Rencontre sans lendemain. J’aimerais parfois que cette expression « rencontre sans lendemain » veuille juste dire nuit sans fin plutôt que plan cul clandestin et trop vite oublié. Hélas toutes les bonnes choses ont une fin et lorsqu’on a baisé toute une nuit à s’en arracher la peau on se retrouve parfois bien seule au petit matin dans un grand lit encore tiède de nos ébats avec ce bel inconnu qui restera, justement, un inconnu. Chaque rencontre sans lendemain est différente, chaque plan cul me fait découvrir de nouvelles étreintes, chaque orgasme est différent. Il n’y a pas deux peaux qui aient la même odeur, le même grain. Si j’étais célibataire je crois que même avec 365 nuits par an je ne pourrais en toute une vie de fille facile me lasser de faire de nouvelles rencontres coquines. Alors imaginez moi mariée, devant ruser pour me libérer une ou deux fois par mois. Sachez que si je ne fais (presque) que des rencontres sans lendemains ce n’est pas parce que je n’ai pas envie de connaître chacun de mes amants mais juste parce que j’ai plaisir à découvrir chaque fois de nouvelles sensations. Un plan cul est parfois très doux, parfois violent, souvent raté et vite oublié mais lorsque ce n’est pas le cas il est inoubliable et son seul souvenir me fait mouiller ma culotte lorsque je suis couchée à côté de mon légitime époux. J’ai pris l’habitude dans ce blog de raconter à chaque fois une rencontre sans lendemain dans le détail depuis la drague sur le net (ou dans la vraie vie) aux orgasmes les plus inavouables. Je veux changer un peu dans cet article dédié à la rencontre sans lendemain. Je vais donc, par petits chapitres, vous livrer dans le désordre et sans logique mes coup de cœur, de queue et mes émois de cette année scolaire si vite passée. J’espère que vous aimerez, j’espère qu’à me lire vous banderez (ou mouillerez), j’espère que vous me laisserez un commentaire, j’espère enfin que cela vous donnera envie de faire, vous aussi, de belles rencontres sans lendemain. Car plus nous serons nombreux et nombreuses adeptes de la rencontre sans lendemain, meilleures seront nos nuits calines.
Ou faire une rencontre sans lendemain l’été ?
Pour moi le meilleur endroit pour faire une rencontre sans lendemain c’est, incontestablement, un bal musette dans un village ou près d’un camping le plus loin possible de chez moi. Loin de chez moi c’est primordial pour être certaine que je n’y suis pas connue et que j’éveillerai l’appétit des mâles sur place. C’était l’été 2016, presque un an déjà. J’avais décidé que je m’appelais Cerise et je portais une robe à poids. C’est moi qui l’ai dragué et invité à me faire danser. C’est moi qui l’ai entrainé vers un coin sombre entre deux maisons en pierre. C’est par contre lui qui a mis la main dans ma culotte pendant qu’il m’embrassait. Je mouillais tellement que ses doigts rentraient tout seuls. Je l’ai sucé accroupie car le sol était de graviers et je ne pouvais me mettre à genoux. Il m’a prise debout et j’ai mordu son épaule au sang pour ne pas crier quand il me faisait jouir. J’aurais voulu qu’il me rejoigne après à mon hôtel car je vouais plus que cette brève étreinte. J’imaginais mon petit cul défoncé et les ressort du lit qui couinent presque autant que moi. Mais ce soir il ne pouvait pas, il fallait qu’il s’organise, demain, sûr, il pourrait me rejoindre à l’hôtel, vers 10h ? J’ai dit oui, sachant que le lendemain je serai déjà partie. Je suis à consommer sur place ou à emporter mais pas à mettre au congélateur.
De vrais sites de rencontre dédiés à la rencontre sans lendemain ça existe ?
Forcément, pour vivre le frisson d’une rencontre clandestine et sans lendemain le premier réflexe pourrait être d’aller sur un site de rencontre spécialisé comme copinedesexe ou cinqasept. Pour une fille c’est très facile car il y a tellement plus d’hommes en recherche d’une rencontre sans lendemain que de fille que les sites n’ont pas besoin d’ajouter des faux profils d’hommes pour équilibrer le ratio homme/femme de ces sites. Bien sûr la contrepartie c’est que les hommes galèrent un peu plus. Même si les plus persévérant finissent par trouver on est bien obligé de dire qu’il y a beaucoup de déçus. Avec un peu d’expérience je peux vous affirmer que je n’ai plus vraiment besoin d’internet pour m’assurer des plans culs sans lendemain. Mais le gros intérêt pour moi d’internet c’est que l’on peut planifier, préparer la rencontre, allumer le mec avec le descriptif des préparatifs et accessoires que l’on compte utiliser.
Pourquoi je multiplie les rencontres sans lendemain ?
L’amant parfait n’existe pas. Et s’il existait ce serait sans doute ennuyeux et, peut être que je ne serais pas à la hauteur. Certains hommes sont très bon pour les préliminaires mais mauvais ou peu endurants lorsqu’ils sont bien au chaud dans mon minou étroit. D’autres savent me besogner comme des stars du porno mais n’ont aucune imagination pour instaurer une ambiance qui me fasse fantasmer. Multiplier les rencontres sans lendemain c’est, pour moi, l’assurance de vivre à chaque fois quelque chose de nouveau. Réussie ou ratée la rencontre sans lendemain est toujours une surprise. Et j’aime les surprises presque autant que les orgasmes. J’aime par dessus tout ce moment où mon plan cul me voit en vrai pour la première fois. En général il aime ce qu’il découvre. J’aime quand il ose enfin mettre sa main sous ma jupe. J’aime découvrir s’il est velu en bas du ventre. J’aime promener mes lèvres de son cou à ses couilles en trainant ma langue tout le long du chemin. J’aime une chambre d’hotel chaque fois différente. Un AirBnB original. J’aime quand il me consomme sur la table de la cuisine, être sur ses genoux dans un grand fauteuil club, tendre mon postérieur à sa main de fesseur agenouillée au pied du lit. J’aime te sucer alors que tu conduits, j’aime te sucer aussi quand tu es confortablement installé avec un verre de whisky ou sirotant une poire belle Hélène. J’aime que ta femme appelle sur ton portable, que tu lui réponde et lui raconte ta journée de boulo alors que je suis à califourchon sur toi et que je glisse ta verge dans mon con. Notre rencontre restera une rencontre sans lendemain mais elle sera surtout inoubliable.
Jeune salope, je dois l’honnêteté d’écrire qu’à plus de trente ans je ne peux plus me qualifier ainsi. Je suis jolie, ferme de partout et très coquine, ça oui. Mais comparée aux jeunes salopes dévergondées que l’on peut trouver sur le net ou dans la vraie vie j’ai conscience que je ne réponds pas exactement au même fantasme. Pourtant, avec une jupe à carreaux d’écolière de grosse lunettes et deux couettes je sais que je fais très bien illusion ! Pour en discuter en chat ou au lit avec mes amours (je préfère ce terme à amants) de passage, je sais que baiser une jeunette à peine entrée dans l’âge adulte est un fantasme récurent chez nombre d’hommes de tous âges. En évoquant le sujet je me suis vite rendu compte que j’avais ce même fantasme. Non pas de coucher avec un jeune puceau (très peu pour moi) mais plutôt initier une jeune salope aux joies d’une sexualité débridée et sans tabous. J’avais déjà eu des plans à trois mais toujours avec un homme et une autre fille déjà bien expérimentés question gaudriole. Je voulais trouver une jeunette, non pas vierge, mais au moins débutante pour avoir le plaisir de l’offrir en cadeau coquin à mon amoureux de quelques jours pour un plan à 3 inoubliable.
Je suis toujours surprise de constater la diversité des profils que l’on trouve sur les sites de rencontres. C’est à s’y perdre, des sites sérieux comme e_darling hébergent des filles et des mecs qui n’ont pas froid aux yeux ni aux fesses alors que des sites plutôt orientés plan cul comme copine de sexe ont (entre les nombreux faux profils) des midinettes à la recherche d’un amour durable et sincère (sic) ! Je me voyais mal trouver parmi ces jeunettes presqu’innocentes la jeune salope en devenir que je rêvais de prendre sous mon aile pour une éducation sentimentale plus charnelle qu’intellectuelle. Comme toujours ma recherche se heurtait d’abord à des dizaines de faux profils et de dingues plus ou moins prostituées. Jusqu’à cet après midi crapuleux où nous surfions le net avec Jean Patrick nus sur le grand Lit de ma chambre d’hôtel. C’est par la boite mail que naquis l’espoir. Et l’espoir s’appelait Capucine, une lectrice encore lycéenne de mon blog ! Voici, sans les nombreuses fautes d’orthographe, le mail que m’envoyait cette délicieuse bachelière :
Bonjour Lucie,
Je suis une grande fan de ton blog. Je viens d'avoir mon bac ainsi que mes dix huit ans. Je ne suis, tu t'en doutes, pas très expérimentée mais pas vierge non plus ! Je voudrais te demander comment tu fait pour vivre de telles aventures. Moi mes "copain" ne m'ont jamais fait vivre le dixième de ce que tu décris. Et les rencontres sur internet m'ont toujours déçues. Si tu passes par Laragne Montéglin un jour n'hésite pas à me faire signe...Au moins pour un café et une discussion entre filles !
