Gleeden, l’adultère et les catho

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La guerre des associations catholiques contre Gleeden m’a permis de me souvenir de ma toute première expérience de l’adultère. Je n’écris pas cela pour défendre l’équipe de Gleeden qui, au passage, doit être bien heureuse du coup de projecteur ainsi mis sur eux gratuitement ! Mais parce que cela me fait comme une bouffée de nostalgie. L’histoire que je m’apprête à vous narrer date de bien dix ans. Il y a prescription mais je garde quand même les lieux et noms secrets…

J’avais donc dix neuf ans à peine et mes parents habitaient un de ses petits villages de montagne encore pourvu d’une église qui donne une messe dominicale. Je partageais ma vie entre ma première année de Fac de droit en semaine(un désastre monumental) et la maison familiale les week-ends. Je connaissais Marc de Morin (prénom et particule sont réels, pas le nom bien sûr !) depuis mes quinze ans et mes premières séances de baby sitting chez eux. Ils avaient débarqué, à la fin du millénaire précédant, jeune couple avec leur fils unique au village et se trouvaient en 2005 à la tête d’une ribambelle de cinq enfants s’étageant de 9 ans à 3 mois et demi. De vrais catholiques opposés à la contraception très impliqués dans la vie paroissiale. On les aurait cru tout droit débarqués de la Vendée du Sieur De Villier.

Marc avait mis des années à se déclarer et, avec le recul, je ne peux pas lui en vouloir tant je sais que je pouvais m’habiller de manière provocante malgré ma candeur adolescente. En tous cas il a eu la décence d’attendre ma majorité. Même si dès mes dix sept ans je voyais bien que ses bises d’au revoir se faisaient de plus en plus appuyées et que sa main, avait discrètement migré de mon épaule à ma hanche. Cela ne me gênait pas car je le trouvais très beau sous ses allures un peu austères. C’est d’ailleurs moi qui fit le pas du premier baiser dans le Land Rover sept places avec lequel il me ramenait un soir d’hivers 2004 chez mes parents. Je ne sais pas s’il en a été surpris mais en tous cas il n’a décollé sa bouche de la mienne que quand la lumière de l’entrée de la maison de mes parent s’est allumée !

Ce petit jeu a bien duré deux mois. Chaque vendredi soir il me raccompagnait en 4×4 et nous nous embrassions langoureusement arrivés devant chez mes parents. A la trois ou quatrième fois il a commencé à mettre sa main sur ma cuisse pendant tout le trajet du retour. Bien sûr à dix neuf ans je n’étais plus une perdrix de l’année mais j’étais quand même encore assez timide. En tous cas bien plus que maintenant ! Je le laissais passivement faire alors que je trempais littéralement ma culotte. J’ai vite troqué mon éternel Lévis 501 contre une jupe et lui est passé de ma cuisse à ma chatte. La première fois il m’a uniquement caressée à travers le tissus et déjà j’en ai presque joui tellement j’étais excitée. Ensuite il faisait le petit kilomètre qui séparait leur chalet de notre maison en roulant quasiment au pas avec un ou deux doigts dans mon minou tout trempé. Moi je tenais son avant bras avec mes deux mains en y enfonçant mes ongles tellement c’était bon. Je me mordais la lèvre inférieure presque au sang en retenant mes gémissements.

Jusqu’à ce stade on ne peut pas vraiment dire que « techniquement » il y avait adultère de sa part. Les choses sont devenues plus sérieuses quand sa femme a réussi à se décoller un peu de leur cinquième enfant et à vouloir retourner à l’office du dimanche matin. En difficultés financière ou peut être un peu radins, je ne l’ai jamais vraiment su, ils ne voulaient plus payer de baby sitting et Marc devait donc rester à la maison garder le nourrisson pendant que Constance allait donc à la messe avec les quatre plus grands…Et moi, je débarquais en catimini chez eux dès que je les voyais tourner le virage au bout du chemin qui menait à leur chalet. La première fois il a passé tout le temps que nous avions disponible (presque deux heures) le visage entre mes cuisses à me bouffer de toutes les manières possibles et imaginables. J’étais d’abord debout, adossé à leur porte d’entrée et il est tombé à genoux et a engouffré sa tête sous ma jupe. C’était la première fois qu’un homme me faisait cela et j’en vais les jambes qui tremblaient de plaisir. Je me retrouvais vite allongée à même le parquet sans qu’il ne cesse de me fouiller avec sa langue, un doigt enfoncé dans mon anus et le pouce accompagnant sa langue démoniaque. J’en criais de plaisir sans retenue sachant la maison isolée et vide (si l’on excepte leur nourrisson qui ne présentait pas un grand danger). Il avait réglé la sonnerie d’un vieux réveil en fer un bon quart d’heure avant le retour prévu de sa femme et cela sonnait pour lui la fin immédiate de nos ébats. Je devais partir suffisamment à l’avance pour être sûre de ne pas croiser Madame et les moufflets sur le chemin du retour.

Le dimanche suivant j’arrivais un peu mieux préparée et en glissant à terre je m’arrangeais pour être en position de le sucer moi aussi. C’était mon premier soixante neuf et seulement le deuxième mec que je suçais. Mais il me rendait tellement dingue avec sa langue et ses doigts que je me souviens que j’y allais goulûment dans une sorte de transe quasi frénétique. Il a joui sur mon visage heureusement un peu avant la sonnerie fatidique ce qui m’a laissé le temps de me débarbouiller à l’évier de leur cuisine ouverte sur le salon.

(bon pour me lire sans pub il y a l’e_book… )

Le troisième dimanche il me payait pour garder leur petit dernier et allait en famille à la messe. Il n’y eu vite plus que quelques baisers volés sur la route du retour. Un jour il m’a annoncé, penaud, qu’ils prenaient la fille d’un voisin comme nouvelle Baby-sitter car elle était disponible en semaine et encore au lycée. Je ne cherchais pas à savoir si elle allait vivre la même expérience que moi et passais vite à autre chose. Après tout je venais d’entrer à la Fac et j’avais dix neuf ans.

Alors aujourd’hui quand je vois l’histoire entre Gleeden et les Catho je rigole doucement en me disant que de nombreux « bons pères bons époux » n’ont pas attendu Gleeden pour goûte aux joies de l’extra conjugalité.

Un vrai livre. Ne vous fiez pas à la couverture un peu ringarde !
L’ancêtre de Gleeden

Si vous aimez les descriptions de premières fois vous pouvez lire aussi dépucelage anal au château

Esthétichienne en chaleur cherche casting télé

Autres articles

Ce qu’il y a de bien en plan cul anonyme c’est que l’on n’est pas obligé de garder sa propre identité. En général je ne cache ni mon prénom ni ma situation de jeune femme mariée infidèle. C’est plus clair et je sais que pas mal d’hommes sont rassurés de savoir qu’ils baisent une femme qui ne cherchera pas à leur coller aux basques par la suite. C’est d’ailleurs en partie pour la même raison que je préfère aussi rencontrer des hommes mariés.

Mais parfois c’est bien de changer, de vivre autre chose sous une autre identité. En novembre dernier j’avais une série de déplacements à Lyon qui tombaient en même temps que le salon « Beauté sélection », un salon professionnel de la coiffure et de l’esthétique. Franchement je ne m’en serais pas aperçu si la réception de l’hôtel où j’ai mes habitudes ne m’avait mis sur liste d’attente en me promettant de me rappeler si une chambre se libérait. Une armée de coiffeuses, manucures et autres stylistes d’ongles semblait avoir envahi les hôtels autour du parc Eurexpo. Je décidais, pour cette fois, de ne plus être Lucie, commerciale mariée en quête d’adultère. Non, ce lundi dix sept novembre je serai Jade, apprentie esthétichienne en chaleur. Pour l’occasion je me brossais un profil assez sage sur mon site de rencontre du genre : »Jade esthéticienne en formation cherche à faire une rencontre sympa à Lyon en marge du salon Beauté sélection, bisous… » Je me rajeunissais aussi de 5 ans. En étant moins cash que d’habitude j’espérais bien jouer les ingénues et me faire un peu draguer. Vous allez voir que je n’ai pas été déçue. Après avoir pas mal chatté avec un tas de prétendants je jetais mon dévolu sur un beau trentenaire qui prétendait travailler pour une boite de casting. Cela sentait le bobard à plein nez mais jouer les naïves prête à payer de son corps dans l’espoir d’un rôle dans un feuilleton télé m’amusait bien.

