Mon agenda de salope pour janvier 2022

 

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J’aime faire des listes, prendre des résolutions prèsqu’intenables et avoir la satisfaction d’y être arrivée.
Voici donc ma liste pour janvier 2022. Rendez vous le premier février sur ce même article pour savoir quels items j’ai pu cocher de cette liste.

– 20 minutes de boule de geisha par jour pour garder un minou délicieusement ferme et étroit.

– Piscine un soir par semaine

– Baiser avec mon mari au moins deux samedis dans le mois. Important pour qu’il ne soupçonne pas que je vais voir ailleurs.

– Sucer mon mari au moins une fois ailleurs que dans notre lit. Juste pour le surprendre et qu’il soit frustré que je ne le fasse presque jamais.

– Réactualiser mon profil sur cinq à sept.

– Répondre à chacune des 97 demandes en attente sur le site de rencontre. (Pour allumer et dire non à toutes les demandes moins une juste par sadisme pervers).

– Envoyer une photo coquine avec mes meilleurs vœux à tous ceux qui m’ont ken et dont j’ai l’émail.

– dépenser indécemment  en lingerie sexy.

– Aller à l’église au moins un dimanche matin (J’aime y aller seule habillée sexy et sentir le regard des hommes et la contrariété de leurs épouses).

– Organiser un unique plan cul avec un nouvel amant la dernière semaine du mois (pour me récompenser d’avoir tenu mes engagements de janvier)

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Escapade adultère entre copines

PS : je mets le post scriptum au début, comme ça je suis sure que vous le lisez !!! Si vous aimez ce que j’écris laissez un commentaire. J’adore vos commentaires et j’y réponds souvent. Alors osez !
Et sachez que si vous assumez de partager mes articles sur les réseaux sociaux alors je vous en témoignerai une vraie reconnaissance ! Et peut être quelques messages privés très personnels…

Mon amie Marie et moi aimons parfois offrir un plan à trois à mec. Aventures adultères et sites de rencontre nous ont permi de collectionner quelques hommes pervers juste comme il faut. Sans complexes mais respectueux de nos fantasmes de salopes qui assument d’aimer jouer les soumises pourvu que l’homme sache nous faire jouir comme il faut. L’une de nous teste d’abord seule l’étalon. Si la chevauchée est fantastique alors nous gardons dans un coin l’idée de recontacter un jour le monsieur pour un peu de triolisme.

Pourtant Jacques n’est pas un homme rencontré sur internet. C’est un copain d’avant de Marie et de ses années lycée. Quand la jolie Marie m’explique qu’il était déjà branché SM à dix huit ans et qu’il aimait l’attacher je suis immédiatement conquise à l’idée de le rencontrer. D’autant qu’elle vient d’apprendre qu’il est divorcé depuis la fin du premier confinement et que c’est lui qui a repris contact avec Marie.

Jacques a hérité de la ferme familiale, depuis son divorce il s’occupe seul de son exploitation. Une vingtaine de vaches laitières et un immense potager bio entre Le Havre et Etretat. On a souvent en tête le cliché de l’agriculteur rustre et inculte. Un bon gar mal fagoté a l’hygiène corporelle plus que relative. Ce n’est pas le cas de Jacques. Une fois enlevé le bleu de travail de la ferme Jacques file directement à la grande sale de bains en marbre de sa demeure. A en juger par la profusion de crèmes et soins pour homme que j’y ai vu lors de mon séjour j’ai confirmation qu’il prend grand soin de sa personne.

Pour me libérer le temps d’un week-end j’ai proposé à mon époux que nous allions tous deux en Normandie voir mes parents qui n’ont pas vue leur petite fille depuis le premier confinement. Évidement l’idée d’un week-end de Novembre en Normandie en zone pavillonnaire chez Beau Papa et Belle Maman n’enchantant pas mon époux il s’est, comme par hasard, trouvé une montagne de travail en retard et une plaidoirie à préparer pour me demander si je lui en voudrais vraiment s’il restait à la maison.

Me voici donc à presque 1000 km du domicile conjugal, avec Papa Maman qui gardent la petite et toute liberté pour sortir le soir et rentrer quand je veux au petit matin. Je mets mon iphone sur répondeur comme j’en ai fait prendre l’habitude à tout mon entourage, mari compris. Pour mes parents je suis en virée nocturne et nostalgique avec des amis de lycée.

Ainsi, s’est le cœur léger que j’engage la Fiat 500 dans le chemin de graviers qui mène au corps de ferme de l’ami de Marie. Marie, en bonne copilote, a laissée sa main sur ma cuisse tout le trajet depuis la gare d’Yvetot où je l’ai récupérée ainsi que sa grosse valise qui, ne tenant pas dans le petit coffre, occupe la banquette arrière. Ce soir c’est vendredi, Marie passera le week-end chez Jacques. Je repartirai demain matin et reviendrai le soir pour une seconde nuit de débauche si nous sommes satisfaites de la première. J’ai pour tout bagage une petite trousse de toilette. Marie connaît ma taille et mes goûts en matière de costumes et d’accessoires SM. L’essentiel est dans sa valise.

Je gare la voiture sous un auvent de tôle ondulée entre un gros tracteur rouge et une Cadillac décapotable rutilante toute en chrome et cuir blanc. Trop bizarre l’ambiance !

-« Ça ne m’étonne pas, Jacques était déjà pas mal excentrique quand nous sortions ensembles » me dit Marie.

Un homme vient vers nous depuis la maison a quelques pas. Il bruine. Comme Marie m’a parlé d’une ferme je m’attendais plus ou moins à une cour boueuse mais tout semble parfaitement entretenu. La pelouse est digne d’un golf et le gravier d’un blanc immaculé sous les lampadaires qui conduisent à l’entrée.

Marie et moi sommes pomponnées et maquillées comme si nous allions à un bal de lycée. Robe en laine souliers vernis plats pour moi, jupe en cuir, pull en cachemire et talons hauts pour elle. Je reste un peu plus grande que mon amie malgré ses douze centimètres de talons aiguilles.

Jacques marque un temps d’arrêt a quelques mètres de nous. C’est suffisant nous laisse comprendre qu’il apprécie ce qu’il découvre. Je le trouve beau. Il est grand, très grand. Je dirais pas loin de deux mètres. Élancé sans être maigre, jean, chaussures de ville et pull irlandais blanc cassé. Blond, cheveux adorablement bouclés. J’ai du mal à imaginer cet homme conduisant un tracteur ou branchant la trayeuse automatique sous une vache laitière.

Jacques : -« Mesdemoiselles

Moi: – Mesdames !
Jacques : Pardons, Mesdames, bienvenues à la ferme. Vous avez des bagages ?

Marie : – Juste une grosse valise pour nous deux…Enfin, pour nous trois…Mais commence par  m’embrasser, on fera les présentations à l’intérieur. Et, s’il te plaît, avec la langue le bisou de bienvenue !

Marie sais parfois être directe. Elle arrive toujours à me surprendre ! Il la prend dans ses bras et lui roule un patin qui me donne immédiatement envie d’être à sa place. Leur baiser me semble durer une éternité et je reste plantée là comme une sotte.
Heureusement dès qu’ils ont fini de s’embrasser Marie ne m’oublie pas.

Jacques, je te présente Lucie. Elle est comme ma petite sœur.

Pourquoi petite ?

Je ne sais pas. Peut être parce qu’elle a besoin d’être éduquée…qu’en dis tu ?

J’en dis que sœurs ou pas vous êtes toutes les deux bienvenues chez moi. Entrez entrez, il ne fait pas chaud dehors.

Il prends la grosse valise d’une main et s’arrange pour avoir l’autre ma hanche en nous conduisant vers la porte d’entrée restée ouverte. A travers la laine de ma robe j’aime le contact tiède de son bras enveloppant. J’ai beau être une salope expérimentée je me surprends à me sentir timide et débutante.

