J’ai mis des collants noir. Des collants chauds en laine, sous une jupe écossaise.
Et puis j’ai pris le train. Car tu es à Toulouse et que tu m’as dit : « Jeudi, 17 heure à mon appartement. Ne sois pas en retard ! »
Alors j’ai du courir, de Matabiau au capitole. Arrivée dans ta rue j’ai bêtement pris à droite. Après trois numéros j’ai compris mon erreur : 12, 10, 8, tu habites au 22. Ce n’est que notre seconde fois, et puis il faisait nuit, et nous avions marché ensemble depuis le restaurant. Bref j’ai fait demi tour, légèrement essoufflée j’étais en bas de chez toi avec moins d’un quart d’heure de retard. J’ai composé le code, 1984B. L’ascenseur est en panne, les cinq étages finissent de me mettre en nage et quand tu m’ouvres je suis tout sauf fraîche et sûre de moi.
-« Jeune fille, vous êtes en retard. »
-« Oui…Pardon…J’ai couru…mais…le train avait du retard… »
Essoufflée je reprends ma respiration entre les mots. Tu me jauges de haut en bas, puis de bas en haut.
-« Bon, entre, pas la peine de rester plantée là. »
Le loft est comme dans mon souvenir, à notre premier rendez vous le mois dernier. Tu m’avais dit que si je revenais je serais ta soumise. Qu’il fallait l’accepter, que c’était ça ou rien. Tu m’avais promis de n’être ni violent ni cruel. Tu m’avais dit cela a l’oreille, tout en me besognant, ta queue dure et infatigable dans ma chatte. Tu m’avais fait gémir et supplier de ne pas t’arrêter. Un doigt dans mon anus, tu m’avais demandé si j’accepterais être ta soumise, ta chienne obéissante, en échange d’autre orgasmes. J’avais dit oui, suppliante pour qu’il y ait une autre fois. Alors tu m’as baisée encore tu m’as fait jouir et crier. Puis tu as jouis en moi et nous et nous avons dormis. Pas trop longtemps car j’avais mon train à prendre. Tu m’as dis : « Dans un mois, je veux que tu reviennes. »
-« Viens, on va compléter ta tenue. »
Tu ajustes à mon cou un collier en cuir souple. Deux bracelets larges en cuir à mes poignets et deux autre pour mes chevilles par dessus la laine de mes collants.
Tu me fais m’agenouiller sur le grand lit du loft. Mains dans le dos, mes nouveaux bracelets reliés par une chaînette. Tu écartes mes chevilles, et fixes l’ecarteur télescopique en métal chromé. Tu règles juste assez pour que je les genoux ne puissent pas se toucher. C’est toi qui a bouclé, à mon cou, le collier. Il est en cuir bien souple, doux et tres confortable. Tu accroche une laisse de chienne à la boucle de mon cou. Tu la laisses pendre mais je sais que tu peux t’en emparer à tout moment. Me savoir à ta merci m’excite. Et quand tu commences à caresser mes jambes je me cambre un peu. Ta main entre mes cuisses masse mon abricot gonflé. Tu aimes prendre ton temps. Si je me cambre trop pour me presser contre ta main tu l’écartes de mon con et lui préfères l’intérieur de mes cuisses. J’ai chaud dans mes collants en laine. Mains attachées derrière le dos je tiens ma jupe écossaise relevée dans l’espoir que tu t’intéresses à mon petit cul. Ce serait trop facile, tu joues avec mes nerfs. Juste du bout d’un doigt tu caresses mon camel toe à travers mon collant qui s’imbibe de mouille. J’essaie de me cambrer, j’en voudrais tellement plus. Mais tu te contentes d’appuyer pour faire suinter mon con. Quand ton doigt est mouillé tu me le fais lécher. Ça me donne une envie terrible de te sucer. J’aspire ton doigt en priant pour que ça te donne envie de me présenter ta queue. Tu te penches à mon oreille : « T’es une bonne petite chienne toi hein ? »
-« Humm, oui. Baises moi comme une chienne. »
-« Tsss tsss, c’est pas toi qui décide. Je te baise comme je veux. »
-« Oui, baise moi comme bon te semble. J’en peux plus. »
-« Comme je veux…et quand je veux…Mais avant j’ai un petit cadeau pour toi… »
Tu ouvres le tiroir de la table de chevet. J’y entrevois pêle-mêle un bâillon boule, une sorte de battoir en cuir, des pinces à linge dorées. Mais c’est un plug anal en verre que tu en sors. Il n’est pas énorme mais quand même un peu plus gros que le petit que j’ai l’habitude de me mettre de temps en temps quand j’ai un rendez vous galant.