Pour l’occasion je choisissais un grand pull en laine crème sur une longue jupe d’hivers. Pour une fois pas de bas mais des collants chair que j’enfilais sans culotte. Et une paire de ballerines noires sans talons. Bref j’essayais d’avoir l’air sage pour faire penser à mon rendez vous qu’il allait devoir jouer fin pour m’amener jusqu’au lit.

Rendez vous était donc donné en fin de journée au bar de l’hôtel Golden Tulip. Mec au physique assez passe partout, pas mou mais pas l’air vraiment sportif non plus, m’avait dit 34 en chat mais sur pièce je dirais plutôt 40 ans. Costume neuf et bien taillé mais je reconnaissais instantanément le deux pièces Zara que mon mari avait aussi choisi le mois dernier…Mais bon, je n’allais pas faire la difficile. J’avais moi même abondamment mythoné mon profil pour cette fois ! Il commande une bière, moi « une coupe de champagne » avec un léger accent de Bandol. Je fais assez bien les accents c’est un de mes autres talents. La cagolle de Bandol ça marche en général plutôt bien.

-« Pas d’ici j’ai l’impression. Marseillaise ? »

Je fais une mine un peu déconfite : -« Ah ? ça s’entend tant que ça ? Je suis de Bandol mais j’essaye de pas trop avoir l’accent. »

-« Cela s’entend un peu mais c’est charmant, je te rassure. »

-« C’est quand même embêtant (la vraie Lucie aurait dit fâcheux, mais ça ne collait pas avec le personnage…). Je prends des cours de théâtre pour faire de la télé et je pense que ça peut être mal vu. »

-« Bien, ça dépend, je viens de faire le casting de la prochaine saison de plus belle la vie, on cherchait justement des filles avec un peu d’accent. »

Avec le recul je me dit que le mec était quand même assez fort. Croyez en une mytho professionnelle, pas facile de sortir un gros bobard comme ça sur le vif !

-« C’est vrai, plus belle la vie ? Et c’est fini ? J’aurai trop aimé faire ce casting ! »

-« Oui, hélas, on a fini les auditions mais je m’occupe de la commission de choix. Si tu es gentille je peux glisser ton dossier sans passer par la case audition… »

Bah voyons ! Un peu lourdingue mais après tout j’ai sans doute l’air sotte et il m’a levée sur Yes Messenger.

-« Ah, ça gentille je sais faire c’est sûr ! »

-« T’as une chambre ici, excuse ma curiosité mais c’est plutôt classe pour une étudiante esthéticienne. »

Aie, vite, un truc pour l’endormir.

-« D’abord je suis pas étudiante mais apprentie et surtout c’est le père d’un copain d’enfance qui gère l’hôtel. » Je suis trop nulle, c’est naze comme raison.

-« Ah…ok…tu me montrerais ta chambre, j’aimerais bien voir si c’est aussi classe que le bar. Et si tu es aussi gentille que tu le prétends… »

-« Ca t’embête pas de payer les boissons ? J’ai la chambre gratuite mais je ne voudrais pas non plus abuser de mon ami. »

Il paie et nous nous dirigeons vers l’ascenseur. Il doit être vingt heure, j’ai un peu faim mais vu comme c’est parti aucune chance qu’il me propose le restau avant la case plumard. D’ailleurs à peine la porte de l’ascenseur refermée il se colle à moi pour m’embrasser. Je le repousse faiblement des bras tout en sortant la langue pour le mettre un peu dans la confusion. Comme il continue de se presser contre moi je descends finalement une main vers son pantalon pour constater qu’il bande déjà comme un âne. Je m’active de la langue et le laisse me peloter le cul. Il remontais déjà sa main vers ma chatte quand on arrivait au 4ème et que la porte s’ouvrait. J’aimerais vous écrire que nous avons été alors surpris par un couple de vieux mais en réalité c’était désert. Bizarrement il ne semblait pas désireux de sortir de l’ascenseur et me maintenait fermement entre lui et le mur du fond de l’ascenseur. Après quelques secondes les portes se refermaient et il s’aventurait sous mon pull. Je pensais qu’on allait baiser dans l’ascenseur mais dès que l’ascenseur s’est remis en mouvement sans doute pour récupérer d’autres clients il s’est décollé de moi. Arrivés aux rez-de-chaussée la porte coulissait à nouveau sur deux hommes, la trentaine, qui devaient être en déplacement professionnel aussi. Franck fit signe que nous remontions tandis que les deux types entraient dans la cabine. A quatre on était un peu serrés mais ça allait. Je comprenais mieux pourquoi on était redescendu en sentant la main de Franck me peloter les fesses sans vergogne. Il était impossible que cela échappe aux deux autres passagers et les voir faire comme si de rien n’était et détourner le regard devait bien exciter mon compagnon. Je dois avouer que l’idée me plaisait aussi. Je lui chuchotais l’oreille d’attendre au moins qu’on soit dans la chambre, juste assez fort pour que les autres puissent entendre.

-« J’ai bien hâte que tu me suces à fond » me répondait-il au creux de l’oreille pas assez bas pour que cela passe inaperçu.

Les mecs s’arrêtaient un étage avant nous et Franck les saluait d’un « bonne soirée messieurs » assez sadique je dois dire.

Une fois arrivés dans la chambre il m’a tout de suite appuyé sur la tête pour que je me mette à genoux.

-« Si tu veux décrocher un rôle ma belle il va falloir être une très gentille ethétichienne. »

Comme je déboutonnais son pantalon il me donna une tape sur les doigts pour se charger lui même de se déboutonner.

-« Tss tss, les esthétichiennes n’ont pas de mains, débrouille toi avec la bouche seulement ma jolie. »

Je ne l’avais jamais fait ainsi mais c’était assez facile avec les dents de baisser son caleçon. Sa queue bandait bien droit et je l’avait vite dans la bouche. Je m’appliquais à le regarder d’en bas en même temps que je le suçais gouluement. Il m’encouragait en disant que pour une chienne je m’en sortais bien, que j’aurai peut être droit à un peu plus qu’un rôle de figurante.

Il s’était mis genoux et moi je le suçais à quatre pattes effectivement comme une gentille esthétichienne. Par deux fois j’ai voulu me masturber mais à chaque fois il m’a giflé (heureusement pas très fort) en me disant que je n’avais pas le droit de faire ça, qu’il s’occuperait lui même après de ma chatte si j’étais bien gentille.

C’est d’ailleurs ce qu’il a fait à ma troisième tentative. Il s’est retiré de ma bouche, m’a guidée pour que je me mette à genoux au pied du lit et il a relevé ma longue robe sans me l’enlever.

-« C’est marrant, je t’aurais plutôt vue avec des bas chiennasse. »

Il remontait ses mains le long de mes cuisses pour arriver à ma chatte qu’il caressait à travers le nylon de mes collants. J’étais rassurée car en même temps qu’il prenait son temps à me masser la chatte à travers les collants je sentais qu’il se mettait une capote. J’étais bien trempée quand il a déchiré mon collant pour me prendre directement en levrette. C’était vraiment bon et je couinais autant de plaisir que pour l’encourager à continuer à me faire jouir. Car je jouissais quasi instantanément quand il m’enfilait avec sa bitte. Il m’a ramonée ainsi bien longtemps et j’étais prête pour une sodomie mais étrangement je n’osais pas lui demander. Il a déchargé un peu trop tôt cependant à mon goût sans m’avoir enculé comme j’aurais aimé.

-« Tu es vraiment bonne, je ne regrette pas de te pistonner pour un rôle. Je t’invite au resto maintenant ? »

A peu près rassasiée de cul je n’avais pas vraiment envie de dîner avec lui et je prétextais un début de gastro et la fatigue pour le laisser partir sans moi. Il se crut obligé de me demander si j’étais sûre et de me dire qu’il ne voulais pas passer pour un gougeât. Je mourrais d’envie de lui dire que la vraie gougeaterie serait de s’imposer maintenant alors que j’avais envie d’être bien tranquille avec un plateau repas et mon MacBook dans le lit pour surfer et écrire le compte rendu de ma soirée tant que c’était encore frais dans mon esprit. Mais je me contentais de dire qu’il ne s’inquiète pas, que de toutes façons nous avions nos mails et qu’on se recontacterait pour plus belle la vie et que je comptais VRAIMENT sur lui pour ce coup là.