C’était un mercredi, nous étions à Arles et j’avais annoncé à mon mari que je devais rentrer dans le Pyrénées le lendemain. Mais c’était aussi une semaine de canicule et je pouvais bien retarder mon retour d’un jour en prétextant un problème de boulo à mon mari tout en posant une RTT en douce auprès de mon boss. Pas très prudent mais jouable. Je poussais Jean Patrick du coude : »ça te dis un petit voyage dans les hautes Alpes, histoire de voir si on arrive à transformer une oie blanche en jeune salope dévergondée ? »
Une jeune salope en perspective
Chère Capucine,
Merci d'être fan de mon blog. Pour les aventures sexuelles hors du commun je ne saurais trop quoi te répondre. Sinon que tout n'est pas toujours aussi réussi que dans mon blog et que, surtout, je passe un temps fou à chatter, échanger par mail et trier les demandes sur les sites de rencontre avant de jeter mon dévolu sur un profil. Et même avec toutes les précautions que je prends pour un super plan cul réussi il y a au moins deux déceptions dont je ne parle pas ! Mais ne tournons pas autour du pot, si tu m'écris c'est que tu es ouverte au moins d'esprit. Je suis avec un "ami" de passage pas loin de ta région. Si tu veux on peut se voir demain. Mais je te préviens, après le café je compte bien que nous t'emmenions à l'hôtel !
L’approche était directe mais je n’avais pas envie de faire 300km pour me prendre un but une fois sur place. Sa réponse fut instantanée et aussi succincte que direct :
"Chiche !"
Je tenais ma jeune salope à initier. Jean Patrick, qui lisait en même temps que moi, bandait comme un âne. Je fermais le mac book et me jetais sur lui : »Ca te dis une jolie femme mariée avant de te faire la jeune salope que je t’offrirai demain ? » Sa queue qui s’enfonçait dans ma chatte me répondait que oui, ça lui disait. Ca lui disait même beaucoup.
Le lendemain, après un trajet en voiture qui nous permis de nous exciter mutuellement en racontant par le menu tout ce que nous projetions de faire avec notre Lycéenne d’amour, nous arrivions sur la place de Laragne sur les coups de 3 heures de l’après midi. En chemin j’avais réservé une Chambre dans un hôtel en précisant que nous arriverions dans l’après midi. Bien sûr j’avais choisi l’hôtel pas trop près pour préserver un peu de discrétion vis à vis de Capucine. Il y aurait encore une grosse heure de voiture mais je ne voyais pas trop comment faire mieux pour préserver la réputation de notre jeune salope. Jeune salope qui nous attendait à la terrasse d’un café de Laragne. Elle était telle que sur les photos envoyée mais avec un je ne sais quoi de plus qu’une simple image sexy ne peut transmettre. Simple et nature, pas de maquillage ou très peu. Jean moulant, Converses et Vrai Polo Lacoste rose bonbon. Ca c’est pour l’emballage, dessous on devine un corps juvénile avec de belles formes. Ecrire qu’elle a le corps d’un jeune mannequin serait mentir. Capucine n’est ni grande ni petite, 1m70 environ, peut être moins, châtain clair . La décrire comme une jeune salope du net ultra sexy serait aussi exagéré. Non, c’est juste une fille normale. Normale mais avec ce petit plus que seules les très jeunes femmes ont souvent : l’attrait magique de la chair fraiche, très fraiche. La peau de ses bras semble incroyablement douce, les seins sont menus mais bien formés et ils pointent très légèrement sous le polo rose. Je devine un peu de ventre mais à peine. Les cuisses ne sont pas longilignes comme les miennes mais elle n’est pas grosse non plus. Jean Patrick presse ma main me faisant ainsi savoir secrètement qu’il la trouve très à son goût. Après tout c’est important puisque je considère Capucine comme un cadeau autant pour moi que pour mon amant.
Capucine est avec quelques amis. Elle nous présente comme ses oncle et tante de passage dans la région. C’est crédible et ça lui permet de fausser rapidement compagnie à ses camarades de lycée ainsi que de nous embrasser chaleureusement sur les joues. Elle sent bon, sa bise est appuyée et tout aussi généreuse que ses lèvres pulpeuses. Nous partons d’un pas tranquille vers l’Audi blanche de Jean Patrick. Il me tend les clefs : »Tu conduits mon amour, je vais monter derrière pour laisser la place de devant à Capucine. Les femmes et les enfants d’abord ! »
Sur la route avec une jeune salope
Certains seront peut être choqués que j’appelle la jeune, jolie et presque innocente Capucine jeune salope à longueur d’article. Je le fais pour deux raisons : la première raison est que jeune salope est l’expression que j’ai choisi comme mot clef pour cet article. Les googlebots sont un peu cons et il faut leur marteler les mots clefs pour qu’il consentent à me mettre ne premier dans les moteurs de recherche ! La seconde raison est que j’aime m’exciter toute seule à appeler cette jeune salope que j’initie ainsi. Et, croyez le ou non, c’est, sous ma plume et dans ma bouche plutôt un sobriquet affectueux !
Nous voici donc dans la très belle Audi A7 de Jean Patrick. Je suis au volant avec une jolie vue sur les seins et les cuisses de la miss qui est assise à la place du mort. Quand à Jean Patrick il n’est pas mort, je suis sûre qu’il bande encore, seul sur la banquette arrière.
Moi : »Ca va, tu n’as pas peur de partir seule en voiture avec tantine et tonton pervers ? »
Capucine jeune salope : »Ca va, je suis un peu intimidée mais curieuse en même temps. Ca va vraiment se passer comme dans les articles de ton blog ? »
Moi : »ça dépends, tu pense à quel article ? »
Ma jeune salope : »Heu, celui du plan à 3 par exemple… »
Moi : »Bin ça va dépendre surtout de toi. Et tu sais, il ne faut pas trop te poser de question, chaque fois c’est différent, l’important est qu’on s’amuse tous. Et j’ai le sentiment qu’on va bien s’amuser ! »
Je joins le geste à la parole en posant une main légère sur sa cuisse.
Elle se mord la lèvre inférieure. Je sais que c’est bon signe, je caresse très légèrement, du bout des doigts. Même si j’ai déjà envie de remonter vers son con je reste sage et me contente de l’extérieur de la cuisse. Son jean rend forcément cette caresse plus chaste que ce que j’aimerais. Mais nous avons tout notre temps. Mon ami actionne le bouton électrique sur le côté du siège de notre passagère pour incliner le dossier au maximum. Capucine est presque allongée. Nous n’allons pas vite et la boite automatique de l’A7 me laisse pas mal de liberté. Mais je dois quand même faire attention à la route. J’envie la position de mon ami qui, derrière Capucine peut lui masser les épaules et lui chuchoter des choses à l’oreille. Il parle si doucement que je n’entends pas. Mais Capucine elle continue à se mordiller la lèvre. Elle a mis sa main sur la mienne et la dirige très légèrement un peu plus vers l’intérieur de sa cuisse. Le geste n’a pas échappé à mon ami. Ses main migrent des épaules vers les seins de notre jeune salope. Cette fois j’entends clairement qu’il lui demande de déboutonner son Jean. Elle s’exécute. Mais déjà nous arrivons au rond point juste avant l’hôtel. Pour ceux qui connaissent un peu les environs de Laragne c’est le rond point avec des moutons juste avant l’autoroute et à côté d’un hotel ibis où une chambre nous attend. Il est un peu plus de 15h, le parking est désert et la chaleur à l’extérieur sans doute étouffante. Je gare l’A7 mais laisse le contact et la clim en marche. Rien ne presse pour la chambre, j’ai envie d’un peu mieux connaître l’anatomie de notre jeune salope avant de passer à des choses plus sérieuses. Je me penche vers elle pour l’embrasser sur la bouche. Elle semble un peu surprise, ne répond pas à mon baiser mais elle ne me repousse pas non plus. Ses lèvres sont juste timidement ouverte. J’y pose les miennes sans aventurer ma langue pour le moment. Ma main est remontée vers la culote en dentelle. Elle n’a défait que les deux premiers boutons de son Jean, je m’attaque habilement au troisième. Mon ami passe ses mains sous le polo rose pour caresser le ventre légèrement rebondi et tout blanc de la jouvencelle. Il la complimente à l’oreille : »Tu as la peau douce, j’imagine que tu es bien douce de partout. »
J’aventure un peu ma langue dans sa bouche. Elle vient au contact de la sienne mais je sens qu’elle a mis sa langue autant pour le baiser que pour faire barrage à l’avancée de la mienne. Mais elle ferme les yeux, ça va juste un peu vite pour elle mais le mouvement de bassin qu’elle fait pour aller au devant de ma main baladeuse ne trompe pas, la situation lui plait.
Mon ami à son oreille : »Baisse un peu ce jean ma belle… »
Elle lève les fesses pour obéir et comme je presse un peu plus ma main je sens nettement le petit abricot de son con à travers la dentelle de sa culotte. Je l’imagine déjà moite. D’ailleurs moi aussi je sens que je commence à mouiller. Lui en a profiter pour glisser la main sous les fesses de la donzelle. On pourrait continuer ainsi longtemps mais j’ai soudain envie de plus de liberté que ce que permet l’habitacle de la voiture.
