La gifle avant la fessée, rentrée sexy mais hard

La gifle est partie sans prévenir, vous étiez assis derrière votre bureau la minute d’avant, j’écoutais distraite le ronronnement monotone de votre voix de directeur de Lycée.

-« Cela vous apprendra à ne pas m’écouter ! Convenez que vous ne l’avez pas volée cette gifle Mademoiselle Bayeul ! »

J’ai la joue en feu. Autant la fessée m’excite, autant être prise ainsi à la volée est surprenant et douloureux. Je m’attends au pire pour le sale quart d’heure à venir et pourtant je mouille déjà comme une folle.

Pour cette rentrée j’ai sorti mon plus beau costume de lycéenne sexy. Je m’attendais à être mieux traitée même pour un cours très particulier. Ma jupe est de tweed à carreaux. Ma chemise blanche déboutonnée, juste nouée en bas dévoile mes beaux seins (85C) qui débordent presque d’un bustier trop étroit. Mes chaussettes sont montantes jusqu’aux genoux et mes souliers vernis noirs ont d’épais talons qui me font paraitre encore plus grande que je ne suis déjà. J’ai deux belles tresses qui, tout comme moi, ne demandent qu’à être tirées. Une culotte de coton immaculée qu’il ne tient qu’à vous de baisser, ou mieux, d’écarter sur le côté. Cette année vous m’avez convoquée le tout premier jour pour bien mettre les choses au clair. Je vais devoir être bien sage et très gentille avec vous si je ne veux pas tripler ma terminale. Je suis debout, les mains derrière le dos et vous écoute l’air contrit.

-« Qu’est-ce que je viens de dire mademoiselle Bayeul ! »

Hein ?! En fait je n’écoutais pas du tout. Je m’appliquais jute à faire ma mine contrite. Votre blabla sur le travail, la discipline et le comportement exemplaire attendu de moi me passait complètement par dessus la tête.

-« Heu…Vous disiez que je devais apprendre mes leçons ? »

Et c’est là qu’a surgit la gifle. Violente et inattendue, faisant tomber mes fines lunettes de vue sur le parquet usé sous votre bureau.

-« Voilà, exactement ce que je dis, vous n’écoutez rien à ce que l’on vous dit. Je le vois bien à votre regard vide, Mademoiselle Bayeul… »

Je baisse les yeux.

-« Pas de ce petit jeu avec moi mademoiselle ! Regardez moi ! »

Je relève les yeux où perlent de vraie larmes.

-« Pas la peine de me faire vos yeux de Bambi, cela ne prend pas avec moi. Vous avez le regard vide d’une vache ! Et ramassez moi donc vos lunettes grande maladroite ! »

Le temps que je m’agenouille pour chercher à tâtons ma paire de lunette qui a glissé sous votre bureau vous en avez rapidement fait le tour tout en déboutonnant votre pantalon sans fausse pudeur. Lorsque je relève la tête c’est une autre paire que j’ai sous les yeux. Surmontée d’un appendice qui tient plus de la trompe que du nez. Vous commencez tout juste à bander et si la taille est impressionnante la légère courbe et la mollesse que je devine laisse imaginer qu’il reste encore un beau potentiel à votre engin.

-« Tu vois idiote, tu te crois jolie mais tu es encore loin de m’exciter comme tu devrais ! Bon, tu as le regard vide, autant que tu te remplisses un peu la bouche… »

Je remets mes lunettes sur mes yeux rouges. Je retiens mes larmes et ma voix tremble.

-« Non, s’il vous plait. Je promets d’être bonne élève cette année. S’il vous plait non. » Je recule ma tête mais n’ose pas me relever.

-« Hein !? Comment ça non ? Tu t’habilles comme une pute et tu ne veux pas sucer ! »

-« Mais c’est l’uniforme du lycée, c’est vous qui m’avez dit de m’habiller ainsi. »

-« Encore mieux, voilà qu’elle me répond ! On aura tout entendu ! »

Vous me prenez sans ménagement par les cheveux pour me relever et me plaquez sur le bureau.

-« Je peux t’assurer qu’avec ce que tu vas prendre tu vas regretter de ne pas m’avoir sucer tout de suite ! »

C’est maintenant sur mes fesses que pleuvent les gifles. J’essaie, par réflexe de me relever mais votre main ferme entre mes omoplates m’en empêchent.

-« Pour le moment ce n’est que ma main, je te conseille de te tenir tranquille si tu ne veux pas que je change d’instrument. Regarde un peu sous le bureau de là où tu es pour voir ce que je veux dire. »

Et là, je n’ai d’un coup plus du tout envie de jouer. La collection de martinets et autres planches cloutée accrochée sous votre bureau me glace le sang d’un coup. Tétanisée je n’ose plus faire un geste.

-« Je vois que mademoiselle est décidée à être raisonnable. C’est bien, tu es une bonne fille, tu comprends vite. »

Vous avez relevé ma culotte, baissé ma culotte au milieu de mes cuisses et me fessez copieusement. Je me retiens de crier à chaque coup mais me force à ne pas essayer d’échapper à vos coups tant j’ai peur que le jeu auquel j’étais initialement consentante ne vire à un mauvais plan.

-« Tu as lu cinquante nuances de gris ? »

La question, incongrue, me prend complètement de court.

-« Heu…non. »

-« Moi non plus et j’en ai rien à foutre ! Mais en tous cas cinquante c’est bien le nombre de fessées que tu as gagné en refusant de sucer ma bite petite conne ! Et c’est toi qui va les compter. A rebours. Et te retiens pas, je veux t’entendre crier un peu. »

Votre main s’abat à plat sur le haut de mes cuisses, juste sous les fesses.

-« Aie ! cinquante »

-« Plus fort connasse, pas très convaincant ce aie »

La fessée suivante fait plus que frôler me fesses par le côté.

-« Han ! Quarante neuf »

Retour sur la même fesse

-« Han ! Quarante huit »

Soit plus convaincante quand tu gueules sinon je vais être obligé de changer d’ustensile. Si tu vois ce que je veux dire. »

-« Han, non, pitié, han, aah, quarante sept, quarante six, quarante cinq. »

La série suivante vient à plat, sans aucun ménagement. Je continue à crier et à tenir le décompte de ma punition. On a passé la moitié, à vingt je sens votre main remonter entre mes cuisses meurtries jusqu’à ma chatte.

-« Mais c’est que tu mouilles quand même comme une grosse salope ma cochonne ! »

-« Je ne devrais pas mais je suis trop gentil. Allez, fini la fessée, on va s’occuper de te consoler un peu ! »

La pine que je sens entrer en moi comme dans du beure est un réel soulagement. Je me cambre et tend mon sexe vers cette levrette salvatrice. Vous y allez sans ménagement mais après la fessée déculottée que je viens de prendre votre longue queue emplissant mon vagin me fait l’effet d’un grand soulagement. Après les cris de douleur viennent les gémissement de plaisir : »Ouiiiii, hummmmm ! » Et pourtant je pleure encore, peut être de honte et d’humiliation d’avoir tant envie de votre queue malgré ce que vous m’avez fait subir.

En même temps que vous me ramonez en levrette sur le bureau vous enfoncez un pouce dans mon anus qui commence à se distendre. Mes fesses ne sont plus qu’une immense zone de douleur au moment où votre chibre force mon anus je ne me contracte pas pour l’empêcher d’entrer. Je ne m’étais pas trompé, une fois bien dure elle je sens bien qu’elle est de taille. Chaque coup de butoir endolori mes fesses un peu plus. Je pleure toujours mais j’aime en même temps sentir votre vigueur en moi. Ma chatte frotte contre le bois du bureau. Je mets ma main autant pour me protéger que pour me caresser en même temps.

-« C’est mieux, je crois qu’on va bien s’entendre tous les deux cette année. Faudra revenir me voir souvent Mademoiselle Lucie. Hein ? »

-« Oui, monsieur, quand vous voudrez han han, monsieur le directeur ».

-« Bien sûr, quand je veux ! mais je compte aussi sur vous pour me surprendre et que je n’ai pas besoin de vous convoquer pour que vous veniez à mon bureau régulièrement. Très régulièrement ! »

-« Oui, promis, han han d’accord, c’est promis, juré, haaaan ! ».

-« Allez, c’est bon pour cette fois, vous pouvez disposer. »

Vous sortez de mon cul aussi vite que vous y êtes entré, remettez en place ma culotte et ma jupe.

Je me relève du bureau. C’est étrange de vous voir me donner ainsi congé le pantalon toujours baissé, le sexe encore bien au garde à vous. Interloquée je me dirige vers la porte de votre bureau. Je constate, surprise, qu’elle est restée entr’ouverte tout le long de ma convocation.

-« Mademoiselle Bayeul ! »

Aie, je me disais bien…Je me retourne :-« Oui monsieur le directeur ? »

-« Dites donc, vous êtes sure que vous n’oubliez rien ? »

Je reviens sur mes pas, m’agenouille docile et avale votre queue.

-« C’est bien, j’aime mieux ça, regardez moi bien en même temps… »

Je suce avec application, les yeux levés vers vous derrière mes lunettes. Vous êtes adossé au bureau, tenant mes deux tresses dans un poing, l’autre main derrière ma nuque. Je vous suce et vous masturbe en même temps. J’aspire à fond, presse de la langue, je serre les lèvre, mon va et vient n’est ni trop lent ni trop rapide. Lorsque vous écartez ma tête c’est pour éjaculer sur les verres de mes lunettes.

-« Maintenant vous pouvez y aller. Ne touchez à rien, vous nettoierez vos lunettes en dehors de mon bureau. »

Je sais que si je sors les lunette ainsi souillée je risque de croiser des camarades de classe dans le couloir. Mais je n’ose pas désobéir, aussi je sors m’efforçant de garder la tête haute…Du moins jusqu’à la prochaine fois.

Frisson X et plan Q du vendredi

C’est vendredi. Il faut être chez la nounou avant 18h00 et le week-end s’annonce long et dur. Adjectifs qui, pour une fois, ne sont pas synonymes de frisson x pour mon petit cul mais bien d’un profond ennui avec monsieur mon mari.

En finissant vers seize heures trente je peux donner rendez vous à mon plan cul trouvé sur hard Messenger à quelques rues du bureau. Je monte dans ta voiture. Je me suis assurée à l’avance qu’elle est de marque, intérieur cuir. Cela me fait toujours de l’effet. Nous n’avons qu’une petite demi heure mais c’est exactement ce qui me convient pour ce frisson rapide de fin de semaine. A peine as tu démarré que je prends ta main pour la glisser sous ma jupe. L’été fini j’ai remis les collants, mais sans culotte bien sûr ! Tu conduits, concentré sur le trafic de cette fin de vendredi. Je presse ta main sur le nylon et tu sens ma chatte gonflée de désir à travers ce collant qui te fait obstacle. J’aime cela, je serre les cuisses pour emprisonner ta main, mes ongles s’enfoncent sur ton avant bras. Tu bouges les doigts et presses comme tu peux mais mes cuisses sont serrées et le nylon te fait toujours obstacle. Pourtant ma mouille commence à monter et tu peux sentir la chaleur humide autour de ta main, deviner que tes doigts s’humidifient. C’est bon, j’aimerais faire durer mais nous n’avons que peu de temps. Je relève ma jupe, décroise les jambes et déchire moi même l’entrejambes de mes collants. Ta main sera mon gode. Dieu que c’est bon ! Ton doigt s’enfonce, caresse et fouille. Je mords ma lèvre, m’accroche à ton bras.

