Rendez-vous coquin au cinéma
Cinéma le Méliès de Grenoble. Plan cul d’un jeudi soir. Salle moitié vide. Avant dernière rangée, fauteuils en velour rouges. Après vingt heures il y avait j’accuse de Polanski ou sorry we missed you de Ken Loach. Pédophile ou communiste ? Nous choisissons communiste en nous disant qu’il y aura moins de monde. De toutes façons nous allons au cinéma plus pour la baise que pour le film !☺️.
j’ai une jupe courte, un pull en cachemire avec rien d’autre dessous que mes gros seins doux et parfumés. Nous sommes en avance le film n’est pas commencé et la lumière est encore là. Les gens continuent à entrer sporadiquement dans la salle de cinéma. On ne peut que se caresser discrètement pour le moment mais c’est déjà fort intéressant cette rencontre au cinoche. Je sens la bosse sous son jean. Bien dure. Il a sa main qui remonte sous ma jupe pour vérifier si j’ai des bas ou un collant.
Je lui glisse à l’oreille : « c’est un collant…mais t’inquiète, tu pourras me le déchirer… »
Il se penche pour m’embrasser sur la 👄. Je le repousse : « non, si les gens nous voient après ils vont tout le temps se retourner pour mâter…patience, on va bientôt pouvoir s’embrasser…et pas que sur la bouche pour un baiser de cinéma. » je masse un peu son sexe à travers le tissus.
La lumière baisse. Pas totalement. Pubs et bandes annonces. Sa main plus haut sous ma jupe. Ma tête sur son épaule : « Là il ne fait pas encore assez noir dans la salle de cinéma et des gens peuvent encore arriver…mais tout à l’heure je sortirai ta bite pour la sucer… » Je lèche son cou. Il bande très dur sous le 👖.
Une dame deux rangs devant s’est retournée. J’arrête de l’embrasser et tiens bien droite le regard fixe devant moi. Si on se fait surprendre par une conne elle est capable de nous faire virer du cinéma. Ca m’est déjà arrivé. J’ai pas eu honte mais si j’étais tombée sur des très cons il y aurait pu y avoir plainte et signalement…Là c’est déjà plus la merde…
Sa main ferme bien haut sous ma jupe. Mais pas tout en haut. J’écarte juste un peu les cuisses pour l’encourager. On ne peut pas faire plus pour le moment mais c’est bien ainsi. Il place son pied au delà du mien pour bloquer ma jambe légèrement écartée. J’avais pas l’intention de me refermer mais c’est excitant. Je n’ose pas trop le caresser. On ne sait jamais. Ejaculation précoce là ça gâcherait tout !
Je plante mes ongles sur son ventre sous le T-shirt. Il a de bons abdos. Ses doigts sont juste là où le collant couvre le bord du string. Il caresse tout près de ma chatte. J’ai chaud, je pense que je commence à mouiller.
Les bandes annonces sont horriblement longues. Et en même temps l’attente du noir complet est délicieusement frustrante.
Sucer dans une salle de ciné
Enfin le vrai noir. Un noir profond de salle de cinéma. Hélas légèrement gâché par le vert de la sortie de secours. Mais suffisamment sombre quand même. Heureusement, j’en pouvais plus. Je me penche à son oreille : « ça te dirait pas de sortir un peu ta bite ? »
Il défait son son jean et sort sa queue bien raide. Il fait noir Dans le cinéma mais pas suffisamment pour que je ne vois pas l’engin. Et ce que je vous me plaît vraiment beaucoup. Je me met à genoux sur mon siège qui grince un peu comme tout siégé de cinéma qui se respecte. Penchée par dessus l’accoudoir c’est assez confortable et son grand sexe est parfaitement accessible. Je prends en bouche sans hésitation. Bonheur de la grande colonne de chair turgescente dans ma bouche. J’aime trop sucer. Il pose une main sur ma nuque, l’autre sur mon cul. Il n’arrive pas à relever la jupe qui est un peu trop raide. Mais c’est pas grave, sa longue queue dans ma bouche suffit amplement à m’exciter. Je suce lentement, à fond. Sa main sur ma nuque accompagne le mouvement juste comme il faut, sans me forcer. On a tout le temps. Je le sens serein au rythme de ses caresses sur mes fesses. Un mec sur le point de jouir c’est maladroit. Lui pas. Je me tortille un peu et remonte moi même ma jupe pour qu’il puisse me caresser. Je continue à sucer. Son sexe est très long, très dur aussi. S’il jouissait maintenant j’avalerais son sperme avec délice. Mais je sais déjà que ça n’arrivera pas. C’est le genre tout en contrôle. J’ai l’impression qu’il pourrait tenir Jusqu’au générique de fin. Il masse mon camel toe à travers le nylon de mes bas. Je mouille. J’en peux plus, j’ai trop envie. Heureusement dans mon petit sac à main de salope cinéphile j’ai toujours trois tailles de préservatifs. Là c’est les grands😉.