Moi : « Bon, on va la voir cette chambre ? Il fait chaud et j’ai bien envie d’une douche. »
Mon ami : »Tu as raison, allez mignonette, rhabille toi et allons voir si la rose est éclose. »
Notre jeune salope renfile son Jean et relève le dossier du siège à l’aide du bouton idoine. Pour moi la situation est étrange. Je me sens un peu coupable d’entrainer cette très jeune fille dans un plan cul à trois. Elle semble avoir l’innocence de la jeunesse, quelque chose d’un peu maladroit et timide tant dans le regard que dans sa façon de bouger. Et en même temps elle est sacrément gonflée et coquine d’être là avec nous. Objectivement elle se comporte comme une vraie jeune salope lubrique. Mais pas mal d’indices dans sa gestuelle disent son inexpérience et sa naïveté. Elle est majeure et ce n’est pas une oie blanche. Pourtant j’ai envie de la protéger, de lui épargner la brutalité qui accompagne parfois ma sexualité débridée avec certains hommes. Je m’aperçois aussi que je suis presque un peu jalouse de mon ami. Finalement j’aurais peut être aimé l’avoir un peu pour moi toute seule cette jeune salope presqu’innocente.
Allez, comme je suis aussi coquine que taquine et que j’ai envie de savoir si ce blog est toujours lu je n’écrirai la suite de ce récit que lorsqu’il y aura dix commentaires à cet article. A vos claviers si vous voulez la suite, qui est, ma foi, assez gouleyante !
Conseils pratiques pour convaincre votre copine de sucer
Avoir une copine ou une femme qui ne suce pas est une grande source de frustration chez beaucoup d’hommes. Je ne compte plus les amants qui m’avouent que leur femme ne suce pas et que c’est une des raisons pour laquelle ils sont infidèles. Si vous avez décidé vous d’être fidèle bravo ! Alors j’espère vous aider à convaincre votre copine de pratiquer la fellation.
conseil numero 1 pour lui faire aimer la fellation : la bonne position.
Les films pornos nous ont trop habitué à la fille genoux ou accroupie qui suce un mec debout. Pour commencer c’est une position inconfortable qui en plus donne l’impression à la femme d’être soumise. Moi j’aime et ce jeu de rôle sexy m’excite. Mais mieux vaut ne pas commencer comme cela. Votre première pipe avec votre copine, ou son retour à la fellation après une longue abstinence se fera bien mieux si elle est confortablement installée et que vous êtes passif sur le dos.
Conseil numero 2 pour se faire sucer : juste après la douche.
je vous épargne le chapitre sur la propreté et l’hygiène, je ne suis pas votre mère ! Mais la propreté c’est aussi dans la tête. Si vous êtes propre et parfumé mais que vous êtes le seul a le savoir c’est moins efficace. Une astuce, juste avant de rejoindre votre copine pour, vous l’esperez, une fellation, douchez vous, longtemps, bruyamment. Entrez dans le lit propre comme un sou neuf et doux comme un agneau. Vous augmenterez de 50% au moins vos chances de vous faire sucer.
Conseil numéro 3 pour se faire sucer par sa copine : cunnilingus GRATUIT
Le mot important c’est GRATUIT. Le deal ce n’est pas un cunnilingus contre une fellation. Ça ne marche pas comme cela. Faites juste souvent un bon gros cunnilingus à votre copine. Sans rien attendre en retour. Vous verrez il ne devrait pas se passer trop longtemps avant qu’elle ne vous suce de sa propre initiative !
Voici le mail que je viens de recevoir…Et ma réponse à celui qui veut se faire sucer.
De Martin habitant oà Evreux le 21 juin 2017 :
Salut coquine Lucie,
Voilà, j’ai vu que tu donnais pas mal de conseils sur ton blog de cul. Comment faire une bonne sodomie, comment sucer en gorge profonde, comment trouver une salope sur internet. Et j’en passe car je n’ai pas pris le temps de tout lire. Franchement, tes conseil c’est du grand n’importe quoi ! Mais j’aime bien comment tu écris et dans le tas il y a quand même des conseils que je trouve utiles et qui semble si sincères ! Alors voilà mon problème : J’adore me faire sucer, comme, j’imagine la majorité des mecs. Mais je ne sais jamais comment amener ma copine à me faire une fellation. Aurais tu quelques idées ? Des conseils pour y amener une fille qui n’en a pas naturellement envie ? Et épargne moi les conseil du genre dis lui : »Viens me sucer la bite comme une chienne grosse cochonne, je sais que tu meures d’envie de me tailler une grosse pipe de salope ! » Je sais que tu aimes quand on te parle comme ça mais je peux t’assurer que ce n’est pas le style de ma copine !
Signé Martin qui n’en peut plus d’avoir envie de se faire sucer.
Ma réponse à Martin qui veut se faire sucer :
Bon, Martin, tu as raison, ce qui marche avec moi c’est un petit jeu de rôle de domination. Et, même sans jeu de rôle, il ne faut pas me prier pour que je prenne une bonne queue entre mes lèvres, que je suce en branlette espagnole ou en gorge profonde. J’aime ça presque plus que baiser ! Donc désolé, mais le mieux que je puisse faire c’est de lancer un appel aux bonnes volontés lectrices (et lecteurs) de ce site pour te donner les conseils pour faire de ta copine une bonne suceuse. Alors, lecteurs, lectrices, à vous de jouer en commentaire ou en mail privé. N’ayez pas peur de mal écrire, je remettrai en forme au fur et à mesure !
Jacques (De Brest, réponse dans la nuit du 22 au 23 juin)
Moi, pour me faire sucer je commence par un cunnilingus et je m’arrange pour me retrouver en position de 69. Ca marche à tous les coup…de queue.
Marina (Suceuse de Briançon le 26 juin au matin)
Cher Martin qui veut se faire sucer,
Au début, moi non plus, je n’avais pas envie de sucer mon amoureux. Je savais qu’il avait très envie d’une fellation mais cela ne me donnait pas pour autant le désir de lui tailler une pipe.
Cependant, bonne poire, parfois je me forçais pour lui faire plaisir puisqu’il désirait tant se faire sucer. Je me disais : si je ne le fais pas il ira voir ailleurs. Alors, bien sûr il aimait ça ! Mais, du coup, il ne venait dans mon con que pour éjaculer bien trop précocement à mon goût. Et c’était moi la grande perdante ! Pour moi sucer mon mec revenait à renoncer à l’orgasme puisqu’il n’était pas assez endurant pour me satisfaire après une bonne pipe. Je n’osais pas lui en parler car j’avais peur de sa réaction. Je sais, je suis conne. Mais c’est ainsi. Un jour, par hasard, j’ai retrouvé un copain du temps où j’étais Lycéenne sexy mais trop sage pour coucher. On a rattraper les occasions ratées. Je sais, c’est mal de tromper mais ce n’était pas prémédité du tout. Alors je me dis que c’est moins grave, que ça compte presque pas ! Comme il a commencé par un cunnilingus de folie je me suis sentie obligée de le sucer. Mais je me disais que c’était dommage. Dans ma tête je pestais contre ces mecs qui veulent tous se faire sucer. Cela allait encore écourter l’étreinte…Mais rien de tout cela, il me guidait habilement en me pressant la tête. Il s’écartais pour me laisser lui lécher les couilles quand il sentait que c’était trop pour sa queue. Il m’encourageait, non pas avec des insultes mais avec des compliments, en me félicitant sur mes talents de bonne suceuse. Il me disait que c’était bon, que j’étais douée et que j’aurai le prix Nobel de fellation ! En même temps il me déplaçait sur le lit pour pouvoir me caresser la chatte par derrière. C’était fort agréable et, pour la première fois, j’aimais réellement sucer. Après il m’a prise en levrette. Pas des heures mais suffisamment longtemps pour me faire jouir. Il faut dire que j’étais bien préparée à l’orgasme par ses doigts délicats. Je me suis séparé de mon copain qui ne savait pas se faire sucer quelques semaines après. La morale que je tire de cette expérience et le conseil que je te donnerais c’est que si tu veux te faire sucer alors c’est surtout à toi d’apprendre à savoir bien te faire sucer. La fellation ce n’est pas le mec qui est passif et la nana qui fait tout !