Tu prends ton temps en roulant le plug contre ma Chatte sur le collant de laine. Je sais qu’il se lubrifie de ma mouille. Tu déchires par devant mon collant, juste assez pour y passer le plug et me l’enfoncer dans ma chatte trempée. Tu tournes et presses. Avec tes mains tu serres mes cuisses pour que je comprenne qu’il faut que je garde le plug prisonnier le temps que tu déchires le collant par derrière. Mes fesses sont à nu. Tu lèches mon anus et en me cambrant je laisse échapper le plug qui glisse entraîné par son poids.
-« Maladroite ! Ça, ça mérite une bonne correction ! »
La première claque sur mes fesses est ferme et bruyante. Je mords l’oreiller quand s’abat la seconde. Bien sûr, je savais que j’allais être fessée. Et c’est loin d’être ma première fois. Mais ça faisait quand même longtemps et après une dizaine de claques sur mon postérieur à nu le picotement est douloureux et quand tu défais la chaînette qui relie les poignets dans mon dos je l’empressé de récupérer le plug anal pour le replacer dans ma chatte d’où il n’aurait jamais dû tomber. Mais tu arrêtes mon geste. Je comprends qu’un plug anal, c’est, comme son nom l’indique, fait pour aller entre mes fesses. Tu le fais doucement rentrer en tournant. Je mords l’oreiller pour ne pas crier. Lorsqud le plus gros du plug est passé et que mon anus se resserre enfin j’en gémi de soulagement. Tu prends mes collants à pleines mains et les déchires pour m’exposer totalement. Je suis tellement reconnaissante quand tu mets enfin tes mains autour de ma taille et que je sens ta queue s’avancer par en bas. Je me cambre. La sensation est divine quand ta queue pénètre ma chatte. Elle me semble bien longue et, oui, je gémi de plaisir. Je jouis instantanément et tes vas et viens m’electrisent complètement. Ton ventre tape sur l’arrière du plug. La douleur dans mon trou du cul est juste comme il faut, pas trop forte mais bien présente. Quand tu retires d’un coup le plug de mon cul et que tu m’encules. C’est comme un soulagement. Le plug m’avait bien préparée et je couine à chaque coup de butoir. Quand tu jouis enfin tu pèses de tout ton poids et je reste à plat ventre sous toi. La nuit ne fait que commencer et je sais que j’aurai la chance de te montrer comment je suce dans pas longtemps.
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Salut,
Jeune mariée déjà déçue par la vie conjugale cherche désespérément celui qui saura me faire gémir de plaisir l’après midi en semaine pas loin de Rodez.
Allé ça marche Mimi! lundi prochain pas loin de rodez te faire gémir de plaisir… dans l’après-midi! J’ai bien tout noté. Je fais le plein de la punto, j’enfile mon plus beau caleçon et je viens m’occuper de toi! Je suis plutôt dominant j’espère que tu aimeras être soumise.
Il est possible que je résiste…
J’habite vers Onet le Château. Maison vide entre 10h et 18h. Sauf les mercredis.
Mardi 13 février ? Veille de Saint Valentin. Ça te dirait ? Je suis chauffeur routier et je passe justement pas loin. Je suis un routier très sympa…On peut se retrouver au bowling du Rouergue, grand parking juste derrière. Je parie que tu l’as jamais fait dans une cabine de camion. Bien envie de te bouffer le minou pour commencer…
Et bien ! Que de propositions ! Tout à l’air bon, je ne sais que choisir…
OK JB38,
Quelle couleur ton camion ? Vers quelle heure ? Après midi ? Très envie de découvrir l’amour en cabine…
Customisé avec des loups. Tu peux pas le rater. J’y serai pour la pause déjeuner mais je reste autant que tu veux. Bien hâte aussi de m’occuper de toi…
Coucou Mylene .. alors ?
Est ce que ton corps d onetienne a été récompensé ? En demande t il encore ? Si oui je passe de temps en temps à côté ..
