Grosse cochonne, j’ai testé à Macon

Grosse cochonne
lien vers un site où je fais la grosse cochonne

D’ordinaire j’affectionne plutôt les plans distingués, voire luxueux. Vous l’aurez compris si vous me lisez depuis quelques temps, je suis une femme qui aime les belles choses, les beaux hôtels et, même si j’ai une pratique sexuelle assez débridée, j’aime que cela soit fait dans un environnement agréable et je prends soin des moindres détails. Bref, je veux bien être une poule mais de luxe s’il vous plait ! A première vue tout le contraire d’une grosse cochonne vulgaire.

Pourtant un soir, dans un beau restaurant de Biarritz avec mon mari, je pensais (à juste titre !) être la femme la plus désirable de la salle. C’était sans compter sur l’arrivée d’une pouffe à gros seins en mini jupe ras la touffe, T-shirt à paillettes et rire aussi idiot que haut perché. Elle était au bras d’un homme en costume qui aurait pu être son père mais ne l’était sans doute pas… En général dans ce type de situation, aux différentes tables, les commentaires moqueurs sont la règle. Je voyais bien, moi, que derrière les quolibets, presque les insultes, chaque homme dans le restaurant brulait d’un désir aussi évident qu’inavoué. Et peu de femmes étaient dupes de la situation. Les « je suis sure que c’est une pute » proférés par les femmes respectables cachaient, j’en suis certaine, une gène et une jalousie pour l’effet que produisait la donzelle sur leurs petits maris. Eux tentaient de piquer le nez dans leur assiette. C’était peine perdue tant leurs regards étaient irrésistiblement attirés vers la table à côté de la fenêtre attribuée aux nouveaux arrivants. Je riais intérieurement de constater que ceux que le hasard avait placé dos à la grosse cochonne étaient pris d’une irrésistible envie de se lever pour aller aux toilettes.

Ce soir là mon mari, qui d’habitude se contente d’un minium syndical de samedi soir, s’est révélé presque à la hauteur, trouvant même le chemin de mon cul pour une sodomie qu’il n’avait jamais osé pratiquer avec moi. Bon, pas de miracle non plus, il reste mon mari. Sage et plan plan jusque dans notre lit conjugal. Je le soupçonne d’être bien plus fun avec ses maitresses levées sur internet. J’imagine qu’elle ne se gênent pas pour faire la grosse cochonne avec lui.

Je me suis souvenu d’un oncle qui disait toujours : « On n’attrape pas les mouches avec du vinaigre ! » et j’ai d’un coup eu envie, pour une nuit, d’être cette grosse cochonne qui fait saliver les hommes et enrager les bourgeoises de province.

Je me créais donc un profil temporaire et spécial sur Rencontres hard. J’abandonnais la photo de profil suggestive avec mon visage et la remplaçais par une bien salace de grosse cochonne sans équivoque. Puis me concentrais sur les quelques lignes d’accroche :

« Trouverais-je un homme qui osera me sortir et m’exhiber en public habillée en grosse cochonne salope et sexy ? Pour cet homme qui n’aura peur ni des regards pleins de reproche des bourgeoises de Macon ni de la morgue jalouse de leurs époux je me ferai chienne en chaleur et sans tabous. »

Je signais d’un Tagrosse Cochonne comme pseudo.

(bon pour me lire sans pub il y a l’e_book… )

Bien sûr, comme d’habitude, à peine mon profil posté les demandes pleuvaient sur le site. Je crois vraiment être dans le vrai quand je dis que ces sites de rencontre sont quand même mieux pour les filles comme moi qui ont le choix que pour les hommes comme vous qui devez vous faire concurrence pour convaincre un plan cul de votre ville que c’est avec vous qu’elle prendra son pied. Enfin, je ne vais pas m’en plaindre. Cette fois je choisissais différemment de d’habitude, non pas en fonction du physique qui me plaisait le plus mais justement en imaginant de l’effet que ferait notre couple sur les personnes que nous croiserions. Il me fallait un homme plutôt banal, si possible un peu enveloppé entre deux âges. Philippe, la cinquantaine bedonnante mais l’air plutôt enjoué et bon vivant, me plut immédiatement. En SexCam je reprenais tout naturellement mon accent de cagolle niçoise un peu simplette et j’insistais pour qu’il me sorte dans un beau restaurant aux alentours de Mâcon. Il me proposais l’O des vignes dans le charmant village Fuissé. Une fois n’est pas coutume, j’acceptais qu’il passe me « prendre » en bas de mon hôtel à Macon. Ce qu’il fit, tout fier de sa BMW 535 plus très neuve mais impeccablement entretenue et au cuir brun juste patiné comme j’aime. Je décidais de jouer les pipelettes intarissables tout le long de la route pour tester un peu sa patience. Je sautais du coq à l’âne, parlant indifféremment de ma passion pour les belles voitures, d’un ami d’enfance imaginaire qui tenais un restaurant en Provence, de son invitation à sortir de Macon que je trouvais « trop chou » et que j’étais toute émoustillée de rencontrer quelqu’un comme lui, bon vivant qui savait vivre et ne serai pas déçu avec moi. J’en faisais des tonnes et, beau joueur, lui souriait et me trouvait « vraiment fraiche et charmante » alors que je suis certaine qu’il se réjouissait d’avoir levé une grosse cochonne naïve à souhait.

J’avais donc décidé, niveau look, de me la jouer grosse cochonne ultra provocante. Jupe rose fluo très courte qui m’arrivait au ras des fesse avec une large ceinture en sky rouge, chaussures à talons aiguille rouges elles aussi et T-shirt ultra moulant blanc sans rien en dessous. J’avais hésité entre les bas et les collants. Les bas c’est sexy et les hommes adorent, mais avec la jupe vraiment très courte cela n’allait pas. J’avais donc une paire de collants rayés multicolores. Les rayures horizontales mettaient outrageusement en valeur le galbe de mes cuisses. Autant dire que notre entrée dans le restaurant ne passa pas inaperçue… Exactement comme je le rêvais, quatre tables avec des couples et une table de six personnes sur trois générations constituaient l’assistance. Tout sentait impeccablement la bonne bourgeoisie de province et, exactement comme à Biarritz trois semaines plus tôt aucun homme ne pouvait s’empêcher de jeter des regards furtifs. Sauf que cette fois c’était vers ma table que se portait leur attention ! Philippe semblait ravi, la serveuse (qui était aussi la patronne du lieu) semblait passablement contrariée à en juger par l’air pincé avec lequel elle prit notre commande. En bonne salope je demandais si l’on pouvait d’abord boire un apéritif avant de choisir le repas. Je voyais bien que la patronne avait envie d’expédier cela le plus vite possible et moi j’étais prête à tout pour faire durer et savourer ce moment rien qu’à moi. Triple kir royal, une bouteille de rouge à deux dont je sifflais plus des deux tiers pour accompagner le dîner qui était vraiment presque parfait ! J’ai souvenir d’un homard servi en deux fois vraiment très bien. Je continuais en mode pipelette, parlant et riant assez fort. Mon compagnon semblait s’amuser et faisait même semblant de s’intéresser à ma conversation sans queue ni tête. Moi je commençais à être bien éméchée au moment du dessert. Philippe, en vrai gentleman, demanda si je voulais un digestif. Normalement c’est la patronne qui doit offrir cela d’elle même mais, allez savoir pourquoi, elle ne le fit pas pour nous… Je choisi une poire et lui un calva qu’il me laissa boire se souvenant opportunément qu’il devait nous reconduire à mon hôtel. sur le chemin du retour j’avoue que je me suis endormie comme une loque sur son épaule et qu’il a du me réveiller une fois garé dans le parking de l’hôtel. Je me secouais un peu, m’excusais piteusement d’avoir dormi tout le trajet en lui assurant que c’était pour être bien en forme pour la suite. Il ne put réprimer un ouf de soulagement que je trouvais fort attendrissant.

Coup de chance, un autre client montait en même temps que nous dans l’ascenseur. Je me collais à Philippe de la manière la plus provocante possible. J’étais passablement alcoolisée et j’en rajoutais juste par perversité : »Dis, si je te suce pas assez bien tu vas me donner une fessée méritée ? Hein que tu vas t’occuper de mon petit cul de grosse cochonne mon chéri ? » je me collais encore plus et l’embrassais dans le cou. Je bois rarement autant car je n’ai pas besoin de cela pour me désinhiber. Mais là c’était diablement bon d’être limite saoule. Je tenais tout juste debout et devais m’accrocher à mon partenaire. Le grand type avec nous dans l’ascenseur était vert de jalousie. Exactement ce qu’il fallait pour m’exciter encore davantage. Mon Philippe n’osait pas trop bouger, mais je pense qu’il était bien content de la situation. En tous cas ma main dans la poche de son pantalon me laissait présager un bon moment sous peu !

Arrivés à notre étage nous sommes tous les trois sortis de l’ascenseur et Philipe me soutenais par la taille en m’entraînant vers ma chambre. Je lui avais laissé les clefs et lui étais réellement reconnaissant de quasiment me porter jusqu’à la porte. Du coin de l’œil je constatais ravie que l’autre trainait à ouvrir sa porte juste un numéro avant nous. Nous allions avoir un mur mitoyen et il n’allait pas être déçu !

A peine entrés dans la chambre j’enlaçais mon Philippe pour l’embrasser goulument. Il me pressais les fesses mais, gêné par le collant il ne savait pas trop où mettre les doigts.

-« T’inquiètes, tu auras accès à tout mon chéri. » le rassurais-je en déboutonnant sa chemise. Je parlais fort, espérant bien sur que notre voisin de chambre entendait. J’enlevais mon T-shirt pour coller ma peau contre la sienne. J’étais déchainée, sans doute aidée par l’alcool. Il fallait absolument que je le suce ! Je le poussais sur le lit et me mettais en position de 69 pour le sucer à fond, pressant ma chatte contre son visage.

