Draguer une femme mariée, beaucoup d’hommes que je connais en rêvent mais ne savent pas comment s’y prendre. Comment détecter les signes que l’aventure extraconjugale est possible avec une femme ? Comment s’y prendre pour faire comprendre la chose à la femme sans que l’entourage ne le devine ? Quels sont les arguments qui portent et les choses à faire pour convaincre une femme mariée de tromper son mari ? Qu’est-ce qui nous excite vraiment nous, les femmes mariées, au point de prendre le risque d’une aventure adultère ? Autant de questions auxquelles je vais essayer, forte de mon expérience personnelle et de mes échanges avec mes amis mariées , de répondre ici pour vous messieurs ! En espérant, comme toujours, parvenir à donner à ce doux biller une touche érotique prompte à vous faire un peu bander (c’est cela qui m’excite dans l’écriture).
Draguer une femme mariée, ne partez pas perdant !
Beaucoup d’hommes pensent, à tord, qu’une femme mariée est moins accessible qu’une célibataire. Ils s’interdisent de draguer une femme mariée qui leur plait, non pas parce qu’ils pensent que c’est moralement répréhensible mais parce qu’ils croient avoir moins de chance de succès qu’avec une fille célibataire. Laissez moi donc vous expliquer pourquoi cela est archi faux et pourquoi il peut être plus efficace de draguer une femme mariée plutôt que de courtiser une célibataire.
Raison numéro 1 de draguer une femme mariée : Nous sommes souvent sexuellement en manque !
Celles et ceux qui ont vécu longtemps en couple le savent très bien. Lorsque l’on vit en couple depuis longtemps une certaine routine sexuelle s’installe. La créativité et les excès des premières étreintes s’émoussent pour laisser la place à un scénario sexuel souvent répétitif et sans surprise. Après quelques années de mariage, même lorsque celui-ci est heureux, il est rare que l’on entende des cris d’orgasme et des phrases du type je vais te défoncer la chatte et le cul comme une grosse salope. Pourtant c’est ce que beaucoup de femmes comme moi aiment. J’aime être surprise autant que prise. Je veux sucer comme une chienne et ne pas savoir comment vont réagir l’homme et la queue que j’ai entre les lèvres. Je veux ne pas savoir à l’avance comment l’amant qui se tient derrière moi va me prendre et me faire jouir. C’est cela qui m’excite et, pour en discuter souvent avec mes amies femmes, je peux affirmer que je suis loin d’être la seule coquine dans ce cas !
Raison numéro 2 de draguer une femme mariée : On n’est pas collantes !
Avec une fille célibataire, même si elle dit le contraire, vous prenez le risque de vous embarquer dans une histoire d’amour avec quelqu’un qui voudra vite davantage qu’un plan cul de temps en temps. Draguer une femme mariée c’est d’abord l’assurance que le temps passé ensemble sera principalement consacré à la baise. La vraie baise, celle qui fait gémir, hurler ou mordre l’oreiller. La femme marié n’a pas un temps illimité et surtout pas l’envie d’une relation compliquée. Passé le premier obstacle de la drague tout va vite et efficacement, croyez moi, nous ne sommes pas là pour enfiler des perles !
Raison numéro 3 de draguer une femme mariée : Quel plaisir d’être l’amant !
Avouez le, baiser la femme d’un autre homme est un plaisir supplémentaire ! Allez, ne soyez pas faux cul ! Savoir que vous niquez la femme d’un autre, que vous la faite jouir et gémir comme lui ne sait pas le faire, cela ajoute à votre excitation non ? En tous cas aucun de mes amants ne s’est plein que je lui glisse à l’oreille qu’il me fait largement mieux jouir que mon mari… Il m’est même arrivé de téléphoner à mon mari pendant que mon amant me faisait un cunnilingus ou me prenait en levrette. Quel plaisir d’essayer de maitriser ma voix pour parler d’une journée de travail morose ou de la liste des courses alors qu’en réalité je suis au bord de l’orgasme. Et je peux vous dire que la situation n’était pas pour déplaire à mon amant !
Raison numéro 4 de draguer une femme mariée : Cela ne coûte pas cher !
