C’est vendredi. Il faut être chez la nounou avant 18h00 et le week-end s’annonce long et dur. Adjectifs qui, pour une fois, ne sont pas synonymes de frisson x pour mon petit cul mais bien d’un profond ennui avec monsieur mon mari.
En finissant vers seize heures trente je peux donner rendez vous à mon plan cul trouvé sur hard Messenger à quelques rues du bureau. Je monte dans ta voiture. Je me suis assurée à l’avance qu’elle est de marque, intérieur cuir. Cela me fait toujours de l’effet. Nous n’avons qu’une petite demi heure mais c’est exactement ce qui me convient pour ce frisson rapide de fin de semaine. A peine as tu démarré que je prends ta main pour la glisser sous ma jupe. L’été fini j’ai remis les collants, mais sans culotte bien sûr ! Tu conduits, concentré sur le trafic de cette fin de vendredi. Je presse ta main sur le nylon et tu sens ma chatte gonflée de désir à travers ce collant qui te fait obstacle. J’aime cela, je serre les cuisses pour emprisonner ta main, mes ongles s’enfoncent sur ton avant bras. Tu bouges les doigts et presses comme tu peux mais mes cuisses sont serrées et le nylon te fait toujours obstacle. Pourtant ma mouille commence à monter et tu peux sentir la chaleur humide autour de ta main, deviner que tes doigts s’humidifient. C’est bon, j’aimerais faire durer mais nous n’avons que peu de temps. Je relève ma jupe, décroise les jambes et déchire moi même l’entrejambes de mes collants. Ta main sera mon gode. Dieu que c’est bon ! Ton doigt s’enfonce, caresse et fouille. Je mords ma lèvre, m’accroche à ton bras.
Je me penche à ton oreille : »Sors vite ta bite, je veux sucer. »
Dans la ligne droite tu calles le volant avec ton genou, défais ta ceinture de la main libre et libère une queue droite et longue. Je me contorsionne pour me pencher en gardant ta main prisonnière de mes cuisses à nouveau serrées. La manœuvre est osée mais le route est droite et le régulateur de vitesse callé à 96. Voilà, là je te prends en bouche. Tu n’imagines pas comme j’aime sucer. Ta colonne de chair qui empli ma bouche est pour moi le plus délicieux des gouters. Je bouge le bassin pour accompagner ta main experte. Depuis quelques mois je m’entraine en cachette à contrôler les muscles de mon vagin. C’est encore balbutiant mais j’arrive à accentuer un peu ou relâcher la pression autour des deux doigts bien enfoncés. Je vais et viens en même temps avec ma bouche. Je suce, j’aspire, je presse mes lèvres, tourne la langue. J’expulse ton chibre un instant pour te parler : »T’arrête pas, branle ma chatte, fais moi jouir, mets y trois doigts, continues ! ». Je suces tes couilles et reprends ta queue à fond en bouche. Tout s’accélère, je te prends en gorge profonde jusqu’à la garde, te recraches, te reprends, de plus en plus vite. Je serre encore les cuisses contre ta main. Je voudrais crier mais ma bouche est pleine. Putain, ça y est, je joui, j’ai reculé ma tête pour crier : « haaaaaannnn ! la vache, la vache, putain, putain encore, c’est bon, tu me fait jouiiir ! ». Je reprends ta queue à pleine bouche juste avant que tu n’éjacules abondamment. Ma bouche est pleine de ta queue encore ferme et de ton foutre qui gonfle mes joues. J’avale et je suce encore. Je presse bien les lèvres et la langue pour recueillir jusqu’à la dernière goute. C’était si bon ! Mais il faut que tu me ramènes, dans 15 minutes je dois être chez la nounou. Le long week-end peut, hélas, commencer. Merci pour ce frisson du vendredi, je peux aller retrouver mon mari.
trop bon !
Salut, aurais tu quelques conseils pratiques pour rencontrer VRAIMENT des filles coquines comme toi sur internet ?
Lucy, je viens de lire tes derniers explois, super comme d habidude, dommage pour ton FB, il faudrai tous se mobiliser, ce pour ma part c est fait bisous? garde espoir ca serai dommage
No souci pour FB. En fait Twitter c’est pas mal finalement. On y perd moins de temps et me limiter à 140 signes me permet de m’essayer au Haiku.