Fred (De Toulouse dans la nuit du 28 au 29 juin)
Ma copine était très jeune et inexpérimentée quand nous nous sommes mis ensemble. Presque vingt ans nous séparent et je ne vous raconte pas pour quel pervers je passe ! Mais je me fiche bien de ce que les gens pensent. Elle était majeure quand ça a commencé il y a deux ans et elle en a maintenant vingt. On est bien ensembles et c’est ce qui compte. Mais pour en revenir à notre sujet, elle était quasi vierge quand tout à commencé pour nous et la fellation n’était pas vraiment au programme des réjouissances sexuelles. De mon côté j’avais déjà pas mal bourlingué et j’avoue que je n’étais pas prêt à renoncer au plaisir de se faire sucer…Redisons le les filles, se faire sucer est un des grand plaisir de la vie pour un homme ! Mais je suis fidèle et j ne voulais pas la brusquer. Elle y est venu très progressivement, cela a pris plus de six mois, sans que, jamais nous n’ayons besoin d’en parler. Se faire sucer par ma copine a été pour moi une démarche très naturelle. D’abord j’ai passé beaucoup de temps à la peloter dans des lieux publics, genre cinémas, cabines d’essayage de magasins de fringues, ascenseurs etc…Chez nous je lui léchais le minou des heures entières sans jamais rien demander en retour. au début c’était très timide, elle n’osait pas trop et n’embrassait que mon ventre ou mes cuisses. J’ai été patient, je n’ai jamais poussé sa tête vers mon sexe car je trouve cela vulgaire et malpoli. Cela a pris longtemps mais je peux vous dire que maintenant Melissa adore la saucisse et qu’elle est une vraie bonne suceuse de première ! Mon conseil à Martin qui veut se faire sucer : Sois patient, tout vient à point à qui sait attendre.
Bénédicte (du Havre en Seine Maritime le 7 juillet )
Je vais peut être choquer ou paraître vénale mais je suis bien obligée d’avouer que je suce d’autant plus volontiers mon mari quand il a fait chauffer la carte bleue. Sac à main, paire de chaussures ou week-end en amoureux dans un bel hôtel sont autant d’attentions délicates qui me donnent sincèrement envie de sucer. Cela fait peut être de moi une salope vénale ou une femme intéressée. Mais pourtant j’aime mon mari, je prends plaisir à le sucer. C’est juste que je ne vois pas où est le problème de dire merci à celui qu’on aime avec une fellation. Donc mon conseil ce serait peut être de faire des cadeaux. Sexe contre cadeau ou fellation contre cadeau ça peut aussi marcher dans un couple !
Kim de région PACA le 20 juillet 2017
Je suis un habitué des sites de rencontre. J’aime les femmes, j’aime le sexe et internet pour moi a été une vraie révolution. Plus besoin de faire des faux semblant, moins de perte de temps à draguer et des rencontres faciles et nombreuse. Enfin presque facile…J’ai pu remarquer que toutes les filles qui couchent facilement ne sucent pas forcément. Par contre une règle qui s’est toujours vérifiée est qu’une fille qui a une bouche à pipe sur son profil est toujours une bonne suceuse. J’entend par bouche à pipe des lèvres pulpeuses et maquillées. Cela ne veut pas dire que si la fille n’a pas une bouche à pipe elle ne sucera pas. Mais si elle mets sa bouche en avant sur sa photo de profil je suis sûr à 100% qu’elle suce ! Donc mon conseil pour celui qui veut se faire sucer et fréquente les sites de rencontre c’est de sélectionner les photos de profils de miss avec une belle bouche.
Fabienne de Provins 21 juillet 2017
Pour aller dans le sens de Kim je pense toujours à mon mec du moment et à comment je vais le sucer quand je me mets du rouge à lèvre seule devant la glace de ma salle de bains. C’est automatique, si je me mets du rouge à lèvre ça me fait penser à une bonne queue que j’ai envie de sucer. Sinon, à part ça, je suis une fille normale et pas une nympho. Je pense qu’un mec qui veut se faire sucer par sa copine peut, par exemple, lui offrir du rouge à lèvre classe et un peu cher. Rouge de Channel par exemple. Autre astuce, quand mon mec veut se faire sucer il porte mes doigts à sa bouche.
Surprise par mon commentaire sur ton blog disant que j’étais Mannequin mais que cela ne me facilitais en rien la vie pour faire des rencontres coquines tu m’as demandé comment cela était possible. Comment, alors que tous les hommes rêvent d’un plan cul avec un mannequin, ce peut-il que je galère autant pour trouver non pas l’amour mais juste un plan sympa pour l’été ? A vrai dire je ne suis pas certaine d’être capable de bien répondre. Mais c’est vrai que je ne suis pas la seule dans mon cas et la plupart de mes amies Mannequins (si l’on peut parler d’amitié dans ce métier) ont les même problèmes que moi.
Mannequin = Salope ?
Je pense que, tout simplement, il ne faut pas croire au cliché de la vie de Mannequin toute en Strass et en Paillettes. Même quand on est mannequin dans une grande agence, ce qui est mon cas, on est paradoxalement très entourée et en même temps très seule. J’ai été repérée et engagée comme mannequin à 16 ans. J’en ai aujourd’hui 21. Il faut savoir qu’un Mannequin de 16 ans est surveillée quasi H24. Et c’est bien car sinon mes parents ne m’auraient jamais laissée faire cela ! Au début c’est plutôt une vie sympa car il y a des voyages et, même pour moi qui ne suis pas dans les très connues, de l’argent. C’est pas la vie de rock star mais par rapport à n’importe quel boulo de caissière ou de secrétaire c’est presque cinq fois mieux ! Bien sûr je ne parle pas d’une secrétaire cochonne qui fait semblant d’être secrétaire dans des scénettes érotiques mais d’une vraie secrétaire comme il y en a tant qui ne sont ni très belle ni salope. Donc c’est sympa, mais niveau rencontres ce n’est pas le pied pour l’épanouissement sexuel à cet âge. Les agences ont tellement peur du détournement de mineure qu’on est surprotégée. Et je n’ai eu mon premier rapport sexuel que l’été de mes 18 ans, justement quand je suis revenu chez mes Parents dans le Cantal en Vacances ! On décrit souvent la première relation sexuelle comme un échec, une déception. Cela n’a pas du tout été mon cas. Au contraire, c’était une révélation ! J’étais maladroite bien sûr mais j’ai aimé cela. J’ai même adoré et j’ai tout de suite eu envie d’en connaître plus, de recommencer avec le même garçon mais aussi avec d’autres car je n’étais pas amoureuse. Je n’étais pas amoureuse mais j’adorais ce qu’il me faisait, je ne peux pas le nier ! Tout cela n’a rien à voir avec le fait que je sois Mannequin. Mais peut être que les mois d’isolement et de privation affective y sont pour quelque chose. Ensuite, à la fin de l’été quand il a fallu reprendre les voyages, tout s’est arrêté net. J’aurais sans doute eu des occasions car j’étais majeure. Mais c’est un milieu où si vous commencez à devenir « accessible » alors la carrière est foutue. On te prend et on te traite comme une salope. Les filles jolies c’est pas ça qui manque. Du coup celles qui ont mauvaise réputation sont orientées vers des trucs glauques et en plus très mal payés. Alors le sexe j’avoue que ce n’est QUE pendant les vacances, et QUE en cachette. Mais ça me va très bien en fait et j’aime ça plus que jamais ! Mon seul regret est d’être obligée de passer par les sites de rencontre. Mais je n’ai pas trouvé d’autre solution pour rester discrète.
Voilà, j’espère que cela répond à tes questionnements.
Plan cul Elbeuf, telle était le nom de code que je donnais dans ma tête à ce déplacement professionnel dans cette charmante bourgade du bocage Normand. Le gros avantage des déplacements commerciaux lorsque l’on est, comme moi, un peu nymphomane mais mariée et en recherche de discrétion c’est que l’on ne reste jamais plus de quelques jours au même endroit et que l’on est bien souvent loin du lit conjugal sans avoir besoin de se justifier. Alors, dans ma tête je me rêve prisonnière en cavale comme dans Prison Break ou agente secrète donnant des noms de code à chacune de mes aventures extra conjugales. Cette fois donc ce serait plan cul Elbeuf.
Plan cul Elbeuf, back to basics
Pour cette mission sexy je voulais un homme rude aux mains calleuses. Je fantasmais sur un normand qui fleurerait bon la ruralité et saurait relever ma robe à fleurs pour me prendre par derrière comme une bonne vache Normande à gros seins et peau laiteuse. Bon, je suis plutôt brune et déjà bronzée en ce mois de mai. Mais qu’à cela ne tienne, en culote de coton blanche, robe à fleurs et souliers vernis je pouvais passer pour une provinciales endimanchée même si nous étions jeudi. J’avais cueilli mon amant du jours sur cinqasept et nous devions nous rencontrer à la terrasse d’un bar cours Carnot. L’homme n’avais rien d’exceptionnel au vu de son profil mais il y avait dans la photo de lui, cadrée à l’américaine en chemise à carreaux dans un environnement champêtre, quelque chose d’un peu ringard et provincial qui m’attirait. Après avoir vécu des plans culs plutôt sophistiqué j’avais envie d’une baise simple et sans chichi. Un plan cul Elbeuf qui ne resterait peut être pas dans les anales de ma vie de débauche mais qui me permettrait de prendre mon pied et d’oublier un peu la monotonie des déplacements commerciaux que j’enquillais depuis plus d’un mois sans sexe.
