Plan cul camping 1, le camping
Cela faisait longtemps que je fantasmais sur un plan cul camping. Cela vous surprendra peut être car je suis consciente de donner plutôt l’image d’une jeune bourgeoise salope mais sophistiquée que d’une étudiante en vacances à la recherche d’un plan cul camping. Mais j’aime les expériences variées et toute cette pub autour de la sortie de Camping 3 avec Franck Dubosc a éveillé en moi le désir d’un truc différent de ce que je vis d’habitude. Je me suis mise à fantasmer sur une bonne baise sous la tente avec juste la toile tendue qui masque des regards mais pas du son de nos ébats. Et surtout le mois de juillet me semblait exactement le moment propice pour faire l’expérience d’un plan cul camping. Alors laissez moi vous conter comment cela s’est déroulé la semaine dernière.
A moins de deux heures de voiture de chez moi il y a un camping qui me semblait idéal pour la rencontre sexy que j’imaginais depuis déjà plusieurs semaines. Juste assez éloigné de chez moi pour être certaines de ne pas tomber sur quelqu’un que je connais et pas trop loin pour pouvoir m’absenter sans éveiller les soupçons de mon mari. Je prétextais donc un rendez vous professionnel tôt le matin dans la région qui m’obligeait à partir la veille. Et, pour assurer mes arrière je me payais même le luxe de trouver un labo d’analyses pharmaceutiques qui acceptait de me recevoir effectivement le jeudi matin.
Niveau look j’optais pour la simplicité. Une robe Vichy légère blanche à poids rouges, une paire de ballerines et juste ce qu’il faut de maquillage pour me donner l’air d’une jeune femme du village voisin en goguette au bal du camping. Comme souvent je gardais mon alliance qui me permet d’avoir un prétexte pour éconduire un dragueur trop pressant qui ne me plait pas. J’ai pu remarquer par ailleurs que s’afficher comme une femme mariée mais seule le soir ne décourage en rien les hommes qui cherchent une aventure sans lendemain, bien au contraire ! Bref, l’idéal pour un plan cul camping.
Il faut avouer que l’ambiance camping, pizza et rosé bas de gamme en général ce n’est pas trop mon truc. Mais bon, à la guerre comme à la guerre. Après tout je suis venue chercher un plan cul camping, si possible sous la tente, pas une nuit dans un palace cinq étoiles.
Plan cul camping 2, je drague
J’arrive un peu avant vingt deux heures à la terrasse restaurant pizzeria du camping. Il fait encore jour en ce début juillet. Première déception, je m’attendais à un peu plus d’ambiance et je constate, un peu déconfite, qu’à peine la moitié des tables sont occupées, principalement par des couples qui ont sacrément l’air de s’ennuyer. Je choisis la table qui me semble la plus visible depuis le chemin de graviers qui longe la terrasse et s’avère assez passant. Je comprends aux serviettes et flacons de champoing que le chemin mène aux douches collectives. C’est pour moi un point d’observation parfait, et je ne tarde pas à accrocher du regard quelques mâles propres comme des sous neufs. Même si cela va de sept à soixante dix sept ans je dois avouer que niveau look c’est pas terrible ! J’ai beau être venu chercher du pittoresque et un plan cul camping, je n’était pas vraiment préparée à ce défilé de beaufs en tong et moule burnes ! Bon, peut être que j’aurais plus de chance avec le serveur. Hélas le serveur s’avère être une serveuse sans doute mineure en job d’été. Rien à espérer de ce côté là non plus. Contre mauvaise fortune bon cœur je commande un mojito et dit attendre mon amoureux pour commander le dîner. J’ai l’impression d’être Michel Blanc dans les bronzés annonçant que sa dame va venir. Sauf que dans mon cas je reste confiante sur le fait que mes longue jambes, ma robe sexy et ma queue de cheval auront sur les hommes alentour le même effet qu’une canette de Fanta sur les guèpes. D’ailleurs les trois compères qui remontent l’allée semblent m’avoir repérée de loin et je souri timidement au moins dégarni des trois. La trentaine bien tapée, Vans aux pieds et le bon goût d’avoir passé un T-shirt blanc et un bermuda kaki. Rien d’exceptionnel mais à côté de ses deux acolytes aussi gras que torse nus c’est un Apollon ! Il me rend mon sourire et je me prends à espérer qu’il vienne vite faire un tour au bar. Normalement ça devrait marcher ainsi. Mais ça c’est dans les films ou les mauvais romans à l’eau de rose. Je ne garderai de Julien (j’aime bien donner des prénoms aux inconnus) que le souvenir de ce timide sourire un soir de juillet. Tu ne sais pas ce que tu as raté mon Julien, j’aurais pu être ton super plan cul camping 2016 si tu avais eu ne serait-ce qu’un peu plus d’audace ! Julien, si seulement tu avais osé je t’aurais aimé comme une chienne, je t’aurais sucé jusqu’à la dernière goutte. Tu aurais pu te souvenir bien longtemps de ma chatte en levrette et peut être même m’aurais tu enculée bien à fond sur un matelas gonflable ou un carré mat. Tu ne seras donc pas mon plan cul camping, tempi.
