Taxi salope était mon mot d’ordre pour ce petit plan cul de rentrée en fin de mois d’aout juste avant ma grande rentrée d’automne de salope adultère. J’avais réussi à me caser un petit déplacement professionnel à Lyon avec, oh quel dommage, l’obligation de dormir le lundi sur place pour être à l’heure le mardi très tôt.
Mon mari faisait un peu la tête car, comme ce n’est pas encore la rentrée des classes, la garde de notre fille lui incombait. Mais je le rassurais et prenais soin de le sucer avant de partir de la maison pour prendre le train qui devait, avec quelques correspondances, m’amener à la gare de Lyon Par Dieu où j’avais rendez vous vers 23h avec mon plan cul « taxi salope » choisi à l’improviste sur internet. Je sais, ce n’est pas très glamour mais là je voulais juste réaliser un petit fantasme vite fait bien fait sans trop me prendre la tête. Ce plan taxi salope était pour moi juste une sorte d’échauffement pour les mois à venir que j’ai bien l’intention de rendre plus torrides que jamais…
Taxi salope dans les rues de Lyon
Scénario simple mais efficace pour mon plan cul taxi salope. Je donne rendez vous à François, un beau quadragénaire, à l’angle de la rue Maurice Flandin et de l’avenue George Pompidou pas loin de la gare de la Part-Dieu. J’avais réservé un Uber pour une course jusqu’à l’aéroport de Saint Exupéry où était mon hôtel. Pour mon plan taxi salope j’avais décidé de ne pas faire dans la demi mesure. Jupe courte de salope, vrais bas nylon, escarpins Louboutin de pute de luxe et string facile à écarter sur le côté pour me tripoter. A cette heure tardive près de la gare j’ai vraiment l’air d’une pute et cela n’est pas pour déplaire à mon rencard qui a tout le temps de m’admirer marchant vers lui. Grâce à l’appli de géolocalisation j’ai pu m’assurer que mon Uber était bien là et nous n’avons pas à attendre avant de nous engouffrer dans la BMW X3 rutilante. C’est parti pour mon plan cul caprice dit « taxi salope ». Au premier feu je suis déjà en train d’embrasser à pleine bouche mon plan cul Lyonnais. Las, le chauffeur nous explique qu’il n’est pas là pour servir de baisodrome. J’avais prévu le coup, je laisse temporairement mon rencard pour me pencher vers le chauffeur. Je tente le tout pour le tout en glissant le long de sa cuisse un billet de 50€ en lui demandant à l’oreille s’il peut faire une exception. J’ose même un petit bisou sur le lobe de l’oreille. Après une petite hésitation et un coup d’œil dans le rétroviseur il prend les sous et redémarre. La chance souri aux audacieuses, mon plan taxi salope peut reprendre son cours.
Assurée de la bienveillance de mon amour d’Uber je peux m’enhardir à tâter l’entrejambe de mon plan cul. Cela bande déjà sévèrement et j’ai très envie de sucer. Je fais d’ailleurs part de mon ardant désir à mon nouveau mec : « Hummm, je sucerais bien une bonne queue moi si vous n’y voyez pas d’inconvénient… »
Son mouvement du bassin et la main baladeuse sous ma jupe m’indiquent que d’inconvénient il n’en voit pas.
Je crois qu’il faut être une vraie salope nymphomane comme moi pour apprécier autant ce moment magique où l’on déboutonne un pantalon d’homme et fait descendre la braguette pour libérer une queue toute nouvelle à nos yeux. C’est pour moi un ravissement toujours renouvelé. C’est un peu comme pour un bon vin. Celui ou celle qui ne connait rien au vin peut trouver que tous les vins se ressemblent. Mais pour peu que l’on s’y intéresse vraiment on en apprécie vite toute la diversité. Pour les bites et la fellation s’est exactement pareil. Cette nuit là, mon plan taxi salope prenait des allures de séance de dégustation. J’allumais le plafonnier arrière mieux admirer la magnifique colonne de chair et aussi pour que mon plan cul puisse jouir du spectacle de mon visage posé sur le haut de ses cuisses.
