Plan cul camping, enfin un peu d’anal !

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Plan cul camping 1, le camping

Cela faisait longtemps que je fantasmais sur un plan cul camping. Cela vous surprendra peut être car je suis consciente de donner plutôt l’image d’une jeune bourgeoise salope mais sophistiquée que d’une étudiante en vacances à la recherche d’un plan cul camping. Mais j’aime les expériences variées et toute cette pub autour de la sortie de Camping 3 avec Franck Dubosc a éveillé en moi le désir d’un truc différent de ce que je vis d’habitude. Je me suis mise à fantasmer sur une bonne baise sous la tente avec juste la toile tendue qui masque des regards mais pas du son de nos ébats. Et surtout le mois de juillet me semblait exactement le moment propice pour faire l’expérience d’un plan cul camping. Alors laissez moi vous conter comment cela s’est déroulé la semaine dernière.
A moins de deux heures de voiture de chez moi il y a un camping qui me semblait idéal pour la rencontre sexy que j’imaginais depuis déjà plusieurs semaines. Juste assez éloigné de chez moi pour être certaines de ne pas tomber sur quelqu’un que je connais et pas trop loin pour pouvoir m’absenter sans éveiller les soupçons de mon mari. Je prétextais donc un rendez vous professionnel tôt le matin dans la région qui m’obligeait à partir la veille. Et, pour assurer mes arrière je me payais même le luxe de trouver un labo d’analyses pharmaceutiques qui acceptait de me recevoir effectivement le jeudi matin.
Niveau look j’optais pour la simplicité. Une robe Vichy légère blanche à poids rouges, une paire de ballerines et juste ce qu’il faut de maquillage pour me donner l’air d’une jeune femme du village voisin en goguette au bal du camping. Comme souvent je gardais mon alliance qui me permet d’avoir un prétexte pour éconduire un dragueur trop pressant qui ne me plait pas. J’ai pu remarquer par ailleurs que s’afficher comme une femme mariée mais seule le soir ne décourage en rien les hommes qui cherchent une aventure sans lendemain, bien au contraire ! Bref, l’idéal pour un plan cul camping.
Il faut avouer que l’ambiance camping, pizza et rosé bas de gamme en général ce n’est pas trop mon truc. Mais bon, à la guerre comme à la guerre. Après tout je suis venue chercher un plan cul camping, si possible sous la tente, pas une nuit dans un palace cinq étoiles.

Plan cul camping 2, je drague

J’arrive un peu avant vingt deux heures à la terrasse restaurant pizzeria du camping. Il fait encore jour en ce début juillet. Première déception, je m’attendais à un peu plus d’ambiance et je constate, un peu déconfite, qu’à peine la moitié des tables sont occupées, principalement par des couples qui ont sacrément l’air de s’ennuyer. Je choisis la table qui me semble la plus visible depuis le chemin de graviers qui longe la terrasse et s’avère assez passant. Je comprends aux serviettes et flacons de champoing que le chemin mène aux douches collectives. C’est pour moi un point d’observation parfait, et je ne tarde pas à accrocher du regard quelques mâles propres comme des sous neufs. Même si cela va de sept à soixante dix sept ans je dois avouer que niveau look c’est pas terrible ! J’ai beau être venu chercher du pittoresque et un plan cul camping, je n’était pas vraiment préparée à ce défilé de beaufs en tong et moule burnes ! Bon, peut être que j’aurais plus de chance avec le serveur. Hélas le serveur s’avère être une serveuse sans doute mineure en job d’été. Rien à espérer de ce côté là non plus. Contre mauvaise fortune bon cœur je commande un mojito et dit attendre mon amoureux pour commander le dîner. J’ai l’impression d’être Michel Blanc dans les bronzés annonçant que sa dame va venir. Sauf que dans mon cas je reste confiante sur le fait que mes longue jambes, ma robe sexy et ma queue de cheval auront sur les hommes alentour le même effet qu’une canette de Fanta sur les guèpes. D’ailleurs les trois compères qui remontent l’allée semblent m’avoir repérée de loin et je souri timidement au moins dégarni des trois. La trentaine bien tapée, Vans aux pieds et le bon goût d’avoir passé un T-shirt blanc et un bermuda kaki. Rien d’exceptionnel mais à côté de ses deux acolytes aussi gras que torse nus c’est un Apollon ! Il me rend mon sourire et je me prends à espérer qu’il vienne vite faire un tour au bar. Normalement ça devrait marcher ainsi. Mais ça c’est dans les films ou les mauvais romans à l’eau de rose. Je ne garderai de Julien (j’aime bien donner des prénoms aux inconnus) que le souvenir de ce timide sourire un soir de juillet. Tu ne sais pas ce que tu as raté mon Julien, j’aurais pu être ton super plan cul camping 2016 si tu avais eu ne serait-ce qu’un peu plus d’audace ! Julien, si seulement tu avais osé je t’aurais aimé comme une chienne, je t’aurais sucé jusqu’à la dernière goutte. Tu aurais pu te souvenir bien longtemps de ma chatte en levrette et peut être même m’aurais tu enculée bien à fond sur un matelas gonflable ou un carré mat. Tu ne seras donc pas mon plan cul camping, tempi.

A ta place Kevin s’assied en face de moi sans y avoir été invité. Kevin a au plus 22 ans et se fait appeler Laurent mais la coupe de footballeur, les tatouages d’inspiration tribale, les abdos gymnase club et l’accent Lillois ne trompent pas. Pour moi Laurent, tu t’appelles Kevin ! Kevin/Laurent est direct, il me trouve super belle. Il s’intéresse à moi. Enfin, au moins me demande si je viens souvent ici et ce que je fais dans la vie ! Je réponds secrétaire médicale et il parvient à me faire sourire en me demandant : »c’est un peu comme infirmière ? »
Il m’offre un second mojito, me demande si j’ai déjà dîné. Bien sûr je mens que j’en suis au désert et lui demande si ça le choque si je commande un banana split avec deux cuillères. Il ne semble pas comprendre pas l’allusion mais me réponds qu’il est très ouvert et que rien ne le choque, qu’on est en « démocratie ». Je ris en lui touchant le bras…Et lui déballe toute mon histoire. Enfin mon histoire de ce soir. Celle d’une jeune femme en cours de divorce qui garde son alliance pour que son patron ne sache pas ses problèmes mais qui se sent libre comme l’air et bien décidée à profiter de la vie. Je lui demande s’il loge au camping. Bingo, il a bien sa tente à deux pas ! Nos pieds font déjà bien plus que se frôler quand arrive la banane coupée en deux, les boules de glace sous la montagne de chantilly et les deux grandes cuillères. Pour tout dire je n’ai pas très faim et j’ai hâte d’être sous la tente maintenant. Mais je me dis que si la nuit est longue et agitée comme je l’espère autant prendre des forces et quelques glucides. Kevin se lève, il faut qu’il s’absente deux minutes. Il me fait promettre de surtout ne pas partir alors je lui réponds qu’il a ma promesse uniquement contre un bisou. Il me bécote sur la joue. Je fais la moue et lui dit qu’il doit faire un effort s’il ne veut pas que je prenne la poudre d’escampette. La quoi ? Rien, t’inquiète. Je le tire par le col du T-shirt et lui roule un patin monumental tout en langue et en succion. Allez, file mais reviens vite !
Laurent/Kevin est un vrai gentleman sous ses faux airs de Ch’ti bodybuildé. Il est allé payer mon addition au bar ! Quand il revient c’est pour m’appeler princesse et me dire qu’il m’invite dans son château.

Plan cul camping 3, enfin du sexe !

Moi qui m’attendais à un plan cul camping vais-je avoir droit à une soirée relais château ? Son domaine est situé à l’écart de la plèbe et le gravier crisse sous les pneumatique de la Rolls…Comprenez plutôt que sa tente est plantée au fond du camping, contre un grillage et que les aiguilles de pins bruissent sous ses tongs. Mais il a son bras musclé autour de ma taille, je tiens sa main contre mon ventre et nous commençons les choses sérieuse contre le tronc du grand pin qui délimite son emplacement. Comme il m’embrasse et me presse contre l’arbre je sens son machin sous le short maillot. Je lui fais un suçon dans le cou. J’ai envie de te sucer, on va dans ta tente ? J’ai l’impression que le grand bruit de fermeture éclair de sa tente Igloo va réveiller tout le camping. Je le pousse à l’intérieur et me glisse sous l’abris minuscule à sa suite. Nous ne prenons pas le temps de refermer. Je suis sur lui, j’enlève son T-shirt et j’embrasse ses pec lentement. Il trouve facilement la fermeture éclair de ma robe qui glisse sur ma peau nue. Mon soutien gorge lui donne plus de fil à retordre. Je ne l’aide pas, j’ai tout mon temps et ma langue donne à son oreille un avant goût de ce que devront bientôt supporter ses couilles. Sa patience a eu raison de mes sous vêtements je suis nue mais lui a toujours son short. Il embrasse mes seins à pleine bouche, je serre sa tête contre moi et joue des hanches sur le machin long et dur sous le tissu. J’ai envie que ça dure et lui aussi je pense car il semble pas presser de libérer sa bite du short qui nous sépare encore. Je sens avec délice sa main se glisser entre nous. Deux doigts s’enfoncent sans peine dans ma chatte déjà toute lubrifiée. C’est diablement bon, j’ondule du bassin comme si ses doigts étaient sa bite. Je prends mon temps et lui aussi. Je me retiens le plus possible de jouir. Je prends son autre main qui presse mon sein pour la poser sur ma fesse. Je veux un doigt dans mon anus. Il comprends vite, je sens la pression de d’une phalange et me force à me détendre pour qu’il sente que j’aime aussi quand ça rentre par là. Humm, c’est bon, tu me décevras pas hein ? Tu vas bien m’enculer ? Il ne répond pas. C’est pas un bavard, mais son doigt qui s’enfonce d’un coup dans mon cul m’indique qu’il a bien compris ce à quoi j’aspire. Je me laisse aller à jouir. C’est bon, je le lui dis. Je demande encore, je supplie même qu’il ne s’arrête pas je promets qu’après je le sucerai comme jamais. La perspective a l’air de lui plaire car la main qu’il avait sur mes fesses se retrouve sur ma nuque. Son pouce caresse toujours mon clito tandis qu’un doigt continue de s’occuper de mon anus. Je jouis encore dans un cri, à peine si je sens ce qu’il fait à mes seins avec sa bouche. J’en garderai pourtant les traces longtemps après ! Trop envie d’une queue dans ma bouche. Je me décale pour pouvoir enfin le sucer sans qu’il lâche pour autant ma chatte et mon trou du cul. J’embrasse son chibre à travers le tissus, je délace son maillot short et libère enfin l’objet de mon désir. Vous les mecs hétéros ne savez pas ce que vous perdez à ne pas comprendre l’émoi que l’on peut avoir à la vue d’une belle queue. Pourtant, malgré mon envie de la prendre en bouche je fais durer. Je commence par les couilles. Je lèche, prends délicatement en bouche, et, à en juger par les caresses sur mes cheveux et aux doigts qui fouillent ma chatte en feu monsieur aime ma façon de m’y prendre. Je ne prends pas trop d’initiative, j’aime qu’il me guide, attentive aux moindres pressions sur ma tête, juste à la base de ma queue de cheval qu’il tient bientôt à pleine main. Je m’attends à ce qu’il me dirige vers sa belle queue dressée mais il me maintient sur ses couille. Il semble aimer comme je lèche docilement. En tout cas moi j’adore. Je suis aux anges. Des anges démoniaques. Il me déplace pour avoir ma chatte sur son visage. Je ne suis pas fan de cunnilingus mais là j’avoue que ce qu’il me fait est juste parfait. Il a lâché ma tête pour écarter des deux mains mes fesses. J’ondule sur son visage et me sens enfin libre d’avaler sa longue queue. Sensation inouïe d’une belle queue emplissant ma bouche. C’est juste trop bon. La position en soixante neuf ne permet pas une vraie gorge profonde mais je fais de mon mieux pour aller le plus loin possible. Putain de plan cul camping de folie. Je n’arrive pas à y croire. Cela faisait si longtemps que je n’avais pas eu un aussi bon plan cul. Ce salaud de Kevin me fait encore jouir avec sa bouche. J’ai envie qu’il décharge dans ma bouche et je m’active pour ce résultat. Mais il ne l’entend pas ainsi. Il se dégage et me demande un break. Attends, on fait une pause, je sais que tu ne manges pas la banane avec la peau mais pour la suite j’ai besoin d’une protection. Incroyable, depuis que je l’ai rencontré il n’avait jamais fait une phrase aussi longue. Presque aussi longue que sa queue. Il sort un préservatif d’une poche latérale de la tente. Je le lui prend des main. J’ai trop envie que ce soit moi qui lui mette. Il me laisse faire, je déroule le fin latex avec ma bouche. Quand il est couvert je me sur lui. J’aime nos ventres en sueur qui se touchent, mes seins lourds sur ses pectoraux, mes yeux dans les siens. J’ondule sans qu’il me pénètre pour l’instant. Tu me prends en levrette ? S’il te plait ? Il me bascule sur le côté, me retourne et passe les mains sous mon ventre pour me relever me mettant à genoux. Je sens d’abord sa main qui vérifie que je suis toujours bien mouillée comme il faut. Tu parles que je le suis. Trempée, plutôt deux fois qu’une. ça rentre tout seul. c’est presque trop facile. Heureusement qu’il est bien membré et qu’il y va bien a fond. J’encourage : »Vas y ! Défonce moi, encore, défonce moi ! n’ai pas peur ! »
Il me prend par la queue de cheval, tient ma tête renversée en arrière et frappe mes fesses de sa main libre en même temps qu’il me défonce en levrette. Je jouis et gémis en même temps. Il continue et je perds la notion du temps. Allez Kevin, encule moi ! encule moi putain ! Il s’est retiré de ma chatte et enfin je sens son gland contre mon anus. Ca fait tellement longtemps qu’on ne ma plus pris le cul qu’il doit forcer le passage. Je gueule ma race mais c’est bon, putain de bordel ce que c’est bon. A chaque coup de butoir qu’il me met je viens à sa rencontre. Il a lâché ma queue de cheval pour me tenir fermement par les hanches. Le con a de l’endurance, je suis épuisée et il continue sans faiblir. A chaque fois que je fais mine de m’effondrer sur le ventre il me relève pour que je reste bien à genoux. Parfois il alterne, sort de mon cul pour me reprendre en levrette et me faire jouir. Je ne compte plus combien de fois je jouis. Quand on aime on ne compte pas. Quand on est quasi inconsciente non plus ! Quand il jouit enfin il reste sur moi, allongé de tout son poids. Je n’ai pas la force de le repousser. Le matelas gonflable n’est pas si inconfortable et je peux respirer. Il bascule sur le côté. Je me pelotonne contre lui. En général après un plan cul j’ai envie de dormir seule. Mais là je reste. Je suis bien. Surtout je devine qu’on remettra ça dans quelques heures. Je m’endors heureuse de cette perspective. Vive le camping et les plans cul en camping !