La première chose qui me surprend en entrant chez Jacques c’est la lumière. Juste parfaite, ni trop crue ni trop tamisée. Dans des tonalités chaudes exactement assorties aux flammes de la grande cheminée. Un grand canapé en cuir marron et deux fauteuils clubs assortis, un immense tapis moldave sur le sol en tommettes, une tapisserie représentant une scène de chasse la table basse est en bois brut. Pas de téléviseur mais un immense miroir à encadrâtes dorées horizontal posé contre le mur en face de la cheminée. Où que se pose mon regard tout est beau, harmonieux. J’ai beau chercher, je ne vois pas une faute de goût. Et je trouve que Marie et moi sommes nous aussi juste parfaites dans ce décor. Je me vois du coin de l’œil dans le miroir. La lumière sur ma robe en laine met en valeur mes courbes sensuelles et le cul de Marie moulé par sa jupe en cuir reflète les flammes de la cheminée. Jacques nous fait visiter la partie habitable de la ferme. De plein pied, toute en longueur. Après le grand salon il y a un couloir, quatre chambres et une seule salle de bain immense et toute en marbre. Pascal a prévu pour chacune nous deux une jolie chambrette meublée de deux lits une place à armature en fer forgé, d’un petit bureau et une armoire dressing avec, sur la  porte un miroir biseauté. La chambrette a une autre porte qui communique avec la chambre, plus vaste, de Jacques.
En gentleman Jacques nous laisse nous installer. Nous sommes libres de le rejoindre au salon quand nous voulons…vêtues comme nous voulons…

Marie pose la grosse valise sur le lit et entreprend de disposer lingerie sexy et costumes dans le dressing. J’ai très envie de lui faire un câlin là maintenant mais je décide de me retenir en prévision du moment où nous rejoindrons Jacques.
Marie : – Bon, on dit que ce soir tu fais la débutante soumise légèrement effrayée un peu godiche. Et moi la maîtresse autoritaire qui manie le fouet ? Et demain on inverse ok ?

Moi : Ça me va. Dis donc il a vraiment l’air bien ton Jacques.

Marie : Oui, c’est une bonne surprise. Je trouve que les années l’ont gâté. Je suis certaine qu’on va bien s’amuser.

Moi : Tu veux qu’on s’habille comment ?

Marie : On reste comme on est. Juste tu mets un collier de chienne, je te tiens en laisse et je prends la martinet à lanières ok ?

Moi : ok maîtresse Marie.

Marie me passe le collier autour du cou. Experte elle passe deux doigts entre la bande de cuir et la peau délicate de mon cou pour s’assurer que ce n’est pas excessivement serré. Le mousqueton de la laisse fait un petit click et elle glisse sous ma robe en laine le manche du martinet. Je mord ma lèvre inférieure.

Marie : Attends. Il manque un truc pour que tu sois parfaite.

Marie met un petit plug anal en Christal dans sa bouche.

-Tournes toi et penches toi en avant.

Elle relève la jupe et presse délicatement le plug contre mon anus. Elle prend son temps, le remets plusieurs fois entre ses lèvre pour bien le couvrir de salive. Quand il rentre enfin c’est comme un gros suppositoire. Ce n’est pas douloureux. Juste délicieusement inconfortable. Je sais que le temps que je m’y fasse le plug anal va me donner une démarche un peu raide et maladroite. Mais c’est bien l’effet recherché.

N’hésitez pas à commenter, si vous voulez que je vous raconte la suite et comment Jacques a rendue inoubliable cette première nuit à trois. Laissez aussi votre pseudo si vous avez un compte sur cinqasept. Moi en 2022 ce sera Bovary64.

La suite ici.

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Avocate sexy anal

Avocate en tailleur sexy

Depuis quelques mois en bonne petite salope nymphomane j’ai trouvé un jeu dont je ne suis pas prête de me me lasser. L’idée est simple : Choisir un homme, fouiller dans sa vie sur internet et les réseaux, le séduire et me faire baiser par lui.

Mylenenormandi

Journée des avocats. Le cabinet a organisé des consultations gratuites ce jour là et tu t’es inscrit sur internet. Le rendez-vous est Maître De la Fertiaise, un juriste dont le nom te fait sourire. La veille, une secrétaire t’a appellé pour déplacer l’heure de ton rendez-vous. Seul créneau disponible 21h45. Le cabinet de juristes est victime de son succès. Tu as pris le créneau proposé puisqu’il n’y a plus que ça. Tu ne t’attendais pas à ce qu’une jeune femme très sexy en costume d’avocat te reçoive.
C’est tout, sauf un hasard. Un guet-apens digne d’une mauvaise série B d’espionnage. Nous avons planifié le coup bien en amont avec mon ami avocat. Nous t’avons choisi parce que tu indiquais vouloir divorcer. Avec ton nom et ton prénom nous avons pu trouver des dizaines de photos de toi, consulté ton profil LinkedIn et ton Instagram qui sont tous deux publics. J’ai lu avec attention et amusement tous les commentaires sur tes nombreuses publications et en ai déduit que tu es assez cash, non dénué d’humour et aussi sacrément en manque de sexe depuis plusieurs mois. Ces choses se voient comme le nez au milieu de la figure quand on lit les commentaires et amorces de discussion entre la gent féminine et toi…Tu es une proie facile !

Une proie d’autant plus facile que je porte ce tailleur strict mais très moulant qui fait de moi une parfaite avocate à chignon de film porno que l’on rêve de sauter sur le bureau.

L’entretient commence de manière assez ennuyeuse. Passée la surprise d’être en présence d’une avocate ultra sexy, tu te dis que c’est juste un coup de chance et tu l’exposes ton cas. Banale histoire d’un mariage qui part en couille, un pavillon en propriété commune, deux enfants, 8 et 11 ans. Communauté des biens réduite aux acquêts. Rien de très compliqué. Mon mari est spécialiste en droit de la famille alors j’en connais largement assez pour donner le change. Je reste très professionnelle. Je fais durer un gros quart d’heure la conversation ennuyeuse. Je fais semblant de m’intéresser à sa situation conjugale. Puis, sur le même ton d’une conversation professionnelle d’une avocate avec son client je lache la bombe :

-« Ça vous dirais si je vous suçais et que vous me preniez sur le bureau ? »

-« Heu pardon ? »

-« Ça vous dirais que je vous suce là maintenant, tout suite ? Après vous me plaquez sur le bureau et vous me prenez par derrière ! »

-« Heu ? C’est un blague ? »

-« Non, pas du tout, j’ai très envie, depuis que vous êtes entré dans le bureau j’en ai envie. En vérité j’en ai envie depuis une semaine que j’ai tapé votre nom sur internet et fouillé dans vos profils…Je ne vous plaît pas ? »

-«Heu, bien sûr que si. C’est pas la question. »

-« Alors c’est quoi la question ? »

Je me penche légèrement en avant. Mon décolleté est laissé entrevoir mes deux seins lourds et je plante mes yeux dans les tiens. Évidement tu soupçonnes une arnaque, un piège. Mais je suis sacrément bandante.

-« T’as peur que ce soit un piège ? Tu en as envie mais ça te parait. Trop beau ? »

-« Bin oui, j’avoue que c’est exactement ça. »

-« Je pourrais te dire que tu n’as rien à craindre, mais tu ne me croirais pas. Si je te disais que je suis juste une femme qui adore le sexe avec des inconnus, tu ne me croirais pas forcément. Alors si tu veux tu peux juste partir, quitter ce bureau et passer le reste de ta vie à te demander si tu n’as pas raté le plan cul de ta vie… »

Je suis à quatre pattes sur le bureau, ma bouche juste contre ton oreille. Je chuchote : « Alors ? Tu restes ou tu pars ? »

Tu ne bouges pas, tu hésites encore. A moi de donner le coup de grâce. Avant que tu puisses en tirer un mémorable.

-« Réfléchis, tu n’as rien à perdre.  Donnes moi ta main et dis moi si je ments… »

Je m’avances et prends ta main que j’attire sous ma jupe de tailleur. Je la remonte le long de mes bas. Je ralentis au niveau de la bretelle du porte jarretelles afin que tu puisses imaginer mes dessous hyper sexy sous le tailleur strict. Interloqué tu te laisse faire. Je guide tes doigts sous mon string. Là où pointe mon bouton déjà moite. Je presse pour que tu rentres un doigt.

-« Tu la sens ma mouille ? Tu ne sais pas si c’est un piège. Mais tu sais maintenant que ça m’exite. Alors dernière chance t’avoir la baise de ta vie. »

Je retire ta main de sous ma jupe et porte ton doigt humide à ma bouche. »

Je descends du bureau en prenant soin de bien rouler du cul en marchant lentement vers la fenêtre. Je baisse les stores même s’il fait nuit dehors. Je marche tout aussi lentement vers la porte du bureau que je ferme à clef.

-« Tu vois, t’as perdu l’occasion de t’enfuir. Maintenant pour sortir, il va falloir me passer sur le corps… Et me punir de t’avoir pris en otage…D’ailleurs si tu veux on inverse les rôles. Tu fais le preneur d’otage et moi la séquestrée réduite en esclavage sexuel… »

J’ouvre sur le bureau l’attaché case en aluminium que j’ai spécialement préparé pour l’occasion. Dedans un collier ras de cou en cuir avec la petite boucle pour attacher la laisse, deux paires de menottes et une cravache.