-« Vas-y, déchire mes collants et bouffe moi ! » Je criais presque saoule comme une grosse cochonne.

Il ne se fit pas prier et je me souviens distinctement du son que fit le tissu en se déchirant. Je le suçais copieusement et lui me fouillait avec ses doigts et sa langue. J’avais les seins pressés sur sa bedaine et je ne sais pas lequel des deux suait le plus ! D’habitude j’aime les hommes bien faits mais là cela m’était égal. J’étais sa grosse cochonne en chaleur et rien d’autre que cela ne comptait à cet instant.

-« T’as promis que t’allais m’enculer hein ?! Tu prendras un peu ma petite chatte en levrette avant hein ! ». C’était trop bon de tout décrire, certaine que le voisin, seul comme un con, entendait.

Philippe avait bien moins bu que moi et il fini de ravager mes collants pour me prendre par derrière d’abord en levrette, me tirant pas les cheveux. Enfin il se lâchait aussi verbalement : « T’es une bonne grosse cochonne, j’adore ta chatte, vas-y, bouge comme une truie, couine un peu pour voir, t’aime ça hein ma salope. T’es ma grosse cochonne hein ? Ma bonne grosse cochonne rien qu’à moi ! Couine le moi, te gêne pas ! »

« Oh oui, je suis ta grosse cochonne, tu peu m’enculer comme une chienne, vas y prends mon cul, fais toi plaisir ! ».

Il ne fallait pas le lui dire deux fois. Il du presser un peu pour rentrer mais bourrée comme j’étais ça ne fut pas trop difficile de me détendre. Je couinais et continuais à faire ma grosse cochonne pour l’encourager. J’ai connu bien plus violent mais c’était tout de même très bien. En tous cas il ne semblait pas se fatiguer et nous priment un rythme bien régulier. J’avais le front juste contre le mur et le cognait à chaque fois qu’il s’enfonçait en moi. Je jubilais de penser à ce que le pauvre voisin devait endurer.

On a baisé comme ça assez longtemps puis dormi, puis rebaisé, puis redormi puis rebaisé avant de nous doucher pour descendre au petit déjeuner.

L’autre était là, la mine mauvaise. D’autres clients aussi tournaient autour du buffet des croissants, bacon et œufs brouillés. Leurs regards noirs prolongeaient mon plaisir sadique. J’étais pour encore quelques minutes une grosse cochonne comblée !

Post scrotum : N’hésitez pas à commenter et à partager, car tout est bon dans la grosse cochonne !

Si vous m’avez aimé en grosse cochonne lisez aussi esthétichienne en chaleur

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SexCam, page offerte à mon amie Thaïlandaise Lamoon

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Site de rencontre plan cul, une sélection

 

Une fois n’est pas coutume, je fais cadeau de cette page à une copine qui veut se faire une peu de publicité. Mes excuses par avances aux lecteurs qui attendent une de mes nouvelles aventures…

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ma photo de profil sur Asiat Messenger

 

Sawadi à toi qui arrives sur cette page. Tout d’abord un grand merci à ma copine Lucie qui accepte gentiment de me prêter un espace pour parler un peu de moi et me faire un peu de publicité.

Mon nom est Lamoon, ce qui veut dire douceur sans fin en Thaï. Je suis stripteaseuse professionnelle depuis maintenant 3 ans. Deux soirs par semaine je me produit dans une boite à Pole dance de Lyon. J’aime cela et je n’en ai pas honte mais je trouve que c’est injuste que 90% de ce que dépensent les clients aillent dans la poche du propriétaire du bar alors que nous, les danseuses, ne devons compter que sur nos pourboires pour nous en sortir. Il ne faut pas croire que toutes les danseuses sexy sont des prostituées. Oh, bien sûr j’ai des copine qui partent avec les clients et se font payer pour des prestations disons moins sages. Mais c’est loin d’être la règle. Moi j’ai besoin pour aller plus loin qu’une danse de savoir à qui j’ai à faire, de parler longuement, de plaisanter, éventuellement de construire une mini relation sur plusieurs fois. C’est pour cela que, au final, je préfère la SexCam avec chat de chez moi aux prestations en live dans une boite à striptease. En plus, même si pour le client (que je préfère appeler partenaire) c’est bien moins cher, je touche pratiquement autant car il n’y a pas le patron de la boite qui se sert au passage !

En SexCam j’aime danser, écarter mon string délicatement pour glisser un doigt dans mon minou tout étroit tout en chattant avec mon partenaire. J’aime suivre ses instructions, rentrer un second doigt exactement quand il me le demande et caresser juste sur le bord sur ses ordres. J’adore quand le spectateur m’impose de rester juste au bord alors que j’ai envie de me faire jouir. C’est maxi excitant d’être comme téléguidée par un spectateur qui sait me diriger comme un metteur en scène. Si j’ai eu un bon feeling alors il arrive que je donne mon pseudo sur Asiat Messenger pour aller plus loin et nous rencontrer pour de vrai et cette fois juste pour mon propre plaisir avec l’homme que j’ai librement choisi. Car, on a beau dire rien ne remplace le contact de la peau, la vraie chaleur d’un sexe d’homme entre mes seins, entre mes lèvres ou frappant sur mon petit cul rebondi. Alors, si le garçon est vraiment bienveillant, s’il sait se comporter en gentleman et suit par exemple les conseils que j’ai pu lire sur ce blog en matière de sodomie, il est possible que je place mes mains sur mes fesses pour les écarter et ouvrir le passage là où je n’accepte que très très peu d’amis…Voilà, je crois que tout est dit. Je veux être sincère en écrivant que c’est quand même rare que j’accepte de rencontrer en vrai mes partenaires SexCam. Mais quand un homme a réussi, rien qu’en me guidant à distance, à me faire jouir alors il a vraiment toutes ses chances !

 

Note de Lucie : Je mets ci dessous un lien dynamique vers deux sexcameuses en ligne actuellement sur ton site de webcam sexy – histoire de rentabiliser un peu ;o) –

 

Site de rencontre plan cul pourquoi je les aime ?

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Site de rencontre plan cul, une sélection

 

Souvent des copines me demandent pourquoi je suis accro à mon site de rencontre plan cul alors qu’elles pensent que si j’ai vraiment envie de tromper mon mari je n’ai qu’à lever le petit doigt pour avoir à peu près n’importe quel homme normalement constitué dans mon lit. Là j’ai envie de leur répondre que c’est plutôt dans ma bouche ou dans mon cul que j’ai envie d’avoir un homme mais comme certaines restent un peu prudes je préfère ne pas choquer…

Voici donc sept bonnes raisons pour lesquelles je préfère un site de rencontre plan cul aux autres modes de drague plus « traditionnels ». J’ai choisi sept mais je pourrais en donner davantage. C’est juste parce que ce chiffre me fait penser aux sept péchés capitaux.

Numéro 1 : Les règles du jeu sont claires

Avec un site de rencontre plan cul les règles du jeu me semblent infiniment plus claires que dans les autres lieux de drague. Un mec même levé en boite peut vite devenir lourd et collant. Ce n’est pas parce que j’ai ouvert mes cuisses longilignes à la main qui remonte vers ma culotte lors d’un roulage de patin en boite que cela veut dire que j’ai envie de me promener au marché du dimanche matin suivant main dans la main. Un homme branché sur un site de rencontre plan cul aura un comportement bien plus simple et réglo vis à vis des à côté de notre partie de jambes en l’air. C’est en tous cas ce que j’ai pu constater en presque deux ans de pratique.

Numéro 2 : Moins de faux plans que sur FB ou Tinder

Un site de rencontre plan cul est en général payant pour les hommes qui y sont inscrit. En tous cas passé l’offre d’essais gratuite. Cela permet de faire le tri entre les jeunots pas sérieux qui veulent juste s’amuser à distance et donnent des rencards auxquels ils ne se présentent jamais ou ne sont intéressés que par une relation épistolaire à la FB. En répondant uniquement aux hommes du site de rencontre qui y sont inscrits depuis un certain temps je suis certaine d’avoir à faire à un candidat sérieux. Pareil pour Tinder, j’ai essayé (comme tout le monde) et je me suis vite rendu compte que l’application est victime de sa popularité et abrite trop de curieux qui n’iront pas jusqu’au bout. En plus j’aime planifier précisément mon plan cul. Si j’ai envie d’une fessée déculottée autant l’indiquer dans mon profil plutôt que de juste mettre une jolie photo pour plaire à un minet qui ne saura pas s’y prendre avec moi.

Numéro 3 : Site de rencontre plan cul, un vrai gain de temps

Il ne faut pas croire, je ne suis pas une affamée de cul qui se fait culbuter par cinq mecs différents par semaine. Mon rythme idéal c’est plutôt un ou deux, voire trois plans cul adultères bien préparés par mois à l’occasion de mes déplacements professionnels. Pour cela un site de rencontre plan cul est très pratique. Je « drague » tranquillement à distance les jours précédant mon déplacement et mon amant choisi avec soin et chauffé à blanc par sexcam me rejoint le soir à mon hôtel. Avec le taff que j’ai je me vois mal sortir dans un bar ou en boite pour draguer après mes rendez vous commerciaux pour au final ramener un mec alcoolisé dans ma chambre à deux heures du matin. Souvent je dois me lever tôt et être en forme pour mon boulo.

Numéro 4 : L’écrit, la distance et l’anonymat désinhibent

Ce n’est plus un mystère, j’aime écrire. Et j’adore qu’un mec me chauffe en m’envoyant des sextos. J’ai pu remarquer que la distance et l’anonymat que garanti un site de rencontre plan cul désinhibe beaucoup les hommes et qu’ils se lâchent bien plus ainsi en me proposant des plans bien hard et très inventifs. Nous parlons accessoires et costumes, ce que je me vois mal faire dans un bar avec un parfait inconnu même si je le sucerai plus tard.