La coupe de ma robe mettait bien en valeur mes gros seins, et Francis avait vraiment du mal à me regarder dans les yeux. Quand il me demandais si j’avais envie d’aller faire un tour et qu’il me fasse visiter le centre ville d’Elbeuf ses yeux étaient tellement fixés sur mes seins que je n’hésitais pas à répondre : »Non merci, j’ai surtout envie qu’on aille direct à mon AirBnB pour une cravate de notaire et plus si affinités. »
-« Eh bin dis donc, tu n’y vas pas par quatre chemin ma cochonne ! Note que ça me va bien comme programme. »
-« J’aime bien quand tu m’appelles cochonne. Surtout ne te prive pas si tu as d’autre petits noms à me donner…Allez, vite, on y va, j’ai très envie de faire ma gourmande ! »
Je laissais un billet de cinq sous la bouteille de San Pelegrino et le prenais par la main pour l’entrainer presque en courant vers la place François Mitterrand non loin de laquelle je louais un joli loft depuis le matin. A peine passée la porte de l’immeuble je me collais à lui pour lui rouler une galoche d’anthologie. J’aime mettre la langue quand j’embrasse, j’aime sentir que mes seins se pressent contre le torse de mon amant d’un jour. Ce premier baiser est un des moments que je préfère. Les mains qui se font baladeuses et surtout garder les yeux ouverts pour les faire parler. Quand j’embrasse j’aime penser que le mec comprend à ce moment précis que je vais être un super coup. Je veux, dans le premier baiser, qu’il comprenne que je vais faire ma salope jusqu’au bout, qu’il pourra tout me demander. Ou, plutôt non, qu’il n’aura même pas à me demander. Et là, je savais que c’était exactement ce qu’il devait se dire. La mission plan cul Elbeuf s’annonçait un succès !
Plan cul Elbeuf, du rêve à la désillusion
J’imagine que ce titre de paragraphe n’est pas très habile puisqu’il dévoile à l’avance que mon plan cul Elbeuf n’a pas tenu toutes ses promesses d’orgasmes multiples. Pourtant je pouvais sentir le sexe déjà bien dur de mon plan cul Elbeuf à travers le tissus de son pantalon. A peine passé le seuil du petit appartement que je nous avais trouvé il me prenait par la taille pour un nouveau baiser et ses mains allaient directement à mes fesses. Je me libérais soucieuse de ne pas aller trop vite car je sais les dangers de trop de précipitation. En général c’est éjaculation précoce assurée.
-« Installe toi, patiente un peu, je nous ai prévu tout un programme. » Je le pousse gentiment sur le petit canapé en cuir de l’appartement. « Attends moi là mon beau, je suis toute à toi dans quelques secondes. »
J’ouvre la fenêtre qui donne sur la rue pour tirer les volets. Il fait encore plein jour et j’ai envie d’une lumière un peu moins crue. J’ai aussi préparé un grand verre à Whisky de la glace et une bouteille de Jack Daniel. J’ai aussi une de ces petites pilules magiques qui permettent parfois (parfois seulement hélas) de faire durer l’erection au delà du raisonnable. Et je suis déraisonnable.
-« Pendant que je te fume le cigar tu préfère justement un vrai cigar ou un pétard ? »
-« Plutôt cigar chérie ! »
Chérie, si c’est pas mignon tout plein. J’ai l’impression d’être à la maison ! Enfin, pourquoi pas, après tout. J’ai défait les premiers boutons de mon chemisier et je reviens vers lui son verre dans une main, un Montecristo dans l’autre. Je lui donne le verre et m’installe à genoux à ses pieds. Je passe lentement le cigar entre mes gros nichons, puis j’en suce méthodiquement la hampe pour bien l’humidifier. Je sais qu’il pense à sa queue qui prendra bientôt le même chemin. J’ai un zippo argenté et je passe le cigar dans la flamme pour le chauffer un peu. Je repasse le tout dans ma bouche et je rechauffe une seconde fois. Mon plan cul Elbeuf semble apprécier mon petit manège. Mais il s’impatiente aussi et sort sa queue de son pantalon. Dommage, j’aurais aimé le faire moi même mais le message est clair. J’allume cependant le cigar et en tire quelques bouffées. Je souffle la fumée sur sa belle queue. Il me prend le cigar et passe la main derrière ma nuque pour m’attirer vers sa verge.
Comme j’ai déjà promis une cravate de notaire et que je tiens toujours (enfin presque) mes promesses je fais sauter les derniers boutons de mon chemisier et installe sa belle queue au creux de mes gros seins fermes pour une branlette Espagnole que j’espère d’anthology.
Et c’est là qu’après à peine trois aller retour je me prend une énorme éjaculation faciale ! Mon plan cul Elbeuf est tout penaud, Il se confond en excuses. Moi les excuses il n’y a rien de pire pour me faire redescendre. Si il avait accompagné son éjaculation prématurée d’un bon : »Tiens, prends ça dans ta face cochonne ! » c’est presque certain que j’aurais proposer d’attendre un peu, de reprendre plus tard après, éventuellement un petit remontant chimique que j’ai toujours en réserve. Mais là, des excuses, limites gémissantes c’est le pire. Dégoutée je le laisse se rhabiller et partir. D’autant que ce n’est que le début de l’après midi et qu’avec un peu de chance et une bonne connection internet je peux sans doute me trouver un plan cul Elbeuf de remplacement vite fait ! Mais ça c’est une autre histoire que je vous raconterai peut être bientôt.
Rencontre sur internet ne rime pas toujours avec fille facile à prendre en levrette. Force est de constater que, pour toi, le monde de la rencontre sur internet a souvent été synonyme de galère décevante et de faux plan cul avec des femmes aussi défraichies qu’ennuyeuses. Pourtant cette fois ta rencontre sur internet semble bien s’être transformée en Jackpot et tu te demandes si tu ne rêves pas tant la fille qui vient à ta rencontre est sexy. Une vraie bombe, mince avec de beaux seins et un sourire mutin. Cette Lucie, elle sent le cul jusqu’au bout des ongles french manucurés.
Rencontre sur internet et rendez vous en public…
Comme copine de sexe est un site de rencontre sur internet où l’on trouve quand même pas mal de types pas nets la jolie a joué la prudence en te donnant ce rendez vous coquin dans un lieu très fréquenté du centre ville de Bordeaux. Il fait soleil et la place du Palais fourmille de monde en cette fin d’après midi printanière. La terrasse du café brasserie où vous avez rendez vous est fréquentée par des étudiantes sexy seules ou en couple. Ca ri, ça flirte gentiment. Tu sens que la saison hivernale des rencontres sur internet et des chatroom va bientôt laisser un peu de place à la drague de centre ville et aux vraies rencontres sous le soleil des weekends prolongés. Toi tu n’as jamais été très à l’aise avec la drague outdoor, dans la vraie vie. Mais qu’importe, puisque tu sais y faire sur les sites de rencontre sur internet. Et tu sais que ça marche si on accepte de passer par la case abonnement. Mais là, c’et le pompon que tu sembles avoir décroché ! La nana qui s’avance vers ta table est un véritable avion de chasse ! Tous les mecs hétéros l’ont remarqué. Les jeunettes en jupes ou jeans qui les accompagnent aussi et elles font la gueule. Et cette beauté brune et longiligne, c’est bien à toi qu’elle souri, c’est bien sur ton épaule qu’elle vient de poser une main légère et sur tes lèvres qu’elle fait un petit smack en levant délicieusement la jambe laissant mieux entrevoir son mollet parfait gainé de noir. Le bisou sur les lèvres t’a surpris. D’habitude, même pour une rencontre sur internet qui doit tourner en plan cul c’est la bise sur la joue qui est de mise au premier contact. Mais en constatant les regards envieux et dépités des mâles alentour tu comprends qu’elle a juste voulu dire à tous : »Vous fatiguez pas les mec, je suis déjà prise ! »
Elle prend place sans plus de cérémonie à côté de toi derrière la petite table pour regarder les passants et attendre le serveur qui est blonde, petite et potelée (tout le contraire d’elle). Elle commande un mojito, tu suis. Elle approche son visage et pose une main légère sur ton bras : »Merci bien comme sur ta photo de profil. »
Toi : »Merci d’être encore mieux que sur ta photo de profil ! ».
Tu la fais rire, tu espères que c’est bon signe.
-« Avec les sites de rencontre sur internet je suis souvent déçue par les hommes qui ne correspondent pas du tout à leur photo de profil. Mais toi, au moins la dessus tu ne triches pas. J’espère que ça matchera aussi…à l’horizontale… »
Elle a chuchoté la dernière phrase et, comme par hasard, vos genoux se sont touchés.
-« Moi aussi j’espère, dis donc, tu n’y vas pas par quatre chemins toi. T’es assez directe comme fille. » Tu te mets à douter. Et si c’était un canular. Ou pire, un piège. D’habitude tu es confiant. Une rencontre sur internet pour un plan cul c’est, somme toute, assez banal et tu n’en es pas à ta première coquine, loin de là. Mais là cette fille est tellement cannon que tu doutes. Tu choisis la sincérité, c’est souvent ce qui marche le mieux : »Excuse moi de te demander ça mais tu es « vraie » ? c’est pas un canular ? Ou tu vas pas me demander de l’argent ? »
Elle a un mouvement de recul et fait une moue vexée.
