Il voulait que je sois sa pute gratuite
Ma première expérience de pute gratuite, autant dire que c’est frai dans mon esprit comme si c’était hier. Depuis j’ai eu tellement d’autres aventures extra-conjugales… Je venais de comprendre que mon mari me trompait lorsque j’étais en déplacement et c’est cela qui m’a décidé, de mon côté à faire de même.
Mais ne vous y trompez pas, il ne s’agit nullement d’un arrangement entre nous. J’ai décidé taire ce que je sais de ses pratiques adultères et surtout de garder secrets mes ébats extraconjugaux en déplacements professionnels. J’aime ma vie telle qu’elle est, et j’aime la respectabilité bourgeoise dont je jouis là où j’habite. On ne me voit pas à l’église tous les dimanches mais je donne volontiers un coup de main à la paroisse et je confectionne des gâteaux qui sont vendus sur le stand du sou des écoles de mon village. Sur ma tombe on lira peut être un jour l’épitaphe : »ci gît Lucie, bonne mère, bonne épouse. »
Aussi lorsque je m’inscrivait sur Infidèle Messenger pour la première fois et que je donnais rendez vous devant la pharmacie de Baraqueville à Bertrand, mon tout premier amant, je me sentais honteuse et coupable. Surtout je passais avec angoisse en revue dans ma tête tous les indices que j’avais sans doute laissés derrière moi et qui allaient immanquablement me trahir. Et en même temps nous avions passé tellement d’heures en webcam à nous allumer mutuellement que j’étais excitée comme une débutante le jour de son premier bal. Deux semaines durant nous avions tellement multiplié les séances de SexCam que j’en avais les nerfs à fleur de peau. Il m’arrivait même de me lever en cachette la nuit pour le retrouver depuis le canapé du salon en coupant le son du macbook. Nous nous écrivions avec une ardoise Velléda car lui aussi me contactait de chez lui.
La veille avait été le point culminant de nos séances de SexCam. J’étais à l’hôtel et lui avait, je ne sais comment, trouvé un moyen de s’isoler. Il m’avait littéralement téléguidée, choisissant pour moi les dessous que je devais porter, me forçant à me lécher les seins en gardant les yeux fixés sur la webcam du Macbook. Je devais me masturber au rythme qu’il m’indiquait, m’interrompre à son commandement même si j’étais sur le point de jouir. Bref, j’étais chaude bouillante pour LA vraie rencontre. Le plan était de se retrouver en début de soirée devant la pharmacie, d’aller manger dans un restau sympa sur Rodez puis de revenir à mon hôtel. Autant dire que le resto a été un calvaire. Nous n’avions rien à nous dire, lui essayait poliment de s’intéresser à moi, à ma vie. Moi j’essayais d’en dire le moins possible pour être sûre qu’il ne puisse pas me retrouver s’il lui en prenait l’envie. J’avais déchaussé un pied sous la table et j’essayais de lui caresser le mollet mais je m’y prenais assez maladroitement et je retirais mon pied dès qu’un voisin de tablée tournait la tête vers nous. J’étais tellement excitée que je le suçais littéralement des yeux et j’avais peur qu’il ne fuit en me prenant pour une folle. quand le garçon nous demandait si nous prenions un dessert nous répondîmes à l’unisson : »Non merci, pas de dessert » ce qui nous fît sourire et détendit un peu l’atmosphère. Nous avions chacun notre voiture et le retour vers l’hôtel me parut durer une éternité. Il me suivait et je regardais constamment dans mon rétro pour vérifier que c’était bien sa voiture qui me collait au cul. Dans la nuit ce n’est pas évident mais je peux vous dire que depuis je reconnais les phares de l’Audi A3 du premier coup d’œil !
Je me jetais sur lui à peine la porte de la chambre refermée. Je le collais contre la porte et déboutonnais sa chemise pour lécher son torse en essayant d’accéder à sa queue avec les mains.
Je suis sa pute gratuite
Après cinq années de mariage cela faisait bien trois ans que je ne suçais plus mon mari et j’avais oublié cette sensation délicieuse d’une colonne de chair turgescente dans ma bouche. Les mecs hétéros ne peuvent pas comprendre cela mais pour nous les filles c’est véritablement un truc de malade d’avoir votre queue entre les lèvres. Ca vit, on peut presser la langue, serrer les lèvres en aspirant. Surtout de voir comme ça peut vous rendre dingue nous excite encore plus. Bref j’avais le cœur qui battait à 200.