La plupart des femmes mariées que je connais et qui ont, parfois, des amants cherchent la discretion. Cela signifie que les sorties restau et escapades de week-end sont en général exclues du programme. Dans mon cas c’est un peu différent, je n’ai mes aventures que loin de la maison en déplacement professionnel. Aussi je ne dis jamais non à une sortie en public dans un beau restaurant ! Mais ce qui est sûr c’est qu’une femme mariée cherche avant tout les plaisirs charnels qu’elle n’a plus avec son époux légitime. C’est bien au lit ou sur la table basse du salon qu’il va falloir sortir le grand jeu pas dans une boutique de luxe ou au resto !
Bon, il y aurait mille et une autres raisons à donner pour draguer une femme mariée plutôt qu’une célibataire mais je pense que vous commencez à être convaincu. Après le pourquoi, abordons donc le comment. Voici donc quelques trucs, astuces et conseils tirés de mon expérience personnelle pour vous aider à savoir comment draguer une femme mariée.
Comment draguer une femme mariée : On oublie internet !
Une fois n’est pas coutume, je ne vous vanterai pas ici les sites internet de rencontre comme cinqasept ou copine de sexe qui me rétrocèdent une (maigre) commission sur les inscriptions. J’ai déjà beaucoup parlé de leurs avantages ainsi que de leur (gros) défauts. Surtout je pense que draguer une femme mariée sur internet n’est pas vraiment draguer, puisque c’est gagné d’avance ! J’ai, cette fois, envie de partager avec vous le fruit de mes discussions avec mes amies mariées, qu’elles soient déjà adeptes de l’adultère ou fidèles à leur mari (j’en connais aussi !).
Ne pas aborder frontalement le sujet de l’adultère
Votre collègue de bureau est mariée mais elle vous plait énormément et vous pensez ne pas lui être indifférent mais ne savez pas comment l’amener à envisager une relation adultère avec vous. Personnellement je ne joue pas à ces jeux là avec des collègues, trop dangereux. Mais j’ai une amie qui m’a parlé de son expérience en ces termes : »Ce que j’ai aimé avec Paul c’est qu’il m’a draguée comme si j’étais disponible, sans fards mais sans mièvreries non plus. Je me sentais belle et désirée sexuellement. Me savoir mariée ne l’a pas empêché de me complimenter sur mon physique et de m’inviter à déjeuner en tête à tête à l’extérieur de l’entreprise. Je n’ai pas eu l’impression de tromper mon mari avec lui car il n’a jamais été question de mon mari. Nos pauses de midi sont aujourd’hui plus sexuelles que gastronomique… »
L’enseignement que vous devez tirer de ce témoignage si vous voulez draguer une femme mariée est que ce n’est pas la peine de lui parler d’adultère et du fait que ce n’est pas grave. Nous sommes assez grandes pour prendre nos responsabilités et, par dessus tout, nous aimons être désirées comme des jeunes filles. Beaucoup d’entre nous veulent retrouver le plaisir de se sentir célibataire. Pas besoin de nous rappeler que nous sommes mariées !
Pour draguer une femme mariée fournissez un alibi
Mes amies mariées, qu’elles pratiquent l’adultère ou qu’elle aient décidé de résister à la tentation ont toute un point commun. Elles n’ont presque pas de temps à elles. Entre le boulo, le mari, souvent les enfants la chose la plus précieuse pour chacune d’elle est le temps. Or, pour pouvoir tromper son mari il faut, non seulement trouver un amant mais aussi avoir le temps de le voir et la possibilité que cela passe inaperçu. Une amie à moi qui se reconnaitra sans doute si elle lit ces lignes m’a avoué avoir craqué le jour où le collègue qui la dragouillait au bureau lui a offert un abonnement à la salle de gym. Elle pouvait dire à son mari que les jeudis entre 17h et 19h elle était à la salle de gym. Et d’ailleurs cela était vrai…un jeudi sur deux !
Plan cul, n’oublions pas le principal !
Bon, je sais que beaucoup d’entre vous qui me lisez le faites pour lire mes histoire de cul et pas pour vous inspirer de mes conseils pour draguer une femme mariée, trouver une salope sur internet ou encore faire une bonne sodomie. Donc ces quelques lignes qui suivent issues de mon expérience d’hier après midi sont pour vous.
J’étais en porte jarretelles sous mon manteau de vraie fourrure. Quand on aime se faire fourrer comme moi le plaisir soyeux et sensuel de la fourrure l’emporte sur le respect de la cause animale. Je n’avais pas le temps d’une nuit complète car mon vol de retour était aux alentours de 21 heures. Aussi j’avais pris une chambre juste à côté de l’aéroport de Nantes Atlantique pour y attendre mon rendez vous galant. Ce n’était pas un inconnu puisque je l’avais déjà rencontré en fin de matinée dans Nantes pour un café en ville (vive cinqasept au passage !).
