Tu as sans doute raison, un tient vaut souvent mieux que deux tu l’auras. À peine la brune est-elle partie que la blonde pose sa main sur ta cuisse et se penche vers ton oreille : « Je crois que si tu ne m’embrasses pas tout de suite je risque de partir moi aussi… »
Pas la peine de te le dire deux fois. Tu poses tes lèvres sur les siennes. Sa langue est d’abord timide mais au contact de la tienne la timidité est vite oubliée. Elle embrasse en fermant les yeux, comme une adolescente. Sa main toujours sur ta cuisse. Elle fait durer le baiser puis détache. Sa bouche : « Tu paies ta tournée et on y va ? » Elle presse ta cuisse pour appuyer son propos. Tu laisses un billet de cinquante sur la table, elle s’empare du trousseau de clef et de ta main pour t’entraîner sans un mot vers l’appart à deux pas. En chemin elle se colle à toi. Tu sens son corps tiède, le doux balancement de ses hanches et sa main sous ton pull.
L’appart est en réé de jardin, grand canapé en velour, tapis marocains épais en laine et Candice qui se laisse déshabiller tout en te débarrassant de tes fringues.
-« hummmm, ça faisait trop longtemps…je peux te sucer ? »
Elle ne te laisse pas répondre et te pousse au sol. La position ne laisse pas de doute. Elle veut un soixante neuf. Son cul est magnifique, juste comme il faut, ferme mais pas maigrichonne, sa chatte s’ouvre sous ta langue. Elle suce un peu maladroitement mais c’est bon et excitant. Tu la sens presque débutante. Elle attrape un préservatif dans une boîte sur la table basse et le jette dans ta direction, gênée. Elle est belle, tu embrasses ses seins laiteux à pleine bouche, mets la main entre ses cuisses, entre un doigt et masse délicatement. Son clitoris est juste là, sous ton doigt. Elle respire fort, gémit un peu : « hummm, c’est booon. J’ai envie de ta queue…tu mets le preservatif s’il te plaît ? »
Tu déchire l’emballage d’aluminium et déroule la capote sœur ta queue bien raide. Elle se jette sur toi et guide ta queue dans sa chatte. Son ventre est chaud contre le tien, tu embrasses ses seins. Elle ondule en gémissant. Tu presses ses fesses à deux mains. « Oooh, ouiii, ahan, tu m’fais jouir, ouiii, encore… »
Tu jouis en elle et elle s’écroule contre toi…Elle reste sur toi, douce et détendue. Elle sent bon. Tu n’oses pas bouger. C’est elle qui romp le silence : « t’as rien de prévu ce week end j’espère…parce que moi je me ferais bien deux jours de sexe… »
J’aime beaucoup ta façon d’écrire, disons que cela me remplit la tête de belles images, et hum, agit particulièrement sur mon anatomie.