Comment convaincre une femme mariée de tromper son mari ?

Avouez le, vous avez tous, dans vos fantasmes, une femme mariée avec qui vous aimeriez commettre l’adultère. C’est une collègue, votre belle sœur, la femme d’un ami, une voisine ou une maman de l’école de votre enfant. Vous sentez qu’il pourrait se passer quelque chose mais vous ne savez pas comment faire pour qu’elle passe le pas et trompe son époux avec vous comme amant.

Les articles conseils, trucs et astuces pour pousser une femme à l’adultère

C’est toujours un peu barbant les articles de conseils genre méthode infaillible pour décider une épouse fidèle de tromper son mari. Vous n’y lisez que des banalités du type : rassurez la sur votre discrétion, soyez sincère et patient etc…Et au final vous n’êtes pas plus avancé et la lecture n’a même pas été marrante !

Alors, plutôt qu’une liste de conseils impersonnels j’ai décidé, dans ce post, de vous raconter quelques histoires d’adultères où de lecteurs de ce blog ont réussi à convaincre une candidate à l’adultère de passer le pas. Ou de lectrices qui ont, pour la première fois pris un amant et où elle expliquent ce qui les a fait craquer. Tous ces témoignages sont réels mais j’ai réécris à ma sauce pour que vous preniez plaisir à les lire.

Pour chaque histoire j’essaie de tirer un enseignement, de vous trouver quelques principes a retenir ou astuces utiles pour séduire une femme mariée.

Guilain, moniteur de ski :

Guilain est moniteur de ski l’hiver. Hors saison il est agriculteur en montagne. Il a quelques chèvres et une cave dans laquelle maturent d’excellents fromages. Physiquement Guilain est loin de l’archétype du beau moniteur de ski jeune, branché et bronzé. Il est petit (1m72), maigre, moustachu et buriné à presque 60 ans. C’est justement ce profil et cette apparence qui lui donnent un avantage sur ses collègues plus jeunes lorsqu’il s’agit de draguer de belles femmes mariées. Guilain est LE moniteur auquel ces messieurs n’ont pas d’inquiétude à confier madame pour des cours particuliers de ski. Guilain a un taux de succès impressionnant avec les femmes mariées. Sur une semaine de cours particuliers il lui faut en général 3 à 4 jours pour parvenir à ses fins. Autant dire que les derniers cours ont plutôt lieu à l’horizontale dans son petit studio de la station. Guilain a un bon niveau d’Allemand et il m’a confié qu’il y a une vraie différence entre la femme adultère Teutonne et sa cousine de l’hexagone. Les allemandes seraient meilleures suceuses, adeptes de la cravate de notaire que nous autres françaises (je demande à voir !). Par contre nous les françaises nous aimerions davantage jouir par le cul et avoir les fesses rouges. Bref, je n’ai pas plus de détail que ça sur la méthode de Guilain mais je pense que nous pouvons en tirer quelques enseignements :

– Mettre le mari en confiance. Pour que la femme mariée soit plus à même de sauter le pas il faut que vous ayez du temps avec elle. Pour cela le mari doit être loin et en confiance. C’est pour cela que les collègues de bureau sont des proies plus faciles. Donner des cours est, évidemment, l’idéal. Si vous êtes doué pour un sport, et que la femme d’un ami vous intéresse alors cela peut être un angle d’attaque. Trouvez un moyen de l’intéresser à votre sport. Et proposez une pratique commune. Sans le mari bien sûr ! Avec un peu d’astuce et de diplomatie vous y parviendrez sûrement. Croyez moi, vous avez 90% de chance que le reste vienne tout seul et naturellement !

Le second enseignement est que Guilain est un amant de vacances, quelqu’un que la femme mariée ne reverra pas, une parenthèse coquine dans une vie par ailleurs bien rangée. Si vous cherchez l’aventure avec une femme mariée vous aurez plus de chance de succès si vous vous mettez dans ce type de situation. Soyez le voisin charmant d’une résidence de vacances familiale, l’étranger de passage, le photographe de National Geographic de la route de Madisson.

Alexandra, 35 ans, mariée et fidèle depuis 10 ans.

Alexandra m’a confié avoir craqué un soir d’automne lors d’un séminaire en finissant par coucher (une seule fois) avec un collègue de travail. C’était le dernier soir du séminaire dans un grand hôtel privatisé pour l’occasion. Elle avait un peu trop bu et une copine et collègue lui avait confié qu’elle se serait bien tapé Patrice, l’ingénieur méthodes. De savoir que sa copine en avait envie à été l’élément déclencheur pour qu’Alexandra en ait aussi envie. Ça et quatre Moscow Mule bien dosés. Elle a glissé un double de la carte magnétique de sa chambre dans la poche arrière du jean de Patrice sous les yeux ébahis de sa copine verte de jalousie quand elle a vu qu’il se dirigeait vers l’ascenseur à peine trente seconde après qu’Alexandra ai quitté la soirée.

Retenons que l’Alcool est un bon désinibiteur et que faire jouer la rivalité entre femmes fonctionne souvent très bien.

 

Mettez moi en commentaire vos histoires d’adultère. Vos histoires ou vos désirs. Revenez régulièrement sur cette page que je promets d’enrichir d’autres histoires et conseils.

Bisous mouillés !