Mais d’abord, consciente de l’inquiétude probable de mon Uber je glissais à l’oreille du chauffeur : »Promis, on ne va rien tâcher. Roulez juste lentement en ville et je vous paierai 100 Euro en plus avec mon zéro six en prime… » Bien sûr le zéro six était un mensonge éhonté.
Retour donc à mon plan cul de banquette arrière pour ma session « taxi salope ». Je fais glisser mes Louboutin à talon pour être plus à l’aie nue pieds et m’agenouille sur la banquette arrière. Entre temps mon mec d’une nuit s’est mis un peu plus à l’aise. Il a baissé son pantalon et défait les boutons du bas de sa chemise blanche. J’apprécie les poils frisés sous le nombril. C’est par là que je commence. Pour sucer comme une salope il faut d’abord savoir lécher et embrasser autour de l’objet du désir. Ce que j’aime dans ce plan taxi salope c’est surtout l’ambiance. Les lampadaires sous lesquels nous passons qui font alterner ombre et lumière sur mon visage et sur le ventre plat et poilu de mon mec. J’ai relevé ma jupe pour qu’il puisse voir aussi ce jeu de lumière sur mon cul lisse et bombé. Je retarde le moment de prendre la belle saucisse en bouche. Je lèche le ventre, puis le haut des cuisses. Je m’imprègne de la douce sensation de ses doigts dans ma chevelure. Il ne me force pas à le sucer car il sait que cela viendra en son temps. Positionnée comme je le suis, agenouillée en travers de la banquette je peux facilement lui ôter l’un de ses jolis mocassin en cuir tressé. Le soulier est beau, neuf et brillant. Je le place sous moi pour m’improviser un gode qui m’excite à mort. Le contact du cuir de son soulier sur mon sexe me fait tressaillir et je sais que je ne vais pas tarder à jouir. Alors je prends enfin son sexe dans ma bouche. Je suce à fond, d’abord lentement, en aspirant fort et en serrant les lèvres. La BMW passe sur une sorte de dos d’âne, et la pointe du soulier entre en moi presque comme une grosse bite. Il tient ma tête par les cheveux, à pleine main. Sans gêne aucune il donne un rythme plus rapide à ma fellation de taxi salope. Pour moi les orgasmes se succèdent déjà. Plein d’attention il tire ma tête en arrière pour m’indiquer qu’il est sur le point d’éjaculer. Je le regarde par en dessous : »J’ai promis qu’on ne tâcherai rien… » Et j’engloutis sa queue pour finir de le sucer et avaler de bon cœur son foutre. Il décharge. Il n’a pas du se masturber depuis pas mal de temps car le sperme est gras et abondant. J’en aime le goût, vraiment ! C’est tellement bon, je me sens rassasiée et juste pleinement heureuse l’espace de quelques secondes où je ne sais plus qui je suis vraiment. Au premier feu je renfile mes Louboutin et sort en trombe de la voiture pour m’échapper le plus loin possible. Bien sûr j’aurais aimé savoir comment il s’en est sorti une fois seul avec le chauffeur du Uber. Mais, comme à mon habitude, je coupe tous les ponts et disparait entièrement de sa vie pour n’être plus qu’un souvenir. Le souvenir d’un plan cul taxi salope.
Bonjour j ai vu votre blog j aimerais faire la pute pour routier taxis ou autre en moselle je m appelle Patricia Veron je m habillé en femme
Je t’ai laissé un message sur cinqasept. J’imagine que tu en reçois des tonnes alors j’écris aussi ici pour augmenter les chances que tu me réponde. Sans prise de tête, non plus ! Sinon très bon cet article taxi salope.
Effectivement j’en reçois beaucoup beaucoup. Si tu me donnes ton pseudo je promets au moins de répondre.