Autant l’écrire honnêtement la semaine dernière j’ai choisi Christophe, alias monsieur Baise Voiture sur un critère bien particulier et presque vénal : Sa voiture. Cela faisait quelques temps, suite à un commentaire sur mon blog, que j’avais très envie d’un plan cul dans une voiture (baise voiture). Aussi étonnant que cela puisse paraitre, à part une fellation il y a des années quand j’étais baby-sitter je n’avait jamais baisé dans une voiture avant la semaine dernière. Sur infidèle messenger je triais donc les nombreuses sollicitations d’hommes en quête d’un bon plan cul en Pays de Loire non pas en fonction du physique, ni même de ce qu’ils proposaient mais de leur bagnole ! Mon cahier des charges était assez précis. Je voulais un intérieur cuir, si possible d’une grosse familiale allemande ou, mieux, anglaise. Après pas mal de propositions de jeunots en BMW qui fleuraient bon la banlieue et le survêtement Tacchini (pas trop mon genre…) je tombais enfin sur celui qui me semblait le candidat idéal : Christophe, alias Baise voiture, 49 ans, marié, Jaguar XJ12 1993, 314 chevaux, intérieur cuir crème. Je donne tous ces détails car le type, une fois branché sur le sujet de sa caisse était intarissable. A certaines ce type de mec peut sembler pathétique mais pas pour moi. J’aime les hommes passionnés, cela quasiment quelque soit leur passion. Pour mon monsieur Baise Voiture c’était les belles anglaises et la lingerie sexy façon bourgeoise cochonne. Soit ! Franchement j’aurais pu tomber plus mal cela me convenait parfaitement. Cerise sur le gâteau, mon plan cul me proposait une soirée « all inclusive« . Monsieur Baise Voiture passerait donc me chercher vers 18h après mon rendez vous commercial pour m’inviter à dîner chez lui « en famille » et me reconduirait le soir à mon hôtel. Comme il travaillait dans un grand groupe industriel je serai ce soir là une collègue de l’usine de Marseille en déplacement à Nantes. Je salivait d’avance à l’évocation d’un plan aussi sophistiqué avec la joie perverse de me faire servir le dîner par la femme de mon amant.
Le choix de ma tenue me posait cette fois quelques difficultés. Il fallait que cela soit excitant mais qu’en même temps, à l’occasion du dîner, je puisse passer pour la parfaite collègue de Provence ingénieur en méthodes industrielles. C’est un sujet que je ne maitrise que très vaguement mais je me disais que sa bourgeoise ne devait pas non plus être une experte en la matière.
Mais ça se fringue comment une responsable méthodes dans l’industrie agro-alimentaire ? Malgré un mois de juin déjà avancé le temps était lourd et changeant. Je choisissais une robe tailleur bleue et un chemisier blanc sans fioritures. J’ajoutais des lunettes en écaille et un chignon. Mais une fois devant la glace je me faisais l’effet d’une caricature d’actrice porno dans un film des années 90 mettant en scène des secrétaires. Limite on aurait pu m’appeler Katsumi ! Cela n’allait pas du tout. J’abandonnais les lunettes ridicules, dénouais mes cheveux que je lissais simplement et je troquais le tailleur pour un Jeans Levis 501 qui soulignait mon cul sans non plus être outrageusement moulant. Christophe, mon Monsieur Baise Voiture, serait peut être un peu déçu de l’absence des bas résille, porte jarretelles et talons aiguilles dont nous avions parlé mais je jugeais cela plus prudent et je comptais bien me rattraper avec d’autres surprises que je dissimulais dans mon sac à main…
Effectivement, son bonjour un peu guindé quand il me vit arriver à hauteur de son anglaise garée en double file devant l’hôtel confirmait qu’il était un peu déçu de me trouver en jeans et baskets plutôt qu’en jupe talons et bas résilles. Comme nous nous faisions la bise j’appuyais consciencieusement mes lèvres sur sa joue et sortais un bout de langue pour le rassurer. Sa main sur ma hanche m’indiquait que nous étions sur la même longueur d’onde et je commençais déjà à sentir les petits picotements en haut de mes cuisses. Mes seins aussi réagissaient instantanément, malgré moi comme souvent.