Je lui déroule sur la queue en mode pute experte. Il s’avance sur le bord du fauteuil. Je peux m’assoir juste sur lui. Comme il n’ose pas c’est moi qui déchire mon collant au niveau de la chatte. Le bruit me semble exagérément fort mais bref et personne ne se retourne. De toutes façons on est tout derrière sur le côté et quatre rangée nous séparent des spectateurs les plus proches. S’ils se retournaient ils seraient au cinéma porno…
La position n’est pas super pratique pour une pénétration vaginale. Mais sa pine est bien longue alors ça rentre nickel. C’est divin ! J’ondule lentement. Il passe les mains sous mon pull en cachemire et entreprend mes gros seins. Baisers mouillés dans mon cou en prime. Je suis bien, confortable, à mon rythme. C’est délicieux, je dois me retenir de gémir. Sa queue est toujours bien dure. Ses caresses sur les seins fermes mais sans brusquerie. Ses baisers dans mon cou appuyés mais sans suçon. J’ai envie que cela dure, ne pas jouir trop fort ni trop vite dans ce cinéma. Ne pas chercher à le faire jouir. Juste profiter de l’instant, en rythme, comme un film de cinéma porno soft des années 90 qui durerait une éternité. Et effectivement les plans séquences de Ken Loach s’enchaînent sans que nous songions à changer de position. Je sens l’imperceptible changement. Ses mains plus serrées sur mes seins. La bouche qui glisse de mon cou à mon épaule. Quand il joui en moi j’en suis déjà à mon troisième orgasme discret. Je reste sur lui et continue à bouger langoureusement le bassin le temps qu’il débande. Je regagne ma place et lisse un peu ma jupe. Je pose ma tête sur son épaule : « on regarde la fin du film ou a va sort du cinéma direction mon Airbnb pour que tu m’encules ? »
Devinez sa réponse…vous auriez fait quoi vous ? Quand nous partons en catimini je m’aperçois un peu honteuse que nous laissons le préservatif usagé sur la moquette. Pas très glamour ni civique je l’avoue. Nulle n’est parfaite, surtout pas moi !
Mon gros fantasme : un inconnu me donne rendez vous dans un cinéma. Première séance salle quasi vide. On ne s’est jamais vus. Il a juste quelques photos de mon joli corps de coquine et moi je sais tout de son anatomie sauf le visage. Le rendez vous est à la dernière rangée de sièges. Il doit me rejoindre quand le film a commencé qu’il fait bien noir. D’abord sa main dans ma culotte, sous ma minijupe. Il caresse délicatement pour que je m’ouvre et qu’il puisse introduire un doigt. Je met aussi un doigt dans ma chatte puis dans sa bouche. Je veux qu’il goûte ma mouille. Après évidement je le sucerai et il pourra me prendre en levrette et tout me faire jusqu’au générique de fin…un candidat, mon pseudo : cinemasexfriend ?
Bonsoir Ophélie,
Indiques moi le nom du cinéma, le film et la séance, et probablement que ton fantasme se réalisera…
Ophélie, tu choisira plutôt l’avant dernière rangée. Je viendrai derrière toi. Je banderai tes yeux pour être certain que tu n’y voies rien. Je commencerai par m’occuper de tes seins par derrière. J’embrasserai baveusement ton cou. Puis j’enjamberai la rangée de sièges pour te présenter direct ma queue que tu devras sucer. Après je te retournerai pour te prendre en levrette. J’aurai un bon gel anal pour t’enculer bien profond. Je ferai cela en douceur pour ne pas faire de bruit. On le fera par terre sur la moquette coincés entre les rangées. Je te défoncerai bien le cul. Et à la fin tu devra me finir à la bouche et bien tout avaler. Dis moi en MP ou et quand si le programme te tente…
Juste envie d’un plan régulier mais sans me mettre en couple. Jolie (enfin il me semble), pas très grande (1m65) mais toute menue et souple…J’ai toutes les choses que l’on peut faire sur un canapé…
Tu es vraiment une perverse de nous faire bander et de nous frustrer en même temps à nous raconter tes plans culs ! J’aimerais tant que plus de femmes soient comme toi ! En tous cas ne t’arrête pas de tromper ton mari et d’écrire ce blog. Qui sait, un jour nos chemin se croiseront peut être. On peut toujours rêver.