Je me penche à ton oreille : »Sors vite ta bite, je veux sucer. »

Dans la ligne droite tu calles le volant avec ton genou, défais ta ceinture de la main libre et libère une queue droite et longue. Je me contorsionne pour me pencher en gardant ta main prisonnière de mes cuisses à nouveau serrées. La manœuvre est osée mais le route est droite et le régulateur de vitesse callé à 96. Voilà, là je te prends en bouche. Tu n’imagines pas comme j’aime sucer. Ta colonne de chair qui empli ma bouche est pour moi le plus délicieux des gouters. Je bouge le bassin pour accompagner ta main experte. Depuis quelques mois je m’entraine en cachette à contrôler les muscles de mon vagin. C’est encore balbutiant mais j’arrive à accentuer un peu ou relâcher la pression autour des deux doigts bien enfoncés. Je vais et viens en même temps avec ma bouche. Je suce, j’aspire, je presse mes lèvres, tourne la langue. J’expulse ton chibre un instant pour te parler : »T’arrête pas, branle ma chatte, fais moi jouir, mets y trois doigts, continues ! ». Je suces tes couilles et reprends ta queue à fond en bouche. Tout s’accélère, je te prends en gorge profonde jusqu’à la garde, te recraches, te reprends, de plus en plus vite. Je serre encore les cuisses contre ta main. Je voudrais crier mais ma bouche est pleine. Putain, ça y est, je joui, j’ai reculé ma tête pour crier : « haaaaaannnn ! la vache, la vache, putain, putain encore, c’est bon, tu me fait jouiiir ! ». Je reprends ta queue à pleine bouche juste avant que tu n’éjacules abondamment. Ma bouche est pleine de ta queue encore ferme et de ton foutre qui gonfle mes joues. J’avale et je suce encore. Je presse bien les lèvres et la langue pour recueillir jusqu’à la dernière goute. C’était si bon ! Mais il faut que tu me ramènes, dans 15 minutes je dois être chez la nounou. Le long week-end peut, hélas, commencer. Merci pour ce frisson du vendredi, je peux aller retrouver mon mari.

Plan à 3, suite en chambre d’hôtel

Si vous avez raté le début, lisez d’abord la mise en place de ce plan à 3

A peine refermée la porte de la chambre Amandine se colle à moi pour m’embrasser le cou. Je l’aurais repoussée gentiment sans l’intervention élégante de Michel : »Allez y les filles, gouinez vous un peu, ne vous gênez pas pour moi, au contraire, je vais me servir un petit verre en vous regardant. Après tout vous avez une tournée d’avance il me semble. »

Il se dirige vers le minibar comme si tout était parfaitement habituel et naturel. Michel se sert un whisky et s’installe sur le canapé tendis qu’Amandine me pousse sur le grand lit. Sa langue fouille ma bouche et ses mains semblent être partout à la fois. Je ne sais pas si c’est l’effet de l’alcool ou si c’est de savoir que Michel nous regarde mais je me désinhibe enfin et répond à son baiser avec avidité ainsi qu’avec la langue. La bouche d’Amandine me semble minuscule. Sans doute que cette impression est accrue du fait que je n’ai jusqu’alors embrassé que des hommes. Habile elle trouve la fermeture éclair de ma jupe. Elle m’en débarrasse sans décoller sa bouche de la mienne. Sa robe fourreau me donne plus de fil à retordre mais, indulgente, elle guide mes mains vers le bouton du haut que je parviens à défaire sans arrêter de faire tourner ma langue. Pour moi c’est la première fois avec une fille et la sensation de tenir dans mes bras le corps si menu d’Amandine est assez déroutante. Cependant, de voir Michel dans le canapé à côté qui sirote tranquillement son Whisky en nous reluquant m’excite au plus haut point. Le corps d’Amandine ondule contre moi et nous poursuivons notre séance d’effeuillage jusqu’à nous retrouver entièrement nues. Amandine me titille le clitoris et, comme je ne veux pas être en reste j’aventure ma main entre ses cuisses. La sensation est très différente de quand je me caresse. Comparée à la mienne sa chatte me semble incroyablement étroite. Elle mouille bien, je n’ai pas de mal à y enfoncer deux doigts mais ils me semblent bien à l’étroit. J’ai aussi l’impression d’être aspirée et que sa chatte me suce littéralement les doigts. Je pense d’ailleurs que ce n’est pas une impression. Cette jeune asiatique semble parfaitement maitriser des muscles dont je ne soupçonnais même pas l’existence. De son côté Michel a sorti son braquemard de son pantalon et fini son verre cul sec.

« Hé les filles, faudrait pas m’oublier non plus ! » nous lance-t-il depuis le canapé.

Il ne faut pas me le dire deux fois, je m’écarte un peu d’Amandine et me dirige lentement à quatre pattes vers le canapé. La chambre est assez grande ce qui me laisse le temps de soigner ma démarche de chienne soumise. Amusée, Amandine me suit mais en avançant sur les genoux langue pendante et coudes repliés adoptant la position d’un animal bien dressé qui ferait le beau pour avoir une friandise. Je débarrasse Michel de son pantalon tendis qu’Amandine s’occupe d’ôter mocassins et chaussettes en fil d’écosse de notre troisième homme. Le plan à 3 va enfin pouvoir vraiment commencer.

Michel est aux anges, cela se voit. Mais il se comporte exactement comme je l’espérais : tout en contrôle sans se laisser dépasser par l’aubaine que constitue ce plan à 3 d’enfer.

« Hum, vous êtes vraiment deux bonnes petites chiennes bien dressées ! » nous flatte-t-il en nous caressant les cheveux alors que nous remontons lentement le long de ces jambes aussi poilues que nos chattes sont lisses et imberbes. Alors qu’Amandine commençait à le branler et approchait sa fine bouche du gland décalotté je la retenais et lui glissais à l’oreille : »Attends, rien ne presse, faisons le attendre un peu si tu veux. »

Fine mouche elle comprend instantanément où je veux en venir et se contente de petits bisous en haut des cuisses et à la base de la verge sans chercher à le sucer tout de suite. Cela me laisse le temps de déboutonner sa chemise en partant du bas, léchant son ventre puis son torse velu au fur et à mesure de ma lente progression vers son cou. Michel ne parle plus, il savoure l’instant caressant toujours nos tête comme si nous étions ses deux animaux domestiques. Il est parfait et, chose rare, j’ai envie de l’embrasser langoureusement comme un vrai amoureux. Je ne me gêne pas et il a l’air d’aimer car je sens ses deux mains maintenant dans mes cheveux. Amandine s’est frayé un chemin jusqu’à ma chatte pour me lécher copieusement. Sa fine langue nerveuse me fait tressaillir de plaisir et j’en gémi dans la bouche de notre amant. La langue d’Amandine fait merveille mais j’ai envie d’en donner plus à Michel. Après tout il s’agit d’un plan à 3, pas d’un plan gazon maudit. Je m’écarte doucement de la tête d’Amandine pour m’agenouiller au pied du canapé. J’ai besoin de reprendre un peu mes marque et de me retrouver en terrain connu. Pour cela rien de tel qu’une bonne vieille pipe des familles. La queue de Michel est dure et longue, bien au garde à vous et me voilà prise d’une irrésistible envie de sucer cette pine merveilleuse. Amandine a suivi le mouvement et nos bouches se retrouvent de part et d’autre de la colonne de chair turgescente. Nous jouons à aller et venir latéralement, nous embrassant à moitié partageant la queue de notre amant comme si nous sucions le même esquimau glacé.

-« Je prends les olives et toi la saucisse ? » me dit alors Amandine avec toujours cet accent forcé que je trouve un peu ridicule mais qui ne semble pas gêner Michel, bien au contraire. Il lève un peu de bassin pour se mettre plus à l’aise et passe une main sur ma hanche pour m’inciter à monter sur le canapé. Je m’exécute. Agenouillée en travers je suis effectivement en meilleur position pour gouter sa belle saucisse. Je peux vous assurer que c’est plus proche de la saucisse de Toulouse que de la Chipolata niveau diamètre ! Quel délice de sentir sa main ferme entre mes fesse au moment ou je le prend en bouche. Après la délicatesse du cunnilingus d’Amandine ses doigts fermes et inquisiteur pénétrant ma chatte me font l’effet d’une intrusion intensément excitante. Je serre bien les lèvres autour de son chibre et tends du mieux que je peux mon cul pour qu’il y introduise aussi le pouce. J’ai une vue de premier choix sur le visage d’Amandine qui entreprend d’aspirer délicatement une couille. toujours par terre elle se caresse elle même d’une main que je sais maintenant experte. Nous prenons notre temps dans cette configuration. Les vas et viens divers sont répétitifs et j’aimerais transcrire la longue durée de cette double fellation dans mon texte. Imaginez donc ma chatte trempée limée par votre majeur tendis que du pouce vous pressez contre mon anus qui petit à petit se détend. Voyez ma bouche qui englouti lentement votre verge. Vos couilles elles sont léchée puis aspirées par la bouche d’une belle chinoise toute menue qui se touche agenouillée sur l’épaisse moquette de la chambre d’hôtel. C’est tellement bon, parfait, enfin presque car vous avez envie d’un second Whisky.

-« Amandine, sois une bonne fille, ressers moi un verre ! »

Amandine interrompt son suçage de couilles et, docile, vérifie le contenu du minibar.

-« Lucie, tu veux un verre aussi ? Il reste un Whisky pour Michel et une Vodka ou un Gin. »

-« Hummf, non ça va pour moi, j’ai ce qu’il… hummmfff… faut… miummff… en bouche. »

Surtout j’ai envie de ne pas ajouter trop d’alcool aux deux Mojitos et de bien continuer à profiter de chaque instant de ce plan à 3 de folie !

Amandine remplie à nouveau votre verre de Whisky et vous le place dans la main. Elle s’est servi une vodka, en prend une gorgée qu’elle n’avale pas. Elle reprend vos couilles en bouche en prenant soin de ne pas perdre l’alcool. J’imagine que ça pique et chauffe un peu car votre main se crispe un peu sur mon cul. Mais vous portez votre verre à votre bouche pour tenir le coup.