En véritable gentleman il m’ouvrit la porte passager tout en laissant son bras gauche contre ma taille. J’attrapais sa main avant d’entrer dans la jaguar pour en porter l’index à ma bouche. Du coin de l’œil je pouvais distinguer la bosse de son pantalon. Bingo ! Le suçotage de doigt ça marche toujours !
Quand on me demande : »quelle est la première chose que tu regardes chez un homme ? » je réponds sans hésitation : »Ses souliers ! »
Ce n’est pas du fétichisme. Je sais que pour certaines tel détail physique est important, que le cul, les épaules ou la silhouette comptent énormément. Mais pour une fille qui aime le cul ce qui compte c’est bien la façon dont un homme va s’occuper d’elle et la faire jouir. J’ai pu remarquer qu’un homme qui prend soin de ses souliers, qui, quand il peut, y met le prix, est rarement décevant au lit, sur la table de la cuisine ou tout autre meuble où il me baise. J’ai tendance à penser qu’il en va de même pour l’intérieur de sa voiture.
Là, tout me semblait parfait. Le cuir odorant et propre sans paraître neuf, les boiseries du tableau de bord, le chrome parfait du levier de vitesses de la boite auto, jusqu’à la moquette sous mes pieds, tout me paraissait un appel à la volupté.
Quand Christophe Baise Voiture pris place côté conducteur et me demanda où je voulais aller avant le repas je lui répondais : »On s’en fiche, roule, je m’occupe du reste. »
Joignant le geste à la parole je me penchais pour un baiser langoureux dans son cou. J’embrassais goulument juste sous le menton, je suçais en prenant soin de ne pas y aller trop fort, salivant pour me faire humide mais sans risquer de lui laisser un suçon qui pourrait le compromettre une fois chez lui. Quand il mit le contact le douze cylindre se mit à ronronner doucement. Je n’avais pas bouclé ma ceinture et m’attendais vaguement à ce qu’une sonnerie désagréable me rappelle à l’ordre comme c’est maintenant le cas dans à peu près toutes les voitures. Mais il semble que cette fonction n’existait pas en 1993. Sans détacher mes lèvres de sa peau je posais une main sur son genou et le sentais lever le pied de la pédale de freins. La jag démarrait quasiment sans à-coup et Christophe Baise Voiture conduisait comme si je n’existais pas. J’aurais voulu qu’il mette la main sur ma cuisse ou dans mes cheveux mais rien de tout cela. Il regardait fixement devant lui, me laissant lécher son cou, prendre le lobe de son oreille entre mes lèvres maquillées d’un rouge très vif. La toile de son pantalon noir était légère et douce. Je remontais lentement le long de l’intérieur de sa cuisse. Il tendait la main, non pas vers moi mais pour allumer l’autoradio préréglé sur une chaîne d’infos en continu !
N’eut été la bosse que faisait son pantalon à l’entrejambe j’aurais pu croire que je ne lui faisais aucun effet. Mais l’objet de ma convoitise était bien là, tendant la toile pour laisser deviner un calibre plutôt au dessus de la moyenne. En en constatant le volume dans ma main je ne pouvais retenir un « oh! » de surprise ravie. Qui, enfin, lui arrachait un sourire faisant naître une fossette charmante au coin de ses lèvres.
-« Il m’a l’air sacrément bien monté le petit mari volage ! » glissais-je à son oreille.
