends à ton cou pour t’embrasser goulument sur la bouche. Je susurre à ton oreille : »Alors, il te plait ton dessert ? Tu m’en laisseras un peu hein mon chéri ? »

-« Faut voir, j’ai une faim de loup. En tous cas tout à l’air délicieux ici, je sens que je fais me régaler ! » Tu joins le geste à la parole en pressant généreusement mes fesses. J’aime ça, tes deux main sur mes fesses. Tu m’attire à toi et je sens nettement ton braquemard contre mon con malgré le tissus qui nous sépare encore. Tu passes les mains sous mes cuisses pour me porter, je t’embrasse à pleine bouche alors que tu m’amène sur le lit et m’assois à côté de la petite qui n’a pas bougé d’un poil pubien. Nous sommes l’une à côté de l’autre, moi en jaune banane, bronzée et mutine, elle pâle et tout en rose timide et soumise. Je te désigne de la tête les deux laisses assorties à nos colliers sur la table de nuit. Tu me fais oui de la tête et je comprends sans un mot que je peux prendre en main les événements. J’aime cette idée de t’être soumise mais d’être en même temps la maitresse initiatrice d’une plus jeune. A quatre pattes en roulant mon petit cul je progresse jusqu’à la table de nuit pour prendre les deux laisse de cuir colorées. La rouge je l’accroche à son cou, la jaune je te la donne pour que tu décides si je dois aussi être traitée en chienne ou plutôt en maitresse. Tu poses ma laisse sur le bord du lit ainsi qu’un baiser très doux sur ma bouche. C’est ma bouche que tu embrasses mais c’est bien sur sa cuisse que remonte ta main. La jeunette ne bouge pas mais garde légèrement écartées ses jambes pâles. Je me place derrière elle, assise mes jambes le long des siennes. Mes mains sur son ventre je sens sa respiration ample, comme si elle essayait de rester le plus calme possible. J’embrasse son cou frai et parfumé. Toi ce sont ses orteils que tu prends dans ta bouche après avoir ôté une basket et une chaussette. Elle se laisse faire, timide et passive, mais les mains sur son ventre sous le chemisier je constate que sa respiration s’est nettement accélérée déjà. Je chuchote à son oreille : « Je vais te manger par le haut et mon ami lui, dégustera par le bas. Je suis sure que tu devines où nous allons nous retrouver… » Elle mets sa main dans mes cheveux. Je la prends par le poigné et redirige sa menotte vers sa culotte. Je suce son oreille tout en guidant ses doigts sur la bosse de son con à travers le tissu encore sec. Tu as dénudé l’autre pied et suce consciencieusement chaque orteil. Je déboutonne le chemisier, lèche le cou et chaque épaule. De ton côté tu en es aux chevilles. Ses seins pointent sous le soutif, elle a toujours le bandeau sur les yeux et la bouche entrouverte invitant au baiser. J’y introduit un doigt qu’elle suce doucement. Je note qu’elle se masturbe maintenant sans retenue la main dans la culotte. Nous avons à peine commencé, elle est déjà à fond et tu n’en est même pas à ses genoux. Je prends ses mains et les lui attache derrière le dos avec la laisse jaune. Elle résiste un peu mais sans grande conviction. Je défais son chemisier et le baisse le long de ses épaules. Les mains attachées dans le dos m’empêchent de la dénuder plus mais ce n’est pas très grave puisque ses seins blancs sont offerts. Je le tire par la laisse pour l’allonger alors que tu lui maintiens les pieds au sol. Ta bouche est sur sa cuisse. Connaissant ton goût pour les suçons je ne serai pas étonnée que tu laisses quelques marques rouges sur sa tendre chair blanche. Comme elle cherche à se relever j’assure ma prise sur la laisse le plus court possible pour lui tenir la tête sur le lit. Je sais la position sans doute inconfortable pour la petite salope. Mais je m’imagine à sa place et sais que c’est sans doute aussi très excitant. D’autant plus que tu as enfin dégagé sa culotte d’écolière sur le côté pour lécher sa fente déjà trempée. Notre jeune salope commence à gémir. Je suis un peu jalouse de son plaisir. Je lui chuchote : »Tu aimes ce qu’il te fait ? »

Entre deux gémissements elle s’avoue vaincue : »Oui, beaucoup, c’est bon ».