A ta place Kevin s’assied en face de moi sans y avoir été invité. Kevin a au plus 22 ans et se fait appeler Laurent mais la coupe de footballeur, les tatouages d’inspiration tribale, les abdos gymnase club et l’accent Lillois ne trompent pas. Pour moi Laurent, tu t’appelles Kevin ! Kevin/Laurent est direct, il me trouve super belle. Il s’intéresse à moi. Enfin, au moins me demande si je viens souvent ici et ce que je fais dans la vie ! Je réponds secrétaire médicale et il parvient à me faire sourire en me demandant : »c’est un peu comme infirmière ? »
Il m’offre un second mojito, me demande si j’ai déjà dîné. Bien sûr je mens que j’en suis au désert et lui demande si ça le choque si je commande un banana split avec deux cuillères. Il ne semble pas comprendre pas l’allusion mais me réponds qu’il est très ouvert et que rien ne le choque, qu’on est en « démocratie ». Je ris en lui touchant le bras…Et lui déballe toute mon histoire. Enfin mon histoire de ce soir. Celle d’une jeune femme en cours de divorce qui garde son alliance pour que son patron ne sache pas ses problèmes mais qui se sent libre comme l’air et bien décidée à profiter de la vie. Je lui demande s’il loge au camping. Bingo, il a bien sa tente à deux pas ! Nos pieds font déjà bien plus que se frôler quand arrive la banane coupée en deux, les boules de glace sous la montagne de chantilly et les deux grandes cuillères. Pour tout dire je n’ai pas très faim et j’ai hâte d’être sous la tente maintenant. Mais je me dis que si la nuit est longue et agitée comme je l’espère autant prendre des forces et quelques glucides. Kevin se lève, il faut qu’il s’absente deux minutes. Il me fait promettre de surtout ne pas partir alors je lui réponds qu’il a ma promesse uniquement contre un bisou. Il me bécote sur la joue. Je fais la moue et lui dit qu’il doit faire un effort s’il ne veut pas que je prenne la poudre d’escampette. La quoi ? Rien, t’inquiète. Je le tire par le col du T-shirt et lui roule un patin monumental tout en langue et en succion. Allez, file mais reviens vite !
Laurent/Kevin est un vrai gentleman sous ses faux airs de Ch’ti bodybuildé. Il est allé payer mon addition au bar ! Quand il revient c’est pour m’appeler princesse et me dire qu’il m’invite dans son château.
Plan cul camping 3, enfin du sexe !
Moi qui m’attendais à un plan cul camping vais-je avoir droit à une soirée relais château ? Son domaine est situé à l’écart de la plèbe et le gravier crisse sous les pneumatique de la Rolls…Comprenez plutôt que sa tente est plantée au fond du camping, contre un grillage et que les aiguilles de pins bruissent sous ses tongs. Mais il a son bras musclé autour de ma taille, je tiens sa main contre mon ventre et nous commençons les choses sérieuse contre le tronc du grand pin qui délimite son emplacement. Comme il m’embrasse et me presse contre l’arbre je sens son machin sous le short maillot. Je lui fais un suçon dans le cou. J’ai envie de te sucer, on va dans ta tente ? J’ai l’impression que le grand bruit de fermeture éclair de sa tente Igloo va réveiller tout le camping. Je le pousse à l’intérieur et me glisse sous l’abris minuscule à sa suite. Nous ne prenons pas le temps de refermer. Je suis sur lui, j’enlève son T-shirt et j’embrasse ses pec lentement. Il trouve facilement la fermeture éclair de ma robe qui glisse sur ma peau nue. Mon soutien gorge lui donne plus de fil à retordre. Je ne l’aide pas, j’ai tout mon temps et ma langue donne à son oreille un avant goût de ce que devront bientôt supporter ses couilles. Sa patience a eu raison de mes sous vêtements je suis nue mais lui a toujours son short. Il embrasse mes seins à pleine bouche, je serre sa tête contre moi et joue des hanches sur le machin long et dur sous le tissu. J’ai envie que ça dure et lui aussi je pense car il semble pas presser de libérer sa bite du short qui nous sépare encore. Je sens avec délice sa main se glisser entre nous. Deux doigts s’enfoncent sans peine dans ma chatte déjà toute lubrifiée. C’est diablement bon, j’ondule du bassin comme si ses doigts étaient sa bite. Je prends mon temps et lui aussi. Je me retiens le plus possible de jouir. Je prends son autre main qui presse mon sein pour la poser sur ma fesse. Je veux un doigt dans mon anus. Il comprends vite, je sens la pression de d’une phalange et me force à me détendre pour qu’il sente que j’aime aussi quand ça rentre par là. Humm, c’est bon, tu me décevras pas hein ? Tu vas bien m’enculer ? Il ne répond pas. C’est pas un bavard, mais son doigt qui s’enfonce d’un coup dans mon cul m’indique qu’il a bien compris ce à quoi j’aspire. Je me laisse aller à jouir. C’est bon, je le lui dis. Je demande encore, je supplie même qu’il ne s’arrête pas je promets qu’après je le sucerai comme jamais. La