Numéro 5 : Sexcam et site de rencontre plan cul

Celle ou celui qui n’a pas essayé sérieusement la sexcam ne peut pas comprendre. Dire que ce n’est pas du sexe et qu’il ne s’agit que d’un Ersatz de relation sexuelle n’a rien compris. Le site que j’utilise offre bien sûr la possibilité de faire de la sexcam de manière sécurisée et anonyme. C’est ultra excitant et cela permet d’utiliser des objets insolites pour le plus grand plaisir des deux côtés de la webcam. En plus une fille peut s’inscrire sur un site de show payant et faire quelques sous en s’exhibant, que demande le peuple ?

Numéro 6 : La géolocalisation, atout majeur du site de rencontre plan cul

Pas la peine de vous faire un dessin, avec mes déplacements aux quatre coins de l’hexagone c’est une fonctionnalité primordiale d’un site de rencontre plan cul pour moi.

Numéro 7 : Plus facile de dire non

Sur un site de rencontre plan cul on peut toujours dire non ou ignorer les demandes qui ne nous intéressent pas. Chacun est là pour faire des rencontres et personne ne va perdre son temps à vous harceler pour avoir un rendez vous ou pour échanger. C’est bien différent de FB où les pop-up messages n’arrêtent pas dès que vous mettez une photo un peu sexy ou que vous manifestez de l’intérêt pour le sexe. Ne pas répondre sur FB est considéré comme impoli alors que sur un site de rencontre plan cul cela n’a pas de conséquence et chacun passe vite à autre chose.

Voilà, bien sûr ce que je dis dans mes autres articles reste vrai et hélas pour vous messieurs, il y a bien moins de femmes que d’hommes sur ces sites de rencontre hard et on y croise beaucoup de faux profils. Mais sachez que je suis assez intarissable sur la question dès que nous buvons quelques verres entre copines et que j’ai déjà réussi à convaincre trois de mes amies d’essayer. Voyez je ne suis pas ingrate et je travaille pour vous afin que plus de filles sautent le pas comme moi ! Si vous vous demandez quel site choisir ou même pourquoi vous inscrire sur un site vous pouvez aussi lire cet articles sur le sujet : Comment choisir un site de rencontre plan cul choisir

Bonne ou mauvaise n’hésitez pas à partager dans les commentaires vos expériences de sites de rencontre.

Sodomisée sur une chaise pour la première fois

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Site de rencontre plan cul, une sélection

Mes autres articles

Par derrière sur une chaise

Cette fois j’ai bien soigné mon profil sur infidèle Messenger pour un plan explicitement SM dans lequel je promets d’être bien soumise et docile. Jusqu’à présent je n’osais pas trop, me contentant d’allusions coquines mais sommes toutes assez sages. Et puis il y a quelque jours je me suis dis que finalement si c’est de cela dont j’ai envie pourquoi me réfréner et le cacher. Je me souvient de Sylvia Saint sodomisée sur une chaise dans le Labyrinthe et en pensant à elle mon profil devient donc, pour mes deux jours à Clermont Ferrand le suivant :

« J’ai bien peur d’avoir été très vilaine, j’ai eu des pensées impures et infidèles en regardant le frère de mon mari. Comme il est hors de question que je m’engage dans une aventure familiale dangereuse il me faudrait un homme qui accepte de me punir pour cela et de me faire passer l’envie de coucher avec mon beau frère.

Post scrotum : Très envie d’être attachée et sodomisée sur une chaise »

Je reconnais que c’est un peu tiré par les cheveux mais il y a pas mal de vrai derrière cela et justement, tirée par les cheveux ça pourrait me plaire…Pour plus de sureté j’ajoute la photo de profil qui va bien (Merci Marco pour la photo !)

ma photo de profil sur asiat messenger et infidèle messenger
ma photo de profil sur asiat Messenger et infidèle Messenger

 

Et me voilà submergée de demandes pour ma soirée Clermontoise ! Je choisi sans trop hésiter celui qui m’a l’air le plus sérieux. Quarante ans, bien habillé athlétique et très blond.

A peine entrés dans la chambre d’hôtel il m’ordonne de me dévêtir entièrement. Il a un léger accent nordique que je trouve très sexy. Je me retrouve agenouillée sur une chaise et il m’attache les mains dans le dos avec l’un de mes bas. Etre ainsi attachée est une première pour moi et je dois dire que c’est aussi inquiétant qu’excitant.

Il déboucle sa large ceinture de cuir et je prends peur en me disant qu’il va me fouetter avec. C’est sûr que c’est exactement le type de situation que je désirais mais, d’un autre côté, je n’ai pas vraiment envie de me retrouver avec des marques trop importantes sur les fesses qu’il faudrait « expliquer » à mon époux légitime dans trois jours. Mais c’est un peu tard maintenant pour reculer et je ne veux pas passer pour une poule mouillée. Même si, à bien y réfléchir, je suis une poule et je mouille carrément !

Je pense qu’il a saisi à mon regard l’angoisse qui me prend car il souri d’un air que je juge assez sadique en me contournant. Il fait d’abord glisser la sangle sur mes fesse lentement sur toute la longueur. Je m’attends au pire mais n’ose pas bouger, encore moins protester. Il serre la ceinture contre mes deux fesses et fait descendre lentement le long de mes cuisses jusqu’au dessus des genoux. Là il s’arrête finalement et fait passer la bande de cuir dans la boucle pour finalement serrer le tout fermement. Apparemment ce n’est pas de l’improvisation car il y a bien un trou supplémentaire à la ceinture qui permet de serrer mes cuisses l’une contre l’autre. Ne pouvant plus écarter les cuisses je commence à comprendre que ma chatte et mon anus vont se trouver bien plus étroits maintenant. Mais je ne soupçonne pas encore que c’est loin d’être le seul « avantage » de la situation pour mon amant. Déjà le revoilà face à moi, cette fois sans pantalon et apparemment très en forme ! J’avance ma tête autant que le permet ma position passablement entravée car j’ai vraiment de lui montrer ce que sais faire avec ma bouche. Et puis sucer attachée sur une chaise serait une première pour moi. Il me revient une image d’enfance où une tortue que nous avions essayais d’avancer sa tête vers une feuille de laitue. Mais il prend un malin plaisir à se tenir juste à une distance qui ne me permet de sucer uniquement de gland bien décalotté. ça me rend folle, je tire la langue le plus possible pour essayer de lécher mais sans beaucoup de succès. A tel point que la chaise bascule en avant. Un cri m’échappe alors car j’ai peur de me fracasser la tête en tombant mais heureusement il retient la chaise au dernier moment et moi je me mets à pleurer comme une conne tellement j’ai eu subitement peur. Il se fait cette fois plus tendre et me caresse les cheveux en acceptant enfin d’approcher à portée. Je suce goulument. Mes larmes coulent toujours mais c’est de soulagement et de plaisir car ses mains sur ma tête ne sont pas brutale mais juste encourageantes et caressantes comme il faut. C’est bon, incroyablement bon, je voudrais me caresser en même temps mais j’ai toujours les mains attachées dans le dos. Alors j’essaie quand même d’atteindre ma chatte par derrière avec mes doigts mais je ne parviens qu’à atteindre mon anus.

-« Attends, si tu veux t’occuper les mains j’ai quelque chose pour toi. »

Il prend une bouteille jaune d’huile de tournesol (le modèle 1 litre), l’ouvre et me la met dans les mains toujours liées dans mon dos. Je sens l’huile couler le long de ma raie et sur mes cuisses serrées.

-« T’inquiète, ça coule lentement, tu as le temps, bouge un peu, j’en veux aussi sur ton dos et surtout sur tes fesses ma belle. Mais surtout t’arrête pas de sucer, ça tu le fais très bien. »

Pour joindre le geste à la parole il prend mon menton dans sa main qu’il a plutôt grande et presse mes joues. Je fais de mon mieux pour continuer à sucer bien goulument en me concentrant aussi sur la bouteille que j’essaie tant bien que mal de promener sur mes fesses et le bas de mes reins.

Lorsque la bouteille est enfin vide il passe derrière moi et je sens sa bite remonter entre mes cuisses toujours maintenues serrées par sa ceinture. La sensation est assez étrange et frustrante avec l’huile. Pour lui j’imagine que c’est bien car sa queue glisse tout en étant serrée mais moi je meurs d’envie de l’avoir dans ma chate ou dans mon cul. Mais il continue à me baiser les cuisses serrées en prenant plaisir à ma frustration. Heureusement, petit à petit je sens qu’il remonte et maintenant à chaque va et vient sa queue frôle ma chatte. A chaque passage j’essaie d’aller à sa rencontre mais il se dérobe au dernier moment. Quand il m’encule enfin c’est comme une délivrance. Mes jambe toujours serrées par sa ceinture et l’huile qui m’a bien lubrifié l’anus font merveille. J’ai l’impression de sentir parfaitement chaque veine de sa bite dans mon cul. Au lieu de me défoncer comme ça m’est déjà arrivé il prend au contraire tout son temps avec un va et vient délicieusement lent dans mon cul. Je crie quand il jouit hélas un peu trop tôt à mon goût tellement j’aurais aimé que cela ne s’arrête jamais. En vrai gentleman il me détache après s’être rhabillé. Autant vous dire qu’après un plan comme ça je n’ai plus du tout envie de coucher avec mon beau frère. Je préfère de loin continuer à faire des rencontres d’un soir sur internet. Enfin, si elles pouvaient toute être comme celle ci !

 

Plug anal, j’ai testé au Mans

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Le plug anal, je dois avouer que si un mec ne m’en avait pas mis un par surprise lors d’un plan cul un peu improvisé au Mans je n’aurais jamais eu l’idée d’utiliser un plug anal. Tout d’abord, il faut savoir que je suis plutôt nature et que, de ce fait, j’adore une vraie bite bien dure que ce soit en bouche, dans mon minou ou (si c’est bien fait) par derrière.