Ta petite secrétaire sexy fait des heures supplémentaires

Ta petite secrétaire porte une jupe tailleur courte et très moulante. Gênée elle la tire nerveusement vers le bas. Mais la jupe remonte invariablement de quelques centimètres laissant voir la dentelle du haut de ses bas nylon. Fin de journée, les bureaux sont déserts et tu m’as convoquée pour mon entretien de fin de période d’essais.
-« Vous vous plaisez ici mademoiselle ? »

-« Oui monsieur. »

-« Vous voulez rester ? »

-« Oui monsieur. »

-« Tant mieux. Parce que si vous vous plaisez ici, je ne vais pas vous mentir. Vous me plaisez beaucoup. »

Pas la peine d’y aller par quatre chemins. Tu déboucles ta ceinture et le premier bouton de ton pantalon sans prendre la peine de te lever de ton fauteuil. Ni grand, ni particulièrement sportif, sans être obèse, tu ne cherches pas à cacher une confortable bedaine clairsemée de poils frisés. J’aime être malmenée aussi je choisi souvent des plans cul au physique quelconque. J’ai pu remarquer qu’un mec un peu quelconque qui lève une bombe atomique à tendence a m’en donner plus, comme pour se venger de toutes celles qui l’ont rejeté. Je décide de jouer mon rôle du mieux possible. Ta petite secrétaire particulière fait de grands yeux effarés mais elle n’est pas une oie blanche. Elle comprend très bien ce que tu attends d’elle. Tu m’as choisie pour mes gros seins qui tendent mon chemisier blanc. Mais ce qui t’excite c’est le contraste entre mon physique de jolie salope, ma tenue sexy et, malgré tout, ma démarche et mon attitude hésitante, presque naïve, débutante. L’index recourbé en crochet suffit à me faire venir à toi. Je tire nerveusement sur ma jupe vers le bas. Tu fais de la place sur le grand bureau en poussant les dossiers sur les côtés. Je comprends que je dois m’y assoir face à toi. Tu écartes mes genoux et retrousses ma jupe. Mon string est blanc, très fin, tout en dentelle sur mon petit abricot intégralement épilé. Certains  aiment les poils. Moi non. J’aime être toute lisse et glissante. Tu te jettes sur mes cuisses que tu embrasses et suces à pleine bouche. Ça je ne m’y attendais pas mais je me laisse faire. Je m’attendais à commencer par te sucer mais un bon cunni, je ne suis pas contre finalement. Ta langue est large et, string écarté, mon abricot gonflé s’ouvre. C’est bon et je cède à la tentation de mettre ma main sur ta tête pour t’encourager à continuer. Tu passes la main sous mes fesses ton doigt à la recherche d’un passage vers mon anus. Ta petite secrétaire à un joli petit cul bien ferme. L’anus est contracté et tu peines à y entre ne serait ce qu’un doigt. Tu renonces temporairement et l’embrasse sur la bouche. Tu te dis que si elle te rend ton baiser alors c’est le signe qu’elle n’est pas contrainte, que, même si elle veut le job, elle aime quand même bien se faire baiser par son patron. Et, ça tombe bien, le patron, c’est toi. Elle a la langue nerveuse, les lèvres douces et fermes à la fois. Elle embrasse les yeux grand ouverts, tu prends sa main et la guide vers ta queue. Elle ne résiste pas et te branle en t’embrassant les yeux dans les yeux. Tu es vite debout et elle a plat ventre sur le bureau en train de te sucer les mollets relevés. Ta secrétaire est une bonne suceuse, patiente, consciencieuse. Elle lèche et suce en balançant légèrement ses jambes. Tu tends la main pour retrousser sa jupe et admirer son petit cul. Tu aimes ses molets, les talons hauts qu’elle a gardé aux pieds et ses yeux toujours grands ouverts. Elle a l’air de vraiment aimer la queue celle la. Tout en gardant ta queue bien en bouche elle baisse sa petite culotte pour que tu puisses mieux voir son joli petit cul. Un petit cul lisse et bronzé, une chute de reins parfaite avec une taille assez mince qui te donne envie de la tenir entre tes mains. Ta petite secrétaire suce tellement bien que tu hésites à la retourner pour la prendre par derrière. Mais les fesses sont trop jolies et la taille trop tantente pour juste lui ejaculer dans la bouche. Tu empoigne son chignon et la met debout. Tu la guides par la taille pour qu’elle se penche en avant sur le bureau. Tu prends dans un tiroir de ton bureau une paire de ciseaux et coupe son string pour qu’elle puisse écarter les jambes. Tu graisses en la prenant en levrette. Ta secrétaire bouge juste comme il faut, elle dit : « oui, oui, oui, oui… » d’une petite voix aiguë. Quand tu décides enfin de l’enculer c’est elle qui met ses mains sur ses deux fesse pour bien les écarter. Tu dois forcer un peu pour prendre son anus mais elle dit toujours : « oui, oui, oui… » Tu l’encules sans te presser, longtemps et bien à fond. Quand tu décharge dans son cul ses fesse sont rosées. Tu restes en elle et débande dans son cul. Ta petite secrétaire était en intérim. Tu sais qu’elle ne restera pas, mais tu comptes bien en profiter le plus possible avant qu’elle parte ailleurs.

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Bal des pompiers

C’est bientôt le 14 juillet. Un de mes moments préférés de l’année. J’aime ce moment pour le bal des pompiers. En général je suis en vacances. Mon mari n’est jamais bien loin et les vacances en famille ou avec des amis sont un calvaire pour la femme adultère que je suis. Tellement moins de liberté que le reste de l’année. 5 à 7 inexistants. Pourtant j’arrive toujours, le 14 juillet à m’échapper. La soirée débute en famille mais sur le coup de minuit, une heure, mon mari qui voit toujours un peu trop piqué du nez et rentre en me laissant profiter de la fin de nuit. Je trouve toujours un inconnu avec qui m’éclipser pour un feu d’artifesses.

Cela m’a donné une idée : Pourquoi ne pas mettre en commentaire ici à quel bal vous serez les unes les autres. Et comment faire pour vous reconnaître ?