Bise
Je n’aurais qu’un mot : Comblée…
Encore Rodez ? Mais il se passe quoi là bas !? 😂
Mais tellement rien ! Justement ! C’est peut être pour cela que je cherche l’évasion…
Salut,
J’ai 21 ans, élève infirmière. Depuis 2 ans fan de SM et Cosplay. Je me suis commandé pour mon noël un écarteur de jambes chromé et des dessous en cuir. Je cherche un homme, 35-40 ans, discret, sévère mais pas brutal. Pour sceances de dressage sur Limoges. Pas sérieux s’abstenir comme on dit. Gros pervers, j’ai pas de problème avec ça…
Hummm dommage que je n’habite plus en France, avec mon mari on aurait adoré s’occuper de toi, nous sommes très pervers
Salut angie toujours en recherche ?
Lucie, en ce moment j’aimerais t’attacher les mains dans le dos, te mettre un collier avec une chaîne, te mettre à genoux devant mois, mettre mon sexe dans ta bouche et utiliser la chaîne pour que tu aies toujours en tete que tu m’appartiens. J’utiliserai ensuite mes doigts pour vérifier que tu es bien mouillée. Si c’est le cas ce sera sodomie en levrette et si ce n’est pas le cas…. ce sera aussi sodomie en levrette en fait. Je me rend compte qu’il n’y a pas d’alternative 😅. A oui et si après ça on peut sortir dans un lieu public et faire deviner que tu es une bonne soumises qui vient de se faire prendre je serai au ra-vi !
Il est bien probable qu’un tel traitement me rende bien moite dans ma culotte. La vérité est que, même si je suis une bonne salope je passe parfois des semaines sans tromper mon mari et même des mois sans sodo. Alors c’est sûr que si tu m’as bien défoncée l’anus et que tu me sors au restaurant en minijupe et talons aiguilles je risque de marcher un peu bizarrement et ça va se voir que j’ai mal au cul en m’asseyant. C’est probable que certains hommes sauront que je viens tout juste d’en prendre plein le cul. En si l’on rouge à lèvre n’est plus impeccable alors on devinera aisément que je t’ai sucé. Voir d’autres hommes jalouser mon amant m’exciterait certainement encore plus !
Je prends le train toutes les semaines pour mon travail ( la ligne Nimes Paris). Je cherche une camarade de jeu pour faire le trajet en bonne compagnie.
J’ai 39 ans, je fantasme sur les femmes plus âgées un peu bcbg ou plus jeunes mais du moment que tu es plutot soumise je m’occuperai de toi. si tu es en couple c’est sans doute mieux.
J’ai proposé à la sncf de rajouter une option lors de l’achat du billet mais ils ont refusé, pourtant je crois qu’il y a un qqchose à creuser.
J’ai 24 ans. Et je vais être directe. Je cherche un sugar Dady. S’il te plaît Lucie, ne se cure pas ce commentaire. Je ne propose pas de me prostituer. J’ai juste besoin d’un sponsor en échange de compagnie complice. Je ne couche que si j’en ai envie. Mais mon sugar Dady sera présente à mes amies comme un ami bienveillant…
Tu es dans quelle régions ? J’ai plus du double de ton âge. Mais je me fous des conventions.
PS : Je suis veuf et fiscalement dans la dernière tranche…
Toulouse.
Bonjour André,
Je suis prête à venir régulièrement dans le 42 ou là où tu le souhaiterais pour entretenir une relation très sugar à deux.
Elo.
Moi je ne sais pas pourquoi mais j’aime plus que tout le son que font mes collants quand ils se déchirent. J’en ai des frissons rien que d’y penser !
Oui, je valide !
Coralie, Et le son de bonnes claques sur tes fesses exposées après avoir déchiré tes collants, tu trouves ça comment ? Après une bonne fessée tu auras droit à de la crème nivea pour te soulager. J’en mettrai bien abondamment dans ta raie avant de presser ma queue contre ton anus. Je suis sûr que tu vas adorer !
Salut, je suis un peu comme vous. Sauf que je n’ose pas franchir le rubicon. J’ai de gros fantasmes de soumission mais j’ai trop EIF que les choses aillent trop loin, de tomber sur quelqu’un de malintentionné. Auriez vous des conseils ?
Parle-en à ton mari. 😉