« Alors je veux que tu me fasses exactement pareil ! » J’écarte ma culotte et m’agenouille de façon à pouvoir relever sa tête au niveau de mon con gonflé de désir. Elle sort une langue timide mais je presse sa tête sur mon intimité et ordonne : »Exactement ce qu’il te fait ! » Je sais que tu presses ta langue au plus profond de sa cramouille puisqu’elle fait de même. Nous restons comme cela longtemps, la connasse me fait gémir et je l’encourage : »Encore, petite salope, tu t’en sort très bien jusqu’à mainenant, ouiiii, c’est bon ! » Elle a la bouche bien pleine mais gémie quand même son plaisir.

Je me retourne pour goûter aussi à son con de petite salope mouillée sans qu’elle arrête de me brouter le minou. J’en profite pour t’embrasse avec de mêler ma langue à la tienne sur sa fente. Notre jeunette a une chatte de débutante, mouillée à souhait, ferme et souple mais sans doute bien étroit. Je sais que tu es TTBM (Très très bien monté) et j’ai mal pour elle par avance ! Elle gémi de plaisir mais je sais qu’elle va sans doute crier dans pas longtemps. Je prie en secret pour qu’il te reste la force et la motivation de m’enculer quand tu l’auras épuisée. Pour une fois mes prières seront entendue ! C’est un peu grâce au bois bandé, beaucoup grâce à ta forme insolente ! Merci encore pour cette baise d’anthologie…

Transformer sa femme en salope lubrique

Transformer sa femme en salope, rêve ou réalité ?

Transformer sa femme en salope lubrique, quel homme marié n’en rêve pas en secret ? Tous les hommes mariés ou simplement en couple qui aiment le sexe n’ont pas nécessairement pour projet de tromper leur femme. Et je dois dire que je vous félicite si c’est votre cas !

Bon, si ce n’est pas votre cas retrouvez moi ici.

Et si vous voulez d’autre conseils laissez moi un commentaire ici. Je réponds toujours !

Me retrouver cocue m’a vraiment fait souffrir (au début…). Même si aujourd’hui je remercie le ciel que cela ai été le cas car cette mésaventure m’a permis à mon tour de découvrir sans remord les joies de l’adultère ! Mais, avouez le, vous attendez plus de vos relations sexuelles avec votre partenaire légitime. Et vous aimeriez réveiller la grosse salope qui surement sommeille en elle.

transformer sa femme en salope
transformer sa femme en salope

« Ma femme n’aime pas le sexe, que dois-je faire ? »

L’idée de cet article m’est venue après une discussion avec un collègue homme que j’apprécie beaucoup, vraiment beaucoup. Bien sûr, il n’est pas question qu’il sache que je trompe mon mari à tire larigot. Je pense aussi que les confidences qu’il me faisait lors d’un long déplacement professionnel en voiture étaient en réalité destinées à m’avoir dans son lit à l’hôtel ce soir là. Je n’aurais pas été contre, j’en avais même passablement envie. Mais pas question de prendre ce genre de risque avec un collègue. De toutes façons, ce soir là, j’avais déjà quelque chose de prévu avec un parfait inconnu d’internet. Moins de risque, plus de plaisir ! Mais revenons à nos moutons. Mon collègue se plaignait que sa femme qu’il disait aimer et toujours désirer le décevait car elle n’était vraiment pas entreprenante au lit. Lui rêvait de baise de folie avec une salope déchainée et elle ne lui consentait que des étreintes convenues et un coït aussi insipide que monotone. Il semblait sincèrement triste et ne semblait même pas conscient qu’il lui restait possible de transformer sa femme en salope qui aime le cul. Car, pour en avoir pas mal discuter avec mes amies, je peux vous dire qu’il est presque toujours possible de transformer sa femme en salope. Le tout est d’y croire et surtout, d’oser.