-« Tu trouves ? pas déçue alors ? »
-« Ah, ça va dépendre de la suite, mais tout cela commence fort bien à mon goût. On peut en voir plus ? »
-« Je t’en prie, fais toi plaisir, mets toi à l’aise. »
Cela il ne fallait pas me le dire deux fois. Je déboutonnais deux boutons du haut de mon Levis pour lui laisser voir mon string de dentelle blanche. J’avais déjà furieusement envie de le sucer mais je jugeais préférable d’attendre pour voir s’il craquerait avant moi et abandonnerait un peu son attitude distante. Je faisais mine de me désintéresser de lui pour farfouiller dans mon sac à main à la recherche de mon tube de rouge à lèvres Chanel. Mais avant de sortir le tube de rouge je posais sur l’accoudoir central les deux paires de menottes que j’avais décidé d’emmener cette fois avec moi. Puis je baissais le pare soleil pour utiliser le miroir de courtoisie et me repassais habilement un coup de rouge à lèvres en lâchant désinvolte : »Promis je ferai bien attention à ne pas tâcher le pantalon de monsieur. »
Lui, essayant de paraitre tout aussi désinvolte tripotait la chaînette d’une paire de menottes et me demandais finalement si j’avais en tête de l’attacher.
-« Bin, pour tout dire c’est un cadeau, à toi d’en faire l’usage qui te semble le plus approprié…Lui répondis-je en les déposant sur la banquette arrière. Mais pour le moment je crois que j’ai très envie d’un petit en cas ». Je me penchais par dessus l’accoudoir central ne pouvant plus trop résister à la bosse qui semblait m’appeler. Je déboutonnais son pantalon, tirais sa chemise et commençais à embrasser son ventre très légèrement replet tout en tâtant l’objet de mon désir à travers le tissus de son caleçon.
Je ne sais pas si c’était juste l’ambiance ou moi qui prenait plus mon temps que d’habitude mais sa queue me semblait juste parfaite. Il ne faut pas croire que j’ai eu des milliers, ni même des centaines d’amants. En réalité quelque dizaines tout au plus. Et là j’avais sous la main une queue dure et surtout longue juste comme il faut. Elle me semblait plus large que la moyenne mais pas au point de m’effrayer. Je la dégageais du caleçon et commençais à la prendre entre mes lèvres non pas par le bout mais plutôt de côté. Si ma bouche ne me trompais pas sa pine était effectivement sensiblement plus épaisse que la moyenne et plutôt longue.
Monsieur Baise voiture continuait à conduire tranquillement mais enfin semblait s’intéresser à moi. Je sentais sa main posée sur mon cou.
-« Alors elle te plait ma queue j’ai l’impression. »
-« Un peu mon neveu ! » A-t-on jamais fait réponse plus ringarde et tarte que celle là ? Je n’en sais rien mais c’est la première qui me venait à l’esprit et de toutes façons pour une fois je n’avais pas très envie de parler. Je voulais juste continuer à savourer cette merveilleuse colonne de chair qui s’offrait à moi.
Nous étions encore en ville et à chaque fois que la jaguar s’arrêtait, j’imagine à un feu, je me demandais si l’on pouvait nous voir. Je pense qu’à moins de nous trouver à côté d’un poids lourd je restais invisible à nos voisins de files. Du moins je l’imaginais, sans vraiment en être certaine. Il me semblait que nous avions trouvé notre rythme de croisière. je suçais lentement, ma joue et mon oreille appuyant contre son ventre nu à chaque fois que la voiture redémarrait. Comme il restait bien raide mais ne semblait pas s’agiter j’avais le sentiment que cela pouvait durer ainsi des heures. Ce qui n’était vraiment pas pour me déplaire. Je n’essayais d’ailleurs pas d’accélérer le rythme ou de sucer plus fort ou plus à fond. Il me caressait la nuque et les cheveux tandis que je continuais à aller et venir par le côté le long de cette baguette magique de tout premier choix. Après une dizaine d’arrêts redémarrages je sentais que la voiture accélérait puis semblait stabiliser sa vitesse comme si nous étions sur une autoroute ou une voie rapide. Sa main passait de ma nuque à mon dos, tirant sur mon chemisier pour le sortir de mon jean desserré. Je ne voulais pas qu’il nous envoie dans