plan cul camping bureau
plan cul camping ou plan cul bureau ?

Blonde adultère et cochonne à souhait

Chère Lucie,

Ce soir la blonde que je suis ose prendre la plume et t’écrire mon histoire. L’histoire d’une jeune femme qui, comme toi, aime le sexe mais, tout comme toi aussi est mariée à un homme qu’elle ne veut pas quitter mais qui la délaisse sexuellement. Très chère Lucie, merci infiniment pour ton blog. En te lisant je me sens moins seule. Même si je me doutais bien n’être pas la seule femme mariée infidèle et volage en France, je suis rassurée de constater qu’il existe d’autres femmes aussi attirées que moi par les plans baise adultère sans lendemain. Tu es brune sportive, mince et, me semble-t-il, extravertie. Je suis pour ma part une vraie blonde, pulpeuse (mais pas obèse) et d’une grande timidité. C’est cette timidité qui m’a naturellement poussée vers les sites de rencontre. Tous ont leur qualités et leur défaut, et j’ai envie de dire les qualité de leur défauts. Très déçue par Ashley Madison je me suis rabattue sur 5a7, un site qui correspond bien à ma conception de la chose. Je crains ne pas avoir ton talent pour décrire mes étreintes secrètes des après midi paresseuses de milieu de semaine. Mais je vais faire de mon mieux puisque c’est bien de cela qu’il s’agit sur ton blog. D’ailleurs je n’ai pas encore commencé que j’en suis déjà toute chose. Les préliminaires à la rencontre semblent importants pour toi. J’aime dans tes textes l’histoire avant l’action proprement dite. Mais, dans mon cas, ce moment de drague est réduit au minimum. Je vois mon amant hebdomadaire pour la première fois par l’œilleton de la porte d’entrée de mon appartement bourgeois en général sur le coup de 13h30 un jour de milieu de semaine. Je suis déjà en nuisette sexy lorsque j’ouvre la porte. Cela peut paraître drôle mais je jure que c’est par timidité que je me présente ainsi à mon amant. J’ai peur de ne pas savoir comment m’y prendre si l’action ne vient pas tout de suite. Je suis nulle en Strip Tease et me sens gauche et blonde comme pas deux lorsque je suis vétue en tenue de ville. Invariablement la nuisette sexy fait son effet. La bise de bonjour est toujours accompagnée de mains baladeuses. Cela me permet de ne pas avoir à parler. Je me saisi du poignet de la main qui se retrouve sur ma fesse, je me dérobe et entraine le monsieur au salon. Plus précisément c’est sur le canapé que commencent les choses sérieuses. Le fait qu’il soit encore tout habillé et moi presque nue est un avantage. L’idée de commencer par un cunnilingus vient presque toujours naturellement. D’autant que j’ai légèrement parfumé ma chatte blonde pour l’occasion. Je suis dingue de cunnilingus ! Quel délice de sentir la langue de mon amant fouiller mes grandes lèvres. Le nez pressé sur ma toison blonde et pour les plus audacieux un doigt pressant mon anus encore serré ! Je voudrais que ce moment dure à jamais et, dieu merci, les hommes sont attentionnés et généreux ! Messieurs, merci de contredire le cliché de l’amant pressé et brutal ! Merci de toujours laisser le temps au temps et de déguster le yaourt aux fruits sans regarder les minutes qui défilent et peuvent devenir des heures. Merci pour ces orgasmes à répétition donné sans rien attendre en retour ! C’est parce que vous ne me demandez rien que je fini par tout vous donner. Merci aussi pour la gentillesse que vous avez toujours de respecter ma demande de repartir avant dix huit heure quoi qu’il arrive. Merci pour les rires et la complicité du thé que nous prenons parfois entre deux étreintes. Merci à tous ceux qui n’ont jamais moqué mon gros cul ni mes gros seins de blonde trop volumineux pour tenir droits ! Voilà Lucie, je pense, pour une blonde, ne m’en être pas trop mal tirée. J’espère que tu publieras ma lettre. J’espère que tu me répondras et que, qui sait, nous deviendrons amies. Merci encore en tous cas pour ce blog qui m’a permis de m’exprimer. Je retourne vite sur mon site de rencontres faire ma blonde timide et pourtant cochonne

Comment trouver une salope sur internet

trouver une salope sur internet en image...
salope du net en mode selfie

Salope du net, où la trouver ?

Autant dire que comment trouver une salope sur internet et une question qu’une bonne partie des hommes se posent ! Sans mentir, je ne connais pas de recette secrète miracle pour trouver une bonne petite salope sur internet. Les sites de rencontre qui promettent de trouver rapidement et facilement un plan cul avec une grosse salope sur internet pullulent mais sont minés par les faux profils  de jolie salope du net et il est facile de s’y perdre. Une fille facile à gros seins qui aime faire sa salope sur internet ne choisira pas Meetic ni même Tinder comme réseau. Les talentueuses suceuses de tinder sont une légende urbaine, croyez moi. Inutile donc de chercher une salope coquine sur Meetic ou eDarling par exemple à mon humble avis de MILF. Les réseaux sociaux sont sympa mais vous risquez d’y perdre votre temps sans dénicher la bonne petite salope suceuse dont vous rêvez. Alors, faute de pouvoir vous aider à trouver votre gourgandine j’ai décidé d’écrire dix petits conseils de salope du net sans doute inutiles mais que j’espère sexy. Qui sait, derrière ces conseils pour trouver une salope sur internet quelques uns vous serviront. Dans ce cas faite le savoir en commentaire !
Ces conseils et astuces pour trouver une salope sur internet sont tirés de mon expérience personnelle de salope du net assumée mais aussi des témoignages que je reçois de certaines lectrices coquines de mon blog. Eh oui, 36% de mes lecteurs sont des lectrices ! Des lectrices souvent bien autant cochonnes que moi. Et si aucun conseil ne vous est utile alors j’espère que vous prendrez néanmoins plaisir à me lire…Et que grâce à cet article vous aurez moins de difficultés à trouver une salope sur internet…ou ailleurs…

Enfin, cet article est là pour aider ceux qui veulent transformer les rencontres coquines virtuelles faites sur internet en vrai plan q. Mais si vous voulez juste passer du temps en sexcam sur internet avec un belle salope du net vous pouvez lire deux autres articles de mon blog :

Cam sexy et commerce équitable

– OKSANA en Sexcam

 

Trouver une salope sur internet, conseil n°1

C’est comme au loto, 100% des gagnants ont tenté leur chance. Pour trouver une salope sur internet il faut…chercher une salope sur internet. Sachez, messieurs, que nous ne sommes pas vraiment différentes de vous. Si vous cherchez à faire des rencontres sexy sur internet nous, les filles, sommes exactement dans le même cas. Mais, hélas pour vous, les conventions sociales font que nous sommes moins nombreuses et, surtout, plus discrètes que vous. Pour réussir il faut, avant tout, y croire. Le petit cul serré qui attend votre bite bien dure existe, il est quelque part sur la toile mais aussi dans la vraie vie. Il faut juste le trouver avant les autres internautes.

Trouver une salope sur internet, conseil n°2

Autant, lorsque vous vous retrouvez au lit (ou sur la table de la cuisine) avec moi ou toute autre bonne salope trouvée sur internet il convient de prendre votre temps, de commencer par explorer sous mes habits sans me les ôter tout de suite. Autant la drague sur internet doit, elle, être rapide. Une fois que vous plaisez à l’une d’entre nous inutile de vous dire qu’il vaux mieux ferrer le poisson sans tarder. Donnez un premier rendez vous le jour même, si possible dans l’heure. Car sur internet les femmes papillonnent et un contact coquin a vite fait d’en remplacer un autre. Une vraie salope du net ne vas pas attendre qu’on la courtise sur plusieurs jours avant de passer à l’action !

Trouver une salope sur internet, conseil n°3

Les sites de rencontre à plans cul sur internet semblent de plus en plus nombreux. Mais ne vous inquiétez pas trop, c’est une technique marketing pour vous vendre la même chose sous des emballages différents. Sachez qu’en réalité la plupart du temps derrière dix sites de rencontre à plans culs se cache la même base de données de candidates au grand frisson qui se sont inscrites sur de sites différents. Donc ne perdez pas trop de temps à choisir et inscrivez vous sur un site, vous aurez accès aux même annonces que sur celui d’à côté ! Si cela vous scandalise dites vous que pour la lessive c’est pareil, dans la bouteille ARIEL il y a exactement le même produit que dans celle du chat machine (ou de la chatte machine…). De toutes façons la plupart des sites proposent un essais gratuit, donc pas de risque à tenter sa chance. Ensuite, bien sûr, à vous de décider si vous payer pour plus ou pas. Moi j’aime deux sites particulièrement l’un pour son côté fun et pas prise de tête : compinedesexe , l’autre pour sa discretion et parce que cela correspond bien à mon profil personnel.