Transformer sa femme en salope, étape 1

Tout d’abord je tiens à préciser que je ne suis pas sexologue et que touts ces histoire de dialogue dans le couple, de sincérité, de « verbalisation du désir » etc…Je pense que c’est de la foutaise, que ça ne marche pas et qu’au contraire, trop en dire tue le désir et éteint les fantasmes dans l’oeuf. On est toutes d’accord sur ce point, un mec qui parle trop, un mari qui pleurniche sur la misère de sa vie sexuelle, c’est aussi excitant qu’une chaise de jardin en plastique. Niveau zéro au mouillomètre ! Ce que l’on aime c’est les mecs qui agissent, pas ceux qui parlent. Aussi, pour transformer sa femme en salope, on oublie tout de suite l’idée de lui en parler frontalement. Ou même de manière détournée d’ailleurs. Dire les choses détournées c’est encore pire, c’est nous prendre pour des connes inaptes à comprendre ou à accepter un message franc et direct. Si vous le dite directement c’est sûr, le message sera compris. Mais cela ne donnera pas pour autant envie à votre femme de se transformer d’elle même en bonne chienne du cul comme vous en rêvez. En règle générale dans le couple, une idée n’est mise en pratique par l’autre que s’il (elle) pense que c’est son idée ! Méditez bien cela, je vous assure que ça marche pour le cul mais pas que pour le cul… Ainsi donc, votre première étape doit consister à créer un problème pour que votre partenaire cherche par elle même à le résoudre ! Si vous n’êtes pas satisfait de vos rapport sexuels il est inutile et même contre productif d’essayer de les rendre progressivement plus pimentés. Dans un premier temps cela ne marchera sans doute pas. Au contraire si votre femme (ou votre copine) sent que vous vous ennuyez au lit avec elle il est probable qu’elle cherchera (en secret) des solutions. Si elle ne le fait pas c’est peut être le signe qu’elle ne tient pas tant que a à vous. Dans ce cas, pardon mais ça sent le sapin. Il faudra peut être songer à aller voir ailleurs si vous tenez vraiment à avoir une vie sexuelle moins misérable. Notez que le sexe n’est pas forcément important pour tout le monde. Je connais des hommes qui ont une vie sexuelle assez pauvre mais ne semblent pas en souffrir. Je ne les plein pas, bien au contraire, leur vie doit être assez facile. Mais si, comme moi, vous avez de grandes attentes en la matière alors assumez les !

Transformer sa femme en salope, erreurs à éviter

Bon, supposons que vous avez passé la première étape. Vous vous forcez à montrer moins d’entrain sexuellement. Voire vous êtes distant au lit et espacez de vous même la fréquence des relations sexuelles. Quand coït il y a vous faites en sorte que ce soit le plus barbant possible. Elle s’en est forcément rendu compte. Si elle vous en parle allez y avec doigté. Dite que tout va bien mais sans en avoir l’air convaincu (ça ne devrait pas être difficile). Si elle ne vous en parle pas ne vous inquiétez pas, il est probable qu’elle gamberge. On est comme ça nous les filles. Quand il y a un problème dans le couple, soit on en parle tout de suite, soit on garde pour nous mais on essaie de trouver une solution par nous même. Dans tous les cas il faut maintenant pour transformer sa femme en salope trouver le moyen qu’elle en ait elle même l’idée. L’idée et surtout l’envie !

C’est là qu’il faut éviter les erreurs qui gâcheraient tout. Donc, pour transformer sa femme en salope la première grosse bêtise à éviter c’est de faire un cadeau « sexy ». On offre de la lingerie coquine, un costume d’infirmière sexy ou un kit sado maso à sa maitresse ou a une fille déjà bien salope. Pas à sa femme coincée du cul ! Gardez cela pour plus tard, quand votre femme sera déjà sur la bonne voie, quand elle sera une salope débutante que vous voudrez faire évoluer en salope experte. Une femme c’est un peu comme un Pokemon. Pour transformer sa femme en salope il faut la faire évoluer étape par étape !