Puisqu’il faut tout faire, décidément, je prends le collier de soumission et le mets moi même autour de mon cou en te regardant droit dans les yeux. J’accroche la laisse de chienne soumise à l’anneau et te la met dans la main.
Tu prends enfin une initiative et tires sur la laisse pour approcher mon visage du tien.

-« Ok, je suis sûrement con de tomber dans le panneau mais je ne vois pas le piège. Alors autant m’amuser… »

Tu m’embrasses sur la bouche. Je te rend ton baisser goulûment pour que tu comprennes que j’ai très envie de baiser. Que ce n’est pas un canular.

-« Tu veux que je te suce ? »

-« J’veux surtout que tu la fermes et que tu me montre ton petit cul ! »

Tu me retournes et tires sur la laisse pour que je me penche en avant sur le bureau. J’ai assez pris l’initiative pour ce soir. Je décide d’être passive et de te laisser faire. Avec mes talons hauts et mes 1m78 je dois écarter les jambes pour que mon ventre plat repose confortablement sur le bureau. La pose est une invitation à passer la main de bas en haut le long de ma cuisse légère. Une invitation que bien évidement tu saisis. La caresse est légère, ta main remontant le long de mon bas de manche des petites étincelles d’Electricité statique. Un picotement qui est aussi agréable qu’exitant.

Tu carresses mon cul à travers la jupe de mon tailleur. Je me cambre légèrement, je suis certaine que tu as noté mes talons haut et la qualité de mes bas noirs. J’aime comme tu prends finalement ton temps, la façon ton tu tâte à plaine main l’intérieur de mes cuisses sans te précipiter vers ma chatte. La main ferme que tu plaques sur ma nuque. Je me tortille un peu dans l’espoir que tu vas enfin t’occuper de ma chatte brûlante. Mais tu sembles prendre plaisir à me faire languir. J’hésite à dire que je veux te sucer car c’est moi qui maintenant ai peur de rompre le charme. De faire le mauvais geste ou d’avoir la parole de trop qui casse l’ambiance. Alors je me concentre sur la sensation de ta main qui caresse mes jambes. Je contracte le molet, je serre et desserre les fesses. Tu n’as pas encore relevé ma jupe. Elle te semble trop moulante et étroite pour cela peut être. Peut être aussi que tu aimes simplement prendre le temps de me mâter. Je suis heureuse d’avoir mis ce tailleur, ces talons hauts et cette lingerie sexy que tu vas découvrir. Après de longue caresses, progressivement de plus en plus haut sur l’intérieur de mes cuisses tes doigts effleurent mon con à travers le fin tissu de mon string. Je passe les mains sous on ventre en me cambrant un peu pour déboutonner ma veste de tailleur. J’ai tellement envie que tu embrasses mes seins quand je me retournerai ! Mais pour le moment tu sembles surtout intéressé par mon cul. Un petit cul ferme avec deux jolies fesses que tu malaxes et presses d’une main. L’autre main toujours fermement appuyée sur ma nuque pour l’empêcher de me retourner. Tu presses l’intérieur de mes cuisses je me cambre pour t’inciter à pénétrer ma chatte avec tes doigts mais tu sembles prendre un malin à l’éviter. Tu caresses puis masses your à tour chaque centimètres carré de chair libre entre le haut de mes bas et mon mini string. Tout cela sans jamais toucher ma chatte. C’est à me rendre folle. Après de longues minutes de ce petit jeu pervers tu contourne le bureau pour te retrouver en face de moi. Tu déboucles ta ceinture et baisses ton pantalon. Ta queue est tendue sous ton caleçon et tu ne prends même pas la peine de la sortir. Tu te contente de te planter contre mon visage. J’ai les mains libre et je m’apprête à m’en servir mais tu me prends par les poignets et places mes mains sur tes fesses.
-« Non, essaies juste avec la bouche ! »

Plus facile à dire qu’à faire. La position n’est pas très confortable. Mais je suis assez motivée maintenant. Je parviens avec les dents à baisser suffisamment ton caleçon pour libérer ta queue. Elle est tendue à l’extrême. Une vraie invitation à la fellation. Je lève la tête comme je peux et j’essaie de sucer du mieux que je peux. Tu tiens toujours mes mains par les poignets sur tes fesses. Je suis à la limite de l’étouffement ave  ta queue dans la bouche qui entame de lents va et vient. Je suis prête à avaler ton sperme et à renoncer à me faire baiser quand tu te retire de ma bouche tire sur ma laisse de chienne pour me retourner sur le bureau. Tu tires sur ma jupe, j’ai juste le temps de baisser la petite fermeture éclair sur le côté et je me retrouve en porte jarretelles, les genoux sur tes épaules, le string écarté sur le côté, ta queue enfin dans ma chatte. Je jouis instantanément, je crie et je prie dans ma tête pour que tu ne jouisses pas avant de m’enculer. Parfois il y a un Dieu pour les salopes adultères comme moi.

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Leçon d’équitation pour pouliche sexy

Mickael est professeur de sport dans l’un de ces lycées chic de province. Pour ménager son anonymat je dois taire le nom de la ville. Rendez vous à 23 heures. Un gymnase municipal dont il a l’accès. J’ai pour instructions de me présenter au portail en tenue d’écolière sexy. Jupe plissée très courte à carreaux, chaussettes montantes blanches qui s’arrêtent juste sous le genou, paire de basquettes à talons compensés et chemisier à carreaux assorti à ma jupe. Le genre de plan cul cosplay qui peut vite m’exciter si c’est bien mené par mon rencard. Heureusement, le lieu n’est pas fréquenté à cette heure et je trouve une place pour garer ma Fiat500 cabriolet de petite salope devant l’entrée. Pas besoin de m’annoncer, il m’attend et m’ouvre la porte en verre. En survêtement il tient à la main un long fouet  enroulé genre Indiana Jones.

Sur internet je l’ai bien chauffé à blanc et il sait qu’il peut sans crainte se permettre ce genre de fantasme avec moi. Bien fait j’adore ! Là l’ambiance est assez parfaite. Un gymnase, la nuit, un prof de sport qui semble bien athlétique. Il me fait signe d’avancer devant lui avec le fouet. Je passe devant il soulève ma jupe déjà fort courte du bout du manche de son fouet.

-« Marche, lentement, j’ai envie de voir comment tu roules ta jolie croupe de pouliche »

Un couloirs, des vestiaires avec douches qui donnent sur le petit gymnase. Ce qui me frappe c’est la chaleur. Il a dut mettre le système de chauffage à fond car même si c’est un soir de septembre et qu’on est dans le sud il fait une chaleur étouffante dans ce gymnase.
Je marche lentement en roulant légèrement du cul. Très légèrement, juste ce qu’il faut. Je ne veux pas en faire trop. Il est juste derrière moi et tient le manche de son fouet pressé entre mes cuisses. Je ne mouille pas encore mais si ça continue comme ça, me connaissant, je sais que ma culotte risque d’être vite moite.

Mon dresseur est du genre organisé et esthète.  J’apprécie. Au centre du gymnase de grands chandeliers sur pieds à bougies  sont disposés en un cercle de quelques mètres de diamètre. A part les bougies, le seul éclairage est constitué des rectangles verts indiquant les sorties de secours et d’une horloge murale à affichage digital rouge qui vient tout juste de passer de 23:04 à 23:05. Il me pousse délicatement vers le centre du cercle où trône un cheval d’arçon en cuir brun. Il y a sur le cheval d’arçon un collier avec une longe en cuir qui me sont forcément destinés.

D’un coup un claquement sec et bruyant me surprend. Sans prévenir il a fait claquer son fouet et vient, sous mes yeux, de moucher une des grosses bougies  qui nous entourent.