-« Oui, pardon encore, je veux dire…tu es tellement belle que j’ai un peu de mal à croire en ma chance. Excuses moi, c’est naturel pour une rencontre sur internet de se poser parfois des questions. Ce n’est pas une pudeur de gazelle. »
Heureusement l’expression pudeur de gazelle la fait sourire. Elle te montre son alliance : »Pas de soucis, je suis juste une jeune femme mal mariée qui en a marre d’être la seule cocue du couple. C’est pour cela que je pratique la rencontre sur internet avec des inconnus. Tu peux comprendre j’espère ? » Elle dit : »pas de soucis » mais le ton est encore un peu sec. Tu n’avais même pas remarqué son alliance. Il faut dire que ce n’est pas ce qui attire le regard en premier chez la miss !
-« Ah ? Pardon si je t’ai vexée ! »
Elle se radouci et recolle son genou contre le tien.
-« Pas grave, je comprends, c’est pas évident la rencontre sur internet. Pour te faire pardonner tu paies les mojitos, ok ? »
Ils arrivent d’ailleurs portés par la blondinette rondelette qui vous souri et pose la note dans sa coupelle en plastique juste entre les deux grand verres de mojito.
Vous trinquez : »A nos amours ! qu’ils ne sachent jamais rien de notre rencontre sur internet ! »
Ce coup ci c’est elle qui te fait rire.
-« Perso je suis célib. Mais promis je ne dirai rien à ma mère de notre rencontre sur internet ! »
Elle ri, ces dents sont blanches et bien alignées. Tu as très envie de l’embrasser. Tu te lances : »Je peux t’embrasser ? »
-« Tu ne le diras pas à mes parents ? » Elle colle ses lèvres aux tiennes. La pointe de sa langue est toute douce et mobile. Juste un baiser de quelques secondes mais quand elle le romp vos cuisses sont pressées l’une contre l’autre. Elle pose sa main sur la tienne et ses doigts caressent les tiens de manière suggestive.
Elle : -« Je peux te demander quelque chose ? »
Toi : « Oui ? »
Elle : « On peut rester là encore un peu à flirter et à regarder les gens passer ? »
Elle semble soudain timide et vulnérable. Tout le contraire d’une rencontre sur internet pour un plan cul. Tu as oublié tes doutes. Tu ne penses même plus que c’est juste un plan cul monté grâce à une rencontre sur internet. Tu te laisses aller à profiter du moment et tu te surprends à lui demander : »Ok, mais je veux un autre baiser ! ».
Avant d’accéder à ta demande elle chuchote : »T’inquiète, je suis à toi toute entière et pour toute la nuit. Et j’ai très envie d’avoir autre chose que ta langue dans ma bouche aussi… »
Comment j’en suis venu à la prostitution étudiante
« Prostitution étudiante, un phénomène en plein essor ». C’est en lisant un article sur la prostitution étudiante que ce curieux fantasme est né en moi. Cet article assez sérieux sur le phénomène de la prostitution étudiante était pourtant sensé montrer les aspects peu reluisants de cette pratique de prostitution étudiante et aurait plutôt du me révolter. Mais ce fut l’inverse qui se produisit. Comme l’âme est étrange. Au lieu de cela je me suis imaginée en prostituée occasionnelle donnant du plaisir à des hommes inconnus qui me paieraient. Mais surtout, je pense que ce n’est pas l’argent qui m’excitait mais plutôt le fait de me faire passer pour une étudiante dans le besoin auprès d’un homme plus mûr, sûr du pouvoir que lui donnerait l’argent impliqué dans notre relation. Les hommes sûrs de leur pouvoir sont souvent meilleurs au lit, j’ai pu le remarquer. Jusqu’à présent j’avais fondé mes rencontres sur un jeu de séduction où, bien sûr je plaisait à l’homme qui allait me faire jouir, mais où aussi il était assuré que j’avais aussi envie de lui. En lisant cet article sur la prostitution étudiante j’ai soudain eu envie de ressentir ce que cela pouvait faire d’être une toute jeune fille placée sous le joug d’un homme qui paie pour me posséder dans tous les sens du terme. Je ne pense pas que beaucoup d’hommes peuvent comprendre cela. Mais je suis sûre que certaines femmes, aux fond d’elles mêmes, voient très bien ce que je veux dire. Cette excitation et cette étrange fascination pour le fait d’être dominée, considérée presque comme un objet de plaisir à qui l’on peut tout demander parce qu’on a payé. La part féministe et raisonnée de moi même le déplore mais au fond de moi je sais que le pouvoir et l’argent sont de puissants lubrifiants. Cela additionné au plaisir de me faire passer pour plus jeune que ce que je ne suis en réalité a fait qu’une fois cette idée en tête je n’ai pas trop hésité à me faire passer pour une prostituée occasionnelle et étudiante sur un site de rencontre à plan cul où ce type de profil existe sans doute (même si ce n’est jamais dit explicitement).
C’est ainsi qu’est né le personnage de Fanny, étudiante infirmière s’adonnant à la prostitution étudiante pour boucler ses fins de mois. Fanny devait être très sexy (c’est mon cas) bien sûr coquine (ça je sais faire) mais aussi un peu timide et réservée, jeune et un peu inexpérimentée (les hommes aiment bien ça chez les étudiantes, cela fait partie de leur fantasme à eux !). Ce qui est pratique avec le profil d’étudiante infirmière sexy c’est que c’est un profil assez passe partout qui est vraisemblable dans à peu près toutes les grandes villes de France. Des CHU ou des formation d’infirmières il y en a un peu partout. Et des étudiantes qui s’inscrivent sur des sites de rencontre coquins, que ce soit pour se prostituer ou juste pour faire des rencontres sans lendemains, ce n’est pas vraiment exceptionnel. Bien sûr le danger c’est qu’il y ait un peu de concurrence. Mais j’ai la faiblesse de croire que bien qu’ayant déjà trente ans je sais en paraître cinq de moins et surtout je fais tout pour rester très svelte et sexy. Bien sûr il m’a fallu ruser un peu. Pas question de mettre « prostitution étudiante » sur mon profil. Ni même d’ailleurs toute phrase trop explicite suggérant une recherche de relations tarifées dans le cadre de prostitution étudiante ou de toute autre échange de services sexuels contre rémunération. D’abord parce que c’est illégal. Et ensuite parce que, même s’ils ne sont pas très scrupuleux, les modérateurs des sites de rencontres ne laissent pas passer ce genre de profils. La prostitution étudiante, ou occasionnelle ou, à fortiori organisée n’est pas bienvenue sur les sites de rencontre francophones qui ne souhaitent pas se voir interdits d’exercer.
Bon, enfin bref, mon profil donnait quelque chose comme ça : « Salut à tous les hommes sérieux de ce site ! Je suis Fanny (avec deux « n » si je veux !), étudiante infirmière en dernière année, je voudrais passer des moments agréables (très agréables) avec des hommes gentils et aussi généreux qui ma poitrine. »
Forcément j’ai eu instantanément une bonne centaine de réponses de mecs affamés pour un pan cul classique. Moins de la moitié semblait avoir compris l’allusion à la générosité du partenaire. Mais cela laissait déjà pas mal de choix. Je choisissais un quadra qui ne se cachait pas d’être marié et qui semblait avoir compris qu’il s’agissait de prostitution étudiante. Bien sûr, comme ma démarche était mue par le fantasme de me prostituer je n’avais aucune idée du prix d’une prostituée étudiante. Ni même d’ailleurs d’une prostituée tout court. Y-a-t-il un marché codifié de la prostitution étudiante ? Est-ce que cela dépend de l’âge, forcément jeune, de la jeune étudiante ? Est-ce qu’une lycéenne majeure ne serait pas plus recherchée ? De toutes façons du haut de mes vingt neuf ans je ne ferais pas crédible en Lycéenne… Aussi quand mon contact coquin m’a demandé en chat privé quels étaient mes tarifs et si j’acceptais l’anal j’ai du improviser. Lorsque l’on ment c’est bien de rester le plus proche possible de la vérité.
-« Vous savez, je ne suis pas une habituée (vrai), pour moi c’est très occasionnel (vrai aussi). »
-« Ah ? ok, mais tu es majeure au moins hein ? »
-« Oui oui, ça pas de problème (toujours vrai), j’ai vingt quatre ans (premier mensonge, mais pas un gros). et je demande 450€. »
-« Avec l’anal ? »
-« Heu…pour l’anal je ne sais pas trop (second mensonge, j’adore en vrai et je compte bien que tu m’encules si on se voit). Je l’ai déjà fait (là c’est vrai) avec mon copain (et pas que…) mais il était plutôt doux et patient (ni vrai ni faux, c’est une question d’appréciation…). »
-« Bon, ok, écoute, tu me plait vraiment alors je te propose qu’on laisse un peu de place à l’improvisation. Tu veux qu’on se retrouve où et quand ? »
Cette question je l’avais préparée. Et je disposais d’un très joli appartement pour deux jours et deux nuits au centre de Colmar, rue tanneurs. Je donnais l’adresse de mon nid douillet ainsi qu’une heure en fin de soirée car je voulais profiter un peu de cette ville que je ne connaissais pas. J’aime déambuler dans les rue de villes où je suis une inconnue sexy. J’aime sentir les regards des hommes sur moi, souvent trop timides pour m’aborder. Je m’excite toute seule à croiser et décroiser mes longues jambes assise à la terrasse d’un café en vue. C’est mon long préliminaire rien qu’à moi avant toute rencontre coquine dégotée sur un site à plan cul. Surtout que cette fois, s’agissant d’un type qui pense avoir à faire à de la prostitution étudiante, je doutais qu’il ne prenne le temps de badiner des heurs avant de cueillir ma fleur. En fait je l’imaginais plutôt arracher ma culotte violemment que cueillir délicatement ma fleur. J’en étais toute émue (et humide) mais je n’oubliais pas la phrase d’usage en lui donnant rendez vous : »N’oubliez pas vos préservatifs ! » Pas très glamour mais je m’efforçais de le dire sur un ton mutin.