Trouver une salope sur internet, conseil n°4

Sur internet, comme dans la vie, on ment. N’écoutez pas tous les pisse-froids qui vous disent qu’un homme qui est lui même c’est exactement ce que recherchent les filles. Ca c’est pour les rencontres sur Meetic avec des nana ennuyeuses ! Non, une bonne petite salope d’internet comme moi ça cherche de l’original, de l’aventure et du piment. Au diable la vérité, ce qui compte c’est la sincérité. Mentez moi avec sincérité et sachez que je ne me priverai pas de faire de même. Je ne suis pas en seconde année de médecine dans la vraie vie. Mais je vous assure que vous allez m’adorer en blouse blanche et que je vous sucerai de manière très convaincante. Et matière de drague sur internet j’ai tendance à dire que plus c’est gros plus ça passe, si vous voyez ce que je veux dire…

Trouver une salope sur internet, conseil n°5

Pas de prise de tête avec la photo de profil trouver une salope sur internet. Ce conseil peut vous paraître étrange comme conseil surtout sur internet où l’image prime bien souvent sur le texte. Mais pourtant croyez moi, quand une fille comme moi cherche un plan cul sur internet elle ne s’attarde pas trop sur les photos de profils. La photo de profil ultra travaillée c’est bien pour les sites plus classique du genre meetic ou adopteunmec qui misent sur des rencontres durable et cherchent à toucher le plus grand nombre d’abonné célibataires. Une fille chaude qui veut un plan cul va plutôt rechercher un homme original, disponible et surtout discret. C’est avant tout le tchat et le profil du candidat qui va compter et pas sa photo plus ou moins bien Photoshopée. Un selfie tout simple est largement suffisant et surtout authentique. Par contre ce que j’aime bien c’est quand il y a un élément de contexte en rapport avec le texte du profil. Par exemple si un mec me propose un plan baise dans sa voiture j’aime bien avoir une photo de la voiture ! Un motard qui me promet une chevauchée sur deux roues avant de me chevaucher peut m’exciter si j’ai une vue sur sa bécane ! De toutes façons il y aura souvent un peu de chatcam donc pas la peine de se prendre trop la tête. Surtout que les offres gratuites comme sur copine de sexe sont a durée limitée, très limitée…Donc optimisez le temps que vous y consacrez. On fait vite un profil et on part en chasse !


Trouver une salope sur internet, conseil n°6

Ne négligez pas les faux profils. Sur un site de rencontres à plans cul vous trouverez des faux profils. C’est inévitable (voir articles). Mais pour autant, il ne faut pas passer à côté des vraies filles cochonnes qui galèrent elles aussi sur ces sites à trouver chaussure à leur pied et se démarquer des faux profils qui pullulent. Donc il faut être systématique et patient. Il faut se connecter et accepter de perdre un peu de temps. Surtout voyez les filles en faux profil ou les emmerdeuses qui trainent sur les sites pour se chauffer sans vraie envie de passer à l’acte, comme des sparing partner. Parlez leur, chattez, draguez les et observez leur réactions. Au pire cela vous aura fait un bon entrainement, au mieux vous allez en convaincre une de sauter le pas alors que d’autres moins persévérants auront renoncé.

Trouver une salope sur internet, conseil n°7

Je parle pour mon cas mais je sais que c’est aussi celui de pas mal de femmes qui cherchent des plans culs sur internet. Lorsque j’en parle avec les quelques amies de confiance qui ont un peu le même profil que moi nous arrivons toujours à la même conclusion. Nous cherchons des plans cul sur internet parce que nous aimons nous faire draguer sur internet. La distance sécurisante du net et de l’écrit est, pour nous les salopes du net, très rassurante. Alors écrivez, n’hésitez pas à en faire des tonnes. Plus vous faite l’effort de nous écrire, plus nous sentons que vous êtes motivés. Même une chienne qui veut se faire prendre par le cul après une bonne levrette (c’est ce que je préfère !) aime qu’on la drague avant et se faire désirer. Alors faites quelques efforts.

Trouver une salope sur internet, conseil n°8

Proposez quelque chose d’original, sortez du lot. Il faut comprendre que pour une fille trouver un plan cul sur internet est extrêmement facile. Du coup au début on enchaine les plans culs de manière vertigineuse. Cela a été mon cas au tout début. Mais après on se lasse vite, on devient plus exigeante et le sexe n’est plus boulimique mais on cherche le plan cul d’anthologie qui nous fera oublier les autres. Donc soyez originaux dans ce que vous proposez, croyez moi, vous lèverez des filles forcément plus exigeante et super canon.

Trouver une salope sur internet, conseil n°9

Ciblez les petits bleds paumés près de chez vous. La plupart des sites de rencontre proposent une recherche par mots clef sur la localité. C’est le cas, par exemple, de infidèle messenger que j’utilise parfois. Dans les grandes agglomérations il y a davantage de filles chaudes, c’est statistiquement sans doute vrai. Mais il y a aussi plus d’hommes et, surtout, les possibilités de draguer hors internet sont plus variées et, déséquilibre de la demande obligeant, une nana en recherche d’un plan cul trouve un mec vraiment très vite une fois inscrite. Par contre j’ai pu remarquer, au travers des témoignages que je reçois sur le blog, que des filles qui ont très envie de faire leur bonne salope suceuse s’ennuient à mourir dans des villages mal desservis par les transports en communs et où tout le monde se connaît et s’observe. Cela est aussi vrai des zones pavillonnaires un peu excentrées où de jeunes mamans se sont laissé enfermer bien malgré elles. Il ne tient qu’à vous de faire œuvre de charité et de venir soulever leur jupes légères, écarter ses fesses délaissées pendant qu’une progéniture innocente est à l’école. J’ai deux trois amies mères de famille sexy qui fréquentent le site cinqasept et m’en disent plutôt du bien. En tous cas c’est bien orienté plans culs l’après midi, ce qui n’est pas vraiment mon créneau puisque j’aime prendre mon temps à l’hôtel en déplacement pro…

Trouver une salope sur internet, conseil n°10

Ca nique sur les sites « ethniques » ! Celles et ceux qui me lisent cherchent à trouver une salope sur internet savent que je n’ai que très peu de préjugés et qu’en matière de baise je suis prête à avaler des couleuvres de toutes les couleurs. Je ne sais pas si c’est un hasard mais dans les rares, trop rares plan q à 3 que j’ai pu expérimenter la troisième était toujours une autre fille trouvée sur un site de rencontre typé ethnique comme AsiatRencontre, AfroMessenger ou Beurettes. Je ne sais pas à quoi cela tient, ni même s’il y a une réalité statistique à comprendre juste en partant de ma maigre expérience personnelle. Peut être que pour ces filles internet est le moyen le plus pratique et le plus anonyme de s’échapper du carcan de la surveillance de la famille ou de la communauté. En tous cas je pense que pour celui (ou celle comme moi sur un plan cul à 3) qui cherche à trouver une salope sur internet ou une bonne petite chienne ces sites dits de niche sont à essayer. D’autant plus que la période de gratuité y est plus étendue que sur les sites « généralistes » ou trouver une salope sur internet peut prendre bien plus longtemps.

Trouver une salope sur internet, conseil n°11

Ce n’est pas un conseil pour trouver une salope sur internet mais juste le petit texte sexy promis. Un petit cadeau pour ceux qui ont eu le courage de me lire jusqu’ici. Vous m’avez donc levée sur copinedesexe. Notre premier rendez vous est au cinéma. J’ai choisi exprès un film un peu prise de tête pour qu’il y ait un public d’intellos lecteurs de Télérama. Nous sommes au troisième rang. Pas au milieu, mais légèrement sur la droite, à une dizaine de sièges du couloir. Ainsi on peut nous voir. J’aime choquer et m’exhiber avec mon plan cul d’un soir. Pour ce genre d’occasion j’aime m’habiller de manière outrageusement sexy. Mini jupe très mini, talons qui claquent et chemisette bien cintrée qui met en valeur ma poitrine généreuse. Nous sommes arrivé assez en avance par rapport à la séance pour  que je puisse me lever plusieurs fois, sortir et re-rentrer dans la salle. La première fois c’était pour aller aux toilettes. J’aime sentir les regards qui me suivent autant ceux des hommes que celui de leur compagnes réprobatrices. Comme j’ai bien préparé mon coup j’ai choisi un film à succès et la séance du vendredi soir en général très fréquentée. Assez vite la salle se remplis et des voisins arrivent sur notre rangée. La seconde fois que je me lève (pour aller chercher du popcorn) je dois « déranger » quelques autres spectateurs. C’est très excitant. Je fais l’aller par la droite et le retour par l’autre côté. C’est mon petit plaisir sadique de voir la mine déconfite d’un voisin de droite qui espérait me frôler sur mon parcourt de retour. Je vous embrasse goulument dans le cou à intervalles réguliers. Je caresse votre cuisse et prend votre main pour la poser sur mon genou. Libre à vous de remonter comme bon vous semble, à votre rythme, encore au grand jour ou en attendant que le noir se fasse dans la salle. Je sais de toutes façons qu’un moment viendra où vos doigts fouillerons ma chatte mouillée. C’est mon moment préféré au cinéma. Je caresserai votre sexe à travers le pantalon. Nous n’irons pas plus loin, du moins pas au cinéma. Mais nous jouerons ce jeu toute la durée du film, certains que beaucoup ne pourront suivre l’intrigue et sadiquement heureux de la frustration que nous causons.

Conclusion

Vous avez lue mes conseils pour trouver une salope sur internet jusqu’au bout ? Sincèrement bravo car je ne suis pas bien fière de cet article. Mais sans doute avez vous très envie de trouver une salope sur internet ! Sachez que je suis bien consciente de la frustration qu’éprouvent la plupart des hommes qui cherchent un plan cul sur internet. Beaucoup de candidat, peu d’élus et la CB qui parfois chauffe un peu trop. Je ne prétends pas avoir la recette miracle mais comme je commence a avoir une jolie expérience en la matière j’espère que les quelques idées que vous aurez lues ici pour trouver une bonne petite salope sur internet vous auront été sinon utile, du moins agréables à lire. Croyez moi, être nymphomane n’est pas facile à admettre ni à assumer. J’ai pu découvrir depuis deux ans qu’internet est le seul lieu où il soit possible de l’être sans devenir folle ni perdre son anonymat. Enfin, sachez que trouver une salope sur internet n’est pas si difficile que cela. Mais saurez vous la satisfaire et la garder en plan cul régulier ? C’est une autre histoire que je développerai dans un prochain article…

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Chienne soumise et sexy à Montauban

Chienne soumise et sexy à Montauban, je vous dois des excuses, plus de deux mois que je dois publier le récit de ce plan cul mémorable et je n’ai toujours pas publié une ligne. Trop long à écrire, j’aimerais vraiment que le texte soit à la hauteur de ce qu’Il m’a fait vivre. Et du coup je froisse et jette dans la cheminée  chaque feuillet pour tout recommencer sans être satisfaite. Eh oui, j’écris souvent au stylo bille sur de vraies feuilles mes histoires de chienne en chaleur avant de les retranscrire sur le blog !