Transformer sa femme en salope grace à la littérature

 Ne vous y trompez pas, le succès de 50 nuances de gris auprès de la gen féminine n’est pas un hasard. Personnellement je trouve ce roman navrant. Mais sa lecture n’en est pas moins excitante (même si il y a bien mieux ailleurs). Une solution consiste donc à faire en sorte que votre femme puise dans la littérature érotique pour « trouver » des solutions au problème. Le plus difficile pour vous va être de trouver un moyen de faire entrer ces livres dans sa bibliothèque sans que cela semble venir de vous. A vous de faire preuve d’imagination. Vous pouvez avoir une amie complice qui lui offre des livres. Si vous avez déjà une bibliothèque familiale fournie vous pouvez ajouter des livre en douce. Un ami qui voulait transformer sa femme en salope m’a avoué qu’il y était allé au culot en postant directement dans sa boite au lettre les ouvrages qu’il voulait que sa femme lise. Il avait juste mis leur adresse mais un nom bidon à la place du leur. C’est sa femme qui ouvrait la boite aux lettres. Quand elle lui a montré le colis il a juste dit qu’il ne savait pas du tout et qu’il pensait plutôt à une erreur. Elle était un peu soupçonneuse mais il a dit que vraiment si il achetait des romans Pornos ce n’est pas vraiment ça qu’il choisirait et surtout il ne se les ferait pas livrer dans la boite aux lettres ! Au final les livres étaient là et il ne lui restait qu’à attendre pour qu’elle les lise elle même en cachette !

Dans la littérature plutôt bonne au mouillomètre et qui peut me rendre plus chaude le soir venu il y a incontestablement les écrits de Bernard Margeride (clicker sur la photo) :

Transformer sa femme en salope, la piste chimique

 J’ai une formation pharmaceutique. Et, de ce fait, je sais le pouvoir que peuvent avoir certaines molécules sur le corps et sur l’esprit. Alors bien sûr il ne faut pas abuser, il faut y aller avec prudence. Mais ces précautions oratoire prises on peut dire que les aphrodisiaques SONT aphrodisiaques. Quelques goutes du bon produit à l’insu de madame peuvent vraiment la rendre plus entreprenante. Mais là encore, pour vraiment transformer sa femme en salope lubrique il faut faire preuve de ruse. Si vous utilisez un aphrodisiaque et sans avoir préalablement préparé le terrain tout ce que vous gagnerez c’est un Nième accouplement sans originalité et à peine plus torride que ce que vous avez eu jusqu’alors. Le mieux, au contraire est d’utiliser les aphrodisiaques pour l’exciter mais SANS en profiter sur le moment. Elle a envie, tempi. Pas vous. Laissez la sur sa faim. Torturez la un peu. Remettez quelques goutes magiques à son insu trois ou quatre jours plus tard et ne cédez toujours pas.

Enfin, le jours J, vous devriez constater une nette amélioration dans le comportement coquin de votre belle.

Pour transformer sa femme en salope faite vous aider d’une amie coquine

Peut être avez vous la chance d’avoir une amie fille. Qu’elle soit une amante ou juste une amie et confidente, cela importe peu. Si vous avez confiance en elle et qu’elle est d’accord pour vous aider alors c’est l’idéal. C’est votre amie qui devra devenir la confidente de votre femme trop sage. C’est elle qui petit à petit lui racontera ce qu’elle fait à son mec. Comment elle aime le sucer ou se faire prendre en levrette dans ma salle de bains. Croyez moi, entre filles on parle facilement. Et on a un sens certain pour la compétition. Il est probable qu’assez vite votre femme sera inspirée par votre amie coquine et voudra, elle aussi avoir des choses à raconter.