Je doute qu’il ait essayé de m’écrire mais comme j’ai effacé le compte gmail de Jade2Bandol@gmail.com le soir même je ne le saurai jamais. Et c’est tant mieux !

Voilà, j’espère que la cette lecture vous a excité autant que j’ai mouillé en me rappelant par écrit cette aventure. Si vous en avez mare de lire et voulez un peu d’interaction je vous conseille vraiment d’essayer du live show en webcam. Cela peut vous paraître un peu virtuel mais en tous cas je vous assure que moi je m’amuse vraiment beaucoup quand j’en fait.

bien sûr je touche un petit quelque chose si vous y allez, autant être honnête là dessus.

Plan cul adultère, comment je choisis ?

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Bon, je pense qu’une petite mise au point est nécessaire car depuis que j’ai ouvert mon compte FB la semaine dernière je croule littéralement sous les demandes du type : « Tu passes quand pour un plan cul adultère à Cahors ? contacte moi stp ! »

Tout d’abord il faut que vous sachiez, messieurs, que je ne suis pas une dingue de cul qui me tape un ou plusieurs mecs par jour. Je suis juste une jeune maman mariée qui aime la BONNE baise et reste curieuse de tout en matière d’expériences sexuelles. Le rythme qui me convient c’est une à trois rencontres adultères par mois lorsque je suis en déplacement professionnel loin de mon domicile dont je tiens le lieu très secret. Autrement dit je privilégie la qualité sur la quantité. Mais je reste une midinette toujours très flattée et excitée par l’intérêt que me porte la gent masculine ! Bref, je suis une jeune MILF et je l’assume assez bien.

Planifier un plan cul adultère

Je passe beaucoup de temps à préparer chaque plan cul adultère. Commander des accessoires sur internet, choisir de la lingerie ou des costumes sexy me fait vraiment mouiller. Souvent je fais cela en fin de journée à la maison. J’ai organisé mon petit bureau dans un coin du salon de façon à ce que l’écran ne soit pas visible. Je dis à mon mari que je bosse sur un truc de boulot en retard. Des fois je suis tellement excitée que je serre les cuisses l’une contre l’autre le plus fort possible pour essayer de me masturber sans en avoir l’air. Pour éviter de me faire choper je me fais livrer en point relais (mais pas le plus près de chez moi !) et, si c’est un mec qui est à l’accueil, je prends un malin plaisir à ouvrir les paquets sur place pour vérifier la marchandise. Je ne sais pas si cela fonctionne pareil pour les hommes mais en tous cas, pour moi, la préparation fait entièrement partie du plan cul lui même. Je choisi aussi avec grand soin les hôtels dans lesquels je descends car j’ai la chance que mon boss me laisse une grande liberté dans ce domaine tant que mes ventes sont bonnes. Et c’est le cas. Mais je ne me fais pas d’illusions sur mes qualités de commerciale. C’est clair que mes seins qui pointent sous le chemisier font une grosse partie du travail à ma place auprès des pharmaciens ou des responsables de clinique.

Mais je m’égare, je disais donc, une tenue qui raconte une histoire différente à chaque fois, quelques accessoires parfois (mais pas toujours), et un cadre bien choisi sont pour moi les ingrédients essentiels à un délicieux plan cul adultère. Ah oui, j’en oublierais presque le plus important. Il faut aussi trouver un partenaire de jeu à la hauteur ! Pour cela j’utilise quasi exclusivement des sites de rencontre spécialisés dans le plan cul adultère. Je sais que ce n’est pas top car ces sites sont aussi pleins de faux profils de filles (j’ai d’ailleurs un post en préparation pour dénoncer cela et vous aider à les repérer) et car c’est payant pour les hommes. Mais j’y vois quand même beaucoup d’avantages. Le premier étant qu’un homme marié qui a accepté de payer quelques euros symboliques son inscription sur le site est en général un candidat sérieux et ne me fera pas perdre mon temps. Et puis j’aime l’anonymat de ces sites qui me semble mieux garanti que sur FB surtout pour le chat et la petite séance de webcam qui me permet de vérifier que ça va le faire niveau physique et motivation. Comme je change régulièrement de ville de destination et de scénario pour mon plan cul adultère je prends aussi soin de changer à chaque fois mon pseudo et mon profil. Ce n’est pas très fair play mais tempi, c’est tellement rigolo d’être une fille différente à chaque rencontre que je me permets ces petits arrangements avec la réalité et les conditions d’utilisation des sites de rencontre que je fréquente. Pour me trouver je vous donne ici quelques indices : j’utilise en général (mais pas toujours) mon prénom dans mon pseudo sur le site, la photo est presque toujours un selfie, je décris assez précisément le scénario que j’envisage pour éviter de perdre mon temps avec un homme à qui cela ne conviendrait pas.

Ensuite, les quatre cinq jours avant le rendez vous je boude mon mari et je fait tout mon possible pour ne pas me masturber du tout. Je me mets en situation de manque d’une manière presque insoutenable. Je lis des romans pour adulte (j’aime bien les SAS de Gérard de Villiers) en me forçant à garder les deux mains sur le livre et je m’invente tout un tas d’épreuves excitantes tout en m’interdisant de me toucher la chatte. Ecrire sur ce blog fait partie bien sûr de mon processus de préparation !

Voilà, vous savez tout. Enfin presque tout… En ce moment le site que j’utilise c’est infidele messenger mais je change souvent…

 

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photo de profil que j’utilise parfois. C’est bien moi !

Post Rectum : Si vous voulez que je vous réponde sans pour autant me contacter sur un site de rencontre de plan cul adultère sachez que je réponds à tous les commentaires publics sur mon blog. Mon compte FB a été fermé par FB. Pour trouver un plan cul adultère je suis soit sur cinqasept, soit sur copinedesexe, soit je drague dans la vraie vie sans le filtre d’internet…

Ce que j’aime entendre, mots cochons

Mes autres articles

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Dans la vie j’aime que l’on s’adresse à moi avec respect. Les blagues salaces au bureaux et les mots cochons me font horreur dans le cadre professionnel ou même en société. Une pointe de componction ou de déférence n’est même pas pour me déplaire. Qu’un bel homme, distingué me vouvoie et s’adresse à moi dans un champ lexical légèrement suranné et je fonds littéralement. Je pense que pour que j’ai envie de briser la glace il faut qu’il y ait de la glace à briser. Un prétendant qui sait, par sa façon de s’adresser à moi, maintenir une certaines distance tout en laissant trahir son intérêt par son langage corporel peut être certain que sous le tailleur sage que j’arbore souvent il y a une vraie belle salope qui mouille sa culotte. Chez moi les préliminaires commencent bien avant les premières caresses. J’aime être mise au supplice de ne pas savoir ce que me réserve la rencontre qui commence et c’est un peu mon seul regret avec les sites de rencontre adultère que je fréquente : Le manque de suspense. Mais je pense qu’il ne faut pas être trop exigeante. On ne peut pas tout avoir. L’assurance d’un plan cul rapide pour être sûre de ne pas perdre mon temps s’accommode mal du plaisir d’une séduction subtile et réglée au millimètre. Mais, bon, s’il vous plait messieurs, au moins jouez le jeu avec moi et vous ne serez pas déçus de ma « profonde » reconnaissance…

Je disais donc qu’avant la chambre d’hôtel vous me mettrez d’autant plus la flaque que vous vous adresserez à moi de manière polie et cultivée et bannirez tous mots cochons de votre vocabulaire amoureux. Cela, surtout si nous sommes en public car je suis aussi terriblement excitée à l’idée du regard des autres personnes sur moi. Les regards en coin des hommes en couple ainsi que la jalousie évidente de leur femmes de me voir ainsi traitée avec respect constituent pour moi un excellent lubrifiant.

Mais, une fois l’affichette « do not disturb » accrochée à la poignée de la porte de ma chambre d’hôtel c’est, messieurs, une toute autre histoire. Autant j’aime que vous cultiviez une certaine distance en public autant, une fois seuls, vous pouvez tomber les masques et la veste pour disposer de moi comme vous l’entendez. Je ne vous dirai pas quoi faire car cela perdrait de sa spontanéité et me maintiendrait dans le rôle de celle qui commande alors qu’en réalité j’aime parfois être soumise, voire humiliée. Mais, de grâce, révisez vos classiques, lisez ou relisez Sade. S’il vous vient l’idée de me traiter de chienne alors forcez moi à marcher à quatre pattes, si je suis votre petite salope insolente alors fessez moi, si je dois être votre esclave soumise dites moi comment vous servir au mieux et si vous me voulez prisonnière de vos désirs attachez moi ! Abreuvez la truie que je suis de mots cochons. Et si vous savez vous y prendre pour la sodomie alors enculez moi bruyamment.