Je pense que lui par contre n’en était pas à son coup d’essais car il faisait montre de plus de contrôle que moi. Après s’être copieusement laissé sucer il m’a délicatement tirée par les cheveux pour m’amener vers le lit et me déshabiller entièrement. Une fois que j’étais totalement nue il s’est reculé d’un pas et m’a demandé de le dévêtir à mon tour. Il m’encourageait et me demandait de lécher chaque centimètre carré de sa peau que je dénudais. Mais surtout il me parlait, ce que n’avait jamais fait mon mari.
-« C’est très bien, lèche moi encore, tu es ma petite pute gratuite. Tu en avais envie hein ? »
-« Oui… » m’entendais-je répondre laconiquement.
Comme il se mettait sur le dos dans un instant de lucidité j’attrapais un préservatif que j’avais laissé en prévision sur la table de nuit (Travaillant dans le monde de la santé j’ai une peur bleue des MST).
-« Mais tu es une vraie pute organisée ma belle, vas y, enfile la moi qu’on puisse passer aux choses sérieuses. »
Je lui déroulais le préservatif sur sa bite tout en lui léchant les couilles puis, n’en pouvant plus je m’allongeais sur lui et guidais sa verge dans ma chatte toute glissante. Le plaisir ne venait pas pour moi que de mon sexe. Je collais mon ventre contre le sien et ce frottement me plaisait presqu’autant que se qui se passait dans mon vagin.
Lui : « Vas y, c’est bon, fais toi plaisir ma belle pute, prend bien ton temps j’ai de l’endurance. Tu es ma petite pute gratuite hein ? »
Moi : « Oui… »
Lui, me serrant les fesses des mains : »Et bien alors dis le que tu es ma pute gratuite. Continue à bouger et à faire ta salope mais je veux aussi t’entendre me dire ce que tu es. »
Moi: « Oui, je suis ta petite pute. » ça je dois avouer que c’était nouveau pour moi et vraiment bon.
Lui, me claquant une fesse : « Ma petite pute comment ? Hein, dis moi, tu es ma pute comment ? »
Moi : « Gratuite, je suis ta pute gratuite, toute à toi. »
Lui : » Répète encore, tu es ma petite pute gratuite ! »
Moi : « Oui, je suis ta petite pute gratuite.
– Encore, dis le encore !
– Je suis ta pute gratuite, toute pour toi !
– Encore ! T’arrête pas répète pute GRATUITE !
– Je suis ta pute, ta pute gratuite. J’aime être ta pute.
Lui : « C’est bien, continue…vas-y, t’inquiète on a le temps on n’est pas prêt d’en avoir fini ».
Je me déchainais en couinant
Lui encore : »Dis donc, tu sais la différence entre une pute payante et une pute gratuite ? »
Moi : »Non, mais en tous cas je suis ta salope de pute gratuite. »
Lui : »La vraie pute payante n’embrasse pas sur la bouche. Mais toi t’es une pute gratuite hein ? »
Moi : »Oui, une pute gratuite pour toi. »
Il mis sa main derrière ma tête pour me plaquer la bouche contre la sienne. J’y allais à pleine bouche enroulant ma langue dans tous les sens comme une folle, nous nous mordions les lèvres au sang et je sentais sa bite toujours plus dure en moi.
C’était juste incroyable, nous n’avons fait que cette position où j’étais sur lui mais ça a duré largement plus d’une heure. Dès que je ne l’embrassais plus je répétais en boucle comme un mantra que j’étais sa pute gratuite. C’était comme une obsession pour lui et je ne m’en plaignais pas, au contraire. Je suis pourtant endurante et je coure entre dix et vingt kilomètres chaque weekend. Mais là j’étais en nage et mon cœur battait largement au delà des 180 pulsations minute. Je n’arrêtais pas de jouir et ils me demandait de répéter inlassablement que j’étais sa pute gratuite personnelle. Ce que je criais carrément. Quand il a enfin joui et déchargé dans un cri je me suis effondrée à côté de lui.