Voilà, à la relecture je m’aperçois que cet article sensé aider à transformer sa femme en salope bien lubrique est un peu mince et qu’il y aurait sans doute bien plus à dire tant du côté des hommes que des femmes. J’espère qu’il vous donnera envie de commenter et de partager vos expériences ou trucs et astuces pour transformer sa femme en salope qui suce. A vos commentaires sages ou lubriques !

initiation d’une jeune salope, la suite

Je suis en même temps intimidée et excitée. Pour moi cela avait commencé comme un jeu, une façon conne de me prouver que j’étais grande, que le sexe et la luxure qui m’excitait dans les séries de canal+ comme maison close ne me faisaient pas peur dans la réalité. Le début de notre rencontre, Lucie l’a déjà raconté jusqu’à l’arrivée à l’hôtel. Je ne saurais quoi y ajouter sinon que j’étais plus excitée par l’idée d’un plan cul avec Lucie que par son copain qu’elle me présentait. Je ne le trouvais pas vraiment beau mais j’étais excitée par la situation et tellement désireuse de bien faire. Je crois que même si elle m’avait mise dans les bras d’un gros vieux libidineux j’aurais marché. Alors finalement  l’homme plutôt bien fait à qui elle se proposait de m’offrir je me disais que c’était plutôt bien. Et j’étais quoi qu’il en soit très exitée. Une fois tous les trois dans la chambre de l’hôtel ibis je pensais qu’on allait directement passer aux choses sérieuses. Mais Lucie en décida autrement et renvoya son « ami » de la chambre : »Laisse nous seules un moment, tu veux ? Je t’enverrai un texto quand tu pourras nous rejoindre »

lui : »Heu ?! Pourquoi? »

Lucie: »Écoute, tu connais Top Chef ? Imagine que tu aies un très beau morceau de viande du marché. Tu ne voudrais pas le consommer tout de suite cru sorti du paquet ? Là on a trouvé un très bon produit frais, laisse moi te le préparer un peu pour que ce soit vraiment un plan cul presque parfait… »

lui: »ah, bon, ok, mais ne soyez pas trop longues alors et interdiction de te mettre à table sans moi ! »

Il referme la porte derrière lui nous laissant seules Lucie, sa valise et moi.

-« ca va ? Toujours partante pour la grande aventure ? Tu peux encore reculer si tu veux ? Mais si tu restes il faudra aller jusqu’au bout… »

-« oui, t’inquiète, j’ai confiance et je suis partante…même si je ne sais pas encore trop ce qui m’attend…mais c’est ca qui m’excite aussi… »

-« bien, bonne attitude. Viens ! »

Lucie est assise sur le lit, elle me fait signe de me tenir debout devant elle. Elle me prend par la taille et me fait tourner sur moi même. Ses mains passent sous mon pull, caressent mes hanches et mon ventre alors que je tourne sur moi même.

-« Tournes toi ! »

J’obeis et lui tourne le dos. Elle est derrière moi, contre moi. Ses mains sur mon vendre déboutonnent mon jean. Elle parle doucement à mon oreille.

-« tu es jolie mais le look, ca ne va pas du tout. Et tous ces poils c’est vraiment pas sexy pour mon ami. » Sa main est dans ma culotte sur ma toison.

« Il va falloir raser tout ça… mais d’abord à poil ! »

Elle baisse mon jean et la culotte en même temps.

-« t’inquiète, je te câlinerai aussi ma jolie. Mais pour l’instant pas trop de temps à perdre, je te veux parfaite dans moins d’une demi heure et il y a du boulo ! Donc tu te désapes et tu me rejoins à la salle de bains ! »

Lucie file à la salle de bain faire couler un bain. Je me mets entièrement nue. J’ai un peu honte de mon corps. Elle est si athlétique et belle. À côté je me sens commune, mes seins font à peine la moitié des siens et je suis plus petite qu’elle de presque une tête. Elle est nue elle aussi et me semble parfaite, tellement plus mince, musclée et bronzée que moi. Elle me regarde sans gêne. Je rougis. Elle devine mon trouble : »t’inquiète, tu es parfaite. Je vais faire de toi la jolie jeune salope la plus désirable qu’un homme puisse vouloir. Tu n’as pas à t’en faire. Viens, on va jouer à la poupée. »