Que ce soit moi qui vous ai dragué en ville ou que vous m’ayez levée sur copinedesexe sachez qu’une fois seul avec moi tout vous est permis ! Et même si ce n’est que virtuellement j’aime que vous me parliez dans les commentaires de ce blog plein de mots cochons.

Concours de mots cochons

Post rectum : Allez, je lance un mini concours, écrivez moi en commentaire comment vous me traiteriez une fois seul avec moi. Quels mots cochons sortiraient de votre bouche ? Quels mots cochons voudriez vous m’entendre gémir ? Les meilleurs d’entre vous seront ajoutés à ma liste des favoris à contacter en priorité quand je passerais près de chez vous.

Stand de tir, un cour particulier très sexy

Stand de tir sexy from guns and laces
Stand de tir sexy. Je veux vivre aux USA !

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Bon, ceux qui fréquentent mon compte FB l’ont sans doute compris, je me suis découvert une nouvelle passion. Rien à voir avec les plans cul. Il s’agit du tir sportif que l’on peut pratiquer en stand de tir. Cela m’est venu totalement par hasard comme souvent avec les rencontres libertines. J’étais en déplacement en banlieue Lyonnaise et j’avais trouvé sur mon site de rencontre favori un homme qui me semblait prometteur. Passionné de tir sportif il ne cachait pas sa passion pourtant pas très politiquement correcte dans notre beau pays et avouait fréquenter un stand de tir. Intriguée et légèrement excitée je lui donnais rendez vous au stand de tir à côté de l’aérodrome. Il m’avait promis un cour particulier au stand de tir pour me faire essayer un flingue avant de pouvoir tâter de son calibre…

Pour l’occasion je choisissais un look à la Tomb Rider. Pantalon en cuir ultra moulant, Veste en Jean, T-shirt blanc qui mettait en valeur mes seins et bien sûr pas de sous tiff. Pour être vraiment dans le personnage « salope sexy du stand de tir », j’aurais bien aimé arriver sur le parking du stand de tir en Harley mais je n’ai pas le permis moto. Je me contentais donc de ma Fiat 500C de fonction.

Les abords d’un stand de tir sont toujours un peu glauques et celui là n’échappait pas à la règle, surtout le soir après 20h. Mon plan cul m’avait assuré qu’il faisait partie de l’équipe de direction du club et qu’il avait les clefs du local. Je faisais le pied de grue devant la grille depuis quelques minutes qui m’avaient parues fort longues quand sa Jeep Cherokee se garait derrière ma Fiat. Mon type était plutôt grand et baraqué, il portait une mallette qui devait contenir un ou plusieurs flingues.

-« Salut…Lucie ? Alors prête à … tirer ? »

-« Ca dépends, faudrait d’abord voir quel calibre tu proposes. » répondis-je taquine.

-« T’inquiète, tu seras pas déçue… »

Il avait effectivement les clefs du club et me précédait en allumant les néons qui éclairaient d’une lumière crue un décor qui n’avait rien de glamour. Quelques tables dépareillées, des chaises à l’avenant et des casiers métalliques contre un mur. Mais je trouvais la situation très excitante et le type était plutôt bien bâti.

Il déposa la mallette sur la table, fit jouer le mécanisme d’ouverture, clac clac, et ouvrit vers moi sa boite aux trésors. Dans son logement de mousse un flingue au look américain qui me semblait juste à la bonne taille pour moi. Mes recherches ultérieures sur internet me font dire qu’il s’agissait d’un Lady Smith à barillet 6 coups. 357 Magnum, ça j’en suis sûre car il m’a laissé une douille en souvenir de notre séance. Je ne sais pas comment expliquer la chose, je suis tout de suite tombée en amour pour l’objet. Le design me semblait parfait, les matériaux nobles et l’idée du mécanisme associé à une objet investi de tant de pouvoir me faisait littéralement fondre de désir. Je pense que je mouillais déjà ma culotte mais pourtant je ne pensais plus du tout à baiser. Je voulais ce flingue dans mes mains.

Il était très pédagogique et patient. Il m’expliqua la règle du tir à 25m : des séries de 5 coups en dix secondes.

-« Pourquoi cinq alors qu’il y a un barillet de 6 ? » lui demandais-je.

-« Question de sécurité, on ne charge jamais la première balle du barillet, ainsi tu es certaine que le coup ne partira pas tout seul. »

J’adorais la façon dont il me tenait fermement par les hanches pour me placer de profil par rapport à la cible. Ses bras autour de moi pour me montrer comment tenir l’arme m’excitaient mille fois plus que l’aurait fait un prof de tennis dans un mauvais film X !

Mais surtout c’est de viser et tirer à balles réelles sur la cible (que je ratais cependant 3 fois sur 5) qui me transportait d’excitation. Une fois la boite de balles vide j’étais en sueur comme si j’avais couru dix kilomètres mais je n’avais qu’une envie : Refaire une série de cibles. Mais je sentais bien que mon professeur avait d’autres projets pour moi.

Du coup je lui demandais -« On peut en refaire une série avant d’aller à mon hôtel s’il te plait. »

-« Ca dépends, je peux avoir un acompte ? »

A, ça c’était dans mes cordes. Et puis je pensais que cela me détendrait sans doute de le sucer avant de me concentrer à nouveau sur cette putain de cible que je manquais 3 fois sur 5. Je m’agenouillais donc sagement et déboutonnais son pantalon et l’abaissais avec son caleçon pour bien avoir accès à ce qui m’intéressait. J’adore prendre le temps de lécher les couilles et d’embrasser goulument le haut des cuisses avant de sucer. Il avait les jambe très musclées et poilues, il sentait un peu fort mais ce n’était pas désagréable. J’aurais voulu qu’il m’appuie la tête et me force un peu mais il était plutôt passif de ce côté là et se contentait de s’appuyer sur la tablette de la ligne de tir en me félicitant sur ma langue experte. Classique et un peu fainéant mais ce n’était pas trop grave, je décidais de lui faire une super pipe, et je m’appliquais vraiment en pensant qu’après je pourrais à nouveau tâter du flingue. Je le suçais d’abord par le côté, en serrant bien les lèvres comme je l’aurais fait pour humidifier un cigare. En temps normal j’aurais serré sa bite entre mes seins mais là je n’avais pas envie d’enlever mon T-shirt et je ne voulais pas perdre trop de temps. Je décidais de sucer lentement mais en serrant fort les lèvres et en enfonçant le plus profond possible sa queue. Je suçais intentionnellement très lentement mais très fort en plaquant mes deux mains sur ses fesses musclées pour l’enfoncer au plus profond de ma gorge. Je plaquais bien ma langue pour le serrer en même tems que je reculais ma tête jusqu’à n’avoir plus de le bout de son gland entre mes lèvres. Puis, toujours bien lentement je l’engloutissais à nouveau jusqu’à la garde. Il ne m’a pas fallu plus d’une dizaine d’aller retour pour qu’il décharge dans ma bouche. Cela ne me dégoute pas, bien au contraire, j’aime ce moment ou le foutre jailli dans ma bouche. Je continuais même à le sucer jusqu’à ce qu’il ait bien débandé. Je pense que je méritais largement les quelques chargeurs supplémentaires qu’il m’accordais.

Ensuite le plan était de partir du stand de tir et qu’il me suive jusqu’à mon hôtel. Et là, j’avoue que je n’ai pas été fair play du tout. Je lui ai donné l’adresse d’un ibis en zone commerciale alors qu’en réalité je ne descend jamais dans ce type d’hôtels. Mon vrai hôtel était en plein centre de Lyon. Mais, dès que j’ai pu, je l’ai semé. J’avais moins envie de baiser que de me retrouver seule à l’hôtel pour chercher sur internet comment m’inscrire à un club de tir près de chez moi et, surtout comment faire pour avoir le droit d’avoir un flingue.

 

Lien de remerciement pour la photo dont le dessin sexy est tiré :stand de tir de www.gunsandlace.com

Comment faire une sodomie, 10 conseils d’une femme

Comment faire une sodomie ? Étrangement cette pratique sexuelle est associée à l’homosexualité. Alors que, bien sûr, le sexe anal est un grand plaisir aussi bien hétérosexuel qu’homosexuel. Enculer sa copine est un souhait normal, souvent partagé sans que vous le sachiez !