Je pense que si je continue à focaliser sur cette histoire de chienne soumise je risque de laisser mourir mon blog ! Alors,        au risque de décevoir j’ai décidé de publier le récit de ce plan cul en petits épisodes au fur et à mesure de ce que je parviens à écrire. Cet article va donc pas mal évoluer au fil du temps, revenez y de temps à autre si vous voulez savoir jusqu’où je peux aller en chienne soumise.

Mon aventure extra conjugale de chienne soumise a donc commencé ainsi :

Chienne soumise, jour J à Montauban

J’ai tellement attendu cette rencontre SM adultère qu’au matin du jour J je suis prise d’un doute affreux. Et si tout cela n’était qu’un faux plan. Le délire mythomane d’un homme frustré qui drague sur internet mais n’assure pas un cachou dans la vraie vie. Puis je me botte un peu les fesses pour me convaincre que celle qui ne tente rien n’obtient rien. Lors de nos échanges épistolaires sur mon blog de femme adultère Christophe, Monsieur Christophe, m’a semblé sincère et authentique. Alors je remballe mes doutes de midinette et choisi avec le plus grand soin ma tenue du jour. Le challenge est délicat car avant mon rendez-vous galant j’en ai un bien plus professionnel dans une clinique privée pour y vanter les produits de la marque. J’avais promis de vrais bas couture, alors je commence par cela. Ils sont noirs et très classiques de chez Cervin tenus par un porte jarretelles de la même marque au look légèrement suranné avec ses six attaches métalliques. Je sais que l’idéal serait mes escarpins Louboutins fétiches pour aller avec mais incompatible avec mon rendez vous sérieux au labo avant. Je me rabat donc sur des bottes en cuir classiques à talon plat qui offrent aussi l’avantage de masquer mes bas puisque j’aurai par dessus un tailleur long des plus sages. Pas de regret car je compte laisser ma Fiat 500 au parking des berges du Tarn. Ainsi je pourrai y déposer les bottes avant mon rendez vous galant et chausser mes escarpins talons aiguilles de bourgeoise allumeuse.

A la clinique, malgré une grande difficulté à me concentrer sur ma vente je ne m’en sors pas trop mal. Le directeur de la clinique, un homme somme toute assez fade, qui se penche avec moi sur le catalogue que j’ai amené doit avoir inconsciemment perçu mon trouble. D’habitude je maitrise mon sujet sur le bout des doigts mais là, je pense trop à mon rendez vous et il m’arrive de chercher où j’en suis dans mon argumentaire commercial et même de bredouiller. Il croit peut être que c’est lui qui me fait cet effet en tous cas je repars avec une belle commande. Il insiste pour que ce soit moi, à l’avenir, qui soit son interlocutrice principale pour les futures commandes. En vrai cela ne se passe pas du tout comme cela et une fois que la vente est signée je ne m’en occupe plus. Mais je ne le lui dit évidemment pas ! Et puis même s’il ne me plait pas au premier abord mon instinct de salope me dit qu’on ne sait jamais, il y a peut être un plan cul intéressant à imaginer.

16h15, voilà, je suis libre et libertine pour deux nuits et deux jours. Il est paradoxal que je m’apprête à consacrer ces 48 heures de liberté à devenir l’esclave sexuelle d’un parfait inconnu en plein centre ville de Montauban. Je ne peux m’empêcher de sourire à cette idée et la mine réjouie que j’affiche du haut de mes talons aiguilles qui claquent sur les pavés de la vieille ville ne manque pas d’attirer les regards. J’aime que les hommes se retournent sur moi. Surtout quand ils sont accompagnés…

La place Nationale de Montauban est magnifique, je la préfère à celle du Capitole de Toulouse. Elle est plus intime, plus chaleureuse. Savoir que j’ai rendez vous dans l’un des beaux appartements bourgeois qui la surplombe pour y faire ma chienne soumise me plait énormément. Je suis pile poil à l’heure. Monsieur Christophe m’a laissé le code pour accéder par derrière à son immeuble et je monte le cœur léger les trois volée de marches qui mènent à son palier. Alors que j’allais frapper trois coup à la porte, je me ravise et me souviens de ses consignes impérieuse. Je dois gratter à sa porte comme un petit animal. Je ne sais comment m’y prendre, j’ai peur de ne pas être entendue ainsi. Mais lorsque je pose mes ongles vernis sur le vieux chêne la porte qui n’était pas claquée s’ouvre d’elle même.

-« Entre ! Fais comme chez moi ! » me lance une voix assurée depuis une pièce que je ne peux distinguer.

Je me glisse dans l’entrée en laissant ouvert derrière moi.

Le fameux Monsieur Christophe fait son apparition dans le réduit de l’entrée, ne me jette pas un regard et ferme la porte derrière moi. Il se retourne sans hâte et me détaille de haut en bas puis de bas en haut et, sans prévenir, m’administre une gifle magistrale !

-« Pfft, ridicule la tenue ! Si tu veux rester faire la chienne soumise il va vraiment falloir y mettre du tiens. »

Incroyable ! Perso, je ne suis pas contre un peu de violence. Mais là, prise à froid, alors que j’attendais tant de cette rencontre je me retrouve comme une conne. J’ai laissé tomber mon sac de voyage et je sens les larmes me monter aux yeux. Surtout ne pas pleurer, vite trouver une répartie, une attitude. Je suis prise d’une folle envie de ramasser mes affaires et de repartir. D’autant que le Christophe en question n’a rien d’un Apollon. On est loin du gentleman en costume distingué à la cinquante nuances de gris que je m’étais fantasmé. Pourtant, je reste plantée là, baissant même les yeux sur ses mocassins à glands marrons. Le détaillant à mon tour à la dérobée je réalise alors avec surprise que j’ai envie de rester autant que de partir. Il n’est pas le bel inconnu en costume dont j’avais rêvé mais le pantalon en velours côtelé et le col roulé lui donnent un côté vintage qui, tout à coup, me semble sinon désirable, du moins raccord avec le scénario coquin envisagé. Sa barbe grisonnante à la Robert Hue semble elle aussi venue toute droite des années 80. Je suis contrainte d’admettre qu’il a fait de son côté un effort bien plus important que moi pour se façonner un personnage original. Il aurait tout à fait sa place dans un vieux porno vintage. Je me dis que tout cela n’est qu’un jeu et que je suis venue exactement pour cela : jouer et vivre une rencontre très particulière dans laquelle il est le maître et moi la chienne soumise. Ce n’est pas ce que je m’étais imaginée mais après tout, tant mieux ! Je sens insidieusement mon dégout initial laisser place à une pointe de curiosité qui me pousse à rester. Même si je suis loin d’éprouver cet élan de désir que j’ai parfois dès le premier coup d’œil d’une rencontre. La soirée risque d’être longue. Longue mais intéressante.

-« Avant toutes choses, je t’explique les règles. Elles sont simples : la porte est ouverte, tu pars quand tu veux. Mais si tu souhaites rester alors tu m’obéis et tu mets ça ! »

Il jette à mes pieds un large collier en cuir brun du genre de ceux dont on affuble les gros chiens. J’hésite, j’aimerais dire quelque chose. Je voudrais le gifler à mon tour et partir. Je ne vais tout de même pas m’abaisser à ramasser son « cadeau » !

La seconde baffe me cueille par surprise autant que la première.

-« Bon, on va pas y passer la nuit ! Tu te décides ? Tu vas faire ta gentille chienne soumise ou tu repars la queue entre les jambes ? Enfin, justement, sans la queue entre les jambes ! »

Bon, là il faut me décider. Deux gifles c’est trop à mon goût en moins d’une minute. Je n’ai aucune envie de vérifier l’adage qui dit jamais deux sans trois. Je n’ai pas l’impression que la situation m’excite sexuellement. C’est autre chose. Un truc plus profond, plus atavique. J’ai envie de savoir comme cela va évoluer. Avec le recul je me dit que d’être punie m’a donné inconsciemment envie aussi d’être gentille et obéissante pour être félicitée et récompensée. Mais cela c’est à postériori, avec mon analyse de psychologie de comptoir. Sur l’instant je suis juste légèrement effrayée et le besoin de me soumettre l’emporte sur l’envie de fuir. Je me baisse donc docilement pour ramasser le collier, mon collier de chienne soumise.

Sa main se pose alors sur ma tête. La pression est douce, presque tendre.

-« Bon, c’est mieux. A genoux. A partir de maintenant tu as interdiction de te relever. Tu vas être ma gentille chienne soumise. Donnes ton collier, je vais te le mettre ! »

Je suis à genoux et lui tend des deux mains mon collier de chienne comme une offrande. Il se baisse à ma hauteur, je lève le menton et lui offre mon cou nu. Ses mains et la boucle du large collier de cuir passent entre mes longs cheveux soyeux et ma nuque. Il ne serre pas trop. A cet instant je me dit que je ne devrais pas en conserver de marque. Mais la sensation autour de mon cou n’en est pas moins étrange. Ce n’est pas désagréable, mais j’ai l’impression que mon cœur bat différemment. En acceptant le collier, j’en adopte toute la symbolique et, même si je suis en théorie libre de cesser le jeu quand je veux j’ai le sentiment d’avoir franchi un point de non retour pour ce voyage de deux nuits et deux jours en terres inconnues.

-« Très bien, tu me sembles une bonne chienne soumise. Et, je te l’avoue même si cela me coûte, je te trouve très jolie. J’espère que tu ne va pas me décevoir et que tu vas faire ta bonne salope…Bon, pour le moment tu restes sagement dans l’entrée. Quand je t’appellerai, et quand je t’appellerai seulement, tu pourras me rejoindre au salon. »

Il me laisse à quatre pattes dans le vestibule d’entrée de son appartement et disparait dans ce que je devine être le salon derrière une porte entre baillée. L’horloge digitale à chiffres lumineux rouges qui trône sur un guéridon indique 17:07:31..32..33..34..35….ainsi de suite puis 17:08:00..01..02 plus un bruit dans l’appartement. 17:10:00 Je m’assieds par terre, bien décidée à ne pas m’aventurer plus loin dans l’appartement tant qu’il ne m’en aura pas donné la permission.

 

Fessée déculottée J moins 8 ?

Monsieur Christophe,

Vous n’imaginez pas, je crois, combien votre proposition de fessée déculottée puis nos échanges de commentaires de vendredi dernier ont réveillé mon imagination et mon désir tout au long du WE. Quelle ne fut pas ma déception ce matin en ouvrant le blog après tout un dimanche et tout un samedi consacré à mon rôle de bonne mère bonne épouse de ne trouver aucun commentaire de vous. Nous ne nous connaissons pas et pourtant je n’ai cessé de penser à vous pendant ces deux longues journées. Jusqu’à rêver la nuit dernière de la fessée déculottée que vous m’avez promise. Je voulais vous réécrire mais, craignant que mon mail reste sans réponse je décide cet après midi de publier ce petit billet pour vous inviter à y laisser de nouveaux commentaires d’ici ce mardi 23 février si proche et si loin en même temps. Deux jours et deux nuits à Montauban que j’ai désormais diablement envie de passer en votre compagnie, du moins pour le temps en marge de mes rendez-vous commerciaux terriblement ennuyeux. Ne me laissez pas ainsi. Que puis-je faire pour vous convaincre de m’écrire à nouveau ? Pour vous je me sens prête à suspendre pour toute une semaine mon profil adultère sur Infidèle Messenger et à n’écrire qu’à vous. Vous me demandiez vendredi de vous convaincre à mon tour que je saurais mériter ma fessée déculottée. Je vous propose alors un petit jeu que j’espère vous trouverez pervers à souhait. Ecrivons nous chaque jours sur les commentaires de cet article. Faisons ensemble monter le désir l’un pour l’autre et voyons si nous parvenons à transformer cette semaine d’idylle épistolaire en une belle et sensuelle rencontre secrète dans votre appartement Montalbanais.