Amandine m’embrasse à nouveau pour me transmettre une gorgée de Vodka. J’aurais voulu la garder aussi en bouche mais la tentation d’avaler est trop forte. Je profite de cet alcool fort. Une petite voix de publicité me susurre que l’abus d’alcool est dangereux et gnagnagna. Je me contrarie de cette pensée incongrue qui me déconcentre de ce moment divin. Alors je me remet à l’ouvrage pour encore sucer avec application. Je ne sais s’il reste suffisamment d’alcool sous mon palais pour que votre bite en soit chauffée. En tous cas votre majeur reprend son travail au fond de ma chatte. L’index bientôt le rejoint.

Putain ce que je me sens bien ainsi. J’ai l’impression que nous nous connaissons tous les trois depuis toujours et que nous sommes exactement en phase. Personne ne se presse. Je suce tranquillement, des fois je laisse un peu votre queue de côté pour embrasser vos cuisses ou votre ventre. Votre pouce entre et sort maintenant sans peine de mon anus et Amandine qui lèche toujours vos couille a joint sa main à la votre pour s’occuper de ma chatte. J’aimerais que ce moment dure des heures. Et, si ce n’est des heures en tout cas il dure longtemps et s’étire alors que la lumière du soir laisse place à la nuit dans notre chambre à la fenêtre ouverte sur la rue quelques étages plus bas. Il fait lourd en cette dernière semaine d’aout même en Bretagne.

Hélas toutes les bonnes choses ont une fin. Heureusement parfois elles sont suivies de choses encore meilleures ! Michel n’a pas encore joui mais il semble au bord de la rupture et n’a pas envie que les festivités déjà finissent. Comme il fait très lourd il propose une douche collective mais froide. L’idée nous enchante comme des enfants et nous voilà tous les trois sous la douche italienne à nous arroser joyeusement tout en nous caressant très tendrement mais en prenant soin que cela reste aussi chaste que possible. L’idée est de refroidir un peu nos ardeurs de hardeurs pour entamer la seconde mi temps dans les meilleures conditions possibles. Tous les échantillons de champoing et gel douche de la chambre y passent. Chacun savonne chacune. Je suis toute glissante et Amandine sent l’amande amère. Bien vite, trop vite, le désir animal reprend le dessus et nous voilà nous frottant l’entrecuisse sur vos jambes. Vous embrassez à pleine bouche mes beaux seins mais avez la présence d’esprit de régler le jet sur froid pour gagner un peu de ce temps que nous savons tous trois immensément précieux. Frais et propres comme des sous neufs nous nous séchons avec les grandes serviettes immaculées de l’hôtel. Amandine m’attire hors de la salle de bain pour me coucher sur le lit. Je suis sur le dos, elle aussi mais en équilibre sur mon ventre fraiche comme une jeune lavandière encore pucelle. Ces petites fesses contre ma vulve elle me semble peser moins qu’un oiseau tellement elle est petite et menue. C’est une autre histoire lorsque Michel et ses quatre vingt kilos s’allongent sur elle pour la prendre en sandwich entre nous. Heureusement le lit est moelleux et je m’y enfonce alors que lui s’enfonce dans la chatte d’Amandine qui laisse échapper un petit cri de douleur. J’ai un peu de mal à imaginer que la grosse queue que j’ai eu en bouche soit rentrée aussi facilement dans la minette si étroite d’Amandine. Mais passée la première douleur elle cri des ouiiiiii et des han han qui ne laisse pas vraiment de doutes sur le plaisir qu’elle prend. A chaque coup de butoir son cul pilonne mon vagin et la fraicheur de la douche me semble déjà un lointain souvenir. Mais il m’en faut quand même plus et je ne fini par réclamer un peu de mon du moi aussi : »Oh, il ne faudrait pas m’oublier hein !? »

-« T’inquiètes, ce soir il va y avoir de la bite à tous les étages ! » et, pour mon plus grand plaisir il joint le geste à la parole, trouvant enfin le chemin de mon sexe humide et, je le regrette un peu, plus vaste.

-« Ouiiii, j’adore ta bite, elle est bien grosse comme il faut ! » Je n’ai pas besoin de me forcer tellement ce que je dit est sincère. A défaut de venir du cœur je peux vous assurer que cela vient au moins du bas ventre. « Vas-y, encore, pilonne moi bien c’est trop bon » Le corps chaud d’Amandine entre nous restreint un peu mes mouvement et je dois dépenser deux fois plus d’énergie pour venir à sa rencontre à chaque coup de rein. A ce rythme je me retrouve trempée autant de mouille que de sueur. Mais comme maintenant c’est Amandine qui réclame il sort de ma chatte pour changer d’étage.

-« Allez, retour au premier étage, hummm, c’est toujours aussi étroit ici dites donc ! »

Difficile de traduire en onomatopée le cri que pousse Amandine tant cela tient à la fois du hululement de chouette que du couinement de truie que l’on égorge. En tout cas elle monte dans les aigus et se débat tout en articulant une suite sans logique de non, oui, non, non, han oui. Un peu vicieuse j’ai mis mes jambe entre les siennes et les maintient bien écartées pour faciliter la tâche de notre doux tortionnaire. Amandine s’agrippe à mes fesses et y enfonce ses ongles french manucurés. C’est un peu douloureux mais dans le feu de l’action j’apprécie beaucoup et je tiens le coup, la maintenant bien écartée et offerte à mon amant. Il la tringle maintenant sans ménagement mais elle ne s’en plain plus et ses gémissements ont maintenant nettement le son du plaisir qui monte. Elle hurle carrément en jouissant. Je pense à la fenêtre ouverte sur la rue passante. Même si on est au troisième étage j’imagine que nous ne passons pas inaperçus. Enfin il ne doit pas être plus de vingt deux heure trente, peut-être vingt trois. l’heure n’est pas déraisonnable.

Michel repousse Amandine sur le côté. Je constate avec envie qu’il semble encore plein de vigueur.

-« Dis donc, Lucie chérie, tu n’as pas été très sympa avec ta copine dit moi ! »

-« Heu, je l’ai tenue pour toi. »

-« Moui, n’empêche ce n’était pas très fair play. Ca mérite une petite punition ! Allez on se retourne vite fait ! »

Il me retourne et je me retrouve sur le ventre. Et le salaud ne me laisse pas le temps de réfléchir. Il me donne la fessée directement du plat de la main sans ménagement. Aie, ce n’était pas au programme ça ! Mais bon, pour être tout à fait honnête ce n’est absolument pas pour me déplaire.

-« Allez, Lucie, tu vas bien te faire pardonner ! »

Amandine prend place juste contre mon visage pour un cunnilingus forcé. Michel me fesse à nouveau.

-« Allez, je veux que tu la fasses jouir pour te faire pardonner. Si tu es bien sage alors tu auras une récompense, t’inquiète pas, je ne serai pas ingrat. » Il passe doucement un doigt sur ma chatte encore bien humide et ouverte.

Timidement je sors ma langue et m’exécute. La sensation est étrange, le goût ni bon ni mauvais. Mais les coups qui reprennent sur mes fesses et cette situation de contrainte m’excitent en réalité à mort et je lèche Amandine du mieux que je peux pour satisfaire mon maître. Amandine prend ma tête à deux main et presse mon visage sur sa jolie chatte intégralement rasée. Je sens la grosse queue dure se presser contre mon anus déjà distendu. La sodomie vient naturellement sans forcer. J’en hurlerai de plaisir si je n’avais la bouche enfuie entre une paire de cuisses fines mais musclées. Je suis complètement en nage. Amandine repousse enfin ma tête et se glisse sous moi au fur et à mesure des coups de butoir qui pilonne mon cul rougi par la fessée. C’est un plan à 3 mais j’ai l’impression qu’ils sont une douzaine à m’enculer à tour de rôle. Je perds totalement le contrôle. Amandine est maintenant sous moi, sa chatte frotte la mienne et je continue d’en prendre plein le cul. Je crois que je crie mais comme on a tous les trois largement lâché les décibels je ne distingue plus vraiment ma voix des couinements d’Amandine ni des grognement de Michel. Finalement il sort de moi brutalement, me repousse violement sur le côté et s’enfonce à nouveau dans le sexe étroit d’Amandine. Elle crie, serre les jambes derrière son dos pour le maintenir à fond en elle mais il se dégage pour pouvoir la pilonner à nouveau. Il finit pas se retirer, enlever son préservatif pour éjaculer sur son ventre bronzé. Je me jette littéralement sur elle pour coller mon ventre au sien et étaler le sperme entre nous. Fin du second round, nous sommes exténués, je dirais même complètement hébétés. A ce jour je dirais que je viens de vivre de loin le meilleur plan cul de ma vie.

Nous dormons quelques heures. Je me réveille vers quatre heure et prend une douche seule puis me recouche contre Michel qui, fort heureusement ne ronfle pas. J’ai vaguement conscience d’Amandine qui se lève un peu après moi et file elle aussi à la douche. Lorsque nous émergeons vers 8h il n’y a aucune gêne entre nous. Nous échangeons de langoureux baisers avec un peu toutes les combinaisons. Nous décidons de nous doucher à trois. Bien sûr je suce consciencieusement Michel. J’adore cette pipe du matin sous la douche. Amandine ne participe pas mais cela n’a aucune importance. Il n’y a plus de serviettes sèches et nous arrachons les draps pour nous sécher. Chacun retrouve ses habits et nous quittons la chambre pour la salle de petit déjeuner. Au moment de nous quitter comme de vieux amis Michel clos notre plan à 3 de cette phrase unique que n’aurait pas renié Valérie Trierweiler : « Tchao les filles, et merci pour ce moment ! »

Mon ebook gratuit !

Je sais que la grande majorité d’entre vous, j’ai même envie de dire d’entre nous car je fais pareil, ne sortira jamais sa carte de crédit ni son téléphone portable pour acheter un ebook pornographique aussi bandant fut-il. Bien sûr vous êtes quelques dizaines par mois à me faire l’honneur d’envoyer ce SMS surtaxé qui vous ouvre le Sésame vers mon bouquin. Mais j’aimerais être plus lue et connue car je suis égocentrique et vénale en plus d’assumer d’être une grosse cochonne de MILF infidèle !

Je viens donc d’avoir une idée pour satisfaire ceux qui ont envie de mon ebook mais sont contre le principe de payer pour.

Tout d’abord mémorisez ce dicton qui vous sera forcément utile : « Quand c’est gratuit c’est toi le produit… »

Poursuivez cette lecture uniquement si vous êtes prêt à un peu de travail en échange de mon ebook. Sinon cliquez ailleurs pour lire un autre article plus bandant car vous allez vous faire un peu chier ici !

Les cinq premières pages de l’ebook sont gratuites téléchargeables ici.

