Mini jupe, bas nylons et talons hauts j’avais l’air d’une pute ce soir là sur le trottoir de la rue Alfred de Musset à Valence. Mais sauf si l’idée de pute gratuite signifie quelque chose je n’étais pas une pute. Juste une femme coquine en mini jupe bien décidée à m’offrir un peu de plaisir charnel après une trop longue période d’abstinence sexuelle.
mes autres plans cul et délires sexuels
Mini jupe pour salope à consommer sur place ou à emporter
Pour mon plan cul dans la Drôme j’avais choisi Valence. La capitale de la Drôme n’est pas ce que je préfère dans le département 26 car pour moi Valence c’est encore un peu le nord, ce n’est pas encore la Drôme provençale où j’ai quelques souvenirs de plans culs disons rustiques…Mais, faute de grives on mange des merles. Et à défaut de merles j’avais très envie de manger de la bite et de m’offrir un vrai bon moment de plaisir sans tabous. Mon rendez vous commercial était à Valence, c’st donc à Valence que je trouvais un petit AirBnB sympa et que je trouvais sur infidèles mon plan cul du jour. Enfin, mon plan cul de la nuit devrais-je écrire puisqu’à cette heure il faisait déjà nuit et je commençais à regretter d’avoir choisi la mini jupe comme signe distinctif pour qu’il me reconnaisse dans cette rue déserte. J’avais écrit : « Tu me reconnaitras facilement, j’aurai une mini jupe, des bas nylon et des talons hauts de bonne salope prête à consommer. »
Heureusement mon rendez-vous coquin était arrivé avant moi et je n’eu pas à me faire importuner par d’autres hommes à cause de ma mini jupe et surtout du petit cul qu’elle ne parvenait pas à cacher. Mais j’eu cependant une belle peur car il me surpris par derrière en me prenant par la taille comme si nous étions de vieilles connaissances. Mon cœur ratait une ou deux battements et cela m’excita instantanément. J’adore les sensations fortes et les surprises.
Je me retournais pour l’embrasser sur la bouche sans même prendre le temps de vérifier si son physique correspondait aux photos de son annonce coquine. De toutes façons le physique m’importe peu. Ce que j’aime ce sont les situations, le contexte et l’histoire racontent les corps. Je savais que c’était lui juste au grand manteau de tweed bordeaux qu’il portait. Et comme j’avais très froid j’étais heureuse qu’il m’en enveloppe pendant notre baiser.
-« J’adore ta mini jupe » furent ces premiers mots. Ces mains pelotaient déjà mon petit cul et j’embrassais fougueusement pour l’encourager. Notre long baiser et les mains très baladeuses sous ma mini jupe furent interrompus par le ralentissement d’une voiture de gendarmerie à notre hauteur. Je le prenais par la taille et l’entrainais comme si nous étions de vieux amants. La marée chaussée nous laissait tranquilles et j’emmenais mon mignon jusqu’au porche d’entrée du petit immeuble où se situait mon AirBnB. Je tapais le code pour entrer dans l’immeuble, sa main était à nouveau sous ma mini jupe. Je le laissais faire : »C’est au dernier étage tu me suis ? »
La question était de pure forme. Bien sûr qu’il me suivait. En montant les marches je m’appliquais à rouler du cul et à faire claquer mes talons aiguilles sur le bois sec du vieil escalier. Arrivés en haut, au quatrième, je cherchais les clef dans mon mini sac à main. Il en profita pour me plaquer contre la porte et relever ma mini jupe pour mettre sa main par derrière entre mes cuisses. « Tu sais que si tu ne te dépêches pas d’ouvrir je vais te prendre contre la porte ? »
« Je ne suis pas contre mais à l’intérieur on aura plus de temps…Et j’ai quelques accessoires qui pourraient te plaire… »
« Hummm, tu m’as l’air d’une bonne grosse cochonne toi dis donc. »
J’avais trouvé les clefs mais je décidais de faire semblant de chercher encore pour voir jusqu’où il irait. Je ne fus pas déçue. Il se mit à genoux devant moi, la tête sous ma jupe et déchira le devant de mon string noir en me poussant fermement contre la porte. A travers le tissus de ma mini jupe je pressais sa tête pour l’inciter à aller au bout du cunnilingus qu’il semblait prêt à m’offrir. Sa langue et ses doigts étaient juste comme j’aime. Fermes sans être brutaux. Déjà au bord de mon premier orgasme de la soirée je devinais son pouce dans ma chatte, le majeur cherchant le bord de mon anus. Des lèvres il suçait mon bouton et sa langue…sa langue me semblait incroyablement grande. Etrangement rapeuse comme celle d’un chat mais large et ferme. J’avais l’impression de l’avoir partout en même temps. Je devais me mordre les lèvres pour ne pas gémir.
-« C’est bon, tu as gagné, arrête, j’ai trouvé la clef. »
Je me forçais à regret à tirer sa tête vers le haut pour le relever et ouvrir la porte du minuscule studio qui était ma garçonnière pour une nuit.
La suite, mesdemoiselles, mesdames et messieurs, n’appartient qu’à nous et, souffrez que, pour une fois, je vous laisse sur le pas de la porte. Vous ne saurez pas dans quelles positions (très au pluriel) je l’ai sucé ni combien de fois entre ce début de soirée et le lendemain en fin de matinée il m’a éjaculé dans la bouche. Vous ne saurez pas s’il pri le temps de m’enlever ma mini jupe pour me prendre par derrière comme une chienne en chaleur. Ceux qui me connaissent se doutent que j’ai crié quand il m’a sodomisée. Ceux qui m’ont pratiquée savent que nous n’avons reculé devant aucun stimulant chimique pour faire durer le plaisir jusqu’à l’épuisement…Et que nous avons recommencé au réveil. Un réveil dont la douceur à contrasté avec les brutalités consenties de la veille. Mais pour une fois je vous laisse deviner et n’en raconte pas plus. Juste un détail, ma mini jupe était tellement froissée que le lendemain c’est en tailleur strict et très sage que j’ai quitté le petit studio pour me rendre à mon rendez vous commercial qui, lui, n’eut rien de coquin.