Vous avez déjà toute mon attention. Pour la fessée déculottée il vous faut mon petit cul. Pour l’obtenir ainsi que le reste de mon corps et un peu de mon âme faite encore un petit effort d’écriture.

Fessée déculottée j moins 7

Aie ! Je ne sais comment mettre en page cet article interactif. Les commentaires sont pratiques pour écrire mais moins pour les lecteurs qui suivent mes « aventures ». Je recopie donc votre commentaire dans le corps du post et y réponds.

15 février 2016, 15h43 commentaire de Monsieur Christophe :

 Ma chère Lucie,
Je constate avec plaisir que ma proposition d’une fessée déculottée a retenu ton attention. N’aie crainte je ne t’ai pas oubliée. Du moins pas encore. Je suis certain que nous allons nous entendre à merveille, tout du moins si tu es vraiment telle que tu te décris sur ce blog autant physiquement que dans ton comportement. Ne réserve pas d’hôtel pour ton séjour à Montauban car je pense que j’aurai largement de quoi t’occuper et te recevoir comme il se doit la semaine prochaine. Bien que soumise et menée à la baguette, puisque c’est ce que tu sembles aimer, je peux aussi t’assurer que tu sera choyée et que tu seras l’objet de toutes mes attentions. Ok pour ton jeu d’écriture quotidienne. Pour demain (ou ce soir si tu préfères), j’aimerais que tu m’écrives comment tu comptes te vêtir pour l’occasion. En échange je t’en dévoilerai un peu plus sur moi.

16 février, ma réponse donc à une semaine du rencard :

Monsieur Christophe,

Par prudence je réserve quand même l’hôtel pour le mercredi soir. Mais il reste fort probable que je sois mardi chez vous donc. Si je m’y plait il sera toujours temps d’annuler l’hôtel du lendemain…

Je me rendrai donc à votre appartement en sortant de mon rendez vous commercial à quinze petites minutes à pied d’après googlemap. Cela limite un peu les options vestimentaires. Sous mon tailleurs de marque mais un peu sage j’espère que la lingerie sexy que j’aurai choisie vous plaira. C’est encore l’hivers aussi je serai en bottes. Mais je songe, pour vous plaire, à emporter dans mon baise-en-ville une paire d’escarpins à talons aiguilles qui ira mieux avec mes véritables bas couture des grandes occasions. Vous parliez de m’offrir un collier un peu particulier. J’avoue qu’avec la fessée déculottée c’est ce qui m’a troublé dans votre commentaire. Je suis tout de même un peu effrayée par l’idée. Effrayée mais excitée à la fois. Terriblement excitée même !

Si vous avez d’autres idées du même type je vous en supplie ne me les dévoilez pas encore. J’aime être surprise autant que surprendre. A toutes fins utiles je mesure 1m76, pèse ce jour 63 kilogrammes et demi et fais un 85D.

Qu’aimeriez vous savoir d’autre de moi d’ici mardi prochain ? De mon côté je brule de savoir ce qui vous a poussé à me proposer cette fessée déculottée alors que vous ne disposez d’aucune photo de moi et ne me connaissez que par mes textes.

Fessée déculottée J moins 6

16 février 2016 Réponse de monsieur Christophe :

 Lucie,
Je suis un de tes fidèles lecteurs depuis presque un an maintenant. Aussi je n’ai pas besoin de photo de toi pour deviner à travers ce que tu dévoiles dans tes écrits que tu me plaira. D’ailleurs les mensurations que tu annonces ne sont pas pour me contredire. J’ai un peu moins de dix années de plus que toi. J’ai l’impression que nous accordons tous les deux une plus grande importance aux scénarios et à la mise en scène de nos rencontres qu’à la plastique des corps. Même si cela reste important. Pour ma part je suis assez sportif et ne pense souffrir d’aucune tare physique rédhibitoire. Je me suis décidé à t’écrire car je pense, sans me vanter, être à même de te faire progresser au niveau expérience sexuelle. Ce que j’ai lu de tes aventures est très excitant mais, si je puis me permettre, je trouves que tes amants (et toi) allez trop vite. Tu dis aimer la soumission mais tu ne prends pas le temps de la savourer comme il se doit. Comment le pourrais tu quand ton scénario type est une rencontre d’un soir suivi de quelques heures, parfois moins, dans une chambre d’hôtel. Si tu viens mardi soir prochain saches que je t’ai prévu un tas d’activités. D’ailleurs je t’ordonne de décaler tous tes rendez vous de mercredi au lendemain. Je suis certain que tu peux y arriver ! Fais cet effort ! Mon appartement te sera ouvert à partir de 17 pile. Tu as le code d’en bas, c’est le denier étage porte de droite. Ne frappes pas. Contente toi de gratter à la porte comme un petit animal docile que je veux que tu d’habitues à être avec moi.

17 février, ma réponse

Humm, j’espère que ces promesses ne sont pas que du vent. J’ai été pas mal déçue ces derniers temps par des forfanteries proférées en chatcam qui n’ont donné au final que des ébats désolants de banalité et qui plus est rapides. Parfois à la limite de l’éjaculation précoce ! Mais revenons à nous. Puisqu’il est question de fessée déculottée je n’oublierai donc pas d’en mettre une de culotte. Juste pour que vous puissiez me la baisser ! OK, je m’arrange pour déplacer mes rendez vous de mercredi et je pose un congé. Je serai donc toute à vous. Je croise les doigts et décroise les jambes pour ne pas avoir à le regretter. Comme le temps me semble long maintenant que j’ai décidé de vous rencontrer la semaine prochaine. J’ai beau savoir que chaque seconde me rapproche de cet instant et de ma fessée déculottée, j’ai aussi l’impression que c’est terriblement loin. Je voudrais tant qu’il n’y ait pas ce week-end à venir entre nous ! Je vous supplie de continuer à m’écrire d’ici là.

Fessée déculottée J moins 5

17 février 2016 Réponse de monsieur Christophe :

Aujourd’hui tu voudrais que le temps passe plus vite. Mais ne t’inquiète pas, tout vient à point à qui sait attendre. La chatte miaule, la chienne aboie, la jument hennit, bêle la brebis et couine la lapine. Je suis curieux d’entendre quel seront tes cris. Mais n’aies crainte, je ne suis pas violent, ni sadique. C’est bien de plaisir que j’ai l’intention de te faire hurler. Si tu sais te montrer obéissante tu auras en retour les plus belles étoffes les soies les plus douces et du cuir pleine peau au grain tendre et fin. En attendant de nous voir je t’autorise à te caresser un peu. J’aimerais que tu le fasses à côté de ton mari quand il dort tout en pensant à notre prochaine rencontre. Feras tu cela pour moi ?

Ma réponse donc le 18 février

Je l’ai fait, il devait être trois heures du mat. Je n’ai pas beaucoup de mérite car mon cher et tendre ronfle comme un cochon et dort comme une pierre. Mais je ne voulais pas qu’il se réveille alors j’ai quand même du faire attention. Pas facile de devoir mesurer chacun de mes gestes en me caressant. Surtout que, pensant à vous, j’imagine des choses qui n’ont rien de calmes. Cela m’a tellement mise en feu que j’ai presque eu envie de réveiller monsieur pour un vrai corps à corps pendant lequel j’aurais pensé à nous. Mais j’ai préféré n’en rien faire. J’essaie de me préserver pour mardi. Mais j’ai bien peu de craquer avant et d’accomplir mon devoir conjugal ce WE. Au moins si je fais cela vous aurez une vraie raison de m’asséner cette fameuse fessée déculottée.

Fessée déculottée J moins 3

Samedi 00h18 : Pas de commentaire de vous aujourd’hui. J’espère de tout mon cul que vous ne m’oublierez pas mardi. Maintenant que j’ai votre adresse, le code d’en bas et que je sais l’étage plus rien ne peut m’arrêter. Je glisse un doigt juste dans ma chatte en pensant bien à vous. Tout à l’heure, à côté de mon mari endormi je me caresserai et enfoncerai un doigt dans mon anus qui sera, je l’espère bientôt à vous. Il me tarde trop !

Fessée déculottée, c’es demain !

Lundi presque 10h, je trouve la réponse tant attendue :

Eh, oui, moi aussi je sais rester longtemps sans te répondre. Je voulais te faire languir. Tu dois apprendre que c’est bien moi qui décide où, quand et, surtout comment…Demain 17h donc. Ne sois pas en retard ! Et tu peux venir habillée comme tu veux. De toutes façons je t’ai prévu pas mal de costumes et de surprises pour nos deux jours ensemble. J’ai lu que tu courrais. Prévois donc une tenue de sport aussi car j’ai bien l’intention de te promener le long du canal du midi où se croisent les maîtres de chiens et de chiennes…

Ma réponse :

Monsieur Christophe, merci, merci, merci de ne pas m’avoir oubliée. Je ne m’étends pas sur la réponse car c’st bien sur votre lit ou votre parquet que j’espère m’étendre demain. Et puis si je veux gratter cette journée sur mon boulo en milieu de semaine il faut que je bosse un peu dès maintenant. Vous n’imaginez pas combien j’ai hâte de venir mériter ma fessée déculottée. Je ferai de mon mieux pour ne pas vous décevoir…

Dernier message avant ma fessée déculottée :

Bon ma fessée déculottée c’est dans moins de 24h ! Je crois que j’ai tellement fantasmé sur ce plan cul que j’ai peur maintenant d’être déçue. J’éteins le blog pour 3 jours donc. Je reviendrai vous raconter comment ça s’est passé. Je pense que je vais avoir du mal à m’endormir ce soir.

Sexcam, 5 raisons d’aimer OKSANA

Salut aux lecteurs de ce blog et un grand merci à toi, belle Lucie, pour la page que tu m’offres ici. Je voudrais l’utiliser pour dire à tous combien j’aime vraiment mon métier d’hôtesse Sexcam. Bien sûr, ne nous cachons pas derrière notre petit doigt (qui est bien mieux ailleurs…), je le fais pour l’argent. Mais il n’y a pas que cela, j’aime passionnément mon métier et je pense que cela se sent dans ma façon de l’aborder. La sexcam, pour moi c’est vraiment du sexe, j’y mets tout mon cœur ! Pour les autres filles je ne sais pas mais j’ai bien du mal à imaginer que l’on puisse tenir longtemps et avoir du succès en sexcam sur internet si l’on simule ou si l’on ne le fait pas dans la bonne humeur. Internet et la webcam ça met déjà de la distance alors pour vraiment prendre du plaisir et en donner je ne pense pas que l’on puisse simuler. En tous cas moi je n’y arriverais pas !

Mais j’imagine que vous doutez, vous vous dites : »Moui, encore une qui essaie de faire passer sa vessie pour une lanterne. La sexcam c’est un truc de naze avec des fausses actrices porno ratées et souvent moches qui veulent rester bien planquées chez elles. La fille elle veut te faire croire que c’est Laure Sinclair et tu te retrouve en chat avec Régine ! »

Laissez moi vous convaincre du contraire, voici les 5 raisons pour lesquelles vous devez absolument venir me voir sur ma SexCam.

Raison numéro 1 de venir voir ma Sexcam : Les costumes

Depuis toujours j’adore me costumer. Pour moi un strip-tease n’est réussi que si les habits sont choisi avec soin, si chaque centimètre carré d’étoffe ou de cuir est parfait et ultra sexy.