Pour recevoir les 30 premières pages de mon e_book gratuitement en pdf par e_mail il suffit d’accepter de me faire un peu de publicité. Pour cela vous devez vous inscrire sur 2 forums de discussion et laisser un commentaire (pertinent) avec le lien vers un de mes articles. Puis de m’envoyer par mail (ou en commentaire dans le blog) les 2 liens vers vos commentaires (une fois que le modérateur les aura accepté).

Quelques forums où il est facile d’avoir des commentaires avec liens acceptés :

  • Doctissimo. Chercher une discussion récente qui traite de fellation ,de sodomie ou de rencontres et postez un commentaire du genre : Même si je suis d’accord avec cet article en particulier sur le point du consentement mutuel j’aimerais plus de conseils pratiques sur la façon de s’y prendre. J’ai lu un article un peu olé olé sur le sujet sur un blog : http://www.planculvoyage.fr/2015/08/07/5-conseil-sodomie/

ATTENTION, C’EST JUSTE UN EXEMPLE, NE PAS COPIER COLLER, TROUVEZ DES MOTS A VOUS (Sinon je ne validerai pas…C’est trop facile !)

  • Melty Campus – Assez facile d’avoir des commentaires acceptés.

 

  • Le Monde (pour les abonnés)
  • Le Figaro
  • L’express

Vous pouvez par exemple commenter des articles récents traitant de l’arnaque Ashley Madison en mettant un lien vers mon article sur les faux profils http://www.planculvoyage.fr/2015/03/05/faux-profils/

 

  • N’importe quel autre qui vous semble intéressant !

Ca c’est pour les 30 premières pages. Pour les 70 suivantes je les offrirai volontiers aux plus prolixes d’entre vous. Ou je trouverai une autre idée en fonction du succès de cette opération.

 

Bon, allez, parce que vous m’avez lue jusqu’au bout je vous livre le début de ma prochaine aventure :

C’est la rentrée, je ressors mon costume de lycéenne sexy pour prendre un cours très particulier. Ma jupe est de tweed à carreaux et ma chemise blanche déboutonnée, juste nouée en bas dévoile mes beaux seins tenu par un bustier minuscule. Mes chaussettes sont montantes jusqu’aux genoux et mes souliers vernis noirs ont d’épais talons qui me font paraître encore plus grande que je ne suis déjà. J’ai deux belles tresses qui, tout comme moi, ne demandent qu’à être tirées. Une culotte de coton immaculée qu’il ne tient qu’à vous de baisser. Cette année vous m’avez convoquée le tout premier jour pour bien mettre les choses au clair. Je vais devoir être bien sage et très gentille avec vous si je ne veux pas tripler ma terminale. Je suis debout, les mains derrière le dos et vous écoute l’air contrit.

-« Qu’est-ce que je viens de dire mademoiselle Bayeul ! »

La gifle est venue sans prévenir, vous étiez assis derrière votre bureau la minute d’avant, j’écoutais distraite le ronronnement monotone de votre voix de directeur de Lycée.

-« Cela vous apprendra à ne pas m’écouter ! tendez l’autre joue pour une seconde gifle Mademoiselle Bayeul ! »

J’ai la joue en feu et sans doute rouge. Autant la fessée m’excite, autant être prise ainsi à la volée est surprenant et douloureux. Je m’attends au pire pour le sale quart d’heure à venir et pourtant je mouille déjà comme une folle.

 

 

Taille du sexe, est-ce que ça compte pour moi ?

 

Mon compte twitter c’est ici ==> Lucie sur Twitter

Avant de parler taille du sexe : Mon compte Facebook est encore bloqué ! Je ne comprends pas que DominiqueTamère, Tagrosse Cochonne et Lucien le Coquin ne soient jamais repérés alors que moi avec mon pseudo passe partout je suis identifiée comme fausse identité par Facebook !

Mais revenons à nos moutons.

Alors voilà, la question peut paraître un peu conne mais elle m’est souvent posée. Je pourrais m’en moquer, railler ceux qui m’envoient une photo de leur grand pénis légendée photo de ma belle teub pour le cas où je n’aurais pas identifié cette partie de leur anatomie. Il serait bien facile de plaisanter à leur dépend et, j’avoue qu’il m’arrive de le faire ! Mais au final cette question de la taille du sexe est une vraie question et si elle est souvent posée c’est bien qu’il y a une réponse intéressante (enfin j’espère) à y apporter.

Tout d’abord on va arrêter de faire des chichi panpan et éviter les réponses politiquement correctes lues et relues du genre : »Mais bien sûr que non, la taille du sexe n’a pas d’importance pour la femme. Ce qui compte c’est le comportement de l’amant, son attention apportée au plaisir de sa partenaire et gnagnagna et gnagnagna. » Je ne vis pas au pays magique des Bisounours et vous non plus j’imagine.

La taille du sexe compte pour moi !

Bien sûr que oui, la taille du sexe cela compte ! Demandez à un type qui aime les gros seins s’il préfère Jane Birkin ou Samantha Fox ! Désolée pour ces références un peu ringardes, les plus jeunes n’ont qu’à chercher sur google pour voir de qui je parle.

Donc oui, en tous cas pour moi, la taille du sexe c’est quelque chose que je regarde avec intérêt et grande attention. La taille du sexe compte pour moi mais, paradoxalement, pas au sens que vous pourriez croire. Pour être plus précise je dirais que je peux avoir autant de plaisir à me faire ravager la chatte par un étalon bien membré et performant qu’à faire ma chienne pour faire jouir un gras du bide, à petit pénis bande mou. Pour peu qu’il soit jovial et bon vivant je dirais même que je préfère passer une soirée avec ce profil qu’avec un grand musclé à deux neurones. Mais alors me direz vous c’est donc que cela n’a pas d’importance pour elle, on n’y comprends plus rien, elle nous embrouille. Bin en fait non, je tiens juste compte de la taille du sexe de mon partenaire et de sa vigueur pour adapter mon fantasme et le délire de mon plan cul. Je ne vais pas vous le cacher, j’aime me faire défoncer par une grande bite bien dure comme une bonne grosse salope. Pas de problème, je n’en conçois nulle honte. Mais je dis que cela peut être encore plus excitant de me retrouver soumise à un homme qui n’a pas cet avantage et se montre plus commun dans la taille et même dans la dureté de son pénis. Prendre le temps de sucer une bite un peu molle dans l’espoir de la faire durcir est largement aussi gratifiant que de voir bondir un pénis au garde à vous d’un caleçon que l’on n’a même pas encore baissé. Souvent un homme moins bien membré ou peu endurant va développer des trésors d’ingéniosité pour faire durer le plaisir. Les meilleurs baiseurs ne sont pas forcément les meilleurs fesseurs. Une fois j’ai été magistralement fessée par un homme très moyen par ailleurs. J’en garde un souvenir ému quoique fort douloureux. N’allez pas cependant croire que je ne vénère que les extrêmes. Tout est bon dans le cochon ! Il est cependant vrai que ce qui m’attire c’est plutôt les hommes originaux ou qui correspondent à mon fantasme du moment. Je pense aimer la bite autant que vous aimez un petit cul (ou un gros). J’accorde de l’intérêt à la taille du sexe mais sans avoir de préférence établie…Je m’adapte !

Cela étant écrit sachez quand même qu’il existe des programmes d’élargissement de pénis. J’ai d’abord cru à une grossière arnaque. Et au final je dois confirmer que c’est une grosse arnaque !! J’en ai discuté avec un ami médecin qui m’a confirmé l’exagération mensongère de ce type de programmes. 6 centimètres en 4 semaines c’est juste du grand n’importe quoi ! Il existe bien des façons mécaniques via ce type de programme d’allonger son pénis mais le gain à en attendre est plutôt de l’ordre de 2 centimètres grand maximum me confirme mon ami médecin. Le jeu en vaut-il la chandelle (si je puis m’exprimer ainsi ) ? Je n’en sais rien et vous êtes assez grands pour en décider par vous même. Je mets le lien quand même ici, au moins vous rigolerez bien en lisant ce qu’ils promettent.

En tous cas je suis avide de vos commentaires sur la taille du sexe et son importance, que vous soyez propriétaire du sexe en question ou juste utilisatrice !

Comment draguer en boite où dans un bar

Mon compte twitter c’est ici ==> Lucie sur Twitter

Bon, tout d’abord sachez que je ne veux pas faire comme tous ces blogs bidons de pseudo coaching de drague qui vous refilent des conseils lus et relus sur comment draguer, l’importance de faire rire, l’attitude ouverte mais pas lourde et tout et tout. J’imagine que si vous tombez sur cet article c’est soit parce que vous êtes un fidèle lecteur et que vous aimez ce que j’écris par ailleurs, soit que vous avez réellement besoin d’un petit coup de pouce pour lever cette nana qui n’est pour le moment que le support masturbatoire de vos nuits solitaires. Deux ingrédients donc à ce petit article :

– Du sexe un peu torride et explicite comme nous aimons vous et moi

– Un conseil ultra-pratique qui peut vous aider

Commençons donc par le sexe, histoire de bien vous motiver à suivre ma recette « comment draguer ». Sachez que lorsqu’une fille sort seule ou avec des copines en boite ou dans un bar ce n’est pas juste pour s’amuser et discuter entre copines. Les filles qui sortent seules et qui en plus s’habillent de manière sexy ont systématiquement envie d’être draguée et sont, par définition, disponibles. Donc, on arrête de se faire des nœuds au cerveau et on fonce ! Mais attention, pas n’importe comment non plus. Si vous voulez ramener la belle chez vous pour gouter sa chatte humide ou vous faire bien sucer par cette grosse cochonne que vous avez repéré et qui ne vous accorde pas un regard il va quand même falloir faire quelques efforts. Tout d’abord inutile de rêver, elle n’est pas sur Tinder et si elle y est, peu de chances qu’elle vous sélectionne.

Et là je vais sans doute vous décevoir, je n’ai pas la méthode infaillible pour rendre folle de désirs toutes les femmes. Pour cela mieux vaut vous diriger vers un site de type www.comment-draguer-pour-les-gogos-naïfs-qui-donnent-facilement-leur-numero-de-CB.com il suffit de taper les mots clefs sur internet et vous tomberez immanquablement sur un tas de sites où des mecs super sympas sont prêt à partager avec vous leurs secrets de tombeurs et vous expliquent comment draguer et surtout comment acheter leur guide vidéo « comment draguer ». Car ils sont hyper cools et altruistes ! Bah voyons, bien sûr, prenez nous pour des lapins de six semaines aussi !

Donc désolée, mais la seule recette « comment draguer » que je peux partager avec vous est celle que j’utilisais avec mon grand Frère quand j’étais étudiante. C’est juste une combine simple mais qui marchait quasi à tous les coups les deux années où nous l’avons pratiquée.