(Mes autres articles c’est ici)

Rencontrer mes lectrices c’est là

La lecture de cet article ne fera pas de vous un spécialiste de la sodomie mais j’espère que vous y trouverez des astuces inédites pour mieux enculer votre copine ou pour vous faire (bien) enculer. Vous allez apprendre comment faire mais aussi comment convaincre votre copine qu’elle peut aimer la sodomie.

Comment bien enculer une femme : Conseil numero zéro

Tout d’abord une idée reçue qu’il faut battre en brèche : le sexe anal ça NE fait PAS mal. En tous cas si ça fait mal c’est mal fait. Sauf si bien sûr la fille veut avoir mal. La sodomie ne doit pas être douloureuse et, oui, bien sûr on peut jouir par le cul !

Comment faire une sodomie, conseil n°1 : La meilleure position

Il serait présomptueux de ma part de dire que je connais LA position qui fait que vous saurez comment enculer votre partenaire sans difficultés. Ce serait présomptueux mais je peux assurément vous dire ce qui a bien fonctionné pour moi et pour la grande majorité des copines avec qui j’en ai parlé. Mon conseil si vous vous demandez comment faire une sodomie est d’oublier la position à quatre pattes. Même si avec le temps et l’expérience c’est une super position je pense que, pour une première sodomie, cette position est inconfortable et ne permet pas que vous puissiez prendre correctement votre temps pour parvenir à bien nous enculer sans nous faire mal. Préférez mettre votre partenaire allongée sur le ventre avec un ou deux coussins sous elle pour relever ses fesses. C’est comme cela que j’ai connu ma première enculade et j’ai tellement aimé que j’en ai fait un billet de ce blog. Une astuce sodomie qui peut aider : utilisez le poids de votre copine pour aider la pénétration anale…

quelques positions sodomie :

la cavaliere : pénétration anale facilité et contrôlée par la fille dans cette position.

Comment faire une sodomie

La cuillère : pratique pour suscurer des mots cochons à votre copine…

Comment enculer en cuillère

La bougie : difficile pour les débutants. Mais redoutable pour le mec en forme qui veut défoncer le cul de sa meuf.

Position sodomie de la bougie

Dans mes rencontres adultères j’ai pu constater que beaucoup d’hommes sont assez démunis quand il s’agit de m’enculer. Je ne suis pourtant ni farouche, ni trop étroite au niveau de l’anus. Quand j’y repense je me rends aussi compte qu’il s’est passé pas mal d’années entre la perte de ma virginité et mon dépucelage anal. J’espère que ces conseils, trucs et astuces pour savoir comment bien enculer une femme feront de vous un adepte de cette pratique pour le plus grand plaisir de votre (ou de vos) partenaire sexuelle. N’hésitez pas à me laisser des commentaires sur le bas de cet article sur comment faire une sodomie. Je réponds à TOUS les commentaires ! Même ceux du genre comment enculer ma meuf, ou je veux la lui mettre bien profond.

Ceux qui cherchent des photos de belles coquines en train de se faire prendre le cul vont être déçus ici. Je privilégie le texte et les vrais conseils pratiques. On trouve des vidéos gratuites et de bons tutos sodomie ici par exemple : Vidéo gratuite sexe anal.

Comment faire une sodomie ? En savoir davantage sur le sexe anal ? voici donc une grosse dizaine de conseils sodomie. Pour trouver une partenaire de découverte vous pouvez essayer le site copine de sexe qui semble bien fonctionner avec inscription pour essais gratuite.

Enfin, avant de me lancer dans ce florilège de conseil pour savoir comment faire une sodomie je ne saurais que trop vous inviter à dialoguer avec des filles qui aiment cette pratique même si vous ne les rencontrez pas en vrai. C’est gratuit et toujours bon de chatter quand on ne sait pas trop comment s’y prendre.

Pour une première sodomie je ne saurais que trop vous conseiller de vous procurer un lubrifiant efficace. Mon préféré en la matière est celui de la photo ci après car il est combiné avec un effet retardateur très très appréciable…

lubrifiant retardant
comment faire une sodomie, lubrifiant retardant

 

Comment faire une sodomie, conseil n°2 : Potentiellement on aime toutes ça

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Une première chose à savoir si vous vous posez la question de comment amener une femme à la sodomie c’est que nous aimons quasiment toutes la pénétration anale. Certaines disent ne pas aimer la sodomie mais il faut savoir que c’est soit du à une mauvaise expérience passée, soit à une peur de l’inconnu. Rien n’est immuable et si vous suivez à la lignes les conseils que je vous donne ici je vous garanti que les femmes qui croiseront votre couche vont adorer la pénétration anale et qu’elle en redemanderont.

Même si nous aimons toutes potentiellement la pénétration anale il reste vrai qu’une grosse moitié des femmes ne connaissent pas leur potentiel. Par contre il y a une chose que nous aimons toutes sans exception c’est le cunnilingus. Alors si vous en avez le goût lisez aussi comment faire un cunnilingus.

Comment faire une sodomie, conseil n°3 : Faites de la première sodomie un moment inoubliable

Si vous savez ou soupçonnez que cette sodomie sera une première pour votre partenaire il est important que vous fassiez de ce dépucelage anal un évènement exceptionnel dont elle pourra se souvenir avec délice. Pour cela il faut soigner le décor. Payez un bon restaurant, soyez propre et bien habillé ce jour là, si vous le pouvez prenez une belle chambre d’hôtel, à défaut décorez la chambre ou le salon et choisissez un moment de détente. Cela peut être un samedi après une belle promenade ou une séance de running si vous courrez tous les deux un peu. Bref ne pensez pas que vous allez réussir cette première sodomie un mercredi soir après une journée de travail avec le stress d’un réveil le lendemain à 6h45 !

Comment faire une sodomie, conseil n°4 : Lubrifiez

Que ce soit pour une première fois ou même après il faut lubrifier. Je ne dis pas qu’il n’y en a pas qui aiment être enculées à sec mais ce n’est pas la majorité et certainement pas des débutantes en la matière. Donc prévoyez de lubrifier. Cela veut dire avoir prévu le coup ! Ayez à portée de main une huile de massage de qualité ou une lotion pour le corps ou encore un lubrifiant spécialement acheté sur internet ou en sexshop. A défaut vous pouvez bien sur utiliser la mouille de la chatte mais c’est plus aléatoire et cracher dans le cul comme on voit sur certaine vidéo n’est pas nécessairement apprécié…

Personnellement j’ai un petit faible pour les gels lubrifiants dit « retardateurs ». N’en attendez pas des miracles en terme d’effet retardateurs mais c’est quand même pas mal. En tous cas à chaque fois que j’en ai utilisé j’ai l’impression que c’était efficace.

Comment faire une sodomie, conseil n°5 : Commencez par la chatte

La voie du succès est dans la détente de votre partenaire. Plus les muscles de son anus seront détendus plus vous aurez de facilité à l’enculer. N’oublier pas que s’il s’agit d’une première sodomie elle a sans doute de l’appréhension. Et pour nous détendre, messieurs, rien de tel que de bien s’occuper de notre chatte. Cela peut être avec votre bite mais pensez bien qu’il faudra garder de l’énergie pour la suite. Donc je conseille un long cunnilingus avec langue et doigts baladeurs. Prenez votre temps là dessus, n’ayez pas peur de nous faire jouir car, contrairement à vous, messieurs, nous savons jouir plusieurs fois d’affilée sans avoir envie que cela s’arrête.


Comment faire une sodomie, conseil n°6 : utilisez vos doigts

Ils ont bien servi dans notre chatte, il s’agit maintenant de vérifier que l’on est prête pour le grand saut. Commencez par une double pénétration avec vos doigts. un ou deux dans la chatte et un dans l’anus. A ce stade cela devrait aller tout seul et la fille devrait se cambrer pour vous aider et montrer qu’elle aime à fond. Vous vous demandez peut être encore comment faire une sodomie avec votre queue. Mais, je suis maintenant certaine que l’expérience de vos doigts va vous aider. Et puis, autant vous l’avouer, nous les femmes adorons cette sensation d’être ainsi fouillée tout partout.