L’hôtel Oceania est un peu impersonnel à mon goût mais les chambres sont grandes et la déco moderne passable. J’aime leurs salles de bains vitrées avec la douche qui donne directement sur la chambre et donc le grand lit… Pour gagner du temps j’avais disposé sur la table de nuit un vaporisateur d’huile de massage ainsi qu’un assortiment de préservatifs. Tiens, au passage, cela va sans dire (mais ça va mieux en le disant), pour draguer une femme mariée ou célibataire, faire comprendre que vous protégez toujours vos rapport est bien évidement rassurant !
Je laissai la porte de la chambre entrebâillée et m’installai sur le canapé avec un livre pour tromper l’ennui inhérent à toute attente d’un rendez vous galant. En ce moment j’aime les livres d’Espabec. Je me chauffe sur la foire aux cochons qui est très inspirant !
Mais revenons à nos moutons, ou plutôt à notre cochon, qui, justement frappe à ma porte.
Je ne réponds pas et fait semblant de rester plongée dans mon livre. La porte est entrebâillée, il comprend et la pousse de lui même. Comme il reste un peu interdit planté sur le seuil je pose mon live, me lève et me dirige vers lui en chaloupant du mieux que je peux sur mes talons aiguilles. Je pousse la porte derrière lui. Nos corps se frôlent. Il est grand, très, en costard gris clair, avec une chemise immaculée et une fine cravate en cuir noir.
Je presse mon corps contre le sien et lève une peu la tête pour lui donner l’envie de m’embrasser sur la bouche. Ouf ! il comprend et pose ses lèvres sur les miennes. J’ai, sous la langue, une surprise pour lui. Un petit comprimé aphrodisiaque prolongateur d’érection ! Il m’interroge du regard et romp le baiser quand je pousse la pilule dans sa bouche avec la langue.
Je le rassure : »T’inquiète, c’est juste un petit fortifiant pour faire durer le plaisir, je pense que tu vas en avoir besoin. » Dans le même temps je fais tomber au sol mon manteau de fourrure. Je suis en porte jarretelles, sans soutif car mes seins tiennent bien droit tout seuls, et je le regarder droit dans les yeux effrontément.
-« Mince alors ! » lâche-t-il. « Je voulais draguer une femme mariée et je me retrouve avec la reine des putes dans une chambre d’hôtel ! »
Mais ça n’a pas l’air de le gêner car il me prend à nouveau dans ses bras pour m’embrasser à pleine bouche. Je sens son sexe déjà dur à travers la toile de son pantalon. Je sens que les deux heures à venir vont être mouvementées. Mais pour l’instant je me concentre sur ce premier baiser. J’aime embrasser sr la bouche, presser ma langue, aspirer la sienne en lui faisant comprendre que sa bite subira le même sort. J’aime presse mon bassin en même temps contre sa cuisse, mes seins contre le lin de sa chemise. Je fais cela les yeux grand ouverts, plantés dans les siens. Ses mains descendent le long de mon dos pour trouver mes fesses. la vie est belle, elle est putain de belle ! Sans rompre notre baiser il se débarrasse de sa veste d’un mouvement d’épaules. Je déboutonne sa chemise. Sa peau est douce, les pectoraux sont là, pas bodybuildés mais fermes quad même. Doux surtout, pas un poil. Je descends un peu, le ventre est plat, de bons abdos et toujours cette peau douce et imberbe. Je ne vais pas plus bas pour l’instant. Je colle mon ventre nu contre le sien. C’est chaud, c’est doux, il a remonté ses mains sur ma taille pour me serrer plus fort. Mon cœur bat plus vite, oui, la vie est vraiment belle et je sens qu’elle va l’être de plus en plus ! Je n’ai toujours pas défait son pantalon mais la main que j’ai sur la bosse dure qui tend la toile ne me laisse aucun doute sur l’efficacité de la petite pilule de tout à l’heure. Espérons juste que le médicament tienne aussi ses promesses sur la durée !