Je m’y étais prise un peu à l’arrache cette fois car le déplacement m’était tombé dessus de manière impromptue et il fallait que je sois au laboratoire Gambetta du Mans avant la fin de la semaine si je voulais avoir une chance de conclure avec ce client. Ma seule possibilité était de prendre rendez vous le samedi matin. Je déteste cela car le WE s’en trouve écorné mais comme j’ai une grosse part de salaire variable il faut parfois savoir faire des concessions. Et puis je me disais que, pour une fois, cela serait une occasion de sortir en célibataire un vendredi soir. Une fois n’est pas coutume, je décidais de renoncer à la facilité d’une rencontre via infidèle messenger pour essayer de me faire draguer en direct « in situ ». Je repérais sur Google Map le Soukala, un night club à deux pas de mon rendez vous et de l’hôtel Ibis où je prenais donc une chambre.

Le problème avec les déplacements professionnels c’est que l’on peut vite s’ennuyer le soir. Je ne voulais pas arriver trop tôt à la boite car je sais d’expérience qu’avant minuit ça ne bouge pas vraiment dans ce type de boite africaine. Je mangeais donc un peu seule place de la république puis remontais à ma chambre d’hôtel. Pour ne pas tourner en rond comme une lionne en cage je décidais de voir l’effet que ferait ma tenue du soir sur des mecs en chat et SexCam. C’est une habitude que j’ai prise. Cela me permet de bien me chauffer et, si j’arrive à brancher vite un mec sur un plan Sexcam juste avec une tenue un peu provocante, alors je me dis que cela me portera chance pour la vraie soirée. Je plaçais donc la GoPro en mode WebCam avec une vue bien cadrée sur le lit et réglais l’ensemble pour que l’on puisse me mâter en train de m’habiller.

Ecrivez moi si je me trompe mais j’ai remarqué que les mecs semblent prendre autant de plaisir à voir une belle fille s’habiller que se dessaper. Une fois sortie de la douche j’enroulais mes long cheveux dans une serviette tout en surveillant du coin de l’œil le Macbook et le compteur des voyeurs connectés à ma webcam. Déjà quatre, c’était plutôt bon signe. Je décidais de mettre juste un porte jarretelles et une paire de bas noir sans culotte ni string. J’aime dérouler lentement les bas le long de mes jambes puis accrocher au porte-jarretelles. Sur le macbook ça commençait à crépiter avec les mecs qui me demandaient si je pouvais rester comme ça et me caresser un peu. Mais je décidais pour le moment de les ignorer pour passer une robe moulante en laine noire. Sans soutif l’effet me semblait parfait laissant deviner de petits tétons dardant sous la maille fine. Je posais un petit miroir à côté de la GoPro pour me mettre un rouge à lèvres exactement coordonné avec les semelles des vraies Louboutin que je chéris plus que tout en ce moment. Je faisais tout cela en prenant mon temps, sachant fort bien l’effet que cela devait avoir sur les mecs connectés qui me mâtaient sans que je prenne la peine de leur répondre pour le moment. Je me faisais une queue de cheval toute simple et ajoutais à mes oreilles une paire de grandes boucles créoles dorées. Il était à peine onze heures aussi je tuais le temps à chatter avec quelques plans potentiels autour de Montpelier où je dois passer du temps avant juillet. Il y a en particulier un homme qui me semble très cultivé et suffisamment autoritaire pour me promettre une séance de fessée sur laquelle je commence à énormément fantasmer. Mais cela est une autre histoire. un peu avant minuit je complétais ma tenue d’un manteau en vraie fourrure de loup pour enfin partir à la découverte de cette boite à Zouk du Mans en me faisant tout un film sur un beau black qui saurait s’occuper de moi comme j’aime.

Plug dans le cul, la bonne surprise !

Cela s’avéra encore plus facile que je ne le pensais. A l’exception de quelques beaufs au bar et de deux nanas plutôt banales j’étais la seule blanche de la soirée. Après quelques punchs bien tassés tous offerts par des mecs qui semblaient morts de rire sans que je sache vraiment pourquoi je me retrouvais à zouker collée serrée avec un beau black entre trente cinq et quarante ans, grand et très bien bâti. Il devait être habitué du club car il m’entraina assez vite dans une petite salle isolée qui ressemblait à une loge de théâtre. J’étais déjà bien alcoolisée et je dois dire qu’il embrassait très bien. Pour le moment je ne regrettais vraiment pas du tout d’avoir prolongée ainsi ma semaine de taff !

(bon pour me lire sans pub il y a l’e_book… )

Je profitais donc que nous soyons dans une loge pour sortir mon tube de rouge à lèvres et m’en remettre un peu car je sais que c’est un geste qui peut être excitant. Comme il relevait ma robe pour découvrir mes fesses nues je m’attendais à ce qu’il me baise par derrière. J’avais un peu d’appréhension car même si j’étais passablement excitée je sais d’expérience que ce type de position peut tourner au fiasco si le mec n’assure pas. Mais ce n’était finalement pas son intention.

-« Attends, j’ai un cadeau pour bien te préparer ma jolie »

Il sortit une bouteille de rhum agricole de je ne sais où et rempli à ras bord un verre à cocktail contenant un plug anal lui aussi en verre. Tout étant parfaitement transparent le plug anal en devint presque invisible. Il prit le plug tout mouillé d’alcool pour l’appuyer entre mes fesses tout en me portant le verre aux lèvres. Je buvais cul sec alors qu’il enfonçait le plug dans mon cul qui ne l’était plus, sec. L’alcool me brulait l’anus mais j’était de toutes façons déjà chaude comme une baraque à frittes. Je pensais qu’on allait baiser là et je n’étais vraiment pas contre, surtout que j’avais très envie de vérifier si sa queue était à la mesure de mes fantasmes. Mais il rabaissa ma robe et me pris par la main pour retourner danser.

Vers 2 heures du mat c’était moi qui était obligée de lui demander s’il pouvait me raccompagner à mon hôtel avant que je meure d’une overdose de zouk.

-« En plus je dois me lever pour un rendez vous à 9h et j’ai l’impression qu’on n’est pas encore couchés » ajoutais-je en appuyant ma main sur la bosse que faisait son sexe à travers la toile de son costar en satin.

Il ne fallait pas le lui dire deux fois. Quelques secondes plus tard j’avais récupéré ma peau de louve toute prête à faire ma chienne. Nous marchions à grands pas, courant presque dans la rue déserte vers mon hôtel. Après avoir dansé avec un plug anal dans le cul, autant vous dire que marcher avec un plug anal n’était pas difficile. Surtout j’étais tellement excitée que je ne me souviens pas avoir trouvé cela difficile. Aussi j’étais déjà passablement essoufflée quand il fit passer ma robe par dessus ma tête avant de pousser sur le lit en bas et porte-jaretelles.

« Toi, pas bouger et surtout pas dormir, je reviens très vite » me dit-il avant de disparaitre dans la salle de bain, pour je suppose assouvir un besoin fort naturel. C’est à ce moment que j’en ai profité pour faire une chose que vous découvrirez à la fin du post…

Quand il est sorti de la salle de bain il était enfin nu et plus que sa bite longue et belle c’est surtout sa musculature parfaite qui m’a impressionnée. Le mec, en plus d’avoir la peau très noire était tout en muscles sans pour autant paraitre sur gonflé comme certains culturistes. J’étais assise sur le bord du lit et il m’a d’abord prise fermement mais sans brutalité excessive par ma queue de cheval pour me faire comprendre que j’allais commencer par sucer la sienne et qu’il verrait ensuite ce qu’il ferait de moi. Encore un peu saoule je m’appliquais de mon mieux. Il l’avait vraiment bien longue et même en y allant à fond il n’était pas possible que je le suce jusqu’à la garde comme je le fais parfois. J’essayais de me rattraper en lui léchant bien les couilles et en l’avalant tout de même le plus loin possible. Heureusement il semblait apprécier et m’aidait en appuyant ma tête avec juste ce qu’il faut de force pour gagner un ou deux centimètres sans pour autant me faire trop mal.

Après s’être laissé faire comme cela debout assez longtemps (je n’ai pas mesuré mais ça m’a paru une des plus longues fellations que de mon histoire) il m’a prise par la taille et m’a soulevée comme si je ne pesais pas plus qu’une poupée de chiffons. C’est là que j’ai compris que le type était vraiment fort. Il était toujours debout, j’avais la tête en bas et il roulait un patin à ma chatte alors que j’essayais maladroitement de continuer à le sucer ainsi à l’envers. En même temps que le cunnilingus il faisait entrer et sortir le plug anal de mon cul. A chaque fois c’était un peu douloureux mais très excitant. Je pense que cette position eu pour effet de faire remonter un peu de sang à mon cerveau et même si je commençais à avoir un peu mal au crâne je sentais que je dessaoulais et que la nuit était loin d’être terminée. En me déposant enfin sur le lit il m’a complimentée sur ma chatte intégralement rasée et bizarrement je me suis sentie bien plus flattée que s’il m’avait parlé de ma coupe de cheveux où même de ma silhouette. J’avais toujours le plug dans l’anus et quand il m’a pénétrée j’ai compris avec délice tout l’intérêt de la chose. Il me ramonait la chatte et en même temps je sentais de l’autre côté le plug qui faisait pression contre son sexe sur la paroi de l’autre côté. J’en hurlais littéralement de plaisir. Je ne suis pas timide et d’habitude je n’ai pas à me forcer pour gémir ou couiner. Mais là c’était carrément des cris qu’il obtenait de moi. Et du coup, lui y allait aussi de plus en plus fort en me gueulant dessus de continuer à crier pendant qu’il « m’éclatait ».

-« Je vais t’éclater ma belle, tu vas plus pouvoir marcher, j’vais te péter les jambes. »

J’avoue que là, en même temps que je jouissais j’étais un peu inquiète car le type en était physiquement tout à fait capable. Avec ses grandes mains me tenant les genoux je me sentais aussi fragile qu’une cagette pour démarrer le feu de cheminée.