-« Ça c’est juste pour que tu vois que je peux être très précis. Saches que je touche exactement là où je le décide. Il n’y a pas de hasard ni d’accident. Toi t’es vraiment un belle pouliche et tu vas faire un joli tour de manège ! Montre un peu tes dents ! »

Il presse mes joues dans ses mains pour examiner ma dentition comme il le ferait pour un animal de ferme. C’est humiliant et excitant en même temps.
-« Bon, pas mal, jolies dents. Ça fera un très beau collier autour de ma bite…Lève la tête ! »

Il pousse mon menton vers le haut et place sa main à plat sur mon cou. J’ai vécu des simulations de strangulation. Être prise en levrette en pouvant à peine respirer est une expérience que je recommande à toutes les femmes qui ont envie de vraiment jouir. Mais c’est toujours assez intimidant. J’avoue que je ne fais pas la fière. Il prend le collier en cuir et l’ajuste à mon cou. J’apprécie qu’il s’assure qu’un doigt peut passer entre la peau fine de mon cou et le cuir du collier de dressage. Ce ne sont que les premières phalanges de son petit doigt et c’est bien serré mais au moins je sais que je ne suis pas en danger. Je risque juste un peu d’inconfort. Surtout, si, comme je  commence à le deviner, il va me faire faire de l’exercice.

-« Tu m’as l’air bien sportive. On va commencer par un peu de trot. Vas-y, trottine en rond. »

Il me pousse vers le bord du cercle de chandeliers et fait claquer le fouet juste derrière ma nuque. Il ne m’a pas touché mais c’est pas passé loin. C’est très bruyant un claquement de fouet. Et très intimidant. Je me mets à courir. Pas trop vite car je n’ai aucune idée de combien de temps va durer ce petit manège. Il tient la longe un peu lâche sans tirer dessus. Mais le collier est en fait plus serré que je ne le pensais. En tous cas je le sens sur mon cou et cela m’oppresse. Surtout il fait hyper chaud et, en même pas trois tours, je suis dejà en sueur. Nouveau claquement de fouet. Il ne m’a toujours pas touchée mais j’ai senti le souffle sur mon épaule.

-«Un peu plus vite, débrouille toi comme tu veux mais je veux voir ta jupe se relever à chaque foulée. »

Plus facile à dire qu’à faire. Comme on fait pour courir et faire montrer son cul à chaque foulée ? J’essaie de courir en sautillant mais le résultat est assez grotesque.

Le fouet cette fois claque sur ma cuisse et m’arrache un cri de surprise. Ça fait hyper mal en fait. Je fais un écart et du coup la longe se tend et c’est le collier qui cette fois me serre le cou. Je manque de tomber. J’arrête de courir et me penche en avant les mains sur mes cuisses pour reprendre mon souffle.
Nouveau coup de fouet. Sur mes fesses cette fois. Mais avec la jupe qui est en toile assez épaisse çà fait moins mal.

-« Maintenant, je veux que te voir courir en relevant bien les genoux. Tu cours en relevant les genoux ! T’inquiètes pas pour la jupe, ça va aller tout seul. Je veux bien voir tes jambes de pouliche. »

je repars en levant les genoux  le plus haut possible à chaque foulée. L’effet est immédiat, mes gros seins, même dans le beau soutien-gorge Aubade, balancent à chaque pas. Il me laisse faire quelques tour comme cela et tire progressivement sur la longe pour me ramener à lui.

Je suis haletante et passablement essoufflée. J’ai chaud et mon chemisier commence à se mouiller de sueur par endroits.
-« Viens la ma petit pouliche. Reprends un peu ton souffle. Montre moi cette croupe. »

Il passe la main sous ma jupe pour malaxer mes fesses. Cela a pour effet quasi immédiat de me faire me cambrer pour m’offrir à ses mains baladeuses. J’ai le cœur qui bas vite et le souffle presqu’aussi court que ma jupe. Il déboutonne mon chemisier.

-« Tu es vraiment une pouliche de compétition toi. J’aime bien tes grosses mamelles. C’est dommage de les cacher. »

Il me déleste de mon chemisier et dégrafe (fort habillement) mon soutien-gorge. Je me retrouve seins nus. Impossible de cacher mes tétons qui pointent.
-« Ah ! C’est mieux comme ça. Bon, assez soufflé. On va reprendre le trop. Tu vas trotter tenant ta jupe relevée. T’as de beaux seins mais faudrait pas non plus cacher ton cul ! »

Je retrousse ma jupe et la tient relevée puis me repart au petit trot.

Pour entretenir mon corps de salope je fais pas mal de sport. Mais trottiner seins nus en tenant la jupe relevée dans une salle surchauffée ne fait pas vraiment partie de mes activités habituelles. Ajoutez le collier un peu trop serré qui m’empêche de ventiler correctement et le stress de la situation et je pense que vous visualisez un peu le tableau. En plus, courir seins nus quand on a une poitrine un peu forte comme moi c’est assez incommodant. Mais c’est bien l’objectif de mon dresseur de me pousser à la limite de l’épuisement avant de passer à des activités plus sexuelles. Le problème c’est que mon dresseur ne semble pas impatient de passer à la phase câlins. Dès que je ralentis je sens la morsure du fouet juste sur mes fesses. Même si je suis en culotte petit bateau en coton, le bout du fouet claque et j’ai peur que ça marque un peu. La chaleur me semble suffocante et je suis en sueur. Je jette un œil à l’horloge rouge. 23:19. Cela fait à peine un quart d’heure que je trottine et j’ai l’impression d’avoir fait un semi en plein cagnard. Je suis en nage quand il me fait ralentir et tire sur la longe pour me ramener à lui. Dans un coin du gymnase je devine une pile de tapis en mousse que j’imagine déjà parfait pour la séance de câlins. Mais je ne suis pas une oie blanche et j’imagine bien que mon tortionnaire ne va pas juste me câliner sur des tapis confortable après à peine vingt minutes d’échauffement. D’ailleurs il tire sur la longe pour m’attirer contre lui et il passe une langue grasse sur mon épaule.

-« Hummm, j’adore le goût de ta sueur de bonne pouliche ! C’est très bien ! »

Il lèche et embrasse goulûment ma nuque et le haut de mon dos, là où j’imagine que j’ai un goût un peu salé. C’est bizarre, il est évident que ce ne sont pas des baisers mais bien un drôle de trip sur ma sueur. Mais comme en même temps il a les mains baladeuses je sens l’excitation monter et je ne peux m’empêcher d’avancer le bassin à la rencontre de sa main.

-« Tu m’as l’air d’une pouliche bien salope hein ? Tiens, bois un peu, tu dois galoper encore un peu et bien suer si tu veux gagner ta séance de câlins… »

Il me tend une bouteille de Contrex. La grosse de 1 litre et demi. L’eau est tiède mais j’en englouti la moitié. Il me claque les fesses du plat de la main, je relève ma jupe et repars au trot. Il laisse la longe détendue, après quelques tours de piste il fait claquer le fouet à quelques centimètres de mes fesses mais sans les toucher. Je dois faire demi tour et repartir dans l’autre sens. La première fois je m’emmêle le cou avec la longe. Le fouet claque cette fois en mordant cruellement mes fesses.

-« Idiote !  Rapproche toi du centre quand tu fais demi tour. Comme ça je peux faire passe la longe au dessus de toi ! »

Je recommence, cette fois en laissant du mou dans la longe. D’un mouvement souple il fait onduler la longe qui passe effectivement au dessus de ma tête et je peux repartir dans l’autre sens. Trois tours de piste dans un sens, trois dans l’autre et on recommence. Je suis trempée de sueur et quand je jette un œil sur l’horloge digitale je vois que j’ai recommencé à trotter depuis presque quinze minutes. Il me fait accélérer progressivement jusqu’à courir à la limite de mes capacités. Je dois toujours tenir ma jupe relevée et il ne se gêne plus trop pour fouetter mes fesses qui doivent rougir sous la culotte. Je suis toute flageolante quand il m’ordonne enfin de le rejoindre au centre de la piste. Il m’attire à lui par le cou et lèche mes seins trempés de sueur. J’ai malgré moi les tétons qui pointent. Après avoir copieusement léché mes seins il me pousse en avant sur le cheval d’arçon. Je dois me mettre en équilibre sur la pointe des pieds pour avoir le ventre sur l’assise de cuir. Il tire la longe vers le pas pour que je sois penchée en avant  le plus possible et il attache mes chevilles ensembles avec l’extrémité de la longe. Le cheval d’arçon est juste assez bas pour que la pointe de mes pieds touche le sol. Penchée en avant, la tête en bas je peux le voir derrière moi. Il se met nu sans se presser. Il bande et sa queue me semble fort grosse. Pas énorme mais quand même sacrément plus grosse que d’habitude. Il se placé derrière moi et commence à palper mes fesses, il préfère déchirer ma culotte plutôt que de la baisser. Le tissus est trempé de sueur et ne fait pas de bruit en se déchirant. Je m’attends un peu à ce qu’il me malmène et je ne peux m’empêcher de contracter mes fesses anticipant une fessée ou un coup de fouet. Mais rien de cela n’arrive. Il malaxe ma chair du haut de mes cuisses jusqu’à mes fesses. Il presse, écarte, tripote. Il y met son visage, tout en langue et en succion. Des doigts viennent dans ma Chatte trempée et suis toute glissante jusqu’à l’anus. Mouille, sueur et salive se mélangent et je suis bien lubrifiée quand il appuie son gland contre mon anus. Le problème c’est que j’ai bien vu sa  grosse queue et que je doute qu’il parvienne à me la fourrer dans mon petit trou du cul que je garde étroit et musclé.