Et là c’était terrible, une putain d’envie de fumer et bien sûr pas une cloppe ! J’avais totalement arrêté de fumer lorsque je suis tombée enceinte en 2010 et jamais je n’avais autant eu envie de tirer sur une Marlboro light. Lui s’était tourné de son côté du lit après m’avoir assuré que c’était vraiment bien et que j’étais une « super pute gratuite ». Et moi je me retrouvais là, essoufflée mais avec aucune envie de dormir et cette putain d’envie d’une cigarette. Je regardais les minutes défiler sur la veilleuse du téléviseur accroché au mur. Cela allait à une lenteur d’escargot. 23h57 Je fermais les yeux pour essayer de dormir mais quand je les rouvrais il n’était que 2h05. Lui dormait. Heureusement il ne ronflait pas. A 3h30, n’en pouvant plus je me levais, prenais une douche rapide, me rhabillais et récupérais mes affaires. Lui n’avait pas bougé, dormant toujours comme un gentil mari dans le confort de son domicile conjugal. Je réglais l’hôtel au veilleur de nuit et disais que mon « ami » libèrerait la chambre plus tard.
Il n’était pas quatre heure lorsque je filais en voiture vers Rodez priant pour trouver un tabac ouvert la nuit…
Si vous voulez mieux me connaître et lire mes aventures inédites de pute gratuite sans publicité téléchargez mon e_book.
Pour changer si vous voulez lisez aussi mon article sur les sexcam.
Salut, Cho le mec qui te demande de dire que tu es sa pute gratuite. Je ne suis pas certaine que j’aurais aimé, étant plutôt du genre ni pute ni soumise mais aimant le sexe sans complexe si c’est fait avec respect (ce qui n’est pas facile pour une musulmane !). signé Roukia21aMul
Salut Roukia, J’aimerais beaucoup connaitre une musulmane de maniere plus approfondie.
Si paris est pas trop loin pour toi et que t’es interessée…
Je ne sais pas ce qui est vrai et ce qui est fantasmé dans ce récit mais quoiqu’il en soit merci pour ce texte ! J’espère bien pouvoir te rencontrer un jour en Bretagne. Fais moi confiance, je te retournerai et tu te feras sauter comme une crêpe. Au menu je te propose en entrée salade doigts pour une fessée déculottée, suivie d’une grande saucisse anale au beure salé, et en dessert glace deux boules à lécher arrosée de sauce blanche au fond de ta gorge de belle salope. On va voir si tu as le cran de laisser passer ce commentaire sans modération…
Oui, merci pour cet article très chaud…Qui donne envie de te rencontrer en vrai. Tu pourrais être ma chienne obéissante pour quelques temps…
Marrant ça une chienne pour un gros Matou ! Mais pourquoi pas. Cela dit, en ce moment avec les beaux jours je cherche plutôt un plan bal musette coquin. J’ai une copine qui m’a raconté ses rencontres dans les bals et cela m’a vraiment donné envie.
Bonjour,
Merci pour ce récit.
Chaud très chaud, hummm !!
De rien, j’espère continuer à bien vous faire bander et ne pas lasser au fil des récits.
Super blog. Surtout merci d’écrire des textes qui peuvent se lire aussi bien quand on est une femme qu’un homme. Je suis un peu plus âgée que toi et mon mari ferme les yeux sur mes écarts. Nous avons trouvé un modus vivendi qui nous convient bien. Mais comme toi l’opinion de l’entourage m’inquiète. Quel site de rencontre me conseillerais tu ?
PS : J’ai 41 ans.
Cela commence à faire pas mal de demandes sur ce sujet du site de rencontres. Je prépare un article sur le sujet mais vos avis m’intéressent alors n’hésitez pas à m’écrire en MP.
Perso, j’te conseille d’aller sur des sites très spécialisés libertinage, comme çà, ceux qui pourraient te croiser, ne pourraient pas vraiment l’ouvrir ! Sinon, il y a tjrs des rencontre possible hors site, sur facebook ect… en dial privé !
Je te bizoute, moi je prendrais volontiers soin de satisfaire tous tes désirs, mais j’suis sur Strasbourg ! Quoiqu’une petite organisation est parfois possible !
Merci du conseil Jimi, je me suis inscrite sur le site en lien dans l’article et j’ai eu tout de suite de nombreuses invitation…Pas toutes de grande qualité je dois dire. Il a fallu trier. Mais trouvé un sex friend très bien, pas collant et endurant…Je suis vers Limoge, ça fait un peu loin de Strasbourg…
Bonjour Sonia,
Je suis sur Limoges aussi.
Toujours en quête ?
Au plaisir de te lire…
Tu veux toujours faire des rencontres ?
Je suis partant