Comme il ne semblait pas fatiguer je finissais, moi, par lui crier d’arrêter, de me laisser reprendre mon souffle. Mais il ne m’écoutait plus et continuait à me défoncer la chatte. Difficile de me souvenir de tout car j’étais alors dans un état second. Je me souviens qu’il ma retournée tout aussi facilement pour enlever le plug anal et le remplacer par sa queue. C’est rentré vraiment tout seul sans problème et franchement c’est plus la pression de tout son corps sur moi et ses assauts violents qui me faisaient mal que mon cul lui même que je ne sentais plus trop mais que je sais maintenant capable d’encaisser pire. Quand il a finalement joui j’étais de mon côté au bout du rouleau mais j’avais quand même la force de lui demander si ça ne l’embêtait pas de me laisser dormir seule. Il m’a paru un peu surpris mais, heureusement, n’a pas insisté pour rester.

En me levant à la sonnerie de l’iphone à 9h j’éteignais la GoPro et le MacBook. Je ne sais pas pourquoi mais cela m’avait paru sur le moment une bonne idée de rallumer quand il était dans la salle de bains. Par contre ce qui est stupide c’est que je ne saurai jamais si nous avons eu des spectateurs vu que le système ne garde pas en mémoire qui s’est connecté !

 

Plug anal offert au Soukala
Cela parait kitch et, ça l’est ! Mais j’y ai trouvé un plan cul aussi mémorable qu’anal !

Post scriptum : Depuis mon dépucelage anal au château c’est pour le moment de loin ma meilleure fois par derrière et surtout ma première avec un plug anal. Autant vous dire que je suis désormais un grande fan du fameux plug anal ! C’est assez rare pour être souligné…

Soubrette soumise, ou pas !

soubrette
lien vers de belles vidéos de soubrettes qui m’ont donné l’inspiration.

 

« Homme 47a, bien de sa personne, cherche jeune femme pour ménage, heures de repassage et plus si affinités. »

L’annonce passée de surcroit sur Yes! Messenger ne manquait pas d’un certain culot et cela faisait quelques temps déjà que je fantasmais sur des costumes de soubrette soumise sexy sans craquer ni sortir la CB de peur de ne jamais vraiment trouver d’occasion de les enfiler pour me faire…enfiler.

Petite fille j’adorais les déguisements. Vous l’avez sans doute deviné, je suis assez maniaque du détail et j’aime que tout soit le plus parfait possible. Aussi j’évitais le costume tout fait bon marché sur un site internet douteux et je glanais un par un les éléments de ma tenue sur différents sites avec le plus grand soin. J’essayais de reproduire une tenue digne d’un film à budget de Marc Dorcel. Merci au passage à Anissa Kate et Ariel Rebel qui m’ont bien aidé dans Soubrettes Services ! Tout avait été récupéré en catimini et en plusieurs livraisons à mon point relais favori et secret, un fleuriste qui entasse dans sons arrière boutique des colis siglés amazon, la fnac ou ventes privées. Je me demande parfois si ce business ne le dessert pas plus qu’autre chose dans son commerce principal. En tous cas je pense beaucoup lui plaire et me laisserai peut être tenter un jour…

Mon dernier rendez vous de boulo s’était terminé tôt et j’avais devant moi toute la fin de l’après midi et le début de la soirée pour m’apprêter comme il se doit dans ma très belle chambre d’hôtel. Tout d’abord, avant même de penser fringues il convenait de donner à ma peau toute la douceur et l’odeur qu’un maître de maison est en droit d’attendre de son personnel féminin. Je voulais que toute ma peau sente la vanille pour nous mettre dans une ambiance coloniale dans un style que j’aurais situé juste après guerre, quand l’Indochine d’où vient ma grand mère était encore Française.

Après un long bain relaxant je me passais sur tout le corps le lait parfumé Vanille Noire d’Yves Rocher essayant d’imaginer que mes mains étaient celles de mon amant à venir. J’aime ainsi verser le lait corporel généreusement sur le haut de mes seins et étaler jusqu’à ce que la peau soit douce et parfumée jusqu’au bout de mes tétons dardés. Le flacon cylindrique a juste la taille et la forme qui va entre mes seins pressés et devant le grand miroir de la salle de bain je m’amusais à le coincer en imaginant la belle cravate de notaire que je pourrai faire ce soir là.

Quand mes yeux se sont posés sur mon pubis impeccablement taillé en ticket de métro cela m’a paru alors bêtement incongru et pas très raccord avec l’ambiance après guerre que je voulais donner à cette soirée. Impossible de m’imaginer que cette « coupe » puisse avoir été en vogue dans ces années là. C’est étrange comme un détail pourtant sans importance peut me pourrir l’esprit. Nue sur le grand lit avec le MacBook j’avais beau fouiller le net, aucun moyen de savoir comment les femmes présentaient leur pubis au milieu du siècle dernier ! Comme quoi on ne trouve pas tout sur internet ! Comme je me voyais mal mettre un postiche pour ressembler à l’origine de monde de Gustave Courbet et que je ne pouvais plus supporter ce ticket de métro ridicule j’optais pour la seule solution qui me semblait vraisemblable : un rasage intégral. Je ne l’avait jamais fait mais j’étais sûre que l’idée n’était pas nouvelle. Mon mari serait sans doute surpris le week-end suivant mais qu’importe. D’abord la mousse puis l’opération délicate du rasage allumaient déjà en moi un feu que j’aurai du mal à contenir jusqu’à l’arrivée deux heures plus tard de celui que j’appelais déjà mon maitre de maison. Une fois impeccablement rasée je caressais ma peau à cet endroit découvert pour la première fois depuis l’enfance. Et, bien sur je ne pouvais résister à la tentation de me caresser et d’introduire un doigt en ne m’imaginant plus seule quelques heures plus tard. Je devais me faire violence pour m’interrompre et me réserver pour plus tard.

Pour mes fesses j’abandonnais, dans un même souci d’être dans l’époque visée, l’idée du string et choisissait une culotte en soie très fine et incroyablement douce. J’enfilais sur mes jambes la paire de vrai bas couture noirs made in France qui m’a juste couté une blinde. J’ajustais un très beau porte jarretelles à dentelle noire assorti à un soutient gorge parfait pour mon 85C.

La tenue de soubrette que j’avais choisie comportait une robe corset noire à lacets et je devais me contorsionner pour parvenir à la serrer convenablement. Je coiffais mes long cheveux en un chignon bien sage et nouait sur mon front un bandeau en dentelle blanche le plus joliment possible. Je complétais avec un collier aussi en dentelle ras de coup, une paire de gants assortis et bien sûr un plumeau en vraies plumes.

Prête une bonne demi heure avant l’arrivée prévue de mon rendez vous j’étais vraiment très excitée et j’avais une furieuse envie de me masturber tout en devant me retenir car je ne voulais pas froisser ma tenue en me touchant allongée sur le lit. C’était ridicule car dans cette tenue il n’était pas question de sortir de ma chambre et je n’avais pas grand chose d’autre à faire qu’attendre. J’essayais bien de tuer le temps en zappant sur l’écran plat immense de cette belle chambre. Mais la seule chose qui m’aurait intéressé aurait été une chaine pour adultes et je ne voulais pas que cela apparaisse sur ma note d’hôtel bien sûr. J’aurais pu mâter un film sur mon mac mais je n’avais pas envie de m’exciter plus que je ne l’étais déjà. N’y tenant plus j’envoyais un SMS à mon rendez vous pour lui dire que s’il était un peu en avance ça m’allait…Pas de réponse. Je tournais donc en rond dans la chambre d’hôtel que je trouvais finalement petite malgré ces bons 30 m2 en comptant la grande salle de bain. Impossible de sortir dans cette tenue bien sûr ! Pour me mettre dans l’ambiance j’essayais le plumeau sur tous les meubles en me baissant pour voir dans un miroir l’effet que cela faisait et si la robe bustier était assez courte mais cela ne parvenait pas vraiment à m’occuper l’esprit et j’étais chargée comme une pile électrique lorsqu’arrivait l’heure tant attendue. Enfin d’ailleurs mon téléphone vibrait (je laisse toujours en mode silence) m’indiquant l’arrivée d’un SMS : « EMPECHEMENT FAMILLIAL, DESOLE DE DEVOIR FAIRE FAUX BON, UNE AUTRE FOIS J’ESPERE »

Aaaaaarrrrghhh ! J’en ai presque pleuré de déception et de frustration. Je me retrouvais comme une conne en début de soirée seule et costumée dans la tenue de Soubrette qui m’a juste couté une blinde. J’avais bien la possibilité de chercher en catastrophe un plan de remplacement sur Yes! Messenger mais j’étais tout à coup très découragée et je n’avais pas envie de prendre le risque d’un plan foireux organisé à la va vite. J’ai déjà testé cela et les deux fois où je m’y suis prise trop vite cela a été décevant.

Ma grand mère disait toujours : »Faute de grives, on mange des merles ! »

Il me restait quand même l’ersatz possible d’un plan cul virtuel par webcam. Comme en plus j’avais toujours mon compte PureLive opérationnel je décidais, de faire contre mauvaise fortune bon cœur et de mettre à profit ma tenue sexy et toute cette frustration pour une séance d’exhib désinhibée comme je n’en avait jamais fait. Ce soir là les types qui se sont connectés à mon profil en ont vraiment eu pour leur crédits. Ils ont pu littéralement téléguider mon plumeau qui n’a pas servi à astiquer que les meubles de la chambre. Il y en a même un homme de Valencienne qui est finalement parvenu à me faire jouir à distance en m’ordonnant de lustrer mes souliers vernis avec ma chatte humide. Je lui ai laissé mon mail et compte bien le rencontrer en vrai quand je passerai par Valencienne. S’il se reconnaît ici qu’il n’hésite pas à m’écrire en commentaire ou en MP…

 

Si vous m’avez aimée en soubrette soumise vous m’aimerez peut être en écolière fessée

 

Site de rencontres comment choisir ?