-« Attends, s’te plaît ! Ça va pas rentrer. Je peux te sucer si tu veux plutôt. »

Bon en réalité je me doute bien qu’il va quand même essayer. Mais je suis certaine que ça va pas rentrer et je me doute un peu que ça peu l’exiter de savoir que j’ai peur d’avoir mal.

-« Mais si, t’inquiète, moi je suis certain qu’elle va rentrer. T’a qu’à te détendre et bien écarter avec tes mains. Tu as bien transpiré, tu vas voir, ça va rentrer tout seul ! »

Il prend mes bras et le tire en arrière pour que je place mes mains sur mes fesses et que je les écarte. En même temps il plaque une main sur le bas de mes reins et guide sa queue en poussant contre mon anus. Je suis hyper crispée. Pas d’étendue du tout. Et effectivement ça ne rentre pas. Enfin pas tout de suite. Je gémis car il presse le bas de mes reins à me faire mal.

-« Écartés tes fesses je te dis ! »

Il claque violemment le haut de ma cuisse. Il frappe fort cette fois et je fais de mon mieux pour écarter mes fesses avec mes mains.
Sa queue rentre d’un coup ! J’en crie de douleur. Alors il me prend par ma taille toute menue et commence son va et vient. Il me pilonne avec des mouvements amples et forts. A chaque coup de butoir je suis pressée contre le cuir dur du cheval d’arçon. Je pousse un gémissement à chaque poussée. Mais en même temps j’oublie presque que j’ai mal, je suis bien lubrifiée du cul et sa queue va et vient en faisant monter malgré moi autant de désir que de plaisir. J’y crois pas, je suis littéralement en train de jouir du cul. Je ne crie plus mais je gémis : « Ouiiii, encore, c’est bon, encule moi encore ! »

il est déchaîné et comme il devait avoir fait juste une rosette il détache facilement la longe de mes chevilles pour me souveler par les cuisses. Je manque de perdre l’équilibre et de basculer en avant. Mais il me retient pas les cuisses et continue à me defoncer brutalement l’anus. Je jouis et je crie comme une truie à l’abattoir. Quand il se retire pour éjaculer sur mes fesses de cochonne je suis au bord de l’évanouissement.

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10 Cadeaux sexy

Quand j’ai commencé ce blog c’était pour moi un moyen de raconter anonymement ce qui devait rester secret. J’ai décidé d’être une femme adultère et de devenir une parfaite salope il y a un peu plus de cinq ans. J’aime voir le sexe comme une sorte d’art martial. Comme dans ces films de samouraï où le type cherche la perfection dans le maniement du sabre j’ai décidé de rechercher la perfection dans l’art de donner du plaisir et d’en prendre. Cela passe par un soin sans limite à ma condition physique et la recherche sans fin de ce qui peut faire triper les hommes. Je veux, en secret, être le meilleur coup de la vie de chaque plan cul que je croise. Puis ce blog a rencontré un peu de succès. On m’a proposé des liens d’affiliation pour que je puisse toucher quelques sous via des liens vers les sites de rencontre que j’utilise ou des sites de striptease en ligne qu’il m’arrive (rarement) d’utiliser pour m’entraîner à m’exhiber.
Ce n’est pas glorieux mais pas honteux non plus !

Avec tout cela, en plus de quelques dizaines d’euros qui aident à maintenir ce blog et à payer mes abonnement aux sites à plan cul et mes achats de gadgets SM et costumes sexy, j’ai gagné quelques milliers de jetons pour le site de strip tease en ligne Eurolive  . Comme je ne suis pas cliente et que je n’ai que faire de ces jetons, j’ai décidé de vous en faire cadeau. C’est gratuit, sans aucune contrainte, juste pour vous remercier de me lire. Le principe est simple : Vous ouvrez un compte sur Eurolive. Un compte gratuit, sans donner votre CB ni rien. Vous me donnez en commentaire votre identifiant (sans le mot de passe bien sûr !). Et je crédite votre compte d’une centaine de jetons. C’est pas un gros cadeau, 100jetons ça coûte pas grand chose. Mais c’est cadeau, c’est tout gratuit aux premiers qui demandent.

Bisous

et restez dans le coon ce week-end, j’ai presque fini de raconter mon plan cul de la semaine dernière qui était, une fois n’est pas coutume, épique !

 

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Encore un sondage

Je suis, pour la semaine prochaîne à Carcassonne, en cruel manque d’inspiration. Je voudrais être un bon dessert. Alors je me permets de vous demander : quel aliment voudriez vous tremper dans ma Chatte mouillée avant de l’avaler (l’aliment, pas ma Chatte !).

Que badigeonneriez vous sur votre queue pour me donner envie de la sucer ?

Je vous laisse m’imaginer en sous vêtements roses, maquillée comme une belle sucrerie.

Pute Toulouse, ville rose en mode prostituée

Tapin place du Capitole

J’aime tapiner (pour faire semblant). Me faire passer pour une pute de luxe auprès d’hommes qui se retrouvent tout surpris que je ne sois pas une vraie prostituée affublée d’un proxénète mais juste une fille facile, jolie catin qui aime faire sa salope adultère en dessous chics et coquins. Pour quelques toulousains je mets ma plus belle lingerie d’escorte luxueuse, la noire très chère toute en porte jarretelles, véritables bas nylons made in France et string que tu peux écarter sur le côté pour accéder à ma chatte lisse et humide.

Ou trouver une pute à Toulouse ?

Alors si, cher lecteur, tu veux savoir où trouver une pute à Toulouse, ce blog n’est peut être pas le meilleur endroit, vu que je ne suis pas une spécialiste de la vraie prostitution, juste une imitatrice en mal d’aventures extraconjugales. Mais si tu cherches un joli petit cul en Occitanie alors tu peux tenter ta chance ici ou . Pour un plan cul place du capitole je peux te donner quelques astuces, aborder une escort en terrasse sur la plus belle place la ville rose est une chose tout à fait possible, pour celui qui connaît les codes.
Si tu cherches à Grenoble va donc ici.

 

Ramassée sur le trottoir, près du canal du midi

Ralentirais tu a ma hauteur si du voyais ma silhouette en minijupe portant un tout petit sac à main dans la lumière de tes phares. Oserais tu me demander : « C’est combien ? » en baissant la vitre ? Une passe commence souvent ainsi, certains trouvent cela glauque et vulgaire. Moi je suis de celles qui y trouvent une ambiance,  un charme légèrement suranné à l’heure où prostitution rime plus avec commerce en ligne. J’aime être une fleur de trottoir.

Toulouse sexy by night

La ville rose porte bien son nom. J’aime y faire le tapin en bonne petite pute. Surtout l’été quand la chaleur est étouffante et que la place du capitole est multicolore de monde. J’ai un mini sac à main de pute, je me suis payée un des coiffeurs les plus chers de la ville Rose et mes cheveux sont longs et bouclés. Talons hauts et jupe un peu courte mais pas mini. Comme je suis seule, très sexy, souriante et maquillée jusqu’au bout des ongles il est permis de penser que je suis une prostituée. Mais pas une de celles qu’on aborde sous un pont glauque ou sur un trottoir mal famé. Plutôt une escort de luxe qui a déjà un rendez vous planifié à la terrasse d’un bar en plein centre ville, place du Capitole. Au Japon on m’appellerait sûrement Geisha dans Tarn et Garonne je suis une travailleuse du sexe. Alors forcément, les mecs qui ne s’attendent pas à trouver une pute ici pensent que je suis déjà réservée. Il est déjà tard, plus de 23 heures. C’est l’heure où les hommes non accompagnés  savent qu’ils risquent de passer la nuit en solitaires. L’heure où quelques couples mariés sortent des restaurants pour marcher dans les rues de Toulouse. Maquillée comme une voiture volée et en mode escort de luxe je sais que je risque uniquement d’être abordée par des rigolos genre ta mère casquette à l’envers. Pas du tout mon genre de client. Il faut que je me trouve une cible. Si possible un mec déjà en couple qui me regarderait à la dérobée. Un mec avec du chalenge, difficile à aborder car surveillé mais qui pourrait être partant pour un plan cul adultère. Même si c’est un plan payant. C’est peut être d’avoir été cocue qui me fait aimer baiser des mecs mariés ou en couple. Cela dit, pour un plan cul sans lendemain et sans tabou c’est l’idéal. Avec une pute d’un soir vous ne vous comportez pas pareil qu’avec votre nana de tous les jours. Vous osez plus, vous osez tout. Et c’est exactement ce qui me plaît quand je fais ma pute bien salope.