-« T’inquiète ma jolie, je sors toujours couvert. Je sens qu’on va très bien s’entendre…si tu vois ce que je veux dire… »
Si tu vois ce que je veux dire. Quelle phrase ringarde, non non, je ne vois pas du tout ce que tu veux dire. Je répondais néanmoins : »Oui, moi aussi je suis très excitée à l’idée de notre plan cul. Cela ne vous embête pas si je parle de plan cul plutôt que de passe ? Pour tout die j’ai un peu honte (gros bobard !), vous comprenez j’espère ? »
-« Oui oui, promis je ne te parlerai pas de prostitution étudiante on pourra faire comme si on se connaissait si cela te mets plus à l’aise. Mais tu m’as l’air un peu débutante, j’espère que tu ne me fera pas un fau placn au moins.
-« Ne vous inquiétez pas, je ne changerai pas d’avis, j’en ai trop besoin, heu envie, heu enfin je pense que vous voyez ce que je veux dire. En tous cas je vous promets de tout faire pour ne pas vous décevoir. »
-« Ok, je te fais confiance, à demain 23h alors. J’espère que tu suces bien… »
Je suis sûre qu’il a ajouté cette dernière phase pour s’assurer que j’irai jusqu’au bout. Je ne lui en voulais pas et le rassurais : »Oui, pas de souci, j’adore sucer, j’aime profondément sucer (Dieu sait que c’est vrai !). »
Prostitution étudiante, au pied du mur
Voilà, jour J, heure H moins dix petites minutes pour la réalisation de mon fantasme prostitution étudiante. J’ai scotché une enveloppe sur la porte de l’appart entrouverte avec dessus le pseudo de mon plan cul « prostitution étudiante » sur copinedesexe. J’ai tapé et imprimé le texte suivant dessus :
« Cher client plan cul,
Entre et pose mon petit cadeau sur l’étagère à droite de la porte. Il y a un whisky pour toi sur la table basse, mets toi à l’aise sur le canapé en cuir, j’arrive de suite m’occuper de ton cas. »
J’attendais cachée en nuisette sexy dans la petite salle de bain du studio. Je m’étais fait deux couettes (les couettes ça rajeunit toujours un peu !).
J’attendais qu’il s’installe. Je savourais d’avance ma victoire, monsieur s’attendait à un plan prostitution étudiante classique. J’étais bien décidée à lui sortir le grand jeu. Et ce grand jeu commençait par une approche à quatre pattes soumise et sexy à souhait. La porte de la salle de bain donnant sur le côté du salon de ce joli studio je devais contourner le canapé pour être devant lui et il pouvait m’admirer rouler du cul comme un poney. La lumière était tamisée et je me savais suffisamment bien foutue pour ne pas être ridicule dans cette situation. D’ailleurs, une fois que je me trouvais juste la tête entre ses genoux il semblait trouver fort naturel de siroter son Johny Walker en me laissant déboutonner son pantalon de toile. De la main qui ne tenait pas le verre il me caressait la tête comme il l’aurait fait à un animal de compagnie. C’est le genre de situation qui m’excite à mort, je dois bien l’avouer.
-« Putain, c’est pas de la prostitution étudiante, ça ! Tu es carrément une pute de luxe ma jolie ! J’adore cette entrée en matière, continue comme ça et il y aura un beau pourboire ! »
J’avais la bouche pleine, aussi je ne répondais pas, me contentant de sucer lentement comme j’imagine que toute bonne pute étudiante ou expérimentée doit le faire. J’aime cette sensation d’un chibre bien épais entre mes lèvres. J’aime la pression de plus en plus ferme de sa main derrière ma tête. Je suce, attentive à la pression de sa main sur ma nuque, à l’affut du moindre indice m’indiquant qu’il faut ralentir ou arrêter ma fellation si je veux le garder vivant pour la suite des événements. C’est un job d’experte dans lequel je commence à exceller (sans me jeter de fleur). C’est maintenant ! Il faut que j’arrête de sucer. Je monte sur le canapé et m’installe toute fraiche et guillerette à côté de lui.
-« Je peux avoir un verre moi aussi ? »
-« Heu, oui, je t’en pries. »
J’aime les changement brutaux de rythme et d’ambiance. C’est, je pense, la clef si l’on veut faire durer un plan cul au delà d’une heure. Je prend la bouteille mais au lieu de me servir un verre j’approche le culot de son cou pour y verser quelque goutes que je lape aussitôt.
-« ça vous embête si je vous enlève votre chemise ? »
-« Pas du tout ma belle, fais toi plaisir ! »
Je déboutonne…lentement. Je susurre à son oreille : »Vous aimez que je fasse ma pute comme ça pour vous ? »
-« Oui, j’avoue que ce n’est pas mal du tout. Bien au delà du plan prostitution étudiante auquel je m’attendais. Tu es vraiment une débutante ? »
-« Dites donc, vous doutez de ma sincérité ? ce n’est pas très gentil ça. »
Je suis à genoux sur le canapé à côté de lui. S’il tendait la main il pourrait caresser mes fesses. D’ailleurs il vient de s’en apercevoir et je sens la caresse légère du dos de sa main sur le bas de mon dos. Je me cambre imperceptiblement pas réflexe. Je fais couler une goute de whisky dans son nombril, un doigt caresse la raie de mon cul, là où il y a encore un peu de dentelle du string qui ne protège plus grand chose. Je lape une goute d’alcool à même sa peau et le regarde par en dessous : »Vous voulez que je vous suce encore ? »
-« Non, embrasse moi juste le ventre, j’ai envie de caresser un peu ton cul de pute. Et continue, à me vouvoyer, j’aime bien ça grosse coquine. »
-« Je ne suis pas grosse ! »
-« Chut maintenant, embrasse et ferme la un peu. »
Je me tortille un peu pour être plus accessible et ses doigts sont maintenant sur le bout de tissu qui couvre ma chatte gonflée de désir. Il presse délicatement. J’en gémi tant de vrai plaisir que pour l’encourager. J’embrasse son ventre et il caresse mes cheveux, guidant ma tête vers le haut si je fais mine de m’intéresser à sa bite. Ses doigts sont maintenant entre le tissus et ma chatte qui s’ouvre bien humide. Il caresse sans précipitation mais sans timidité non plus. Dieux que c’est bon ! Il n’est plus question de prostitution étudiante ni de relation tarifée pour moi à cet instant, je suis toute à mon plaisir et je prie en secret pour que cet instant dure le plus longtemps possible. Bien sûr que j’aime me faire troncher comme une grosse salope. Je ne vous cache pas que je mouille sous la main d’un fesseur un brin sadique et que m’entendre dire que je suis une bonne pute qui aime se faire encule alors que mon anus en prend plein la gueule est un de mes grands kiff dans la vie. Mais je sais aussi apprécier un amant qui prend son temps, qui fouille délicatement chaque replis de ma chatte mouillée de ses doigts experts. Le con va me faire jouir juste avec ses doigts si je ne reprends pas la situation en main. Je tente de le sucer mais cette fois c’est une petite tape sur mes fesses qui me rappelle à l’ordre. Je ne peux m’empêcher de demander : »Oh, oui, encore, ça j’aime, s’il vous plait. »
-« Ah, alors la soit disant adepte de la prostitution étudiante aime la fessée ? »
-« Oui, s’il vous plait, punissez moi un peu. »
Il frappe du plat de la main, ça claque juste comme il faut. Ni trop doux ni trop brutal. Je laisse échapper un cris à la limite entre la douleur et le gémissement de plaisir. Nouvelle tape. Cette fois ce sont deux doigts qui fouettent mes fesses par le côté. Je sais qu’il y aura des traces mais cela fait bien longtemps que mon mari ne fait plus attention à mes fesses. Et je sais que le fond de teint ce n’est pas que pour le visage !
J’ai baissé son pantalon, délassé ses chaussures, le tout sous ses coups répétés, pas trop fréquents, ni trop forts. Juste ce qu’il faut pour me tenir alerte mais assez doux pour que cela puisse durer encore longtemps.
Je m’installe un peu mieux, le ventre sur ses cuisses. Mes ongles plantés dans ses mollets. En bonne salope qui aime la fessée j’en redemande. Une dizaine de tapes du plat de la main qui claquent et font sans doute rougir mes fesses et le haut de mes cuisses qui n’est pas épargné.
Et soudain je hurle, ça brule ! Je me tortille mais il me tient fermement contre ses cuisses. Le salaud vient de verser une rasade de whisky sur mes fesses ! La brulure est intense mais de courte durée. Il embrasse, ou plutôt il lèche mes fesses. Cela fait toujours mal mais j’aime assez. Il se glisse sous moi pour me bouffer la chatte, une chatte trempée de mouille et d’alcool. Je suce en soixante neuf. Je ne me retiens plus de jouir et il éjacule abondement dans ma bouche. J’avale et garde sa queue qui se ramolli dans ma bouche le plus longtemps possible.