 

Bon, comme vous avez été plusieurs à me poser la même question du choix d’un site de rencontres je vais essayer de rédiger un petit billet sur ce sujet. Enfin, quand j’écris plusieurs, pour être tout à fait honnête c’est 3, 2 mec + 1 fille ! Mais, au vu de la relative confidentialité de mon blog c’est déjà beaucoup…

Tout d’abord une mise au point. Je n’ai PAS testé à fond tous les sites du marché ! Je ne vais PAS vous dire lequel est le meilleur (ou le moins pire…) et il est possible qu’à la fin de la lecture de ce post vous ayez le sentiment d’avoir perdu votre temps. Je m’en excuse très humblement par avance. Je me mets à genoux et suce docilement par la pensée les hommes qui se sentiraient floués par ce post en guise de compensation.

Si vous vous êtes déjà posé cette question alors vous avez sans doute pris la peine de saisir « comparatif sites de rencontres » dans Google et lu avec intérêt la prose plus ou moins objective des « comparateurs » de sites. Et là, déception, le même site obtient des avis très différents d’un « comparateur » à l’autre. Pire, tel site qui ici vous promet des rencontres faciles et rapides près de chez vous est qualifié de grosse arnaque quelques liens plus loin par un utilisateur amer et très déçu. Même l’incontournable Gleeden qui pourtant fait tout pour paraître irréprochable est descendu en flèche par un utilisateur qui a trop fait chauffer la CB pour aucune rencontre concluante.

Mais d’où vient donc une telle disparité d’avis ?

Je pense que la réponse est fort simple : personne n’est totalement altruiste sur internet. Tenir un blog est très chronophage (j’en sais quelque chose) alors un comparateur de sites ou un site de coaching de drague je pense que c’est encore pire. Personnellement je le fais en grande partie pour le frisson et par exhibitionnisme. Mais je ne vous prend pas non plus pour des lapins de six semaines. J’ai espoir de faire un peu de tune avec mon blog et donc je mets des liens vers des sites de rencontres qui me reversent un pourcentage. Pourcentage que j’espère un jour réinvestir en chaussures hors de prix (mais très belles avec leur semelle rouge) ou en accessoires plus inavouables (mais dont j’aime à décrire l’usage que je fait…). Donc, s’il était besoin, vous voilà prévenus. TOUS les comparateurs de sites vont établir un classement en fonction de ce que cela leur rapporte quand vous cliquez sur les liens qu’ils ont judicieusement placé dans leurs articles. Le premier qui me trouve un comparateur de sites de rencontres sans lien d’affiliation gagne une pipe ! Mais il risque d’être frappé d’andropause avant de venir me demander son dû…

Je suis une commerciale et je vois bien que le problème de tous les sites de rencontres coquins est qu’ils sur-promettent pour finalement sous-réaliser. Aucun site ne prend le risque d’écrire au mec prêt à sortir la CB qu’il va galérer pour trouver une fille sexy et disponible près de chez lui ! Et je peux comprendre cela !

Les sites de rencontres ont indéniablement un côté miroir aux alouettes. Une fois que vous vous serez fait à l’idée qu’ils travestissent la réalité pour attirer les membres payants et qu’ils cherchent TOUS à maximiser ce que vous dépenserez chez eux vous aurez fait un grand pas. Vous savez maintenant que vous allez galérer et qu’il faudra de toutes façons passer par la case paiement si vous voulez une chance de vraie rencontre torride.

Mais rassurez vous, de nombreux plans culs se concrétisent quand même grâce à ces méchants sites de rencontres. En tous cas moi j’en suis à une petite vingtaine en 14 mois et je ne suis forcément pas un cas isolé. Mais je persiste à dire que le VRAI ratio est bien de une fille pour dix mecs sur les sites à rencontres éphémères.

Va où ton cœur te porte

Ou ta libido ou ta queue. Autrement dit je dirais que pour choisir un site de rencontres le mieux reste d’opter pour le site qui, au moins sur le papier, correspond à ce que vous recherchez réellement. Vous n’échapperez pas aux faux profils mais par contre les vraies filles que vous y croiserez correspondront bien à ce que vous recherchez. Une petite liste pour vous aider :

Relation stable et sérieuse

Vous cherchez une relation stable et/ou une belle histoire d’amour ? Démerdez vous ! je ne vais quand même pas faire de la pub pour Meetic ! Ah, trop tard, j’ai lâché le nom d’un site qui ne me reverse rien.

Une amante régulière

Vous cherchez un maitresse compréhensives pour un plan cul régulier avec la même personne mariée de préférence pour éviter trop d’attachement et la galère quand vous voudrez « rompre ». Vous voulez aussi passer du temps à parler et à écouter la dite femme candidate à l’adultère ? Allez sur Gleeden. Attention toutefois, surveillez votre budget, le système des packs à acheter pousse à la consommation. Attendez vous à être assez déçus au début car il semble y avoir bien plus d’hommes inscrits que de femmes. En tous cas c’est l’impression que j’ai eu au vu des messages que j’ai reçu une fois inscrite. Je ne mets pas de lien car je n’y suis plus. Et puis ils m’ont refusée comme affiliée car il ciblent un registre moins « cru » que le mien. Ce qui est tout à leur honneur il faut dire !

Uniquement un plan cul

Si vous cherchez uniquement un plan cul rapide, si possible débridé et de proximité le mieux est de choisir un site qui propose uniquement cela pour être sûr que vous ne perdrez pas votre temps avec les personnes que vous contacterez. Ne vous attendez pas à une grande éthique de la part des webmasters de ces sites particuliers. Tout est bon pour maximiser leur profit. Apprenez à y reconnaître les faux profils des vrais filles chaudes et ne perdez pas trop de temps ni d’énergie si vous avez un doute. Pour le moment je reste fidèle à infidèle Messenger. Mais pour ratisser plus large vous pouvez essayer Yes! Messenger.

C’est facile à dire pour moi car en tant que nana je ne paye pas. Mais j’aurai tendance à conseiller choisir une formule par abonnement car vous savez ce que vous payez à l’avance et bénéficiez d’un usage illimité sur la période choisie. A la longue cela semble plus réglo que les achats de packs de N messages dont vous gaspillez une partie sur des plans foireux. Mais encore une fois, attendez vous à quand même galérer et à devoir passer du temps sur le site avant de trouver.

Si vous fantasmez sur la serveuse du Sushi bar à côté de chez vous elle sera peut être sur Asiat Messenger mais j’en doute un peu quand même…

Ne perdez pas trop de temps à choisir un site

Si vous avez pris le temps de lire ce long post c’est déjà beaucoup ! Vous avez peut être l’impression que des centaines de sites existent pour un plan cul. Et du coup vous vous dites que c’est dommage car les profils doivent être éparpillés sur tous ces sites. Rassurez vous, en réalité il n’y a pas tant de sociétés que cela derrière ces sites. Plusieurs dizaines de sites sont en réalité des emballages différents de la même communauté de personnes cherchant à faire des rencontres. On appelle cela les marques blanches. J’écrirai peut être plus un jour sur le sujet mais tout cela manque sérieusement de sexitute comme dirait Ségolène.

4Sites
Sites de rencontres utilisant Messenger.

Bien sûr commentez si vous avez des remarques, des expériences mauvaises ou bonnes sur des sites de rencontre. J’aime autant vous lire que vous écrire !

Pute gratuite, ma première rencontre adultère


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Site de rencontre plan cul, une sélection

Il voulait que je sois sa pute gratuite

Ma première expérience de pute gratuite, autant dire que c’est frai dans mon esprit comme si c’était hier. Depuis j’ai eu tellement d’autres aventures extra-conjugales… Je venais de comprendre que mon mari me trompait lorsque j’étais en déplacement et c’est cela qui m’a décidé, de mon côté à faire de même.
Mais ne vous y trompez pas, il ne s’agit nullement d’un arrangement entre nous. J’ai décidé taire ce que je sais de ses pratiques adultères et surtout de garder secrets mes ébats extraconjugaux en déplacements professionnels. J’aime ma vie telle qu’elle est, et j’aime la respectabilité bourgeoise dont je jouis là où j’habite. On ne me voit pas à l’église tous les dimanches mais je donne volontiers un coup de main à la paroisse et je confectionne des gâteaux qui sont vendus sur le stand du sou des écoles de mon village. Sur ma tombe on lira peut être un jour l’épitaphe : »ci gît Lucie, bonne mère, bonne épouse. »
Aussi lorsque je m’inscrivait sur Infidèle Messenger pour la première fois et que je donnais rendez vous devant la pharmacie de Baraqueville à Bertrand, mon tout premier amant, je me sentais honteuse et coupable. Surtout je passais avec angoisse en revue dans ma tête tous les indices que j’avais sans doute laissés derrière moi et qui allaient immanquablement me trahir. Et en même temps nous avions passé tellement d’heures en webcam à nous allumer mutuellement que j’étais excitée comme une débutante le jour de son premier bal. Deux semaines durant nous avions tellement multiplié les séances de SexCam que j’en avais les nerfs à fleur de peau. Il m’arrivait même de me lever en cachette la nuit pour le retrouver depuis le canapé du salon en coupant le son du macbook. Nous nous écrivions avec une ardoise Velléda car lui aussi me contactait de chez lui.
La veille avait été le point culminant de nos séances de SexCam. J’étais à l’hôtel et lui avait, je ne sais comment, trouvé un moyen de s’isoler. Il m’avait littéralement téléguidée, choisissant pour moi les dessous que je devais porter, me forçant à me lécher les seins en gardant les yeux fixés sur la webcam du Macbook. Je devais me masturber au rythme qu’il m’indiquait, m’interrompre à son commandement même si j’étais sur le point de jouir. Bref, j’étais chaude bouillante pour LA vraie rencontre. Le plan était de se retrouver en début de soirée devant la pharmacie, d’aller manger dans un restau sympa sur Rodez puis de revenir à mon hôtel. Autant dire que le resto a été un calvaire. Nous n’avions rien à nous dire, lui essayait poliment de s’intéresser à moi, à ma vie. Moi j’essayais d’en dire le moins possible pour être sûre qu’il ne puisse pas me retrouver s’il lui en prenait l’envie. J’avais déchaussé un pied sous la table et j’essayais de lui caresser le mollet mais je m’y prenais assez maladroitement et je retirais mon pied dès qu’un voisin de tablée tournait la tête vers nous. J’étais tellement excitée que je le suçais littéralement des yeux et j’avais peur qu’il ne fuit en me prenant pour une folle. quand le garçon nous demandait si nous prenions un dessert nous répondîmes à l’unisson : »Non merci, pas de dessert » ce qui nous fît sourire et détendit un peu l’atmosphère. Nous avions chacun notre voiture et le retour vers l’hôtel me parut durer une éternité. Il me suivait et je regardais constamment dans mon rétro pour vérifier que c’était bien sa voiture qui me collait au cul. Dans la nuit ce n’est pas évident mais je peux vous dire que depuis je reconnais les phares de l’Audi A3 du premier coup d’œil !
Je me jetais sur lui à peine la porte de la chambre refermée. Je le collais contre la porte et déboutonnais sa chemise pour lécher son torse en essayant d’accéder à sa queue avec les mains.