perspective a l’air de lui plaire car la main qu’il avait sur mes fesses se retrouve sur ma nuque. Son pouce caresse toujours mon clito tandis qu’un doigt continue de s’occuper de mon anus. Je jouis encore dans un cri, à peine si je sens ce qu’il fait à mes seins avec sa bouche. J’en garderai pourtant les traces longtemps après ! Trop envie d’une queue dans ma bouche. Je me décale pour pouvoir enfin le sucer sans qu’il lâche pour autant ma chatte et mon trou du cul. J’embrasse son chibre à travers le tissus, je délace son maillot short et libère enfin l’objet de mon désir. Vous les mecs hétéros ne savez pas ce que vous perdez à ne pas comprendre l’émoi que l’on peut avoir à la vue d’une belle queue. Pourtant, malgré mon envie de la prendre en bouche je fais durer. Je commence par les couilles. Je lèche, prends délicatement en bouche, et, à en juger par les caresses sur mes cheveux et aux doigts qui fouillent ma chatte en feu monsieur aime ma façon de m’y prendre. Je ne prends pas trop d’initiative, j’aime qu’il me guide, attentive aux moindres pressions sur ma tête, juste à la base de ma queue de cheval qu’il tient bientôt à pleine main. Je m’attends à ce qu’il me dirige vers sa belle queue dressée mais il me maintient sur ses couille. Il semble aimer comme je lèche docilement. En tout cas moi j’adore. Je suis aux anges. Des anges démoniaques. Il me déplace pour avoir ma chatte sur son visage. Je ne suis pas fan de cunnilingus mais là j’avoue que ce qu’il me fait est juste parfait. Il a lâché ma tête pour écarter des deux mains mes fesses. J’ondule sur son visage et me sens enfin libre d’avaler sa longue queue. Sensation inouïe d’une belle queue emplissant ma bouche. C’est juste trop bon. La position en soixante neuf ne permet pas une vraie gorge profonde mais je fais de mon mieux pour aller le plus loin possible. Putain de plan cul camping de folie. Je n’arrive pas à y croire. Cela faisait si longtemps que je n’avais pas eu un aussi bon plan cul. Ce salaud de Kevin me fait encore jouir avec sa bouche. J’ai envie qu’il décharge dans ma bouche et je m’active pour ce résultat. Mais il ne l’entend pas ainsi. Il se dégage et me demande un break. Attends, on fait une pause, je sais que tu ne manges pas la banane avec la peau mais pour la suite j’ai besoin d’une protection. Incroyable, depuis que je l’ai rencontré il n’avait jamais fait une phrase aussi longue. Presque aussi longue que sa queue. Il sort un préservatif d’une poche latérale de la tente. Je le lui prend des main. J’ai trop envie que ce soit moi qui lui mette. Il me laisse faire, je déroule le fin latex avec ma bouche. Quand il est couvert je me sur lui. J’aime nos ventres en sueur qui se touchent, mes seins lourds sur ses pectoraux, mes yeux dans les siens. J’ondule sans qu’il me pénètre pour l’instant. Tu me prends en levrette ? S’il te plait ? Il me bascule sur le côté, me retourne et passe les mains sous mon ventre pour me relever me mettant à genoux. Je sens d’abord sa main qui vérifie que je suis toujours bien mouillée comme il faut. Tu parles que je le suis. Trempée, plutôt deux fois qu’une. ça rentre tout seul. c’est presque trop facile. Heureusement qu’il est bien membré et qu’il y va bien a fond. J’encourage : »Vas y ! Défonce moi, encore, défonce moi ! n’ai pas peur ! »
Il me prend par la queue de cheval, tient ma tête renversée en arrière et frappe mes fesses de sa main libre en même temps qu’il me défonce en levrette. Je jouis et gémis en même temps. Il continue et je perds la notion du temps. Allez Kevin, encule moi ! encule moi putain ! Il s’est retiré de ma chatte et enfin je sens son gland contre mon anus. Ca fait tellement longtemps qu’on ne ma plus pris le cul qu’il doit forcer le passage. Je gueule ma race mais c’est bon, putain de bordel ce que c’est bon. A chaque coup de butoir qu’il me met je viens à sa rencontre. Il a lâché ma queue de cheval pour me tenir fermement par les hanches. Le con a de l’endurance, je suis épuisée et il continue sans faiblir. A chaque fois que je fais mine de m’effondrer sur le ventre il me relève pour que je reste bien à genoux. Parfois il alterne, sort de mon cul pour me reprendre en levrette et me faire jouir. Je ne compte plus combien de fois je jouis. Quand on aime on ne compte pas. Quand on est quasi inconsciente non plus ! Quand il jouit enfin il reste sur moi, allongé de tout son poids. Je n’ai pas la force de le repousser. Le matelas gonflable n’est pas si inconfortable et je peux respirer. Il bascule sur le côté. Je me pelotonne contre lui. En général après un plan cul j’ai envie de dormir seule. Mais là je reste. Je suis bien. Surtout je devine qu’on remettra ça dans quelques heures. Je m’endors heureuse de cette perspective. Vive le camping et les plans cul en camping !