Baisée au bord de la piscine

Maillot de bain deux pièces jaune cocu, je dors sur un transat en tek au bord de la piscine. Enfin je dors, il serait plus sincère de dire que je cuve. Le déjeuner a été aussi arrosé que le punch était chargé. Tu m’as servie, resservie et resservie encore. Tu n’avais pas besoin de me saouler pour me séduire. Mais j’ai bu, parlé avec presque tout le monde, flirté aussi un peu. Avec d’autres que toi pour attiser ta jalousie et te faire douter de la suite des événements. Être un vraie salope est tout un art ! Étrange sauterie organisée entre bourgeois de province dans un petit château de l’arrière Pays Nantais. J’y suis sur ton invitation. L’œil torve que j’entrouvre me permet de constater que les autres convives semblent s’être éclipsés. J’imagine dans les chambres ou les petits salons du domaine. Je ne me sens pas en état de les suivre pour le moment et je referme les yeux en priant pour que le bourdonnement cesse dans ma tête. Nous ne serions pas presqu’en Bretagne et j’aurais moins bu, je m’inquièterais des coups de soleil qui menacent mon dos nu. Mais le soleil est presqu’aussi voilé qu’une femme afghane et je replonge dans une semi conscience éthylique qui doit bien t’arranger. J’imagine que tu t’es approché lentement de mon corps avachi. Tu auras caressé du bout de l’ongle mes fesses. Ou peut être les auras tu simplement d’abord regardées, jaugées. As tu lissé mes cheveux mis sur mon oreille la mèche de cheveux brune qui cachait mon visage ? Je sais que tu as baissé ton short et sortie ta queue pour caresser ma joue et le bord de mes lèvres maquillées de glos rose. Je me souviens avoir entrouvert les lèvres par réflexe. Même au bord du coma éthylique je sais que j’ai envie de sucer. Tu as joué un peu à mettre ta queue dans ma bouche. C’était bon mais j’étais trop stone pour m’appliquer comme il se doit. Je crois me souvenir que tu t’es assis sur le transat, juste contre ma hanche, là où la taille d’évasé pour laisser place à mes belles fesses. Je sais qu’il y avait, posée au sol, un flacon oenobiol d’huile solaire. J’ai souvenir de quelques goutes, d’abord sur ma nuque. Il me semble que tu as bataillé un peu pour trouver comment dégrafer le haut de mon deux pièces. Tu as pris ton temps je crois. Je sentais ton sexe contre ma hanche et je sais que par réflexe j’ai sûrement dû soulever mon bassin, tressaillir un peu des fesses et écarter imperceptiblement les cuisses. Tu ne m’as pas baisée tout de suite, tu as bien pris le temps de me masser, tout le flacon d’huile solaire y est passé. J’ai senti un doigt dans mon anus, puis un plus gros, le pouce je crois car tu t’occupais en même temps de mon minou. J’ai gémi de plaisir quand ta queue est entrée d’un coup dans mon cul ultra lubrifié. Tu pesais lourd sur moi et j’avais peur que le transat ne tienne pas. Mais il a tenu malgré la franche enculade à laquelle tu t’es livré. Juste avant de jouir au fond de mon cul tu as pesé de tout ton poids sur moi. C’était presqu’etouffant, je suffoquais ce qui rendait mon orgasme encore plus profond. Je ne sentais plus mon cu. Une crampe douloureuse au mollet droit m’empêchait de bouger pour me dégager. Je ne savais plus où commençait la douleur ni où s’arrêtait le plaisir. Mais une chose est certaine, je ne regrette pas d’être venue à cette fête au bord de la piscine.

Baisée sur le balcon

Un bel appartement rue Crébillon dans le centre ville de Nantes. La rue est assez passante, le balcon est au deuxième étage. Fin de journée, c’est l’heure dorée et, pour une fois à Nantes, il ne pleut pas. Je suis sortie sur le balcon pour appeler mon cher époux. Quand je m’apprête à mettre en mode avion pour ne pas être dérangée pendant mon plan cul j’appelle toujours mon époux avant. Un pour qu’il ne m’appelle pas et se doute de quelque chose, deux parce que ça m’excite de parler à mon mari avant de le tromper. C’est évidemment encore meilleur si tu oses me rejoindre pour commencer à me tripoter pendant qu’il est encore à l’autre bout du fil !

-« Allo, mon chéri. Tu ne t’inquiètes pas si tu peux pas me joindre. J’ai plus que 5% de batterie et mon chargeur est dans la voiture au parking souterrain. »

Je regarde les gens quelques mètres en dessous.

-« Oui, à Nantes. Je te l’ai dis, tu ne m’écoutes pas ! »

-« …. »

-« Non, j’en ai marre des hôtels. J’ai pris un Airbnb. »

-« … »

-« Avec un mec sympa rencontré sur internet ! Il va me baiser toute la nuit ! »

-« … »

-« Bin non, t’es con ! Évidemment seule ! Tu crois quoi ? »

C’est ce moment de la conversation que tu choisis pour te décider à me rejoindre sur le balcon. Il faut dire que je tortillais bien du cul en téléphonant appuyée les coudes sur le balcon.

-« Non, pas de restaurant ce soir, j’ai envie de rester à l’appart. Le Airbnb est joli et il y a Netflix. »

Tu passes les mains sous ma jupe et caresses mes fesses. Heureusement qu’il y a des plantes sur le balcon qui masquent la vue au dessous de la taille car, même s’il ne lèvent pas la tête, les passants nous voient parfaitement en remontant la rue.

-« Kleo, ça se passe en ex RDA. J’aime bien l’ambiance. Et toi ? »

-« … »

-« Pas vu encore. C’est bien ? »

Tu embrasses mon cou. Vrai baiser mouillé. Je penche la tête pour montrer que j’aime ça et t’inviter à continuer dans cette veine. Les caresses sur mes fesses sont très agréables aussi. Légèrement appuyées. Pas encore un massage mais presque. Je commence à avoir chaud.

-« Ah…oui…ça a l’air bien…Maria m’en a parlé au bureau. Elle a trouvé un peu trop violent. Mais bon, moi ça ne me gêne pas… »

Tu saisis le message et pince ma fesse. Je tressaille. Tu te presses contre moi et passes les mains sous mon pull autour de ma taille. J’aime sentir la pression et la tiédeur de ton corps dans mon dos.

Je calle le téléphone entre mon oreille et mon épaule pour avoir les mains libres et baisser mon string. Je sais que tu l’aurais fait dans pas longtemps. Mais parfois j’aime montrer que je suis une bonne salope en baissant moi même la culotte. Tu découvres le petit plug cristal Swarovski.

-« Bon, mon chéri, je te laisse à ta série Netflix alors. Profite bien. »

-« … »

-« Oui, j’ai hâte de rentrer. Ces déplacements je commence à en avoir plein le cul ! »

J’aime comme tu caresses ma chatte moite. Tes doigts qui ouvrent le bourgeon. Je me suis intégralement épilée et ton doigt qui entre pour me caresser de l’intérieur m’excite tellement que ça me donne envie de rappeler mon mari. J’adore être obligée de me retenir de gémir et m’effforcer de faire semblant de rien au téléphone alors que sous la ceinture je me fais copieusement ramoner. Mais hélas juste au moment où je rappelle c’est la panne de batterie.