Je suis sa pute gratuite

Après cinq années de mariage cela faisait bien trois ans que je ne suçais plus mon mari et j’avais oublié cette sensation délicieuse d’une colonne de chair turgescente dans ma bouche. Les mecs hétéros ne peuvent pas comprendre cela mais pour nous les filles c’est véritablement un truc de malade d’avoir votre queue entre les lèvres. Ca vit, on peut presser la langue, serrer les lèvres en aspirant. Surtout de voir comme ça peut vous rendre dingue nous excite encore plus. Bref j’avais le cœur qui battait à 200.
Je pense que lui par contre n’en était pas à son coup d’essais car il faisait montre de plus de contrôle que moi. Après s’être copieusement laissé sucer il m’a délicatement tirée par les cheveux pour m’amener vers le lit et me déshabiller entièrement. Une fois que j’étais totalement nue il s’est reculé d’un pas et m’a demandé de le dévêtir à mon tour. Il m’encourageait et me demandait de lécher chaque centimètre carré de sa peau que je dénudais. Mais surtout il me parlait, ce que n’avait jamais fait mon mari.
-« C’est très bien, lèche moi encore, tu es ma petite pute gratuite. Tu en avais envie hein ? »
-« Oui… » m’entendais-je répondre laconiquement.
Comme il se mettait sur le dos dans un instant de lucidité j’attrapais un préservatif que j’avais laissé en prévision sur la table de nuit (Travaillant dans le monde de la santé j’ai une peur bleue des MST).
-« Mais tu es une vraie pute organisée ma belle, vas y, enfile la moi qu’on puisse passer aux choses sérieuses. »
Je lui déroulais le préservatif sur sa bite tout en lui léchant les couilles puis, n’en pouvant plus je m’allongeais sur lui et guidais sa verge dans ma chatte toute glissante. Le plaisir ne venait pas pour moi que de mon sexe. Je collais mon ventre contre le sien et ce frottement me plaisait presqu’autant que se qui se passait dans mon vagin.
Lui : « Vas y, c’est bon, fais toi plaisir ma belle pute, prend bien ton temps j’ai de l’endurance. Tu es ma petite pute gratuite hein ? »
Moi : « Oui… »
Lui, me serrant les fesses des mains : »Et bien alors dis le que tu es ma pute gratuite. Continue à bouger et à faire ta salope mais je veux aussi t’entendre me dire ce que tu es. »
Moi: « Oui, je suis ta petite pute. » ça je dois avouer que c’était nouveau pour moi et vraiment bon.
Lui, me claquant une fesse : « Ma petite pute comment ? Hein, dis moi, tu es ma pute comment ? »
Moi : « Gratuite, je suis ta pute gratuite, toute à toi. »

Lui :  » Répète encore, tu es ma petite pute gratuite ! »

Moi : « Oui, je suis ta petite pute gratuite.

– Encore, dis le encore !

– Je suis ta pute gratuite, toute pour toi !

– Encore ! T’arrête pas répète pute GRATUITE !

– Je suis ta pute, ta pute gratuite. J’aime être ta pute.
Lui : « C’est bien, continue…vas-y, t’inquiète on a le temps on n’est pas prêt d’en avoir fini ».
Je me déchainais en couinant
Lui encore : »Dis donc, tu sais la différence entre une pute payante et une pute gratuite ? »
Moi : »Non, mais en tous cas je suis ta salope de pute gratuite. »
Lui : »La vraie pute payante n’embrasse pas sur la bouche. Mais toi t’es une pute gratuite hein ? »

Moi : »Oui, une pute gratuite pour toi. »
Il mis sa main derrière ma tête pour me plaquer la bouche contre la sienne. J’y allais à pleine bouche enroulant ma langue dans tous les sens comme une folle, nous nous mordions les lèvres au sang et je sentais sa bite toujours plus dure en moi.
C’était juste incroyable, nous n’avons fait que cette position où j’étais sur lui mais ça a duré largement plus d’une heure. Dès que je ne l’embrassais plus je répétais en boucle comme un mantra que j’étais sa pute gratuite. C’était comme une obsession pour lui et je ne m’en plaignais pas, au contraire. Je suis pourtant endurante et je coure entre dix et vingt kilomètres chaque weekend. Mais là j’étais en nage et mon cœur battait largement au delà des 180 pulsations minute. Je n’arrêtais pas de jouir et ils me demandait de répéter inlassablement que j’étais sa pute gratuite personnelle. Ce que je criais carrément. Quand il a enfin joui et déchargé dans un cri je me suis effondrée à côté de lui.
Et là c’était terrible, une putain d’envie de fumer et bien sûr pas une cloppe ! J’avais totalement arrêté de fumer lorsque je suis tombée enceinte en 2010 et jamais je n’avais autant eu envie de tirer sur une Marlboro light. Lui s’était tourné de son côté du lit après m’avoir assuré que c’était vraiment bien et que j’étais une « super pute gratuite ». Et moi je me retrouvais là, essoufflée mais avec aucune envie de dormir et cette putain d’envie d’une cigarette. Je regardais les minutes défiler sur la veilleuse du téléviseur accroché au mur. Cela allait à une lenteur d’escargot. 23h57 Je fermais les yeux pour essayer de dormir mais quand je les rouvrais il n’était que 2h05. Lui dormait. Heureusement il ne ronflait pas. A 3h30, n’en pouvant plus je me levais, prenais une douche rapide, me rhabillais et récupérais mes affaires. Lui n’avait pas bougé, dormant toujours comme un gentil mari dans le confort de son domicile conjugal. Je réglais l’hôtel au veilleur de nuit et disais que mon « ami » libèrerait la chambre plus tard.
Il n’était pas quatre heure lorsque je filais en voiture vers Rodez priant pour trouver un tabac ouvert la nuit…

Si vous voulez mieux me connaître et lire mes aventures inédites de pute gratuite sans publicité téléchargez mon e_book.

 

Pour changer si vous voulez lisez aussi mon article sur les sexcam.

Faux profils de sites de rencontres, les reconnaître ?

Bon, un billet un peu moins sexy que d’habitude aujourd’hui mais qui, j’espère, va vous intéresser. Aujourd’hui je n’écris pas pour éveiller votre désir et vous faire grandir la queue afin de mieux me l’imaginer dure contre mes fesses à vous offertes. Non, aujourd’hui j’ai décidé d’essayer de vous aider à reconnaitre les faux profils de filles cochonnes qui peuvent échapper aux modérateurs des sites de rencontres du genre de celui ci dessous.

faux profils, pourquoi il y en a tant

Vous l’avez peut être constaté, messieurs, les sites de rencontres coquines n’abritent pas que de vraies gourgandines disposées à vous ouvrir leurs cuisses et plus si affinité passées quelques minutes de chat en ligne. Peut être avez vous déjà essayé un site à plan cul près de chez vous pour y dénicher cette voisine coquine, libre et ultra sexy que vous n’aviez pourtant jamais croisée dans votre quartier ! Au risque de vous décevoir je dois vous dire que la donzelle est sans doute aussi appétissante que fictive.

Comment je sais cela ? C’est assez simple. Passionnée d’écriture presque autant que de galipettes dévêtues, il m’arrive de rédiger sur commande des faux profils de filles frivoles pour des sites de rencontres. Cela se passe via des plateformes d’achat de textes et je ne sais pas en général sur quels sites finiront mes « œuvres ». Souvent je dispose de quelques photos, sans doute achetées dans un pays de l’Est, pour m’aider à trouver l’inspiration. Mais surtout j’ai des mot clefs à placer avec une certaine fréquence pour les moteurs de recherche. Je n’en suis pas certaines et ne sais l’ampleur du phénomène mais je pense que les sites sont contraints d’avoir recours à cette pratique pour avoir un meilleur équilibre entre les profils féminins et masculins car je ne vois jamais passer de commande pour de faux profils d’hommes.

Franchement messieurs, vous vous inscririez sur un site de dating qui affiche un ratio de 8 poilus pour 2 chattes épilées et dociles ? La gratuité pour les filles n’y fait pas grand chose, dans notre société bien pensante et sexiste, nous, femelles libertines, restons très minoritaires.