Comment draguer en boite, ma recette

Je sortais avec mon Frère et nous faisions semblant d’être ensemble. Mon frère repérait une fille seule ou avec des copines qui lui plaisait et nous nous arrangions pour nous placer dans son champ de vision. Mais en réalité n’importe quelle table ou place au bar marchait car, comme nous en faisions des tonnes, les regards étaient assez vite braqués sur nous. Surtout que je m’habillait toujours très sexy pour nos sorties et que j’étais (et j’espère reste) plutôt bien foutue.

Bref nous faisions semblant d’être un parfait petit couple en sortie vespérale (ça veut dire du soir pour les moins cultivés qui ont aussi droit de me lire !!). Mon Frère néanmoins jetait en permanence des regards vers la fille choisie. Immanquablement elle finissait par croiser son regard et alors là il détournait les yeux l’air gêné. Nous poursuivions ce manège un bonne demi heure, parfois une heure suivant l’ambiance dans le bar ou la boite.

Enfin lorsque nous étions bien certains d’avoir attiré l’attention de la fille (et de quasi tous les autres clients) je me levais, balançais mon verre à la figure de mon frangin et partais furieuse en le plantant là.

Lui s’essuyait le visage, restait seul l’air piteux quelques minutes puis allait voir la fille pour lui dire : »Tu sais je viens de me faire larguer par ma copine parce que je te regardais trop. Cela va peut être te paraitre un peu osé mais est-ce que je peux te payer un verre du coup maintenant ? »

Deux fois sur trois elle finissait dans son lit le soir même. La troisième fois il récupérait au moins son numéro de téléphone. Il ne s’est pris aucun râteau direct avec cette méthode !

Donc, voilà, il ne vous reste plus qu’à trouver une copine que cela amuse de jouer le jeu. C’est très facile et je vous assure que j’y ai pris un grand plaisir moi aussi !

Plan a 3, j’ai testé deux filles et un mec

plan a 3, mon ilustration un peu cracra
Me suis pas foulée pour l’image…je suis certaine que vous savez trouver mieux que moi des images de plan a 3 sur le net !

Très franchement je ne pense pas être bi. Chers amis hommes et ce que vous avez entre les jambes, je vous aime trop pour avoir envie d’une fille. Mais bon, à force de recevoir des commentaires sur le blog qui me demandent si un plan a 3 (je sais, il faut un accent sur le a à plan a 3. Mais Google préfère sans…Pardon donc aux puristes de la langue pour cette faute volontaire) me tenterait, à force de voir des profils de fille bi hyper chaudes je vous confesse que mes fesses se sont, à mon corps défendant, laissées tenter. En cette fin de mois d’aout qui, vacances familiales obligent, a été tout sauf torride, me voilà donc en quête d’un plan a 3. A peine mon profil réactualisé sur Yes Messenger je recevais trois demandes de couples en Bretagne pour un plan a 3, ma destination de cette semaine de rentrée. Deux me semblaient trop âgés à mon goût et surtout la femme ne me plaisait pas du tout. C’est marrant, quand je regarde un homme le physique ne m’importe pas tant que cela et j’arrive toujours à trouver quelque chose de sexy et attirant. Par contre pour que j’ai ne serait-ce qu’un début d’intérêt pour une fille il faut qu’elle soit vraiment très « bandante », si je puis m’exprimer ainsi en tant que nana. J’écartais aussi finalement le troisième couple dont la femme, jeune et blonde, était pourtant un vrai canon. Je me sentais mal à l’aise pour cette première expérience de plan a 3 d’être la pièce rapportée dans un couple complice. Je me suis alors aperçue que j’aime être celle qui organise le plan cul, à deux comme à trois.

A la recherche du plan a 3

Pour le mec ce fut facile, je décidais, une fois n’est pas coutume, de recontacter un ancien plan cul de Brest qui m’avait littéralement épuisée. Cela me semblait une bonne idée de ne pas laisser trop de place au hasard et je me disais que si nous étions deux nanas sur un mec il en fallait quand même un qui assure.

Michel semblait aussi surpris que ravi que je réapparaisse dans sa vie mais il m’avouait n’avoir pas de copine à qui proposer l’expérience. Enfin, il allait voir ce qu’il pouvait faire mais ne voulait surtout pas que cela empêche freine nos retrouvailles, même uniquement à deux. Bon, cela m’arrangeait pas du tout. Déjà que je ne revois jamais un ancien plan cul, je n’avais pas envie que cette exception à ma sacrosainte règle du « un coup, un soir et basta, ciao baby » soit faite en vain.

Je gardais mon Michel sous le coude et me mettais donc moi même en quête d’une troisième larone sur Asiat Messenger. J’ai toujours eu un petit fantasme Geisha. Et là, grosse galère ! Je me doutais que trouver une fille coquine sur internet n’était pas aussi facile que veulent le faire croire les sites de rencontre à plan cul a 3 ou simplement à 2. Mais je n’en avais jamais réellement fait l’expérience. Je trouvais des filles bien coquines en Bretagne qui me semblaient correspondre mais peu répondaient et je soupçonnais des faux profils. Celles qui me répondaient voulaient soit une relation strictement homosexuelle, soit me prenaient pour un mec. Surtout dès qu’une fille actualisait son profil il y avait trois mecs qui lui tombaient dessus et la choppaient avant moi. Sans parler de toutes celles qui recherchaient un plan sexe contre cadeau…Genre pute qui ne s’assume pas. Je n’ai rien contre. Chacune et chacun fait ce qu’il peut. Mais ce n’était pas ce dont j’avais envie. Cependant, ma persévérance et, hélas, quelques dizaines d’euros d’inscription premium finirent par payer. Amandine, vingt quatre ans, finissait un job d’été de serveuse maquillé en stage pour valider son année d’échange universitaire Franco-Chinois. Elle m’écrivait avoir découvert le cul en arrivant en France trois ans plus tôt et disait vouloir profiter à fond avant de repartir chez elle. Je soupçonnais un gros bobard mais, faute de plan plus sérieux lui donnait rendez vous, ainsi qu’à Michel, au bar de mon hôtel pour le mardi suivant. Je proposais vingt deux heures et recommandait à chacun de prendre des sucres lents car la nuit s’annonçait sportive !

Mise en place du plan a 3

Amandine arrivait la première. Je la reconnu tout de suite à son entrée dans le bar. Encore plus sexy que sur son selfy de profil. Petite malgré les talons aiguilles sur lesquels elle était perchée, Amandine est toute mince avec un visage de poupée chinoise et un brushing impeccable. Sa bouche est juste pulpeuse comme il faut et, n’eut été des seins très petit, on aurait pu la prendre pour un sosie de l’actrice porno Kobé Thaï dans sa robe courte et moulante. Très naturelle elle vient directement vers moi et me claque un smack sans que me laisser le temps de dire un mot. Je reste surprise. Ce n’est pas désagréable mais pas franchement excitant non plus pour moi. Décidément je crois que je suis définitivement hétérosexuelle. C’est elle qui entame la conversation : « Alors c’est ton premier plan a 3 il parait ? »

-« He oui, et te vexe pas car tu es vraiment sexy mais je ne suis même pas certaine d’en avoir vraiment envie. »

-« Ah ?! Eh bien on verra. En tous cas tu es très jolie. J’espère que Michel est comme sur les photos. »

-« Oui, je le connais et je peux te dire que tu ne seras pas déçue si tu aimes les étalons endurants ! »

-« Hum, miam, bon mais sinon on boit quoi ? »

-« Mojito ? »

-« Ok, alors va pour deux Mojitos ! »

Je fais signe au Barman et commande deux Mojitos en précisant bien tassés car j’ai le sentiment que je vais avoir cette fois besoin d’un peu d’alcool pour me désinhiber. Nous discutons de tout et de rien, elle n’arrête pas de me complimenter sur mes seins, ma tenue que je trouve pourtant banale et elle ne manque pas une occasion de me toucher la main ou d’effleurer mon mollet de la pointe de son escarpin.

Heureusement Michel arrive avant que ma gêne ne devienne trop flagrante.

-« Wahou, les filles, vous êtes ravissantes ! »

Plus que le compliment c’est son regard appréciateur et concupiscant qui me remontaient instantanément la libido. Je remarquais tout de suite qu’il matait nos jambes et que l’escarpin à talon haut d’Amandine frôlant mes bas nylon ne lui avait pas échappé. Du coup ce contact qui m’effrayait quelques secondes avant prenait un intérêt nouveau et je sentais ma température monter instantanément.

-« Michel, je te présente Amandine, Amandine, Michel. »

-« Enchantée vous connaître » lâchait Amandine avec soudain cette faute de Français et un accent asiatique qu’elle n’avait pas trente secondes auparavant. En même temps elle pressait son escarpin sur mon mollet et me lançait un bref regard complice.

-« Mais tout le plaisir est pour moi…Enfin si je puis dire » répondait Michel du tac au tac.

-« Lucie est une vraie coquine, je pensais qu’elle ne me recontacterai jamais et voilà qu’elle me donne rendez vous accompagnée d’une pure beauté Asiatique pour un plan a 3 ! »

Nous échangions quelques bises comme des amis qui se retrouvent. L’occasion pour Michel d’attarder sa main sur nos hanches et pour moi de sortir la pointe de ma langue au moment de lui baiser la joue.

-« Tu prends un Mojito ? Ce soir c’est moi qui régale ! » Proposais-je.

-« Oui mais seulement si vous en reprenez un. Et puis vite fait car j’ai bien envie qu’on se retrouve vite juste tous les trois pour faire connaissance de manière plus approfondie ! »

C’est cela que j’aime chez Michel, toujours direct sans être grossier. Et une vraie bonne humeur communicative. J’étais ravie de l’avoir choisi pour mon premier plan a 3 et j’avais soudain hâte qu’arrive la seconde et dernière tournée de Mojitii (j’aime croire que c’est un pluriel Italien) pour enfin passer aux choses sérieuses.

Apparemment mes deux Acolytes alcooliques étaient du même avis que moi. A peine les grands verres arrivés le « slurp » que faisaient nos pailles indiquait que nos verres étaient vides.

Je notais le numéro de ma chambre sur la note et signais. Amandine et moi quittions le bar encadrant Michel bras dessus bras dessous sous les regards Ahuris d’un groupe de trois types deux tables basses plus loin. J’avais repéré du coin de l’œil leur mines déconfites à l’arrivée de Michel ! Je glissais à l’oreille de Michel : »Tu crois qu’eux aussi ils vont se faire un plan a 3 ? »

Il me répondait goguenard : »Wouai, un plan a 3 à la Broke back Mountain ! »

Comme je suis une petite salope vénale je vous annonce que la suite de mon plan a 3 est déjà écrite sur mon e_book.
Mais que ceux d’entre vous qui sont un peu pingres ou désargentés se rassurent, ce qui s’est passé en chambre pour ce plan a 3 sera publiée quand cet article aura atteint les 50 partages (ou like) sur FaceBook !