Comment faire une sodomie, conseil sodomie n°7 : Que si vous bandez bien dur

Si vous bandez bien dur à ce stade alors vous pouvez y aller. Par contre, si vous sentez que vous avez une baisse de régime il vaut mieux ne pas tenter le coup et remettre cela à une prochaine fois. Pas d’inquiétude, avec la façon dont vous venez de la chauffer c’est certainement elle qui vous fera comprendre la prochaine fois qu’il faut réessayer. Bander dur c’est important pour la sodomie ! Quand j’en discute avec mes amies nous faisons toutes le même constat : Si notre partenaire bande un peu mou nous disons que ce n’est pas grave pour ne pas vexer mais nous sommes terriblement frustrées de ne pas sentir une verge bien dure et longue dans notre chatte ou notre cul. Mais cela personne ne vous l’avouera parce qu’on n’est pas non plus méchantes pour le plaisir en général et surtout parce que le dire ne change rien ! Et la taille aussi ça compte bien sûr ! En deuxième lieu après la dureté mais ça compte. Surtout la longueur en ce qui me concerne ! Un amant rencontré sur internet qui l’avait particulièrement longue et dure m’a avoué utiliser un programme d’entrainement pour bander plus dur et plus long. Je dois dire qu’il était irréprochable de ce point de vue. Quel dommage qu’il ait complètement manqué d’imagination par ailleurs et n’ai que si peu de mots à son vocabulaire…

Comment faire une sodomie, conseil n°8 : Forcez le passage…mais pas trop

Tout semble bien en place donc. Allez y franchement car si c’est une première sodomie il est possible que votre partenaire ne soit pas, malgré vos soins attentifs, totalement détendue. N’ayez pas peur, les anus trop étroits sont une légende, Je vous assure que les femmes chient des étrons aussi gros que vous les mecs. Et ça passe par le même trou ! Si cependant ça ne rentre pas à la première ou à la seconde tentative il ne faut pas non plus insister car il n’y a aucune chance que votre partenaire soit plus détendue. N’en faites pas une affaire d’état, comme je le dis dans le conseil précédant avec la façon dont vous l’avez chauffée elle en redemandera forcément la fois suivante.

Comment faire une sodomie, conseil n°9 : Encouragez votre partenaire

Une fois bien enfoncé dans son cul vous pouvez commencer le va et vient. N’oubliez pas d’ajouter un peu de son à tout ça. On n’est plus au temps du cinéma muet et on aime toute être flattées. Dite moi que je suis bonne, que mon cul est trop bon, insultez moi de tous les noms, je suis une salope qui aime ça etcetera…Franchement ce n’est plus le moment d’être timide !

Comment faire une sodomie, conseil n°10 : Un plug anal vous offrirez

L’avoir fait une première fois c’est bien. Je suis sûre que cela n’a pas été facile, même en suivant tous mes conseils pour une sodomie réussie. Sachez que plus une femme pratique la sodomie plus elle aime cela et moins c’est difficile. Pour plus de plaisir et pour faciliter la tâche la prochaine fois vous pouvez offrir à votre belle un plug anal à porter pendant la journée en prévision de l’enculade du soir. Il en existe de très beau et design si j’ose dire pour toutes les bourses.

COMMENT FAIRE UNE SODOMIE, CONSEIL N°11 : L’INSPIRATION TU TROUVERAS

Personnellement je préfère la vraie vie et l’expérience réelle en os et surtout en chair. Mais il faut bien avouer que, quand on est mariée on n’a pas forcément l’occasion de pratiquer tous les quatre matins. Vous trouverez toujours des fanfarons pour revendiquer plusieurs plans cul par semaine avec pénétration anale grace à internet. Mais les personnes sérieuses qui s’y sont essayé savent très bien que ce n’est pas aussi facile qu’on veut bien nous le faire croire. Aussi quand l’occasion se présente il peut arriver de se sentir démuni (ou démunie) et de ne plus savoir ni comment s’y prendre ou simplement de ne plus être en confiance quant à l’acceptation de la pénétration anale. Un bon moyen pour rester concentré sur la question et garder confiance est d’en avoir parlé avant avec des filles qui pratiquent. Cela est possible en Tchat webcam, soit sur une site de rencontre soit, pourquoi pas, avec une hôtesse sexy qui peut aussi vous prouver en direct qu’un bon petit cul peut toujours se faire pénétrer par une bonne bite bien dure ou un gode. Cela peut vous paraître cru de la part d’une fille comme moi. Mais je suis crue et je l’assume !

COMMENT FAIRE UNE SODOMIE, CONSEIL N°12 : LA TAILLE DU PENIS NE COMPTE PAS

Souvent celles et ceux qui n’ont jamais pratiqué la sodomie se posent la question de la taille du pénis. Une amie un peu sotte me demandait si une trop grosse bite ne risquait pas de lui faire mal. Un amant bien monté s’en trouvait complexé au point de ne pas oser me la mettre dans le cul ! Je voudrais rassurer ici chacune et chacun. La taille ne compte pas tant que cela et, pour peu que l’homme bande bien dur et que vous lubrifiez alors ça passera forcément. Il existe des programmes dit sérieux d’amplification de la taille du pénis (ici par exemple). En réalité ça ne marche pas du tout aussi bien que veulent le faire croire les sites (je le sais car je bosse dans le domaine médical). Mais pour la force des érections c’est plutôt réputé efficace…

COMMENT FAIRE UNE SODOMIE, CONSEIL N°13 : LA FILLE TU TROU(V)ERAS

Finalement cette article sur comment faire une sodomie mérite plus que 10 conseils. En voilà donc un onzième. En introduction (anale) j’ai dit que potentiellement nous aimions toute cela. Et je le pense sincèrement. Mais il se peut que de votre côté vous manquiez  d’expérience en la matière. Ou que votre copine ne soit pas trop convaincue par la sodomie. Dans ce cas je ne saurais que trop vous conseiller de trouver, temporairement bien sûr, une fille qui aime déjà la sodomie. Ce sera plus facile. Pour cela il faut viser les sites de rencontre à plan cul un peu spécifiques. Moi, quand je veux un plan anal avec fessée (mon péché mignon) je mets une annonce sur copine de sexe. Mais en réalité il y en a d’autres qui fonctionnent bien (n’hésitez pas à me demander en message privé…). Pour aller plus loin ma dernière sodomie.

COMMENT FAIRE UNE SODOMIE, CONSEIL N°14 : Ne pas négliger les nichons

Souvent quand on pense sodomie, on pense grosse queue qui défonce un petit cul ou un gros cul. On est obsédé par l’idée de quitter le vagin pour se diriger vers l’anus et assurer une bonne pénétration anale digne d’un porno hardcore. Sachez messieurs que pour assurer par derrière il faut parfois utiliser des voies détournées et aussi s’intéresser à ce que nous avons devant : Les seins. Personnellement j’avoue ne pas me souvenir d’avoir été sodomisée par un homme que je n’aurais pas sucé avant. En général la sodomie vient comme un point d’orgue dans nos relations sexuelles. Et donc, pour maitriser la sodomie il faut bien souvent avoir fait ses gammes. Le plaisir de bien enculer vient après la branlette espagnole et quelques délires SM soft.

Pau, une fessée bien méritée

la fessée à travers les âges
J’ai aimé ce livre

L’année dernière, début mars, je me trouvais à Pau en même temps que le salon professionnel SAPHIR des métiers de bouche. Mon déplacement à Pau n’avais rien à voir avec ce salon et, fort heureusement, je m’y étais prise à l’avance pour réserver une chambre à l’hôtel Roncevaux. J’aime beaucoup ce bel hôtel du centre historique de Pau qui, en plus d’être cossu propose des chambres très bien insonorisées. Non pas que le bruit des autres me dérange mais j’ai tendance, parfois, à être plutôt démonstrative quand je suis en mode plan cul à Pau (ou ailleurs)…

La semaine précédant mon déplacement j’avais beaucoup trainé sur internet, alternant les séances de SexCam et surf au hasard de mon désœuvrement. J’avais été très excitée quelques jours avant par une vidéo porno un peu vintage où l’on voyait Julia Channel punie se faire corriger par son prof. Aussi j’avais décidé que mon prochain plan cul serait sur le thème écolière fessée et punie par son professeur. Ne reculant devant aucun sacrifice je m’achetais un déguisement d’écolière japonaise ultra sexy que je rangeais dans ma valise en cachette de mon mari pour mon déplacement à Pau.

