Plan cul au bureau
Jeudi soir. 18h pile. Il baisse les stores de l’agence et se retourne vers moi. Jeune collaboratrice intimidée je sais que ce n’est pas par hasard qu’il n’y a plus que nous deux au bureau. C’est un plan cul adultère improvisé. Il vient de téléphoner à sa femme qu’il doit finir un dossier et rentrera tard. Je suis le dossier. Son alibi n’est pas original mais c’est simple et efficace. Pour ma part pas de souci. Je suis en déplacement pro à 600 km de la maison et ne suis sensée rentrer au domicile conjugal que demain. Nième aventure adultère pour moi. Je ne m’en lasserai, je crois, jamais 😀.
Petite agence Maaf assurance de province. Il en est le directeur et c’est pour préserver son anonymat que je ne vous dis pas le nom de la ville. Nous avons convenu en Chat que je dois jouer le rôle de la nouvelle collaboratrice toujours en période d’essais. J’ai mis un tailleur strict mais relativement moulant, des escarpins noirs à talons, mes plus beaux dessous sexy et, une fois n’est pas coutume, bas et porte-jarretelles.
-« Mademoiselle, que lisez vous ici ? »
Il a le doit pointé sur le bas de la page d’un contrat d’assurance habitation qu’il a ouvert sur son bureau.
Je dois me pencher en avant pour lire. C’est écrit en tous petits caractères.
-« C’est écrit vraiment petit monsieur… »
-« Idiote, je ne vous demande pas de me lire les conditions particulières ! Je vous demande ce qui est écrit là ! »
Il me montre la signature et la mention manuscrite.
je me penche pour déchiffrer. Je suis consciente qu’ainsi mon tailleur moule mon petit cul bombé. Il mate sans gêne.
Je lis : « Bon pour accord, F. Et une signature indéchiffrable, Monsieur »
-« et la date ? »
-« Il n’y a pas de date monsieur. »
-« Exactement idiote! Tu as oublié de préciser à la cliente qu’il faut écrire la date à la main sur le contrat !!! »
Écrire qu’à se moment la claque qu’il m’assène sur les fesses est une surprise serait un mensonge. Je me doutais bien que j’aurais droit au classique secrétaire fessée.
Dans mon rôle je n’en suis pas moins pétrifiée et n’ose pas bouger. Je me contente de rester penchée sur le bureau en attendant la seconde claque qui ne tarde pas à venir.
-« Allez, montre moi tes fesses. Petite incompétente ! »
je relève ma jupe de tailleur mais elle est moulante et je dois la retrousser pour lui offrir mon cul. L’ensemble bas et porte jarretelle fait alors son effet.
-« hummm, alors comme ça on met des dessous de salope pour venir travailler ? »
Je ne réponds pas. Il prends mes fesses à pleines mains pour les écarter. Je reçois encore quelques claques sur les fesses mais entre chaque il caresse aussi mes cuisses et vient frôler ma chatte. Je me cambre à la rencontre de sa main à chaque passage. Il se penche sur moi pour me murmurer à l’oreille : « tu es une coquine. Hein, tu sais qu’avec un cul comme ça tu m’enlève l’envie de te punir. » Sa main remonte entre les cuisses. Il écarte mon string. Je mouille déjà comme une chienne en chaleur. Son doigt rentre tout seul. Je me raidi pour lui faire sentir que j’aime ça. Il m’embrasse dans le cou et me prend par les cheveux pour m’emmener vers les petit canapés de la salle d’attente clients. J’ai juste le temps de rebaisser mon tailleur en chemin avant qu’il me balance sur le canapé. Pour qu’il me viole il faudrait que je résiste. Ou au moins fasse semblant. Mais j’ai trop envie et mon regarde trahi sur ce point. Je décide donc d’assumer mon côté salope et de l’attirer vers moi. Il reste debout, comme par hasard juste bien placé pour que je puisse caresser la bosse sous son pantalon. Je déboutonne et sort l’engin. Belle queue longue et bien raide. J’émets un « hummm » appreciateur, le prends en bouche 👄 sans attendre. Je suce lentement, sa main dans mes cheveux donne le rythme.
-« tu viens pas tout de suite hein? J’ai envie que tu m’encules après. »
-« T’inquiète cochonne 🐷, avec moi tu pourras en avoir par tous les trous. »
Alors je fais confiance et reprends ma fellation. En général je sais quand mon amant est proche de la fin. Et là tout m’indique que ça ne fait que commencer. D’ailleurs il se laisse aller et ne semble pas pressé. J’enlève ma veste sans le laisser échapper de mes lèvres. Il fait de même et le laisse baisser son pantalon. J’ai droit à quelques compliments. Je suis une bonne suceuse, si je reste bien salope il renouvellera mon CDD, j’ai bien choisi les sous vêtements sexy, je dois toujours m’habiller comme ça et rester faire la fermeture avec lui. J’acquiesce la bouche pleine. Il me pousse pour me retourner sur le petit canapé. Il trouve tout de suite la petite fermeture éclair de la jupe tailleur et m’en débarrasse délicatement. Ses baisers sur les fesses sont humides à la limite du suçon. Il est juste à la limite entre caresses et massage. J’ai droit à tous les compliments du monde. Mon cul de salope est juste parfait. Il aime mes jambes et je dois toujours être en talons. Je réponds oui, dis que c’est bon, que j’aime trop ce qu’il me fait. Quand il se décide à me prendre en levrette je suis déjà bien chaude et prête à jouir. L’orgasme vient immédiatement et je couine comme une chienne en chaleur. Il me lime sans faiblir et je multiplie les orgasmes, toute haletante sur le ridicule petit canapé de l’agence. La sodomie vient par surprise. Je n’étais pas préparée et là jouissante fait place une douleur qui m’arrache un cri de surprise. Il s’en fout. C’est son moment et il me défonce sans ménagement. Passée la surprise du début et même si la douleur est intense la situation m’excite et j’ai honte de m’entendre supplier : « oui, encore » alors que la raison voudrait que je demande une trêve. Je sais que demain je vais le regretter et que j’aurai du mal à cacher ma douleur à mon mari pendant quelques jours. Mais qu’importe, j’improviserai, comme toujours depuis presque quatre ans…
J’ai envie de pleurer 😭. À mon bureau y’a que des nazes. Et quand je rentre chez moi c’est pire !
Cc Rachelle si tu ne trouves pas ton bonheur dans ton bureau essaye d’autres endroits ou tu croises du beau linge. Je ne sais pas proche de quelle ville tu es mais il y a toujours des endroits sympa. Et il est très rare selon les individus que tu cibles qu’il reste indifférent à une femme seule car pas mal sont souvent accompagné et on ne sait pas qui sont les personnes à leur côté…
Coucou Lucie,
Le directeur de l’agence MAAF devait chanter « pour m’envoyer en l’air, c’est son cul que j’préfère » … en te prenant par derrière !
tu passes jamais par Le Mans lucie
Tu imagines si un store était entrebaillée et sur tu te fasses reluquer par un mec en face…lol
LUCIE !!!!cest une superbe rencontre. Tu as vrailent de la suite dans les idees continue encore et encore …
Hey merci ! Pas super original mais j’ai bien aimé me faire tringler dans cette échoppe aux stores baissés sachant que juste de l’autre côté de la vitre les passants dans la rue ne savaient pas ce qu’il se tramait. Et puis c’est bon de temps en temps de pouvoir échapper au train train quotidien et de faire ma bonne petite salope avec un inconnu