-« Tu veux que je remette mon téléphone à charger et que j’appelle mon mari tout à l’heure ? »

-« Tu lui as pas dit que t’avais plus de batterie et que t’avais oublié ton chargeur ? »

-« Hummm, mais tu écoutes aux portes ? »

-« Oui, et je constate que tu es une petite menteuse. »

Tout en disant cela à mon oreille tu restes collé dans mon dos sans cesser de caresser ma chatte.

-« Tu lui dirais quoi à ton mari si tu l’avais au téléphone là maintenant ? »

-« Hummm, je crois que je lui dirais que je préfère raccrocher car c’est pas poli de parler la bouche pleine et je m’apprête à manger une belle saucisse… »

Bals de village en été

Il y a l’été une tradition française que j’aime particulièrement : Les bals en plein air. Bal des pompiers, feux de la saint Jean, ou simplement bal de camping ou de village pendant les vacances d’été. J’arrive toujours à trouver un prétexte pour être soit disant au travail ou alors c’est mon mari qui est chez mes beaux parents avec notre enfant et moi chez nous pour une raison ou une autre. Alors je saute dans ma Fiat 500 et je file le soir vers un camping ou une boîte de nuit en plein air côté espagnol de la frontière. Je laisse l’iPhone à la maison, je remplace l’AppleWatch pour une  vieille Seiko à aiguilles et je ne prends que de l’argent liquide. Pas besoin de réserver un Airbnb, je sais que je trouverai une âme charitable et bien montée pour m’héberger après le bal jusqu’à l’heure des croissants. Et tempis si je disparais des radars pendant 24 heures. Je trouve toujours une explication plausible, quitte à noyer mon iPhone dans le lavabo de la cuisine.  Demain peut être je vous raconterai un très beau souvenir de bal de village de l’été 2022. En attendant, il est, pour moi 23 heures et je vous dis bonne nuit. J’aimerais tellement mieux être soit la couette à vous sucer longuement plutôt que chez moi écrivant ces lignes sur mon téléphone avec monsieur mon mari qui dort juste à côté. Et si vous me croisez par hasard cet été au bal, sachez que j’ai souvent un petit plug anal sous ma robe à fleurs.
Tendres léchoules sur vos couilles.

Lucie.

 

PS : Écrivez moi en commentaire. J’adore vous lire et je réponds toujours.

Bonne petite salope soumise

Mon costume de bonne petite salope soumise

La petite robe noire toute simple devient très sexy si je mets pour toi un porte jarretelle dessous et des bas noirs de petite salope soumise. Talons aiguilles obligatoires et collier ras de cou en cuir avec l’anneau qui va bien pour accrocher une laisse de chienne.

Maquillage et coiffure de salope soumise

Pour ton plaisir je sais que tu me veux parfaite. Alors j’ai mis un rouge à lèvres 💄 très rouge mais fin et léger. De grand faux cils de poupée et des ongles vernis assortis à mes lèvres. Deux couettes d’écolière coquine donne à ma fine silhouette un faux air d’innocence juvénile.

Une salope soumise dans ton salon

Installe toi confortablement dans ton canapé. Et ordonne ou laisse toi juste faire. Ta petite salope soumise va te servir un verre. En bonne salope soumise elle doit se déplacer à quatre pattes. Le faire avec sensualité n’est pas donné à la première venue. Je ne suis pas la première venue. Je me suis entraînée. Me déplacer au sol, que ce soit sur les genoux, à quatre pattes ou en rampant, je sais le faire souplement et de manière très excitante. J’ai choisi pour toi une poire glacée dans un grand verre ballon qui sort du congélateur. Sur la table basse un grand bac à glaces et un éclairage à la bougie. Cire brûlante et glaçons devraient t’inspirer quelques doux sévices à faire subir à ta petite salope soumise. Tu savoures ton verre et la vue sur ma croupe. A quatre pattes contre le canapé je lèche tes pieds nus comme un petit animal domestique. Tu as tout ton temps.

Accessoires de petite salope soumise

De mon côté l’envie de sexe monte mais je dois rester à ma place, être patiente. C’est mon rôle de salope soumise. Alors je pose docilement la tête sur le bord du canapé contre ta cuisse et je fais mes yeux de Bambi. Tu caresses la tête de ton petit animal domestique :

-« c’est bon, tu es une bonne petite chienne. Tu vas pouvoir monter sur le canapé. Mais va chercher ta laisse et le petit panier 🧺 avant… »

Je repars à quatre pattes vers la cuisine chercher la laisse et le petit panier osier. Les anses sont juste parfaite pour que je le porte entre les dents. Quand à la laisse c’est le modèle en cuir, court pour gros chien d’attaque. Je suis une petite salope soumise et je n’ai pas du tout envie de m’échapper. Mais je sais que tu aimes me tenir en laisse quand je te suce. Juste pour que ce soit bien toi qui donne le rythme. Alors j’accroche la laisse à son collier et je prend entre mes dents le petit panier d’osier avec les lotions, le plug anal en verre et quelques mètres de corde en coton. Je suis tellement reconnaissante que tu m’aies épargnée le chanvre rêche et lui aies préféré le doux coton.

Retour au pied du canapé ou m’attend mon maître. Tu prends  le petit panier d’osier, me complimente sur ma docilité de bonne petit chienne et tapote sur le canapé à côté de toi. J’ai gagné le droit d’y monter…et surtout de m’y faire monter…

Ce qui a changé par rapport à tout à l’heure c’est que tu as ôté ton pantalon et le reste. Il ne te restes plus que la chemisette boutons ouverts. Je regarde d’un œil gourmand… Ta petite chienne aimerais une saucisse. Mais tu en as décidé pour l’instant autrement et tires sur ma laisse pour que je me retrouve à plat ventre sur tes cuisses. Je sens ton sexe dur contre mon nombril à travers le tissus de ma petite robe noire. C’est pour l’heure mon cul de petite salope soumise qui semble t’intéresser. Tu tâtes comme on évaluerait la croupe d’une jument à travers le tissus. Tu sors du petit panier d’osier la paire de menottes et me la montre en tirant un peu sur ma laisse pour te faire comprendre. Je suis une salope soumise et docile qui sait sa leçon. Cela veut dire mains dans le dos. Alors je m’exécute afin que tu puisses joindre mes poignets. Puis tu sorts la petite cravache de cuir et tapote sans violence mes mains puis mon petit cul. C’est donc à moi de remonter ma robe pour d’offrir mes fesses. Reste, gâchant ta vue, la culotte blanche petit bateau. Du bout de la cravache tu passes entre les tissus et ma peau. Je commences à la baisser mais un coup ferme de cravache arrête mon geste.