Rendez vous était donné à mon plan cul directement à l’hôtel et je l’avais bien sûr mis au courant du thème que j’avais choisi pour qu’il puisse lui aussi se préparer comme il se doit. Mon costume d’écolière était composé d’une jupe bleu marine avec un mince liseré blanc, d’une chemise blanche très échancrée et d’une large cravate dans le même tissu que celui de la jupe qui m’arrivait juste au dessus du genou. J’avais complété d’une paire de baskets Converses bleu marine et de chaussettes montantes blanches. Bien sûr, une culotte blanche de marque petit bateau. Je ne suis pas myope mais j’avais jugé plutôt sexy de porter des lunettes à large monture en écaille de tortue ce soir là.

Dans cette tenue que je jugeais plutôt sexy, j’attendais donc avec un peu d’appréhension mon prof qui devait me rejoindre dans la chambre vers 20h.

Pile à l’heure il ne frappait pas (à la porte…) et entrait directement me surprenant alors que je regardais par la fenêtre la rue Louis Barthou. Il était vêtu d’un costume sombre, la quarantaine, mince, l’air plutôt bien fait mais s’aidant d’une canne de marche. Sous le bras il avait un grand porte documents en cuir fauve.

« Je vois que vous rêvassiez jeune fille. Pffft, comme d’habitude ! » me dit-il en posant sa canne à plat par terre et en ouvrant sa serviette pour en sortir une copie couverte d’annotations en rouge.

« Oui monsieur, pardon monsieur. »

« J’ai votre copie de géographie sur le Béarn et la ville de Pau. C’est nul, 2 sur 20 et encore je suis indulgent. Vous connaissez le tarif pour un travail aussi médiocre j’imagine. »

« Non monsieur…Mais je m’en doute un peu. » Répondais-je sur la défensive.

Il s’assit sur le bord du lit et me fit signe se me mettre en position pour une bonne fessée. Je m’exécutais trop contente de la tournure que prenait la soirée. Il a immédiatement relevé ma jupe, baissé ma culotte petit bateau et m’a administré une fessée magistrale, frappant, certes, du plat de la main mais vraiment sans ménagement pour mes fesses qui devaient sans doute bien rougir sous ses coups. Je criais pour l’encourager en m’efforçant de ne pas rire pour rester bien dans le personnage. Ce n’était pas simple car en réalité cela était plus excitant que douloureux.

« Ne crois pas que tu vas t’en tirer à si bon compte. Cela était juste un préliminaire parce que tu rêvassais à la fenêtre. Pour la copie de géographie tu n’as pas encore payé. Maintenant à genoux, mains sur la tête ! »

Il me désignait sa canne posée par terre et je compris que je devais me mettre à genoux avec la canne juste sous les rotules. Apparemment nous avions les même références filmographiques…Pour le coup, après même pas trente seconde cela était vraiment douloureux et de vraies larmes me montaient aux yeux. D’autant plus qu’il prenait son temps, tournant calmement autour de moi en boitant légèrement. Il sortit sa belle bite de son pantalon et se planta devant moi. Alors que je prenais sa queue dans les mains pour le sucer il me frappa à nouveau sur le dos de la main cette fois.

« Tss Tss, on garde sagement les mains sur la tête, mauvaise élève, je veux juste te baiser la tête. On fera au moins rentrer quelque chose dans cette cervelle de moineau ! »

Me pressant sans ménagement derrière la tête il s’enfonçait au plus profond de ma gorge. Avec sa canne toujours sous mes genoux j’endurais un véritable supplice et je pleurais presque autant que je mouillais. Après quelques minutes de va et vient dans ma bouche il m’a fait poser les mains par terre pour me mettre à quatre pattes en prenant soin que je garde bien les genoux sur sa putain de canne. Il avait amené un martinet et, après avoir relevé ma jupe d’écolière, il me fouetta le bas des reins et les fesses. Mais la douleur était presque un soulagement car elle me faisait oublier mes genoux qui me faisaient souffrir le martyr.

J’allais me relever et mettre un terme à ce jeu douloureux quand les coups cessèrent d’eux mêmes.

-« Bon, je pense que tu en as assez pris, tu as bien compris la leçon. On peut commencer le travail de révision. »

Il me désigna un coussin qu’il avait jeté à terre à côté du lit.

-« Tiens, tu peux reposer un peu tes genoux de souillon si tu veux. »

Je prenais vite place craignant qu’il ne change d’avis. Le coussin n’était pas très grand et je devais serrer les jambes pour avoir mes deux rotules meurtries enfin soulagées. Les coudes sur le sommier du grand lit mon confort s’était largement amélioré.

Il ouvrit devant moi un livre ancien sur l’histoire de la ville de Pau et du Béarn afin que je puisse le lire à voix haute.

Je m’exécutais pendant qu’il me prenait en levrette très tendrement. En tous cas je trouvais cela tendre en comparaison de ce qu’il m’avait fait subir juste avant.

« Pau devient Capitale du Béarn au quinzième siècle…hummm…grâce à Gaston IV de Foix-Béarn qui transfère sa capitale d’Ortez à Pau après…hummm oui c’est bon….avoir convolé en justes noces avec l’infante de Navarre…Humm. »

Pour le coup c’était vraiment bon. J’aurais aimé qu’il s’occupe aussi de mon anus et me sodomise mais je pense que j’avais, à cette époque, le trou trop serré et il ne fit qu’un essais infructueux juste avant de revenir jouir dans ma chatte.

Autant dire que je garde de Pau un excellent, quoique douloureux, souvenir et que j’ai hâte d’y retourner en mars prochain !

Ma chambre d'écolière à l'hôtel Ronceveau à Pau
Ma chambre d’écolière à l’hôtel Ronceveau
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Profils à clicker et à croquer de filles libres qui aiment peut être la fessée.

Blog sexy, six dont j’essaie humblement de m’inspirer

 

Liste de mes autres articles

Une fois n’est pas coutume, je ne vais pas vous parler aujourd’hui de mes frasques sexuelles ni de mes dernières rencontres ou émois en sexcam. Non, dans ce petit billet j’ai décidé de remercier et de partager les 6 blog sexy que j’aime et dont j’essaie de m’inspirer. Je tiens à m’excuser auprès des lecteurs qui attendent une liste de liens vers des sites truffés de photos hard et de vidéos de sodomie sauvage vous ne trouverez rien de tout cela dans ce post. Pour moi le sexe doit se vivre dans de vraies chambres d’hôtel avec un contact physique réel. Et pour ce qui est de la défonce anale, d’aucuns peuvent témoigner que je ne suis pas la dernière à aimer quand c’est par derrière…

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Devine où je suis…
Blog sexy n°1 : Journal très intime d’une femme mariée

Sobre dans la forme mais d’un contenu osé…Hélas plus très actif récemment.

Blog sexy n°2 : Anadema’s story blog sur mes rencontres amoureuses sur internet

Super blog de rencontre soft sur internet. Un peu politiquement correct et bien pensant (à mon avis bien sûr). Mais je trouve courageux et bien écrit. J’aimerais trouver un jour la version fille et libertine de ce blog. Alors en attendant, j’essaie, à mon échelle d’écrire cette version…

Blog sexy n°3 : Les gouters de Clarissa

Clarissa rivière écrit merveilleusement bien les histoires de cul et son blog sexy est riche et fourni. Je la lisais beaucoup en secret lorsque j’étais une bonne épouse fidèle. Maintenant que je me suis bien dévergondée je continue néanmoins à la lire avec délectation. Mon seul regret est que la plupart des récits soient fictionnels. J’aime la vraie vie, les relations réelles et charnelles…

Blog sexy n°4 : nouvelles-érotiques

Très sobre et complet. pas de publicité envahissante et peu d’image pour beaucoup de texte. Comme j’aime quoi.

Blog sexy n°5 : miss-kat

L’un de mes préférés, surtout pour les histoires de domination dont j’essaie de m’inspirer dans la vie réelle.

Blog sexy n°6 : histoires de deux dos

Un petit dernier que j’aime bien pour la route…

Live show sexy, ça m’arrive !

Autres articles

Bon, disons le tout de go, le live show n’est pas ce que je préfère mais je le fais occasionnellement pour arrondir mes fins de mois ou tout simplement lorsque j’ai repéré une paire de chaussures qui me plait ou que je veux m’acheter des accessoires sexys haut de gamme sans avoir à utiliser le compte commun…

Cependant je dois bien avouer que ce n’est quand même pas désagréable de m’exhiber à des hommes via ma webcam HD et en plus de faire quelques sous grâce à cela…Je le fais aussi quand je m’y suis prise trop tard pour trouver un plan cul ou que je n’ai pas forcément envie d’un mec dans ma chambre d’hôtel mais que je veux ma dose quotidienne de baise. Continuer la lecture de Live show sexy, ça m’arrive !