Raison numéro 2 d’aimer ma Sexcam : Ma chambre

Je fais de la Sexcam de chez moi. Cette chambre, ce lit, c’est moi qui l’ai aménagé ainsi. Alors bien sûr nous ne nous rencontrerons sans doute jamais en vrai, je ne vais pas vous mentir. Mais en vous connectant à ma sexcam vous pénétrez un peu de mon intimité. Vous êtes dans ma chambre, sur mon lit. Je suis toute à vous et rien ne saurait me distraire de ce moment que je consacre corps et âme à nous deux. Mon corps et, à défaut du votre au moins votre regard, votre voix, vos instructions.

Raison numéro 3 d’aimer ma SexCam : Je ne simule pas !

Si vous doutez encore de ma sincérité je pense qu’un petit zoom sur ma chatte humide devrait vous convaincre. Je mouille vraiment et cela se voit ! Bon, attention, des fois ça ne marche pas. Si vraiment vous êtes trop passif et ne m’aidez pas en parlant sur le clavier vous verrez tout de suite que je m’ennuie un peu et nous n’irons pas bien loin. Mais pour celui qui sait me guider, pour celui qui sait se laisser aller, nous prendre mutuellement au jeu, alors cela peut devenir très humide, mes doigts ou le gode glissent tout seuls et vous pouvez vraiment me faire jouir !

Raison numéro 4 d’aimer ma sexcam : Je vous appartient !

En show privé je suis toute à vous, rien qu’à vous, une poupée docile à vos ordres. Guidez moi, commandez moi ! Bouche, sexe et anus peuvent être à vous si vous savez vous y prendre avec moi.

Raison numéro 5 de venir me voir : Moi !

Je pense être plutôt agréable à regarder, jugez plutôt :

sexcam oksana
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En plus l’inscription ainsi que l’essais sont gratuits ici. Alors pourquoi vous priver ? A très vite !

Contribution anonyme

Allez, une fois n’est pas coutume, je copie colle un texte qui n’est pas de moi sur le blog. Merci à ce contributeur qui reste anonyme !

Pour la bonne forme et parce que je reste persuadée que c’est une activité respectable et un deal correct je mets un lien vers un joli site de sexcam :

Y a t’il un homme qui n’ait jamais fantasmé sur cette femme à l’allure stricte, que l’on imagine prude et gênée face aux tentations de la chair ? Celle ci, qui éventuellement, sent ses joues rosir à la moindre idée inconvenante. Est t’il simplement concevable que cette femme, sur un coup de folie décide de briser les barrières rassurantes de sa routine conjugale ?

Cilia, je l’ai rencontré sur un site bien peu recommandé pour les femmes convenues (copine de sexe).

Pourtant respectée et respectable en temps que directrice à son travail, une envie irrésistible d’exhiber son corps la tiraillait dans son intimité. Sous couvert d’anonymat elle offrait des images et fragments de son anatomie tout en savourant le désir immédiat suscité chez la gente masculine.

Nous échangions fantasmes et clichés, de plus en plus fiévreux. Il est vrai que Cilia était une belle femme, la trentaine passée, sportive et aux courbes généreuses. La blondeur de son carré mi-long parfaitement accordée à ses tailleurs ainsi qu’à une lingerie très élégante.

Car la belle avait l’esprit malicieux et essayait régulièrement d’insuffler une touche de folie dans son couple sans beaucoup de réussite. Elle restait un amour sacré et presque vénéré au regard de son homme.

Les pensées adultères de la belle épouse s’articulaient sur la sensation de transgression et sur l’envie de découvrir un plaisir nouveau et intense, presque violent.

La rencontre se fit lors d’un déplacement pour formation. Pour calmer son angoisse elle m’avoua avoir préalablement commandé un whisky au bar. Mme la directrice, dans son tailleur noir, le teint empourpré dès lors qu’elle sentait mon regard glisser sur elle. Sa fragilité était touchante.

Je lui proposais d’esquiver les regards indiscrets, ce qu’elle accepta soulagée.

Dans l’ascenseur je me rapprochais enfin d’elle, la main sur sa taille, je la sentais presque trembler.

Nous rentrions dans la suite après quelques pas bien silencieux dans le couloir.

Je la débarrassais de son manteau pour la voir les mains jointes, un peu crispée mais arborant un sourire timide. Après m’être avancé je posais ma main sur sa taille et la guidais à reculons vers le mur. Une fois acculée, je me saisis de ses mains et les plaquais contre le mur. Je voyais sa poitrine s’élever alors que sa respiration s’accélérait, je savais d’avance ce désir chez ma partenaire de s’abandonner.

Je plongeais ma tête dans son cou pour y déposer quelques baisers et chuchoter quelques mots à son oreille : « tu es à moi pour cette nuit », avec pour réponse un simple soupir de consentement.

Alors que je rendais leur liberté à ses mains, elles virent parcourir mon dos et appliquer une pression pour m’attirer à elle.

Mon sexe gonflé exerçait une pression de plus en plus importante sur son ventre. Ma mains gauche caressait doucement le sein droit à travers le chemisier alors que ma main libre se glissait vers la précieuse culotte de Cilia. Je souris en sentant une petite auréole humide.

Quant à elle, Cilia n’était pas en reste, ses mains migraient agréablement vers mes fesses avant de se poser sur ma bosse comme pour répondre à mes attouchements. Je fis glisser sa veste ainsi que son pantalon au sol et déposais un chaste baiser sur ses lèvres.

L’excitation apportée par ces agréables caresses avait emportée toute appréhension.

Je poussais la belle vers le lit, admirant ces jambes dorées sublimées par une culotte de dentelle blanche. Elle se laissa tomber à reculons en pouffant de rire. Je lui ordonnais d’ouvrir les boutons de son chemisier puis m’avançais en retirant veste et pantalon.

Une fois au pied du lit je retirait doucement la dentelle qui couvrait son intimité et passait mes doigts entre ses lèvres pour en constater l’humidité. Un fin duvet blond couvrait son mont de vénus, je ne pouvais résister à l’envie de goûter et de parcourir sa fente du bout de la langue. Mon désir était impérieux, je dégageait ma queue de mon boxer et enfilais silencieusement une protection.

Minaudant qu’elle avait presque froid, je m’affalais sur l’ingénue, profitant de son souffle coupé je guidait mon gland entre ses nymphes et m’enfonçais lourdement. Cilia poussa un cri de surprise et moi un râle de délivrance. Son corps délicat se tordait, sa respiration anarchique s’entrecoupait de gémissements.

Les bras enserrant sa nuque et son dos je ne me retenais pas. Sa tête rejetée en arrière Cilia vibrait sous mon assaut, des soupirs de plaisir franchissaient ses lèvres. Avec un plaisir vicieux je lui demandais ce qu’elle ressentait en trompant son mari, quelques instant plus tard son corps répondit pour elle en se crispant, ses ongles laissant leurs marques sur ma peau. Cette douleur et la satisfaction de voir ses hoquets de plaisir suffirent à me faire perdre le contrôle, après quelques vas et viens je râlais de plaisir et la rejoignais dans son orgasme.

PS :

J’ai un peu romancé tout cela.. je pense pas être très doué dans ce domaine. Ça ne s’en est pas tout à fait arrêté là.

Première sodomie depuis longtemps

Première sodomie, la rencontre

Laissez moi vous compter ma première sodomie depuis bien longtemps. A vrai dire, cela fait tellement de temps que je n’ai pas été prise par derrière que j’ai l’impression d’être à nouveau vierge de l’anus ! J’avais donc été on ne peut plus explicite dans la rédaction de mon profil sur copine de sexe : « Coucou les mecs, je suis une jeune femme mariée mais encore vierge du cul. Je fantasme depuis toujours sur la sodomie mais n’ose pas en parler à mon mari qui est un peu vieux jeu. Problème : je l’aime et ne veux pas le quitter, ni même vraiment le tromper. Je voudrais juste, une fois, assumer mon fantasme d’une première sodomie pour pouvoir enfin penser à autre chose. Est-ce que cela intéresse quelqu’un sur ce site une vraie pucelle de l’anus qui recherche désespérément celui qui lui fera connaitre sa première sodomie près de Clermont Ferrand ? »

Bon, ok, vraie pucelle de l’anus et première sodomie sans préciser « depuis trois mois » était un mensonge. Mais un pieux mensonge, presque une demie vérité tant j’étais prête à me mettre dans la peau d’une vraie débutante.

Inutile de vous dire que mon annonce « première sodomie » eut un succès immédiat auprès de la gent masculine. Et pas uniquement d’ailleurs, une fille ayant répondu pour me proposer un plan à 3 avec son compagnon. Mon choix se portait vite sur René-Pierre, bel homme, la cinquantaine à peine, de la prestance et ce petit plus d’assurance que confère le viagra aux hommes de sa génération.

Pour l’occasion je m’étais confectionné un look de jeune bourgeoise traditionnelle à la Bree Van de Kamp dans Desperate Housewifes. Nous nous donnions rendez vous au restaurant de mon hôtel à Issoire, Puy-de-Dôme (63) en région d’Auvergne. Lors de nos échanges j’avais soufflé le chaud et le froid, feignant de n’être pas encore vraiment sure de moi. Je lui disais que je ne voulais pas lui faire perdre son temps, que j’acceptais un dîner mais que je n’étais vraiment pas certaine d’être capable d’aller au bout de mon fantasme. Je m’excusais par avance si au dernier moment je me refusais et je promettais, en échange, de payer le restaurant. Il m’avait bien sûr répondu qu’il était surpris, que j’avais pourtant l’air décidée dans mon annonce. Et là, je lui disais que, oui, j’en avais très envie. Et que la photo de son sexe en érection qu’il m’avait envoyée m’excitait (alors que franchement, c’est pas vraiment mon truc les selfies de vos teubs…). Mais que, comme c’était la première fois pour moi je ne pouvais garantir « honnêtement » que j’irai jusqu’au bout. Dans le même temps je lui envoyais une mini vidéo de mon index écartant mon string de dentelle blanche pour s’introduire dans mon anus.

Nous nous retrouvions donc au restaurant du Pariou, un hôtel que j’affectionne à Issoire et dont la cuisine est très correcte à mon goût. Assez peu attentif au menu c’est plutôt mes seins gonflant mon pull en cachemire que René-Pierre dévorait des yeux. La serveuse était un garçon et lui aussi semblait troublé par la contradiction entre ma tenue plutôt sage, mon serre tête en velours bordeaux et les regards mutins que je lui lançais à chaque fois qu’il regardait dans ma direction, c’est à dire très souvent… Mon rendez vous cherchait courageusement à meubler la conversation.

-« Donc, Laëtitia (c’était le prénom que je m’étais choisi pour l’occasion), vous, enfin tu habites la région ? »

-« Oui, enfin pas vraiment, à trois quart d’heure environ. Mais j’aime autant ne pas dire où. Si ça ne vous dérange pas. »

-« Ah non, pas du tout, je comprends, avec moi tu peux être tranquille question discrétion. Mais tu peux me tutoyer, vu qu’on va, je l’espère, être bientôt…disons…intimes. »

Je décidais de prolonger le suspense.

-« D’accord pour vous, enfin te, tutoyer alors. Quand à notre intimité prochaine cela reste à voir. Commandons d’abord notre dîner et une bonne bouteille, je sens que j’ai besoin de boire un peu pour me décider. »

Je m’emparais de la carte des vins et commandais la bouteille la plus chère. Un vin rouge à 33 euros dont je suis bien incapable de me souvenir le nom, encore moins le millésime nulle en œnologie que je suis. Pour bien lui signifier qu’il allait devoir patienter avant de me faire passer à la casserole je choisissais le menu à le plus complets avec cocktail, amuse bouche, entrée, plat, trilogie de fromages et dessert ! Comme j’avais annoncé que c’était moi qui invitait il ne pouvait que faire de même et prendre son mal en patience. Le dîner était pour moi délicieusement long. J’aime faire durer quand je sais la partie gagnée…De manière très prévisible mon invité me faisait du pied sous la table. Je ne retirais pas mon pied mais n’allais pas à son devant non plus. Malgré tout la conversation n’avait rien de laborieux. René-Pierre savait se montrer spirituel et faisait de son mieux pour faire semblant de s’intéresser à la vie de jeune bourgeoise catholique traditionnelle que je m’improvisais. Je me présentais comme timide, inexpérimentée mais en même temps pleine de fantasmes depuis que j’avais découvert sur internet des vidéos de sodomie qui me fascinaient bien malgré moi.