 « Non, garde la. Écarte la juste sur le côté. »

J’obéis. Tu as récupéré le bac à glaçons. Et j’apprecie le froid sur mes fesses brûlantes. Tu me caresses la chatte juste comme il faut. Je commence à me sentir bien, allongée sur tes genoux.

Le glaçon descend du bas de mes reins au commencement de la raie des fesses. Un peu d’eau coule. Il arrive à l’entrée de mon petit trou du cul. Un glaçon de frigo américain, forme arrondie, légèrement conique. Tu baisses ma culotte juste au dessus de mes genoux. Elle m’empêche de trop écarter les cuisses mais je peux un peu quand même. Tu presses le glaçon pour le faire rentrer comme un gros suppositoire. Tu fais cela tout en continuant à fouiller ma chatte trempée. Je me cambre un peu en gémissant de plaisir.

-« tu es une bonne petite salope dis donc ! Tu as l’air d’aimer ça par le cul hein ? »

-« huummm, ouiii, j’aime. Je suis ta petite salope soumise. Tu peux me prendre quand tu veux, où tu veux.

Alors que j’étais déjà sur le point de jouir avec tes doigts dans ma chatte tu les retires et les mets contre mes lèvres 👄 pour que je les lèche et les suce un peu. Je ne me fais pas prier. Je lèche et je suce comme si c’était une bonne queue. J’ai trop envie que tu tires la laisse pour m’amener à te sucer et que ses doigts là retournent dans ma chatte.

Mais ce que salope soumise veux est rarement dans les plans de son maître. Tu sembles avoir décidé de prendre ton temps. Tout ton temps. Tu caresses juste l’intérieur de mes cuisses avec un glaçon. Tu prends bien soin de t’arrêter juste au bord de la chatte. Je me tortilles pour que tu ailles plus loin, folle de désir. J’écarte de mes mains menottées la culotte tant que je peux. Mais tu fais comme si j’existais à peine. Pourtant je te sens bander contre mon ventre.

-« Hum, c’est qu’on dirait qu’elle veut de la saucisse ma petite chienne soumise hein… »

-« ouiiii, je t’en supplie, j’ai trop envie de te sucer. »

et c’est vrai que j’en crève d’envie. J’en peu plus de n’avoir que des doigts à sucer alors que je sens une grosse queue bien dure contre mon ventre. Mais tu aimes jouer avec mon désir et ma frustration de salope soumise. Tu appuies sur les reins pour que je presse mon ventre nu contre ta queue. Tu mets en même temps quatre doigts dans ma bouche. Je me cambre et tire comme je peux ma culotte pour faire entrer les tissus dans ma chatte trempée.

Le glaçon a déjà fondu dans mon cul. Tu y enfonces le plug anal en verre. Tu tires enfin la laisse pour amener mon visage à ton bas ventre. Je suce avec avidité cette queue que j’ai tant désirée. Je la voudrais aussi dans mon cul mais tu t’en fous. Tu te laisses sucer jusqu’à éjaculer en pressant ma tête pour que j’avale sans en perdre une goute. Tu sais que je suis à toi au moins jusqu’au matin et la soirée ne fait que commencer. Tu as tout le temps de m’enculer un peu plus tard.

Post scriptum : Je suis à Strasbourg la semaine prochaine. En quête de mon prochain plan cul j’attends vos propositions avec impatience…

Femme adultère délicieusement punie

Tu trouveras peut être cela étrange. Mais quand j’ai un peu trop été infidèle à mon mari je ressent l’irrésistible besoin d’être punie. C’est une chose que je ne sais expliquer mais qui survient immanquablement une à deux fois par an. Pourtant, ne vas pas croire que j’en souffre. Au contraire quand vient un tel moment je sais que je vais m’en délecter. M’en délecter et faire un veinard. Un veinard à qui j’ai dit que je voulais être punie de la manière qui lui conviendrait. Un veinard qui m’ouvre la porte de l’appartement à laquelle je viens de frapper timidement.

C’est un petit loft mansardé, les poutres en bois sont peintes en blanc. Une chaîne pend à l’une d’elle. Au sol de grosses bougies qui me font craindre le pire. Craindre et espérer en même temps.

-« Donne tes mains ! »

J’obéis. Et me voici menottée bras en l’air, jambes flageolantes sur des talons hauts inconfortables. Je ne suis vêtue que d’une simple robe imprimée de petites fleurs bleues. Pour toute lingerie une culotte en dentelle blanche et un soutien-gorge aubade assortis. Tu tiens une cravache d’équitation en cuir beige du bout de laquelle tu remontes le tissus léger de ma robe pour mater mes jambes. Elles ont l’air de te plaire mes jambes, longues et blanches. Le début du printemps n’a pas été généreux en soleil et je ne suis pas encore bronzée. Tu prends ton temps pour me tourner autour. La peur et l’humiliation de la situation créent exactement le sentiment de confusion que je recherche et qui m’excite d’une manière que j’ai renoncé depuis longtemps à comprendre. Quelques coups de cravache secs sur le haut de mes cuisses à travers le tissus de ma robe. Tu fouettes aussi mon ventre, pas trop fort. Heureusement.