Comme je le sens pensif, je le rassure : »T’inquiète mon joli, je te garde jusqu’à demain matin, tu n’en a pas fini avec moi ! ».
Il semble rassuré. Il n’a même pas remarqué que je le tutoyais. Mon fantasme prostitution étudiante était finalement une bonne idée, même si, toute à mon improvisation j’ai finalement davantage joué la carte plan cul gratuit que prostitution étudiante tarifée. Pour ceux qui se demandent ce que j’ai fait des 450€ j’aimerais dire que j’ai rendu les sous à mon amant ou que j’ai donné à une association de lutte contre la prostitution étudiante. Mais ce serait mentir. Grace à ce plan cul prostitution étudiante J’ai acheté un sac à main qui me faisait bien envie ! Vive la prostitution étudiante ! Même si il ne faut pas le dire trop fort car, rappelons le, le sexe cela doit rester entre adultes consentants, très consentants…
Je copie ici, en corrigeant quelques fautes d’orthographe et de style ce très joli témoignage que m’envoie Florence dont l’histoire m’a ému. Merci Florence, saches que je garde le texte plus coquin que tu m’as écrit pour plus tard mais que je compte bien le publier aussi, avec ta permission…
Mon père avait dix sept ans le jour de ces quarante.
Qui sommes nous, ma mère, pour lui jeter la pierre ?
C’est une histoire d’adultère, de parjure, de trahison,
C’est pas toute ta vie qui est par terre, il te reste la voiture et la maison.
Ainsi commençait le poème que j’écrivais à Maman du haut de mes quinze ans. J’en ai aujourd’hui trente. Père n’est jamais revenu avec le mie d’amour comme nous l’avait pourtant assuré Monsieur Koubila, problèmes d’argent, impuissance, réussite aux examens, même médicaux, résultats garantis même pour les cas désespérés.
Il faut croire que notre cas était au delà du désespoir. Maman lui a pardonné. Au Marabou, pas à mon Père. Il faut dire qu’elle est persuadée que grâce à lui nous sommes Français et à l’abris du besoin. J’ai bien tenté de lui expliquer que mon grand Frère défenseur dans un club de D1 y était sans doute pour bien plus cela n’a pas entamé sa foi. « Et comment tu crois qu’il gagne des Match ton Frère hein ? quatre saisons ans blessure, tu crois qu’on en serait là sans Koubila ma fille ? »
J’ai renoncé à la convaincre. Mon mari Médecin et Caucasien, ma maison et même notre enfant si jolie de toutes façons c’est grâce à la magie puissante de son Vaudou. Mon bac avec mention, l’école de commerce et l’embauche directe dans une grande banque d’affaires ? Elle l’avait déjà vu dans les entrailles d’un poulet ! Mais elle était quand même contente et chacun de mes succès a toujours donné lieu à une fête bruyante et colorée. Ainsi qu’à un SMS de mon Père : « BRAVO » ou « FELICITATIONS ». Jamais plus d’un mot, comme s’il croyait que nous sommes toujours à l’époque où l’on paie les textos au nombre de mots. Jamais « Voyons nous » ou « Je suis fier de toi ma fille ». Mais je me serais damnée pour chacune de ces preuves de son existence. De ma Mère je tiens une poitrine généreuse, un cul à la Beyonce et 1 mètre 80 d’une silhouette élancée d’athlète Jamaïcaine. De mon Père l’irrépressible envie de plaire ainsi qu’un goût maladif pour les aventures extraconjugales !
Lubrifiant anal, comment choisir ? Que recommandes-tu comme lubrifiant pour faire aimer la sodomie à ma femme ? Aurais tu d’autres conseils très pratiques pour m’aider à sodomiser ma petite copine ? etc…
Pour faire suite aux très nombreuses questions que je reçois en commentaire de mon article sur la sodomie ainsi qu’aux messages privés que vous m’envoyez j’ai décidé de m’arrêter quelques instants sur les accessoires et produits qui peuvent aider à la sodomie. Vous le savez je suis une curieuse autant qu’une grosse cochonne. Donc j’ai (presque) tout essayé et je propose ici, non pas un comparatifs des lubrifiants anal (ou anaux ?) et autres gadgets sexuels mais plutôt une florilège de ce que j’ai pu tester en matière de lubrifiant anal et autres sextoys pour une meilleure pratique de la sodomie. Dans cet article vous trouverez de nombreux liens vers la boutique de vente par correspondance que j’utilise. Je l’utilise car les colis sont très anonymes et discrets et parce qu’il ne figure pas de mot compromettant sur les relevés CB avec ce fournisseur. Mais bien sûr je suis certaines que les mêmes gels lubrifiants ou produits aphrodisiaques sont aussi disponibles ailleurs à des tarifs similaires.
Lubrifiant anal : un « must have » pour un dépucelage du cul !
On connaît toutes et on adore toutes cette sensation d’une bonne bite bien dure qui pénètre notre chatte mouillée. Cet instant magique où ça rentre comme dans du beure. Moi ça me fait toujours miauler, ou gémir ou crier en fonction de mon humeur du moment. Pour la sodomie, c’est pareil, j’aime quand ça rentre tout seul même si je suis en réalité assez étroite par devant comme par derrière. Alors, oui, un lubrifiant c’est quand même ce qu’il y a de mieux, surtout au début quand on ne contrôle pas bien son niveau de détente. Et même après, j’aime toujours autant ces instants plus ou moins prolongés où un mec me lubrifie les fesses puis l’anus. Et j’aime, après avoir sucé, enduire la queue de mon amant avec ce qu’il faut pour me prendre ensuite par le cul. J’aime lui dire qu’avec ce lubrifiant anal il va bien m’enculer, ou qu’il va défoncé mon petit cul qui n’attend que ça ou qu’il va pouvoir me la mettre bien profond dans mon gros cul de cochonne. Même si mon cul est plutôt petit et bombé, dire mon gros cul de grosse cochonne m’excite ! Donc, si vous voulez pratiquer la sodomie alors pas d’hésitation, prenez un lubrifiant anal. Pour être sûre de votre (bon) coup choisissez en un du marché fait pour. Après, une fois plus en confiance vous pourrez expérimenter, par exemple en vous lançant dans des délire enduite d’huile d’olive ou de tournesol !
Lubrifiant anal retardant, le top !
Si, comme moi, vous n’avez pas peur d’en prendre longtemps plein le cul alors je vous donne une petite astuce. Choisissez un lubrifiant anal à effet retardant. Avec ça un éjaculateur précoce ne devient pas Rocco Siffredi mais il sauve les meubles ! Par contre le lubrifiant anal à effet retardant peut, si vous êtes chanceuse, transformer un amant moyen en véritable bête de sexe ! J’ai même connu un jeunot complètement fou qui combinait programme d’extension de pénis et lubrifiant retardant ! Je me suis faite déchirer mais j’ai aimé. Par contre il était tellement limité intellectuellement que ça m’a gavé, on ne peut pas avoir le beure et l’anal au beure !
Femme adultère, que tu sois une habituée de la pratique de la relation extraconjugale ou que cela ne te soit arrivée qu’une fois, par « erreur », s’il te plait écris moi. Je suis à la recherche de témoignages de femme adultère. Pourquoi l’avez vous fait, pourquoi le faite vous toujours ? Comment cela se passe, que ressentez vous, quels alibis utilisez vous etc…Que votre histoire soit courte et ne fasse que quelques lignes ou que ce soit un long récit autobiographique. Que vous soyez crue et sensuelle ou froide et très factuelle tout m’intéresse au sujet de votre expérience de femme adultère. Alors si vous pouvez écrire en commentaire à cet article ou en message privé si vous préférez je vous en serais très reconnaissante. Bien sûr je garantis un parfait anonymat.
Je fais cela autant par besoin de comprendre mon expérience en la comparant à celle des autres que pour enrichir mon blog qui stagne un peu ces temps ci. Alors merci à toi, femme adultère si tu participe d’une manière ou d’une autre.
Homme adultère ou ayant parfois des relations avec une femme adultère tes commentaires, expériences et histoires de fesse m’intéressent aussi, n’hésite pas à écrire tes commentaires ou à raconter ton expérience en la matière ! Je suis aussi curieuse de savoir sil s’agit de sentiment ou juste de pratiques sexuelles que vous ne trouvez pas dans le mariage.
Pour celles et ceux qui sont en mal d’inspiration, voici quelques idées simple pour commencer. Ecrivez comment vous en êtes venu à de venir une femme adultère, décrivez ce que vous ressentez (culpabilité, excitation, fatalisme, tristesse, joie ?). Si vous êtes inspirée racontez votre première fois. Si vous ne l’avez jamais fait je suis aussi curieuse de savoir ce qui vous a retenue. Si vous êtes un homme votre avis sur les femmes adultères m’intéresse fortement aussi !
Aussi si vous avez l’expérience d’un site comme gleeden, Ashley Madison ou cinqasept, cela m’intéresse de savoir ce que vous en pensez !