Autostoppeuse sexy, mes conseils

Mon expérience d’autostoppeuse sexy.

Il ne faut pas croire que je sois uniquement une Geek abonnée aux plans culs sur internet comme je le raconte dans d’autres articles. Bien-sûr, comme beaucoup de femmes mariées, j’apprécie la facilité d’une rencontre adultère sans risque et sans lendemain sur internet. Mais je sais aussi me débrouiller avec un plan cul old school sans aucune aide numérique. Une des techniques de drague que je commence à bien maitriser est ce que j’appellerais le plan autostoppeuse sexy. Je n’ai pas la prétention de dire que c’est moi qui ai inventé cette technique de l’autostoppeuse sexy mais je pense être la première à avoir théorisé un peu cela tant pour l’autostoppeuse sexy (qui veut se faire enculer sur la banquette arrière) que pour le chauffeur (qui aimerait se faire sucer en conduisant). Tout d’abord, lorsque je suis loin de chez moi en semaine, je repère une zone de bureaux un peu excentrée ou un site industriel, si possible High-tech. L’idée est de me faire prendre en autostop par un cadre en fin de journée et de voir si j’arrive à l’allumer avant d’arriver à destination. La destination est toujours la gare d’une grande ville proche ou un aéroport s’il y en a un. Cela permet à l’autostoppeuse sexy que je joue de justifier d’une destination plus lointaine ensuite mais surtout de chopper un taxi pour récupérer ma voiture que j’ai laissée à mon point de départ. Car bien sûr je suis une fausse autostoppeuse sexy ! Mais revenons en au commencement. Le cliché de l’autostoppeuse sexy voudrait que j’ai une mini jupe ras la touffe. Mais faire de l’autostop en mini jupe est surtout le meilleur moyen de se faire prendre pour une prostituée en racolage et de rameuter la marée chaussée. Très peu pour moi ! J’étais donc ce jour là sagement vêtue d’un tailleur gris perle un peu strict mais près du corps. Une veste assortie sur un chemisier crème, les cheveux coiffés en chignon, une paire de lunettes à la monture aussi fine que les talons aiguille enfilés sur une paire de vrais bas couture made in France faisaient de moi la parfaite assistante de direction un peu perdue au bord de la route. Pour tout bagage mon petit sac à main et un porte documents en cuir noir dans lequel je pouvais mettre le nez à l’approche d’une voiture trop minable ou occupée par une femme. Mais je n’en eu pas besoin ce jour là car la première caisse qui sortait du rond point était la bonne : une BMW série 5 grise qui semblait neuve conduite par un homme seul. Le manque d’entrain à accélérer en sortie de rond point m’indiquait qu’il m’avait repérée devait chercher à voir si j’étais aussi bandante qu’il se l’était imaginé de loin. Je m’arrange en général pour me placer une cinquantaine de mètres après un rond point ou une sortie d’usine pour pouvoir observer les véhicules avant de décider si je lève le pouce ou si je laisse passer. En général il y a un arrêt de bus idéalement placé qui permet de laisser croire que je ne suis pas une autostoppeuse sexy mais juste une fille qui attend un transport en commun quand je ne lève pas le pouce. Cela permet aussi au conducteur de mieux évaluer ma silhouette. La bonne technique est de ne pas lever le pouce trop tôt mais plutôt d’attendre le dernier moment. Ainsi, quasi immanquablement, la surprise déclenche un réflexe de prédateur chez le conducteur qui ne manque pas de s’arrêter pour l’autostoppeuse sexy inespérée qui s’offre à lui. Tendre le pouce trop tôt, comme je le faisais les premières fois, a deux inconvénients. Tout d’abord vous ne pouvez prendre le temps de vérifier que le conducteur n’est pas une conductrice. Ensuite cela laisse plus de temps pour réfléchir à votre proie et diminue vos chances d’un arrêt réflexe.

Cette fois donc, la BMW pilait juste comme je l’espérais. J’imaginais instantanément l’effet accélérateur que cela devait avoir sur le rythme cardiaque de l’heureux conducteur. Je trottinais une dizaine de mètres en talons aiguille jusqu’à la fenêtre passager déjà ouverte. Je m’y penchais suffisamment pour laisser regretter que le dernier bouton de mon chemisier soit fermé : « Bonjour, vous allez sur Blagnac ? ou à défaut Toulouse ? je dois rejoindre l’aéroport. »

-« Je vais à Ramonville mais je cela vous approche déjà bien et le métro est assez direct vers l’aéroport ensuite il me semble. »

Cela m’approchait d’une bonne dizaine de kilomètres en effet mais surprise que le type ne me réponde pas direct que c’était, comme par hasard, sa destination, je mettais quelques secondes avant de répondre. Son regard qui semblait chercher à percer le tissu de mon chemisier me laissait penser que j’avais cependant tiré le bon numéro. Je pense que si j’avais eu des dons de télépathie j’aurais pu entendre sa prière muette : »putain, faites qu’elle monte, mon dieu faite que l’autostoppeuse sexy monte ! »

(bon pour me lire sans pub il y a l’e_book… )

A peine installée je décidais de laisser un peu monter le suspense et posais à plat le porte documents sur mes genoux en regardant bien droit devant moi. Ma technique est de laisser au conducteur l’initiative des premiers mots. Ces derniers ne tardèrent d’ailleurs pas à arriver : »Vous travaillez dans le coin ? »

« Pas vraiment, j’accompagnais mon boss aujourd’hui et il devait finalement rester un jour de plus. Moi je dois prendre un avion ce soir si possible pour rentrer sur Lyon. »

« Et il ne vous a pas appelé un taxi ? »

« Heu, c’est pas vraiment son genre d’avoir ce type d’attentions et je suis encore en période d’essais. Je ne me le sens pas de présenter une notes de taxi à trois chiffres… »

« Enfin, quand même, il n’est pas très gentleman je trouve. »

« Heureusement que je suis tombée sur vous en tous cas ! » Là je lui touchais le bras.

J’ai pu constater qu’il ne fallait pas trop laisser passer l’occasion d’un premier contact physique rapide. Mais je retirais prestement ma main car je ne voulais pas non plus qu’il me prenne pour une pute. Même pour moi, le jeu est moins évident qu’il n’y parait. Je me fais peu de doute sur le fait que le conducteur ait envie de moi. Cela est en général acquis. Mais ça ne veut pas dire qu’il va sauter le pas. Il peut être marié, fidèle, ou tout simplement méfiant et sceptique devant la chance qui s’offre à lui. Amener certaines personnes à comprendre qu’elles viennent juste d’avoir un coup de chance et qu’il se présente à eux une occasion rare n’est pas si simple. Ce n’est pas comme pour un plan cul internet où tout est joué d’avance. Et c’est tout l’intérêt de la chose. Là il faut jouer le plus fin possible. Encourager les initiatives de l’autre sans pour autant éveiller des soupçons qui, même s’ils sont infondés, peuvent juste casser l’ambiance.

« Au fait, je m’appelle Lucie. »

« Sebastien. »

« Enchantée, Sébastien. Merci encore de vous être arrêté pour moi. Même si vous n’allez pas jusqu’à Blagnac cela m’aide déjà bien. »

Là il ne répond pas. Il faut à tout prix éviter de trop laisser la gêne et le silence s’installer. Sinon c’est fichu aussi surement que si je tente une approche trop directe.

« Ce serait vraiment bien si j’arrivais à Lyon pas trop tard, sinon cela risque de me couter une fortune en baby-sitter ! »

« Ah, vous avez des enfants ? »

« Juste une petite Lydia de 4 ans. Et le Papa est parti vers d’autres aventures depuis huit mois ! »

« Votre mari travaille off shore ou à l’étranger ? »

Bon, c’est bien ma veine, je suis tombée sur un lent de la comprenette !

« Bin non, il m’a quittée pour une pouffe qui devait mieux su…Heu, oups, pardon…pour une autre. Mais vous pouvez me dire tu sinon ! »

« D’accord, si tu arrêtes de me vouvoyer aussi, je vais avoir l’impression d’être un ancêtre sinon ! »

« Ah, ok, excuse moi, je ne voulais pas suggérer que vous, enfin tu, étais plus…heu… enfin, disons plus mûr. Franchement, je vous, enfin je te trouve, char…heu, qu’est-ce que je dis, enfin je veux dire bien. Heu, enfin, très bien même. Enfin heu…je crois…Enfin bon, en tout bien tout honneur je veux dire…Heu Pardon, je ne sais plus ce que je dis. »

« Ne t’excuse pas, pas de souci ! » m’interrompait-il en riant.

Bon, là je sentais qu’il fallait passer à la vitesse supérieure, sinon le trajet allait se transformer en une aimable promenade en voiture sans plus d’intérêt qu’une conversation légère où il me demanderait peut être mon 06 en fin de parcours. Absolument le type de loose que je voulais éviter. Je prenais un air inquiet et lui demandais : »Combien de temps il faut d’après toi pour rallier l’aéroport depuis la station de métro de Ramonville ? »

« Je ne sais pas, en voiture je sais que ça va vite mais en métro je n’en sais rien. Je n’ai jamais essayé. »

« Ah… » Je poussais un soupir qu’il pouvait interpréter comme de la déception ou un effet de la chaleur et je défaisais le bouton du haut de mon chemisier. Je croisais et décroisais mes jambes sous le porte documents en cuir noir.

Il restait silencieux mais je voyais les regards furtifs qu’il lançais vers mes jambes à chaque fois que je les déplaçais légèrement. Il faut dire que les vrai bas nylon couture ça crisse un peu…Je pinçais les lèvres et m’efforçais de prendre un air préoccupé derrière mes lunettes.

« Tu as l’air inquiète. Allez, je suis sûr qu’avec un peu de chance tu auras un métro tout de suite. Il est à quelle heure ton vol ? »

« 19h00. C’est dans une heure. Je suis sûre que je vais le rater…Merde ! Enfin heu pardon, zut ! » Je pose le porte documents à mes pieds pour lui libérer la vue sur mes longues jambes.

« Aie, c’est vrai qu’en Métro ça risque d’être un peu juste. C’est sûr en voiture tu y serais même avec de l’avance… »

Yes ! il ne propose pas spontanément de me dépanner. Il a flairé le bon coup dont il pouvait peut être profiter, c’est presque sûr !

Moi : »Je vais le rater, je vais le rater, c’est sûr. » Surtout ne pas y aller trop vite, ne pas dire tout de suite à quoi je suis prête pour qu’il m’amène en voiture. Juste recroiser et décroiser les jambes.

Lui : »Mais non, allez, je suis sûr que tu es une chanceuse. Souvent le vol a du retard aussi. »

Voilà, là retenter un contact physique un peu plus prolongé de ma main sur son bras : » Tu es sympa, c’est gentil d’essayer de me rassurer mais je suis sûre que je vais le rater. En plus mon billet n’est pas modifiable. Qu’est-ce que je donnerais pas pour avoir mon vol ! »

Bon, sans doute un peu tôt mais il fallait tenter.