-« Tiens ça ! »

Tu places la cravache entre mes dents. Et tu te plantes en face de moi. Tu défais les boutons de ta chemise, enlèves tes chaussures et ton pantalon sans gène ni fausse pudeur. Tu te mets entièrement nu juste devant moi. Bien sûr tu bandes. Mon cœur bat plus fort. Je suis encore vêtue alors que toi, tu es nu. Mais comme je suis attachée c’est bien toi qui domine. Cela ne fait aucun doute. D’ailleurs tu passes derrière moi et tu relèves ma robe le long de mes cuisses. Tu fais cela lentement. Je sens ta queue qui effleure mes fesses et je ne peux m’empêcher de me cambrer, ne laissant aucun doute sur mon désir.

-« Mais c’est qu’elle est déjà en chaleur la petit chienne ! »

Je tends pathétiquement mon cul vers toi. C’est ridicule. Je sais très bien que tu ne vas pas me baiser tout de suite évidement !
Tu dénoues facilement la ceinture de tissus qui cintre la robe au niveau de ma taille. Et tu remontes les pans de ma robe jusqu’à ma bouche. Tu récupères la cravache et foure à sa place le bas de ma robe froissée dans ma bouche.
-« Garde moi ça bien dans la bouche. Petite salope. Comme ça ta robe est bien relevée. Tu peux gémir mais interdiction de crier. Ok ? »

-« Humm Humm » je fais signe de la tête que j’ai compris.

Les coups de cravache sur mes fesses sont secs mais pas trop violents. Après une dizaine de coups je sens quand même la brûlure au niveau de mes fesses les gémissements à chaque nouveau claquement de la cravache viennent naturellement. Tu remarques que le devant de ma petite culotte blanche devient humide. Tu passes la cravache entre mes cuisses pour frotter un peu mon petit abricot.
-« Mais c’est qu’en plus elle a l’air d’aimer être punie la petite salope ! »

Je me reprends une dizaine de coups sur les fesses. Plus forts cette fois. Tu baisses d’un coup ma culotte et frappes à nouveau là où le coton protégeait un peu ma peau. Maintenant c’est douloureux et même si je mouille comme une salope je commence à sentir les larmes me monter aux yeux. C’est le moment que tu choisis pour écarter mes fesses rouges. Tu lubrifies le manche de la cravache sur mon abricot trempé avant de le presser contre mon anus. Le cuir est lisse et le manche peu épais. Ça rentre tout seul. Tu laisses la cravache enfoncée dans mon cul. Elle tient toute seule. Tu passes devant moi pour me montrer ta queue. Tu as l’air de bander bien dur et ta queue me semble autrement plus grosse que le manche que j’ai dans le cul.
-« Tu as l’air d’aimer en prendre plein le cul on dirait hein ? »

Je ne réponds pas. J’ai toujours ma robe dans la bouche et je sais qu’il vaut mieux pour moi que je ne te provoque pas. Tu tiens mes joues dans ta main et tu presses pour me faire recracher le pan de ma robe. Gros baiser baveux avec la langue. Je ne résiste pas mais je me garde de te rendre ton baiser sachant que me voir soumise à ta merci t’excite plus que si je donnais trop l’impression d’y prendre moi aussi plaisir. En m’embrassant tu mets la main entre mes cuisses et glisse deux doigts dans ma chatte lisse et trempée. Par réflexe j’avance mon bassin avide de plus de caresses.
-« T’es une vraie bonne salope dis donc toi. »

-« Oui, j’avoue, tu m’as démasquée. »

-« J’ai fort l’impression que tu veux te faire enculer. Non ? »

-« Oui, s’il te plaît, je t’en supplie, encule moi. Mon cul n’attend que ça. Mais détache moi, j’ai un peu mal aux bras. »

-« Tsss, Tsss. D’abord je t’encule. Après on verra, si j’ai aimé ton petit cul peut être je te détacherai. Mais faut me promettre d’être bien sage. »

-« Tout ce que tu veux. Je suis à toi pour tout ce que tu veux. »

Tu enlève la cravache de mon cul et me la remet entre les dents. Le cuir est un peu sâle, je ne vous fais pas un dessin. Mais je prends dans ma bouche docilement. La queue qui se presse entre mes fesses me semble alors bien grosse et surtout très dure. Tu me tiens fermement par la taille et tu t’enfonces d’un coup de reins. je crie et laisse tomber la cravache. J’ai peur que tu m’en veuilles pour ça mais tu ne fais pas de remarque et tu entreprends de me pilonner méthodiquement en agrippant ma taille. Chaque coup de rein qui claque contre les fesses m’arrache un cri. J’espère qu’il n’y a pas de voisins. Tu attrapes le haut de ma cuisse et m’oblige à lever une jambe. Je suis très inconfortable sur une jambe, les bras en l’air toujours menottée. Je crie et je jouis comme une possédée. Quand tu décharge enfin dans mon cul tu cries en même temps que moi, les ongles enfoncés dans la chair de ma cuisse. Tu restes un peu en moi. Et, enfin, tu me détaches. Je m’écroule au sol.  Mais tu me relèves et me conduit chancelante vers la chambre où un grand lit propre ne semble attendre que moi.

-« Tu es une bonne salope. Tu mériterais que je te punisse à nouveau. Mais j’avoue que ton cul m’a bien plu. Alors tu peux reprendre un peu ton souffle. Je pense que tout a l’heure j’aurais bien envie de voir si tu suces aussi bien que tu te fais enculer. »

Je m’affale sur le lit. La soirée ne fait que commencer. Mais elle commence bien…
laissez vos commentaires. Retrouvez moi ici (Là fille brune avec une culotte blanche et un pseudo qui commence par un L)

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Coquine en minijupe Vichy

J’ai mis, pour notre rendez vous,  une robe Vichy à petits carreaux rouges et blancs. Jambes nues, socquettes blanches, souliers vernis à talons plats. String en dentelle et push-up qui fait pigeonner mes gros seins au décolleté de la robe. Rouge à lèvres brillant soigneusement appliqué. Teinte Chanel Coco flash hors de prix plus rouge qu’une Ferrari. En plus de sa couleur, ce que j’aime avec ce rouge à lèvres c’est qu’il déteint juste comme il faut à chaque baiser. J’aime savoir qu’en regardant ta queue et ton bas ventre tu apprécieras les traces de rouge à lèvre que j’y aurai laissé. Si c’est ta femme qui voit ça je doute que tu trouves une bonne explication à temps !