Faut-il pour autant fuir les sites de rencontres lorsque l’on est un homme « sérieusement » volage ? Bien sûr que non ! Car, même si nous sommes moins nombreuses que vous nous existons. Et j’aime avoir plusieurs fers au feu ainsi qu’un large choix extra conjugal…Sachez juste que le site qui affiche 57% de femmes n’est peuplé que d’un vraie coquine pour au moins quatre avatars sexy bidons. Et ne croyez pas échapper aux faux profils en vous rabattant sur les sites dit « sérieux ». Ils sont aussi impactés (quoique sans doute un peu moins) mais surtout vous risquez à l’inverse de tomber sur une vraie chieuse qui recherche sérieusement l’homme de sa vie ou des sortie sympa entre amis, kikou lol (sic).

Une fois le constat posé voyons comment trier le bon grain de peau de l’ivraie fausse fille. Apprenons à reconnaitre les faux profils.

La photo de profil :

Un bon moyen de reconnaitre un faux profil peut consister à s’intéresser à la photo de profil. Une photo de qualité professionnelle n’est pas nécessairement le fait d’un faux profil. Mais lorsque c’est le cas cela peut vous faciliter la tâche. Si cette photo est un faux profil alors il est probable que vous le découvriez en la passant au crible de google image. Pour ceux qui ne connaissent pas cette fonction sachez que dans google image il est possible de faire une recherche non pas par mot clef mais directement avec une image récupérée sur le net. Ainsi vous trouverez peut être la photo de la belle reproduite à l’identique sur un site de maillots de bains (ou pire). Bien sûr dans ce cas vous avez affaire à un faux profil !

A l’inverse, avec un peu de chance c’est aussi la photo de profil utilisée par la personne pour son compte FaceBook ou LinkedIn. Vous avez dans ce cas de bonnes chances d’avoir à faire à une vraie fille sérieusement en quête d’un plan cul !

Le texte de l’annonce :

La règle n°1 est de se méfier des profils qui semblent spécialement écrits pour les moteurs de recherche et se contentent de placer des mots clefs. Avec un peu d’entrainement vous devriez facilement les reconnaitre. Si vous lisez : »Je suis une grosse cochonne bien coquine qui s’est inscrite sur ce site de rencontre adultère pour trouver un plan cul près de Toulouse, Haute-Garonne (31) pour sodomie et fellation. » ne perdez pas trop de temps, le texte est là pour les robots de google, pas pour vous ! Cela est bien sûr une caricature mais à peine…

Les faux profils sont achetés par les webmasters en général très peu cher. Pour des raisons de coût il s’agit souvent de rédacteurs vivant dans des pays en voie de développement Francophones. Trop de fautes d’orthographe ou des tournures de phrase qui vous semblent étranges doivent vous mettre la puce à l’oreille. L’oubli du pluriel sur des mots clefs est aussi un bon indicateur car le rédacteur peut avoir pour consigne de placer 2 fois l’expression « plan cul » dans son texte. Le texte est automatiquement refusé s’il ne se conforme pas à la consigne. Ainsi la phrase « je cherche des plans culs » devient « je cherche des plan cul » ou même « je recherche plan cul » quand l’expression clef visée et « recherche plan cul ».

La date de dernière modification d’un profil est, je pense, aussi un indicateur intéressant. Personnellement je change mon profil quasiment toutes les semaines. Tout d’abord parce que je ne trompe mon mari qu’en déplacement loin de la maison mais aussi parce que j’aime varier les situations et les types de rencontre. Si vous êtes fidèle à un site de rencontre et que vous y voyez la même annonce qui ne bouge pas depuis des semaines, voire des mois alors méfiance. Mais pour cela il faut rester suffisamment longtemps sur le même site et y revenir régulièrement.

Comme la mode est aux applications de rencontre géo localisées vous lirez peut être de plus en plus d’annonces contenant pèle mêle une ville, un département, le numéro du département et la région. Parfois même pour faire plus réaliste vous lirez « près de la rue Saint Jacques ». Franchement je n’imagine pas une vraie polissonne se transformer en GPS ambulant dans la description de son profil !

Bon, allez, je pense que j’ai été assez rasoir et donneuse de leçons comme cela sur ce post. Promis, dans mon prochain post vous pourrez virtuellement me punir d’avoir été si méchante et chaste aujourd’hui ! Si le sujet vous intéresse vous pouvez aussi lire mon autre article qui cherche à répondre à la question : « Comment choisir son site de rencontres ? »

En attendant si vous voulez quelques travaux pratiques pour mettre en application ces conseils vous pouvez essayer sur le site que j’utilise ci dessous. On doit y trouver, je pense, de vraies filles qui ont sans honte envie de se faire plaisir mais aussi, hélas, d’autres qui sont là pour faire vitrine…Et n’hésitez pas à me laisser vos commentaires !

Fessée, comment la faire aimer à une femme ?

Il m’avait fait déboutonner mon chemisier blanc et baisser ma jupe. Assis sur une chaise il me commandait de me mettre en position sur ses genoux pour la fessée. Une foi en place c’est à moi qu’il revenait de baisser ma culotte en coton. Il exigeait que j’ai ensuite les mains croisées sur la nuque ce qui accentuait mon inconfort et son plaisir.

Je vous épargne, pour cette fois, la mise en place de mon plan cul de la semaine dernière à Pau (merci au passage à Infidèle Messenger) car je voudrais profiter de l’occasion pour vous parler d’une des pratique qui me plait le plus ces derniers mois : la fessée.

En règle générale je n’aime pas spécialement avoir mal. Et je ne pense pas qu’il s’agisse vraiment dans la fessée de plaisir masochiste. Non, ce que j’aime c’est être punie. La main du maître qui s’abat avec violence sur mes fesses déclenche en moi une excitation folle qui peut même aller jusqu’à l’orgasme sans qu’il n’y ait de pénétration. Comme il est probable qu’à terme certains de mes lecteurs deviennent mes plans cul autant donner ici ce qui constitue, selon moi, la recette pour une bonne fessée. Pour en avoir pas mal discuté avec mes copines je peux affirmer qu’il ne s’agit pas uniquement de mon propre goût et que la recette que je vous livre ici sera certainement assez universellement appréciée !

Conseil fessée n°1 : soignez le scénario

Pour moi en tous cas une fessée doit être méritée. La fessée est là pour punir et c’est en grande partie cela qui est excitant. C’est pourquoi je choisi souvent des costumes et des situations qui se prêtent particulièrement bien à ce tendre châtiment. En écolière qui n’a pas bien appris sa leçon ou en soubrette maladroite qu’il faut corriger je suis vraiment dans la peau du personnage pour peu que mon partenaire lui aussi joue le jeu du maître insatisfait qui doit me punir « pour mon bien ». Donc avant la fessée n’hésitez pas à m’expliquer pourquoi je dois être punie, si je suis soubrette demandez moi d’exécuter une tâche dans laquelle je risque d’échouer ou de mal m’y prendre. En étudiante posez moi des questions auxquelles je risque de ne pas avoir la réponse par exemple ou surprenez moi en train de me masturber alors que je devrais sagement étudier.

Une copine à moi m’a voué adorer que son mari la corrige quand elle rentre d’une séance de shopping. Il lui dit qu’elle a trop dépensé et que c’est pour le bien du foyer qu’il doit la fesser.

Creusez vous le tête, les occasions de nous punir ne manquent vraiment pas, je puis vous l’assurer !

Conseil fessée n°2 : Sachez doser mais ne retenez pas vos coups !

Du point de vue de l’intensité et de la douleur je dois dire que chacune a ses propres limites et qu’il ne s’agit pas bien sûr de meurtrir pour le plaisir de faire mal (en tous cas en ce qui me concerne). Cependant une règle que nous sommes toutes d’accord pour donner est qu’il ne faut pas non plus retenir vos coûts. Il n’est rien de plus efficace pour tuer le désir qu’un amant qui au moment de la fessée devient timoré et gauche. Personnellement j’aime que la douleur reste présente plusieurs heures après mon plan cul. Je mouille de m’assoir le lendemain sur mes fesses endolories qui me rappellent la punition de la veille. Mais je ne veux pas que mon mari le remarque quand je si à nouveau à la maison le surlendemain. Vous pouvez donc y aller de bon cœur sur mon petit cul de chipie !

Conseil fessée n°3 : Après la fessée

Moi j’apprécie que le mec me passe une crème du genre Nivéa ensuite. S’il me garde sur ses genoux pour me fouiller la chatte et préparer mon anus pour une bonne sodomie alors c’est le pied.

Conseil fessée n°4 : Les accessoires

Pour le moment ce n’est pas trop mon truc. Mais j’ai mon amis Lydie ne jure que par les menottes, la barre d’écartement et la cravache ou le martinet. Donc j’imagine que l’on peut accessoiriser à l’envie une séance de fessée. Une fois j’ai fait l’écolière et j’avais acheté une grande règle plate jaune en bois. Mais mon partenaire n’a pas osé s’en servir :o(.

Il y a quand même un accessoire qui m’excite énormément en cas de fessée. Ce sont de fins gants en cuir de mouton noirs ou marrons que le maître garde pour me claquer les fesses.

De la fessée à la sodomie il n’y a qu’un pas qu’il ne faut pas hésiter à franchir…Pour cela vous pouvez lire aussi 10 conseils sodomie.

Si vous m’avez lue jusque là bravo, vous êtes un chou ! Mais si vous en avez mare de lire et voulez un peu d’interaction je vous conseille vraiment d’essayer du live show en webcam. Cela peut vous paraître un peu virtuel mais en tous cas je vous assure que moi je m’amuse vraiment beaucoup quand j’en fait.

Et disons le honnêtement je touche un petit quelque chose qui m’aide à maintenir le site si vous cliquez !

 

Post Script hummm : Pratiquez vous la fessée ? En avez vous envie mais sans oser le proposer à votre partenaire ? Avez vous des suggestions à me proposer pour pimenter encore davantage mes séances de fessée ? Je suis avide de lire vos commentaires…