Se faire aborder par une prostituée quartier Matabiau

La place du capitole n’est pas loin à pied du quartier Matabiau où j’ai ma petite garçonnière. L’homme que j’ai choisi me lance des regards appuyés à chaque fois que sa nana regarde ailleurs. Ce petit jeu dure depuis une vingtaine de minutes à la terrasse du Grand Café le Florida, place du Capitole. Un quadra plutôt beau gosse. J’ai toujours cette application sur mon iphone qui permet d’écrire des messages en gros texte qui défilent : « WC DANS 1 MINUTE ! »

Je demande au couple de la table d’à côté s’ils peuvent garder mes affaires le temps que j’aille aux toilettes. La femme me fusille du regard mais l’homme s’empresse d’accepter.

Je me lève de ma table pour aller à l’intérieur demander les toilettes. Je suis certaine que mon beau quadra va me suivre. Il me prend sûrement pour une pute. Mais j’ai pu comprendre que je lui fais très envie avec mon petit cul et mes allures de belle salope.

Hélas tout ne se passe pas toujours comme prévu. J’attends en vain. Et quand je retourne à ma table, dépitée, plus trace de ma cible. Heureusement le couple qui devait garder un œil sur mes affaires est encore là ! Mes affaires aussi.

Escort, internet, Toulouse,

Crotte, un comble, je suis hyper sexy dans la ville rose un soir où la température est idéale pour des rencontres en terrasse et j’ai la mauvaise impression que je vais devoir jouer à la pute sur internet via une application de rencontre si je veux mon plan cul ! Petite déprime et perte de confiance ! Manquerait plus que je doive tainer autour de la gare quartier Matabiau comme une prostituée black ou des pays de l’Est ! Je rentre la queue basse (hihihi) à mon RBnB. J’aurais pu, bien sûr, continué à tapiner en centre ville. Mais plus trop le goût. Une vraie escort de luxe ne s’abaisserait certainement pas à ce racolage honteux. Je décide de changer totalement mes plans. La nuit est encore jeune et je n’ai plus trop en or de me faire passer pour une pute. Je décide plutôt de reprendre mon personnage de jolie touriste Norvégienne en goguette en France qui cherche à s’envoyer en l’air. Je fais très bien l’accent nordique et j’ai quelques notions de Norvégien. Pour cela n’importe quel site a plan cul fait l’affaire. Tellement d’hommes affamés qui traînent sur internet à partir de 23h que c’est pas trop difficile de faire son marché quand on est jolie et qu’on veut se faire gentiment défoncer le cul.

La suite est assez classique, j’ai presque envie de dire « Hélas ». Quadragénaire marié mais qui trouve le moyen de s’éclipser de chez lui en pleine nuit après que j’ai réussi à le convaincre en le chauffant en sexcam. Belle bite très agréable à sucer, il fini par me prendre sur le grand lit de l’appartement, mes jambes sur ses épaules. Pas violent mais très tonique, coups de butoirs qui vont bien au fond de ma chatte il prends appuis sur mes cuisses à pleines mains à chaque coup de butoir, je gémis en rythme en prenant soin de garder l’accent norvégien.

Je jouis assez vite, et lui demande : « Toi, tourne moi. Prendre par fesses ? Ok ? »

Pas mon meilleur plan cul mais bien quand même.

Post scriptum : Je cherche une lectrice qui voudrait m’accompagner pour un footing-drague-plan à trois sur Montauban la dernière semaine de Septembre.

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Sondage coquin

Salut ! Grosse flemme d’écrire aujourd’hui et pas trop d’inspiration. J’ai hâte de reprendre le travail et les déplacements professionnels qui me permettent mes escapades es adultères. En attendant j’ai besoin d’inspiration. Alors je me suis dit qu’un petit sondage pourrait nous changer les idées.
Le thème c’est SM. Quels sont vos accessoires SM préférés ? Pourquoi ? Pouvez vous raconter une petite anecdote autour de tel ou tel accessoire ou pratique SM ? J’attends vos commentaires avec impatience. Je répondrai à chaque commentaire et sachez que je vous prépare une surprise avec tirage au sort pas du tout impartial. Plus de chance pour mes lecteurs et lectrices actifs sur ce blog…bisous.

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Laika, chienne et esclave sexuelle, épisode 1

La première session avec Laika fut un peu décevante. Pas à cause de Laika, qui, la pauvre, faisait de son mieux pour plaire à son amant mais plutôt justement à cause de Patrick, son amant, qui manquait cruellement d’imagination. J’étais un peu fautive aussi. Cela faisait longtemps que je n’avais pas eu de plan à trois et, après le déjeuner à la brasserie j’ai laissé Patrick nous emmener chez lui pour le dessert. Son étudiante s’est montrée assez maladroite, suçant docilement mais sans sensualité. Elle embrassait et caressait son amant avec passion mais sans vraiment être attentive à ses désirs et sans trop savoir quoi faire avec moi, l’autre fille de ce trio. De son côté Patrick avait autant envie de moi que de la fille et ne semblait pas trop savoir où donner de la queue. Ce n’était pas nul parce que, heureusement, Patrick sait se contrôler. J’ai pu montrer à Laika comment lécher doucement les couilles d’un mec avant de le sucer et j’ai presque réussi à obtenir qu’elle gémisse et pousse de petits aboiement de chienne quand il l’a prenait en levrette. Mais, il faut avouer que c’était assez classique et que je restais sur ma faim après notre première session qui était plus un bon plan cul qu’une vraie séance de dressage.

Aussi, la semaine suivante je décidais qu’il fallait s’y prendre autrement. S’il voulait que je lui façonne une parfaite esclave sexuelle Patrick ne pouvait pas juste nous baiser a chaque fois que nous étions tous les trois. Patrick acceptais donc de me laisser seule avec Laika pour notre second rendez vous. Je louais un appartement sur Airbnb est achetais les quelques accessoires. Avant d’aller chercher Laika à la même Brasserie que la semaine précédente.

-« Bonjour Laika. »

-« Patrick n’est pas là ? »

-« Ne pose pas de question. Viens,  on va enfin commencer ta formation. »

Je l’emmène à l’appartement. C’est un petit studio sans âme, meublé Ikea pour des AirBnB sans grande imagination. Mais c’est très bien pour ce que j’ai en tête.

-« Déshabille toi ! »

-« Toute nue ? »

-« Oui idiote. A partir de maintenant tu t’habilles en esclave sexuelle pour nos séances. Mais d’abord, à poil ! »

Laika se déshabille docilement. Elle sait que Patrick m’a donné toute autorité pour la former et elle me fait confiance.

L’étudiante est nue. Ce n’est pas un canon mais correctement préparée je suis sure qu’elle peut être très excitante.

-« D’abord ton collier de chienne soumise. Tu devras toujours le porter. Le reste pourra changer mais tu auras toujours ce collier. »

J’ajuste à son cou le collier de cuir acheté en animalerie. Un vrai collier de chienne, pas un jouet de sex-shop. Juste comme cela, nue avec le collier la fille est  déjà nettement plus sexy. Mais pour cette session j’ai prévu un peu mieux.

-« Tiens, Laika, mets ça ! »

Je lui tends une cagoule en laine noire.

-« Pourquoi ? »

-« Patrick t’a promis que ça resterait secret. Tu ne veux quand même pas qu’on puisse te reconnaître…Aller, mets toi à genoux ! »

Je lui enfile la cagoule noire. Deux trous pour les yeux, un pour la bouche. C’est important la bouche. D’ailleurs j’ai prévu un joli rois a lèvres. Les hommes aiment une jolie bouche maquillée pour se faire sucer.

Bien sûr en plus du collier et de la cagoule j’ai prévu pour Laika un joli harnachement en cuir avec boucles et poignées un peu partout. J’ajuste le tout bien serré. Et je me mets, moi aussi en tenue. Un tailleur assez sexy genre hôtesse d’accueil. Je suis prête quand l’heureux gagnant frappe à la porte. C’est rare que je rappelle un ancien plan cul mais là c’est pour la bonne cause. Il me faut un bon gros pervers dont je sois certaine qu’il ne reculera pas devant le plan cul un peu bizarre.