Rendez vous au Lumière Terreaux, cinéma d’art et d’essais de Lyon. Un lieu public, donc rassurant pour commencer, mais parfait pour nos préliminaires. La salle est clairsemée, nous sommes seuls au dernier rang. J’ai volontairement joué la timide réservée jusqu’au début du film.  Bises sur les joues pour dire bonjour, jambes serrées droite sur mon fauteuil et mains sur les cuisses. C’est à peine si j’ai accepté que nos épaules se touchent légèrement.

Dans nos échanges aussi sur internet je suis volontairement restée évasive, ne cachant pas que j’étais mariée et en plein questionnement mais laissant croire que je n’étais pas non plus totalement sûre de vouloir basculer dans l’adultère. Mes photos de profil, bien que sobres laissaient deviner un corps très désirable. C’est cela qui t’a convaincu que malgré le discours prise de tête et hésitant ça valait le coup d’insister. Tu m’as servi le discours habituel, tu n’attendais rien de moi, tu me comprenais et étais juste content de me rencontrer sans que rien ne soit obligé ou convenu d’avance. En me voyant devant le cinéma, joli bonbon bien emballé, tu as commencé à deviner ta chance.

Dès que la lumière s’est éteinte j’ai pressée un peu plus mon épaule contre la tienne et je n’ai pas repoussée ta main sur ma cuisse. J’ai même tourné la tête pour un premier baiser sur la bouche. J’adore les premiers baisers. Les lèvres tièdes, découvrir le goût d’un nouvel amant. Faire comprendre rien qu’en l’embrassant que je suis une excellente suceuse.

Ton baiser est comme je les aime. Sans timidité, accompagné d’une main baladeuse qui remonte sous ma jupe en Vichy. J’écarte imperceptiblement les jambes pour que ta main puisse juste passer entre mes cuisses. Mon string est vite écarté. Tu n’imagines pas l’effet que me fait le doigt qui perce mon petit abricot juteux. C’est juste indescriptible. J’ai peur de gémir et de faire se retourner le rang de devant. Alors je repousse, à contre cœur, ta main.  Une furieuse envie de sucer me fait glisser de mon fauteuil sur la moquette épaisse. Je suis un peu à l’étroit mais, heureusement, il n’y a personne assis sur le fauteuil devant le tien. Tu me laisses défaire les boutons de ton jean. Je commence par embrasser la bosse qui tend ton caleçon. J’aime comme tu caresses mes cheveux. Je tire sur ton jean pour dégager tes cuisses. Tu es bien foutu, musclé, pas trop velus. Je lèche un peu pour le plaisir du goût de ta peau. Ce n’est pas très pratique mais je parviens à baisser ton caleçon et à libérer la colonne de chair objet de ma convoitise. Je lèche en te regardant droit dans les yeux par en dessous. J’embrasse partout. L’intérieur de tes cuisses, tes couilles, ton gland sur lequel je laisse un peu de rouge à lèvres. Puis je fini par sucer. Lentement, bien à fond. Presqu’à m’en étouffer. Je suce jusqu’à ce que tu n’en puisses plus et que tu éjacules dans ma bouche. J’avale. J’adore avaler, j’aime le goût de ton sperme. Celles qui me lisent et qui en ont fait l’expérience peuvent me comprendre. Sachez messieurs que votre sperme n’a pas le même goût que celui de votre voisin. Le foutre est comme le vin. Quand on sait l’apprécier on sait que chaque amant produit un nectar différent, unique. J’avale et je garde ton sexe turgescent qui débande lentement entre mes lèvres. J’essuie ta queue et tes cuisses avec le bas de ma robe avant de remonter ton caleçon et ton pantalon. Puis je me rassois, sage à nouveau, à côté de toi. Je me penche et te demande à l’oreille : « Tu sais où on peut trouver un hôtel pas loin ? »

==> retrouve moi ==> RobeVichy

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Petit plan cul sans chichi

Je t’ai contacté sur un site de rencontre adultère. Je ne t’ai pas caché être une bonne petite salope en manque de sexe prête à beaucoup pour une belle queue. J’ai mis, pour te rencontrer dans une bodega de Perpignan, un mini short et un justaucorps moulant parfait pour mettre en valeur mes gros seins. La bodega est pleine de monde. C’est toujours plus rassurant de donner rendez vous à un inconnu dans un endroit avec du monde. Forcément je suis comme sur ma photo de profil alors tu me reconnais tout de suite. Je viens direct à toi, sans me soucier du regard des mecs qui mâtent mon petit cul serre dans mon microshort. Je ne suis pas la seule jolie fille dans la bodega ce soir là. Je me colle à toi : « Salut, merci d’être comme sur tes photos. Parfois les mecs trichent. Je suis contente. Je te plais ? »

-« Heu…oui. Carrément ! Tu es canon ! »

-« Canon et très salope. Faudra pas te gêner, ce soir j’ai envie que tu me fasse tout ce que tu veux. Je peux t’embrasser ? »

Sans te laisser le temps de répondre je me pends à ton cou et presse mes lèvres sur les tiennes. J’embrasse comme une petite salope. Avec la langue nerveuse, en suçant pour que tu n’aies aucun doute sur le fait que tu vas avoir mes lèvres sur ta queue dans pas longtemps. J’embrasse en me collant à toi pour que tu puisses apprécier mes gros seins tièdes et fermes.