Première sodomie, le râteau…ou pas…

-« Enfin, quand même, j’ai un peu de mal à te comprendre. Tu es attachée au symbole du mariage, tu ne veux pas tromper ton mari mais en même temps tu mattes des vidéos porno de dépucelage anal et du t’inscrit sur un site de rencontre à plan cul pour découvrir les joies de la sodomie. Ta première sodomie tu dis ? Soit tu me prends pour un débile, soit tu es complètement dérangée. »

-« Bin oui, je sais que c’est assez difficile à croire. D’ailleurs, pour tout t’avouer je ne sais plus trop où j’en suis. Mais je ne te prends vraiment pas pour un débile. Je suis juste un peu perdue. Excuse moi si finalement je me dégonfle. J’espère que tu ne m’en veux pas. En tous cas j’aurais passé une merveilleuse soirée ».

Quelle joie perverse de voir sa mine toute déconfite au moment où je demandais l’addition. Pourtant en vrai gentleman il ne me fit pas de scène. Il me proposais même de payer sa part. Ce que je refusais catégoriquement, notant mon numéro de chambre et signant la note. Je le raccompagnais à sa voiture sur le parking juste derrière la salle de restaurant.

-« Bon, au revoir alors Laëtitia. Je ne te comprends pas mais je respecte ton… »

Je le plaquais contre la portière de son Audi Q3 et l’embrassais à pleine bouche. « Et puis zut ! j’en ai trop envie. Allez, on le fait, attends quelques minutes et rejoins moi chambre 206. »

Je me sauvais en courant vers le bâtiment de l’autre côté du parking où était ma chambre.

Pas facile quand on est une dingue de cul comme moi de faire la jeune bourgeoise inexpérimentée un peu timide. Une fois dans ma chambre je cherchais un moyen de lui laisser prendre la direction des opérations. Je décidais de m’étendre toute habillée sur le ventre, les deux coussins du lit sous mon ventre. J’attendais de l’entendre ouvrir la porte pour relever maladroitement ma jupe découvrant mes belles fesses que couvrait toujours mes collants noirs.

Je gardais les yeux fermés, entendais la porte se refermer et ses pas se diriger vers le lit où je restais immobile, les jambes serrées mais les fesses relevées par les coussins sous mon ventre. Après des semaines d’abstinence complète la sensation de sa main remontant le long de mon mollet était incroyable. Il n’en était pas encore à la cuisse, juste derrière le genou que je frissonnais déjà. Frisson qu’il dut mal interpréter car au lieux de continuer à remonter sa main il redescendait sa main effleurant à peine le nylon sur mon mollet.

Je décidai de l’encourager quand même un peu : -« S’il te plait, ne dis rien…Mais continue. »

Deux mains cette fois sur chacune de mes chevilles. Il enlève mes souliers vernis qu’il laisse tomber au sol. Des baisers légèrement déposés sur mes talons et ses main qui remontent par l’intérieur des mollets. Il prend son temps, embrasse à pleine bouche à travers le nylon, d’abord mes chevilles puis un peu plus haut. Ses mains sont à nouveaux à la pliure des genoux. Il les écarte mais je résiste gardant mes cuisses serrées. Je veux le plus possible retarder le moment où il s’apercevra que je mouille comme en réalité comme une grosse cochonne en chaleur. Heureusement, il est encore un peu timide et ne se presse pas. Je sens ses doigts qui progressent le long de mes cuisses. Il les fait marcher comme deux petits soldats montant bravement à l’assaut de mon cul. Je tremble un peu à force de serrer les cuisses luttant contre mon désir naturel d’au contraire les écarter pour le laisser accéder à mon clitoris. Ca y est, il est juste là où la cuisse rejoint la fesse. Il s’y attarde caressant du bout des ongles mes fesses fermes et rebondies. Je me laisse un peu aller écartant imperceptiblement les cuisses lorsque je sens ses lèvres se poser mon cul à travers le fin nylon de mes collants. Je ne peux m’empêcher diriger mes mains vers l’endroit où je devine que se trouve sa tête. J’aimerais lui plaquer la tête contre mon cul afin qu’il me bouffe enfin mais je résiste et m’accroche à mon personnage de bourgeoise salope mais encore timide, me contentant de lui caresser maladroitement les cheveux. Comme j’ai légèrement écarté les cuisses je sens sa main qui remonte jusqu’à mon clito. Il caresse et presse à travers mon collant. Je me cambre imperceptiblement et lâche un petit gémissement. Deux doigts pressent un peu plus, écartant ma fente à travers le tissus. Je sens que je mouille et je suis certaines qu’il ne peut plus l’ignorer même avec le collant. Il me le confirme d’ailleurs : »Dis donc petite bourgeoise, ça m’a l’air tout bien humide là dedans… »

-« Humm, oui, t’arrête pas… »

Il continue à me caresser à travers le tissus. Je n’en peux plus et aussi il faut avouer que le contact du nylon m’irrite un peu. Je lâche sa tête pour venir déchirer des deux mains mon collant au niveau de ma chatte. Aussitôt je sens deux doigts pénétrer mon sexe brulant. Je me cambre pour aller à sa rencontre. Il élargi assez franchement maintenant le trou dans mon collant. Le bruit du nylon qui se déchire m’excite au plus haut point. Tout en continuant à me masturber je sens qu’il essaie de joindre sa langue à ses doigts. Je devine que de l’autre main il défait son pantalon. Enfin je l’espère tout du moins !

A ce stade je pourrais me retourner et me laisser aller à l’embrasser pour le sucer comme j’aime tant le faire d’habitude. Mais je n’en fais rien. Je décide d’être jusqu’au bout la petite bourgeoise salope mais un tantinet passive que j’ai décider d’être pour ma fausse première sodomie. Je me contente de timides gémissements de plaisirs comme si j’avais honte de ce qui m’arrive. J’ondule consciencieusement à chaque va et vient des ses doigts. Pourtant il retire sa main et s’écarte un peu de moi. Qu’ai-je fait de mal ? Je ne sens plus son contact et n’ose pas me retourner.

-« T’inquiète ma jolie. Surtout tu ne bouge pas, il faut que j’enfile vite un truc si tu vois ce que je veux dire… »

Ouf, ça c’est une fort bonne nouvelle ! D’habitude c’est moi qui aborde le sujet mais là, dans mon personnage de bourgeoise timide candidate à sa première sodomie je ne savais pas trop comment placer la demande de préservatif sans rompre le charme.

Mais là, le charme n’est pas du tout rompu. Il revient presque aussitôt pour plonger son sexe dans ma chatte. Quand la queue est longue la levrette est bien ma position favorite. Et, pour une fois, je suis gâtée. Non seulement il l’a longue mais il sait merveilleusement s’en servir en de longs allers retours juste lents comme j’aime. La vache c’est tellement bon que j’en oublierais presque ce pour quoi je lui ai donné rendez vous. Heureusement tout est dans le presque. Entre deux gémissements je parviens à lui dire : »S’il te plait, t’oublie pas l’autre trou hein ? ».

-« Sois pas pressée, jolie poupée, tout vient à point à qui sait attendre ».

Immanquablement « jolie poupée » me fait penser à ce chanteur ringard de mon enfance. Allez, on se -concentre ! Je chasse Bernard Menez de ma tête et je serre les muscles secrets de ma chatte comme je m’entraine à le faire en secret depuis presque un an maintenant. L’effet de surprise est immédiat chez mon partenaire : »Han, mais t’es pas si inexpérimentée que ça ma cochonne ! »

Moi : »Heu, en fait je m’entraine en secret. Mais c’est ma première fois avec un vrai heu…sexe. »

Il continue sa levrette de professionnel mais maintenant en restant plus enfoncé en moi. Ce que je lui fais avec mon vagin semble lui plaise au plus haut point. Je sens une gelée froide sur la raie de mon cul et je devine qu’il a fort à propos pensé au lubrifiant. D’ailleurs, si sa pine est toujours à la même place je sens un doigt dans mon cul qui prépare délicieusement le terrain.

Il prend son temps mais moi je jouis déjà à répétition comme une folle : » Han haaaan, c’est bon, s’il te plait oublie pas mon cul, oublie pas mon cul, je t’en supplie ! »

Mais il fait durer, claque mes fesses, change de doigt. J’ai l’impression qu’il se fout de moi en me mettant au supplice ainsi sans me donner ce que je suis venu chercher.

Quand sa bite pénètre enfin mon anus distendu la douleur inévitable est comme une délivrance pour moi. Je hurle. C’est assez indescriptible. J’ai l’impression que mon corps se réduit à mon anus rempli par son sexe et à mon cul pilonné par ses abdominaux. Il est sur moi, me tire par les cheveux en même temps qu’il me prend violement. J’ai un main dans ma chatte pour me caresser en même temps et l’autre qui s’accroche au bord du martelât. Je hurle dans les aigus à réveiller tout l’hôtel mais je n’en ai rien à foutre, pourvu qu’il continue, lui, à me foutre sauvagement.

Quand il jouit et se retire je ne sens plus mon anus. Par contre j’ai un peu mal aux cheveux qu’il a tiré comme un fou furieux. Je fais semblant de sangloter en espérant être suffisamment bonne actrice lorsque je lui demande de partir et de ne plus jamais me recontacter.

Je ne sais pas s’il a cru à mon histoire mais il s’est vite rhabillé et a docilement quitté la chambre.

Si vous avez aimé lire ce récit de ma fausse première sodomie jusqu’au bout alors vous apprécierez peut être de voir une jolie salope jouir pas le cul rien que pour vous dans ce qui n’est sans doute pas sa première sodomie. Je connais un peu « Olalafox », pour l’avoir interviewvé pour un article à venir. Recherchez la sur PureLive, je ne pense pas que vous soyez déçus. L’inscription est gratuite et, comme je l’écris souvent, au moins en liveshow il n’y a pas l’arnaque des sites de rencontres truffés de faux profils et plein de promesses non tenues. Fêtes vous plaisir, c’est encore un peu noël, achetez quelques jetons même pourquoi pas. Soyez un peu fous !

olalafox n'en est peut être pas à sa première sodomie mais elle est fraiche !
première sodomie cette bourgeoise ?

Ma bouche pour sucer

Touchée par le nombre de commentaires et de likes sur ce que je vous ai écrit sur mon petit cul j’ai décidé de récidiver avec ma bouche qui ne suce pas que des glaçons.

Ainsi donc j’imagine tout ce que je peux faire pour toi avec ma belle bouche à pipe. Enfin, si je peux te tutoyer. Je peux ? super, tu es un amour ! Tout d’abord tu dois savoir que je prends un soin particulier de ma bouche. En premier lieu mes lèvres sont pour toi toujours soulignées d’un rouge brillant qui les rend pulpeuses à souhait. J’ai des seins plutôt bien proportionnés. Ils tiennent tout seuls malgré un bon bonnet C, presque D et si je veux que tu lèves un peu les yeux sur mon visage il faut bien que je prenne soin de l’apparence de cette bouche qui elle aussi sera toute à toi. Derrière mes lèvres il y a deux rangées de petites dents nacrées. j’aime à penser qu’elle font un très joli collier autour de ta bite.