Lui, fine mouche : »Ah oui, en fait qu’est ce que tu ne donnerais pas pour y être en voiture ? »

Regard appuyé sur mes jambes. C’est presque trop facile. Incroyable comme un gentleman peut se transformer en rustre de la pire espèce en quelques minutes. Mais après tout la situation m’excitait et j’étais à fond dans mon personnage.

Il ajoute sadique : »Courage, la prochaine sortie c’est Ramonville, en te dépêchant tu as peut être encore une chance. » Et là c’est lui qui pose une main timide sur ma cuisse. Qu’il retire presque aussitôt en ajoutant : »Enfin, c’est sûr qu’en voiture ça serait plus rapide… »

Je reprends sa main pour la reposer sur ma cuisse : »S’il te plait, tu peux m’amener à l’aéroport ? »

« Bin, heu, c’est sûr j’aimerais passer un peu plus de temps avec toi (il presse un peu plus sa main sur ma cuisse). Mais je ne sais pas. Ca me fait quand même un gros gros détour… »

Moi : »Faut vraiment que j’ai mon vol. S’il te plait, allez, soit sympa. Je suis vraiment prête à tout pour l’avoir. » J’écarte légèrement les jambes et défait le second bouton de mon chemisier.

Lui soupire comme s’il consentait un effort surhumain : »Bon, ok, ok, si tu es gentille je veux bien te dépanner. Mais faut être très gentille… » sa main droite reste sur ma cuisse et de la gauche il déboutonne son pantalon en tenant le cap avec d’un genoux habillement coincé sous le volant.

Je fais celle qui ne comprends pas. Je continue à regarder droit devant moi mais le laisse juste remonter mon tailleur pour constater que je porte bien des bas et pas des collants.

Comme on arrive à la sortie Ramonville il clignote pour prendre la bretelle d’accès.

Moi, feignant la panique : »Mais tu viens de me dire que tu m’emmenais à l’aéroport, non !? »

Lui : » J’ai dit si tu es TRES gentille… » Il me désigne son entrejambe du regard et commence à s’engager à droite.

Moi : » Ok, ok, tu as gagné ! » Je me penche enfin sur lui.

Son sexe jaillit quasiment dès que je baisse le caleçon. Je m’applique à être un peu maladroite, reculant un peu la tête en arrière comme si cela me dégoutait un peu.

Lui : »Bon, c’est déjà bien, je reste sur la rocade. Applique toi si tu ne veux pas que je te laisse trop loin de la dépose minute… »

Je me mets donc à l’ouvrage, en essayant de m’y prendre timidement d’abord. Comme si cela me dégoutait un peu alors qu’en réalité je suis déjà aux anges. Il a sa main sur ma nuque et presse pour que je m’active un peu plus.

« C’est bien, continue à être gentille comme ça, tu vas l’avoir ton vol ma jolie. »

J’ai gardé ma veste mais il la remonte et tire sur mon chemisier pour dénuder mon dos.

« Mets toi plus à l’aise, t’es pas confortable là. Allez, agenouille toi sur le siège, tu vas voir, tu seras bien mieux pour sucer. »

Je m’exécute.

« A quelle heure déjà ton vol ? 19h tu as dit ? »

Moi, la bouche pleine : »Ou…i, c’est…humff…ça. »

Je ne sais comment il accède à ma chatte si vite mais le fait est que je sens un doigt s’introduire dans ma fente.

« Mais c’est que tu mouilles vraiment ma jolie ! » Là sa surprise est totale.

« Si je m’attendais tu es vraiment une garce ! »

Je continue à sucer cette fois avec plus de conviction.

La suite du trajet se passe dans cette position. Il me fouraille la chatte et je suce du mieux que je peux. Comme la voiture ralentis parfois sur la rocade je me demande ce que l’on peut voir depuis les voitures à côté. Si j’étais restée assise et que je l’avais juste sucé j’aurais dit sans doute rien. Mais là agenouillée sur le siège passager avec sa main sur mon petit cul je n’en étais vraiment pas certaine du tout.

J’accélérais le rythme en me disant qu’il fallait que je le finisse avant d’arriver à la dépose minute pour avoir quand même le temps de me refroquer. Mais je n’avais aucune idée de son endurance et sa queue bien dure me laissait craindre le pire. Heureusement (ou malheureusement finalement) il déchargeait sans prévenir (mais en hurlant) une bonne giclée de sperme au fond de ma gorge. Je prenais soin de le garder en bouche pour bien tout avaler. Je pressais de lèvre en reculant ma bouche pour faire sortir jusqu’à la dernière goute. Nous venions de prendre la sortie vers l’aéroport. J’avais tout juste le temps de me rhabiller avant qu’il me laisse sur la ligne « kiss and fly ».

Je le quittais d’un : »bon bin merci. » un peu piteux. Lui me répondais dans un grand sourire : » Mais avec plaisir ! ».

 

Conseils aux filles comme moi qui veulent jouer les autostoppeuses sexy

Conseil n°1 pour autostoppeuse sexy : Arrêtez de psychoter !

Lorsque l’on veut tenter l’expérience de l’autostop et que l’on est une fille on fantasme forcément sur le type pervers et violent qui va nous laisser égorgée dans un caniveau après nous séquestré des mois dans sa cave pour nous transformer en esclave sexuelle. Bon, ok il faut être prudente. Mais il faut aussi arrêter de psychoter. Les tueurs en série sont tout de même bien plus rares que les types normaux ! Les (mal)chances de tomber sur un Jack l’éventreur ou un Francis Heaulme en faisant de l’autostop sont aussi grandes que de se faire attaquer par un requin en se baignant dans les calanques de Marseille. Statistiquement pas impossible mais fort improbable tout de même. Alors si l’envie vous prend de vous rejouer les putes de l’autoroute, l’auto-stoppeuse a 18 ans ou l’auto-stoppeuse n’avait pas de culotte, abandonnez un peu vos peurs et lancez vous dans l’aventure.

Conseil n°2 pour autostoppeuse sexy : Trouver le bon spot

A l’instar du surfeur qui sait attendre le bon créneau météo et connait les meilleurs spots à vague, l’autostoppeuse sexy doit trouver le bon spot et savoir quand l’exploiter pour maximiser ses chances de choper un chauffeur sur la même longueur d’onde qu’elle. Si j’ai dit qu’il ne fallait pas plus avoir peur de croiser Francis Heaulme qu’un requin blanc cela ne veut pas dire qu’il faille non plus aller nager seule exactement dans la passe aux requins blancs à la tombée du soir. Donc on évite de se poster dans les endroits louches en mini short, surtout de nuit bien sûr ! D’autant plus que le but n’est ni de se faire embarquer par les keufs pour racolage ni de se faire tabasser par le mac de votre voisine de trottoir !

Conseil n°3 pour autostoppeuse sexy : Choisir la tenue adaptée au spot

En général on surfe les vagues géantes de Hawaï avec une petite planche maniable alors que la longboard genre standup paddle est parfaite pour la petite houle. Pensez donc contexte et adaptez votre tenue au spot choisi.

Quelques exemples :

– Tailleur strict et porte document par exemple pour un cinq à sept en sortie de zone de bureaux.

– Bikini sous un Paréo en bord de mer

– Short en Jean, T-shirt, Sac à dos sur la nationale 6

 

Conseils aux chauffeurs en quête d’autostoppeuse sexy

Conseil n°1 pour trouver une autostoppeuse sexy : Le spot

Faites un peu marcher votre ciboulot. Essayez de penser 50% avec votre bite (pour la motivation) et 50% avec votre cerveau (pour trouver le bon spot). En fonction de la saison et de là où vous vous trouvez une myriade de bon spots existent : Les plages en fin de journée l’été, Les sorties de campus en fin de semaine (à partir du jeudi) , les entrées d’autoroute pendant les vacances ou aux veilles de grands WE. Partez en repérage, notez les spots où vous voyez des autostoppeurs. Repérez les parkings à proximité avec visuel sur l’endroit où les stoppeurs se placent. C’est certain que c’est bien plus long et aléatoire qu’un site de rencontres, il ne faut pas non plus se le cacher. Mais le jeu en vaut la chandelle. Soyez aux aguets, persévérez, la chance finira forcément par vous sourire.

Conseil n°2 pour draguer l’autostoppeuse sexy : Ne pas laisser le silence s’installer trop longtemps. Ni la camaraderie.

Je le suggère dans mon aventure sexy. Le silence ou la camaraderie superficielle sont deux ennemis à combattre. Relancer la conversation si le silence s’installe mais surtout orientez celle ci vers des sujets intimes forts et originaux. Discuter de la pluie et du beau temps n’a jamais permis de conclure sexuellement à ma connaissance !

Conseil n°3 pour conclure avec l’autostoppeuse sexy : Etablir le contact physique dès que possible.

Une astuce pour éviter que le trajet ne se transforme en une longue discussion amicale est d’établir un contact physique dès que l’occasion se présente. soyez attentif, il y a un tas de moment dans une conversation ou un mot peut être appuyé par un geste amical, chaleureux ou plus.

Conseil n°4 pour l’autostoppeuse sexy : Halte au viol !

Soyons clairs, il ne s’agit pas non plus d’un appel au viol. Vous avez trouvé une autostoppeue sexy. Si elle est sexy et qu’elle fait du stop seule c’est qu’à la base il y a une ouverture. Mais si malgré mes conseils la belle se dérobe il ne s’agit pas non plus que cela tourne au viol ! Laissez tomber. Si elle ne veut pas n’aller pas vous merdre dans la merde et vous faire ramasser par les flics le lendemain parce qu’elle aura porté plainte. Faite contre mauvaise fortune bon cœur, comportez vous en gentleman, essayez de chopper son numéro de portable pour une autre fois et retentez votre chance un autre jour avec une autre autostoppeuse sexy. Ou retournez sur votre bon vieux site de rencontres à plan cul.

Tout ça sans la pub avec en plus des inédits : l’e_book.

Sodomie, 5 conseils que vous ne trouverez nulle part ailleurs !

anuspoupe

Je ne sais pas si je peux me dire experte en la matière. Et après tout je m’en tamponne la chatte, j’écris ces conseils sodomie pour passer le temps agréablement en votre compagnie virtuelle. J’ai pu remarquer, au fil des messages perso que je reçois sur le site, de mes discussions avec mes amies ou de mes rencontres plus que coquines, que pas mal d’homme ne savent pas trop comment s’y prendre pour faire accepter la sodomie à leur partenaire ni même parfois comment la pratiquer lorsque la dite partenaire de jeu est open. Comme je n’aime pas les banalités ni les redites je vais donc essayer de vous trouver quelques conseils sodomie originaux que vous n’auriez trouvé nulle part ailleurs. Je le fais car j’aime me sentir unique pour vous. J’aime vous retenir le plus longtemps possible sur mon blog tout comme je m’efforce toujours de tenir en érection votre pine le plus longtemps possible dans tous mes orifices.