-« On s’en fou qu’il y ait du monde. Pelotes moi le cul. »

Tu mets tes mains sur mes fesses fermes et j’aime ça. Ta langue n’est pas mal non plus. Il ne faut pas croire qu’il n’y a que le sul qui m’intéresse. Je suis une fille qui aime aussi la fête. Passer la soirée à danser dans une bodega peut aussi me brancher. Mais la vérité est que ce soir du mois d’août je  suis en vacances et que l’on mari risque de se douter de quelque chose si je passe plus d’une heure loin de notre appartement.
-« On va chez toi ? J’ai qu’une heure avant que mon mari ne se doute de quelque chose et j’ai très envie de te sucer et de faire ma pute. »

-« Humm, ça me va très bien comme programme. »

Tu as le bon goût de disposer d’un garçonnière à deux pas de la bodega. Chambre de bonne au dernier étage d’un vieil immeuble du centre-ville. Dans l’escalier je te laisse me mettre la main au cul. Je me pends à ton cou pendant que tu te débats avec ton trousseau de clefs.
-« Tu vas me traiter comme une salope j’espère… »

Normalement je ne suis pas aussi directe. J’ai trop peur de faire fuir le mec. Mais cette fois la couleur était annoncée dans nos échanges sur internet. La claque que tu m’assennes sur la fesse me prouve que je n’ai pas tord. C’est une claque comme j’aime, franche, avec la main qui reste sur mon cul et tâte la marchandise.
-« T’inquiète ma jolie, je vais bien m’occuper de toi. »

Tu tournes la clef sans lâcher mon cul. Je découvre ta garçonnière. C’est propre et meublé avec goût. Machine à café chromée, grand canapé Togo, Tapis marocain en laine épaisse et table basse en verre ovale très années 70.
-« Jôli, c’est chez toi ? »

-« Oui, je le mets en Airbnb en général. Mais on n’est pas là pour parler immobilier… »

Tu tires sur mon justaucorps pour passer tes mains sur ma poitrine. J’aime ça, je m’intéresse à ton pantalon alors que tu me pousses vers le canapé. Je suis vite en soutif et toi debarrassé du bas confortablement affalé sur le canapé Togo près du sol. Ma langue passe sur tes couilles. Tu bandes long et dur. À genoux entre tes jambes je suis dans la position parfaite pour une branlette espagnole. Le secret pour une bonne branlette espagnole c’est de bien choisir le soutien gorge et de le garder pour que la queue reste bien logée entre le mamelles sans avoir besoin de serrer avec les mains. Les mains c’est fait pour pelotter les fesses par exemple. Ton sexe passe juste sous mon soutif et tient parfaitement dans le creux entre mes beaux seins. Doux va et vient en plantant mes yeux dans les tiens. Te branler me donne chaud, je sens que je commence à mouiller. Tu te laisses faire et profite du spectacle un moment. Heureusement tu as l’esprit d’initiative et tu empoignes ma queue de cheval. Tu te laisses branler encore un peu entre mes seins avant te me tirer vers toi pour me parler à l’oreille : « Tu m’as l’air d’être une vraie salope toi dis donc. »

-« Ouai, tu veux que j’te suce ? »

-« T’inquiètes, tu vas l’avoir dans la bouche…Mais pas tout de suite, elle est trop propre pour toi. »

Tu me pousses sur le canapé, les genoux au sol. Je reçois une bonne claque sur les fesses.
-« Baisse moi ce petit short de pute ! »

J’obéis, trop contente d’exposer mon petit cul rebondi.  Je fais glisser mon mini short sur mes cuisses pour dévoiler un string de dentelle blanche. Tu découvres un joli petit cul, mes fesses offertes, le string dans la raie, un bel abricot juteux sous un voile de dentelle. Tu passes un doigt juste sur la dentelle, pour tâter le petit fruit. Ton doigt qui presse délicatement sur mon con gonflé me fait me cambrer pour demander plus de caresses. Mais la tentation offerte par mes fesses est trop forte et tu laches une première claque qui me surprend. Mais je garde mes mains sur les côtés de mon mini short, baissé sur mes cuisses, le cul tendu, fesses offertes. Je suis prête pour la fessée. Et toi, frappe juste comme il faut. Sans hargne ni méchanceté. Mais fermement, efficacement, du plat de la main en prenant soin de bien faire claquer à chaque tape. Mes fesses doivent rougir. Je résiste une bonne vingtaine de coup avant de demander grâce.

-« Aïe ! Pitié. Je ferai ce que tu veux mais arrête la fessée. »

Tu te penches sur moi.

-« Oh ! Pardon, j’y suis peut être allé un peu fort. Tu mérites un peu de réconfort. »

Tu t’intéresses à nouveau au petit abricot juteux caché sous la dentelle. Tu caresses délicatement, tu passes la langue sur mes fesses rougies. Ça pique mais je mouille et trempe la dentelle du string. Tu continues de lécher mes fesses tout en massant mon sexe à travers la dentelle du string. La douleur qui se mêle au plaisir me rend folle. J’en gémi en serrant les fesses. Lorsque tu écartes mon string sur le côté je suis trempée. Ton doigt glisse tout seul dans ma chatte. Je ne peux m’empêcher d’attraper ton poignet pour te retenir en moi. Tu me débarrasses complètement de mon minishort et tu saisies mes chevilles pour me prendre en position de la brouette. Ta queue rentre toute seule dans ma chatte trempée. Chaque coup de rein ravive un peu la douleur sur mes fesses rougies par la fessée. Ça pique mais c’est très supportable.

-« Hummm, oui, encore, je jouis, encule moi aussi quand tu veux. »

Tu me fais bien jouir comme ça. Tenue par les chevilles, jambes pliées je commence à avoir des crampes et quand tu me lâche d’un coup je m’affale sur le canapé. C’est ce moment que tu choisis pour écarter mes fesses et presser ta queue contre mon anus. Tu craches pour lubrifier un peu et tu forces le passage. Je crie quand mon anus cède. Tu me prends par les cheveux et me defonce sans retenue. Autant la fessée était gentille, autant là chaque coup de rein m’arrache un cri. Tu te retires d’un coup pour et me tire par les cheveux pour que je me retourne.

-« Tiens tu voulais sucer ? C’est le moment ! »

Je me prends une magistrale ejaculation faciale. Ta main sur ma nuque est d’un coup moins brusque, tu ne me forces plus, la pression est douce et indique juste ce dont tu as envie maintenant. Je ne résiste pas. Moi aussi j’en ai envie et je lèche ta queue qui débande. Le goût salé du sperme m’apaise. J’ai presque envie de rester dormir. Mais je sais qu’il faut que je rentourne à ma voiture pour me changer, remettre le vieux jogging informe avec lequel je suis partie pour soit disant faire une petite heure de footing. Pas trop le temps de traîner. Je suis en vacances et qui dit vacances dit mari. Mais putain coque c’était bon ce petit plan cul sans chichi. Merci ! Mille fois merci !