Dépucelage anal au château

Dépucelage anal, choisir le thème de mon premier billet n’a pas été si difficile tant cette expérience a été marquante pour moi. Je décide donc de vous raconter mon dépucelage anal.

Avant de me retrouver cocue et de décider, en janvier 2014, de m’adonner aux rencontres coquines sans lendemain pendant mes déplacements professionnels, je dois avouer que j’étais plutôt novice niveau baise. J’avais eu quelques expériences de jeunesse et une sexualité que je pensais plutôt épanouie avec mon mari mais j’avais toujours refusé la sodomie. Il faut dire qu’on ne me l’avait pas non plus proposée de manière insistante.

Arrivée au château de mon dépucelage anal

C’était le mardi 4 mars 2014, en Charente, je devais visiter une grosse pharmacie de Cognac le mercredi matin ce qui me donnait un prétexte idéal pour prendre une nuit d’hôtel la veille. Comme j’adore les beaux hôtels et que mon patron me laisse pas mal de liberté j’avais jeté mon dévolu sur le Château de Brillac près de Jarnac là où est enterré François Mitterrand. J’arrivais vers 21h00 avec ma jolie Fiat500 de fonction et je prenais plaisir à entendre le gravier de l’allée qui menait au château crisser sous les pneus alors que je roulais au pas. Marco07 que j’avais branché la veille sur Infidèle Messenger me suivait dans une Renault Mégane assez banale. Cela commençait mal, il m’avait pourtant paru plutôt distingué dans nos brefs échanges par webcam. J’en étais seulement à mon cinquième plan cul en deux mois et à part une exception qui m’avait incité à persévérer j’avais été plutôt déçue jusqu’alors. Pas dégoutée, non, mais juste un peu déçue. Je le laissais se garer à côté de ma voiture et sortir en premier. Il ne faisait pas trop sombre, l’extérieur du château étant assez bien éclairé. Je constatais avec satisfaction que Marco07 avait un costume plutôt bien taillé et des souliers vernis impeccables. Eh oui, il faudra vous y faire je suis comme cela, pour moi l’emballage compte autant que le contenu. De mon côté je portais un tailleur gris perle, des bas noirs et une paire de bottines sans talons. Plutôt grande je ne voulais pas intimider le monsieur. J’ouvrais grand la porte de la Fiat et prenais soin de pivoter sur mes fesses en relevant mes longues jambes pour lui laisser l’occasion de mâter un peu. Marc, car c’était son vrai prénom je suppose, s’avança vers moi et me fit la surprise d’un baise main en guise de salut. J’avoue avoir été un peu désarçonnée par ce geste d’un autre âge, surtout pour un homme dans la quarantaine supposément en quête d’un plan cul sans lendemain. Il vit mon sac de voyage en cuir sur la banquette arrière et s’en chargea sans un mot, lui n’avait aucun bagage. La propriétaire du Château de Brillac nous attendait et comme c’est moi qui m’avançait en premier elle me donna la clef de la chambre n°7, à l’étage. En véritable Gentleman il me laissa passer devant, sauf pour l’escalier où, habillement, l’air de rien, il me dépassa pour ne pas être derrière moi dans la montée. C’était la première fois que l’on me faisait cela. D’habitude les hommes aiment reluquer mon petit cul, surtout quand je monte des escaliers ! Mais cette fois c’était moi qui me retrouvais à admirer ses fesses qui tendaient légèrement la toile de son pantalon. Un plaisir dont je lui étais reconnaissante et qui ne devait sans doute rien au hasard.

Dans la chambre n°7

Arrivés dans la chambre nous ne nous étions pas adressé la parole et, notre seul contact physique avait été ses lèvres effleurant le dos de ma main. C’est trop beau pour être vrai pensais-je, ça va foirer, c’est bien ma veine je suis tombée sur un timide. Comme s’il avait deviné mes pensées il me dit : »Voulez vous, Madame, que nous prenions une douche ? »

Ce vouvoiement suranné, accolé au Madame, me fit sourire et je décidais de rentrer dans son jeu. Je m’entendis lui répondre de manière un peu guindée : »Très volontiers, Monsieur, rejoignez moi dans la salle de bains. » Et je filais vers la douche Italienne en tirant la porte derrière moi pour me dévêtir à l’abris de son regard. J’étais déjà sous le jet d’eau quand il me rejoignit entièrement nu à l’exception de son alliance qu’il avait gardée. Je ne savais pas si c’était parce qu’il ne pouvait l’enlever ou si c’était à dessein. Mais je penchais pour la seconde hypothèse. Il m’embrassais en me caressant la chatte d’une manière très convaincante. Surtout je sentais l’or de son alliance contre mon clito et c’était juste divin. Pour moi qui ne digérais toujours pas d’être cocue, me faire caresser par l’homme d’une autre me donnait l’impression de rétablir un certain équilibre. J’aurais bien voulu le sucer pour lui manifester ma reconnaissance mais il ne m’en laissa pas le temps, me repoussant délicatement vers la chambre. Il me fit m’allonger sur le ventre au milieu du grand lit. Je remarquais au passage ses vêtements pliés soigneusement sur une chaise et un préservatif encore dans son emballage carré posé sur un oreiller. Ouf, je ne sais jamais trop comment amener le sujet et là il avait déjà tout prévu avant de me rejoindre. Pour un plan cul internet j’étais conquise, c’était du top niveau !

Il se mit à califourchon sur mon dos et entrepris de me masser délicatement la nuque et les épaules. Il prenait son temps, ne semblait pas pressé alors que moi je mouillais déjà comme une chatte en chaleur. Ce dépucelage anal j’en avais tellement envie ! Mais le massage était vraiment bon, ferme mais pas brutal. Au fur et à mesure qu’il descendais le long de mon dos je le sentais se décaler sur moi et son pénis était maintenant en plein sur la raie de mon cul. Comme il ne disait rien je n’osais gémir ou l’encourager. Je me souviens que j’aurais voulu garder sa bitte sur mes fesses mais qu’il a continué à descendre pour me masser les cuisses. Je ne sais pas combien de temps cela a duré mais ça me semblait une éternité et un délicieux supplice qu’il prenne autant son temps. Puis il a pris le préservatif sur l’oreiller mais aussi l’oreiller qu’il m’a glissé sous le ventre. J’ai senti un liquide froid le long de ma raie. Je pense qu’il avait dû récupérer l’échantillon de lotion pour le corps dans la salle de bain. Je pensais qu’il allait continuer à me masser mais il a directement mis sa verge contre mon anus et a forcé d’un coup pour ce qui devait être ma première sodomie. Là je peux dire que j’ai crié ! c’était fort douloureux et en même temps super excitant. Le contraste entre son comportement doux et respectueux du début et la violence avec laquelle il me ravageait littéralement l’anus maintenant était saisissant. Je ne savais plus où j’étais ni qui j’étais, je me souviens que je criais mais qu’en même temps je ne voulais surtout pas qu’il s’arrête. D’une main il me tirait par les cheveux et de l’autre il me fouillait la chatte. Dans tout ce mélange de sensations extrêmes il est étrange que je me souvienne encore d’un détail comme le métal de son alliance que je sentais contre mon clito. Je suis pourtant bien sportive mais quand il a fini par jouir dans mon cul pour s’effondrer ensuite à côté de moi j’étais complètement rincée et je n’avais qu’une envie : ne plus bouger et dormir jusqu’au lendemain. Ce que je fis égoïstement d’ailleurs. Le lendemain quand le réveil de mon iphone5 sonnait il n’y avait plus aucune trace de l’auteur de mon dépucelage anal dans la chambre, à part l’enveloppe en aluminium du préservatif dans la corbeille à papier à côté du petit bureau.

 

Si vous avez aimé ma petite histoire et que vous l’avez lue jusqu’au bout vous aimerez peut être cette bande dessinée. Si vous la prenez sur le site en lien je gagne 1€ au passage (autant être transparente !).

 

degenerate_housewives
Une de mes BD préférées !

Post rectum : J’ai pris en souvenir une photo de la chambre de mon dépucelage anal.

La chambre de mon dépucelage anal
Chambre de ma toute première sodomie.
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