Et si vous voulez la liste de mes autres délires sexuels c’est ici

Conseil sodomie n°1 : On aime toute ça !

Je l’ai déjà écrit dans mon autre article sur l’enculade mais je le redis car trop d’hommes (et de femmes) pensent le contraire. Si vous lisez les articles du sexo-web politiquement correctes bienpensant à la aufeminin.com sur la question vous tomberez forcément sur des articles où l’on vous explique que toutes les femmes n’aiment pas la sodomie. On vous parlera de filles plutôt vaginales, d’autres plutôt clitoridiennes et d’une minorité d’anales. Bullshit ! comme dirait un sex friend américain. Permettez moi de penser et d’écrire que c’est de la grosse connerie. Pour en discuter régulièrement avec mes amies je peux vous dire qu’on aime toutes cela. Que même celles qui ne pratiquent pas la sodomie fantasment d’essayer et qu’à partir du moment où une femme aime un peu le cul (ce qui je pense est le cas de 99% d’entre nous) alors elle peut et veut prendre son plaisir aussi par le cul. Attention, je ne dis pas que la sodomie ne fait pas peur. Mais pensez à cette peur de l’enculade plutôt comme à un sentiment qui accroit notre fantasme et peut décupler le plaisir que nous prendrons. On est toutes prêtes à se faire enculer bien profond par Georges Clooney ! Voilà, c’est dit. Ce n’est pas la sodomie qui nous rebute, c’est juste parfois le mec qui veut nous la mettre bien profond !

Conseil sodomie n°2 : En parler ?

Vous lirez peut être à droite, à gauche que l’important dans un couple c’est la CO-MMU-NI-CA-TION. Il faudrait communiquer, tout passerait par le dialogue pour éviter les malentendus et les quiproquos. Et blablabla et blablabla. A en croire certains la sexualité ne serait qu’un des aspects de la vie de couple. Il faudrait échanger sur un pied d’égalité, dans le respect et la compréhension de l’autre. Franchement, à part si vous êtes en couple avec une licorne magique du pays de l’arc en ciel (ce qui est votre droit, je ne juge pas !) oubliez l’idée de traiter le sujet avec votre partenaire comme s’il s’agissait de la répartition des tâches ménagères. Par contre rien ne vous empêche d’amener le sujet directement au lit lorsque vous ramonez madame ou mademoiselle. Bien installé en levrette par exemple vous pouvez en profiter pour glisser à son oreille une phrase du genre : »La prochaine fois je te la mettrai dans le cul aussi. »

Il est peu probable qu’elle proteste à ce moment là, surtout si vous savez bien vous y prendre avec sa chatte. Ainsi elle se fera à l’idée, fantasmera sur la partie de baise suivante et vous pourrez sans crainte mettre la douce menace à exécution.

Conseil sodomie n°3 : Associez à la fessée

La fessée est à la sodomie ce que la sauce Roquefort est à l’entrecôte. Pas franchement indispensable mais tellement meilleur quand il y a les deux ! Une bonne fessée peut s’avérer un très bon prélude à une sodomie en règle. Si vous pensez la donzelle réticente essayez donc une petite claque sur le fesses. Savourez la surprise que vous créez ainsi. Récidivez un peu plus fort. Puis caressez pour créer du contraste. Remontez lentement le long des cuisses et tapez à nouveau. Caressez à nouveau l’intérieur de la cuisse, avancez deux doigts sur la fente humide. Appuyez le pouce contre l’anus…et…fessez là à nouveau. Croyez moi, un petit cul qui se laisse copieusement fesser est forcément disposé à accueillir la sodomie comme une suite toute logique de la séance !

Conseil sodomie n°4 : Kinésithérapeute tu te feras

L’entrecôte sauce Roquefort c’est bon. Mais il y a bien d’autres sauces qui peuvent fonctionner. J’aime le goût puissant du Roquefort mais parfois la saveur plus suave et délicate d’une sauce au vin peut me convenir avec une viande rouge.

Ainsi, le massage peut être une très bonne alternative à la fessée. Si vous massez, massez vraiment. Au contraire de la fessée qui a pour objet d’assoir votre domination et de présenter l’enculade comme une récompense pour un cul que vous avez allègrement martyrisé, le massage est une préparation plus longue et délicate. L’objectif est de détendre la belle. Elle est sur le ventre, vous massez d’abord les épaules et le cou sans vous presser. Il ‘agit bien de masser, pas de caresser, appuyez, malaxez chaque muscle. Si vous êtes avec moi avancez un genou entre mes cuisses, sous ma chatte que je puisse me frotter langoureusement à votre rotule. Massez le dos, bien symétriquement. Appuyez un peu plus là où vous sentez les muscles raides. Pour l’anus qui vous intéresse cela peut aider d’avoir une huile de massage. Mais ce n’est pas indispensable. A défaut, prélevez un peu de mouille de ma chatte. Je n’aime pas trop qu’on me crache à la raie mais j’ai une amie qui ne jure que par cela. Donc, à vous de voir. Soyez patient, un bon massage c’est au moins vingt minutes. Le risque étant que vous débandiez et ne soyez plus prêt le moment venu. Pitié, si c’est le cas n’attendez pas et prenez moi en levrette. La sodomie sera pour une prochaine fois ou juste ensuite si vous avez un regain de vigueur.

Conseil sodomie n°5 : Entrainez vous avant

Eh oui, cela peut vous paraitre étrange comme conseil mais, croyez en quelques expériences ratées et fiascos que j’ai eu avec des hommes qui pensaient pouvoir y arriver et ont du renoncer. La sodomie cela s’apprend. Et pas uniquement pour la femme dont l’anus doit être détendu. Si vous en avez envie et que vous n’êtes pas certain d’y arriver une fois le moment venu cela peut être fort contrariant. Alors, une seule solution : s’entrainer. Soit avec une sex friend déjà experte si vous en avez une (mais c’est plutôt rare), soit avec une fille rencontrée sur un site à plan cul du genre rencontres hard.

Si vous êtes plutôt du genre fidèle à votre compagne, ce qui est fort respectable, alors il est aussi possible de s’entrainer avec une poupée gonflable. Des modèles à moins de 100 € ont un anus assez réaliste. Voilà, ce dernier conseil ne vous paraitra sans doute pas très glamour mais je suis assez certaine que vous ne trouverez pas ailleurs ces cinq petit conseils pour bien enculer mon petit cul ou celui d’une autre qui vous résiste encore.








Yahtzee sexy pour la conversation amoureuse

laissons nou guider par le hasard
laissons nous guider par le hasard

 

Une des choses qui me rend complètement dingue au lit, sur le carrelage de la salle de bain ou la table de la cuisine c’est quand le mec me balance des mots très crus. Mais voilà, j’ai pu constater, à ma grande déception, que la plupart des hommes sont timides ou sans grande imagination lorsqu’il s’agit de m’humilier autrement qu’avec leur bite. Alors, à toutes fins utiles, j’ai décidé de créer une petite boite à outils pour renouveler et varier un peu les répliques que vous pouvez utiliser lorsque vous êtes avec moi. Ou avec toute autre grosse cochonne lubrique ou simplement femme ce qui est souvent un peu pareil passé un certain niveau d’intimité.

Les ingrédients qui nous font (presque) toutes craquer

En général je trouve qu’il faut que ce soit bien cru. Un langage un peu ordurier me plait. Peut être parce qu’inconsciemment j’associe cela à une des premières transgressions de l’enfance. Dire des gros mots est un des premiers interdits que l’on apprend à transgresser lorsque l’on est enfant. Au risque de faire de la psychologie de comptoir je pense que c’est quand même bien là que des choses de notre identité sexuelle se construisent.

Ensuite il faut, si possible, que cela soit légèrement, voire carrément humiliant. Pour moi s’il y a un moment ou un mec doit s’assumer en tant que mâle c’est bien quand il me baise !

Enfin, je craque quand c’est imagé, original, jamais entendu ailleurs. Que j’ai l’impression de me retrouver dans un porno dont les dialogues ont été écrits par Michel Audiar et je suis prête à me déchainer pour vous ! C’est peut être difficile, mais ça vaut vraiment le coup de faire un effort !

Notez que je suis consciente que ce n’est pas toujours simple. Dans le feu de l’action, certains d’entre vous peuvent avoir tendance à manquer d’à propos. Moi même il m’arrive d’être « sèche » bien que trempée par ailleurs !

J’ai donc eu l’idée d’un petit outil simple d’emplois pour vous aider à préparer quelques répliques qui peuvent s’avérer utiles.

Le Yahtzee sexy de la conversation amoureuse

C’est un Yahtzee amélioré puisqu’il se joue avec sept dés à six faces. Vous pouvez utiliser le tableau suivant pour générer 279936 combinaisons différentes qui fonctionnent assez bien.

Adjectif Nom Adjectif Verbe Adjectif Anatomie Adjectif
1 petite Chienne Bourgeoise Ramoner P’tit Cul Serré
2 grosse Cochonne Soumise Baiser Gros Chatte Mouillé
3 jolie Salope Vilaine Défoncer Joli Bouche Humide
4 belle Pute Gratuite Fourrer Belle Seins Profond
5 Grande Femelle Lubrique Niquer Sale Anus en feu
6 Bonne Truie chaudasse Bouffer Mignon petit Fesses Offert

 

Par exemple au yahtzee sexy 1,3,2,3,3,2,5 peut donner quelque chose du genre :

Toi, ma petite salope soumise, je vais te défoncer ta jolie chatte en feu !

Bien sûr vous pouvez aussi jouer une peu sur l’ordre 1,1,1,1,1,1,1 peut aussi donner

Je vais te ramoner ton p’tit cul serré de petite chienne bourgeoise.

Attention, il ne s’agit que d’une aide. Il ne faut bien évidemment pas hésiter à enrichir un peu vos propos.

J’utilise moi aussi ce yahtzee pour préparer ce que je chuchote à l’oreille de celui qui m’invite au restaurant quand je suis en déplacement. 4,3,5,1,6,1,4 peut ainsi donner dans ma bouche : « Pour le dessert je vais faire ma belle salope lubrique pour que tu viennes me ramoner bien profond mon mignon petit cul. »

Faites des essais, écrivez moi en commentaire ce que vous avez obtenu. N’hésitez pas à sortir des sentiers battus.

Le mieux restant bien sûr de pouvoir joindre le geste la parole ! Sur infidèle messenger vous devriez trouver quelques candidates sur lesquelles vous essayer à ce petit jeu de yahtzee.

Ou, si vous êtes un peu bizarre vous pouvez jouer le troll sur un site de sexcam avec ces filles qui, pour certaines, ont du répondant : PureLive.