-« Salut Martin, heureuse que tu aies pu te libérer ! »

Martin est physiquement l’opposé de Patrick. Il n’est pas grand, je dirais 1m70 avec un peu d’embonpoint et un début de calvitie. Mais c’est un jovial, un bon vivant plein d’humour. C’est un gros pervers mais pas violent, ni méchant et toujours souriant. Moi je lui trouve beaucoup de charme et surtout il manie sa queue comme peu d’hommes.

Pourtant quand Laika le voit et qu’elle comprend ce que j’attends d’elle c’est un « Non » catégorique. Elle n’est pas d’accord et exige de parler à Patrick. Je suis déçue, je m’attendais à plus de soumission. Mais, il faut faire contre mauvaise fortune bon cœur. Si ma petite stagiaire était parfaite je ne servirais pas à grand chose. J’appelle donc Patrick. Après tout, c’est lui le propriétaire.

-« Allo Patrick, on a un différent avec ton esclave sexuelle. Enfin, plutôt potentielle esclave. Car là elle n’est pas très obéissante. »

-« Ah ? Faut que je vienne plus tôt ? »

-« Non non, comme on a dit c’est bien. Tu me la laisses quelques heures et je te la prépare. tu viens plus tard dans la nuit ou au petit matin. Mais le mieux c’est que je te la passe je pense. »

-« Allo Laika ? Explique moi. On était d’accord pour que Lucie te dresse non ? »

-« Heu, oui. Mais c’est TON esclave que je suis d’accord pour être. C’est toi que je veux satisfaire. Pas un inconnu ! En plus il est pas vraiment beau. Et j’aurais l’impression de te tromper. »

Malgré moi je suis impressionnée par le calme de Laika. Elle ne pleurniche pas. Elle explique juste quelles sont ses limites.

-« Bon, je comprends, tu sais je n’ai jamais dit que ça serait facile. Mais c’est vrai que j’apprécie ta fidélité. Et je n’ai pas trop envie non plus de prêter comme ça le petit cul de ma chienne préférée a un inconnu. Passes moi Lucie, on va trouver…disons…un compromis… »

-« Allo Lucie? C’est une bonne idée de sortir Laika de sa zone de confort. Mais c’est peut être un peu trop pour une première session, tu ne trouves pas ? »

-« D’abord c’est la deuxième session si on compte le fiasco de la semaine dernière. Et ensuite je fais quoi maintenant avec le gentil Martin ? »

-« Bin, trouve une idée. Je sais pas un truc éducatif pour Laika mais qui ne lui donne pas l’idée de me tromper. »

-« Bon ok, mais il faut qu’elle y mette du sien. Et quand tu viendras il faudra qu’on lui fasse comprendre un peu mieux le concept d’esclave sexuelle. »

-« Ok, tu proposes quoi ? »

Martin est amusé par la situation . Patient il attend. Je lui int’dique de se servir il un verre le temps que j’arrange les choses et je me penche à l’oreille de cette brave Laika toujours à genoux.

-« Bon, écoute, je comprends, Patrick et moi sommes d’accord, tu ne dois pas tromper ton maître avec un autre homme. En tous cas pas dans les premières séances…Mais sucer n’est pas trompé. Donc tu vas gentiment sucer mon ami. Et s’il te plaît tu vas t’appliquer un peu mieux que la semaine dernière. Considère ça comme un entraînement pour ton maître. D’ailleurs, parce que je suis gentille et que je sais que tu veux bien servir ton maître je vais mettre en FaceTime pour qu’il puisse voir comme tu t’appliques. »

Elle hésite.

-« Et si je refuse ? Je suis punie ? »

-« Allo? Patrick, tu as entendu ? C’est quoi la punition si elle refuse ? »

-« Dis lui juste que si elle refuse c’est fini, elle rentre chez elle et on arrête tout. »

Patrick a vu juste. Quand Laika comprend qu’il n’y aura pas de punition si elle ne se soumet pas, que c’est juste le clap de fin, elle accepte son sort et s’approche à genoux du canapé où mon gentil Martin s’est installé.

-« Ca ne te dérange pas Martin si je m’installe à côté de toi ? Je possède juste mon iPhone là pour que le maître de Laika ait une bonne vue ok ? »

-« Aller, viens ma petit Laika, viens doucement à quatre pattes entre les jambes de mon ami… »

Laika avance, doucement, elle est assez douée. Elle comprends qu’il ne faut pas avancer trop vite. Elle a toujours sa cagoule en laine noire mais ses yeux humides et sa bouche maquillée sont très sexy. Le harnais de cuir ajusté serré est du plus bel effet.

J’embrasse Martin sur la bouche et c’est moi qui défait son pantalon pour libérer sa queue. Martin a une grosse queue. Pas une longue tige mince comme certains jeunes. Lui c’est plutot le genre saussice de morteau. Grosse, bien gonflée. Il bande bien, c’est pas mou, mais pas non plus archi raide. Du coup j’ai très envie de le sucer. Mais il faut garder un peu de sérieux. C’est pas mon job. Mon job ce soir c’est le dressage.

-« Vas-y jolie Laika, pense à ce que je t’ai dis la semaine dernière. Commence par bien lécher. Dégage lui les couilles. Je veux que tu y mettes tout ton cœur. Pense que Patrick te regarde. »

Martin baisse son pantalon et son caleçon. Il s’en débarrasse totalement.

-« Dis Lucie, tu penses qu’elle peut enlever mes chaussettes et s’occuper un peu de mes orteils ta heu, comment dirais je, ta stagiaire ? »

-« Tu as entendu Laika ? C’est dans tes cordes ca j’espère ? Enlever des chaussettes? »

Laika, enfin docile, s’exécute. Elle est chanceuse. Martin est propre, il sent bon, met des chaussettes en fil d’Ecosse et fréquente le podologue. Après avoir enlevé les chaussettes elle reste quand même un peu indécise.

-« Oh ! C’est quel mot que tu n’as pas compris dans s’occuper des orteils ? C’est s’occuper ou orteils ?! »

Les larmes lui montent aux yeux mais elle prends le pied de mon ami et le porte à sa bouche. Elle commence timidement par les orteils du millieu. Martin, bon camarade, l’encourage.

-« C’est très bien petite. Vas-y, lèche, suces, t’inquiètes pas, tu t’y prends très bien. Écoute pas Lucie, tu t’en sors très bien. »

La méthode est bonne, Encouragée Laika s’applique et lèche et suce consciencieusement. Martin est aux anges. Je l’embrasse dans le cou et m’occupe de ses lobes d’oreilles. J’ai tellement envie de le sucer ! Quel gâchis de devoir laisser cette belle saucisse à une chienne débutante. Mais c’est bon de faire durer comme ça. Martin n’est pas pressé que l’on s’occupe de sa queue. Il aime prendre son temps. Et moi je me délecte de voir notre esclave débutante sucer et lécher les pieds de mon ami. Elle doit se demander combien de temps cela va durer. Mais comme elle sait qu’après les orteils elle doit sucer les testicules poilus et qu’elle devra prendre en bouche la grosse saucisse j’imagine qu’elle n’est pas si pressée que ça de délaisser les pieds. Peut être que cette sote s’imagine qu’il va jouir sans qu’elle ait besoin de le sucer.

Mais avec Martin aucune chance ! C’est pas un débutant. Puis je lui chuchote à l’oreille de me faire signe quand il voudra qu’elle s’occupe des knaki balls et de la saucisse.

-« T’inquiète pas, on a le temps. Je pense qu’elle va me lécher les pieds encore un peu. Genre une vingt minutes…Après tu lui diras de prendre bien son temps sur mes couilles. »

-« Ok, mais tu peux la guider aussi, elle comprend plein de mots… »

Tout ça on se le chuchote sur le canapé à l’oreille pendant qu’à genoux par terre la petite chienne lèche consciencieusement entre les orteils.

Quand je sens mon Martin bien mûr (et que je me lasse un peu de lui lécher les oreilles) je glisse par terre pour pincer un peu le cul de Laika. Petite tape sur mes fesses en passant. Et je m’approche de pour lui indiquer la suite du programme. Je pose ma bouche contre la laine de sa cagoule, juste au niveau de l’oreille.