le décor et en même temps je ne souhaitais pas non plus qu’il arrête la voiture. En tous cas pas tout de suite. C’était trop bon d’être là à le sucer sachant que nous roulions. La grande berline avait un toit ouvrant. Quand il l’ouvrit l’air entra dans le véhicule. C’était un peu bruyant mais rafraichissant. J’ôtais mes baskets et m’agenouillais sur le siège passager pour être en meilleure position pour continuer à sucer et surtout pour lui donner plus facilement accès à mon cul. Quel bonheur de sentir alors sa main progresser le long de mon dos pour glisser les doigts sous ma culotte. Je baissais mon jean, nous étions décidément sur la même longueur d’onde. Le problème de la Jaguar XJ12, par rapport à ma fiat 500, c’est que son empattement ainsi que le gros accoudoir central ne favorisent pas vraiment le rapprochement entre le conducteur et sa passagère. Si l’accoudoir contre mon ventre maintenant à nu ne me gênait pas trop mon cul restait encore un peu trop loin à mon goût de ses doigts. Ne pouvant me caresser directement il tirait et relâchait mon string pour que le tissu me rentre dans la foufoune qui commençait à être bien lubrifiée. C’était bon mais j’avais de plus envie de sentir ses doigts me fouiller. Et pour cela il fallait que je gagne dix à vingt bon centimètres. Impossible sans arrêter de le sucer. Je continuais donc ainsi encore quelques kilomètres. Lui ne semblait pas accélérer le mouvement, il continuait tranquillement à me branler avec mon propre string et si sa belle bite ne mollissait pas rien ne laissait indiquer qu’il était au bord de l’orgasme. Je constatais avec émerveillement que nous avions encore sans doute pas mal de marge. Je décidais cependant de prendre la quinzaine de centimètres qui me manquait et faisais passer sa queue de ma bouche à mes seins pour une branlette espagnole. Enfin sa main se retrouvait au niveau de ma cramouille et j’éprouvais le délice d’un doigt s’insinuant exactement là où ça fait du bien. Il me caressait avec toujours la même lenteur appliquée, son pouce contre mon anus. Du pouce il pressais mais juste assez doucement pour ne pas forcer le passage. A chaque mouvement que je faisais pour le branler avec mes seins j’appuyais mon cul pour absorber son pouce mais il se dérobait me laissant légèrement frustrée de ce point de vue.
-« Tss tss, t’inquiète, tu vas en prendre aussi dans le cul mais je veux que ce soit directement avec ma queue. Tu as l’air de l’aimer dis donc ma queue hein ? »
-« Je l’adore, hummm, une des plus belle que j’ai jamais eue, je t’assure. »
Il me donne une claque sur les fesses.
-« Comment ça une des ? T’en as eu de meilleures ? »
-« En fait j’en ai vu quelques unes mais c’est effectivement la plus belle. » Et c’était pour le coup sincère.
Il me caresse à nouveau satisfait, je pense, de ma réponse.
Comme nous doublions un camion je constatais qu’il ralentissait exprès. Cela ne manqua pas, nous étions récompensais par un coup de klaxon retentissant.
Je pense que nous devions être sur le périphérique quand je sentais la voiture prendre une sortie. Nous alternions à nouveau les arrêts et redémarrage ainsi que les virages à 90 degrés. Je ne sais pas s’il avait allongé le bras ou si j’avais trouvé une position un peu différente mais je pouvais à nouveau le sucer en gardant le contact de ses doigts fouillant mon intimité.
Un trottoir, une pente descendante, l’obscurité. Nous étions dans un parking sous-terrain.
Lui : « Rhabille toi, on est arrivés. Prête pour le dîner ? »
Moi : « Heu ?! on passe pas sur la banquette arrière ? »
Lui : « T’inquiètes, c’est pas fini, je veux garder le meilleur pour le dessert. En plus on est déjà un pas mal en retard et ma femme est assez…disons… suspicieuse… »
C’est ça, suspicieuse ! On le serait à moins. Déçue et en même temps terriblement excitée de découvrir comment se déroulerait la suite de la soirée je reboutonnais mon jean et mon chemisier.
La suite au prochain épisode…Mais en attendant si la queue vous en dis vous pouvez lire (ou relire) esthétichienne en chaleur.