Le Mac Do, tout ce que je déteste. J’aime les restaurants huppés et je me sens tellement à l’aise de jouer les salopes allumeuses pour choquer la bonne bourgeoisie de province. Mais l’envie de vérifier que je suis capable de pécho un jeune Papa pour un mercredi après-midi coquin est là plus forte ce jour là pas loin de Grenoble. Je m’installe dans l’aquarium parents célibataires avec enfants. Le bruit est à la limite du supportable. Une quinzaine de mômes jouent les hamsters dans les jeux prévus pour que les parents puissent avoir un peu de répit et « savourer » leur Big Mac, salade César ou Nugets de feu par 6 ou 9. L’homme à côté de qui je choisi de m’installer doit avoir 35 ou 40 ans. J’avais repéré qu’il matait mon petit cul d’allumeuse dans la queue pour commander. Son gosse doit avoir 5 ou 6 ans. Le père est à l’image du fils, ou l’inverse. Allure décontractée basket et jeans de marque, propres et souriants. Oeuillades, échange de sourires, c’est lui qui engage la conversation : « vous en avez combien ? » il pointé du menton les jeux bondés d’enfants bondissants.
J’opte pour la franchise :
-« une seule mais elle est chez son père ! »
il me regarde interloqué.
-« En fait je suis nymphomane et je viens ici pour draguer… »
il ri, croyant une plaisanterie de ma part.
Je pose une main sur sa cuisse -« non non, je vous assure, c’est la vérité vraie. J’ai très envie de me faire prendre dans les toilettes du Mac Do ! Ça vous dit ? »
Il ne me croit toujours pas, cherche la caméra cachée.
je n’ai pas de temps à perdre, je sais que je lui plaît. -« écoutez, vous faites comme vous voulez. Je vais demander le code des toilette. Cela vous laisse le temps de dire à votre fils que vous vous absentez un peu et qu’il peut jouer en vous attendant. Si vous ne le faites pas je suis sure que vous allez le regretter. »
Sur ce je file demander le code des toilettes à la caisse. Je remarque qu’il fait signe à son gamin de venir le voir. Yes ! C’est gagné !
Baisée dans les toilettes du Mac Do
Nous voici dans les toilettes du Mac Do. Ambiance aseptisée et promiscuité. Qu’importe, je suis en mode grosse salope pour une baise rapide. Sans prendre la peine de verrouiller la porte je colle ma bouche contre la tienne. Nos langues s’emmêlent instantanément. J’aime embrasser goulument, toute en salive et en succion. Un avant goût de la grosse fellation à laquelle tu vas avoir droit dans par longtemps. Je plante mes yeux de salope lubrique dans les tiens et mes mains sont sur ta peau sous ton T-shirt. Sous mon pull en Cachemire tu tâtes mes gros seins tièdes et moelleux à souhait. Je presse mon entrejambe contre toi pour que tu sentes, s’il en était besoin mon désir. Ma main vérifie. Oui, tu bandes déjà à en craquer ton jean. Je prends ta main pour la mettre sous ma jupe plissée juste dans ma culotte. Tu la sens ma mouille ? Putain, j’ai trop envie, je défais les boutons de ton jean. Je te glisse à l’oreille : »Trop envie de sucer là… »
Mais je descends doucement pour embrasser ton cou, presser ma chatte contre ta cuisse en plaçant mes mains sur tes belle fesses musclées. Je suis accroupie et je te regarde par en dessous. Experte j’ai sortie ta belle queue et baissé ton jean. Je peux passer ma langue tout le long de ton sexe dressé. Qui a dit qu’on ne mangeait pas de saucisse au Mac Do ?
Que ce soit sur les draps de satin d’un hôtel de luxe ou dans les chiotes du Mac Do une bonne pipe c’est tout un art. Une affaire de savant dosage entre douceur et sauvagerie. Faire la salope juste ce qu’il faut, se montrer faussement intimidée au début par la queue que l’on ne sait comment avaler puis être de plus en plus gourmande, goulue. Finir en gorge profonde à la limite de l’étouffement. Mais tu as peur de jouir trop tôt et me tire par les cheveux pour que je me relève avant que tu ne puisses plus te retenir. J’ai compris, je lève une jambe et prend ta bite dure dans ma main pour la guider dans ma chatte. Plaisir indescriptible de la pénétration. Ça glisse tout seul tellement je mouille. Tu me plaques contre le mur de carrelage blanc. C’est froid contre mes fesse et brûlant dans ma chatte. Je t’embrasse sur la bouche en même temps que je jouis. Quelques coups de butoir qui me defoncent delicieusement . Et tu jouis sans pouvoir retenir un râle de plaisir. Je me rhabille plus vite que toi et fuis sans demander ni mon reste ni ton 06. Fin de notre histoire de cul. Je me sens un peu mieux, rassasiée pour quelques jours au moins. Je ne mentirai pas, notre idylle dans les toilettes du Mac Do a duré 5 minutes grand Max. Mais quand on est un nympho comme moi on sait prendre le ma olim de plaisir sans chercher la performance de star du porno. Un bonne baise n’est pas nécessairement une baise qui dure des heures. Il faut savoir varier. Grâce au plaisir que tu m’as donné je peux rentrer chez moi sans avoir envie de tuer la terre entière. Ce soir je serai gentille avec mon mari, patiente avec notre fille et c’est aussi cela qui compte. Merci monsieur Mac Do Nald
Je pense aussi que je vais investir les Macdo, Ikéa et d’autres lieux. On ne sait jamais si une maman accompagnant un petit peut se retrouver à bien vouloir une séance sauvage aux toilettes. Mais j’ai une question pour toi. Comment tu les repères ? Comment tu as les feus verts pour cueillir ta cible ?
Joli ! Je n’avais jamais songé à draguer au Mac Do. Moi mon truc pour trouver un plan cul avec un mec marié c’est IKEA. J’aime y aller seule et repérer les couples qui s’énervent. C’est si facile de repérer le type lassé de sa nana qu’il sera facile à aborder vers les caisses ou à la cafétéria. Ça marche presque à tous les coups ! Faut dire qu’etre eurasienne et plutôt sexy ça aide aussi…