Si tu me sors dans un restaurant chic saches que je saurai me pendre à ton épaule pour déposer, légèrement indécente, un baiser mouillé sur ton cou. J’aime alors presser mes lèvres et les ouvrir légèrement pour passer, ni vue ni connue, le bout de ma langue et gouter ta peau. J’aime suçoter un tas de choses lorsque je suis avec toi en public. Cela peut être, distraitement une branche de mes lunettes pendant que tu me parles. J’aime aussi mordre ma lèvre inférieure pour montrer que j’aime le contact de ton pied sur mon mollet sous la table. Chaque fois que mes lèvres se ferment sur un aliment je prends soin à ce que tu puisse imaginer que bientôt je vais te sucer comme tu l’as rarement été. A cet instant tu ne sais pas encore ce dont je suis capable avec mes lèvres et ma langue mais tu as déjà compris que je suis une fille qui suce. Je te l’ai chuchoté juste assez fort pour que nos voisins de table l’entendent aussi : »J’ai très envie de ne pas prendre de dessert pour pouvoir monter dans la chambre. J’ai trop envie de te sucer ! »

Par dessus la table je peux prendre ta main et porter ton pouce à ma bouche. Je serre bien fort, aspire et tourne ma langue autour du doigt en te regardant droit dans les yeux. Demande vite l’addition que l’on passe aux choses sérieuses ! Cette fois pas d’ascenseur, ma chambre est au ré de Chaussée, du restaurant il n’y a qu’un grand couloir à traverser. Avant de nous retrouver seuls j’aimerais que tu me plaques contre la porte de la chambre pour me rouler un énorme patin. Je veux te dévorer les lèvres, embrasser à pleine bouche tendis que tu passes la main sous ma jupe pour remonter à ma culotte où t’attend ma chatte gonflée de désir. Je continue à embrasser, humide en haut comme en bas. J’aime tes doigts experts qui écartent le tissus pour s’introduire et me fouiller aussi habillement que je tourne ma langue dans ta bouche.

Mais comme du monde arrive dans le couloir et que tu es moins impudique que moi tu ouvre la porte et me pousse à l’intérieur. Tu t’assois sur le canapé de notre grande chambre et me laisse faire. A genoux par terre je déboucle ta ceinture et m’attaque à la fermeture éclair de ton pantalon. Je dégage vite ta queue pour la prendre directement en bouche. J’ai sucer ainsi, toute habillée, concentrée uniquement sur ta queue entre mes lèvres, Je lève les yeux vers toi, reconnaissante et soumise. Je fais ma bonne pute gratuite et, franchement, j’aime ça. J’aime aussi tes encouragements et ta main, ferme mais pas brusque sur ma nuque. Tu me dis que je suis belle, que tu n’attendais que moi, tu me dis que je suis celle, juste faite pour tes bras. Ah non, merde, ça c’est du Patricia Kaas, rien à voir. Bon allez, pardon, je me concentre, je m’applique et je suce. Toi tu m’encourages : »Bien, tu es une bonne petite chienne, continues comme ça, suce bien…Allez, plus profond ma salope, fait bien ta pute. Tu l’aime hein ma queue. »

Ca oui, je l’aime. Mais maintenant je la veux déjà dans ma chatte. Tout en continuant à sucer je défais à tâtons tes lacets et enlève tes chaussures. C’est moins facile que ça en à l’air de faire cela sans lâcher ton sexe turgescent de ma bouche. Je dois bien serrer les lèvres et aspirer. Tu te débarrasses de ta chemise et je baisse ma jupe sans m’arrêter de sucer. Parviendra-t-on à nous mettre nus sans que ta bite ne sorte de ma bouche ? Tu le sauras peut être demain, si je n’ai pas trop la flemme de t’en écrire plus.

si j’ai compris comment ça marche la nana ci dessous est connectée, il suffit de cliquer…

Fellation, ma première vraie fois

fellation
entrainement à la fellation

Sur la photo ce n’est pas moi. Mais ça aurait pu, à cette époque. C’est Reylene sur live18ans !

 

 

Coincée à la maison sans espoir de plan cul à court terme il me reste mes doigts, et l’évocation des jours meilleurs. Ainsi je me souvient de ma première vraie fellation. J’entend par vraie fellation la première fois où j’y ai pris plaisir, où j’y ai mis tout mon cœur, cherchant à faire jouir mon amant avec ma bouche et à lui donner le plus de plaisir possible. Cette fois où je me suis promis de devenir la meilleure suceuse de bite possible. Promesse que la routine du mariage et, avouons le, pour un temps l’amour, m’ont fait oublier quelques années.

J’avais dix neuf ans, presque vingt, c’était l’hivers. Je m’en souviens car mon école de commerce avait organisé une semaine de ski à Superbagnères, près de Luchon. A cette époque je sortais avec Frank, un camarade de promo que je considérais comme un Sex Friend mais qui s’attachait un peu trop à mon goût. Bon, avec le recul je pense qu’il était même complètement amoureux. Il s’était arrangé pour qu’il soit admis dans la promo que nous étions ensemble et nous faisions donc chambre commune pour ce séjour. Cela à sa grande satisfaction. Moi j’étais un peu contrariée mais décidais de faire contre mauvaise fortune bon cœur. Je le laissais me baiser les trois premières nuits. Ce n’était pas désagréable, il semblait redécouvrir mon corps à chaque fois. Frank s’appliquait et fourrait sa langue partout. Dans ma chatte bien sûr mais aussi mes oreilles, entre mes doigts de pieds et jusque sous mes bras. Las, cette débauche de préliminaires labiaux était surtout là pour compenser un sexe de modeste taille et une éjaculation à la limite du précoce. Aussi je faisais de mon mieux pour jouir de sa langue experte en pressant son visage contre mon con, enserrant sa tête entre mes cuisses fermes et longilignes d’étudiante dégingandée. Un après midi pourtant, je le trompais. Enfin, le considérant depuis le début comme un Sex Friend je n’avais pas le sentiment de commettre un adultère. Bref, dans l’auberge où nous étions le cuisinier avait notre âge mais, forcément, était d’un autre milieu social que la plupart des petits cons de mon école. J’ai vite vu que l’afflux de jeunes étudiantes dans l’établissement provoquait un autre afflux au niveau de son entrejambe. Même entr’aperçu au moment des repas, le soir, j’avais l’impression qu’il était bien mieux monté que mon Frank et dans les bras de l’un, je fantasmais sur l’autre.

 

Première vraie fellation

Il fut d’une facilité déconcertante de rester un après midi seule à l’auberge et d’amener le jeune homme dans ma chambre. Il m’embrassait, glissant un main calleuse sous mon pull pour masser mes gros seins. Pas violent mais ferme, me plaquant contre la porte de la chambre à peine celle ci refermée. A travers le pantalon de toile je sentais son machin contre ma cuisse. Je voulais moi aussi le caresser mais il tenait mes poignets en l’air au dessus de ma tête en même temps qu’il dévorait ma bouche. C’est lui qui a défait son pantalon pour en sortir le braquemard. Je ne m’étais pas trompée, joliment monté l’animal. Faible de mon expérience avec Frank je m’attendais à ce qu’il perde contrôle et éjacule à tout instant. Mais surtout, j’avais envie comme jamais d’avaler cette fabuleuse colonne de chair et d’en savourer chaque centimètre, chaque veine pour m’en souvenir à tout jamais le mot fellation prenait dans mon esprit enfin tout son sens. J’enlevais mon pull, j’avais prévu le coup et n’avais rien mis dessous bien sûr. Je m’agenouillais défaisais vite ses lacets enlevais chaussures et chaussettes pour le débarrasser vite de son falzar. Je le voulais nu, au moins de la taille aux doigts de pieds. Enfin je prenais sa grosse queue dans mes mains. Je ne savais trop comment la tenir et étais totalement fascinée. J’avais envie de bien faire, d’exceller. Lui, déboutonnait sa chemise sans hâte pour se mettre complètement nu. Singeant maladroitement les scènes de fellation que j’avais vu sur des vidéos porno, je léchais ses couilles en commençant à le branler.

-« Attend, cocotte, viens, on va se mettre à l’aise. »

Cocotte, on ne m’avait jamais appelée ainsi ! Mais je me laissais entrainer sur le lit. Lui sur le dos, les bras derrière la nuque heureux comme un enfant allongé dans l’herbe, le sexe dressé, mât d’un improbable voilier. Moi à genoux, à côté de lui, posant enfin mes lèvres sur son gland décalotté. J’avais toujours ma jupe, un string blanc, et des socquettes mais cela ne semblait pas le gêner. Je sentais sa main ferme et adroite écarter le string pour enfoncer un doigt fort bienvenu. Comme je l’ai dit, j’avais déjà sucé quelques fois. Mais cela avait été rapide, juste pour la forme. Là je goutais le vrai plaisir d’un sexe gonflé entre mes lèvres pour une vraie fellation. Je gardais les deux mains en prolongement en avançant ma bouche. Plus son sexe progressait dans ma bouche plus je me sentais bien, juste heureuse. Maladroitement sans doute mais avec l’enthousiasme et la bonne volonté d’une débutante j’essayais un peu toutes les façons que je pouvais imaginer de le sucer. Par le coté en le branlant avec ma bouche, le léchant ensuite comme un esquimau. Je marquais le haut de ses cuisses de gros suçons et prenais ses couilles en aspirant délicatement. Je tentais une branlette espagnole avec mes seins mais la position ne semblait pas se prêter à la cravate de notaire et j’étais encore trop débutante ou timide pour lui demander de se relever un peu. J’avais pleinement conscience qu’il fouillait toujours ma chatte trempée sous mon string mais cela m’importait peu, j’avais tellement envie de le garder ainsi en bouche que j’en oubliait mon plaisir et ne me souciais aucunement d’avoir un orgasme. Je ne sais pas combien de temps cette fellation a duré. Avec le recul je pense même que ce n’était finalement pas très long. Mais qu’importe, cet après midi là j’avais l’impression d’être la reine des suceuses. Championne du monde, que dis-je, de l’univers ! Prix Nobel de fellation, au moins !

Trop d’hommes me repoussent quand la fellation dure trop longtemps ils ont peur d’éjaculer et comme il veulent absolument montrer qu’ils peuvent me ramoner la chatte ou m’enculer ils oublient de juste profiter d’une bonne pipe sans se poser de question. Mais, heureusement, ce n’était pas son cas. Il recoiffait mes cheveux sur le côté pour mieux voir mon visage en train d’aspirer sa queue, il me laissait aller au rythme que je voulais tout en accompagnant mon va et vient d’une main ferme juste comme il faut sur ma nuque. Surtout il a déchargé son foutre sans prévenir ! Pressant ma nuque un peu plus fort pour éjaculer dans ma bouche. Le goût, légèrement salé ne m’a pas surprise. J’étais juste aux anges, en paix et si contente et reconnaissante qu’il n’ait pas cherché à me baiser la première fois. J’ai continué à sucer lentement jusqu’à ce qu’il débande complètement. Il gardait un doigt dans ma chatte mais ne le bougeait plus. C’était encore le début d’après midi, je me suis blottie contre lui pour une petite sieste. Quand le chahut des autres rentrant de ski nous a réveillé il s’est vite rhabillé sans que j’ai à le lui demander.

J’ai alors pris mon courage à deux mains pour lui parler : »Dis, est-ce que je peux te demander quelque chose ? »

-« Tu ne veux pas que ton petit ami le sache hein ? t’inquiète ! »

-« Ah, non, ça j’en ai rien à fiche. C’est juste… Je voulais te demander si je peux dormir chez toi jusqu’à la fin de la semaine ? »

Ce fut le meilleur séjour de ski que j’ai jamais vécu, même si j’ai plus progressé en fellation qu’en glisse !

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