Je déboucle sa ceinture et défait les boutons de son falzar. J’écarte ma bouche d’un petit centimètre : »Je peux gouter ? » Je mords ma lèvre inférieure en voyant apparaître sa belle et grande queue. Cet après midi là j’ai envie de prendre mon temps pour sucer longtemps. Aussi je pousse mon bonhomme vers le bord du lit pour qu’il puisse s’y asseoir bien à l’aise. Je ne le suce pas tout de suite, je préfère le déchausser, enlever ses socquettes en fil d’Ecosse et le débarrasser de son pantalon. Il bande toujours bien dur. Normalement avec le petit coup de pouce chimique j’ai tout mon temps. Alors je ne me presse pas, j’embrasse les mollets, l’intérieur des cuisses qu’il a musclées et je remonte lentement toute langue dehors vers l’objet de mon appétit. En ce moment j’aime lécher avant de sucer. Quel plaisir de passer ma langue le long d’une belle queue. Je prends plaisir à faire durer jusqu’à ce que ce soit lui qui mette enfin sa main derrière ma tête pour m’inciter à sucer. La bite est ferme mais la peau est douce. je ne serre pas trop les lèvres sur son chibre et je continuer à jouer avec ma langue. C’est lui, de la main qui donne le rythme du va et viens de ma fellation. Je suis à genoux entre ses jambes. Pour sucer je n’utilise pas mes mains car j’aime progressivement y aller de plus en plus jusqu’à la gorge profonde que je maitrise maintenant, je pense, parfaitement. Je suis certaine que Monsieur ne s’attendait pas à ça quand il a commencé à draguer une femme mariée sur internet deux jours avant ! Et en tous cas il ne s’attendait certainement pas à ce qui allait suivre. Car j’avais bien l’intention de ne pas m’en tenir à ces préliminaires buccaux. Ouf, les préservatif sont à portée de main sur la table de chevet. Je vous épargne le passage de la pose de cette protection necessaire car, même en s’aidant de la bouche et en essayant de dérouler de la manière la plus sexy possible c’est un peu tue l’amour, je dois l’avouer. Mais il faut bien en passer par là !
En tous cas, pendant que je suçais goulument monsieur en a profité pour enlever le haut. S’il est nu je suis toujours, moi, en bas, string et porte jarretelle. Qu’importe, l’essentiel est accessible ! Dois-je vous dire que je mouille comme une grosse cochonne en chaleur ? Sa queue est toujours aussi longue et dure. C’est presque à regret que je la laisse sortir doucement de ma bouche, les lèvres bien serrées. Mon rouge à lèvre à coulé, je me dis que je ne dois pas être si belle que ça à voir. C’est marrant, parfois les choses qui me passent par la tête pendant l’acte sexuel ! Enfin, la pensée est fugace et j’ai surtout envie d’enfoncer sa queue dans ma chatte maintenant. Je l’ai poussé pour qu’il s’allonge sur le lit et je remonte tranquillement en léchant son ventre puis son torse imberbe. J’en suis à son cou quand je sens sa bite contre le tissu de mon string. Ma chatte est mouillée et gonflée comme un petit abricot trop mur. C’est lui qui écarte le string sur le côté. Ca rentre instantanément, j’en crie de plaisir ! Etre sur lui a du bon. Je peux mieux contrôler le rythme de notre étreinte. Je bouge le bassin lentement en restant le plus serrée possible contre son corps, j’aime la sensation de nos ventres l’un contre l’autre, de mes seins sur son torse et de nos langues qui s’enroulent en même temps que sa bite va et vient en moi. Je jouis déjà mais je me force à continuer car sa bite, elle reste dure et je veux jouir à répétition dans cette position. Qu’importe s’il ne m’encule pas finalement, J’accélère et je n’ai plus qu’une idée en tête, le sentir jouir en moi. C’est à peine si je suis consciente des claques qu’il assène sur mes fesses, de ses ongles qui, certainement laisseront des traces difficiles à expliquer à mon mari. Je suis maintenant comme une folle et je veux qu’il jouisse en moi. Je sens qu’il se retient. Il veut faire durer. Je ralentis un peu la cadence pour me remettre contre lui et lui parler à l’oreille : »Vas-y, te retiens pas, t’inquiète, mon vol n’est que ce soir, on aura le temps de recommencer, je te promets. » J’ondule avec lenteur maintenant, il jouit enfin en pressant mes fesses de ses grandes mains. Je reste sur lui, haletante, le cœur battant à tout rompre.
Je ne suis pas déçue que cela n’ait duré en tout et pour tout qu’une dizaine de minutes. Je ne suis pas déçue car je sais qu’avec une petite pose et une nouvelle pilule magique nous serons repartis pour une nouvelle chevauché dans moins d’un quart d’heure !