-« C’est bien, je pense que les pieds ça suffit. Maintenant tu vas lui lécher les couilles et faire exactement comme il dit. N’oublies pas que Patrick te regarde. Si tu veux qu’il soit gentil avec toi quand il va venir il faut t’appliquer.»

Je la pousse un peu pour qu’elle remonte le long des cuisses de mon ami. Il pose sa main sur sa nuque. Juste sur le collier en cuir.
-« Hum, c’est très bien, n’écoute pas trop Lucie, tu es douée. Lèche tout doucement. Prend la peau de es couilles entre tes lèvres. Oui…bien délicatement. Tu lèches, tu prends ton temps. Bref tu t’appliques. »

-« Regarde le dans les yeux aussi ! Les hommes aiment bien qu’on les regarde quand on les suce. »

Tiens je te passes aussi Patrick qui va t’encourager.
Je mets mon iPhone toujours en Face Time a portée de vue de Laika. La voix de Patrick est rendue un peu nasillarde par l’iPhone.

-« C’est bien. J’ai l’impression que tu fais des progrès. J’espère que tu me suceras comme ça maintenant. Continues, je suis fier de toi. »

J’ai mis Martin torse nu et je l’embrasse partout au dessus de la ceinture. Je sais que le jeu est de faire durer le plus possible. Laika doit lécher et sucer à n’en plus avoir de salive. Je retarde le moment où elle devra prendre la grosse queue bien à fond dans sa gorge car en bonne esclave sexuelle elle doit savoir passer le plus de temps possible à satisfaire son maître ou tout autre personne choisie par son maître. Mais le problème c’est que tout ça me donne furieusement envie de baiser moi aussi. Martin, lui il n’est pas pressé. Il a bien compris qu’il n’était qu’une sorte de mannequin d’entrainement. Une fois qu’il aura déchargé on le mettra à la porte. Alors comme il est bien en notre compagnie il fait durer.

C’est Patrick, toujours en FaceTime qui donne le signal : « C’est bon Laika, fini le. Je veux que tu suces bien à fond sa queue et que tu avales bien tout quand il déchargera. Après vous le mettez dehors et je viens pour m’occuper de ton petit cul de chienne. »

J’aurais du prévoir une laisse pour qu’il puisse la tenir en se faisant sucer. Mais, conne que je suis, j’ai oublié. Tempi, la prochaine fois. En attendant je sens Martin qui se raidi. Il lutte pour se retenir. Dommage, elle vient à peine de faire quelques pompes de sa queue. Je trouve qu’elle pourrait serrer plus fort. C’est un peu bâclé cette pipe sur la fin. Il décharge et j’ai juste le temps de plaquer ma main derrière la tête de Laika pour l’empêcher de recracher la grosse saucisse et la sauce. Laika ouvre des grand yeux et semble au bord de l’étouffement. A mon avis il y a une quantité de sperme respectable. Je ne m’inquiète pas. On ne peut pas étouffer si le nez n’est pas bouché. Mais je pousse fermement la tête de Laika contre le bas ventre de Martin. Je veux qu’elle le garde en bouche jusqu’à ce qu’il ait complètement débandé. Elle devra ensuite le lécher pour qu’il soit tout bien propre.

On sonne à la porte. C’est Patrick qui décidément ne devait pas être bien loin.

Je demande à Martin de se rhabiller fissa et je vais ouvrir.

-« Hey ! Patrick ! tu as vu. Elle fait des progrès ta petite chienne ! ».

-« Oui, j’ai bien fait de te la confier. C’est quoi le programme maintenant ? »

-« Écoutes, je te la laisse. Je pense qu’elle a bien mérité un peu de temps seule avec toi. Moi tout ça m’a donné envie de raccompagner  Martin à l’Hôtel… »

 

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Esclave sexuelle

Une jeune esclave sexuelle

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Patrice est professeur de droit à l’université de Montpellier. Il est mince, grand, dans le millieu de sa quarantaine. Patrice aime dominer. 2018, cette année là une jeune étudiante de première année tombe sous son emprise. Peut-être être était-elle en difficulté dans ses études. Ou simplement fascinée comme un lapin dans la lumière des phares. Moi, je ne sais pas tout de leur histoire car j’entre en scène alors que la jeune étudiante a déjà débuté son « apprentissage ». Fin du premier trimestre dernière semaine avant les vacances de Noël. Difficile de résister à sa proposition de Patrick : Participer au dressage de sa toute jeune esclave sexuelle. Mieux même, il me propose carrément de superviser la formation de son esclave sexuelle.  Je dispose de la fin de l’année universitaire pour faire de sa jeune amante une soumise parfaite. A moi de le surprendre, de façonner son jouet. Seules règles qu’il a du négocier avec la fille : son esclavage doit rester secret et je dispose de 24 heures par semaine du mercredi au jeudi midi. En éducation la régularité à son importance. Bien sûr mon status de femme mariée, mère de famille ne me permet pas de participer à toutes les séances mais Patrick, propriétaire de cette jolie femelle, accepte de suivre à la lettre mes instructions pour les sessions auxquelles je ne participe pas.

 

 

Premiers contacts, adopte une chienne…

Les présentations ont lieu à l’heure du déjeuner dans une brasserie à côté de la gare, à deux pas de la maison de ville de Patrick.

L’étudiante a un physique assez banal. Taille moyenne, ni grosse ni mince, un visage rond plutôt joli et des cheveux blonds mi longs. Quand j’entre dans la brasserie ils sont assis côte à côte, Patrick à la main posée sur sa cuisse, assez haut. Elle est en jean les jambes serrées. Je remarque qu’il fait pression pour qu’elle soit forcée d’écarter un peu les jambes. Elle baisse les yeux, rougit mais ne résiste pas.

-« Salut Lucie. » Il se lève sans ôter sa main de la cuisse de son étudiante pour me faire la bise par dessus la table.
-« Salut Patrick, tu me présentes ton amie ? »

-«Lucie, je te présente…heu enfin, pardon, j’ai promis de ne pas dévoiler son nom ni son prénom. Et puis, elle est au courant de notre arrangement. Si tu veux tu peux choisir comment tu veux m’appeler »

-« Au courant, au courant ? »

-« Bon, disons dans les grandes lignes…Justement on va préciser un peu les choses… »

-« Ah ? Pourquoi pas, donc à moi de trouver un prénom pour cette jeune fille donc ? »

-« C’est ça. »

La fille ne semble pas triste ni effrayée. Un peu intimidée. Je décide quand même de la tester un peu. Je n’ai pas envie de faire quelque chose de déloyal ou de trop malsain.

-« Pardon d’être crue directe mais c’est assez important. Tu es bien d’accord pour que je t’éduque sexuellement ? C’est bien ce que tu veux ? »

-« oui. »

-« C’est un peu timide comme réponse, j’ai besoin d’être sûre. Tu peux comprendre. »

-« oui, c’est sûr. Je veux plaire à Patrick, et il m’a expliqué que vous sauriez vraiment me rendre parfaite pour lui. »

La main de Patrick est remontée sur la cuisse de la jeune fille. Il la caresse sans gêne. Je dois avouer que la situation m’excite.

-« Ok, puisqu’on est tous d’accord, je veux bien m’occuper de toi. Et comme il te faut un nom qui te convienne à partir de ce maintenant tu t’appelles…Laika. »

-« Lucie ! Tu es parfaite ! Je n’aurais pas trouvé mieux ! Un vrai nom de chienne ! Tu es géniale ! Laika ! Ça lui va tellement bien ! Faudra quand même que je fasse attention à ce que ça ne m’échappe pas en cours ! »

La fille rougit mais elle souri timidement. Elle ne semble pas traumatisée.

-« Ok, Laika ça me va. »

Patrick fait signe à la serveuse. Qui en l’occurrence est un serveur. Il ne s’embarrasse pas à demander à la fille ce qu’elle veut.

-« Deux steaks tartares. Lucie, tu prends quoi ? »

-« Sèche à la plancha s’il vous plaît. »

-« En dessert ? »

Là c’est moi qui prends les devants.

-« Non, pas de dessert, on est un peu pressés. Nous avons pas mal de choses à faire… »

Le serveur, qui a naturellement remarqué la main baladeuse de Patrick n’a pas besoin de mon clin d’œil appuyé pour comprendre que notre après midi risque d’être fort sexy.

Entre décembre 2018 et juin 2019 j’ai supervisé exactement 18 séances de dressage de Laika. Je suis très fière du résultat. si vous êtes sages et si vous commentez cet article je vous raconterai de temps en temps comment j’ai rempli ma mission et façonnée une parfaite esclave sexuelle pour mon ami Patrick.

 

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