Je suis lavée, couverte de lotion douce et odorante. Mais aussi rasé de partout. Les jambes, les aisselles et bien sûr le pupils intégralement rasé. J’ai l’impression d’être à nouveau une petit fille. Mais une petite fille pas si innocente que ca…

Lucie me sèche, elle me lisse longuement les chez eux qu’elle coiffe en deux couettes très années soixante. J’ai l’impression d’être la toute jeune Sylvie Vartan qui va chanter les sucettes à l’anis. Sauf que j’en sais le sens caché.

-« ce n’est pas fini, couchés toi à plat ventre sur le lit, il faut encore faire le SIF. »

-« Le quoi ? »

-« Le sillon Inter Fessier, petite sotte ! Allez, vite, on n’a pas toute la nuit ! Enfin si, on l’a mais plus vite tu seras prête, plus on aura de temps pour te déguster et toi pour déguster ! »

Lucie a des bandes autocollantes d’épilation. Elle écarte mes fesses délicatement et commence la douloureuse épilation complète de la raie de mon cul. Elle passe une Lotion apaisante et ne peut s’empêcher de caresser mon sexe au passage.

-« hummm, mon ami va t’adorer ! Tu es vraiment toute douce de partout ! »

Nous sommes nues toutes les deux. J’aimerais tant qu’il n’y ait que nous deux à cet instant. Mais  le programme est différent. Lucie a décidé que je serai déguisée en friandise sucrée. Elle a pour moi des grandes chaussettes blanches qui montent juste au dessus du genou avec en haut trois bandes roses, une jupette très mini blanche et rose avec sa culotte rose à poids blancs assortie👙, un bustier blanc avec une grosse 🍒 en motif. Sous le bustier je suis seins nus mais comme ils ne sont pas très gros et bien fermes ça va. Bon, j’avoue, j’ai juste les tétons qui pointent et ça me gêne un peu. C’est con car, vu la situation je ne devrais pas être gênée par ce détail… Mais j’y peux rien ! J’ai envie de couvrir mes seins avec mes bras croisés. Lucie peigne mes cheveux longs et en fait deux couettes parfaites qui remontent un peu et me grandissent de quelques centimètres. Elle ajoute des pinces à cheveux avec des 🍒  🍒 en plastique assorties à mon T-shirt. Rouge à lèvres 👄 et collier ras de cou en cuir rose avec une boucle chromée complète mon déguisement en friandise sucrée. J’ai peur d’être ridicule et que son ami se moque de moi. Mais Lucie tente de me rassurer : »Crois moi, plus c’est exagéré, plus ça marche ! Et t’inquiètes, moi aussi je vais me rendre appétissante. »

je suis en blanc rose et rouge. Lucie a choisi un les mêmes grandes chaussettes que moi mais en jaune. Un T-shirt avec une 🍌, une paire de converses jaunes et elle se fait une queue de cheval. Elle a le même collier que moi mais en jaune. Ce qui m’inquiète un peu c’est qu’elle pose sur la table de nuit deux laisses de 🐩 assorties.

-« pas d’inquiétude, c’est pas un violent ! Tu vas voir, je suis sûre que tu vas aimer, c’est très excitant. Et si ca peut te rassurer la boucle ne tient que pas un scratch. »

Effectivement, elle me montre que si je tire sur la boucle elle se déscratche du collier. Ingénieux.

Elle pose un assortiment aussi impressionnant que colloré de crèmes et lotions sur la table de nuit et nous déclare enfin prêtes pour le banquet. SMS envoyé à son fin gourmet. Plus question de reculer…

Suite et fin un peu plus tard…mais j’attends vos commentaires d’encouragement…